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La traduction vers la langue amazighe, une priorité au vue de la conjoncture actuelle

Fri, 12/28/2018 - 16:34

ADRAR – Le Secrétaire général (SG) du Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA), Si El-Hachemi Assad, a affirmé, jeudi à Adrar, que « la traduction vers la langue amazighe est une priorité en cette conjoncture actuelle ».

« La traduction vers la langue amazighe est une priorité en cette conjoncture actuelle, et cette rencontre est une occasion propice pour la sélection des meilleures œuvres de traduction vers la langue amazighe, de manière à enrichir le patrimoine de la bibliothèque amazighe nationale », a souligné Si El-Hachemi Assad en ouverture des ateliers de traduction à l’université d’Adrar.

Le SG du HCA a fait savoir, à ce titre, que cette rencontre culturelle permettra d’échanger les connaissances et expériences, ainsi que de faire le point sur les efforts déployés dans la promotion de la langue amazighe.

Il a, dans ce cadre, indiqué que « cette rencontre s’inscrit au titre de la nouvelle orientation pour laquelle s’est engagé le HCA depuis 2014 conformément aux orientations des hautes instances du pays au titre du programme du Gouvernement focalisé sur trois axes principaux, consistant en la généralisation de l’utilisation de la langue amazighe dans le système national, l’officialisation de la fête nouvel amazigh (Yennayer) journée chômée et payée, en sus de la mise au point de la loi liée àe aussi: Adoption du projet de loiorganique relatif à l’Académie algérienne de la langue amazigheSoulignant que « ces axes constituent la feuille de route avec des repères clairs », Si El Hachemi Assad s’est dit « fier du climat positif ayant permis de mettre la langue amazighe sur la bonne voie et nos composantes nationales à l’abri des surenchères politiques, permettant ainsi au HCA d’œuvrer dans un climat serein et calme loin de toutes sensibilités ».

Le responsable a signalé que la démarche du HCA consiste en l’instauration d’une méthodologie axée sur l’action pragmatique, consultative et de coordination avec les différents secteurs.

M. Assad a ajouté, lors de cette rencontre qui a vu la participation de la déléguée à l’Organe national de la protection et la promotion de l’enfance, que « la présence de la déléguée traduit la nécessité d’une action commune », notant que « la réussite du partenariat entre le HCA et l’organe est basée sur des stratégies et priorités bien déterminées, entamées par la traduction de documents référentiels liés aux droits de l’enfance ».

« Le HCA ambitionne d’accompagner les associations actives pour la promotion de l’enfance à la faveur de l’élaboration de programmes culturels créatifs usant de toutes les variantes de la langue amazighe », a soutenu M. Assad, plaidant pour « la mise au point d’un plan local pour l’introduction de la langue amazighe dans tous les espaces, dont l’école, la radio local et l’université ».

Il a préconisé, pour ce faire, la concrétisation d’une convention de partenariat avec l’université d’Adrar pour introduire une spécialité au département d’histoire pour mettre à profit les documents et manuscrits ayant trait à la dimension amazighe.

Une pléiade de traducteurs, linguistes, enseignants de la langue amazighe, d’hommes de lettres et de critiques prendront part aux cinq ateliers, programmés sur quatre jours, ont indiqué les organisateurs.

Une série de thèmes inhérents aux approches sur la généralisation de l’utilisation de la langue amazighe, la traduction des publications de la littérature algérienne des langues arabe et française vers la langue amazighe, ainsi que la traduction des textes fondamentaux du Conseil national des droits de l’Homme, le contenu des sites électroniques de certains ministères, sera abordée, ont indiqué les organisateurs.

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Alger: plus de 100.000 familles ont bénéficié de logements de différentes formules depuis 2014

Fri, 12/28/2018 - 16:32

ALGER – Le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a annoncé jeudi que le nombre de familles relogées dans des logements décents dans différentes formules, était plus de 100.000 familles depuis le lancement de l’opération de relogement mi-juin 2014.

S’exprimant lors d’une conférence de presse tenue à Douera à l’issue du parachèvement de la 3ème phase de 24ème opération de relogement, M. Zoukh a indiqué que près de 100.423 familles occupant des bidonvilles, des anciennes bâtisses des immeubles menaçant de ruine et des caves ont bénéficié de logements décents depuis le lancement de cette opération jusqu’à cette troisième et dernière phase lancée aujourd’hui, rappelant que 420.000 unités de différentes formules sont en cours de réalisation à Alger.

4.000 familles bénéficieront de logements lors de la 3ème phase de la 24ème opération dont 3.000 unités des Logements publics locatif (LPL) et 1000 unités de Logements sociaux participatifs (LSP) à partir de jeudi jusqu’au 30 décembre, a ajouté M. Zoukh.

Cette opération concernera les bénéficiaires de Logements publics locatifs (LPL) dans le cadre des listes affichés par les communes de Douera et Sehaoula qui seront relogées à la cité 1.602 logements (Douera) et la cité 1.200 logements à Houche Mihoub -1- (nouvelle cité) à Baraki.

A l’achèvement de 3ème phase de la 24ème opération de relogement, les surfaces récupérées s’élèvent à environ 550 hectares depuis le lancement de l’opération, précisant que ces terrains seront consacrés à plusieurs projets publics de différents secteurs. Il a fait savoir que la 25ème opération de relogement sera lancée début janvier 2019.

Environ 600 familles habitant des logements exigus à travers différentes commune de la capitale bénéficieront en janvier 2019 dans le cadre d’un quota de 6000 logements consacrés aux logements sociaux destinés aux communes, a révélé M. Zoukh faisant état de 1090 recours ont été acceptés sur les 18.000 recours introduits.

Pour ce qui est de la falsification des dossiers afin d’obtention d’un logement indument, le wali en a fait état de 1200 dossiers transférés à la Justice », ajoutant que 100 unités ont été récupérées en vertu de jugements des bénéficiaires ayant obtenu ces logements indument.

Dans cette phase, 16 familles seront relogées dans le cadre de la prise en charge des recours ayant l’avis favorable de la commission des Recours de la wilaya, notamment au niveau des sites démolis  lors des précédentes opérations de relogement à travers les circonscriptions de Bouzareah,Chéraga, Baraki, Dar El Beida et Draria.

114 familles ont été relogées dans le cadre du programme d’Urgence de la 24ème opération de relogement issus des communes de Oued Koriche, Hammamat, Bologhine, Douera et Ouled Fayet.

Par ailleurs, 1.887 postulants ont été soumis au contrôle au niveau du fichier national du logement, 138 postulants ont fait l’objet d’un résultat positif,  dont 83 postulants AADL, 23 possédants un logement, 26 postulants bénéficiaires d’une aide de l’Etat, 05 postulants possèdent des permis de construire et un (01) postulant possède un logement promotionnel public.

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Categories: Afrique

Théâtre: « Hanine », un drame social sur les relations illicites

Fri, 12/28/2018 - 16:31

ALGER – La pièce de théâtre, « Hanine », un drame social sur les relations illicites conduisant souvent à l’ignominie, est entrée, jeudi à Alger, en compétition du 13e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), ouvert le 22 décembre dernier.

Accueilli au Théâtre Mahieddine-Bachtarzi (TNA), le spectacle, produit par le Théâtre régional de Mascara et mis en scène par Mohamed Frimehdi, sur un texte de Mokhtar Hocine, a tenu, 65 mn durant, le nombreux public en haleine, qui a tenté de saisir une trame livrée au second degré.

