Depuis la présentation du Concept Santa Cruz au Salon de Detroit 2015 par Hyundai, augurant l’arrivée d’un pick-up au sein de la gamme du constructeur sud-coréen, on savait que la version de série arriverait en 2020 mais on apprend que cela ouvrira également la porte pour un pick-up Kia.C’est ce qu’en effet rapporte autocar en citant le tout nouveau responsable du design du groupe, Luc Donckerwolke, les pick-up des deux marques, design est déjà arrêté depuis quelque temps, reprenant la base du Santa Cruz.
Pour rappel, les concessionnaires américains de Hyundai plaident depuis un certain temps pour un investissement du groupe dans les SUV et les pickup, prenant acte de l’érosion de la demande pour des berlines telles que la Sonata et l’Elantra, des modèles qui ont longtemps porté la marque aux États-Unis. Mais reste à savoir si le groupe sud-coréen optera pour des pick-up fullsize et se refermer au nez la porte de l’Europe ou bien une offre de taille plutôt moyenne ou même petite, jouant plus la carte des véhicules de la polyvalence et du loisir, une alternative aux berlines ou aux utilitaires, avec un volume de chargement moyen mais qui suffira aux jeunes sportifs ou aux adeptes des sorties en famille.
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L’artiste portugais Alexandre Farto s’est inspiré de la coupe du SUV le plus urbain de SEAT pour créer une sculpture unique. Quinze tonnes de ciment, d’acier, de silicone et de fibre de verre ont donné naissance à cette œuvre d’art.
Exposée au Musée d’art urbain contemporain de Cascais, l’Arona en ciment a pour vocation d’immortaliser le design du véhicule. « Je voulais en quelque sorte immortaliser le design d’une voiture », confie Alexandre Farto, plus connu sous le pseudonyme Vhils. Cet artiste de rue portugais a donné à l’une de ses dernières œuvres, baptisée Tangible, la forme d’une sculpture de quinze tonnes de ciment qui réinterprète le design de la SEAT Arona. Voici comment il a conçu et concrétisé cette œuvre unique pendant une année entière : Trois mois pour concevoir le moule initial en trois dimensionsComme les concepteurs de voitures, cet artiste de renommée mondiale commence ses projets avec un crayon et une feuille de papier. Ensuite, il confirme leur faisabilité à l’aide de technologies virtuelles. « Je n’avais jamais travaillé avec une voiture auparavant, et c’est précisément ce que je voulais faire depuis un bon moment. Cette collaboration constituait donc pour moi une superbe occasion, une synergie », assure-t-il.La manipulation du cimentSelon Vhils, le défi consistait à sculpter une œuvre de grande envergure avec un matériau difficile à façonner. « J’aime utiliser des matériaux rustiques », ajoute-t-il. En tout, il a utilisé 15 tonnes de ciment, de fibre de verre et de silicone. La construction du moule a demandé une structure en acier de base. Les roues ont été réalisées séparément, et chacune d’entre elles pèse 100 kilos.Une voiture avec un effet 3D
La partie avant de la sculpture reproduit les lignes de l’Arona, tandis qu’à l’arrière, « on peut voir plusieurs buildings horizontaux qui forment un œil soulignant l’importance du regard. De loin, on dirait que la voiture trace un sillage en roulant », explique-t-il.
Un fossile d’ici cent ans
C’est comme cela que Vhils souhaite que l’on redécouvre cette version unique de l’Arona dans un siècle. « Je suis extrêmement fier de cette œuvre, non seulement pour sa complexité technique, mais aussi car elle a été créée pour résister à l’épreuve du temps », dit-il. Selon l’artiste, Tangible sera un témoin de la société actuelle. « Je voulais non seulement immortaliser le design d’une voiture, mais aussi “fossiliser” la relation entre les villes et leurs habitants », conclut Vhils, qui n’hésite pas à positionner la voiture comme un élément de liaison vital.
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Le Kia Sportage facelift issu de l’usine Gloviz/Kia de Batna qui fera ses grands débuts au salon Autowest d’Oran, en compagnie d’autres nouveautés, s’expose déjà au sein des showrooms du réseau Kia Al Djazaïr.
Restylé au mois de mai dernier, le Kia Sportage restylé rejoindra officiellement l’offre de Kia Al Djazaïr dimanche prochain mais se trouve désormais visible au sein du réseau de Kia Al Djazaïr, du moins dans sa finition GT-Line 4×4 , animée par le 2.0 CRDi 178ch BVA8 et dont le tarif avoisinerait les 5 millions de DA, certains agents annonçant 4.970.000 DA, même si le prix officiel sera annoncé dimanche et qu’un prix qui irait chercher le Seat Ateca FR n’est pas à écarter.
