Le plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur du secteur sauvegardé de la vieille ville au niveau des deux quartiers de Derb et Tobana, le vieux Tighdit et des biens culturels riches et variés, vient d’être approuvé dans le cadre du plan du périmètre de sauvegarde et de valorisation.
Il s’agit en premier lieu du plan d’urgence d’aménagement qui vise à faire réaliser un parcours culturel et touristique. Le périmètre du patrimoine bâti comprend le vieux Tighdit et les quartiers de Derb et Tobana. L’avenue Abdellaoui-Abed commence à recevoir un nouveau toilettage par des réhabilitations des immeubles et des habitations, y compris la partie extérieure de l’ex-poissonnerie et plus tard, la prison civile pour femmes qui sera intégrée au patrimoine historique de Mostaganem.
Dans la lancée de ce plan d’urgence, il est prévu la restauration de la mosquée de Sidi Yahia, son annexe en une école coranique, le palais Hassan, le musée de Dar Hamid El Abd, la muraille jusqu’au palais du Bey, la maison du poète, la Mahkma, ainsi que la grande mosquée. Ce plan constitue une protection de la vieille ville avec une restauration globale de tout ce qui est vieux bâti qui est élaboré par la Direction de la culture conjointement avec diverses associations civiles.
Afin d’encourager concrètement la sauvegarde du patrimoine bâti et ainsi restaurer des constructions qui le constituent, la wilaya et la commune accordent des aides financières pour les travaux de restauration.
A. Bensadok
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Le 7 novembre 2008, le maâlem (maître) Benaïssa déposait pour de bon son goumbri. A l’occasion du dixième anniversaire de la disparition du grand artiste de la musique diwan (gnawi), un hommage lui sera organisé à la salle Ibn-Zeydoun à Alger, le vendredi 14 décembre à partir de 19h.
Au programme de la soirée figurent des prestations de Ifrikya Spirit, Chibane et de Zaki Project. Une partie des fonds récoltés sera reversée en forme de dons à la famille de Benaïssa Bahaz (entrée à 500 DA).
Né en 1965 à Alger, Benaïssa Bahaz a ouvert les yeux au sein d’une communauté artistique, baignant dans la musique diwan. Son père l’a rapidement initié au goumbri, instrument à quatre cordes de musique traditionnelle des peuples Gnawa, une sorte de basse ou de guitare traditionnelle. Son père lui a également inculqué la rigueur dans le travail et le respect des ancêtres.
Benaïssa va perfectionner son jeu du goumbri pour découvrir des sonorités nouvelles, notamment en collaborant avec d’autres artistes. Il puise ses inspirations spirituelles autant chez le musicien Abdelkader Alla de Béchar surnommé «le roi du fondou», que dans l’univers du rock algérien. L’artiste intègre ensuite le groupe Diwan Dzaïr dont il deviendra le leader grâce à son expérience musicale et son art du goumbri. Le groupe se produit dans de nombreux concerts et festivals en Algérie et à travers l’Europe, l’Afrique, le Moyen-Orient et même à Cuba.
Le temps passe, et Benaïssa devient un grand maâlem. Comme un retour aux sources, il enregistre un album de pur diwan, intitulé Daoui. La mort brise net une carrière fabuleuse.
Lors du concert de vendredi à la salle Ibn-Zeydoun de Riadh-el-Feth, les anciens membres du groupe Diwan Dzaïr et des amis du maâlem joueront ensemble sur scène «pour faire revivre l’esprit de partage et de fête du maître».
Les Gnawa d’Algérie (et du Maroc) sont des descendants d’anciens esclaves noirs issus de populations d’origine d’Afrique noire. Certains se considèrent les ouled Sidi Blel, les descendants spirituels de Bilel Ben Rabah, l’esclave affranchi devenu le premier muezzin de l’Islam. La musique diwan est basée sur le goumbri et les percussions qarqabou (sorte de castagnettes métalliques).
Une soirée diwan est appelée «derdba», un mot entré dans le langage populaire algérois, avec le sens de «s’éclater, de faire la fête».
Kader B.
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La maison de la culture Ahmed-Chami de Naâma a abrité en fin de la semaine écoulée, une rencontre-débat regroupant d’un côté, les services de l’entreprise Sonelgaz et d’un autre, les promoteurs (investisseurs et agriculteurs).
Organisée conjointement sous le haut patronage du P-dg de la Sonelgaz et du premier responsable de la wilaya de Naâma, cette première prise de contact, la première en son genre dans la wilaya, qui a regroupé l’ensemble des acteurs directement concernés par l’offre de l’énergie (électrique et gazière), a pour but essentiel, nous dit-on, d’engager sur le terrain les priorités stratégiques permettant de répondre aux attentes des promoteurs et sensibiliser les partenaires sur une éventuelle nouvelle mise en œuvre de la stratégie de l’entreprise Sonelgaz en matière de facilitation d’aide à l’investissement et au développement du secteur agricole et industriel.