Dans son élan d’inspiration, Amine, pianiste musicien, en plein composition d’une œuvre, qu’il a intitulé, « Hanine », cherche « la note bleue » à sa mélodie qui ramènerait l’ensemble des autres notes de sa création, à leurs modes d’origine, dans une harmonie saine et sereine.

Prénom d’une jeune femme également, « Hanine » est éprise de Amine, employé par sa mère, aux mœurs légères, gérante d’un cabaret et vivant une relation extraconjugale avec son pianiste-maison qui lui a dédié sa composition, raison pour laquelle elle a choisi de prénommer sa fille ainsi.

Hanine, découvrant la relation de sa mère avec Amine, quitte la maison pour aller vivre chez son professeur de piano et tenter de se reconstruire, avant de découvrir que là encore, les âmes ne sont pas aussi pures qu’elle le pensait

Brillamment servi par Dalila Nouar, Amel Benamra, Nouara Berrah, Nassima Louaïl, Nasser Eddine Djoudi et Fouad Bendoubaba, le spectacle est une métaphore renvoyant à la « nécessité de s’extraire à toute dérive morale » et tout « manquement » aux mœurs dans la vie, pour se garantir une « existence saine », explique le metteur en scène.

Sur le plan artistique, « Hanine » a été marqué par une « bonne direction d’acteur », selon les comédiens, qui ont su porter la densité du texte dans tous les espaces de la scène, se donnant la réplique dans des échanges houleux, empreint de silences écrasants.

Conçue par Djamel Benyoucef, la scénographie de transition, a consisté en quatre grandes portes de couleur sombre, frappées par un éclairage vif ou feutré et conçues sur des socles amovibles, de manière à permettre par leur déplacement, une meilleure exploitation de l’espace et plus de possibilités de jeu aux comédiens.

La bande son, œuvre de Abdelkader soufi, basée essentiellement sur les sonorités cristallines du piano, a contribué favorablement à créer les atmosphères du cabaret, avec un thème au guellal et à la guesba, monté sur un arrangement hard rock, pour faire ressortir, selon le metteur en scène, le « relâchement des clients », livrés à la « boisson et la drogue », au-delà d’autres musiques liées à d’autres situations.

Le public, quelque peu perdu dans cet imbroglio inextricable, où personne ne sait plus qui est qui, a fini par comprendre que le spectacle, « Hanine », dénonçait les turpitudes de la vie, célébrant le bienêtre dans l’équilibre des sens.

Le 13e FNTP se poursuit jusqu’au 31 décembre avec dix-huit spectacles, inscrits en compétition au TNA, et huit autres en off, programmés au Théâtre municipal d’Alger-Centre.

En marge de la compétition, des conférences, des masters-class et des spectacles de rue, sont également prévus durant le 13e FNTP.

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Categories: Afrique

Boumerdès: les femmes intéressées par les produits hygiéniques et esthétiques à base de miel

Fri, 12/28/2018 - 16:30

BOUMERDES – Les produits hygiéniques et esthétiques faits à base de miel exposés au 4ème Salon national du miel et dérivés, ouvert cette semaine à Boumerdès avec la participation de 25 exposants, ont suscité l’intérêt d’un grand nombre de femmes.

Depuis son lancement, ayant coïncidé avec les vacances scolaires d’hiver, une affluence considérable de femmes, accompagnées de leurs enfants, est quotidiennement constatée au niveau de ce salon, dès l’après midi et ce jusqu’au soir, ont assuré les organisateurs.

Farida, une dame venue d’une wilaya voisine, a affirmé à l’APS venir annuellement à ce salon pour y acquérir « tout ce dont j’ai besoin en produits esthétiques naturels qui, de plus, sont à des prix abordables ».

Les stands exposant des savons en tous genres destinés, selon les composants de chacun d’eux, à soigner la peau sèche ou grasse, au même titre que différents shampoings destinés, entres autres, au traitement des pellicules, et autres crèmes traitantes des problèmes du visage ont été littéralement pris d’assaut par la gente féminine.

Hanane.S, venue au salon en compagnie de ses trois (3) filles, a indiqué avoir été informée de l’existence de ces produits rares faits à base de miel grâce à une voisine ayant assisté dimanche à l’ouverture du salon.

Elle a assuré avoir particulièrement apprécié les prix « abordables » pratiqués pour les produits de beauté nécessités, notamment par les jeunes filles en âge de se marier, signalant, à titre indicatif, qu’une « savonnette faite à base de miel se vend (dans ce salon) entre 150 et 200 DA ».

Une autre dame, venue d’Afir (extrême Est de Boumerdès) en compagnie de sa famille, s’est également dite une habituée de ce salon annuel qui offre, a-t-elle dit, « un choix impressionnant de produits naturels et sains à des prix quelque peu abordables comparativement à ceux de l’importation », a-t-elle soutenu.

Des petites entreprises pionnières dans les produits cosmétiques à base de miel

Cette édition 2018 du salon national du miel a été marquée par la participation d’un nombre de petites entreprises juvéniles, à l’exemple des unités « Bouchareb » de Bordj Menail et « Tazouit » de Ghardaïa, considérées comme pionnières dans la production de produits cosmétiques à base de miel et des produits de la ruche.

« Nos produits ont beaucoup de succès à travers le pays, depuis leur introduction sur le marché, depuis une dizaine d’années », ont assuré à l’APS les gérants de ces deux entreprises, respectivement Bouchareb Mohamed et Adnane Allouche.

A leur début, ces unités privées se sont lancées avec une gamme limitée de produits cosmétiques, avant d’arriver actuellement à en produire une trentaine entre savons, shampoings et autres produits de beauté, fabriqués naturellement à base des produits de la ruche, d’herbes et d’huiles essentielles naturelles.

Selon M. Bouchareb, qui est associé avec sa sœur, détentrice d’un Master en production des dérivés du miel, la matière première exploitée dans ses produits est notamment obtenue grâce aux opérations de « distillation et de différents mélanges réalisés dans le respect de certaines normes strictes fixées pour chaque produit », a-t-il expliqué.

Adnane Allouche a, pour sa part, fait savoir que la haute qualité de ses produits est le résultat de son investissement dans l’élevage apicole et la production de miel dans le désert de Ghardaïa riche, notamment en jujubier, « au miel fortement réputé », ainsi que sur les hauteurs de Blida riches en eucalyptus et en différentes herbes aromatiques.

Il a souligné qu’une grande partie de cette production mellifère et des produits de la ruche est destinée à la fabrication de produits cosmétiques, tandis que le reste est commercialisé dans son état naturel, à travers des concessionnaires agréés, ou grâce à sa participation à différents événements et salons nationaux, a-t-il ajouté.

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Coupe d’Algérie: le CS Constantine et l’USM Bel-Abbès qualifiés en 16es de finale

Fri, 12/28/2018 - 16:21

ALGER – Le CS Constantine et l’USM Bel Abbès, deux pensionnaires de Ligue 1 Mobilis, ont composté leur billet pour les 16es de finale de la Coupe d’Algérie, en battant respectivement le RC Bougaâ (3-1) et MS Cherchell (2-0), en 32e de finale disputé jeudi.