Les améliorations du design extérieur sportif du Sportage incluent de nouveaux pare-chocs avant et arrière, ainsi que des feux avant et arrière redessinés et de nouveaux modèles de roues en alliage de 16, 17 et 19 pouces. Le seuil en chrome , des sabots de protection métalliques ainsi que cinq nouvelles couleurs de peinture sont également proposés. La finition GT-Line se caractérise surtout par la nouvelle interprétation des feux diurnes à LED “Ice-Cube” et des pare-chocs à l’aspect plus agressif.
L’habitacle reçoit un nouveau volant, une planche légèrement revisitée et de nouvelles selleries, la GT-Line s’offrant également un nouveau cuir bicolore noir et gris ou en cuir noir optionnel avec des accents rouges. La dotation se veut plus riche avec l’apparition du Smart Cruise Control avec Stop & Start, la caméra 360°, le détecteur de fatigue et autre nouveau système d’infotainement de 7″ ou de 8″, ce dernier étant sans cadre. C’est d’ailleurs cet écran de 8″ qui trône sur la finition GT-Line et qui fait office d’atout supplémentaire dans la dotation du Sportage qui embarque également des équipements quasiment identiques à la version sortante :
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Modèle proche de la série, le nouveau modèle de compétition Porsche 911 GT2 RS Clubsport a été présentée en première mondiale à l’occasion du salon de l’automobile de Los Angeles.
La version de course du modèle homologué pour la route, la 911 GT2 RS*, développe 700 ch et sera produite à 200 exemplaires. Ce modèle de compétition est conçu pour participer aux événements sportifs de la marque, à des essais privés sur circuit ou des événements de sport automobile.
La technologie de ce modèle de course développé à Weissach est issue de la 911 GT2 RS, comme c’est le cas également pour la 935 présentée il y a deux mois environ. Ces deux modèles de course sont équipés du même moteur que celui du modèle de série dont ils sont issus : un moteur biturbo 6 cylindres à plat de 3,8 litres de cylindrée. Une boîte de vitesse à double embrayage 7 rapports PDK, à suspension rigide, permet de transmettre la force motrice aux roues arrière de 310 mm de large. Comme sur toutes les déclinaisons de course de la 911, le pilote peut changer de vitesse via des palettes au volant.
À l’avant, les étriers monobloc 6 pistons en aluminium, associés aux disques de frein rainurés et autoventilés de 390 mm de diamètre, assurent des performances de freinage exceptionnelles. À l’arrière, le freinage est assuré par des étriers à 4 pistons et des disques de 380 mm.
Tout comme la 911 GT2 RS, homologuée pour la route, la version Clubsport, qui affiche 1 390 kg sur la balance, est équipée du système de régulation de la stabilité PSM (Porsche Stability Management), associé au système de contrôle de motricité (Traction Control) et au dispositif d’antiblocage (ABS). Pour régler individuellement les systèmes d’aide à la conduite ou pour les désactiver complètement en fonction de la situation de conduite, il suffit d’actionner le bouton Map sur la console centrale (nommé ainsi en référence à la cartographie moteur).
Le volant en carbone et l’afficheur couleur à bord de la 911 GT2 RS Clubsport sont issus directement de la Porsche 911 GT3 R, année-modèle 2019. Un arceau-cage de sécurité, un baquet de compétition et un harnais de sécurité 6 points assurent la sécurité du pilote. La voiture est équipée d’une climatisation.
Porsche 911 GT2 RS ClubsportThe post Porsche 911 GT2 RS Clubsport : 700 ch de puissance appeared first on .
La deuxième édition d’“Algeria Health”, salon dédié aux nouvelles technologies et aux produits et équipements innovants dans le domaine de la santé, se tiendra du 5 au 8 du mois courant à la foire d’Alger (Safex). Selon les organisateurs, au moins 75 exposants dont une vingtaine de firmes étrangères, issues de 10 pays, sont attendus à ce rendez-vous mis sous le parrainage du ministère de la Santé. Une occasion pour les entreprises spécialisées dans le domaine de la santé mais aussi et surtout les structures hospitalières, publiques et privées, de se mettre au diapason des nouvelles technologies et la découverte des équipements modernes ainsi que les dernières techniques de gestion intelligente. Le slogan retenu pour cette deuxième édition est, d’ailleurs, édifiant : “Santé de demain”.
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Colère et incompréhension chez les élèves de plusieurs classes de terminale du lycée Zoubida-Ould Kablia de Draria. La cause ? Alors qu’ils sont sans prof d’anglais depuis fin septembre, soit plus de deux mois, ils ont été obligés hier à composer dans cette matière. Certains élèves ont ainsi été amenés à rendre une feuille blanche et à quitter la salle, ruminant leur colère contre l’attitude de la direction du lycée.
