ÉTAPE 1 : Préchauffez le four th.6 (180°C).
ÉTAPE 2 : Battez les oeufs, le lait et l’huile.
ÉTAPE 3 : Ajoutez la farine et la levure puis le gruyère, les tomates égouttées et coupées en dés, les olives, le basilic. Salez et poivrez.
ÉTAPE 4 : Versez dans un moule à cake beurré et enfournez pendant 40 min.
ÉTAPE 5 :Piquez à l’aiguille pour surveiller la cuisson, elle doit ressortir sèche.
ÉTAPE 6 : Démoulez froid.
ÉTAPE 7 : On peut faire des cakes individuels. Réduisez alors la cuisson (20 à 25 min) à surveiller suivant les fours.
The post Cake aux tomates séchées appeared first on .
Voici une recette de cake au thon et à la tomate qui sera idéale pour un apéritif coupée en morceau ou alors pour une entrée servie en tranche avec de la salade et une vinaigrette maison. Réalisé ainsi avec du gruyère râpé, du thon au naturel, du concentré de tomate et de l’huile d’olive, essayez sans plus attendre ce cake salé facile et rapide à réaliser.
ÉTAPE 1 : Préchauffez le four à 180°C.
ÉTAPE 2 : Mélangez la farine blanche et la levure chimique dans un saladier. Creusez un puit au centre et ajoutez les oeufs entiers, le lait tiède et l’huile d’olive. Mélangez bien jusqu’à obtenir une pâte bien lisse et homogène.
ÉTAPE 3 : Egouttez et émiettez le thon au naturel dans un récipient à l’aide d’une fourchette. Ajoutez-le avec le concentré de tomate et le gruyère râpé à la préparation. Salez et poivrez à votre goût puis mélangez de nouveau.
ÉTAPE 4 : Beurrez et farinez un moule à cake et versez-y la pâte. Enfournez le cake au thon et à la tomate et faites-le cuire pendant 40 minutes en vérifiant la cuisson avec la pointe d’un couteau. Elle doit ressortir propre et sèche à la fin de la cuisson.
ÉTAPE 5 : Quand le cake au thon et à la tomate est bien cuit, sortez-le du four et laissez-le tiédir sur une grille. Démoulez-le ensuite dans un plat de service. Ensuite présentez-le sur un plat de service et dégustez-le pour votre entrée ou pour l’apéritif.
The post Cake au thon et à la tomate appeared first on .
ÉTAPE 1 : Nettoyez et épongez les feuilles de menthe fraîche.
ÉTAPE 2 : Nettoyez et épongez l’orange. Coupez-la en fine rondelles.
ÉTAPE 3 : Remplissez le shaker de glace pilée et versez-y le jus d’orange, le jus de citron, le jus de pamplemousse rose, le sirop de grenadine, le jaune d’oeuf et le sucre en poudre.
ÉTAPE 4 : Secouez le shaker pendant 30 secondes et versez le punch sans alcool aux jus de fruits dans deux grands verres.
ÉTAPE 5 : Allongez les punchs d’eau gazeuse très fraîche et mélangez bien.
ÉTAPE 6 : Ajoutez pour finir les feuilles de menthe fraîche dans les punchs sans alcool aux jus de fruits et remuez.
ÉTAPE 7 : Servez et dégustez aussitôt pendant que les punchs sans alcool aux jus de fruits sont encore bien frais.
The post Punch pour enfants aux jus de fruits et à la grenadine appeared first on .
PARIS- L’islamologue franco-algérien Ghaleb Bencheikh El Hocine a été nommé à la tête de la Fondation de l’Islam de France (FIF) en remplacement de Jean-Pierre Chevènement, a-t-on appris vendredi auprès de la fondation.
Administrateur, membre du bureau de la FIF depuis décembre 2016, Ghaleb Bencheikh a été élu président jeudi lors de son huitième conseil d’administration à l’unanimité moins une voix, a-t-on ajouté, précisant que son prédécesseur n’a pas voulu renouveler son mandat à la présidence de cette fondation, créée il y a deux ans.
Selon un communiqué, Jean-Pierre Chevènement, qui a été nommé à l’unanimité président d’honneur, a indiqué qu’après la phase de lancement, il lui paraît « normal » qu’un renouvellement s’opère à la tête de la fondation et qu’elle soit présidée par un citoyen français de confession musulmane « sensible aux enjeux culturels ».
La nomination en 2016 de Jean-Pierre Chevènement à la tête de la FIF a suscité de vives critiques auprès de la communauté musulmane en France qui n’avait accepté que cette fondation de l’islam soit présidée par un Français de confession chrétienne, rappelle-t-on.
Pour sa part, le nouveau président, fils du cheikh Abbas Bencheikh El Hocine, recteur de la Grande Mosquée de Paris de 1982 à 1989, a affirmé que la Fondation « aura à coeur la prise en charge, sur les plans éducatif, culturel et social, de la jeunesse qui pourrait céder aux sirènes salafistes ».
« C’est une institution laïque qui se veut un espace d’ouverture et de rayonnement du savoir : c’est le lieu du débat intellectuel, de l’échange culturel et de l’élaboration du projet civilisationnel à opposer notamment aux islamistes », a-t-il dit, soulignant par ailleurs que l’un des objectifs de la FOF est de « favoriser la connaissance du fait islamique ».
Dans ce contexte, il a fait part de quelques grandes lignes directrices pour les deux ans à venir, dont notamment le financement de la fondation, la formation « profane » des cadres religieux musulmans, la recherche en islamologie par l’octroi de bourses et d’allocations doctorales et la création d’une université populaire pour arrimer le grand public à la connaissance du fait islamique.
Ghaleb Bencheikh El Hocine est docteur des ès sciences diplômé de l’Université Paris 6. Il a suivi parallèlement une formation philosophique à l’Université Paris 1. Islamologue de renom, il est l’auteur de nombreux ouvrages dont principalement un « Petit manuel pour un islam à la mesure des hommes » (JC Lattès, 2018), « Le Coran expliqué » (Eyrolles, rééd. déc. 2018), « Juifs, Chrétiens et Musulmans : « Ne nous faites pas dire n’importe quoi !» » (avec Philippe Haddad et Jacques Arnould, Bayard 2008), « Lettre ouverte aux islamistes » (avec Antoine Sfeir, Bayard, 2008) et « La laïcité au regard du Coran » (Presses de la Renaissance, 2005).
