H. Hichem
Pourquoi Adlene Guedioura ne fait plus partie de la liste de Belmadi ? Une question qui en remorque d’autres, qui n’ont pas pour objectifs de perturber la liste du sélectionneur, nous-dit-on, mais les fans de ces joueurs bénéficie de beaucoup d’éloges des Britanniques, notamment des médias et des supporters.Ils ne souhaiteraient pas qu’il y ait une cassure entre le terrain national et cet homme qui a évolué face à la Gambie, où il n’aurait pas fourni le meilleur jeu qui aurait fait la différence. Adlene se dit qu’il est «un joueur, un être humain où il y a des moments où on n’est pas en forme, cela ne veut pas dire que ne je ne suis pas honoré de porter le maillot de l’Equipe nationale». Un ex-international jugera Adlene, comme le joueur qui ressemblerait à des Mahrez ou Brahimi qui ne paraîssent pas sur le terrain et provoquent toute la nation qui crie sa colère sur ces joueurs qui ne produisent pas grand-chose sur le terrain. En janvier, l’international algérien est revenu à Forest après avoir accepté un accord qui le maintiendrait au City Ground jusqu’en 2020-21.
«Depuis qu’il a rejoint les hommes d’Aitor Karanka, l’ancien joueur du Sporting Charleroi a déjà marqué 13 fois en championnat et il est heureux de continuer son séjour avec l’équipe du championnat. En football, on ne sait jamais ce qui va arriver. Je ne pensais pas partir en premier lieu. Mais quand quelque chose de spécial se produit, quand vous vous sentez bien quelque part, vous voulez revenir» déclarait-t-il à un journal anglais «C’est pourquoi, je suis revenu et c’est pourquoi je suis très heureux d’être ici. C’est un de mes clubs préférés pour lequel j’ai joué». Ainsi Guedioura devrait être impliqué lors de la visite de la forêt de Nottingham au stade KCOM pour affronter Hull City.
Un média s’est aussi interrogé sur le «pourquoi Adlene Guedioura est devenu l’un des prénoms de la feuille d’équipe de Nottingham». Lors du premier passage d’Adlene Guedioura à Nottingham Forest, il était de trop, un homme de spectacle que de joueur d’équipe. Dans diverses interviews enregistrées auprès de ses coéquipiers, tous évoquent un Guedioura qui a amélioré son jeu jusqu’à devenir un homme incontournable. «J’ai toujours senti qu’il passait trop de temps à chercher cette longue balle parfaite. Quelqu’un m’a dit un jour que la passe la plus difficile à choisir était parfois la plus simple. Vous n’avez pas toujours besoin de chercher le ballon parfait.
Et c’est quelque chose qu’Adlene a évidemment appris pendant son séjour loin de City Ground. Parce que maintenant, quand on le voit jouer pour les Reds, il a trouvé le bon équilibre. En fait, il est un très bon fabricant de jeu. Il maintient le ballon en mouvement avec une simple passe quand il le souhaite et, de temps en temps, il tentera quelque chose de plus spectaculaire. Nous savons tous qu’il a ce meurtrier dans son casier, mais il a apparemment appris que ce n’est pas quelque chose qu’il doit essayer à chaque fois qu’il joue le ballon. Mais Guedioura a atteint le point où il doit être l’un des premiers noms de la feuille d’équipe. Guedioura, Yacob et Colback auront tous un rôle important à jouer. Et il est toujours un bon joueur et un homme qui sait ce qu’il faut pour réussir à ce niveau et au-dessus. Il a de la qualité.» Cet extrait d’une interview d’un de ses coéquipiers illustre parfaitement qu’il restera un joueur qui devra avoir sa place parmi les Verts qu’il a de tout honorés lorsqu’il est appelé.
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Les accidents de la route ont fait 26 morts, percutées par des véhicules, au cours des dix (10) premiers mois écoulés, dans la wilaya d’Alger, sur un total de 53 victimes déplorées dans la wilaya, a-t-on appris samedi d’une source à la Direction de wilaya de la Protection civile.
Le nombre d’accidents de la circulation enregistré dans la wilaya d’Alger, de janvier jusqu’à octobre dernier, a atteint 5019 accidents ayant fait 53 morts (38 hommes, 9 femmes et 6 enfants), et 5123 blessés, sachant que les accidents de la route où les victimes ont été percutées par des véhicules, ont causé le plus grand nombre de victimes (26 morts), a indiqué le Chargé de Communication à la Direction de wilaya de la Protection civile, le lieutenant Khaled Benkhalfallah, dans une déclaration à l’APS.
