Sofiane Abi
A l’occasion de la rentrée scolaire, la Protection civile a décidé de rappeler aux parents d’élèves les risques d’accidents de la circulation qu’encourent leurs enfants. Faut-il le rappeler, chaque mois entre 400 et 450 enfants sont victimes d’accidents de la circulation. Le nombre risque d’augmenter si les acteurs de la société civile ne prennent pas le danger en considération.
Dans un communiqué datant de ce lundi, la Direction générale de la Protection civile (DGPC) a annoncé la mise en place d’un vaste dispositif spécial pour une rentrée scolaire sans accidents de la circulation. Avec plus de 80 000 hommes et femmes secouristes mobilisés, à l’occasion de la rentrée scolaire, à travers l’ensemble des postes d’intervention du pays, le plan spécial élaboré par la DGPC comprend également le déploiement des unités aériennes. Pour peaufiner le dispositif spécial, la Protection civile a mobilisé un renfort de taille constitué de plusieurs équipes d’intervention afin de répondre aux différentes sollicitations, particulièrement au niveau des zones urbaines et des points noirs où les risques d’accidents sont élevés, a indiqué ledit communiqué. Aussi, la DGPC n’a pas manqué à cette occasion de rappeler aux parents de sensibiliser leurs enfants sur les risques que représentent les accidents de la route, notamment sur leur vie.
Sur ce plan, la DGPC a indiqué aux parents que la prévention et la sensibilisation sont les premiers éducateurs des enfants sur les dangers liés aux accidents de la circulation. « La prévention et la sensibilisation demeurent une priorité pour la Protection civile », note la DGPC dans son communiqué. Les enfants sont peu conscients des dangers qui les menacent sur les routes, car ce risque apparaît à l’âge de trois ans, dès que l’enfant fait ses premiers pas à la crèche, puis augmente lorsqu’il se déplace seul à l’école, dès l’âge de cinq ans ou six ans, et enfin atteint le pic entre 11 et 12 ans dans le cycle moyen, explique le communiqué de la Protection civile. Cette situation nécessite, ajoute-t-on, un apprentissage des connaissances pour les piétons en bas âge afin qu’ils arrivent à mieux se protéger, seuls, contre les différents risques liés à la route.
Dans ce contexte, la DGPC a réitéré son appel aux parents sur la nécessité de suivre les recommandations de base en matière de sécurité routière présentes dans le communiqué, et de les expliquer à leur tour à leurs enfants pour les protéger contre les risques d’accidents de la route. Tout d’abord, indique la DGPC, utiliser un passage piéton ou choisir un lieu doté d’une bonne visibilité pour traverser, rester vigilant en traversant les passages pour piétons ainsi qu’en dehors de ceux-ci, tout comme il est important de regarder à gauche et à droite puis encore à gauche avant de s’engager sur la chaussée pour vérifier si des véhicules arrivent de loin ou de près. Vérifier qu’il y a bien des feux de signalisation, que le feu est au vert et que tous les véhicules sont à l’arrêt avant de s’engager, et surtout traverser le passage pour piétons en marchant et s’interdire de courir pour éviter des chutes sur la chaussée.
Multiplier les déplacements à pied avec les enfants pour les éduquer à la sécurité routière, notamment sur les routes desservant les établissements scolaires et leur expliquer la différence entre les espaces de jeu et ceux réservés à la circulation. Apprendre aux enfants à emprunter le trottoir pour marcher et à détecter les dangers potentiels, tels que la sortie de garage, les travaux, les chutes de pluie et de neige. Telles sont les recommandations de la Protection civile aux parents d’élèves et aux enfants pour une année scolaire avec moins d’accidents de la circulation et moins de victimes.
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Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels s’est renforcé par 40 nouveaux établissements qui ouvriront leurs portes à l’occasion de la rentrée de la formation professionnelle, prévue le 23 septembre prochain.
« Pour les infrastructures d’accueil, les établissements de formation et de l’enseignement professionnels publics fonctionnels pour cette session, sont au nombre de 1295, soit une augmentation de 67 établissements par rapport à la même session de l’année 2017. Il faut savoir qu’en plus des établissements ouverts en février 2018, ce sont 40 nouveaux établissements qui ouvriront leurs portes, pour la première fois, à la prochaine rentrée », a indiqué le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, dans une interview accordée à l’APS.
Il s’agit de 13 instituts nationaux spécialisés (INSFP), 24 centres de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) et 3 instituts de l’enseignement professionnels (IEP), a-t-il précisé.
S’agissant des moyens techniques dans les ateliers, 213 équipements technico-pédagogiques sont en cours de réception ou d’acquisition, dont 88 sections d’équipements seront fonctionnelles avant la fin de l’année, alors que pour ce qui est du personnel enseignant-formateur, le nombre de postes d’encadrement technico-pédagogique permanent, dépasse les 28.000 sur un total de plus de 67.700 postes budgétaires, représentant l’ensemble des travailleurs du secteur.
Sur les plans matériel et humain, « nous sommes prêts pour accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions », a assuré le ministre, tout en soulignant que son secteur « ne lésine devant aucun effort pour mobiliser les moyens humains et matériels nécessaires permettant d’assurer une bonne année de formation professionnelle ».
Ce sont 400 000 postes de formation qui sont prévus pour la session de septembre 2018, en progression par rapport à celle de l’année précédente, un chiffre qui peut augmenter en cas de nécessité en faisant appel aux possibilités qu’offre l’apprentissage, a Mohamed Mebarki.