Il présente depuis 2000 l’émission Islam sur France Télévisions le dimanche matin.
The post Ghaleb Bencheikh succède à la tête de la Fondation de l’islam de France appeared first on .
ALGER- La vaccination est le meilleur moyen de prévenir les maladies infectieuses telles que la rage et la brucellose et les maladies réémergentes dont le choléra et la diphtérie, a indiqué Pr. Nassima Achour, spécialiste en maladies infectieuses.
S’exprimant en marge de la 2e édition des journées des maladies virales, la responsable du service des maladies infectieuses à l’établissement hospitalier spécialisé (EHS), El Hadi Flici, a affirmé que « tout adulte non vacciné est tenu de se rendre à un centre spécialisé pour se prémunir contre les maladies infectieuses ».
A ce propos, Mme Achour a dit que l’état de santé de plusieurs personnes atteintes de maladies chroniques ou immunodéficients n’ayant pas été vaccinés contre des maladies infectieuses, s’est détérioré davantage, après avoir contracté une maladie virale, entrainant ainsi la mort de certains.
Déplorant le fait qu’au 21 siècle, des citoyens sont exposés à des maladies virales transmissibles par des animaux à l’image de la rage, la brucellose et le kyste hydatique, la Pr. Achour a relevé que cela était dû « à l’absence de campagnes de sensibilisation et à la négligence du citoyen ».
Elle a affirmé, par ailleurs, que la lutte contre les maladies virales ne concernait pas uniquement le ministère de la Santé mais plutôt l’ensemble des secteurs dont le ministère de l’Environnement notamment en ce qui concerne l’hygiène, celui de l’Agriculture, s’agissant de vaccination du bétail contre les maladies virales transmissibles à l’Homme, outre le secteur de l’Intérieur et des Collectivités locales qui se charge de la lutte contre les insectes et l’assainissement des canalisations polluées.
Mme. Achour a mis en garde contre l’utilisation abusive des antibiotiques qui « rendent plus résistants les virus de ces maladies qui apparaissent de temps à autres », fustigeant « les médecins qui ne respectent pas l’éthique de prescription des médicaments antiviraux ».
S’agissant du VIH, la membre de la Société algérienne d’infectiologie a regretté l’organisation occasionnelle de campagnes de sensibilisation uniquement lors de la journée mondiale de lutte contre cette maladie », soulignant l’importance de la sensibilisation au niveau des établissements éducatifs aux dangers de cette épidémie.
The post La vaccination est le meilleur moyen pour prévenir les maladies infectieuses appeared first on .
SOUK AHRAS- Le défunt moudjahid Redjem Bouchrika a été inhumé, jeudi au cimetière de Souk Ahras, en présence des autorités locales et de plusieurs moudjahidine et compagnons d’armes.
Dans une oraison funèbre prononcée à l’occasion, le secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Larbi Oudainia, a rappelé le courage du moudjahid, décédé mercredi soir à l’âge de 86 ans suite à une longue maladie.
Le défunt, né le 10 décembre 1932 à Beni Barbar dans la wilaya de Souk Ahras, a participé avec plusieurs autres moudjahidine dans plusieurs batailles violentes durant la révolution de libération et fut grièvement blessé, nécessitant son transfert à deux reprises en Tunisie en 1958 pour recevoir les soins nécessaires.
Le moudjahid est par la suite resté en Tunisie avec des moudjahidine en contribuant à la révolution par l’envoi d’armes, poursuivant ainsi sa lutte pour la libération de l’Algérie jusqu’à l’Indépendance.
Le défunt a laissé une veuve et 12 enfants.
The post Le défunt moudjahid Redjem Bouchrika inhumé au cimetière de Souk Ahras appeared first on .
ALGER- Des vents forts parfois en rafales, dépassant les 60 km/h, continueront à souffler jusqu’à vendredi soir, sur plusieurs wilayas du pays, selon un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par les services de l’Office national de météorologie.
Les wilayas concernées sont Naama, El Bayadh, Laghouat, Tiaret, Djelfa, M’Sila et Biskra, précise la même source.
La validité de ce BMS cours jusqu’à 21h00 et sera marquée par des vents nord-ouest de 60 à 70 km/h avec de fortes rafales.
The post Des vents forts parfois en rafales sur plusieurs wilayas du pays appeared first on .
CONSTANTINE- Segment patrimonial et identitaire de la ville du Vieux Rocher avec un cachet architectural arabo-mauresque particulier, le plus que centenaire hôtel « Cirta » de Constantine achève laborieusement son long « bain de jouvence ».
Fermé depuis le mois de juillet 2014 pour les besoins d’une modernisation en profondeur visant à le hisser aux standards internationaux, l’emblématique hôtel « Cirta » est en phase avancée d’opérationnalité, mais sa réception prévue au printemps prochain reste tributaire de la fermeture de l’avenue Rahmani Achour (ex-Bardo).
Avec un taux d’avancement des travaux estimé à plus de 90%, cet établissement hôtelier, édifié en 1912, sera mis en service au cours du premier trimestre 2019, voir en avril au plus tard, a affirmé à l’APS Bachir Belouahem, assistant auprès de la société d’investissement hôtelier (SIH), maitre d’ouvrage délégué, ajoutant que d’ici la fin du mois de décembre 2018, cet établissement hôtelier sera d’ores et déjà finalisé à hauteur de 95%.
Il ne restera plus que l’acheminement de certains matériaux très spécifiques qui devrait avoir lieu au cours des trois premiers mois de l’année 2019, révèle ce même responsable qui a exprimé, toutefois, des « craintes » quant au respect du timing prévu pour son ouverture officielle suite à un « différend » avec les responsables de la commune de Constantine.« L’ouverture de l’hôtel Cirta, dont la modernisation a nécessité un montant de 4,6 milliards de dinars, risque d’être retardée voire compromise à cause du refus des services de la commune de Constantine de procéder à la fermeture de la rue Rahmani Achour, plus précisément un tronçon routier de 110 mètres attenant à l’entrée principale de l’hôtel », a-t-il souligné.