La même source indique qu’en ce qui concerne les victimes percutées par des véhicules, il a été enregistré 1139 blessés, 26 morts, contre 2148 blessés et 17 morts, suite au télescopage de véhicules, ainsi que 275 blessés et 4 morts, victimes de renversement de véhicules, outre 1561 blessés et 6 morts, suite à d’autres accidents.
Le nombre d’interventions enregistré, au cours des 10 premiers mois écoulés de l’année en cours 2018 à Alger, en matière de secours et d’évacuation, a atteint 43.002 interventions lors desquelles, 34.333 personnes ont été secourues, mais 975 décès sont à déplorer, précise-t-on de même source.
D’après le bilan des interventions de la Protection civile d’Alger, les services mêmes services ont effectué 7784 interventions et ont fait état, de 4062 incendies, au cours desquels 139 victimes ont été secourues et 5 victimes déplorées. Quant au nombre des incendies industriels survenus dans la capitale, ils sont au nombre de 3, contre 230 incendies urbains.
Le nombre total des feux de végétaux, de forêts, de récoltes et de palmiers dans la wilaya, s’élève à 2411, outre 458 divers véhicules, ainsi que 14 engins, ayant pris feu.
D’autre part, 2207 personnes ont été secourues, dont des personnes sans abris, souligne-t-on de même source.
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Les services de la gendarmerie de la wilaya d’El Tarf ont arrêté, récemment, un dangereux criminel qui faisait l’objet de dix (10) mandats d’arrêt pour divers crimes et délits, a-t-on appris samedi auprès de ce corps de sécurité.
Se déployant dans le cadre de leurs activités visant la lutte contre la criminalité dans toutes ses formes, les gendarmes ont intercepté un véhicule, immatriculé dans la wilaya d’Annaba, « en stationnement suspect sur la route menant à la daïra de Dréan », a ajouté la même source, détaillant qu’après vérification d’usage de l’identité du conducteur, il s’est avéré que le conducteur était un criminel activement recherché.
L’individu en question, répondant aux initiales A.D, âgé de 37 ans, fait l’objet de mandat d’arrêt pour, entre autres, homicide volontaire, vol de bétail, non-assistance à personne en danger, tentative de cambriolage, coups et blessures, a-t-on précisé.
Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Dréan, le mis en cause dans ces affaires criminelles a été placé sous mandat de dépôt, a-t-on indiqué de même source.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Youssfi, a annoncé, samedi à Oran, l’étude de la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet (dans le sud-ouest du pays).
Inaugurant la 3e phase d’investissement au complexe d’acier de l’opérateur turc « Tosyali », le ministre a déclaré « nous avons entamé l’étude sur la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet en adéquation avec le développement de la dynamique de fabrication de l’acier en Algérie », soulignant qu’il est nécessaire de réfléchir à l’exploitation de la mine de Ghar Djebilet.
« Nos capacités productives actuelles estimées à 5 millions de tonnes/an de fer et d’acier atteindront 12 millions de tonnes dans 4 à 5 années et 16 millions à l’horizon 2030, ce qui nécessite de fournir 20 millions à 25 millions de tonnes/an », a-t-il ajouté.
Youcef Yousfi a estimé que l’exploitation des mines d’El Ouenza et de Khadra, dans l’Est du pays, « ne peuvent pas couvrir les besoins pour développer l’aciérie et la sidérurgie », d’où la nécessité de réfléchir à la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet. « Faisons que ce grand projet dans le Sud-ouest équivaut à celui du phosphate dans l’Est du pays. Deux projets qui peuvent opérer un immense changement au développement économique des deux régions », a-t-il soutenu.
« Nous demandons à nos partenaires, spécialisés dans ce domaine, surtout dans l’aciérie à contribuer à réfléchir au projet de l’exploitation de la mine Ghar Djebilet », a indiqué le ministre.
Par ailleurs, Youcef Yousfi a mis en exergue l’importance de la 3e phase d’investissement au complexe Tosyali qui traitera des minerais, saluant la programmation d’une 4e phase d’investissement permettant d’atteindre une capacité productive de 6 millions de tonnes/an dans deux ans et demi.
Le ministre a affirmé, dans ce cadre, que Tosyali satisfait les besoins nationaux en ce produit, valorisant l’exportation de son surplus.
Youcef Yousfi a annoncé que la quatrième phase permettra de couvrir d’autres besoins du marché national, de se diriger vers l’exportation pour toucher les marchés étrangers et de satisfaire les besoins de l’industrie automobile en Algérie.