Les buts de la rencontre CS Constantine – RC Bougaâ ont été inscrits par Belkheir (28′), Belkacemi (64′) et Abid (73′) pour le CSC, alors que Benzid Ayoub (55′) avait réduit la marque pour le RC Bougaâ.

Les deux buts du match opposant l’USM Bel-Abbès au MS Cherchell ont été l’œuvre de Masmoudi (10′) et Seguer (90+3).

En 16es de finale prévu lundi, le CS Constantine ira défier l’IB Lakhdaria, alors que l’USM Bel Abbès se déplacera au stade Omar Hamadi (Alger) pour y affronter l’USM Alger, dans une affiche qui promet beaucoup pour les amateurs des deux clubs de Ligue 1 Mobilis.

Un peu plus tôt, le NA Husseïn-Dey et l’IB Lakhdaria avaient composté leur billet pour les 16es de finale après avoir éliminé respectivement l’Olympique Akbou (2-0) et la JS Saoura aux tirs au but 4 à 3 (0-0 après prolongation).

Les rencontres des 16es de finale de la Coupe d’Algérie se dérouleront à partir du vendredi 28 décembre 2018 au mardi 1er janvier 2019.

Lundi, 17 décembre:

Amel Bousaâda – OR Boumahra          2-1

IH Chellala – USM Khenchela              1-3

Hamra Annaba – CRV Moussa             0-2

MC El-Bayadh – AS Aïn M’lila               1-1        (1-4, aux t.a.b)

JS Guir Abadla – USM El-Harrach         0-2

MB Rouissat – JSM Tiaret                   1-1        (4-2, aux t.a.b)

MB Bazer Sakhra – CR Béni Thour       2-2        (5-3, aux t.a.b)

JSM Béjaïa – JSM Skikda                    2-1

SA Sétif – CRB Kaïs                           0-0        (3-4, aux t.a.b)

Mardi, 18 décembre:

GC Mascara – CABB Arréridj              0-1

SA Mohammadia – USM Sétif             2-1

USB Douala – ICS Tlemcen                2-1

CA Batna – ES Besbes                       1-0

USM Blida – Paradou AC                    2-3 (AP)

Amel Ghriss – JS Kabylie                    2-0

MBS Oued Sly – USM Annaba             1-3

MC Oran – ASB Maghnia                    3-2

WA Tlemcen – USMD Benkhedda        1-0

DRB Tadjenanet – CR Belouizdad        0-2

USM Alger – ASM Oran                      2-0

MO Béjaïa – O Magrane                     2-0

Mercredi, 20 décembre:

US Remchi – MC El Eulma                  1-0

MSP Batna – CR Bouguirat                 1-1 A.P (CR Bouguirat aux t.a.b)

RA Aïn Defla – NT Souf                      1-0

NC Magra – FCB Abdelmalek Ramdane 1-0

ES Sétif – Olympique Médéa               1-0

Jeudi, 20 décembre:

RC Kouba – MC Alger                         0-3

Vendredi, 21 décembre:

AS Sûreté Nationale – CRB Aïn Oussera   1-2 (AP)

Jeudi 27 décembre:

Olympique Akbou – NA Husseïn-Dey     0-2

IB Lakhdaria – JS Saoura                     0-0  (4-3 aux t.a.b)

CS Constantine – RC Bougaâ                3-1

USM Bel-Abbès – MS Cherchell             2-0.

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Hand/Championnat arabe des clubs: défaite de la JSE Skikda devant El-Koweit (19-20)

Fri, 12/28/2018 - 16:15

TUNIS – La JSE Skikda s’est inclinée devant son homologue koweitienne, El-Koweit, sur le score de 19-20, en match de classement (5e-8e places) du Championnat arabe de handball messieurs, disputé jeudi à Sfax (Tunisie).

La formation algérienne livrera demain vendredi, un match de classement pour les 7e et 8e places devant les Tunisiens du Sporting de Moknine.

La finale de la compétition opposera les deux clubs tunisiens, l’Espérance de Tunis au CS Sakiet Ezzit, alors que le match de classement pour la 3e place, mettra aux prises les Qataris d’Al-Arabi drivés par l’Algérien Omar Azeb aux Koweitiens d’Al-Salamya.

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2018/Violence dans les stades: la gangrène du sport algérien

Fri, 12/28/2018 - 16:14

ALGER – La violence dans les stades et dans l’environnement immédiat de ces enceintes est devenue en 2018 de plus en plus présente, gangrenant le football mais aussi d’autres disciplines au point de devenir un fléau face auquel tous les dispositifs prônés ont échoué.

Le stade est devenu le lieu privilégié des jeunes spectateurs dont une partie décharge toute son agressivité et ses ondes négatives, commençant par des injures qui fusent de partout sans aucun égard à l’assistance pour ensuite arriver souvent au pire des débordements.

En football, les années passent et se ressemblent à travers cette violence récurrente dans les stades qui est devenue une façon de s’exprimer du supporter lequel ne trouve plus d’autres moyens de prouver qu’il est partie prenante de l’évènement que par ces actes dépassant le cadre purement sportif.

Après une relative accalmie, 2018 a été marquée par le retour de ce fléau au premier plan dans les stades de football, avec 53 cas de violence enregistrés sur le territoire national (385 personnes blessées dont 105 policiers et 66 véhicules endommagés dont 53 appartenant aux services de l’ordre), selon des chiffres de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) arrêtés au 17 novembre dernier.

A tel point que le football algérien est en train d’être pris en otage par des groupes de supporters violents lesquels n’hésitent pas, des fois, à transférer leur « folie » dans la rue qui se transforme en théâtre de bagarres entre irréductibles.

C’est le cas, par exemple, de la rencontre CA Bordj Bou Arréridj-MC Alger de la 11e journée de Ligue 1 qui avait connu plusieurs dépassements et agressions dont avaient été victimes des joueurs, supporters et éléments de la sûreté nationale.

Le Directeur général de la sûreté nationale, Mustapha Lahbiri, s’est alors immédiatement saisi de ce dossier, dépêchant une commission d’enquête à Bordj Bou Arréridj pour mener une investigation et c’est sur la base de son rapport que de nouvelles recommandations ont été transmises aux différentes instances chargées de la programmation et de la direction des matchs de football, pour éviter des incidents similaires.

Les enceintes Chahid-Hamlaoui (Constantine), Ahmed-Zabana (Oran) et 5-Juillet (Alger), entre autres, ont été aussi le théâtre de scènes de violence inquiétantes et condamnables ayant causé plusieurs blessés, à l’intérieur et à l’extérieur des stades certaines fois.

A Constantine, le match JS Kabylie-MC Alger, comptant pour les demi-finales de la Coupe d’Algérie 2017-2018, avait été ainsi émaillé d’échauffourées dans les gradins, survenues essentiellement à la mi-temps et ayant contraint l’arbitre de la rencontre à retarder la reprise de la seconde période.

Handball et basket-ball, la violence frappe les sports collectifs-

Désormais, le phénomène de la violence dans les enceintes sportives ne touche pas seulement le football, puisque les autres disciplines collectives sont touchées. La preuve vient de la salle omnisports de Batna et cette rencontre entre l’AB Barika et l’OM Annaba pour le compte de la dernière journée de la Division 1 de handball, décisive pour l’accession.

Les supporters locaux ont brillé par des actes de vandalisme, chauffés à blanc par deux de leurs joueurs, Fradj et Merzoug, qui ont été par la suite suspendus deux ans avec proposition de radiation à vie.