Selon cette même source, « l’APC de Constantine refuse de fermer cette voie qui fait actuellement office de stations de taxis à destination de la commune d’El Khroub et du nouveau pôle urbain de Massinissa notamment ».
Les responsables du projet ont proposé « une voie alternative » pour régler ce problème.
Assurant que la fermeture de cette route est « une condition sine qua non » pour l’ouverture officielle du « Cirta », M. Belouahem relève que les travaux ont pris 52 mois depuis la fermeture de l’hôtel en juillet 2014 jusqu’à présent, à cause, dit-il, des coups d’arrêts que le projet a enregistré.
Indiquant, à ce propos, que l’entreprise chinoise chargée des travaux devait procéder à l’opération de modernisation dans un délai n’excédant pas 18 mois, il a rappelé, entre autres, « l’écueil de la laborieuse délocalisation des marchands de laine en janvier 2017, qui occupaient près de la moitié de l’assiette destinée à l’extension de l’hôtel ».
Dans ce contexte, M. Belouahem a assuré que le wali de Constantine ainsi que les autorités centrales (Premier ministre et le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales) ont été saisis au sujet du problème lié à l’annexion de la voie adjacente à l’entrée principale de l’hôtel, tel qu’il est stipulé, soutient-il, par le permis de construire délivré en 2014, avant le début de la manifestation « Constantine capitale de la culture arabe 2015 ».
Contacté, Dr Nadjib Arab, président de l’Assemblée populaire communale de Constantine, a opposé une « fin de non-recevoir » à la requête des responsables du projet de modernisation du Cirta, dans une déclaration faite à l’APS, affirmant que « la commune ne donnera pas son accord pour la fermeture d’une route qui représente une partie du patrimoine de la ville ».
« Il est absolument impossible pour l’APC de Constantine d’accorder son approbation pour la fermeture de cette rue », a-t-il indiqué, affirmant qu’avec l’aménagement et la réhabilitation de la place Kerkeri (située à l’arrière de l’hôtel), « le problème des taxis sera réglé puisqu’ils ne stationneront plus devant l’entrée du Cirta ».
Pour rappel, l’hôtel « Cirta » devrait rouvrir ses portes sous l’enseigne de la prestigieuse marque Autograph Collection du Groupe hôtelier Marriott, accordée à des hôtels d’exception de par leur architecture, histoire, authenticité et originalité, pour devenir ainsi le premier hôtel du genre en Algérie et dans la région du Maghreb.
Au terme des travaux de modernisation dont il fait l’objet, cet établissement hôtelier sera requalifié en Palace et comptera 46 suites, une piscine couverte, un parking souterrain, ainsi qu’une salle de spectacles-restaurant de 400 places, née de la transformation de son ancienne salle de cinéma dont la réhabilitation a eu lieu en étroite collaboration avec l’agence nationale des secteurs sauvegardés (ANSS) relevant du ministère de la Culture.
The post Constantine: l’hôtel « Cirta » achève son long « bain de jouvence » appeared first on .
BATNA- Une ambiance enthousiaste a marqué, jeudi, la soirée d’ouverture de la 10ème édition du festival culturel national de théâtre d’expression amazighe au théâtre régional de Batna.
La cérémonie a été particulièrement rythmée par la musique folklorique, moderne et traditionnelle de la troupe « Newzik » de la ville de Merouana qui a régalé le public avec différentes variations de la langue amazigh.
Le festival, ouvert à tous les créateurs en théâtre, a pour finalité de « contribuer à l’ancrage de la culture de la fraternité et de la réconciliation et la revalorisation de la culture amazighe », a indiqué à l’occasion le commissaire de la manifestation, Salim Souhali.
Tenue en présence des autorités locales et figures artistique, la cérémonie d’ouverture a été marquée par la distinction à titre posthume du comédien Mahieddine Bouzid dit Mehiou, décédé le 11 octobre dernier des suites d’une maladie.
Pas moins de 10 spectacles de 6 associations et de coopératives culturelles de Tizi-Ouzou, Ouargla, Ghardaïa, Bejaia et des théâtres régionaux d’El Eulma, Oum El Bouaghi, Bejaia et Tizi-Ouzou sont programmés durant ce festival auquel Batna ne participera par aucune oeuvre, pour la première fois.
Une journée d’étude sur l’écriture théâtrale en langue amazighe et une exposition de livres amazighs sont également prévus en marge de la manifestation.
Au cours d’une conférence de presse, le commissaire du festival a souligné que la 10ème édition du festival ne verra pas l’organisation de sessions de formation aux techniques du théâtre au profit des jeunes talents, à cause du budget limité du festival et de l’absence également d’une culture du sponsoring.
The post festival du théâtre amazigh de Batna: Ambiance enthousiaste lors de la soirée d’ouverture appeared first on .
ALGER- Un don de 91 manuscrits anciens, écrits par des auteurs algériens, a été remis jeudi par l’ancien ministre de l’Education nationale, Mustapha Benamar, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma.
Remis lors d’une cérémonie officielle présidée par le ministre de la Culture, Azzeddine Mihoubi, les 91 manuscrits sont dans leur majorité des oeuvres originales ou des apographies d’auteurs algériens restituant six siècles d’histoire de l’Algérie.
Ibn Rachik El M’Sili (IVe siècle de l’hégire), auteur de plusieurs ouvrages de littérature et de poésie sur sa ville natale, d’Abou Abdellah Mohamed Benyoucef Essenouci, doyen des savants de Tlemcen durant le IXe siècle, d’Abderrahmane Etaâlibi, célèbre savant durant les VIIIe et IXe siècles de l’hégire, d’Abi Rass El Moaskri, auteur de carnets de voyages notamment, et d’Ahmed Benyahia El Ouencharissi, comptent parmi les auteurs de ces manuscrits.
Mustapha Benamar qui avait fait don en 2015 d’un premier lot de 68 manuscrits d’auteurs orientalistes, a indiqué que par cet acte il souhaitait « encourager » les étudiants et les chercheurs à faire connaitre le passé culturel et scientifique de l’Algérie.