Lors des débats, les investisseurs et les agriculteurs ont fait part de leurs préoccupations, notamment les entraves et les contraintes qu’ils rencontrent dans le domaine de l’énergie, sollicitant l’entreprise à déployer les moyens nécessaires et la réalisation d’un partenariat permettant une meilleure qualité de service, ainsi qu’une éventuelle réduction du prix de l’électricité.
Dans ce contexte, la Sonelgaz a pris toutes les recommandations, les propositions et les suggestions exposées par les participants ; une opportunité pour l’entreprise de revoir sa copie longtemps décriée par les promoteurs, et ce, à l’effet de surpasser tout obstacle pouvant bloquer le développement des secteurs agricole et industriel, notamment, en ce qui concerne la lenteur administrative.
B. Henine
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Le secteur névralgique de la santé, au niveau de cette wilaya frontalière, dont le nombre de ses habitants avoisine les 500 000 répartis à travers 10 daïras, a bénéficié ces dernières années de plusieurs projets phares qui, immanquablement, renforceront son tissu infrastructurel et seront d’un apport incommensurable pour les malades. Il s’agit d’un établissement hospitalier spécialisé «ehs» mère-enfant de 120 lits.
Cet hôpital sera opérationnel dans les prochains jours, nous a fait savoir le directeur de la santé et de la population M. amor bentouati.
Cette infrastructure hospitalière érigée à la cité ibn rochd à souk ahras-ville et s’étalant sur une superficie de 10 000 m2, a coûté 131 millions de dinars. les 13 lots des équipements médicaux dont sera doté cet hôpital ont d’ores et déjà été installés.
Cette infrastructure très spacieuse dotée d’un grand service gynéco obstétrique, une maternité, plusieurs salles d’accouchement, un service de néonatologie, un service de pédiatrie, un bloc opératoire, un laboratoire moderne bien équipé, une radiologie mammographie.
Au chapitre de son fonctionnement, la prise en charge des parturientes et les nouveaux-nés ainsi que toute la chaîne de suivi sera assurée par trois gynécologues cubains et algériens, 3 anesthésistes réanimateurs et 26 sages-femmes.
Il faut dire que la mise en service de cette structure hospitalière, indubitablement, améliorera les prestations et la prise en charge adéquate des patients, ce qui permettra à la wilaya d’être en conformité avec la nouvelle cartographie sanitaire.
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Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes) et le Syndicat des enseignants du supérieur solidaires (SESS) sont actuellement en concertation. La raison ? Décider d’une action commune pour réagir au silence de la tutelle face aux préoccupations des enseignants du supérieur.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Plusieurs universités sont sous tension actuellement et le malaise se propage peu à peu. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique n’a pas réagi aux mouvements de protestation déclenchés dans de nombreuses universités pour dénoncer, entre autres, la mauvaise gestion de l’administration et le harcèlement dont font l’objet les enseignants et les syndicalistes.
Ces mouvements sont, d’ailleurs, menés par des collectifs d’enseignants et non sous la coupe des syndicats.
Face à cette situation, le Cnes a décidé de réunir son conseil national. Azzi Abdelmalek, coordonnateur national du syndicat, a indiqué que la date n’a pas encore été tranchée. Ce qui est sûr, dit-il, c’est que le Cnes se prépare pour tenir un conseil national «prochainement».
Entre-temps, M. Azzi a également indiqué que son syndicat est actuellement en pleins pourparlers avec le Syndicat des enseignants du supérieur solidaires, pour décider d’une action commune. «Nous coordonnons actuellement avec le SESS et son coordonnateur Kaddour Chouicha pour décider d’une éventuelle action de protestation commune», a indiqué M. Azzi.
Qu’en est-il de l’initiative de l’unification du Cnes ? L’aile que conduit Abdelmalek Azzi et qui regroupe 33 sections exclut cette démarche. Les démarches de l’aile conduite par M. Milat est un «non-événement», selon M. Azzi.
«Nous ne pouvons pas parler d’unification ni de réconciliation car il s’agit d’un petit groupe de personnes qui cherchent à s’accaparer du syndicat, nous avons organisé notre congrès il y a de cela deux ans, et notre prochain congrès sera organisé au plus tard dans une année, les portes sont ouvertes à tout le monde, si les autres sections veulent participer avec nous», a suggéré M. Azzi.
Outre les revendications salariales, le syndicat demande la relance des programmes de logements gelés depuis quelques mois et de prévoir de nouveaux quotas pour les enseignants et la levée du gel concernant la création des laboratoires scientifiques.
Le Cnes demande, par ailleurs, de limiter le pouvoir de l’administratif sur le scientifique et explique que l’ouverture de certaines spécialités est soumise au diktat de l’administration, et certaines spécialités ont été fermées de façon préméditée telles que les filières des sciences politiques, sociologie politique et interprétariat.
Dans un précédent communiqué, le Cnes a expliqué que «des milliers de détenteurs des diplômes de doctorat et magister, normalement considérés parmi l’élite, subissent une humiliation intolérable, plusieurs années après la fin de leurs études, ils peinent à trouver un poste décent, et cela, malgré un besoin énorme dans l’enseignement supérieur, dont les responsables préfèrent gérer la pédagogie avec des heures supplémentaires au profit d’une catégorie d’enseignants qui ne font même pas leur charge normale, et aussi au profit de vacataires n’ayant même pas les diplômes requis».