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Noureddine Bouterfa, l’ancien ministre de l’Énergie, a réussi son repêchage par les hautes autorités. L’on apprend de sources sûres que l’ex-PDG de Sonelgaz a été nommé chef de cabinet du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Limogé le 26 mai 2017 de son poste de ministre, la traversée du désert n’a pas duré assez longtemps pour Bouterfa qui reprend donc du service auprès du Premier ministre
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Cinquante ans après son départ d’Algérie, c’était en janvier 1960, Alain Barrandon vient de publier en France un récit intitulé On m’appelait Taleb. Ex-instituteur volontaire dans les Aurès pendant quatre ans, l’auteur contacte, grâce à l’internet, l’un de ses amis en Algérie qui l’invite à y retourner et à retrouver tant de souvenirs. “C’est les plus belles années de ma vie”, dira Alain Barrandon qui avait tissé des liens intenses avec les villageois et surtout les enfants à l’école.
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Des procureurs algériens participent à la première rencontre de l’Union des procureurs généraux de la Méditerranée qui se déroule depuis hier en France.
À l’ordre du jour, les stratégies de coordination et outils de coopération pour lutter contre les trafics et identification des zones de blanchiment provenant de la criminalité organisée. Cette première session devra être sanctionnée par la signature d’une déclaration commune pour la lutte contre les phénomènes criminels, avec l’adoption d’un code de bonnes pratiques. Ainsi, les trafics de stupéfiants, d’armes, d’êtres humains, la lutte contre les réseaux ayant comme vecteur la Méditerranée et l’amélioration des saisies et la confiscation des avoirs criminels domineront les débats de cette rencontre.
L’Algérie participe aux côtés des pays de la rive africaine de la Méditerranée, de l’arc méditerranéen, des pays européens du bassin Adriatique et Égéen, ceux des pays des Balkans sud et ceux de la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille et de la cour d’appel d’Aix.
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Sen. Lindsey Graham says Saudi Arabia’s crown prince is a « wrecking ball » and is « complicit in the murder » of Khashoggi to the « highest level possible. »
« Saudi Arabia is a strategic ally and the relationship is worth saving, but not at all costs, » he adds https://t.co/iZZbpgzx7c pic.twitter.com/tEJ6ja8Mup
— ABC News Politics (@ABCPolitics) 4 décembre 2018
Les sénateurs républicains ont affirmé mardi n’avoir «aucun» doute sur le fait que le prince héritier saoudien avait «ordonné» le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, après avoir été informés à huis clos des conclusions de la CIA. Cette position contredit directement Donald Trump. Récemment, le président américain a en effet déclaré publiquement que le service de renseignement n’avait «rien trouvé d’absolument certain» concernant un éventuel rôle du prince héritier saoudien dans la mort du journaliste Jamal Kahshoggi.
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Le Maroc et le Front Polisario se rencontreront mercredi et jeudi à Genève, après six ans de blocage du processus de négociations pour le règlement du conflit du Sahara occidental.
L’Envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu pour le Sahara occidental, Horst K?hler, avait convié les deux parties au conflit, le Maroc, en sa qualité de puissance occupante du Sahara occidental, et le Front Polisario, représentant du peuple sahraoui, à une table-ronde pour des discussions directes dans le cadre de la relance du processus onusien pour la résolution du conflit du Sahara occidental, sur la base du respect du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.
Le 31 octobre dernier, le Conseil de sécurité avait enjoint le Maroc et le Front Polisario de reprendre les négociations « sans pré-conditions et de bonne foi » en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.
Aux termes de sa résolution prorogeant le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (MINURSO) de six mois, le Conseil de sécurité avait souligné l’importance pour les deux parties en conflit de « s’engager à nouveau à faire avancer le processus politique dans la perspective d’une cinquième série de négociations ».
La dernière fois où le Front Polisario et le Maroc se sont installés à la même table de négociations remonte à mars 2012 à Manhasset (près de New York). Depuis, le processus de paix est au point mort.
L’Algérie et la Mauritanie, invités par l’émissaire onusien Horst Köhler, seront présents à cette table-ronde en leur qualité de pays voisins et observateurs.
Leur participation vient en application de la résolution 2414 du Conseil de sécurité qui a confirmé le soutien de cet organe onusien à la relance des négociations directes.
Sous le format d’une table-ronde, cette rencontre semble être le prélude d’une série de négociations qu’organisera, en fonction des résultats de Genève, l’émissaire onusien dans les mois à venir.
Le Maroc et le Front Polisario se sont réunis depuis 2007 en quatre rounds de pourparlers directs sous les auspices des Nations unies, mais ces négociations n’ont pas avancé dans le sens des objectifs fixés par les résolutions du Conseil de sécurité de l’Onu.
Le Maroc, qui occupé illégalement le Sahara occidental depuis plus de 40 ans et aucun pays au monde ne lui reconnaît une quelconque souveraineté sur ce territoire, est à l’origine du blocage de ces négociations malgré les propositions très acceptables du Front Polisario, rappelle-t-on.