Qualifiant ce don d’ « inestimable », le ministre de la Culture a pour sa part appelé les détenteurs de ce patrimoine à le mettre à la disposition du public à travers des « dons ou ventes aux institutions culturelles », soulignant au passage, la « nécessité de répertorier » tous les manuscrits existants.
A l’issue de la cérémonie, Mihoubi remis à l’ancien ministre une distinction honorifique pour l’ensemble de sa carrière et en « reconnaissance » de l’intérêt qu’il accorde à la recherche et à ‘histoire de l’Algérie.
The post Un don de 91 manuscrits remis à la Bibliothèque nationale appeared first on .
ALGER- Une exposition rassemblant les oeuvres d’une quarantaine de créatrices dans les domaines de la photographie d’art, de la peinture et de l’artisanat, a été inaugurée jeudi à Alger à la faveur du 8e Festival national de la création féminine.
Cette édition qui se tient au Palais de la culture Moufdi-Zakaria, et inaugurée par le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi, est placée sous le thème « Jeunes regards sur les arts » exposant ainsi les travaux d’élèves et apprenties chapeautées par d’anciennes participantes à ce festival.
Pour la première fois cette année le Festival de la création féminine ouvre ses portes à des plasticiennes comme Djazia Berber, qui propose un travail abstrait explorant les nuances, le mouvement et une forme particulière de symétrie et d’effet miroir, l’illustratrice Brahami Madina exposant une série de portraits au crayon ou encore Samah Ould Arab qui a dévoilé des toiles réalisés en digital painting.
De jeunes plasticiennes ayant participé en avril dernier à la manifestation « Le printemps des arts « ont exposé de nouveau leurs oeuvres à l’instar de Hadjer Boughanem qui apporte une conception contemporaine en diversifiant les supports et en s’essayant, en plus de la peinture, à la sculpture, et de Ismahane Mezouar.
Avec les paysages urbain comme principal source d’inspiration, les photographes et graphistes Khadidja Zouaoui, Yasmine Lababou, Celia Ameur, Imène Nesrine Kerdel et Meryam Meghfour exposent leurs oeuvres.
Pour le volet artisanal, la commissaire du festival, Hamida M’hamsadji Agsous, a indiqué avoir « contacté les exposantes des précédentes éditions pour exposer les úuvres de leurs élèves et apprenties » dans les domaine du tissage, de la mosaïque, de la céramique ou encore de la poterie.
Le tissage traditionnel a vu la participation de six exposantes qui ont reproduit les techniques ancestrales de cet art au même titre que la broderie. Des métiers où les artisanes ont reproduit et revisité les costumes traditionnels pour créer des objets actuels et utiles au quotidien.
Pour leur part, Nawal Madani, Lynda Lalaoui et Hafsa Zoubida Ghalem proposent au visiteur des úuvres en céramique, des décoration et des meubles ornés de mosaïque ou encore des tableaux ou la mosaïque remplace la toile et le peinture.
Le 8e Festival national de la création féminine se poursuit jusqu’au 17 décembre et prévoit des conférences sur la photographie et les métiers de l’image et sur l’art de la broderie.
The post Ouverture du 8e Festival national de la création féminine appeared first on .
ALGER- 13 personnes ont trouvé la mort et 288 autres ont été blessées dans 241 accidents de la circulation survenus au niveau des zones urbaines, a indiqué jeudi un bilan des services de la Sûreté nationale.
Par rapport aux statistiques de la même période de l’année dernière, le bilan fait état d’une baisse des accidents de la circulation (-3), des blessés (-11) et de décès (-4), a précisé le communiqué.
Le facteur humain demeure la principale cause des accidents avec un taux dépassant les 95% en raison du non-respect de la distance de sécurité, de l’excès de vitesse, de la fatigue en sus d’autres facteurs liés au véhicule et à l’environnement, indique-t-on de même source.
La DGSN rappelle également le numéro vert 15-48 et de secours 17 mis à la disposition des citoyens 24h/24h.
The post Accidents de la route: 13 morts et 288 blessés en une semaine dans les zones urbaines appeared first on .
ALGER – La sélection algérienne d’haltérophilie a réalisé une moisson de 69 médailles (12 or, 30 argent et 27 bronze), lors du Championnat arabe (cadets, juniors et seniors), garçons et filles, qui a pris fin jeudi en Egypte, a-t-on appris de la direction technique de la Fédération algérienne (FAH).
La palme d’or est revenue à Farid Saad (102 kg), auteur de huit breloques dans les trois catégories d’âge dont trois en or en cadets et à Bouchra Hireche (87 kg) qui a remporté 3 médailles d’or en juniors et autant en argent chez les seniors. Vient en 3e position chez les plus performants Djalal Benfriha (juniors) avec trois or dans la catégorie des 96 kg, suivi de son compatriote Mohsan Bediar (cadets) qui s’est adjugé trois vermeil.
Sur les 22 athlètes ayant représenté l’Algérie, trois sont rentrés bredouilles.
« Cette moisson était dans nos prévisions et cette compétition, une des six inscrites au calendrier de la Fédération internationale, est qualificative aux Jeux Olympiques-2020 de Tokyo. Elles permettent aux athlètes de comptabiliser des points », a indiqué Djamel Aggoun, directeur technique national de la FAH à l’APS.
The post Haltérophilie/Championnat arabe (toutes catégories): 69 médailles dont 12 en or pour l’Algérie appeared first on .
LE CAIRE- Les ministre du Commerce des pays de l’Union africaine (UA) ont appelé jeudi au Caire à intensifier la formation pour l’émergence d’une main d’oeuvre qualifiée capable de lancer une « industrie afro-africaine ».
Au terme des travaux de la 7ème réunion des ministres africains du Commerce, tenue mercredi et jeudi au Caire, en présence du ministre du Commerce, Said Djellab, les participants ont préconisé l’assouplissement des procédures relatives à l’activité commerciale entre les pays africains pour parvenir à la création de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) et de mettre à profit leur potentiel en ressources humaines.
Ils ont affirmé que la ZLECAF contribuera significativement à une réelle transformation locale des ressources naturelles africaines et la création de chaînes de valeur favorables à la promotion de l’emploi et de richesses.