S. A.
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Le ministère de la Santé met le cap sur la formation continue. Une convention de partenariat a été signée dans ce sens avec les laboratoires Sanofi Algérie.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Le ministère de la Santé mise beaucoup sur la formation continue des professionnels de son secteur. Le ministre lui-même a insisté, à maintes reprises, sur l’importance de la formation continue des médecins, pharmaciens et autres cadres de la santé afin d’améliorer le système de santé national. Pour lui, la formation continue est aujourd’hui «plus qu’une nécessité si l’on considère l’évolution rapide que connaît la médecine».
Dans le but donc de fournir des prestations de santé de qualité à la hauteur des attentes des patients algériens, le ministère de la Santé a signé jeudi dernier, avec les laboratoires Sanofi, une convention de partenariat portant sur la formation médicale continue.
Cet accord couvre ainsi la formation continue des professionnels de la santé notamment les médecins spécialistes, les paramédicaux et toutes les professions qui ont trait à la santé dans la diabétologie, la cardiologie, l’oncologie et les maladies rares.
«Cette convention a pour objectif la formation continue des professionnels de la santé dans des maladies dont Sanofi Algérie a déjà une expertise», explique Abderrahmane Ziani, directeur médical à Sanofi Algérie.
D’ailleurs, poursuit-il, «la première formation de ce partenariat a débuté aujourd’hui, samedi 8 décembre, et se poursuivra durant cinq jours à l’Institut national de santé publique (INSP). Destinée aux formateurs psychologues en oncologie, cette formation est dispensée par une équipe de formateurs français».
Une formation dans le cadre de la recherche clinique a été également incluse dans cette convention de partenariat. «Sanofi Algérie a déjà cette spécialité à travers son projet de l’Académie de la recherche clinique, où des médecins algériens ont été formés», ajoute Abderrahmane Ziani. Pour le ministère de la Santé, cet accord s’inscrit dans sa stratégie pour la prise en charge des maladies telles que le diabète, les pathologies cardiovasculaires, le cancer, et les maladies rares. «Ces maladies figurent pour la plupart parmi les axes prioritaires du programme national de lutte contre les maladies non transmissibles et chroniques en Algérie», souligne Aït Messaoudène, directeur de la formation du ministère de la Santé, cité par le communiqué de Sanofi Algérie.
A travers ce partenariat, les laboratoires Sanofi Algérie affirment leur engagement aux côtés de tous les acteurs de la santé et ce, depuis près de trois décennies en Algérie. «Nous sommes très heureux aujourd’hui de conclure ce partenariat avec le ministère de la Santé par lequel nous confirmons à nouveau notre engagement à long terme auprès de tous les acteurs de la santé pour le développement de la recherche, l’innovation et de la formation médicale continue au service des patients algériens», a soutenu Haïssam Chraiteh, directeur général de Sanofi Algérie, rapporté par le même communiqué.
Ry. N.
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Depuis une semaine, Abdelaziz Belkhadem bénéficie d’une garde rapprochée et d’un véhicule de service. Il faut dire que jusqu’ici, ces moyens lui avaient été retirés au lendemain de son éviction du poste de secrétaire général du FLN.
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Une enquête a été ouverte par les services de sécurité au niveau de la direction des services universitaires de Jijel (DOU). Selon des indiscrétions, cette enquête s’intéresse au recrutement d’une personne avec de faux documents. Les faits remontent au temps de l’ex-directeur de cet organisme dépendant du ministère de l’Enseignement supérieur.
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«Finale du siècle» en Copa Libertadores, le choc des rivaux argentins River Plate et Boca Juniors a tourné au fiasco sur fond de violences. Finalement délocalisé à Madrid, cet affrontement controversé espère trouver son dénouement ce soir (20h30)… à condition que la sécurité prime enfin.
Ce match de football est à la fois vertigineux et improbable: qui aurait imaginé que le vénérable stade Santiago-Bernabeu, théâtre de tant de «clasicos» Real Madrid-FC Barcelone, reçoive pour la première fois le «superclasico» entre les deux voisins de Buenos Aires ? Et qui aurait cru que l’Espagne, ancienne terre des conquistadors, accueille la finale de cette compétition baptisée du nom des «Libérateurs» du joug colonial ? C’est pourtant à 10 000 km de Buenos Aires que les deux clubs argentins ont atterri cette semaine pour le match retour de leur finale, après le nul de l’aller (2-2) sur le terrain de Boca puis le report de la seconde manche le 24 novembre pour cause de débordements violents. Ce jour-là, le caillassage de l’autocar transportant l’équipe de Boca avait fait deux blessés parmi les joueurs. La Confédération sud-américaine (Conmebol) a dû reporter la rencontre, puis l’a délocalisée sur terrain neutre à Madrid, en dépit de l’opposition des deux clubs: River qui réclamait de pouvoir jouer à domicile, et Boca qui a exigé, en vain, une victoire sur tapis vert et a annoncé saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS). La capitale espagnole était la ville-hôte idéale pour sa forte communauté argentine et ses nombreuses connexions aériennes. Mais sans doute aussi pour son savoir-faire dans l’organisation de rencontres sportives risquées, alors que l’autre grande finale du football de clubs, la Ligue des champions européenne, se tiendra début juin au stade Metropolitano de l’Atlético Madrid.