D’abord sur le terrain, la situation a dégénéré ensuite dans les tribunes avec un bilan de plusieurs blessés, dont la paire arbitrale Hamidi-Belkhiri, touchée grièvement.

Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montre une salle complètement saccagée, avec des chaises arrachées puis lancées des gradins et des pierres et des bouteilles jonchant le sol, occupé désormais par personnes déchaînées à tout casser.

Aussi, les matchs entre le GS Pétroliers et le CRB Baraki sont souvent émaillés d’incidents, alors que dernièrement, le bus de la JS Saoura a été caillassé lors de son déplacement à Arzew.

En basket-ball, le choc des 8es de finale de la Coupe d’Algérie 2017-2018 entre le GS Pétroliers et le WO Boufarik avait été perturbé suite à des jets de projectiles sur le parquet de la salle Harcha (Alger).

Retardée de plus d’une heure à cause des agissements de supporters en tribunes, cette affiche a été interrompue à plusieurs reprises avant d’être arrêtée puis reprogrammée un autre jour. Elle ne s’est jamais terminée puisque le WOB a refusé de jouer.

Cette saison, la rencontre CRB Dar El-Beïda – WO Boufarik, comptant pour la 4e journée de Nationale 1, a également été émaillée d’incidents, provoquant l’arrêt de la partie pendant une heure avant d’être reprise.

Pour faire face à ce phénomène, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, s’était réuni début décembre avec les présidents des fédérations de football, basket-ball, volley-ball et handball, en présence du président et membres de la commission nationale exécutive de prévention et de lutte contre la violence dans les infrastructures sportives.

Lors de cette rencontre, le ministre, qui a parlé une fois de « climat de guerre » dans les stades algériens, a donné des instructions aux membres de ladite commission, installée en décembre 2017, à l’effet d’organiser des réunions périodiques avec toutes les fédérations sportives et ligues régionales afin de tenter d’éradiquer ce fléau.

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RDC/élections: la représentante spéciale de l’ONU appelle au calme et à la concertation

Fri, 12/28/2018 - 16:11

KINSHASA – La représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU en République démocratique du Congo (RDC), Leila Zerrougui, a appelé au calme et à la concertation après le report des élections générales prévues dimanche dans trois zones de conflit dont Beni (centre), exprimant son optimisme d’établir un terrain d’entente pour l’intérêt du pays.

« Nous regrettons qu’une partie de la RDC soit dans l’impossibilité de voter dimanche. Nous comprenons qu’il y a des contraintes, mais ce report constitue un véritable coup dur pour une population qui connaît déjà de nombreuses souffrances », a souligné Mme Zerrougui, dans une interview mercredi au magazine « Jeune Afrique ».

« Je vais poursuivre mon travail afin de calmer les esprits. Beni demeure l’une des priorités de la Monusco, nous continuons à soutenir sa population en facilitant la riposte à l’épidémie d’Ebola et en menant des opérations afin de renforcer la sécurité dans cette région », a-t-elle ajouté.

A une question si les conditions dans lesquelles se déroulent les élections restent acceptables, la Chef de la Monusco a affirmé que « c’est aux Congolais de le dire »

« Ces derniers jours, j’ai rencontré le candidat de Lamuka l’opposant Martin Fayulu, les gens de la Ceni et le président de la République. J’essaie de jouer mon rôle, qui est de leur demander de trouver un terrain d’entente », a-t-elle insisté, ajoutant: « Je considère que les élections auront bien lieu le 30. Si ce n’est pas le cas, cela risque de poser problème, car il y a une tension réelle au sein de la population ».

« Nous en avions été informés au préalable, alors que la Commission hésitait entre une ou deux semaines pour ce report. Je leur avais d’ailleurs suggéré de faire en sorte que s’ils devaient annoncer une nouvelle date, ce soit la date ultime. On m’avait alors répondu que la date idéale aurait été le 6 janvier. Mais côté congolais, on ne veut pas dépasser l’échéance du 31 décembre, afin de respecter les échéances fixées dans l’accord de la Saint-Sylvestre », a-t-elle précisé.

En ce qui est de la machine à voter, Mme Zerrougui a indiqué que « tout le monde s’est mis d’accord sur le fait qu’accepter cette machine en tant qu’imprimante n’était pas un problème ». « L’opposition demande à ce qu’un mécanisme de concertation soit activé pendant cette période, afin que tous puissent se concerter avec la Ceni. Martin Fayulu me l’a encore demandé, et je transmets ce message », a-t-elle dit.

Dans ce contexte, elle a fait savoir que le Conseil de sécurité a donné « un mandat d’appui technique, logistique et de bons offices, ainsi qu’un budget supplémentaire ».

« Le gouvernement congolais a décidé d’organiser lui-même ces élections. Nos interlocuteurs à Kinshasa ont voulu relever ce défi, ce à quoi j’ai répondu: si vous y arrivez, je serai la première à applaudir », a-t-elle ajouté.

« En août, a-t-elle rappelé, j’ai proposé au Conseil de sécurité de renvoyer les avions qui avaient été mis à disposition. Celui-ci a refusé, en disant restons mobilisés jusqu’au dernier jour des élections, en cas de besoin. On ne veut pas que les Nations unies puissent être blâmées », a poursuivi la responsable onusienne.

« La plupart des avions ont fini par être renvoyés, le 3 décembre. Il nous reste ceux qui étaient censés ramener les résultats des votes, qui resteront au moins jusque début janvier, ceci étant dit, la Monusco fournit un appui technique à ces élections. Nos agents sont présents à l’intérieur des bureaux de la Ceni. Nous totalisons 217 experts, répartis dans 26 provinces », a-t-elle poursuivi.

A une question sur « les rapports de transparence » entre la Ceni et l’ONU, Mme Zerrougui a indiqué que depuis son arrivée, en février, « à chaque échéance, nous devons nous caler sur leur calendrier et jusqu’à présent, ils ont respecté cette demande. La Ceni est un organe national, qui répond à des institutions nationales ».

Concernant les incidents qui ont émaillé la campagne électorale, Mme Zerrougui a dit avoir condamné les tristes évenement.  « Il y a bien eu des morts, et des groupes armés se sont opposés au déploiement électoral. Le Bureau des droits de l’homme s’est déployé et des investigations plus approfondies doivent permettre d’en déterminer les circonstances », a-t-elle affirmé.

« J’étais la en 2011 et si l’on compare ce qui se passe aujourd’hui aux tensions de l’époque, je pense que cette campagne s’est plutôt mieux déroulée. Certes, il y a eu des entraves. Mais globalement, les candidats ont pu faire campagne », a-t-elle assuré.

La responsable onusienne a, en outre, appelé les autorités congolaises à « œuvrer pour convaincre le Conseil de sécurité que la situation ne nécessite plus le maintien de la Monusco ».

« Il est censé reconduire notre mandat en mars. Mais je veux croire que le gouvernement congolais est dans une logique de retrait progressif, plutôt que brutal », a-t-elle conclu.

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Yémen: 1ère réunion du comité chargé de superviser le cessez-le-feu à Hodeïda

Fri, 12/28/2018 - 16:05

NEW YORK (Nations Unies) – La première réunion conjointe du Comité de coordination du redéploiement (RCC), chargé de superviser le cessez-le-feu à Hodeïda, au Yémen, a eu lieu mercredi dans cette ville portuaire, selon un communiqué publié jeudi par l’ONU.