Pour cette nouvelle rencontre, le Front Polisario a réitéré son engagement pour des négociations de « bonne foi » et « sans conditions » afin de trouver une solution « juste et durable » devant permettre au peuple sahraoui de s’exprimer librement sur l’avenir du Sahara occidental.
Le Sahara occidental, dernière colonie d’Afrique, est une question de décolonisation opposant le Front Polisario au Maroc sur un territoire inscrit par l’Onu à la liste des territoires non autonomes, en attendant la mise en œuvre de la résolution 1514 de l’Assemblée générale du 14 décembre 1960, qui consacre le principe de l’autodétermination et de l’indépendance au pays et aux peuples coloniaux.
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Plusieurs salles omnisports seront « bientôt restaurées » à travers toute l’Algérie, à l’initiative du Comité olympique et sportif algérien (COA), pour aider différentes disciplines à se développer, a indiqué mardi à Alger le président de l’instance, Mustapha Berraf.
« Cette opération se fera en étroite collaboration avec le Comité international olympique (CIO) », a encore précisé Berraf, en conférence de presse au Musée olympique d’Alger.
La ville de Chlef a déjà bénéficié de cette aide du COA, qui a équipé un terrain de volley-ball d’un revêtement « haut de gamme ».
Une initiative saluée aussi bien par le wali de Chlef que par le directeur de la jeunesse et des sports local, surtout que le volley-ball est une discipline phare dans la région.
Fraichement élu à la tête de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA), Berraf a réitéré son engagement à « servir l’Olympisme africain dans un esprit de continuité. »
« Je tiens à remercier du fond du coeur tous les membres de l’assemblée générale pour leur confiance, leur constance et leur grande fidélité. Je suis rentré dans cette grande maison de l’Olympisme africain il y a un peu plus de 20 ans maintenant et je continuerai à la servir avec le dévouement et la passion que vous m’avez toujours connus », a-t-il déclaré.
APS
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La wilaya de Tizi-Ouzou a réalisé cette année une récolte record de liège en augmentant sa production de plus de 100%, a-t-on appris mardi du conservateur local des forêts, Youcef Ould Mohamed.
La campagne qui a démarré en juillet dernier et qui a été clôturée en octobre, a permis de récolter un total de 16.570 qx de liège durant la campagne 2018 a indiqué, à l’APS, M. Ould Mohamed.
Il s’agit d’une »récolte record qui n’a pas été réalisée à Tizi-Ouzou depuis 20 ans », a souligné ce même responsable qui a rappelé que la récolte moyenne de liège réalisée sur les 15 dernières années est de 6.000 qx, et qu’en 2017 elle a été de 8.000 qx.
Ces résultats ont été obtenus »grâce aux facilitations accordées par l’administration à l’entreprise régionale de génie rurale (ERGR) Djurdjura, a précisé M. Ould Mohamed qui a indiqué que cette production »exceptionnelle » a permis à Tizi-Ouzou de se classer cette année, première en matière de production de liège sur les 13 wilayas productrices en assurant 24% de la récolte nationale de cette ressource forestière.
Malgré cette performance, le conservateur des forêts a observé que cette quantité de liège récolté n’a pas permis d’atteindre les objectifs prévus par l’ERGR-Djurdjura et qui sont de 22.900 qx de liège.
Cela est dû essentiellement aux conditions climatiques défavorables qui ont retardé la récolte qui devait débuter en juin, mais qui n’a commencé effectivement qu’en juillet, ainsi qu’au retard accusé par l’ERGR dans l’organisation de ses chantiers, a-t-il dit.
D’autre contraintes liées à la difficulté d’accéder à certaines zones, faute de pistes et à cause du relief très accidenté et au manque de la main d’œuvre spécialisée dans l’opération de démasclage (récupération de liège), ont également empêché d’attendre le chiffre des 22.900 qx, a ajouté ce même responsable qui a observé que l’ERGR-Djurdjura a dû faire appel à des démascleurs de la wilaya de Skikda pour épauler ceux de Tizi-Ouzou issus principalement de la région de Yakourene, et dont le nombre (de cette main d’œuvre locale) « n’est pas suffisant » pour toute l’opération, a-t-il insisté.
L’opération de démasclage qui a été prise en charge par un total de 621 saisonniers étant achevée, l’ensemble des équipes ont été redirigées vers l’empilage qui se fait selon la catégorie du produit, dont le liège femelle (premier choix) et le liège mal et flambé (deuxième choix) afin de faciliter les visites des acheteurs lors des ventes qui débuteront incessamment. Un taux de 20% des ventes est versé au trésor public, a-t-on indiqué de même source.
Cédé entre 4.000 et 12.000 Da le quintal selon sa qualité, à des unités nationales de transformation (fabrication de bouchons, de panneau d’isolation) et à l’exportation pour le liège de premier choix, cette ressource forestière rare, est un produit important pour l’économie nationale, a souligné M. Ould Mohamed.