« Nous sommes prêts à accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions et nous travaillons pour que la rentrée 2018 soit à la hauteur du rôle, de plus en plus important, que joue le secteur de la formation professionnelle », a-t-il affirmé.
ll a précisé, en outre, que le ministère s’attelle à « prendre en charge les besoins en ressources humaines nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et du développement économique et à répondre à la demande sociale de formation professionnelle aux cotés des autres segments du système éducatif national ». Ceci, d’autant que, a-t-il ajouté, près de « 450.000 jeunes quittent, annuellement, l’enseignement général classique sans diplômes et sans qualifications ».
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Depuis novembre 2017, soit au lendemain des élections municipales, la nouvelle équipe à la tête de l’Assemblée populaire communale (APC) de Hamadi n’assure plus le ramassage des ordures. Dès lors, les habitants de cette commune n’ont plus de choix que d’abandonner leurs ordures ménagères sur les bordures des routes et autres ruelles de la ville. C’est ainsi que des terres agricoles se sont transformées en dépotoirs à ciel ouvert, alors que des cités flambant neuves, à l’exemple des 142 logements Essalam, sont carrément devenues des décharges publiques. Partout, sur les routes et dans les quartiers, des odeurs nauséabondes, et la seule solution dont disposent encore les habitants de cette ville, c’est de brûler périodiquement les montagnes d’ordures formées par-ci, par-là. Selon des sources proches des autorités locales, le nouveau P/APC refuse de signer le déblocage du budget (environ 7 milliards de centimes) réservé à cet effet, parce que des responsables au niveau de la wilaya de Boumerdès lui auraient imposé une entreprise privée pour le ramassage des ordures.
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Le président de Jil Jadid, Soufiane Djillali, a décidé de poursuivre en justice le député et ex-président du groupe parlementaire du MSP, Nacer Hamdadouche, qui, dans une violente diatribe postée sur son compte Facebook, avait proféré de graves accusations contre lui. “Je déposerai plainte en espérant que le ministre de la Justice engagera la demande pour la levée de l’immunité parlementaire auprès du président de l’APN, pour permettre à la procédure judiciaire de suivre son cours”, a expliqué M. Djillali, dans un communiqué rendu public hier. Cependant, le président de Jil Jadid ne se fait, visiblement pas, d’illusion sur la demande en question. “En vérité, j’ai peu d’espoir de voir cette institution accepter de lever sa protection”, a-t-il précisé.
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Le Maroc, qui a snobé les appels de l’Algérie et de la Tunisie pour une candidature commune pour le Mondial 2030 de football, risque de voir son ambition contrecarrée. Le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin, est totalement opposé à cette option et préfère une seule candidature européenne. Il est plutôt favorable à une candidature de l’Angleterre, car, a-t-il déclaré au quotidien sportif l’Equipe, “cela pourrait être une bonne idée, les infrastructures en Grande-Bretagne sont excellentes”. Il a même ajouté : “Je l’ai dit à de nombreuses reprises ces dernières années, il est temps pour l’Europe d’accueillir le Mondial. La seule chose sur laquelle je veux insister est qu’il faudrait une seule candidature en Europe. Je ne veux pas que nous soyons divisés.”
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Lancé depuis plusieurs années, avant qu’il ne soit mis aux calendes grecques, le programme d’entretien de la signalisation routière et l’équipement des tronçons routiers de signalisation spécifique pour l’élimination des points noirs sur les routes nationales, vient d’être relancé par les directions des travaux publics à travers plusieurs wilayas du pays. L’opération a concernée dans un premier temps les routes nationales de l’est du pays (Béjaïa, Jijel, Batna, Sétif, Guelma, Annaba…) où des dizaines de points noirs sont à l’origine d’accidents de la circulation. En plus des signalisations directionnelles et des potences lumineuses à message variable, ce programme devra inclure la pose, sur plusieurs routes nationales, de glissières de sécurité et de plots rétrofléchissants en verre.
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Le wali de Laâyoune (Maroc), Yahdih Bouchaâb, interviewé à l’occasion d’un reportage sur la situation au Sahara occidental, s’est laissé aller à des comparaisons pour le moins incongrues. Lors de son passage dans l’émission du média américain Democracy Now, Yahdih Bouchaâb a estimé que “le niveau de respect des droits de l’Homme au Sahara est supérieur à celui observé aux Etats-Unis”, affirmant que “dans une ville comme New York, il existe un million de citoyens qui vivent dans des undergrounds et se nourrissent de rats. Quand ils sont assez faibles, ils se font à leur tour manger par des rats”. Yahdih Bouchaâb ne s’arrêtera pas là. “Si vous voulez parler des droits de l’Homme, intéressez-vous d’abord à Guantanamo”, poursuivra-t-il. Les internautes s’en sont donnés à cœur joie.
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ALGER- Tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour assurer le bon déroulement de la rentrée de formation professionnelle, prévue le 23 septembre prochain, a affirmé le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, dans une interview à l’APS.
« Comme chaque année, le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels ne lésine devant aucun effort pour mobiliser les moyens humains et matériels nécessaires pour assurer une bonne année de formation professionnelle », a-t-il assuré, ajoutant que « nous sommes prêts à accueillir tous les demandeurs de formation dans de bonnes conditions et nous travaillons pour que la rentrée 2018 soit à la hauteur du rôle, de plus en plus important, que joue le secteur de la formation professionnelle ».