Match à haut risque
Quelque 4 000 policiers et agents privés seront déployés dimanche, une mobilisation exceptionnelle, supérieure à celle de la finale de C1 au Bernabeu en 2010. «C’est un dispositif très important car c’est un match à haut risque», a prévenu vendredi le préfet de la région de Madrid, José Manuel Rodriguez Uribes. Mais c’est aussi un «match comme un autre» selon lui. Il n’est pas dit que le Bernabeu et ses 81 000 places affichent complet: en dépit d’une forte demande sur les quelque 50 000 billets mis en vente hors d’Argentine, moins de 6 000 des 10 000 places proposées aux résidents argentins avaient trouvé preneurs vendredi à la mi-journée. Sans doute à cause du coût très élevé d’un tel voyage : 2 200 euros le vol aller-retour éclair avec une place pour la finale, selon certaines offres. Reste à savoir si les «barras bravas», ces groupes de supporters radicaux et ultraviolents redoutés par les clubs eux-mêmes, auront fait le déplacement à Madrid. Les autorités ont affiché leur vigilance et promis de renvoyer vers l’Argentine les individus aux antécédents judiciaires graves.
«Cadeaux des dieux»
Pour minimiser les risques, deux «fan-zones» très encadrées ont été prévues sur la célèbre avenue de la Castellana, aux abords du Bernabeu. Et les deux camps doivent en principe s’installer dans des virages opposés de l’enceinte, avec entre eux des zones tampons. «Vivons la fête en paix», a exhorté en Une samedi le quotidien sportif Marca, le plus lu d’Espagne. Dans ce contexte de haute sécurité, la ferveur argentine saura-t-elle s’exprimer ? Certains sont ravis de cette chance unique d’assister à cette finale, épisode majeur de la rivalité centenaire Boca-River. «En Espagne, on voit ce match comme un cadeau des dieux», a déclaré à l’AFP Alfredo Relaño, directeur du quotidien sportif madrilène As. Mais les joueurs, honteux pour l’image de l’Argentine, ont déploré que la rencontre se joue dans une ambiance si « bizarre » et si loin de Buenos Aires. «Ce match a perdu de son aura dans mon cœur», a déclaré l’Argentin Santiago Solari, entraîneur du Real Madrid, dont l’équipe devrait croiser le vainqueur de dimanche lors du Mondial des clubs (12-22 décembre). En s’imposant, Boca rêve d’égaler le club argentin d’Independiente au panthéon de la Libertadores avec sept trophées. En gagnant une quatrième couronne, River espère réduire l’écart avec son voisin et s’offrir un fait de gloire mémorable. Et comme les buts à l’extérieur ne comptent pas, River Plate et Boca Juniors pourraient s’employer jusqu’au bout de la nuit madrilène… en espérant ne pas être rattrapés par leur face la plus sombre.
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La direction du MC Oran a saisi le Tribunal arbitral sportif (TAS) après le verdict prononcé par la Chambre de résolution des litiges (CRL) en faveur de son ex-staff technique et trois joueurs, a-t-on appris auprès du club d’El-Hamri.
Il s’agit de Moez Bouakaz et son adjoint, Bachir Mecheri, ainsi que les joueurs Boudoumi, Ferrahi et Aoued, qui ont eu gain de cause auprès de la CRL qu’ils ont saisie pour revendiquer leurs salaires impayés. Le verdict, prononcé il y a quelques jours, oblige la direction mouloudéenne à verser près de 40 millions DA aux concernés, et expose aussi le club à l’interdiction de recrutement lors du mercato hivernal, selon la même source, ajoutant que le président Ahmed Belhadj a fait appel au niveau du TAS pour contester cette décision. Bouakaz avait été démis de ses fonctions avant quelques journées de la fin de la saison précédente, alors que son adjoint et les trois joueurs concernés avaient quitté les rangs des «Hamraoua» en fin du même exercice, rappelle-t-on. Le fait de saisir le TAS devrait permettre à la direction oranaise d’éviter une éventuelle interdiction de recrutement au cours du mercato hivernal en attendant le verdict final de l’instance sollicitée dans cette affaire.
Le MCO, qui vient de libérer quatre joueurs, à savoir, le Malien Dossé, Hamar, Yettou et Bouchar, tous les quatre recrutés lors de l’intersaison, aura besoin d’engager de nouveaux éléments en prévision de la phase retour, comme ne cesse de le réclamer son entraîneur Omar Belatoui. Le club-phare de la capitale de l’Ouest a terminé la phase «aller» à la 9e place avec 18 points devançant de trois unités le troisième relégable, l’USM Bel-Abbès. Le club traverse une zone de turbulence ayant même suscité la colère du wali d’Oran qui a appelé, jeudi passé, les dirigeants à «mettre un terme à leurs divergences et travailler ensemble pour redresser la barre».