Il a rappelé à cette occasion, que l’Algérie fait partie des 7 pays producteurs de liège au monde.
Abordant les perspectives de développement de la filière liège au niveau local, le conservateur des forêts a annoncé que des mesures seront engagées pour réunir tous les moyens nécessaires pour réussir la prochaine campagne.
« Nous allons tenir des réunions de coordination et préparer le recrutement de main d’œuvre à l’avance », a-t-il dit, ajoutant que des visites dans l’ensemble des cantons seront effectuées et un programme d’ouverture et d’aménagement d’accès vers les subéraies sera lancé.
La conservation des forêts a également demandé l’inscription d’une opération débroussaillement notamment pour les cantons les plus producteurs tel que Yakourene, a indiqué le même responsable, qui a souligné que les efforts seront concentrés sur la mobilisation des moyens humains et matériels et les réseaux de pistes pour aménagé les accès dégradés et ouvrir d’autres là ou il n’en existe pas.
Le chêne liège est la principale espèce forestière de la wilaya de Tizi-Ouzou, elle occupe une superficie totale de 23.100 ha. Les subéraies les plus importantes sont celles des Ath Ghobri, Ath Jennad, et une partie de Tamgout, a-t-on appris de la conservation des forêts.
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L’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré lundi avoir installer un groupe d’études sur la manipulation génétique après l’annonce par un scientifique chinois de la naissance de deux jumelles génétiquement modifiées, une première dans le monde.
Une telle manipulation « ne peut avoir lieu sans des directives claires », a commenté le responsable de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, devant la presse.
« L’OMS réunit des experts et nous travaillons avec les Etats membres (…) pour discuter des critères et des directives pouvant répondre aux problèmes éthiques et de sécurité au sein de la société », a ajouté l’ancien ministre éthiopien de la Santé.
Un chercheur chinois, He Jiankui, a annoncé dans une vidéo diffusée la semaine dernière sur YouTube la naissance de deux jumelles dont l’ADN a été modifié pour les rendre résistantes au virus du sida. Leur père est infecté par le VIH.
La condamnation a été générale dans la communauté scientifique chinoise et ailleurs dans le monde, et a suscité une dénonciation vigoureuse des autorités de Pékin, qui ont exigé la suspension des « activités scientifiques des personnes impliquées ».
Le groupe d’études de l’OMS est en voie d’être créé, a expliqué Tedros, sans présenter toutefois cette initiative comme une réponse directe à l’expérimentation chinoise.
Le responsable de l’OMS a refusé également d’envisager que certaines manipulations de gènes puissent à l’avenir présenter des avantages en matière de santé publique.
Les membres du groupe d’études « peuvent commencer leurs travaux en se posant cette simple question :‘devons-nous même aborder cela », a poursuivi Tedros, selon lequel le groupe d’études avait devant lui une « feuille blanche ».
« Nous devons être très, très prudents. (…) Nous ne devons pas nous engager dans la manipulation génétique sans tenir compte des conséquences non voulues », a encore dit le responsable. Le groupe d’études, a-t-il indiqué, comprendra des universitaires, des experts de l’OMS et des spécialistes médicaux gouvernementaux.
L’Organisation mondiale de la santé met engarde chaque année contre les maladies les plus menaçantes, l’organisation a lancé il ya quelques mois une alerte contre ce qui pourrait être la prochaine épidémie mondiale, la « maladie X ».
Elle pourrait représenter « un danger international et serait particulièrement contagieuse et mortelle ».
Selon L’OMS « cette maladie pourrait résulter d’une erreur de manipulation génétique ou d’un acte terroriste, et causer de nombreuses pertes humaines ».
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La sélection nationale féminine de handball et son homologue tunisienne se sont neutralisées (24-24), à l’occasion de la 3e journée (groupe A) de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2018), disputée ce mardi à Brazzaville (Congo).
Le derby maghrébin, Algérie vs Tunisie, s’est soldé sans vainqueur. Les deux voisins se sont quittés sur le score de 24 buts partout dans une partie âprement disputée.
Menées au score tout au long de la rencontre, les Algériennes ont réussi à sauver les meubles en arrachant le nul. Les protégées de Abdelkrim Bendjemil évitent ainsi une seconde défaite de suite après avoir été corrigées lundi par les Camerounaises (32-18).
Dans l’autre match du groupe A, le Cameroun a pris le meilleur sur la Côte d’Ivoire (34-25).
Après trois sorties, l’Algérie totalise 3 points et occupe la 3e place. Pour rappel, le Sept National a réussi son entame de compétition en battant la Côte d’Ivoire (27-25) lors de la première journée disputée dimanche.