Il a précisé, en outre, que le ministère s’attelle à « prendre en charge les besoins en ressources humaines nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et du développement économique et à répondre à la demande sociale de formation professionnelle aux cotés des autres segments du système éducatif national ».
Ceci, d’autant que, a-t-il ajouté, près de « 450.000 jeunes quittent, annuellement, l’enseignement général classique sans diplômes et sans qualifications ».
=Former utile pour faciliter l’insertion professionnelle des diplômés=
Mebarki a précisé que les chiffres donnés, cet été, par l’Office national des statistiques « montrent que plus de la moitié des chômeurs n’ont aucune formation, ce qui nous oblige à former en adéquation avec les réalités économiques et sociales ».
Il a relevé que le secteur « a toujours intégré dans ces cursus, des formations dans l’entreprenariat, pour donner la possibilité aux jeunes stagiaires et apprentis de bénéficier de compétences à monter ou réaliser leur propre projet, avec l’aide des différents dispositifs mis en place par l’Etat ».
D’ailleurs, plus de 63% des porteurs de projets bénéficiant des aides et avantages de l’A.N.S.E.J, sont issus de la formation professionnelle pour l’année 2017, a-t-il mentionné.
Pour ce qui est des infrastructures d’accueil, les établissements de formation et de l’enseignement professionnels publics fonctionnels pour cette session, sont au nombre de 1295, en augmentation de 67 établissements par rapport à la même session de l’année 2017.
En plus des établissements ouverts en février 2018, ce sont 40 établissements nouveaux qui ouvriront leurs portes, pour la première fois, à la rentrée prochaine. Il s’agit de 13 instituts nationaux spécialisés (INSFP),24 centres de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) et 3 instituts de l’enseignement professionnels (IEP).
S’agissant des moyens techniques dans les ateliers, 213 équipements technico-pédagogiques sont en cours de réception ou d’acquisition, dont 88 sections d’équipements qui seront fonctionnelles avant la fin de l’année.
Pour le personnel enseignant-formateur, le nombre de postes d’encadrement technico-pédagogique permanent dépasse les 28.000 sur un total de plus de 67.700 postes budgétaires, représentant l’ensemble des travailleurs du secteur.
=Une campagne d’information pour aller au contact des jeunes=
Au sujet de la campagne d’information que le ministère a lancée à l’intention des jeunes et des parents sur toutes les possibilités d’inscription aux différents diplômes et aux certificats de qualifications qu’il propose, M. Mebarki a fait remarquer que ce sont de larges franges de jeunes qui peuvent en être concernés.
C’est pourquoi, a-t-il dit, le ministère associe à cette initiative les organismes et ministères en relation directe avec les jeunes et, bien entendu, les médias pour intéresser le maximum à la formation aux métiers.
Durant tout l’été, les directions de wilaya ont utilisé tous les moyens de sensibilisation pour aller au contact des jeunes à travers l’affichage de banderoles dans des endroits choisis, des interventions sur les radios locales et l’organisation de caravanes.
Cette campagne de communication va se poursuivre jusqu’à la rentrée, a affirmé le ministre, et porte notamment sur les conditions d’inscriptions aux différents diplômes et certificats, à savoir les filières et spécialités ouvertes et leur localisation, ainsi que les possibilités d’internat.
« Ce que nous pouvons dire, aujourd’hui, à trois semaines de la rentrée, et comparativement à l’année dernière, est que l’intérêt des jeunes à s’inscrire à la formation professionnelle va en grandissant, y compris pour la prise en charge des candidats ayant le niveau scolaire de 3ème AS qui souhaitent s’inscrire en technicien supérieur (TS) », a-t-il précisé, ajoutant que « c’est à ce niveau d’inscription où se situe la plus forte demande, en particulier pour certaines spécialités très prisées ».
Le ministre a tenu à rappeler que chaque année, ce sont plus de 300.000 candidats qui échouent à l’examen du baccalauréat et préfèrent s’orienter vers des instituts de formati on professionnelle. De plus, de nombreux bacheliers et même des licenciés de l’université s’inscrivent en TS de certaines spécialités.
=Intérêt grandissant pour les filières de l’industrie et du tourisme=
L’intérêt aux filières de formation considérées prioritaires a augmenté de façon graduelle, ces dernières années, notamment pour les spécialités de l’industrie qui représentent 25,40% de l’offre globale, alors que celle-ci ne dépassait pas 22,7% pour la session de septembre 2017, a indiqué le ministre.
La filière hôtellerie, tourisme et artisanat représente, quant à elle, 15,69% de l’offre globale contre 10.3% pour la même session de l’année passée. Le BTP continue à intéresser, puisqu’il représente 12,41%, alors que les filières de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire progressent à 9.31% dans l’offre globale, comparativement à l’année dernière, a-t-il détaillé.
Sur un autre plan, les nouvelles règles sur l’apprentissage participeront à la réalisation des objectifs fixés il y a trois ans pour atteindre, en 2019, la formation en apprentissage de 60% des inscrits à un diplôme.
Lire aussi: Formation professionnelle: 40 nouveaux établissements ouvriront leurs portes à la prochaine rentrée
Dans ce cadre, plus de 120.000 postes d’apprentis sont déjà programmés pour la rentrée de septembre 2018 et ce chiffre peut être revu à la hausse en cas de besoins, grâce au partenariat qui se renforce avec le monde économique, a encore expliqué le ministre.