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Ce weekend, le célèbre comédien Algérien, Athmane Ariouet a été victime d’une fausse information. En effet, une publication Facebook annonçait son décès.
Dans une déclaration à Ennahar Tv, relayée par Alg24, Athmane Ariouet a tenu à préciser que ce n’était que de fausses rumeurs. « Je suis en bonne santé » a-t-il précisé au média.
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Le GS Pétroliers, champion d’Algérie en titre, a concédé sa seconde défaite à domicile vendredi à l’occasion de la 6e journée du championnat de la Division nationale 1 de basket-ball.
Après sa première défaite devant le NB Staouéli, le GSP a été battu vendredi par le NA Hussein-Dey à la salle de Hydra. Une défaite qui remet en cause l’équipe qui participera incessamment aux éliminatoires de l’Afro-League qui auront lieu à Radès en Tunisie. Les Sang et or, intraitables jusqu’à présent, ont ainsi remporté leur 5e victoire consécutive en attendant la mise à jour du championnat. Idem pour le WO Boufarik qui réalise un parcours sans faute en réalisant cinq victoires sur cinq.
Leur dernière victime fut l’US Sétif que les gars de la ville des Oranges ont battu avec une différence de 39 points; une rencontre qui a d’ailleurs attiré du monde. L’IRBordj Bou-Arréridj enchaîne avec une 6e victoire et reste leader indétrônable du championnat. Le choc NB Staouéli-CRB Dar El-Beïda est revenu aux locaux (79-78) dans une rencontre qui a tenu toutes ses promesses avec un engagement de part et d’autre. En revanche, l’AB Skikda, lanterne rouge, reste la seule et unique équipe qui n’a réalisé aucune victoire.
Ahmed A.
Résultats
AB Skikda-IRBBA 51-68
OMS Miliana-USM Blida 69-48
PS El-Eulma-O Batna 88-64
WO Boufarik-US Sétif 86-47
NB Staouéli-CRB Dar El Beïda 79-78
GS Pétroliers-NA Hussein-Dey 85-89.
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La sélection algérienne de handball seniors-dames sera mise à rude épreuve ce soir (19h) face à son homologue angolaise, tenante du titre, en quarts de finale de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2018 qui se déroule à Brazzaville (Congo). Les Algériennes, exemptées de la 5e journée disputée vendredi, ont bouclé le tour préliminaire avec un bilan d’une victoire devant la Côte d’Ivoire (27-25), un match nul face à la Tunisie (24-24) et deux défaites, respectivement face au Cameroun (18-32) et au Sénégal (22-35).
De son côté, l’Angola a écrasé ses adversaires lors du premier tour : Guinée (40-17), Maroc (50-14), RD Congo (33-24) et Congo (32-19), affichant d’emblée son ambition de préserver sa couronne. La mission des joueuses du sélectionneur Abdelkrim Bendjemil s’annonce ainsi d’ores et déjà très compliquée pour espérer passer l’écueil des Angolaises, largement favorites.
Programme (heure algérienne) Aujourd’hui
Quarts de finale
11h30 : Sénégal-Guinée
14h00 : RD Congo-Tunisie
16h30 : Cameroun-Congo
19h00 : Angola-Algérie
Lundi 10 décembre
9e – 10e places
11h : Côte d’Ivoire-Maroc
5e – 8e places
13h : Perdant Sénégal-Guinée / Perdant RD Congo-Tunisie
15h : Perdant Cameroun-Congo / Perdant Angola-Algérie
Demi-finales
17h : Vainqueur Sénégal-Guinée / Vainqueur RD Congo-Tunisie
19h : Vainqueur Cameroun-Congo / Vainqueur Angola-Algérie.
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ORAN – Le ministre des Affaires religieuses et Wakfs, Mohamed Aissa a affirmé samedi à Oran que « L’Algérie, qui garantit la pratique religieuse aux Non musulmans, est immunisée et ne craint rien pour son islam ».
A l’issue de la cérémonie de béatification de 19 personnalités catholiques à la chapelle de Santa Cruz dans les monts du Murdjadjo (Oran), le ministre a souligné que l’Algérie, en abritant cet événement religieux prouve de par ses dimensions civilisationnelles et universelles qu’elle est ouverte aux autres, immunisée et ne craint rien pour son islam.
« Ma présence à cette cérémonie comme représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a une signification politique eu égard à la Constitution algérienne qui consacre dans son article 47 la liberté d’exercer les cultes religieux aux Non musulmans et les garantit », déclaré le ministre.
« Personne n’a désormais le droit de douter sur l’assassinat des moines de Tibhirine tout comme celui d’autres religieux victimes de la barbarie du terrorisme aveugle qui n’a pas épargné 114 imams », a ajouté Mohamed Aissa.