« Les deux parties se sont efforcées de nettoyer les terrains minés afin de permettre aux représentants du gouvernement du Yémen au sein du RCC de franchir la ligne de front et de participer à la réunion », a déclaré le bureau du porte-parole du Secrétaire général lors d’un point de presse à New York.

Les deux parties ont reconnu que cette première réunion conjointe du Comité constituait un « moment historique ». Ils ont réaffirmé leur détermination à mettre en œuvre l’accord de Stockholm conclu plus tôt en décembre sous l’égide de l’Envoyé spécial de l’ONU pour le Yémen, Martin Griffiths.

L’accord conclu en Suède à l’issue des premiers pourparlers entre les parties belligérantes en plus de deux ans, prévoit un cessez-le-feu dans la ville portuaire d’Hodeïda par où transite près de 80% de la nourriture, de l’aide médicale et carburant du Yémen. La trêve est entrée en vigueur le 18 décembre.

Dans une résolution adoptée le 21 décembre, les membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont autorisé le Secrétaire général à établir et à déployer, « pour une période initiale de 30 jours », une équipe préparatoire de suivi sur le terrain, pour appuyer et faciliter la mise en œuvre immédiate de l’Accord de Stockholm. L’équipe est dirigée par le général Patrick Cammaert qui est arrivé à Hodeïda dimanche dernier.

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2018/Islam en France: les musulmans rejettent toute ingérence dans l’organisation de leur culte

Fri, 12/28/2018 - 15:51

PARIS – Les musulmans de France, forts de leur position comme les représentants de la 2e religion de l’Hexagone, n’ont pas cessé durant l’année 2018 d’exprimer leur rejet de toute immixtion ou ingérence dans l’organisation de leur culte.

Acculés par la volonté du président Emmanuel Macron d’organiser le culte musulman de France, même si la loi de la laïcité (1905) interdit à l’Etat de s’occuper du religieux, et par la persistance de cultiver à dessein l’amalgame entre l’islam et le terrorisme, les musulmans de France, réunis en congrès le 9 décembre dernier, ont affirmé que la définition des dogmes et des pratiques des cultes « incombe » aux représentants des cultes « à elles seules » dans la limite « des impératifs de l’ordre public et dans le respect des principes et des valeurs de la République ».

Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a été dans ce sens très explicite en déclarant que les musulmans de France, « lassés » par tant de projets « avortés » d’organisation de l’islam en France, ont décidé d’œuvrer « par eux-mêmes et pour eux-mêmes » à une « véritable » représentation et à une « solide » structuration de leur culte dans un rapport de confiance avec les autorités françaises.

Ce rejet épidermique de cette ingérence, voulue uniquement pour le culte musulman, est justifié par la méconnaissance totale en France de l’islam et de son message de paix dans le monde, le refus de la politique de « deux poids deux mesures » et par la non acceptation, même si elle n’est pas exprimée de façon directe, de la volonté des pouvoirs publics de contrôler le financement du culte.

Une opposition farouche à toute ingérence

C’est ainsi que les musulmans de France revendiquent l’indépendance du culte musulman comme « principe préliminaire » à toute discussion sur son organisation, avertissant que « toute tentative de modifier les rapports clairs et fondamentaux entre les religions et l’Etat, tout ingérence d’une administration ( ) entraîneraient (leur) opposition farouche ».

Pour ce qui est du financement du culte, ils rejettent également l’ingérence, soulignant que « seule importe une gestion libre et autonome, sous contrôle légal d’un commissaire aux comptes qui peut devenir obligatoire ».

Par ailleurs, des membres du groupe de travail qui a mené une consultation auprès des musulmans de France sur l’organisation du culte ont aussi dénoncé les manœuvres de récupération et de contournement initiées par le gouvernement.

« … l’Etat entreprend de créer des structures satellites, chargées de prendre progressivement possession de l’argent provenant des dons des musulmans et de ponctionner le marché du halal, afin d’imposer ensuite ses imams et sa vision de l’islam, sur le temps long », ont-ils indiqué.

La consultation a permis, à travers le Net, à des dizaines de milliers de musulmans, partout en France, de s’exprimer et d’entamer un travail de fond pour « repenser la manière dont leur religion pourrait s’organiser, de manière constructive et indépendante ».

Cette position, affirmée et réaffirmée, a obligé le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, qui est également en charge des cultes en France, d’apporter les clarifications sur la vision du gouvernement vis-à-vis de la religion de plus de 7 millions de Français.

« Une chose est claire : il ne s’agit pas pour l’Etat d’écrire les enjeux de l’organisation du culte musulman, cela relève entièrement de la responsabilité de ses fidèles », a-t-il souligné dans une intervention au congrès des musulmans de France, réfutant « l’idée que l’Etat devrait s’en désintéresser et appelant les musulmans à « travailler ensemble » pour l’avenir de l’islam dans la société française.

Un combat permanent pour la reconnaissance

Il faut rappeler que le rapport de l’Institut Montaigne (600 pages), élaboré par Hicham Karoui et présenté au président Macron, a suscité de vives réactions chez les représentants du culte musulman en France qui l’ont rejeté dans sa forme et son contenu.

« La fabrique de l’islamisme » préconise l’instauration d’un certain « Tracfin » pour contrôler les flux financiers, les collectes de fonds et les dons dont bénéficient les représentations du culte musulman, notamment en matière de financement de la gestion des mosquées, et l’instauration d’une taxe halal, dont le chiffre d’affaires du marché en France est estimé à 6 milliards d’euros.

Sur un autre plan, les musulmans commencent n’arrivent pas à comprendre qu’ils sont, à chaque attentat terroriste perpétré en France, sollicités de s’exprimer sur ces actes, comme si on voudrait leur coller quelque part une partie de cette responsabilité.

Ils se demandent, cependant, que les actes d’islamophobie ne sont jamais condamnés en France, ni poursuivis en justice. Une justice qui est d’ailleurs fustigée pour avoir « perdu » des plaintes dans ce sens.

Ils savent toutefois que le combat d’une reconnaissance équitable au même pied d’égalité avec les autres cultes n’est pas facile, rejetant de fait l’appellation « islam de France », au même titre qu’il n’y a pas de « christianisme de France » ni de « judaïsme de France ».

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Tsunami indonésien: 426 morts, selon un bilan revu à la baisse

Fri, 12/28/2018 - 15:33

JAKARTA – Le tsunami qui a frappé l’Indonésie le week-end dernier a fait 426 morts, selon un bilan revu à la baisse par les autorités en raison de doublons dans les décomptes.

Un précédent bilan faisait état de 430 morts et la confusion a été imputée au fait que des décès ont été comptabilisés séparément par différents districts. Une vingtaine de personnes demeurent portées disparues.

Les autorités ont en revanche doublé à 40.000 le chiffre officiel des personnes déplacées et fait état de 7.202 blessés, un chiffre également en nette hausse par rapport au précédent bilan des blessés qui était de 1.495.

Le raz-de-marée s’est produit soudainement samedi soir dans le détroit de la Sonde qui sépare les îles de Sumatra et de Java, ravageant son littoral.

D’après les experts, cette tragédie a été consécutive à une éruption modérée de l’Anak Krakatoa, « l’enfant » du légendaire volcan Krakatoa, qui a provoqué un effondrement sous-marin d’une partie du volcan et le déplacement de masses d’eau.