La qualité et la promotion du partenariat avec l’environnement socio-économique sont considérées comme un critère de performance dans le management des établissements de la formation professionnelle, a fait savoir M. Mebarki, rappelant que plus de 13.000 conventions de partenariat ont été signées entre le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels et le secteur économique depuis 2008 et ont permis la formation de 650 000 travailleurs.
Selon le ministre, cette démarche de partenariat « est renforcée par des organes de concertation, réorganisés et mis en place au cours de l’année 2018: au niveau national, un Conseil de partenariat de la formation et de l’enseignement professionnels et au niveau local, des commissions de partenariat de wilaya.
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Le Qatar encerclé par les eaux , ainsi étaient les mots d’un haut responsable saoudien qui a prôné pour la première fois la création d’un canal qui transformerait la péninsule voisine du Qatar en une île. Une déclaration qui intervient sur fond de dissensions diplomatiques entre les pays du Golfe. « En tant que citoyen, j’attends avec impatience des détails sur la mise en œuvre du projet de l’île Salwa, un grand, historique projet qui changera la géographie de la région », a écrit sur Twitter Saud Al-Qahtani, proche conseiller du prince héritier Mohammed Ben Salmane.
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ALGER- Près de 20 membres du Conseil de la nation ont boycotté, lundi, les travaux de la séance d’ouverture de la session parlementaire ordinaire 2018/2019, présidée par le président de l’institution, Abdelkader Bensalah, et ce en « solidarité » avec leur collègue Boudjouher Malik, arrêté dans une affaire de corruption, a constaté l’APS.
Dans une déclaration à la presse, le sénateur Mahmoud Kissari a indiqué qu’un « nombre important de sénateurs ont boycotté les travaux de la séance d’ouverture, en solidarité avec leur collègue de la wilaya de Tipasa, Boudjouher Malik, arrêté dans une affaire de corruption », appelant, dans ce sens, à « l’ouverture d’une enquête approfondie et la présentation du dossier de condamnation au Conseil de la nation pour prendre les mesures nécessaires (levée de l’immunité) ».
Ahmed Ouyahia, secrétaire général du parti du Rassemblement national démocratique (RND), parti auquel appartient le parlementaire Boudjouher Malik, avait décidé de radier définitivement des rangs du parti, M. Boudjouher Malik pour son implication dans une affaire de corruption.
Ouyahia s’est référé dans sa décision aux dispositions des statuts du parti adopté lors de son 5e Congrès, ainsi qu’au règlement intérieur adopté par le Conseil national du RND.
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ALGER – Le président du Conseil de la nation a affirmé, lundi à Alger, que « la meilleure façon d’exprimer une revendication ou une préoccupation, reste le dialogue », appelant à « éviter d’impliquer les institutions républicaines et leurs symboles dans un débat stérile et inutile ».
Dans une allocution à l’ouverture de la session ordinaire du Conseil de la nation, M. Bensalah a indiqué que « la meilleure façon d’exprimer une revendication ou une préoccupation, reste le dialogue, dont il faut en multiplier et en diversifier les tribunes ».
Il a précisé que le Gouvernement œuvre à prendre en charge les revendications légitimes, parmi celles que soulèvent certaines catégories sociales, induites par la disparité dans le rythme de réalisation des projets d’un secteur à l’autre et d’une région à l’autre, ce qui engendre des dysfonctionnements qu’il faut traiter de manière graduelle et dans les délais nécessaires.
« Même si on est compréhensifs vis-à-vis des revendications rationnelles, il n’en demeure pas moins que l’on s’inscrit en porte-à-faux avec les positions de ceux qui appellent à investir la rue et en faire un lieu de protestation, de manifestation et de revendications », a-t-il ajouté dans ce sens.
Le président du Conseil de la nation a souligné « l’importance et la nécessaire conjugaison de nos efforts, afin de renforcer la cohésion nationale et consolider l’unité nationale à travers l’unification de nos rangs », d’autant, a-t-il dit, que « nous faisons face à une conjoncture politique et sécuritaire difficile, ce qui constitue une menace permanente tout au long de nos frontières ».
Partant, a-t-il estimé « le devoir impose à toutes les franges de la société, toutes tendances politiques confondues (classe politique en premier), à revoir son évaluation de la situation et revoir les priorités et les revendications, de manière à préserver l’intérêt supérieur du pays face aux défis et batailles qui l’attendent, en premier lieu la crise financière, la diversification de l’économie et l’approfondissement de la pratique démocratique ».
Dans ce même contexte, il a appelé la classe politique à élever le niveau du débat politique et à « éviter d’impliquer les Institutions Républicaines et leurs symboles dans un débat stérile et inutile ».
Bensalah a exhorté les institutions jouissant d’une influence sur l’opinion publique, notamment les médias et les acteurs de la société civile « à assumer leur rôle en matière de sensibilisation quant aux difficultés et aux défis que nous imposent l’étape actuelle, tout en sollicitant la participation de tout le monde, à garantir le climat nécessaire, empreint de démocratie, de transparence et d’intégrité, lors des prochaines élections, afin de choisir les personnes les plus aptes à assumer une bonne gestion du pays et de ses institutions ».
« L’intérêt national suprême exige de nous tous, et plus que jamais, de renouveler la demande à l’homme qui a réalisé tous ces acquis et permis le retour de la paix et de la stabilité, à l’homme qui a permis à la jeunesse d’espérer en un avenir prometteur en jetant les jalons d’un Etat moderne doté d’institutions constitutionnelle fortes et qui travaillent en symbiose et cohésion…je dis, l’inviter à poursuivre son œuvre dans la même voie et la même orientation », a soutenu M. Bensalah.