Le ministre a, au passage, appelé à réhabiliter cet investissement pilote reflétant le développement de l’industrie algérienne à la faveur de la politique du pays qui encourage les investissements nationaux et étrangers, sur laquelle veille le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
« La dynamique que connait l’investissement de l’opérateur Tosyali est le meilleur exemple de l’encouragement de l’Algérie à l’investissement », a-t-il déclaré dans ce sens, tout en exprimant sa satisfaction quant au développement de l’industrie algérienne de manière continue.
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Le Directeur du Crédit et de la Régulation bancaire à la Banque d’Algérie (BA), Mohamed Lahbib Koubi a indiqué, samedi à Alger, que le taux d’épargne nationale en circulation en dehors des banques était estimé à 31% de la masse monétaire en Algérie.
Intervenant lors du premier Symposium algérien sur les Assurances et la Finance islamiques (SAAFI 2018), M. Koubi a qualifié cette part de « très élevée », préconisant de drainer ces ressources vers les banques pour mieux financer l’activité économique notamment en matière d’investissement.
« Dans un contexte caractérisé par un défaut de ressources bancaires conventionnelles, la collecte des ressources via la diversification et l’adaptation des produits d’épargne et de financement afin de répondre aux attentes de l’ensemble des opérateurs et citoyens, s’avère une nécessité impérieuse pour l’économie nationale », a-t-il soutenu.
A ce propos, le responsable a fait état d’un nouveau règlement devant être publié prochainement dans le journal officiel, un texte définissant les règles applicables aux produits dits participatifs, approuvé le 4 novembre par le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC).
Ce système définit ces produits et leur cadre procédural, tout en les distinguant des activités bancaires conventionnelles.
M. Koubi a estimé que ce nouveau texte, élaboré par la BA, ne prenait pas en compte toutes les opérations bancaires participatives à l’instar des opérations en Open Market et des opérations interbancaires, ce qui requiert « de fournir davantage d’efforts afin d’aboutir à de nouveaux textes complémentaires à l’arsenal juridique et encadrer l’ensemble du financement participatif ».
Pour ce faire, une méthode proposée par la BA a été adoptée, basée sur les principes de la graduation dans l’application, la consultation dans l’élaboration, et l’inclusion de l’ensemble des opérateurs économiques et sociaux.
Le responsable a estimé, par ailleurs, que la mise en place d’un cadre organisationnel et comptable complémentaire couvrant cette activité « prendrait plus de temps et requerrait un souffle long et plus d’efforts, de patience et de persévérance ».
La réussite du projet du financement participatif repose également, selon M. Koubi, sur l’efficacité d’un personnel qualifié et formé de manière « suffisante et globale ».
Lors des travaux du symposium, des représentants des banques ont relevé une hausse de la demande sur ce genre de produit, puisque les actifs des banques « Al Baraka » et « Essalem » -seules banques islamiques activant en Algérie- ont atteint respectivement 270 milliards de dinars et 100 milliards de DA.
Concernant l’assurance islamique « Takaful », Mohamed Benarbia, directeur de Salama assurances Algérie, la seule compagnie qui active dans ce domaine en Algérie, a fait observer le manque d’outils juridiques permettant sa croissance, étant actuellement encadrée par les lois destinées aux assurances conventionnelles.
M. Benarbia a déploré s’est plaint du fait que les textes actuels imposent à son entreprise, à l’instar des autres compagnies d’assurances l’investissement de 50% de ses actifs dans les bons de trésor adossés d’intérêts même si celle ci n’est pas conforme à la charia, en l’absence de sukuks sur la place financière algérienne, ce qui impose la déduction des rendements de ces investissements des résultats financiers de cette compagnie.
Le responsable a évoqué l’absence de compagnies de réassurance Takaful et l’existence de deux banques islamiques sur la scène financière algérienne, en dépit du fait que le règlement impose la diversification des banques qui traitent avec les compagnies d’assurance pour réduire les risques.
Pour combler ce vide législatif, le conseil national des assurances (CNA) a récemment proposé une série de mesures pouvant être introduit lors de la prochaine révision du code des assurances pour traiter ces insuffisances, selon le même intervenant.
De son côté, le directeur général de la Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV), Yazid Benmouhoub a précisé que la Bourse d’Alger s’intéresse au lancement des sukuk, toutefois la législation en vigueur ne le permet pas.
La bourse s’attelle actuellement en collaboration avec un laboratoire relevant de l’Université de Sétif à « élaborer un projet portant sur une nouvelle approche organisationnelle qui sera présentée à la commission de surveillance des opérations en bourse (COSOB) pour défendre un éventuel lancement des sukuk.
M. Benmouhoub a mis l’accent sur le rôle de la Bourse dans le financement de l’économie notamment dans le cadre du recul de la liquidité monétaire de 75% suite au choc pétrolier subi par l’Algérie.