Et de noter que « les familles des victimes dont des religieux non musulmans ont reconnu notre réconciliation nationale et le terrorisme sanglant qu’a connu l’Algérie dans les années 90 et que la loi portant sur la paix et la réconciliation nationale est venue plier ses pages ».
Le ministre a félicité, à cette occasion, l’Algérie pour l’organisation de la cérémonie de béatification des religieux catholiques victimes du terrorisme qui ont préféré rester en Algérie en temps de crise.
« Ceci est un message au monde que l’Algérie est un pays de pluralisme et d’ouverture qui exporte son expérience en matière de paix, de vivre ensemble et de prévention contre l’extrémisme », a-t-il dit.
La cérémonie de béatification a été marquée par la présence de quelque 1.400 personnes sur l’esplanade de la chapelle de Santa Cruz, de délégations représentant des pays chrétiens, de personnalités politiques et diplomatiques, d’hommes du culte et des familles des 19 religieux catholiques.
Des imams d’Algérie, le cheikh de la confrérie Alaouiya de Mostaganem, Khaled Bentounès et des représentants de la société civile d’Oran étaient également présents lors de cette cérémonie.
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ALGER- Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a reçu dimanche, à Alger, le Cardinal Angelo Giovanni Becciu, Préfet de la Congrégation pour les causes des Saints, représentant du Pape François, qui effectue une visite en Algérie, dans le cadre de la cérémonie de béatification des religieux catholiques qui a eu lieu, hier samedi à Oran, indiquent les services du Premier ministre, dans un communiqué.
L’audience s’est déroulée en présence de Mohamed Aissa, ministre des Affaires religieuses.
La cérémonie de béatification de l’ancien évêque d’Oran Pierre Claverie (1938-1996) et de ses 18 compagnes et compagnons de culte chrétien, morts en Algérie durant la décennie noire, s’est déroulée à la chapelle de Notre Dame de Santa Cruz, dans les monts du Murdjadjo (Oran), rouverte vendredi après sa restauration.
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La Direction de distribution de Bouira s’apprête dès ce samedi à entamer une campagne de recouvrement de ses créances impayées auprès de ses abonnés de la daïra de M’chédallah.
D’après un communiqué diffusé ce mercredi, la Direction de distribution de Bouira espère une aide dans le cadre de la sensibilisation de ses abonnés pour le payement de leurs redevances impayées, estimées à 22 millions dinars sur un total de 113 millions dinars de créances impayées au niveau de cette daïra. La DD compte mobiliser tous ses agents pour recouvrer ces créances auprès de ses abonnés sans recourir aux autres moyens comme les coupures et les voies de justice.
Pour rappel, les créances impayées sont restées longtemps l’apanage de cette région de la wilaya qui a refusé, dans le cadre des événements du printemps noir 2001, de payer les factures d’électricité et du gaz, pour protester contre le mauvais traitement réservé à la marche du 14 juin 2001 à Alger par l’unique télévision existante à l’époque, à savoir l’ENTV, laquelle percevait une taxe auprès de la Sonelgaz.
Depuis 2005, après la rencontre des délégués du mouvement citoyen de Kabylie avec le chef du gouvernement de l’époque, qui n’était autre que l’actuel Premier ministre, Ahmed Ouyahia, il a été décidé l’effacement des dettes de toutes les créances impayées d’électricité et du gaz, survenues entre juin 2001 jusqu’au 31 décembre 2004. Cependant, même après cette date, des centaines de citoyens de Kabylie en général et de la wilaya de Bouira, particulièrement dans la daïra de M’chédallah, continuent à ne pas payer les factures d’électricité et du gaz. Aussi, ce refus de s’acquitter des factures d’électricité et du gaz, s’accumulait d’année en année, et la DD de Bouira se retrouve à chaque exercice avec des dizaines de milliards de centimes de créances impayées. Cependant, il est bon de signaler que ces factures impayées ne sont pas l’apanage exclusif des citoyens mais également des institutions étatiques.
Comme l’indique le communiqué de presse de la DD de Bouira qui rappelle que les créances impayées qui reviennent aux abonnés privés sont estimées à 22 millions dinars soit un peu plus de 2 milliards centimes et concernent quelque 853 abonnés, alors que le total des créances impayées au niveau de la daïra de M’chédallah s’élèverait à 113 millions dinars. Soit un peu plus de 9 milliards de créances impayées qui reviennent aux institutions étatiques.
Y. Y.
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Arbre séculaire dans tout le pourtour méditerranéen et très présent dans le nord de l’Algérie, à l’est comme à l’ouest, source de revenus et de richesse très importante, protecteur des sols des piémonts contre l’érosion, l’olivier, est connu et exploité depuis des siècles tant dans les zones montagneuses que dans les plaines comme celle de l’Oranie.
Certains témoignages rapportent qu’en Algérie, il existe des oliviers qui datent de l’époque romaine dans le sud-est du pays et qui continuent de produire ce fruit tant recherché pour son huile qui fait partie du mode culinaire, qu’on utilise à usage thérapeutique pour certaines affections de la peau et pour sa chair nourricière. Même les noyaux extraits lors du pressage étaient utilisés pour se chauffer dans les zones rurales.