Affirmant, par ailleurs, que la nouvelle session parlementaire « sera sans doute riche sur le plan de son activité législative et de sa prestation parlementaire », il a appelé à « la nécessité d’une présence permanente et d’une forte participation ».
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Après le choléra, des grèves annoncées dans l’éducation et la santé, une colère sociale palpable et une échéance présidentielle en perspective… la rentrée ne sera pas de tout repos !
C’est la rentrée sociale ! Aujourd’hui, les députés et sénateurs reprendront du service après deux mois de congé et ce mercredi, les élèves rejoindront les bancs des classes à travers tous les établissements du pays. Mais, ce n’est pas tout. La rentrée sociale de 2018 est particulière et diffère des précédentes. Le gouvernement doit faire face à des défis sur les plans politique, économique et social. Une rentrée qui d’ores et déjà s’annonce chaude comme l’étaient d’ailleurs ces derniers jours.
En effet, l’épidémie de choléra qui a fait deux victimes depuis son apparition, le 7 août dernier, a mis l’Exécutif d’Ahmed Ouyahia en alerte maximale. Plusieurs départements ministériels sont concernés par la lutte contre la maladie. Cependant, la gestion de ce dossier a démontré toutes les failles d’une équipe gouvernementale, accentuant la panique au sein de la société. Les déclarations contradictoires de ministres et d’institutions ont été une tache noire dans cette « crise sanitaire », ajoutez que jusqu’à présent, les autorités n’ont pas pu démontrer avec exactitude l’origine de l’épidémie. Tel est donc le contexte dans lequel intervient la rentrée sociale.
Au choléra, le gouvernement devra aussi vite faire face à la colère du front social. La fièvre des travailleurs monte à mesure que des grèves sont annoncées ici et là, particulièrement, dans les secteurs à vocation revendicative. Dans l’éducation et la santé, différentes catégories montent au créneau pour réclamer la prise en charge de leurs doléances, alors que l’Intersyndicale, qui regroupe une quinzaine d’organisations autonomes, devrait se réunir le 8 courant pour décider d’un plan de bataille.
Si Mme Nouria Benghebrit a tout fait pour que la rentrée scolaire de ce mercredi 5 septembre soit une réussite, elle devra aussi affronter le spectre de la grève. En effet, les intendants affiliés à l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef) annoncent une grève d’une semaine du 9 au 13 septembre, pour protester contre ce qu’ils qualifient de « marginalisation » dont ils sont victimes. Des sit-in de protestations seront organisés, ce mardi, devant les sièges des directions de l’éducation à travers les wilayas. Les intendants dénoncent leur « exclusion » de la dernière grille des salaires des travailleurs du secteur.
L’éducation et la santé renouent avec la protesta
Pour ce qui est de la santé, le Pr Mokhtar
Hasbellaoui, ministre de tutelle qui se trouve au centre des critiques avec le dossier du choléra et toute la cacophonie en termes de communications et déclarations contradictoires qui en découlent, est rattrapé par « le feuilleton » des médecins résidents. Le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra), annonce la couleur. Il revient à la charge pour réclamer l’application des points contenus dans les P-V communs. Les résidents ont déjà organisé un rassemblement devant le siège du ministère pour protester contre « le mutisme et les promesses non tenues » des ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur. « Nous avons été ébranlés par le silence et le mépris par lesquels a été accueillie notre initiative », regrette le Camra dans un communiqué, rappelant qu’il avait mené une grève de huit mois, avant de la suspendre après les promesses de dialogue du Pr Hasbellaoui. Les médecins résidents réclament à présent la réouverture du dialogue pour « l’application » des points accordés dans le P-V de la réunion du 10 avril 2018 et du nouveau zoning, proposé par le ministère de la Santé en date du 18 avril dernier, pour la nouvelle promotion d’assistants de juillet 2018. Le Camra veut aussi, entre autres, « une session de rattrapage pour les candidats ajournés au DEMS, la réintégration des résidents exclus, le remboursement des ponctions et gel anarchiques sur salaires ».
Présidentielle 2019 : comment réunir les bonnes conditions ?
C’est dire que le gouvernement d’Ouyahia est d’ores et déjà dans l’œil du cyclone avec une montée au front qui s’ajoute à une colère sociale palpable suite à la détérioration du pouvoir d’achat des Algériens, conséquence de la crise économique. Malgré la reprise des cours du pétrole, rien n’indique que la situation va en s’améliorant. Les derniers chiffres de la Caisse nationale des retraites (CNR), qui évoque un déficit de 580 milliards de dinars, donnent froid dans le dos. La planche à billets, seule solution du gouvernement, est critiquée par tous. Ses conséquences ne vont pas tarder à se sentir, selon les spécialistes. Tous ces éléments donnent de la matière aux députés de l’opposition qui retrouveront, ce matin, l’Hémicycle de l’APN. Grèves, contestations sociales, absence de solutions pérennes à la crise et mauvaise gestion des crises, notamment de la santé, sont autant de questions sur lesquelles l’Exécutif sera acculé. Difficile de s’enfuir. Encore plus difficile lorsque la rentrée de cette année intervient à quelques mois seulement d’une échéance électorale importante, qu’est la présidentielle de 2019. Le rôle du gouvernement dans cette étape avant-élection est surtout de garantir les bonnes conditions pour réussir l’évènement en maintenant coûte que coûte « la paix sociale ». Ce fameux slogan nécessite pourtant des sacrifices, entre autres, pour les autorités de mettre la main dans la poche pour calmer la fièvre des travailleurs. Or, en temps de crise financière, on ne peut rien donner car tout simplement on n’a rien à offrir ! Un dilemme. Comment le Premier ministre Ahmed Ouyahia et son équipe vont-ils s’y prendre ?