Il a, par ailleurs, révélé que la Bourse d’Alger sera totalement numérisée début 2019 et que les opérateurs pourront gérer les opérations boursières de manière électronique.
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Après le rejet de leurs revendications par le ministère des Affaires religieuses, et en vu des problèmes socioprofessionnelles qui mettent en déficit le cadre de vie et le travail de l’imam, le Syndicat national des imams accélère le ton et menace d’une grève pour faire entendre leurs revendications.
En effet, le porte-parole et secrétaire général du Syndicat des imams Djelloul Hadjimi, a dénoncé vivement l’attitude du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a catégoriquement rejeté la revendication d’augmentation de salaires. Mais Djelloul Hajdimi assure que les revendications des imams ne se limitent pas à la question salariale. Il s’agit de revendications plus larges et plus globales directement liées au cadre du travail de l’imam et aux moyens matériels mobilisés pour lui permettre de réussir sa mission. Djelloul Hadjimi impute l’entière responsabilité au ministère de tutelle en cas de recours à des actions de protestation. Il n’écarte d’ailleurs pas le recours à des actions de rue. Le secrétaire général du syndicat des imams se dit «étonné» par la réaction du ministre des Affaires religieuses, qualifiant d’erreur «la fermeture des portes du dialogue» afin de trouver «ensemble» des solutions adéquates aux problèmes des imams qui persistent depuis de très longues années. Selon le même responsable, les imams n’ont réclamé que leurs droits ignorés depuis de longues années. La revalorisation salariale, le logement de fonction, un véhicule de service et plus de sécurité sont autant de revendications soulevées par le Syndicat des imams.The post Le Syndicat des imams menace d’une grève ! appeared first on .
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En l’espace de dix ans, la wilaya de M’sila qui s’apprête à abriter les festivités du 44ème anniversaire de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA), est passée du statut de région pastorale à celui de pôle agricole par excellence, et de la 34ème à la 14ème place à l’échelle nationale en matière de production de légumes, a-t-on appris de la direction locale des Services agricoles (DSA).
La filière lait a enregistré un développement « considérable » avec une production annuelle de l’ordre 80 millions de litres, actuellement, dont 30 millions sont livrés à trois laiteries situées au chef-lieu de wilaya et dans la commune de Bousâada, a précisé la même source.
Ce développement a été rendu possible grâce aux mesures incitatives établies en direction des éleveurs bovins, consistant à ce que les vaches laitières soient achetées par les transformateurs puis octroyées aux éleveurs contre le remboursement du prix d’achat en production laitière, selon la DSA qui a souligné que ces mesures ont déjà fait leur preuve dans deux laiteries privées de la wilaya de M’sila et Béjaia.
La filière viande n’est pas en reste, puisque la capitale du Hodna occupe la troisième place à l’échelle nationale en matière de viandes rouges avec une production annuelle de plus de 160 000 quintaux et s’ajoute à cela une production avicole de plus de 140000 qx, a-t-on fait savoir.
Bien que la wilaya de M‘sila ne soit pas répertoriée parmi les wilayas versées dans la céréaliculture, le soutien de la DSA aux agriculteurs de la wilaya laisse présager une production céréalière de plus de 200 000 qx de céréales au titre de l’exercice 2018-2019, soit une hausse de près de 40000 qx par rapport à la saison précédente, a-t-on encore noté.
La même source a expliqué cette hausse de la production céréalière par l’intensification des campagnes de vulgarisation agricole mettant en avant les méthodes modernes utilisées dans l’agriculture intensive, en plus de l’extension des surfaces dédiées aux céréales et le recours à une gestion optimale de l’irrigation.
Dans ce contexte, plus de 3400 exploitations agricoles de la wilaya de M’sila ont fait l’objet d’opérations de modernisation et de réaménagement au cours des cinq dernières années, a-t-on encore appris de la DSA.
Ces opérations de remise à niveau se sont traduites par le forage de puits profonds, l’installation de nouveaux systèmes d’irrigations, la réalisation de bassins et le renouvèlement du parc d’engins mécaniques.
Pour ce faire, plus de 214 millions de DA ont été débloqués et plus de 10 000 emplois saisonniers créés, voyant ainsi la production de légumes passée de moins d’un million de quintal en 2012 à 2,5 millions de qx en 2018, a-t-on conclu.
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Le président du parti Tajamoue Amal Jazair (TAJ), Amar Ghoul, a affirmé samedi à Alger que le parti tiendrait son 1er premier congrès national du 13 au 15 décembre.