Ils ont, en outre, souligné l’impératif pour la concrétisation du projet de cette zone réside dans le développement des chaînes de logistique, en priorisant le transport aérien et ferroviaire, appelant les Etats africains n’ayant pas encore signé l’accord de mise en oeuvre de la ZLECAF à le faire dans les plus brefs délais.
Les hauts fonctionnaires du commerce africain se sont dit pour la levée des mesures protectionnistes susceptibles de freiner la mise en oeuvre de cette zone ou de la rendre impossible, précisant que le démantèlement tarifaire permettrait le renforcement des échanges commerciaux intra-africains.
Dans une déclaration à la presse algérienne, au terme de la réunion, le ministre du Commerce, Said Djellab a expliqué que les négociations autour de ZLECAF avaient « bien avancé » et abouti à de « bons résultats ».
Le ministre a avancé que l’étape suivante dans le processus de création de cette zone, consistait à préparer le terrain au niveau national, afin de réunir les conditions nécessaires au lancement de ce projet continental.
Il a, par ailleurs, fait savoir que les pays africains s’accordaient une période de grâce de cinq ans avant le libérer le commerce des produits qu’ils jugent « sensibles », en raison de leur importance pour leur économie.
Ces produits peuvent être industriels, agricoles ou les deux à la fois, a-t-il indiqué, ajoutant, cependant, que la libéralisation du commerce des produits classés non sensibles, se fera dès l’ouverture de la ZLECAF.
M.Djellab a, en outre, indiqué que toutes les zones de libre-échange créées jusqu’à maintenant dans certaines sous-régions d’Afrique, seront absorbées progressivement par la ZLECAF sur une période de dix ans.
La 7ème réunion des ministres du Commerce de l’UA s’est tenue en marge de la 1ère édition de la Foire commerciale intra-africaine (IATF-2018), ouverte mardi dernier au Caire, en présence notamment d’une quarantaine d’entreprises algériennes activant dans divers secteurs hors hydrocarbures.
Cette foire a pour but de stimuler le commerce intra-africain et soutenir la mise en oeuvre de la ZLECAF dont l’accord avait été signé en mars 2018 par 44 chefs d’Etat et de gouvernement africains lors du sommet extraordinaire de l’UA à Kigali (Rwanda).
La décision d’établir la ZLECAF avait été adoptée en 2012 lors de la 18ème session ordinaire de l’Assemblée des chefs d’Etats et de gouvernement de l’UA, tandis que les négociations sur la ZLECAF au sein de l’UA avaient débuté en 2015.
Cette zone a pour but de constituer un marché unique pour les biens et services au niveau du continent en assurant la libre-circulation des activités et des investissements. Ce qui devrait permettre, selon l’UA, d’accélérer la mise en place de l’Union douanière africaine.
The post Afrique: intensifier la formation pour l’émergence d’une main d’oeuvre qualifiée appeared first on .
WASHINGTON- L’administration américaine a réitéré l’intérêt et lئengagement à résoudre le conflit au Sahara occidental, exigeant « un mandat robuste » pour la Minurso en mesure de faire progresser le processus onusien.
La position américaine a été réaffirmée jeudi, par John Bolton, le Conseiller à la sécurité nationale du président Trump qui a exprimé sa « frustration » devant le blocage que connait la question sahraouie, 27 ans après que l’ONU a institué la Minurso pour organiser un référendum d’autodétermination dans ce territoire.
Invité par le groupe de réflexion républicain, Heritage Foundation, pour débattre de la nouvelle stratégie des Etats-Unis en Afrique, le chef du National Security Council (NSC), n’a pas manqué cette occasion pour expliquer la nouvelle démarche américaine pour régler ce conflit gelé.
Bolton a expliqué que le mandat de la Minurso est désormais lié aux progrès qu’elle va accomplir sur le terrain pour pousser à une solution politique.
« Si nous sommes vraiment déterminés à protéger les innocents dans les zones de conflit, nous devons insister pour que les opérations de maintien de la paix soient responsables, robustes et efficaces », a déclaré John Bolton lors de la présentation de cette nouvelle stratégie, dont une partie a été consacrée aux missions de maintien de la paix déployés en Afrique.
« En avril, les Etats-Unis ont fait exactement cela concernant la mission de maintien de la paix de l’ONU au Sahara occidental, vieille de plusieurs décennies. Nous avons demandé une période de renouvellement de la mission de six mois plutôt que d’une année, et nous avons insisté pour qu’un mandat robuste et efficace soit lié à des progrès politiques substantiels », a-t-il ajouté dans l’exposé qu’il a présenté à ce Think Tank Washingtonien.
C’est grâce à cette démarche, que « les partis au conflit et les pays voisins clé ont convenu de se rencontrer pour la première fois depuis 2012 » à Genève, a enchainé John Bolton. Le conseiller à la sécurité du président Trump a indiqué avoir discuté de la question sahraouie avec le représentant personnel du secrétaire général, Horst Kohler, affirmant que l’ancien président allemand possédait « des idées créatives » pour résoudre le conflit.
Bolton qui a annoncé durant ce débat une restructuration de l’aide américaine accordée à l’Afrique, a affirmé que les Etats-Unis n’allaient plus soutenir les missions « improductives ».
« Nous ne soutiendrons que les opérations efficaces et efficientes, et nous chercherons à rationaliser, reconfigurer ou mettre fin aux missions qui ne sont pas en mesure de remplir leur mandat ou à favoriser une paix durable », a-t-il averti.
Bolton qui connait très bien le dossier du Sahara occidental, pour avoir participé en 1991 à l’établissement du mandat de la Minurso, a regretté que les mandats des missions improductives soient renouvelés systématiquement chaque année sans quئelles obtiennent les résultats escomptés, à savoir mettre fin aux conflits.
Pour mieux illustrer la situation, l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, a cité une fois encore le Sahara occidental, son « exemple préféré », rappelant qu’un référendum dئautodétermination devait se tenir dans ce territoire il y de cela 27 ans.
« 27 ans de déploiement, 27 ans et la mission est toujours là, comment pouvez-vous justifier cela ? », s’est-il interrogé en s’adressant au parterre d’ambassadeurs africains, d’ONG et de personnalités américaines qui ont assisté à ce débat.