Pour sa quatrième et dernière rencontre dans ce premier tour, l’Algérie sera opposée au Sénégal dans un match à ne pas perdre, prévu jeudi prochain à 13h00 (heure algérienne).
Mohamed Kermia
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L’Entente de Sétif est éliminée de la Coupe arabe des clubs champions en dépit du match nul réalisé ce mardi à Djeddah (Arabie saoudite) face à Al Ahly, à l’occasion de la manche retour des 8es de finale.
Le miracle n’a pas eu lieu pour l’ES Sétif en terre sainte. Les Sétifiens quittent la compétition arabe avec beaucoup de regrets au vue de leur prestation.
Après avoir complètement raté son match aller, battue sur le score de 1 but à 0, l’ESS a montré un tout autre visage lors de la manche retour, notamment en première mi-temps.
Conscients de la situation, les capés de Noureddine Zekri ont réalisé l’entame de match parfaite en scorant à la 17e minute. Banouf a permis à ses coéquipiers de refaire leur but de retard en étant à la conclusion d’une très belle action en triangle orchestrée par Djabou.
Les gars de Ain El Fouara auraient pu ajouter un autre but avant de rejoindre les vestiaires, mais le sort en a décidé autrement.
En seconde période, la formation locale, qui a loupé sa première mi-temps, s’est complètement métamorphosée. Pablo Guede, coach d’Al Ahly, a trouvé les mots justes durant la pause citron pour remotiver ses troupes.
Et il n’a fallu que six minutes aux les Saoudiens pour égaliser. Sur une action quasi-similaire à celle de l’ESS, Said El-Moueled (51’) a trouvé la faille dans une défense sétifienne jusque-là imperméable.
Par la suite, les Sétifiens ont tout essayé pour inscrire le but de la qualification mais la chance leur a tourné le dos. Bakir (65’) et Bedrane (81’), qui ont vu leurs ballons heurter la transversale, étaient à un cheveu de faire mouche.
A la 87e minute, Djabou aurait pu être le héro de la rencontre en tentant un geste acrobatique de haute classe, malheureusement son tir a été repoussé par le gardien adverse.
Alors qu’elle avait placé beaucoup d’espoir dans cette épreuve, particulièrement à cause des fortes primes, Sétif quitte l’épreuve sans même atteindre le stade des quarts de finale.
En attendant l’USM Alger
Concernant les autres représentants algériens, le MCA a validé son billet pour les quarts de finale en disposant de l’autre formation saoudienne d’Al Nasr (2-1), le 29 novembre dernier à Alger.
De son côté, l’USM Alger est toujours en course pour une place en quarts de finale. Toutefois, la tâche des Usmistes s’apparente à une mission impossible. Et pour cause, l’USMA a complètement raté son 8e de finale aller en s’inclinant sur le score de 4 buts à 1, le 20 novembre dernier à Khertoum contre l’équipe soudanaise d’Al Merrikh.
Les Rouge et Noir sont appelés à réaliser une véritable remontada le 10 décembre à Alger, à l’occasion de leur 8e de finale retour.
Mohamed Kermia
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Le ministre saoudien du Commerce et de l’Investissement, Majid ben Abdullah al-Qasabi, a estimé que l’Algérie doit relever des défis liés, notamment, à la bureaucratie et aux textes réglementaires régissant l’investissement.
Les responsables algériens n’ont pas réussi à convaincre les Saoudiens d’investir davantage en Algérie. Hormis cinq projets mobilisant une cagnotte pour le moins dérisoire, investie dans des projets de fabrication de papier hygiénique, de jus, de chlore aux fins de la purification d’eau, ou encore dans la transformation de l’acier, les Saoudiens sont restés de marbre face aux appels de la partie algérienne à investir dans des secteurs à haute valeur ajoutée, dont l’industrie, le tourisme et l’agriculture. “L’Investissement est une question d’appétit”, a lancé le ministre saoudien du Commerce et de l’investissement, lors d’un bref discours prononcé à l’occasion de la tenue, hier, à Alger, du 12e Conseil d’affaires algéro-saoudien. Il se voulait franc, comme lors de ses entretiens avec ses homologues algériens, le ministre saoudien du Commerce et de l’Investissement, Majid ben Abdullah al-Qasabi, qui a indiqué que l’Algérie doit relever des défis liés notamment à la bureaucratie et aux textes réglementaires régissant l’investissement. “Il faut de la rigueur lorsqu’on fait face à ce genre de problématiques”, a-t-il soutenu, comme pour pointer les écueils auxquels sont confrontés les investisseurs en Algérie. Pour lui, “l’Algérie, qui dispose d’une infrastructure de base et d’un soubassement technique, combinés à sa position géographique, devrait être la porte de l’Afrique”. L’État algérien, pense-t-il, doit engager des efforts complémentaires et décisifs tant au plan des textes juridiques qu’en matière lutte contre la bureaucratie. En signe de mécontentement quant à un climat peu propice à l’investissement en Algérie, un représentant saoudien du groupe Tabuk Pharmaceuticals s’est permis d’assimiler les problèmes de sonorisation qui ont marqué la séance dédiée à la présentation des cinq projets conclus “aux difficultés d’investir en Algérie”. Une plaisanterie qui n’était pas du goût de la partie algérienne, mais qui cadrait bien avec cette volonté de dire les choses qui fâchent que revendiquait le ministre saoudien tout au long de son discours. Majid ben Abdullah al-Qasabi a, par ailleurs, reconnu la faiblesse des échanges commerciaux entre son pays et l’Algérie, qui culminent à peine au-dessus de 500 millions de dollars par an. Quant aux investissements, leur valeur ne dépasse pas 400 millions de dollars. Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, a recensé 12 projets d’investissements saoudiens en Algérie, cumulant une valeur de 14 milliards de dinars, alors que l’Algérie importe pour près de 600 millions de dollars depuis l’Arabie saoudite. La balance commerciale penche bien évidemment en faveur des Saoudiens compte tenu de la faiblesse des exportations algériennes hors hydrocarbures. Youcef Yousfi a plaidé à la même occasion en faveur d’une dynamique nouvelle aussi bien au plan des échanges commerciaux qui, selon lui, “ne reflètent pas la qualité du partenariat” entre les deux pays, qu’au plan des investissements dont la valeur et la qualité restent, pour le moins, marginales.