Malheureusement, l’embellie pétrolière a eu pour conséquence le désintéressement du travail de la terre, la perte du savoir-faire et le vieillissement du verger oléicole du pays, ce qui a conduit à une réduction considérable des surfaces exploitées et du coup, de l’oliveraie algérienne.
Cependant, cette tendance au désintéressement de l’oléiculture a commencé à s’inverser à la fin de la décennie 90 avec la mise en place d’abord du PNDA (Programme national de développement agricole) et du FNRDA (Fonds national de régulation et de développement agricole) ensuite.
Selon les services concernés, de 2000 à 2010, la superficie occupée par l’olivier qui avoisinait les 170 000 ha, a connu une extension de plus de 50%, et ce, de par la réhabilitation des vergers existants et par des actions de nouvelles plantations qui, depuis, sont entrées en production.
S’agissant de la culture de l’olivier sur le territoire de la wilaya de Aïn Defla, selon les chiffres de la DSA communiqués lors de la réunion du conseil de la filière, réunion tenue jeudi dernier, d’après le dernier recensement, la superficie occupée par l’olivier est de 8 517 ha à raison d’une moyenne de 100 arbres par ha, dont 6 770 ha en masse et 1 747 ha en isolé.
Toujours selon le service concerné, 6 488 ha sont en production dont 4 817 ha en masse et 1 671 en isolé. Selon certains membres du conseil de la filière oléicole, il existe de nombreuses exploitation illicites entretenues par des arboriculteurs sans titre officiel, qui se sont adonnés à cette arboriculture en procédant au greffage de l’oléastre (olivier qui s’est propagé naturellement sans intervention de l’homme dit olivier sauvage).
Toujours selon les intervenants, ces arboriculteurs qui se sont mis à greffer et à entretenir les oléastres greffés, sont pourchassés par les éléments de la Conservation forestière, leur interdisant cette activité et même l’irrigation des arbres en zone montagneuse au prix de mille efforts et se sont vu même poursuivis en justice et traînés devant les tribunaux.
«Nous œuvrons à l’extension de l’arboriculture oléicole et on nous l’interdit, pourtant nous faisons œuvre utile pour tous.»
En réponse, le représentant de la Conservation des forêts dira : «Nous sommes des agents assermentés et nous appliquons les textes de loi et ces textes, nous ne faisons que les exécuter», et il ajoute : «Dans le cadre du programme de développement de l’arboriculture rustique principalement, une superficie de 600 ha a été mise à la disposition des intéressés, cette superficie est située sur la colline se trouvant à l’est de Aïn Defla, le domaine Kouadri, ex-domaine Guimbaud, une superficie divisée en lots qui seront attribués en fonction du projet agricole et de son importance.» De plus, dira-t-il : «D’autres sites sont en voie d’être choisis à cet effet.»
Le problème de l’homologation de certaines variétés a été soulevé par nombre d’intervenants, l’un d’eux dira à ce sujet : «On ne comprend pas pourquoi la variété “verdale” n’est pas homologuée, pourtant, c’est une des variétés ancestrales chez nous la plus rentable, la plus prolifique dans les zones montagneuses des piémonts du nord et du sud de la wilaya et la plus adaptée au climat» et selon un transformateur possédant une grande expérience, un arbre peut donner jusqu’à 22 litres par récolte, «cette variété est très recherchée dans les pays voisins et nous nous en importons des variétés».
Pour le représentant de l’ITAF (Institut des techniques de l’arboriculture fruitière), cette variété ne nous a jamais été proposée à l’homologation. «A cette réponse, nombre d’intervenants n’ont pas manqué de réagir». Alors quel est votre rôle ? Ce n’est pas à votre institut de répertorier et de sélectionner les meilleures variétés et de les homologuer ? Il faut qu’un arboriculteur vienne vous proposer la variété «verdale très connue ?»
Par ailleurs, il a été posé par des titulaires de concessions de la filière, le problème de la réalisation sur leurs parcelles de structures, même préfabriquées, destinées à la remise des outils, des matériels d’exploitation et de loge de gardiennage bien que des exploitations aient fait l’objet de vols et de dégradation.
Les intéressés ont même reçu du service concerné des mises en demeure de détruire ces structures faute de quoi, leur titre de concession leur serait retiré, une mesure qui a soulevé la désapprobation générale. «Laisser notre exploitation sans gardiennage et sans abri pour nos matériels, c’est les mettre à la disposition de n’importe quel passant», ont expliqué des membres de la filière.
Il a été décidé en conclusion des travaux de conseil de la filière qu’un nombre de propositions accompagnées de tous les arguments en faveur du soutien à l’extension de l’arboriculture sera adressé au Conseil national de la filière et au ministre de l’Agriculture.
Karim O.
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Sanofi s’engage pour les enfants diabétiques algériens en organisant une manifestation scientifique nationale, destinée aux médecins pédiatres, traitant de l’actualité de la prise en charge du diabète chez l’enfant, à travers des conférences soulevant les problématiques rencontrées dans la prise en charge de l’enfant diabétique de type1.