Bolton a estimé qu’il était nécessaire de « focaliser » sur les moyens permettant aux missions de maintien de la paix de l’ONU dئaccomplir leurs mandats avec succès.
Mais « le succès n’est pas de maintenir ces missions indéfiniment », a-t-il déclaré.
Le chef du NSC a soutenu que « les ressources, l’attention et l’effort » déployés dans le cadre de la Minurso « seraient plus productifs », s’ils ont été consacrés au développement des peuples de la région.
Le règlement du conflit au Sahara occidental permettra de réorienter les financements alloués à la mission au développement économique, a indiqué lئancien ambassadeur américain à l’ONU.
The post Sahara occidental: la Maison Blanche demeure engagée à résoudre le conflit appeared first on .
ALGER- Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib a réaffirmé, jeudi à Alger, la détermination de son secteur à prendre en charge toutes les préoccupations des citoyens en termes d’alimentation en eau potable et à suivre la réalisation des projets de raccordement tracés, dans le souci d’améliorer le Service public de l’eau.
Lors d’une plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN), présidée par Mouad Bouchareb, président de l’APN, le ministre a indiqué que « son département ministériel s’emploie à trouver des solutions définitives à toutes les préoccupations liées au raccordement au réseau d’alimentation en eau potable (AEP), pour assurer un Service public de qualité ».
Répondant à une question du député Boudjemaa Torche du Rassemblement national démocratique (RND) sur les mesures prises pour résoudre le problème du déficit en AEP enregistré au niveau de certaines communes de Mila (16 communes), M. Necib a précisé que cette wilaya, à l’instar d’autres wilayas, a bénéficié de projets structurels, reconnaissant, toutefois, que certaines communes connaissent encore des perturbations dans la distribution de l’eau.
En vue de pallier le déficit enregistré dans ces communes, les capacités de production ont été revues à la hausse pour généraliser graduellement la distribution quotidienne de l’eau et la réalisation d’autres opérations par étape, a expliqué le ministre, faisant état de la décision de la mise en place d’un programme d’urgence pour cette wilaya avec un montant de 70 milliards de centimes, dont 10 milliards de centimes assurés par le Fonds national de l’eau.
Il a ajouté, dans ce cadre, que son secteur avait entamé la réalisation de projets de réhabilitation des réseaux de distribution, d’augmentation des capacités de stockage et de réalisation de nouveaux puits, en sus de l’affectation de 40 milliards de centimes pour la réalisation de 21 puits supplémentaires, dans le cadre de la deuxième opération, à travers la restructuration du programme sectoriel pour l’exercice 2018.
Le secteur des ressources en eau a consolidé, également, la canalisation approvisionnant la wilaya de Mila à partir de la station de « Ain Tine », exposée fréquemment aux glissements de terrains caractérisant cette région, avec un montant de 300 milliards de centimes. Ce projet est en cours, a ajouté M. Necib.
Pour ces opérations, a poursuivi le ministre, la majorité des projets sera réceptionnée progressivement jusqu’au mois de mars 2019, ce qui impactera positivement l’alimentation en eau potable des communes souffrant de ce problème.
« 15 communes seulement sur 32 sont actuellement approvisionnées à partir du barrage de Béni Haroun (450 habitants), qui couvre 64% des besoins de la wilaya en matière d’AEP », a encore précisé le premier responsable du secteur.
Aussi, M. Necib a fait état d’un déficit en matière d’AEP au niveau de 16 communes qui ne sont pas alimentées à partir du barrage de Beni Haroun mais comptent sur les ressources locales (forages et puits).
Pour remédier à ce problème, le ministre a indiqué que son département ministériel avait effectué, dans une première étape, une étude globale pour la réalisation d’un système d’alimentation en eau potable à partir du barrage de Beni Haroun dont les résultats ont permis d’inscrire l’opération de réalisation du projet dans le cadre de l’autorisation du programme de 12 milliards DA, en faveur de 12 communes, au titre de de l’année financière 2018.
L’Agence nationale des barrages et des transferts (ANBT) gère cette opération, en confiant les marchés à 11 entrepreneurs pour réduire les délais de réalisation, a-t-il révélé.
A ce propos, M. Necib a fait savoir que le transfert des eaux du barrage de Beni Haroun vers les communes souffrant d’un déficit en la matière, sera mis en exploitation dès l’année prochaine.
Avec une enveloppe financière de 500 milliards de centimes, la wilaya de Mila bénéficiera, également, d’un deuxième projet relatif au transfert d’eau depuis le barrage de Tabellout (Jijel) vers 6 autres communes, situées au nord ouest de Mila, a indiqué le ministre, ajoutant que les travaux de ce projet seront lancés début 2019.
« Dès la finalisation des deux projets, 16 communes seront raccordées aux deux systèmes d’approvisionnement des barrages de Beni Haroun et de Tabellout, ce qui permettra d’améliorer l’alimentation des habitants en eau potable », a rassuré M. Necib.
Répondant à une autre question du député Khelifa Benslimane (Front El Moustakbal), sur le raccordement en eau potable du village Bouzbair à Hassi R’mel, le ministre a précisé que la wilaya de Laghouat connaissait généralement une abondance en eau potable et une distribution régulière sur l’ensemble des communes, et ce, grâce à un grand programme d’investissement ayant été consacré à la wilaya depuis l’année 2000.
Ces investissements ont permis, selon le ministre, une amélioration rapide de l’AEP à travers la wilaya, augmentant ainsi la production, à travers 35 puits en cours d’exploitation, assurant en général la couverture des besoins de la wilaya.
Necib a également précisé qu’une amélioration avait été enregistrée en termes d’AEP, accompagnée du parachèvement des projets en cours de réalisation, notamment pour la réalisation d’équipement et de raccordement d’un grand nombre de puits, la réalisation de 9 opérations d’AEP, avec une autorisation de programme d’un montant de 230 milliards de centimes qui concerne la réhabilitation des réseaux d’adduction et de distribution des eaux au niveau de la majorité des communes de la wilaya.