Ali Titouche
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BLIDA – L’entrée en production du complexe de production d’insuline « Novo Nordisk » de Boufarik (Blida) interviendra au mois d’août 2019, soit dès parachèvement de ses bâtiments et laboratoires et le règlement de certaines contraintes l’entravant, a-t-on appris, mardi, auprès du directeur du projet.
« L’entame officielle de la production d’insuline (sous forme de solution injectable en stylo pré-rempli), et autres médicaments destinés au diabète, au niveau de ce complexe, né d’un partenariat algero- danois, interviendra en août prochain », a indiqué M. Mohamed Ouaguenouni dans un exposé sur ce projet, présenté au wali Youcef Chorfa, à l’occasion d’une visite de travail dans la commune de Boufarik.
Il a souligné que cette mise en exploitation interviendra « dès parachèvement total des travaux des bâtiments et des laboratoires, actuellement en cours de finition, outre le règlement des problèmes en suspens », a-t-il ajouté.
Selon le responsable, le projet est en butte à un nombre de contraintes liées au refus de certains commerçants de libérer une partie de l’assiette destinée à l’implantation d’un parking. Un foncier actuellement exploité, par eux, au marché de gros de Boufarik, et qui rend difficile l’accès à l’usine, durant les jours de marché hebdomadaire ( lundi et jeudi), a-t-il expliqué, appelant les autorités locales à lui venir en aide dans le règlement du problème du foncier destiné à l’extension de cette usine.
Il a, en outre, déploré l’insuffisance de l’eau et de l’électricité pour les besoins du projet, outre le problème d’importation de certains composants des machines d’essais.
Au titre de la prise en charge de ces préoccupations, le wali de Blida a instruit les responsables de la commune de Boufarik en vue de réfléchir à un compromis, pour régler le problème avec les commerçants. Il a, également, donné son accord de principe pour le forage d’un puits artésien pour couvrir les besoins du projet en eau, tout en instruisant les responsables de la direction locale de Sonelgaz, en vue de le doter d’un transformateur électrique.
Le wali a, par ailleurs, invité les responsables en charge du projet, en vue de se réunir, dans les prochains jours, avec les responsables de tous les secteurs concernés, afin de trouver des solutions adéquates à tous les problèmes posés.
« Il s’agit là d’un investissement d’importance susceptible de contribuer à la création d’une richesse au profit de la commune et de la wilaya, mais aussi pour l’Algérie, en général », a-t-il estimé, soulignant l’impératif de lui assurer toutes les facilitations nécessaires.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie du Gouvernement, visant le développement de l’industrie pharmaceutique nationale afin de couvrir le marché national avec un produit fabriqué localement, et partant réduire la facture d’importation de ce type de médicaments, a-t-on indiqué sur place.
Affecté d’une enveloppe de 70 millions d’Euros, ce complexe qui s’étend sur une superficie de 32.000, est doté d’une capacité de production de 45 millions d’unités d’insuline (sous forme de solution injectable en stylo pré-rempli), avec une prévision de création de prés 500 postes d’emploi directs et indirects.
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Les travaux du Forum sur le renforcement des capacités de gouvernance se poursuivent mardi à Alger en ateliers où les participants ont recommandé de permettre aux écoles et établissements d’enseignement et de formation de renforcer leur capacité à produire une ressource humaine « hautement qualifiée » au service de la gouvernance.