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Véritable symbole du quartier mythique de Bab El Oued, le marché des Trois-Horloges a été fermé, hier, par la commune en raison de sa dégradation et l’état des locaux qu’il abrite. Principal source de revenus de plus d’une cinquantaine de commerçants, cette fermeture, annoncée il y a plus d’une année, a été perçue comme un véritable coup de massue par les occupants du marché. Mécontents
, ils n’ont pas hésité à tenir, hier dans la matinée, un sit-in de protestation avant d’être reçus dans l’après-midi par le président de l’APC. « Ce marché constituait un réel danger pour les citoyens au vu de son état. Durant l’hiver, il est carrément inondé par les pluies. C’est un bâtiment très vétuste qui a subi aussi l’incivisme de certains en se transformant en véritable décharge. C’est inadmissible, il est temps que les choses changent», a indiqué Mohamed, 60 ans, patron d’un petit commerce à proximité du marché.
Cependant, alors que les commerçants avaient annoncé l’éventuelle volonté des autorités de «raser complètement» l’ancienne bâtisse, le contraire leur a bien été confirmé au niveau de la commune. « Il n’a jamais été question de détruire le marché, il a été fermé pour des travaux de rénovation et il sera rouvert dès qu’ils auront fini de le retaper », nous a-t-on annoncé au niveau de l’APC. Nous avons tenté d’avoir plus d’informations auprès du président de l’APC, mais ce dernier était en réunion avec les protestataires. « Le maire est actuellement en réunion avec les commerçants du marché Trois-Horloges qu’il a reçus en début d’après-midi », nous a fait savoir l’agent d’accueil. A l’issue de cette réunion, il a été conclu que l’ensemble des commerçants qui occupaient l’ancien marché soit transféré aujourd’hui au niveau du nouveau marché communal de Saïd-Touati (Triolet). Cette décision bien que temporaire n’a pas été du goût de tous en raison de l’éloignement du nouveau marché. « J’ai passé la moitié de ma vie dans ce marché, qui compte des clients fidèles. Qui fera le trajet jusqu’à Triolet pour faire ses courses ? », a déploré le jeune frère d’un boucher, propriétaire d’un commerce du marché fermé.
Du côté des citoyens, bien qu’ils aient salué l’initiative, ils étaient nombreux à exprimer leur crainte quant au développement d’un marché informel qui risque de rendre le quartier encore plus invivable.
« Les vendeurs informels qui occupent les tables à l’extérieur nous pourrissent déjà le quotidien. Ils ne respectent aucune règle d’hygiène. Maintenant que le marché est fermé, tous les commerçants qui étaient à l’intérieur vont venir installer des tables à l’extérieur. C’est prévisible, les autorités qui ont décidé de fermer le marché devraient mettre en place un dispositif pour surveiller les lieux et éviter qu’ils ne se transforment en décharge », a fait savoir Youcef, propriétaire d’un bureau tabac.
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Des stations de pesage sont prévues tout près des postes de péages de l’autoroute Est-Ouest, et ce, une fois les travaux de réalisation de ces derniers achevés à la fin de l’année 2018. Ces stations de pesage seront gérées par la Gendarmerie nationale pour contrôler les poids-lourds et appliquer la loi en cas de surcharge.
Annoncé par son prédécesseur en 2010, la réalisation des pèses-essieux pour le pesage des poids- lourds refait surface huit ans après. En marge d’une journée de sensibilisation organisée par l’association NSB- Consulting, au circuit de kart Karting Evasion, de Bordj El-Kiffan, le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane, a fait part de la mise en place prochaine des stations de pesage pour les poids lourds et les camions dans plusieurs villes reliées par l’autoroute Est-Ouest, ainsi qu’à la périphérie des sorties des zones industrielles pour le contrôle de la charge légale. Ces stations seront réparties sur l’ensemble des entrées des autoroutes afin de préserver le bon état du réseau routier express et limiter le nombre d’accidents. La nouvelle loi en préparation pour réguler la circulation des poids- lourds, prévoit, outre la saisie du véhicule et son envoi en fourrière, des sanctions selon l’excédent de poids transporté par les camions, en plus des procès et des retraits des points du permis de conduire, selon la nature de l’infraction. Pour rappel, en mai dernier, le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, a imputé la dégradation de l’autoroute Est-Ouest aux camions poids lourds en raison du surpoids transporté. «Concernant ces camions poids lourds, et au premier degré, les camions des carrières, mais, le message a été envoyé à tous les autres secteurs». Zaâlane a mis l’accent sur «l’importance de former les conducteurs professionnels en matière de sécurité routière, non seulement en mécanique mais aussi au secourisme, et à recourir également au chronotachygraphe, dont l’élaboration du texte y afférent se fait en coordination avec trois ministères, à savoir, l’Intérieur et les Collectivités locales, celui de la Poste, Télécommunications, des Technologies et du Numérique, ainsi que celui de l’Industrie».
Le réseau de routes à double voie réduira le nombre d’accidents
Le ministre des Travaux publics et des Transports a indiqué, également, que le réseau de routes à double voie en Algérie a connu une extension notable et atteint 7 000 km, ce qui permettra de réduire le nombre d’accidents enregistré sur le territoire national.