L’Indonésie a relevé jeudi le niveau d’alerte concernant le volcan, dont le regain d’activité pourrait engendrer une nouvelle vague meurtrière. Près de 1.300 habitations ont été détruites par le tsunami.

« Nous recommandons que les personnes vivant près de la plage soient hébergées ailleurs de façon permanente », a déclaré à Jakarta lors d’une conférence de presse le porte-parole de l’Agence nationale de gestion des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.

Le rayon de la zone interdite autour de l’Anak a en outre été élargi jeudi à cinq km. Des images satellites prises avant et après le tsunami par l’agence spatiale japonaise ont montré qu’une portion de 2 km2 du volcan s’était effondrée dans la mer.

C’est le troisième cataclysme à frapper l’archipel ces six derniers mois, après une série de séismes sur l’île de Lombok en juillet et août, puis un raz-de-marée à Palu, sur l’île des Célèbes, qui a fait 2.200 morts et des milliers de disparus en septembre.

L’Indonésie est située sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone de forte activité sismique et d’éruptions volcaniques. Elle compte 127 volcans actifs.

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Boumediene était déterminé à garantir les droits fondamentaux du citoyen

Fri, 12/28/2018 - 15:29

GUELMA – L’esprit  révolutionnaire du défunt président Houari Boumediene dans la gestion des affaires de l’Etat était ‘’étroitement lié à sa détermination à réaliser plusieurs objectifs’’ principalement ‘’l’édification de l’Etat et  la garantie des droits fondamentaux du citoyen’’, ont souligné jeudi, à Guelma des séminaristes.

« Feu président Houari Boumediene  attachait une grande importance dans le plan d’édification de l’Etat au travail, à l’éducation et à la santé  du citoyen’’, a précisé Pr Mohamed Boughrara dans son intervention intitulée « le renouveau révolutionnaire de la personnalité de Houari Boumediene’’, dans le cadre de travaux du 10ème séminaire sur la vie du défunt président Houari Boumediene organisé à la salle omnisports de la commune éponyme , à l’occasion de la commémoration du 40ème  anniversaire de la disparition de Boumediene.

En présence des  autorités locales civiles et militaires et plusieurs moudjahidin et personnalités nationales, l’universitaire a indiqué que « pour Houari Boumediene, le pluralisme, et la démocratie venaient dans une étape ultérieure’’.

« Dans ses discours, feu Boumediene estimait que la résolution des problèmes des pays en voie de développement à l’instar de l’Algérie réside dans l’organisation d’un débat démocratique ouvert à toutes les institutions’’,a-t-il encore souligné rappelant que cette vision a été reflétée  au cours du débat sur la Charte nationale en 1976.

Le même intervenant a indiqué lors de ce séminaire de deux jours organisé à l’initiative de l’association Wiam pour la promotion des activités de jeunes, que le « président Houari Boumediene voulait s’orientait vers la démocratisation de la vie politique  vers la fin des années 1970, la mort l’a surpris avant la concrétisation de son plan’’.

« Le défunt président rêvait d’une Algérie réconciliée avec son identité culturelle, une Algérie qui se réfère aux valeurs de l’heure en s’appuyant sur la science et la technologie’’, a-t-il soutenu.

De sa part, l’ancien ministre Mohieddine Amimour a rappelé dans son intervention que le défunt Boumediene a fait face avec courage au monopole  du pétrole et ses actions et ses discours ont permis  à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de devenir ‘’une base économique des pays exportateurs du pétrole, et un modèle pour tous les pays exportateurs de la matière première’’.

Il a également attesté que « feu Houari Boumediene a donné « un nouveau souffle au mouvement des non alignés et une profondeur économique’’ attestant qu’il avait semé « les grains de la paix et de la tolérance en Afrique et en Asie’’.

L’ancien ministre Amimour a rappelé les positions de Houari Boumediene dans la défense des causes justes à travers le monde, évoquant à titre d’exemple son discours à l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unies (ONU) en 1974 dans lequel,  il a appelé à la mise en place d’un nouveau système économique mondial répondant aux besoins de la majorité des peuples souffrant de pillage de leur richesses.

Les travaux du premier jour de ce séminaire ont été marqués par la présentation d’interventions de Mustapha Boutora, consultant au ministère des Affaires étrangères, intitulée « la conception de l’Etat chez le défunt président Houari Boumediene’’ et de Zhor Assia Boutaleb, petite fille de l’Emir Abdelkader qui est revenue sur le parcours du deuxième président de l’Algérie indépendante.

Les travaux de ce séminaire se poursuivront vendredi et seront marqués par l’organisation d’une visite au domicile qui a vu naître le défunt président Houari Boumediene à Arara, sur les monts de Beni Addi, suivie d’un débat autour de la vie et l’œuvre de feu Boumediene.

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Augmentation du capital minimum des banques et établissements financiers

Fri, 12/28/2018 - 15:22

ALGER – Le capital minimum requis des banques et des établissements financiers a été revu à la hausse, selon un règlement de la Banque d’Algérie publié au Journal officiel n° 73.

Adopté par le Conseil de la monnaie et du crédit le 4 novembre dernier, ce règlement a pour objet de fixer le capital minimum que doivent libérer, à leur constitution, les banques et établissements financiers exerçant en Algérie.

Ainsi, les banques et établissements financiers, constitués sous forme de sociétés par actions de droit algérien, doivent disposer, à leur constitution, d’un capital libéré en totalité et en numéraire, au moins, égal à 20 milliards de dinars pour les banques et de 6,5 milliards de dinars pour les établissements financiers.

Ces nouvelles dispositions abrogent le règlement du 23 décembre 2008 qui fixe le capital minimum des banques et établissements financiers à 10 milliards de dinars pour les banques et de 3,5 milliards de dinars pour les établissements financiers.

Les banques et les établissements financiers dont le siège social est à l’étranger sont tenus d’affecter à leurs succursales, autorisées par le conseil de la monnaie et du crédit pour effectuer des opérations de banque en Algérie, une dotation, au moins, égale au capital minimum exigé pour la constitution des banques et les établissements financiers de droit algérien relevant de la même catégorie, pour laquelle la succursale a été autorisée.

Toutefois, les banques et les établissements financiers en activité sont tenus de se conformer aux dispositions de ce nouveau règlement, au plus tard, le 31 décembre 2020.

Ils doivent disposer, le 31 décembre 2019, au plus tard, d’un capital libéré en numéraires, au moins, égal à 15 milliards de dinars pour les banques et 5 milliards de dinars pour les établissements financiers.

A la fin 2020, les banques et les établissements financiers qui ne se seront pas conformés aux prescriptions du règlement de la Banque centrale se verront retirer l’agrément, selon le même texte.

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La commune de Debdeb promue circonscription administrative

Fri, 12/28/2018 - 15:17

ALGER – Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a décidé de promouvoir la commune de Debdeb (wilaya d’Illizi), en circonscription administrative, a-t-on appris auprès du ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire.

Selon la même source, cette démarche vise à « promouvoir le rôle stratégique de cette agglomération tout en insufflant une nouvelle dynamique au développement dans cette importante zone frontalière et ce, au titre de la stratégie décidée par le président de la République lors d’un Conseil des ministres restreint en 2015.