Animant une conférence de presse au niveau du siège de son parti, M. Ghoul a fait savoir que cette date « a été arrêtée après finalisation des différents congrès régionaux organisés par le parti en préparation de cette rencontre nationale décisive pour le parti ».
Les participants à ce congrès évoqueront, selon le premier responsable du parti, les « solutions proposées par TAJ face aux différents défis sécuritaires et socio-économiques »
Aussi, il a indiqué que ce rendez-vous se penchera sur « les méthodes de généralisation de la langue amazighe qui fait partie intégrante des fondements de l’identité nationale », saluant dans ce sens les différentes décisions prises par le président de la République en la matière ayant permis de fermer la porte devant ceux qui ont voulu en faire un « fond de commerce ».
A une question sur la présidentielle 2019, M. Ghoul a indiqué que son parti « examinera ce dossier à l’occasion de la tenue de son premier congrès ».
Par ailleurs, le même responsable a présenté un exposé sur le parcours du parti qui, selon lui, œuvre à « la consolidation des institutions de l’Etat ».
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Les participants au 3ème congrès afro-international d’allélopathie, organisé, samedi à Blida, ont plaidé pour l’impérative adoption des projets de recherche universitaire en matière de plantes médicinales et aromatiques, en vue d’ »en tirer profit ».
Les intervenants à cette manifestation de deux jours, organisée par le laboratoire de recherche des plantes médicinales et aromatiques en collaboration avec la Faculté des sciences de la nature et de la vie de l’Université Saàd Dahled de Blida, ont souligné l’existence de nombreuses études réalisées par des universitaires nationaux, susceptibles, selon eux, d’être mises à profit dans l’économie nationale « pour peu qu’elles (études) soient exploitées dans l’industrie pharmaceutique, médicinale ou de beauté », ont-ils soutenu. Ils ont déploré le fait que toutes ces « recherches demeurent au stade théorique », constituant une « perte considérable pour le secteur ».
« Une base de données sur les personnes activant dans ce domaine (plantes médicinales et aromatique) , en Algérie, a été réalisée dernièrement par le laboratoire de recherche des plantes médicinales et aromatiques de l’université de Blida, en perspective de son exploitation, dans des projets de distillation et d’exaction d’huiles et d’essences », a signalé, à l’occasion, Moumeme Saida, chercheuse au niveau de ce laboratoire.
Pour elle, ce « travail colossal », n’a pas eu l’impact souhaité auprès des services concernés, appelant les autorités publiques « à appuyer cette démarche scientifique et à l’exploiter, afin de contribuer à la relance de l’économie nationale »
Quant à la responsable du même laboratoire, Allal Benfekih Leila, elle a souligné l’action de cette structure en vue, a-t-elle dit, d’ « instaurer un climat propice à des recherches et innovations en matière de plantes », dans le but d’arriver à un « produit naturel (bio) de haute qualité ».
Ce premier congrès du genre, en Algérie, a pour objectifs de réunir et mettre en contact des chercheurs des domaines de l’allélopathie de différents pays (Algérie, Tunisie, Pakistan, Japon), tout en mettant en lumière l’état actuel de la recherche en la matière, a indiqué la même responsable .
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Le projet de Loi de finances (PLF) 2019 sera présenté en plénière dimanche 25 novembre au Conseil de la nation par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, et sera débattu le même jour et le lundi par les membres de cette institution parlementaire, indique un communiqué du Conseil.
Les séances plénières consacrées à cet effet débuteront dimanche 25 novembre avec la présentation du PLF 2019 par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, suivies des débats entre les membres du Conseil.
A rappeler, le Conseil de la nation avait indiqué dans un précédent communiqué, que la réponse du ministre aux préoccupations des membres du Conseil de la nation est programmé pour la journée du lundi 26 novembre, tandis que la séance plénière consacrée à l’adoption du projet de loi en question aura lieu mercredi 28 novembre.
Pour rappel, les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté à la majorité, le projet de loi de finances 2019, mi-novembre en cours.
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Le porte-parole du Rassemblement National Démocratique (RND), Seddik Chihab, a estimé, samedi à Oran, que les différents programmes gouvernementaux ont permis de faire barrage, de manière définitive, à toutes les sources de sous-développement.
« Les différents programmes gouvernementaux ont permis de faire barrage, de manière définitive, à toutes les sources de sous-développement par la mobilisation de tous les moyens pour garantir la réussite de l’ensemble des projets de développement dans tous les domaines », a-t-il souligné, lors d’un conseil de wilaya du RND, élargi aux cadres du parti.