En ce qui concerne l’alimentation du village de Bouzbaier en eau potable, le ministre a affirmé que la commune était approvisionnée à partir d’un puits traditionnel à faible débit qui est rempli quotidiennement par quatre (4) camions citernes relevant de l’Algérienne des eaux (ADE).
Pour remédier à cette situation et sécuriser la source hydrique au profit des habitants du village, le ministre a fait savoir que la commune de Hassi R’mel a initié la réalisation d’un puits profond, mais les essais de pompage ayant échoué, induisant une réflexion autour du recours aux zones environnantes pour apporter l’eau.
Pour résoudre ce problème, le ministère a décidé, a dit M. Necib, de financer, à partir du Fonds national de l’eau, une étude de transfert des eaux depuis la région de Dhaya Louh vers le village Bouzbaier, sur une distance de 30 km.
The post Attachement à parachever les projets de raccordement en eau potable appeared first on .
ALGER- Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, a affirmé jeudi à Alger, que les autorités publiques avaient donné des instructions pour accélérer la cadence de réalisation des nouvelles zones industrielles à travers le territoire national, soulignant le transfert, aux walis, de la responsabilité de réalisation de 43 zones ».
« La création de 50 nouvelles zones industrielles s’inscrit dans le cadre du programme du président de la République », a déclaré le ministre lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée au questions orales présidée par Mouad Bouchareb, président de l’APN.
Répondant à une question du député Hassan Bounefla (RND) sur le lancement des travaux de réalisation de la zone industrielle de Ain Regada (Guelma), lors d’une plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée au questions orales, le ministre a rappelé que la création de 50 nouvelles zones industrielles s’inscrivait dans le cadre du programme du président de la République, et que la commune d’Ain Regada a bénéficié du projet de création d’une zone industrielle de 140 hectares.
Soulignant que l’Agence nationale d’Intermédiation et de régulation foncière (ANIRF) a été chargée de la réalisation de cette zone industrielle qui sera financée par le Fonds national d’investissement (FNI), M. Yousfi a indiqué que « les autorité publiques ont donné toutes les instructions en vue d’accélérer la cadence de sa réalisation ».
Il a précisé, à ce propos, que « lors de sa 84ème session, le Conseil national d’investissement (CNI) avait pris la décision N09 prévoyant le transfert, aux walis, de la réalisation de 43 zones industrielles, dont celle de Ain Regada » .
Ainsi, le dossier relatif aux études de réalisation de cette zone industrielle a été transféré, en date du 10 décembre 2017, à la Direction de l’urbanisme, de l’architecture et de la construction de
la wilaya de Guelma, a précisé M. Yousfi, ajoutant que la réalisation s’effectue en coordination entre les services du ministère de l’Industrie et ceux de la wilaya.
Le ministre a rappelé, encore le visa du cahier de charge par la commission sectorielle du ministère de l’Intérieur, en novembre 2018, le lancement de l’appel d’offres par la direction de l’urbanisme et de la wilaya puis l’ouverture des plis les 5 et 10 décembre en cours, ajoutant que cette opération a abouti à la sélection de 4 entreprises.
Pour accélérer la réalisation de la zone industrielle d’Ain Regada, le marché a été partagé en quatre lots en attendant le lancement des travaux début 2019, a conclu le ministre.
The post Nouvelles zones industrielles: des instructions pour accélérer la cadence de réalisation appeared first on .
ALGER – Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a annoncé jeudi, à l’issue de négociations de paix sur le Yémen en Suède, un « cessez-le-feu » dans la ville portuaire de Hodeida (ouest) par où transite l’essentiel de l’aide dans ce pays.
L’accord prévoit un retrait des forces gouvernementales et des éléments du mouvement antagoniste Ansarallah (Houthis) de la ville et du port contrôlé par les Houthis.
Ce retrait interviendra « dans les prochains jours », a indiqué l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Yémen, Martin Griffiths.
L’ONU jouera un « rôle clé » dans le contrôle du port, a précisé pour sa part Antonio Guterres lors d’une cérémonie solennelle en présence des représentants du gouvernement yéménite et des Houthis.
Le ministre yéménite des Affaires étrangères, Khaled al-Yémani, et le représentant des Houthis, Mohammed Abdelsalam, ont échangé une poignée de mains à forte portée symbolique à l’issue de la cérémonie.
al-Yémani a prévenu peu après que l’accord sur le retrait de Hodeida restait « hypothétique » jusqu’à sa mise en oeuvre.
La ville de Taëz, ravagée par les combats, doit également être soulagée aux fins d’ouvrir des corridors humanitaires. Aucun accord n’a en revanche été annoncé ni sur le redressement de l’économie yéménite, en lambeaux, ni sur la réouverture de l’aéroport de la capitale Sanaa.
Sous contrôle des Houthis et fermé depuis trois ans, l’aéroport fait de facto l’objet d’un blocus par la coalition militaire (sous commandement saoudien) intervenant au Yémen en appui au gouvernement du président Abd Rabbo Mansour Hadi.
Les négociations entre les protagonistes de la crise achoppent notamment sur le transit des avions par d’autres villes du pays avant leur atterrissage à Sanaa. Le gouvernement yéménite exige qu’ils soient fouillés pour empêcher l’importation illégale d’armes. Les médiateurs de l’ONU, qui ne nourrissaient que de maigres espoirs d’obtenir une percée en Suède, ont indiqué que les deux camps devaient se revoir fin janvier.
Le secrétaire général et son envoyé spécial Martin Griffiths cherchent un accord durable après quatre ans de guerre qui ont fait environ 10.000 morts et menacent jusqu’à 20 millions de personnes de famine, selon l’ONU. Le résultat de ces pourparlers sera présenté vendredi au Conseil de sécurité à New York.
== La communauté internationale dans l’expectative d’un accord définitif==
Les médiateurs de l’ONU ont indiqué que les deux camps devaient se revoir fin janvier pour tenter de définir un cadre de négociation en vue d’un règlement politique. En attendant, ces accords vont « améliorer la vie de millions de Yéménites », s’est félicité Antonio Guterres.