«Compte tenu de l’évolution du parc automobile national, de la croissance démographique et du développement de l’activité économique, l’Etat vise, à travers la réalisation des infrastructures, à limiter les dégâts humains et matériels», a-t-il souligné.
Il a également estimé que même s’il y a eu une «réduction du nombre de décès, des blessés et des accidents, il faudra éviter de tomber dans le piège des chiffres, tant qu’il y a toujours des victimes de la route à déplorer», relevant à cet égard, la baisse du nombre de décès (-84%) et de blessés (-17,4%).
S’agissant des amendes, le ministre a évoqué «la révision des dispositions de la loi» concernant le montant de la contravention qui sera, a-t-il indiqué, «coercitif», car la politique du gouvernement «repose sur deux dimensions, la sensibilisation et l’aspect coercitif, afin de réprimer, avec vigueur, les infractions qui causent handicaps et décès». Pour sa part, le commandant Souad Madani, de la Direction des statistiques auprès de la Protection civile, a indiqué que le premier semestre de l’année 2018 a enregistré 804 décès et plus de 29 000 blessés. Elle a estimé qu’un «recul» avait été relevé en termes d’accidents et de victimes, comparativement à l’année 2017 (- 8%).
Par ailleurs, la coordinatrice de l’Association El Baraka, Nabila Segani, a estimé «que le défi aujourd’hui réside dans la sensibilisation de toutes les catégories de la société sur les conséquences du non-respect du Code de la route», ainsi que sur «les conséquences lourdes», corporelles, matérielles et psychologiques sur les victimes et leurs familles.
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Lors de sa visite à la daïra de Hassi Messaoud, samedi matin, la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Mme Fatima Zerouati, a exprimé sa satisfaction quant aux efforts écologiques accomplis dans la conception de la future ville de Hassi Messaoud.
« L’existence de structures servant de protection de l’environnement, telles que la station de traitement des eaux usées, la ceinture verte et le centre d’enfouissement technique (CET), lui octroieront la dimension d’une ville écologique modèle », a-t-elle précisé. Dans cette visite de deux jours à la wilaya d’Ouargla, la ministre a commencé par l’inspection, dans la daïra de Hassi Messaoud (80 km du chef-lieu de wilaya), du projet de la station de déminéralisation d’eau et le centre de tri des déchets solides et recyclage des métaux, le premier à l’échelle nationale, dont les travaux de réalisation sont bien avancés. La ministre s’est rendue ensuite au chantier du projet de la nouvelle ville de Hassi Messaoud (70 km de l’actuel Hassi-Messaoud) et a suivi un exposé sur la base de plans de conception, des composantes de ce nouveau pôle urbain d’environ 4 000 hectares, conçu pour accueillir une population de 80 000 habitants et dont les travaux de réalisation ont été lancés en juillet 2013.
Ce projet respecte, selon elle, la dimension écologique à travers la réalisation de la ceinture verte. Cette dernière, qui s’étale sur une superficie de 300 hectares, va protéger la ville des vents de sable et contribuera à rafraîchir l’air, lui explique-t-on. « C’est une ville qui respectera les critères d’une ville intelligente à travers la gestion des eaux et la ceinture verte et le respect de la dimension écologique et durable en termes de prise en charge des déchets et leur recyclage par les équipements et les moyens disponibles dans le CET », a déclaré Mme Zerouati. « Ceci nous permet de concrétiser réellement le modèle d’une ville écologique », ajoute-t-elle. Lors de l’inspection du centre de recyclage des matières récupérées, la ministre a rappelé l’importance d’impliquer le secteur privé dans l’investissement dans ce nouveau CET qui constitue un véritable gain pour la région. Avant de conclure sa visite à Hassi Messaoud, Mme Zarouati a appelé les citoyens et tous les partenaires sociaux à contribuer « efficacement » au nouveau projet de ville future, en particulier dans ses aspects environnementaux et la propreté du milieu. La ministre a également appelé au respect de l’aspect architectural de la ville du Sud et des conditions climatiques de la région, quant à la conception des différents projets d’investissement urbanistiques ou industriels.
Protection et préservation des lacs
Après Hassi Messaoud, la ministre de l’Environnement Fatima Zerouati s’est rendue hier dans la circonscription administrative de Touggourt, où elle a supervisé l’inauguration du Centre d’enfouissement technique intercommunal à Témacine, wilaya déléguée de Touggourt, d’une capacité de 10 800 tonnes par an. Mme Zarouati a appelé à s’appuyer sur les personnes compétentes dans la gestion de ces entreprises pour assurer une meilleure gestion dans le traitement et le recyclage des déchets. Des quartiers modèles seront désignés pour des campagnes de sensibilisation des citoyens sur les méthodes d’organisation de la prise en charge des déchets, a-t-elle déclaré. Dans la même commune, la délégation s’est rendue ensuite au lac de Témacine (zone humide d’Oued Righ), un des plus beaux lacs salés de la wilaya d’Ouargla. Il se situe à 12 km de la wilaya déléguée de Touggourt. La ministre a rappelé l’importance de ces zones humides dans l’écologie et la préservation des ressources en eau. Elle a visité ensuite une exposition qui a été installée à ciel ouvert sur les rivages du lac. Mme Zerouati a exprimé son appréciation des activités de certains artisans qui ont fabriqué des produits utilisables à partir de produits recyclés et a appelé à encourager de telles initiatives. Le lac de Mégarine (wilaya de Touggourt) était le dernier point programmé dans la région d’Oued Righ. Le lac Lalla Fatma de Mégarine a besoin, selon la première responsable du secteur, d’une classification pour pouvoir exploiter le potentiel touristique de cette zone.