Dans ce contexte, il a mis en exergue la nécessité d’aller de l’avant sur la voie du développement global et de poursuivre la réalisation des grands projets devant assurer la sécurité au pays, loin des dangers des crises structurelles mondiales et leurs conséquences.
Le porte parole du RND n’a pas manqué de revenir sur les réalisations de l’Algérie, durant ces deux dernières décennies, dans tous les domaines, permettant à l’Algérie de « réaliser un taux de développement appréciable et un saut qualitatif, sous la direction éclairée du président de la République, Abdelaziz Bouteflika ».
Seddik Chihab a, à cette occasion, rappelé les positions « stables » du parti depuis sa création, mobilisant ses troupes pour la défense du pays et garantir la continuité des institutions de l’Etat et d’aller en avant dans le sens du développement.
Auparavant, un documentaire résumant les principaux projets dont a bénéficié la wilaya d’Oran dans divers secteurs, durant ces deux dernières décennies, a été projeté en marge de cette rencontre partisane.
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Une cache d’armes et de munitions a été découverte samedi par un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes, au cours d’une opération de reconnaissance et de fouille menée au niveau de la zone frontalière de Bordj Badji Mokhtar, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières et grâce à l’exploitation de renseignements, et lors d’une opération de reconnaissance et de fouille menée au niveau de la zone frontalière de Bordj Badji Mokhtar (6ème Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes, a découvert, aujourd’hui 24 novembre 2018, une cache d’armes et de munitions », note la même source.
Il s’agit d' »un fusil mitrailleur de type FM , d’un pistolet mitrailleur de type kalachnikov, de trois fusils semi-automatiques de type simonov, d’un fusil à répétition, de 866 balles de différents calibres ainsi que 71 kilogrammes de kif traité ».
« Cette opération de qualité vient s’ajouter à l’ensemble de résultats concrétisés sur le terrain et confirme la grande vigilance et la ferme détermination des Forces de l’ANP, mobilisées le long des frontières, à déjouer toute tentative d’intrusion, d’introduction d’armes ou d’atteinte à la sécurité et la stabilité du pays », ajoute le communiqué du MDN.
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La victimologie doit être enseignée et reconnue comme module, pour une meilleure prise en charge des femmes victimes de violences, a insisté samedi à Alger, la présidente de l’association Avife/RéseauWassila, Wahiba Mammeri Oussedik.
« La victimologie n’a pas son module dans l’enseignement et sa spécificité, étant la science de la victime, n’est pas bien prise en charge », a précisé Mme Oussedik, à l’occasion d’une Journée d’étude à la veille de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, organisée sous le thème « Plaidoyer pour la reconnaissance de la victimologie ».
Elle a souligné que cette spécialité pourrait grandement contribuer à une meilleure prise en charge des femmes violentées, et à mieux lutter contre le fléau de violence envers la femme.
Mme Oussedik a relevé, d’autre part, que « de grandes avancées ont été enregistrées en matière d’égalité entre l’homme et la femme, un volet consacré, notamment, par la Constitution. Mais sur le terrain, on ne trouve pas la même connotation, à cause, notamment, des comportements et des mentalités qui caractérisent la société algérienne », a-t-elle fait observer, soutenant qu' »il y’a encore beaucoup de travail à faire pour changer les choses ».
Elle a mis, à cet égard, l’accent sur le rôle de « la communication pour aller de l’avant, à travers un débat constructif des principaux acteurs concernés comme la Justice, la Santé, l’Enseignement et la Solidarité, et aussi en matière d’éducation et d’information ».
Pour l’association Avife/RéseauWassila, les violences à l’encontre des femmes, « véritable urgence sociale, méritent un traitement et une prévention différents, coordonnés, inscrits dans une politique d’aide aux victimes visant par exemple à l’élaboration et l’application de protocoles nationaux de prises en charge spécifiques des victimes (viol entre autres) ».
A ce propos, « il est temps que la victimologie sorte de l’improvisation, de la dispersion et d’un suivi à court terme et qu’elle sorte aussi du champ exclusif de l’action humanitaire. Elle doit être institutionnalisée, enseignée, structurée, la victime, sujet de droit étant au centre d’actions pluridisciplinaires concertées ».
L’objectif de cette journée d’étude est de « poser les bases d’une collaboration dans la durée avec l’espoir d’apporter des réponses concrètes aux besoins multiples des femmes victimes », souligne l’association.
Plusieurs thèmes sont débattus à l’occasion de cette rencontre, parmi lesquels « l’Autodéfense féministe: un autre regard sur la victime », « Historique de la victimologie en Algérie et expérience du Réseau/Avife », « L’accompagnement juridique: la clé pour la reconnaissance de la victime par la justice », et « La victimologie: expériences algériennes ».