Au cours de ce forum de deux jours (mardi et mercredi), organisé par le ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, en partenariat l’Académie nationale chinoise de la gouvernance (CNAG), les participants ont mis l’accent sur la nécessité de concevoir une stratégie de formation intégrée convergeant vers la réalisation des objectifs de gouvernance.
Le premier atelier portant sur le thème de l’amélioration du service public à travers le renforcement du double rôle des écoles de gouvernance dans le domaine de la recherche scientifique et du conseil pour la prise de décision, a relevé que les écoles de la gouvernance à travers le monde convergent toutes vers un seul objectif, à savoir la formation des cadres appelés à occuper des fonctions de responsabilité ayant un impact direct sur la prise en charge des services publics.
Toutefois, les experts de ce panel ont relevé que d’autres fonctions comme la recherche scientifique et la consultation décisionnelle, d’importance équivalente, doivent être mises en exergue dans la mesure où elles permettent à ces institutions de rayonner tant au plan national et régional qu’international par leurs contributions au renforcement des capacités dans la gestion du service public.
En ce sens, l’objectif de cet atelier consiste à identifier les modalités et les voies et moyens qui permettent aux écoles de gouvernance de renforcer leur rôle d’expertise à travers le développement de la recherche.
Dans le cas de l’Algérie, c’est l’exemple de l’Ecole nationale d’administration (ENA) qui a été débattu.
Le deuxième atelier a traité du thème relatif aux tendances mondiales en matière de renforcement des capacités de gouvernance. En ce sens, les participants ont relevé que les cadres supérieurs jouent un rôle prépondérant dans la conception et la mise en œuvre des politiques et programmes de développement de chaque pays.
Ils ont estimé que le renforcement des aptitudes de ces cadres permettrait d’accroitre leur habilité à définir et atteindre des objectifs et à résoudre des problèmes à exercer efficacement les fonctions dont ils ont la charge.
En outre, cet atelier a planché sur les démarches à entreprendre pour mettre en place une politique et des programmes efficaces en matière de renforcement des capacités des gestionnaires publics en Algérie, à travers l’échange des expériences réussies de par le monde, citant les partenaires de l’Algérie, notamment la Chine, la France, le Canada et les Pays-Bas.
Enfin, le troisième atelier a appelé à une coopération internationale plus étroite dans le renforcement des capacités de gouvernance afin de créer une communauté d’avenir partagée pour l’humanité.
Il est attendu des participants à cet atelier de développer une « vision élargie » en matière des normes internationales sur le renforcement des capacités de gouvernance, des recommandations sur l’amélioration de l’offre internationale pour le renforcement des capacités et un plan de mobilisation de la coopération internationale en matière de gouvernance.
Les travaux en ateliers se poursuivront mercredi, au deuxième et dernier jour de ce forum. La séance de clôture sera marquée par la lecture en plénière des rapports des trois ateliers.
Pour rappel, le Forum international sur le renforcement des capacités de gouvernance est organisé par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement en partenariat l’Académie nationale chinoise de la gouvernance (CNAG).
Il a pour objet de bâtir un réseau mondial de partenariat et à identifier et explorer les prochaines étapes de la coopération bilatérale et multilatérale en matière de partage de connaissances et de renforcement des capacités de gouvernance.
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ORAN – Le tribunal correctionnel d’Oran a prononcé mardi deux peines de 3 ans de prison ferme à l’encontre de deux agents commerciaux de la Compagnie nationale de navigation (CNAN), jugés pour détournement de deniers publics.
Les peines ont été associées à une amende de 6,57 millions de DA, soit l’équivalent du préjudice financier subi par la compagnie. Un troisième accusé dans cette affaire, à savoir le responsable des opérations au port d’Oran, qui avait été jugé pour négligence, a bénéficié de l’acquittement.
Lors du procès, qui a eu lieu le 27 novembre dernier, le procureur de la République près le tribunal correctionnel d’Oran avait requis une peine de dix ans de prison ferme à l’encontre des deux premiers accusés et l’application de la loi contre le troisième mis en cause.
Selon l’arrêt de renvoi, les faits de cette affaire remontent à janvier 2018, lorsque des responsables du département comptabilité de la CNAN Oran ont découvert des billets d’embarquement à destination de villes françaises et espagnoles annulés. Une enquête interne a déterminé que deux agents commerciaux déclaraient des passagers ayant annulé leurs réservations comme ayant effectué réellement le voyage et ce, afin d’empocher la valeur des billets. Une recherche poussée a conclu que cette pratique frauduleuse a duré deux années au moins et le préjudice financier subi par la compagnie dans cette affaire a été évalué à 6,57 millions de DA.
Lors de l’audience, au cours de laquelle des responsables de la CNAN dont le directeur régional ont comparu en tant que témoins à charge, la défense des accusés s’est basée sur l’absence de preuves matérielles plaidant la relaxe.
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