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La dixième édition du festival international de la calligraphie des miniatures et des arts décoratifs s’ouvrira le 13 septembre prochain au palais de la culture Moufdi Zakaria d’Alger, a déclaré lundi à l’APS le commissaire de cet événement Moussa Kechkeche.
La même source a précisé lors d’un appel téléphonique que cette dixième édition se poursuivra jusqu’au 18 septembre courant et enregistrera la participation de 15 pays arabes.
Plus d’une centaine d’oeuvres seront exposées au cours de cet événement auquel participeront de nombreux artistes algériens venus des quatre coins du pays, a-t-il ajouté.
Outre des conférences sur l’histoire des miniatures et des arts plastiques, animées par des spécialistes issus des pays participants, trois ateliers pratiques d’initiation aux techniques picturales figureront également au menu de ce festival « au succès grandissant », a-t-il indiqué.
Moussa Kechkeche a rappelé que lors de la précédente édition, tenue en 2016, il a été décidé de fusionner le festival international de la calligraphie arabe avec celui des miniatures et des arts décoratifs et d’en faire un festival biennal organisé toutes les années paires.
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Les services de la sûreté de wilaya d’Oran ont découvert le weekend dernier un atelier activant dans le domaine de contrefaçon de pièces détachées de véhicules, a-t-on appris lundi auprès de ces services.
Cet atelier s’est spécialisé dans la contrefaçon de pièces de rechange de véhicules aux marques mondiales en prévision de leur commercialisation comme des pièces d’origine.
Une brigade de lutte contre le vol et trafic de véhicules de la sûreté de wilaya d’Oran a déclenché les investigations dans une affaire de vol d’un véhicule dans une wilaya limitrophe et l’enquête diligentée a permis de découvrir le véhicule dans un garage dans la daïra d’Es Seina (sud d’Oran).
Lors d’une perquisition dans ce garage pour récupérer le véhicule volé, des quantités de pièces de rechange de véhicules ont été découvertes stockées dans cet espace et les éléments de ce service ont aussitôt avisé le procureur de la République près le tribunal d’Es Seina qui a ordonné de dépêcher des éléments de la brigade économique et financière de la sûreté de wilaya sur place.
Des indices ont été trouvés faisant état de contrefaçon de pièces. Ce garage a été transformé en atelier secret équipé de matériels de contrefaçon dont des ordinateurs, des imprimantes et des étiquetages de marques de pièces détachées d’origine ainsi que des copies d’étiquettes contrefaites.
Des boites d’emballage portant des marques mondiales de fabricants de véhicules ont été saisies. La valeur des pièces détachées de véhicules saisies lors de cette opération s’élève à 7 millions DA.
Le propriétaire de cet atelier âgé de 29 ans, qui importait des pièces de rechange de sociétés célèbres et d’autres inconnues en utilisant des subterfuges pour commercialiser les pièces de rechange à des prix doublés, a été arrêté.
Cette opération entre dans le cadre de la lutte contre le crime économique et a pour objectif de sécuriser les personnes à bord de véhicules surtout que plusieurs accidents de la circulation sont causés par l’utilisation de pièces détachées non conformes.
Par ailleurs, les éléments de la sureté de wilaya ont démantelé un réseau composé de 3 éléments âgés de 21 à 36 ans activant dans le domaine de vol d’engins de travaux publics des chantiers dont quatre volés ont été récupérés.
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L’unique représentant algérien en Coupe de la Confédération africaine de football, l’USM Alger affrontera les Egyptiens d’Al Masry Club en quarts de finale de l’épreuve, dont les matchs « aller » sont prévus le 16 septembre courant, alors que les matchs « retour » se joueront le 23 du même mois, suivant les résultats du tirage au sort effectué lundi soir au Caire (Egypte).
En cas de qualification, les Rouge et Noir affronteront en demi-finale, le vainqueur du chaud duel qui mettra aux prises l’AS Vita Club (RD Congo) et le RS Berkane (Maroc).
Les deux autres quarts de finale opposeront le CA Renaissance Aiglons (Congo) au Raja Casablanca (Maroc), et Rayon Sports (Rwanda) à Enyimba FC (Nigeria).
Le futur adversaire de l’USM Alger en quarts de finale relève de la province de Port Saïd. Il est drivé par l’ancien international Egytien Hossam Hassan, dont le frère jumeau, Ibrahim, a également porté le maillot des Pharaons.
Les demi-finales sont prévues le 3 octobre (aller) et le 24 du même mois (retour), alors que la finale, prévue également en aller et retour, se jouera les 25 novembre et le 2 décembre.
Programme des quarts de finale de la Coupe de la Confédération :
– Rayon Sports (Rwanda) – Enyimba FC (Nigeria)
– CA Renaissance Aiglons (Congo) – Raja Casablanca (Maroc)
– Al-Masry Club (Egypte) – USM Alger (Algérie)
– AS Vita Club (RD Congo) – RS Berkane (Maroc)
Les demi-finales :
– Vainqueur Rayon Sports – Enyimba contre Vainqueur CA Renaissance Aiglons
– Raja Casablanca
– Vainqueur Al Masry – USM Alger contre Vainqueur AS Vita Club – RS
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