Les travaux portent également sur « La victimologie: échange de pratiques », « La victime de violences: les fondamentaux pour sa prise en charge globale d’après l’expérience du légiste », l' »Evolution et perspectives de la victimologie et de l’aide aux victimes ».
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Le gouvernement d’union libyen a condamné vendredi une série d’attaques contre Tazerbo, ville du Sud-est du pays, qui ont fait au moins huit morts et plus d’une quinzaine de blessés.
« Le Conseil présidentiel du gouvernement de l’Accord national condamne fermement l’attentat qui s’est produit aujourd’hui au poste de police de Tazerbo », a déclaré le gouvernement dans un communiqué.
Le gouvernement a appelé à « s’unir contre le terrorisme, affirmant qu’il ferait son maximum pour l’éliminer ».
Un responsable militaire, cité par des médias locaux, avait confié que plusieurs dizaines d’hommes armés à bord de véhicules de combat avaient perpétré des attaques distinctes contre le poste de police et plusieurs édifices gouvernementaux de Tazerbo, tuant huit personnes et en blessant plus de 15 autres.
Le responsable avait confirmé que les hommes armés avaient également enlevé des dizaines de personnes en fuyant la zone.
Par ailleurs, les éléments armés « semblaient être » du groupe autoproclamé « Etat islamique » (Daech/EI), qui avait mené une attaque similaire le mois dernier dans le district centre de Jufra, situé à 650 km au sud-est de Tripoli, toujours selon la même source.
Tazerbo est une petite ville-oasis du sud-est de la Libye. On y trouve l’une des principales sources d’eau souterraine des villes du Centre et de l’Ouest de la Libye.
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Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a décidé samedi de créer une instance des femmes progressistes avec pour objectif d' »organiser les luttes et impulser les combats en faveur de l’égalité en droits », selon le président du parti, Mohcine Belabbas.
Intervenant à l’ouverture du congrès constitutif des femmes progressistes du RCD, M. Belabbas a indiqué que la tenue de cette rencontre constitue un « moment fort » dans la vie du parti, soulignant que la création de cette instance « vient concrétiser une des recommandations du dernier congrès du RCD ».
« Il s’agit pour cette nouvelle instance d’initier et de participer à l’élaboration des politiques sur les difficultés et les enjeux sociaux et économiques qui concernent la vie des femmes », a-t-il précisé, relevant que « dans cette optique, le volet de la sensibilisation, qui a pour objectif de faire progresser la prise de conscience collective dans le sens de l’égalité et de la justice, doit être encadré, suivi et évalué régulièrement ».
Pour le président du RCD, « le temps est à la vigilance et à la participation de toutes les Algériennes et de tous les Algériens dans les mobilisations et les luttes pacifiques pour les libertés publiques et syndicales afin de renforcer les segments d’émancipation et de progrès ».
Par ailleurs, s’exprimant lors d’un point de presse en marge de ce congrès, M. Belabbas a indiqué, au sujet de l’appel du RCD à la parité hommes et femmes dans tous les domaines, y compris dans l’héritage, que son parti « assume totalement ses engagements, car il a toujours prôné l’égalité entre les deux sexes en droits et en devoirs ».
A une question sur la participation du RCD à l’élection présidentielle de 2019, M. Belabbas a indiqué qu’il « ne lui appartient pas personnellement de trancher définitivement la question », relevant, toutefois, que « la question a été abordée lors du dernier Conseil national du parti en septembre dernier ».
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Des violences ont éclaté dans la matinée sur les Champs-Elysées à Paris, l’une des plus belle avenue du monde, entre les « gilets jaunes » et les forces de l’ordre, offrant une image d’insurrection en plein cœur de Paris.
Au moment où la « bataille » des Champs-Elysées se poursuit entre les manifestants, infiltrés par des groupes de l’ultra-droite, et les forces de l’ordre, les réseaux sociaux, d’où le mouvement a émergé, sont devenus un véritable champ de bataille à travers lesquels politiques, citoyens et manifestants, ceux-là même qui ont reçu des instructions de tout filmer et diffuser, s’expriment et livrent leurs impressions.
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Le ministère de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme a lancé récemment une base de données consacrée aux femmes victimes de violences ou en détresse, dans le but de moderniser le mécanisme de collecte des données, d’élaborer des rapports statistiques et des programmes plus ciblés en matière de prise en charge de cette catégorie, a-t-on appris, samedi, auprès du ministère.
L’objectif de ce nouveau mécanisme est de moderniser la collecte des données et d’élaborer des rapports statistiques sur les cas de femmes violentées ou en détresse, en sus d’unifier les efforts et de développer des plans d’action favorisant la mise en place de programmes adéquats et plus ciblés pour une meilleure prise en charge de cette catégorie, indique la même source.