La rencontre nationale a eu lieu les 6 et 7 décembre 2018 au Centre International des Conférences à Alger, en présence d’une centaine de pédiatres et de médecins généralistes qui prennent en charge le diabète de type1 de l’enfant.
Le diabète de l’enfant âgé de moins de 15 ans est le plus souvent un diabète de type 1, insulinodépendant lié à la destruction progressive des îlots de Langerhans du pancréas, il en résulte une hyperglycémie avec glycosurie, soif et perte de poids. En l’absence de traitement substitutif insulinique, il se complique par des troubles de la conscience qui peuvent évoluer vers le coma et le décès.
En Algérie la prévalence du Diabète de Type 1 ne cesse de croitre chez l’enfant de moins de 15 ans. Selon le registre DT1 de 2015 mené au niveau de la wilaya d’Alger, on retrouve une prévalence de 1,38 ‰ (pour mille) (¹).
Les progrès en termes de traitement par insuline, l’apport des nouvelles technologies, l’élargissement de
l’usage des lecteurs glycémiques ainsi que le recours à l’éducation thérapeutique au profit des enfants diabétiques permettent d’améliorer l’équilibre glycémique tout en réduisant le risque d’apparition des complications vasculaires chez le jeune diabétique de type1.
« Depuis plus d’un siècle, Sanofi développe des traitements d’insuline pour le diabète. Aujourd’hui, pour une meilleure prise en charge du patient diabétique en Algérie, nous combinons nos services, nos dispositifs médicaux, à notre savoir-faire historique, en proposant davantage que des médicaments, visant à améliorer la qualité de vie et à soutenir les patients et les systèmes de santé.» a déclaré Haissam Chraiteh, Directeur Général de Sanofi Algérie. « Cette première édition de la Diabétologie en Mouvement Junior (DEM) répond parfaitement à notre volonté forte de renforcer notre contribution et notre partenariat avec les professionnels de la santé pour relever les grands défis de santé pédiatrique, ensemble.» a-t-il ajouté.
(¹) Registre diabète de type 1 de l’enfant de moins de 15 ans au niveau de la Wilaya d’Alger 2015.The post Sanofi réunit experts et pédiatres autour de la première rencontre intitulée la Diabétologie en Mouvement JUNIOR appeared first on .
Un ressortissant algérien ,âgé de 51 ans, est décédé dimanche dernier au Royaume-Uni après voir été retenu dans un centre de détention pour migrants.
Le corps du quinquagénaire devrait être rapatrié depuis l’aéroport Heathrow à Londres.
Le journal britannique “The Independent” a rapporté dans son numéro de vendredi que la nouvelle a été annoncée par le ministère britannique de l’Intérieur. “Nos pensées vont à la famille (du défunt) en ces moments tristes”, a déclaré le porte parole dudit ministère, avant de renchérir: “Comme lors de chaque décès survenu dans un centre de rétention, la police a été alertée et l’affaire a été confiée à l’Ombudsman des prison et de la surveillance”.
“Aucun détail supplémentaire ne sera communiqué au moment où les enquêtes se poursuivent”, a-t-il insisté.
Notons que cette source n’a pas précisé les causes de la mort du quinquagénaire, sachant que The Independent n’a pas non plus divulgué l’identité de la victime, soulignant que sa famille a été informée.
Echorouk / Traduit par: Moussa. K.
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Nouvelle consécration internationale pour Ooredoo Algérie, qui vient de remporter le Prix « Gold Stevie Award » pour son application « Haya ! Chiche » dans la catégorie Marketing lors de la 15ème cérémonie des International Business Awards 2018, organisée récemment à Londres (Royaume-Uni).
Le Jury des International Business Awards a ainsi distingué l’application « Haya ! Chiche » lancée par Ooredoo qui est un concept inédit de challenges et de jeux permettant aux participants de gagner de nombreux cadeaux.
L’application avait suscité un fort engouement auprès des clients de Ooredoo, notamment sur la page Facebook de Ooredoo Algérie qui regroupe aujourd’hui plus de 6 millions de fans, soit la page commerciale la plus suivie en Algérie.
Pour rappel, Ooredoo a déjà remporté, lors des précédentes éditions, huit (08) prix « Stevie Award » avec notamment le projet des cliniques médicales mobiles lancées en partenariat avec le Croissant Rouge Algérien, son prestigieux concours Media Star, destiné aux journalistes professionnels algériens, son programme Oobarmijoo destiné aux jeunes porteurs de projets de création d’applications et de solutions mobiles innovantes, ainsi que ses programmes iStart dédié aux jeunes développeurs algériens et tStart, pour le soutien aux jeunes créateurs de start-ups technologiques.
L’organisation « Stevie Awards » qui décerne les International Business Awards est basée aux Etats-Unis. Elle récompense les accomplissements des entreprises ainsi que les contributions positives des professionnels à travers le monde opérant dans différents domaines. En effet, les International Business Awards sont les seuls prix mondiaux qui reconnaissent les réalisations des entreprises à tous les niveaux.
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