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika avait signé jeudi un décret présidentiel portant création de 14 nouvelles circonscriptions administratives dans les wilayas suivantes: Alger, Blida, Constantine, Annaba et Oran dans le cadre de la politique visant la réalisation d’un développement équilibré et global, et convaincu que l’avenir de notre pays repose sur une vision stratégique prospective globale pour un aménagement du territoire qui réponde aux aspirations des citoyens.

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Création de nouveaux billets de 500 DA et 1.000 DA et d’une pièce de monnaie de 100 DA

Fri, 12/28/2018 - 15:08

ALGER – Des règlements de la Banque d’Algérie portant création de deux (2) nouveaux billets de banque, de 500 dinars et de 1.000 dinars, et une nouvelle pièce de monnaie métallique de 100 dinars, ont été publiés au Journal officiel n° 73.

Ainsi, la Banque d’Algérie crée et émet ces nouvelles coupures de billets de banque et pièce de monnaie, dont la mise en circulation sera assurée, à compter de la date de la promulgation de ces règlements.

Les nouvelles coupures de billets de banque et pièce de monnaie porteront la date symbolique du 1er novembre 2018, précise la même source.

D’une dimension 150 mm x 71,7 mm, le nouveau billet de 500 dinars aura pour thème: « L’Algérie à l’ère des technologies de l’information et de la communication » et portera l’effigie de l’Emir Abdelkader.

Quant au billet de banque de 1.000 dinars, sa dimension est de 160 mm x 71,7 mm. Le thème principal de cette coupure qui porte aussi l’effigie de l’Emir Abdelkader est  « Culture, tradition et modernité ».

Concernant la nouvelle pièce de monnaie métallique de 100 dinars, elle est constituée d’une couronne extérieure en acier inoxydable, de couleur gris acier et d’un cœur en cupronickel serti à l’intérieur de cette couronne, de couleur jaune rosâtre. Son diamètre extérieur est 29,50 mm  alors que son épaisseur est de 2,30 mm.

Cette pièce aura pour motif principal le satellite de télécommunication algérien ALCOMSAT-1 survolant le globe terrestre. Le globe fait apparaître le continent africain, l’Algérie étant en relief, ainsi qu’une partie de l’Europe, de l’Asie et, dans une moindre mesure, de l’Amérique du Sud.

Les nouveaux billets circuleront concomitamment avec les billets de banque actuellement en circulation, note les règlements de la Banque d’Algérie.

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10 narcotrafiquants arrêtés à Tlemcen et Béchar

Fri, 12/28/2018 - 15:04

ALGER – Dix (10) narcotrafiquants en possession de 5,5 kilogrammes de kif traité ont été arrêtés jeudi par des détachements combinés de l’Armée nationale populaire à Tlemcen et Béchar, tandis que 4,9 tonnes de denrées alimentaires et 13973 unités de différentes boissons ont été saisies à El-Oued et Biskra, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale.

« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements combinés  de l’Armée Nationale Populaire ont arrêté, le 27 décembre 2018 à Tlemcen/2eRM et Béchar/3eRM, dix (10) narcotrafiquants en possession de 5,5 kilogrammes de kif traité, tandis que 4,9 tonnes de denrées alimentaires et 13973 unités de différentes boissons ont été saisies à El-Oued et Biskra/4eRM », note la même source.

Dans le même contexte, un détachement de l’ANP a saisi, à Tamanrasset/6eRM, « trois (03) orpailleurs à bord d’un véhicule tout-terrain chargé de cinq (05) sacs de mélange de pierres et d’or brut, alors que des éléments de la Gendarmerie nationale et des Garde-frontières ont déjoué des tentatives de contrebande de 12100 litres de carburant à Souk-Ahras, Tébessa et El-Taref/5e RM ».

Par ailleurs, des Garde-côtes « ont mis en échec, à Annaba/5eRM, Ain Témouchent et Oran/2eRM, des tentatives d’émigration clandestine de 83 personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, tandis que 15 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à In-Salah/6eRM », ajoute le communiqué.

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Les conditions d’exercice des opérations de la finance participative publiées au JO

Fri, 12/28/2018 - 11:39

ALGER – Les conditions d’exercice des opérations de banque relevant de la financeparticipative par les banques et les établissements financiers ont été fixées par un règlement publié au Journal officiel no 73.

Ce règlement, adopté par le Conseil de la monnaie et du crédit le 4 novembre dernier, a pour objet de définir les règles applicables aux produits dits « participatifs » ne donnant pas lieu à perception ou à versement d’intérêt et de définir les conditions d’autorisation préalable, par la Banque d’Algérie, des opérations de banque relevant de la finance participative, des banques et établissements financiers agréés.

Selon ce texte, sont considérées des opérations de banque relevant de la finance participative, les opérations de réception des fonds, de placement, de financement et d’investissement, qui ne donnent pas lieu à la perception ou au versement d’intérêts.

Ces opérations concernent notamment la Mourabaha, la Moucharaka, la Moudaraba, l’Ijara, l’Istisna’a, le Salam, ainsi que les dépôts en comptes d’investissement.

Pour mettre en place des produits de finance participative, la banque ou l’établissement financier doit obtenir une autorisation préalable de la Banque d’Algérie.

A ce titre, la banque ou l’établissement financier doit appuyer sa demande adressée à la Banque d’Algérie par l’avis du responsable du contrôle de la conformité de la banque ou l’établissement financier ainsi que la procédure à suivre pour assurer l’indépendance administrative et financière du « guichet finance participative » par rapport au reste des activités de la banque ou de l’établissement financier.

Après obtention de l’autorisation préalable de la Banque d’Algérie, les banques et établissements financiers agréés, désireux d’obtenir pour leurs produits, une certification de conformité aux préceptes de la charia, doivent soumettre lesdits produits à l’appréciation de l’organe national dûment habilité, selon le règlement.

Le  « guichet finance participative », doit être financièrement indépendant par rapport aux autres départements et branches de la banque et de l’établissement financier, souligne le même texte précisant que cette séparation comptable est concrétisée par l’indépendance des comptes clients du « guichet finance participative »par rapport au reste des comptes de leur clientèle.

L’existence d’une section comptable ou d’un département financier propre au « guichet finance participative » a pour principal objectif, l’établissement des états financiers dédiés, y compris l’établissement d’un bilan faisant apparaitre l’actif et le passif de ce guichet ainsi qu’un état détaillé des revenus et des dépenses y afférents.

L’indépendance du « guichet finance participative » au sein de la banque ou de l’établissement financier est assurée par une organisation et un personnel exclusivement dédiés, ajoute le règlement.

Les banques et les établissements financiers ayant reçu l’autorisation préalable pour commercialiser ces produits, doivent informer leur clientèle des barèmes et des conditions minimales et maximales qui leur sont applicables. Ils doivent également informer les déposants, en particulier ceux titulaires des comptes d’investissement, sur la nature de leurs comptes.

Les dépôts en compte d’investissement sont soumis à un accord écrit conclu avec le client, autorisant la banque à fructifier ses dépôts dans le portefeuille des projets et opérations du « guichet finance participative » que la banque accepte de financer.

Le déposant ouvre droit à une part des bénéfices dégagés par le  » guichet finance participative » et supporte une part des pertes éventuelles enregistrées dans les financements engagés par la banque, note encore le même texte.