Dans ce cadre, un module a été introduit dans le cursus de formation des étudiants, essentiellement dans les spécialités liées à l’action sociale, au niveau du Centre national de formation des personnels spécialisés (CNFPS), basé sur « les mécanismes d’orientation et d’accompagnement des femmes victimes de violences et de leurs enfants », a ajouté le ministère, précisant que 22 encadreurs ont bénéficié d’une formation sur ces mécanismes.
Dans le cadre des mesures d’accompagnement destinées à cette catégorie, des espaces ont été créés au niveau des directions de l’action sociale et de la solidarité (DASS) à travers les wilayas, encadrés par des équipes pluridisciplinaires composées de psychologues, de juristes, de médecins et d’assistants sociaux, a souligné le ministère, faisant état de la prise en charge, au niveau de ces espaces, de 1.128 victimes de violence durant le premier semestre 2018.
Afin de faciliter l’intégration socioprofessionnelle des femmes violentés et celles se trouvant en situation difficile, le ministère a initié une série de mesures leur permettant de bénéficier de programmes de qualification pour l’acquisition de compétences dans quelques métiers et de bénéficier de crédits dans le cadre de l’Agence nationale de gestion du microcrédit (ANGEM)
Par ailleurs et dans l’objectif d’accorder davantage d’efficacité au volet prise en charge, il a été procédé à la création de Centres d’accueil pour jeunes filles et femmes victimes de violences et en situation de détresse, et ce conformément au décret exécutif n 182-04 du 24 juin 2004 portant création, organisation et fonctionnement de ces centres.
Localisés à Tipaza, Mostaganem et Annaba (en cours de réalisation), ces centres ont pour objectifs d’assurer l’hébergement, la prise en charge médicale, l’accompagnement des cas enregistrés et l’intégration sociale à travers des sessions de formation, des cours d’alphabétisation et les programmes d’emploi mises en place par l’Etat et ce en fonction de la situation de chaque résidante, a fait savoir la même source, précisant, à cet égard, que 217 cas de femmes violentées ou en situation de détresse avaient été prises en charge au niveau des deux centres (Tipaza et Mostaganem) au cours du premier semestre 2018.
Le secteur de Solidarité nationale dispose également d’autres centres d’accueil provisoire au profit de cette frange de femmes notamment les établissements de « Diar Errahma » et leurs annexes se trouvant dans les wilayas d’Alger (Bir Khadem), Constantine, Oran et Skikda.
Dans le cadre des politiques adoptées en faveur de la protection des femmes violentées, une stratégie nationale de lutte contre la violence faite aux femmes a été élaborée en 2017 en coordination avec les différents intervenants concernés par la condition de la femme afin de lutter contre toute forme de discrimination et de violence touchant cette catégorie. En plus des mesures devant assurer à la femmes une protection, une prise en charge et une assistance juridique, cette stratégie prévoit aussi l’organisation de campagnes de sensibilisation en vue d’encourager la lutte contre cette violence.
A cet effet, il a été procédé à l’installation de la commission nationale chargée du suivi de la mise en œuvre de cette stratégie composée de représentants relavant des secteurs ministériels, des instances, des associations nationales concernées, de la Gendarmerie nationale et de la Sûreté nationale outre des enseignants universitaires et des juristes et ce, pour cordonner toutes les activités liées à ce domaine.
Par ailleurs, la même stratégie a été appuyée par un plan exécutif visant la mise en place de plans sectoriels pour définir les interventions prioritaires, un plan basé sur le soutien au potentiel technique et institutionnel des différents partenaires en vue de se prévenir contre la discrimination et la violence faites au femmes à même de leur assurer une prise en charge adéquate. Ce plan repose sur trois axes essentiels à savoir, la qualité de la prise en charge, l’information et la sensibilisation et le soutien à la prévention.
Pour renforcer les domaines d’accompagnement au profit des femmes violentées et celles en situation de détresse, des services de médiation familiale ont été mis en place au sein des directions de l’action sociale (DASS) relevant du secteur pour régler les conflits familiaux à l’amiable et par voie de conciliation dans le but de protéger la femme contre toute sorte de violence en lui assurant un environnement propice d’autant qu’elle représente un élément essentiel dans la préservation de stabilité familiale.
Pour rappel, un séminaire sera organisé dimanche par le ministère de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme, à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, célébrée le 25 novembre de chaque année, avec la participation de plusieurs experts et spécialistes outre des représentants des secteurs concernés par les domaines de prise en charge.
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