Un « cessez-le-feu » doit entrer en vigueur « dans les prochains jours » à Hodeida (ouest), port de la mer Rouge par où entre l’essentiel de l’aide dans ce pays, où sévit selon l’ONU « la pire crise humanitaire du monde ».
Les forces gouvernementales, soutenues par la coalition dirigée par l’Arabie saoudite, et les éléments houthis doivent se retirer de la ville et du port. Celui-ci est contrôlé par les insurgés et subit les offensives de la coalition.
« La communauté internationale continuera à faire du Yémen une priorité », a assuré le chef de la diplomatie suédoise, Margot Wallström, tandis que son homologue britannique Jeremy Hunt a fait le déplacement en Suède où il a rencontré les belligérants.
Etaient aussi présents les ambassadeurs d’Arabie saoudite et de pays occidentaux accrédités au Yémen (France, Royaume-Uni, Etats-Unis).
Pour le Centre de réflexion International Crisis Group (ICG), ces consultations ont « produit plus de résultats que ce que quiconque pouvait espérer ».
Les prochaines consultations doivent permettre de définir un cadre de négociation sur un processus politique, prélude à un règlement du conflit.
The post Négociations sur la crise au Yémen: une trêve dans la ville de Hodeida appeared first on .
CHLEF- Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, a plaidé, jeudi à partir de Chlef, pour l’encouragement de l’entrepreneuriat en milieu universitaire, tout en axant sur l’agriculture dans la création de micro-entreprises.
« La wilaya de Chlef est sur la bonne voie lui permettant de consacrer le développement escompté », a estimé M. Zemali dans une allocution à l’issue d’un exposé sur le secteur local de l’emploi qui lui a été présenté au Centre de regroupement et préparation des talents et de l’élite sportive.
Aussi, a-t-il appelé à l’encouragement de l’entrepreneuriat, tant en milieu universitaire, que dans celui de la formation professionnelle, « en tirant profit des avantages et facilitations assurées par les dispositifs publics de soutien à la micro-entreprise », a-t-il dit, « tout en permettant tant aux jeunes, qu’aux stagiaires d’avoir accès à toute les informations susceptibles de les aider dans le montage et la gestion de leurs micro-entreprises, selon les capacités de la wilaya », a-t-il observé.
M.Zemali a particulièrement insisté sur l’impératif d’encourager les jeunes diplômés universitaires et du secteur de la formation à investir dans les différentes filières agricoles, en relation avec l’industrie agroalimentaire et de transformation, notamment.
Dans un autre registre, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale a loué les efforts consentis par la wilaya en matière de création de l’emploi, dans le cadre des différents dispositifs d’aide à l’emploi et autres contrats de travail. Le taux de chômage à Chlef est de 8,56% (soit moins de deux points par rapport à la moyenne nationale).
Il a, en outre, recommandé aux responsables en charge du secteur d’adopter un plan d’action susceptible de permaniser, dans leurs postes, les diplômés intégrés dans le cadre des contrats d’insertion professionnelle, dans le secteur administratif.
A noter que la wilaya a enregistré, jusqu’au mois d’octobre écoulé, l’installation de 5.066 demandeurs d’emploi, dans cette formule (contrats de travail dits classiques).
M.Zemali a également instruit de la nécessité de développer un partenariat permanent entre les différents services concernés par ce segment, en prenant en compte sa dimension économique, tout en impliquant les différentes chambres professionnels (agriculture, commerce, industrie), et autres établissements du secteur de la formation.
En inspectant les agences de sécurité sociale de Ténes et Chlef, il n’a pas manqué, en outre, de souligner l’impératif de collecte des cotisations, en usant de tous les moyens permis par la Loi, tout en sensibilisant les citoyens, mais aussi les opérateurs économiques, « sur l’intérêt d’adhérer
aux caisses de sécurité sociale, tant pour eux mêmes, que pour la pérennité de ces structures et de la continuité de leurs prestations, au profit des catégories modestes de la société notamment ».
A une question des journalistes sur une possibilité de relèvement de la représentativité des catégories aux besoins spécifiques, fixée actuellement à 1%, le ministre a indiqué que ses services vont « oeuvrer en vue d’une révision de ce taux, à la hausse, à l’avenir ».
Durant cette visite à Chlef, M. Zemali a inauguré le siège de l’agence locale de l’emploi, avant une visite d’un nombre de micro-entreprises, créées dans le cadre des dispositifs ANSEJ et CNAN, outre l’inspection du chantier de la Caisse nationale des congés payés et du chômage intempéries.
The post Zemali: encourager l’entrepreneuriat en milieu universitaire appeared first on .
ALGER- La prise en charge des handicapés et la formation des enseignants spécialisés dans l’information sportive figurent parmi les recommandations majeures émises à l’issue du Colloque international sous le thème « Activités physiques et sportives, de la formation à la citoyenneté », organisé mercredi et jeudi par l’Institut d’éducation physique et sportive de Delly Ibrahim (IEPS)- Alger 3.
Les participants étaient unanimes à mettre l’accent sur la nécessité de renforcer les programmes de formation destinés aux handicapés envers cette frange de société entre les Universités et le ministère de Solidarité pour mieux déceler les problèmes sociaux dont soufre cette catégorie.
Les travaux de cette rencontre ont également débouché sur la mise en relief de la consolidation de la formation des enseignants spécialisés dans l’information sportive à travers tous les instituts d’éducation physique et sportive et l’instauration d’un partenariat avec les fédérations et sociétés sportives.
Les participants ont aussi insisté sur l’actualisation des programmes pédagogiques, la diversification des activités et la mobilisation des moyens d’information et de communication en direction des élèves dans tous les paliers scolaires ainsi que la Le renforcement de la coordination avec les sociétés sportives a été vivement recommandé, notamment à travers de la création de passerelles entre les maisons de jeunes et les Instituts de formation professionnelle.
Ce Colloque international a été l’occasion pour honorer tous les enseignants et chercheurs participants à l’instar de l’académicien algérien, Youcef Fates qui occupe le poste d’enseignant à l’Université de Paris-Nanterre (France) ainsi que le Professeur, Ali Simoun El Fartoussi de l’Univeristé d’Al Mostansaria (Irak).
The post Prise en charge des handicapés et formation des enseignants dans l’information sportive appeared first on .