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Plus de 300 personnes secourues par l’ONG Proactiva Open Arms en Méditerranée sont arrivées en Espagne

Fri, 12/28/2018 - 11:18

L’Italie et Malte avaient refusé de les accueillir. Plus de 300 migrants secourus il y a une semaine au large de la Libye par l’ONG espagnole Proactiva Open Arms sont arrivés vendredi 28 décembre en Espagne.

Le bateau de l’ONG est entré vers 8 h 30 dans la baie de Gibraltar, dans le sud de l’Espagne, avant d’accoster une demi-heure plus tard dans le port de Crinavis, sur la commune de San Roque. Après une semaine de mer, où ils ont célébré Noël à bord de l’Open Arms, les occupants du bateau ont crié et applaudi lors de leur arrivée dans le port.

« Mission accomplie », a lancé, juste avant l’amarrage, le fondateur de l’organisation, Oscar Camps, sur Twitter :

« Bonjour, l’Open Arms, déjà dans la baie, se dirige vers le lieu d’accostage de l’unique port sûr disponible dans la Méditerranée. Mission accomplie. »

Une fois sur la terre ferme, ces 311 migrants, originaires notamment de Somalie, du Nigeria ou du Mali, vont être accueillis par la Croix-Rouge, qui leur fournira vêtements, nourriture et assistance médicale si nécessaire. La police procédera ensuite à leur identification avant qu’ils puissent être dirigés vers des lieux d’accueil.

Secourus le 21 décembre alors qu’ils se trouvaient à bord de trois embarcations précaires en Méditerranée, ces migrants avaient été autorisés à débarquer en Espagne le lendemain par le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez, après avoir été refusés par l’Italie et Malte. Selon Madrid, la Libye, la France et la Tunisie n’avaient, quant à elles, pas répondu à la demande de l’ONG après la fin de non-recevoir opposée par l’Italie.

Si Malte a refusé l’accès de ses ports au navire, une femme et un bébé, né sur une plage libyenne quelques jours avant la traversée, ont en revanche pu être évacués samedi sur l’île en hélicoptère. Un mineur a, par ailleurs, été emmené vers l’île italienne de Lampedusa.

Traversée d’une semaine

Depuis le feu vert accordé par Madrid, ces migrants ont entrepris une traversée d’une semaine pour rejoindre l’Espagne. Un autre bateau de l’ONG espagnole, le voilier Astral, les a ravitaillés lundi en pleine mer, leur apportant nourriture, médicaments et couvertures.

Proactiva Open Arms avait repris fin novembre, avec deux autres bateaux d’ONG, ses missions de sauvetage au large de la Libye, après avoir décidé de les suspendre fin août. Elle dénonçait alors la « criminalisation des ONG », notamment par l’Italie, en particulier par son ministre de l’intérieur d’extrême droite, Matteo Salvini.

C’est la première fois depuis près de cinq mois que l’Espagne accepte de laisser débarquer des migrants d’un bateau d’une ONG. Arrivé au pouvoir au début de juin à Madrid, Pedro Sanchez avait frappé un grand coup quelques jours plus tard en accueillant le navire humanitaire Aquarius, lui aussi refusé par l’Italie et Malte et au centre de fortes tensions en Europe à propos de la politique migratoire.

Madrid avait ensuite accepté à trois reprises, en juillet et août, d’accueillir un bateau d’Open Arms avec des migrants à bord, avant de rechigner à laisser de nouveau débarquer les passagers de l’Aquarius. Le gouvernement préférait alors négocier avec d’autres Etats européens la répartition de ses migrants.

L’Espagne est devenue depuis cet été la première porte d’entrée des migrants illégaux en Europe, devant la Grèce et l’Italie. Plus de 56 000 migrants sont arrivés dans ce pays par la mer depuis le 1er janvier, tandis que 769 sont morts au cours de la traversée.

La route de la Méditerranée centrale est la plus meurtrière, avec 1 306 migrants morts lors de la traversée vers les côtes italiennes et maltaises depuis le début de l’année, selon les derniers chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), actualisés au 19 décembre.

L’Espagne est, en revanche, devenue depuis cet été la première porte d’entrée des migrants illégaux en Europe, devant la Grèce et l’Italie. Plus de 56 000 migrants sont arrivés dans ce pays par la mer depuis le 1er janvier, tandis que 769 sont morts lors de la traversée.

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CLASSEMENT DU COUSCOUS AU PATRIMOINE MONDIAL : Le dossier sera déposé fin mars

Fri, 12/28/2018 - 10:41

Ça pourrait faire sourire, mais c’est du sérieux et pour cause! Quand on voit comment nos pays voisins se disputent notre couscous après l’avoir fait avec le raï! En effet l’Algérie s’est résolue à déposer son dossier pour le classement du couscous au patrimoine de l’humanité et ce, avant la fin mars 2019. Et pour clore les polémiques, ce dernier qui saisira le Comité d’évaluation de l’Unesco le fera au nom de quatre pays maghrébins, fait savoir Slimane Hachi, le directeur du Centre national de recherche préhistorique, anthropologique et historique (Cnrpah). Les quatre pays en question sont donc l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et enfin la Mauritanie. Les travaux qui se poursuivent actuellement et qui consistent en la rédaction d’un texte solide ainsi qu’un reportage vidéo permettra de déposer cette demande de classement du couscous comme élément commun aux quatre pays.
Aussi, des réunions se tiennent actuellement pour assurer la meilleure démarche possible afin d’assurer la préservation de ce patrimoine culinaire. «L’instance onusienne encourage les pays à se mettre en synergie pour présenter des dossiers communs transfrontaliers» nous apprend-on. Voila qui est un premier pas assez positif pour le symbole de l’Union du Maghreb. Une belle initiative en tout cas, visant à faire connaître une des spécificités gastronomiques de la population du Maghreb, qui est à saluer.

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LANCEMENT DE «GOLDEN EYE» : Premier concours de court métrage

Fri, 12/28/2018 - 10:38

Le coup d’envoi de la première édition du Concours national des courts métrages «Golden Eye» (OEil d’or) a été donné mardi à Alger avec la participation de 12 films de plusieurs wilayas. Initié par l’Union nationale des arts culturels (Unac) et organisé à la salle «Al-Khiyam» relevant de la commune d’Alger-Centre, cet évènement, qui prendra fin aujourd’hui comprend outre les projections, plusieurs activités culturelles et scientifiques dont des ateliers de formation. La cérémonie d’ouverture a été marquée par la projection d’un court métrage Harb Oukhra (Une autre guerre) du réalisateur irakien, Ahmed Chawki Hanoun, qui traduit la réalité de la guerre menée contre la société irakienne.
De son côté, la directrice de l’Unac, Amel Arossi, a souligné dans son allocution d’ouverture, l’intérêt qu’accorde cette institution aux innovations des jeunes en oeuvrant, notamment à les encourager et à les aider pour développer leurs compétences à travers ces manifestations.
Pour sa part, le secrétaire général de l’Office de promotion culturelle et artistique (Opca) d’Alger-Centre, Amine Zemam, a fait savoir que la mobilisation de ces espaces avait pour but de faire passer les oeuvres de ces jeunes, notamment en matière de production cinématographique, rappelant, à cette occasion, le projet de réhabilitation des salles de cinéma relevant de sa commune à l’image de la salle «Djazairia» qui est en cours de dotation d’un système de projection numérique (DCP).

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Categories: Afrique

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