La ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghabrit, a informé les directeurs des établissements scolaires, de la nouvelle démarche concernant les relevés de notes.
En effet à partir de jeudi, les élèves des trois paliers retrouveront leurs relevés de notes sur internet, une nouveauté qui évitera aux parents le déplacement.
La ministre de l’Éducation nationale a confirmé l’envoi des relevés de notes devait normalement débuter jeudi, après le conseil des classes.
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La réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul, pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie.
La fondation Asselah a gratifié ses fidèles cette semaine d’une belle rencontre avec Aïcha Kassoul, cette “grande marcheuse” qu’on a suivie pas à pas dans les dédales de sa déambulation entre vie, histoire, lectures et écrits. Cette auteure native de Blida est avant tout une enseignante, une pédagogue, une femme sensible à ce qui l’entoure et ouverte à l’autre, férue d’histoire et acceptant toutes les différences. “C’est la base de tout”, dira-t-elle à l’assistance. Un parcours qu’elle relatera par bribes et en toute humilité, et auquel elle mêlera le contenu de ses écrits, car l’un ne va pas sans l’autre.
La professeure de littérature française à l’université d’Alger s’est donnée corps et âme à ce métier qui lui permettait d’abreuver ses étudiants de cette richesse littéraire, culturelle, et au-delà historique qui allait forger leur savoir et développer leur esprit critique en comparant ces diverses richesses culturelles enrichissantes.
Elle pensait que cela lui suffirait d’enseigner ce qu’ont écrit les autres, sans avoir à transcender cela par son acte d’écriture à elle, mais c’était sans compter sur cette actualité violente qui allait subitement lui faire face et déclencher en elle ce besoin vital.
Et c’est de cela dont il a été question lors de cette rencontre qui a permis à ses lecteurs de connaître la genèse de ses trois publications romanesques dont le dernier roman La colombe de Kant (éditions Casbah), qui a reçu le Prix de l’Escale littéraire d’Alger 2018. Le déclic romanesque de Aïcha Kassoul s’est déclenché après qu’elle ait été victime du détournement de l’Airbus Alger-Paris de 1995, duquel elle est sortie indemne physiquement, mais qui lui a valu de rester sous le choc un très long moment, jusqu’à l’exorciser quelque peu par un roman Chronique de l’impur dans lequel elle raconte ce calvaire vécu pendant trois jours et deux nuits dans l’enceinte fermé d’un espace considéré comme “pur” par de jeunes assaillants “qui auraient pu être mes étudiants, ou mes enfants, dans d’autres circonstances”, dira-t-elle, et qui préféreront exterminer quelques victimes hors avion, dans cet espace externe “impur” à leurs yeux.
Ce fut l’horreur pour cette âme sensible qui vécut cette violence comme une torture, mais qui ne l’avoua pas sur un fauteuil de psy, préférant s’auto-soigner par l’écriture. S’ensuivit une autre violence lorsque dans ses salles de cours, elle se trouvera confrontée à des esprits barricadés qui ne croyaient qu’en leurs propres vérités.
À l’extérieur, fermé à tout sauf à leur ego démesuré, des morts-vivants tentaient le diable pour s’emparer de la vie des autres et bannir toute culture ou ouverture. Ainsi, la réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie, elle qui n’a pas beaucoup d’imagination, dira-t-elle. Et un autre roman naîtra, Le pied de Hanane, enclenché par cette abominable nouvelle qui circulait sur cette jeune enseignante de français égorgée devant ses élèves. L’auteure marchera sur les pas de Hanane, faisant ses propres pas à elle dans un univers macabre où la barbarie faisait loi.
C’en était fini de l’enseignement et notre auteure, devenue consule de Besançon, ira vers une autre destinée “diplomatique” qu’elle contera aux présents avec quelques anecdotes qui parfois donneront froid dans le dos tant leur réalité est triste. D’où naîtra La colombe de Kant où la Grande Histoire de l’Algérie, celle qui ne plaît pas forcément à ceux qui veulent en supprimer quelques passages déplaisants se mêlera à quelques moments fictifs pour encore une fois donner à lire une réalité du quotidien.
Aïcha Kassoul donnait aussi à lire sur les ondes le la Chaîne III des ouvrages qui l’ont marquée, un passage très marqué que ses auditeurs présents lui ont demandé de renouveler…
Samira Bendris-Oulebsir
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Les manifestations sociales des syndicats tunisiens, marquées par des grèves en novembre dans le secteur public, reviennent sur le devant de la scène avec ce mouvement de contestation, inspiré des “gilets jaunes” français.
Le gouvernement tunisien, qui n’arrive pas à satisfaire les revendications des organisations syndicales en raison des difficultés financières auxquelles il fait face et les pressions du Fonds monétaire international (FMI), voit revenir la contestation sociale dans la rue dès aujourd’hui.
C’est un nouveau mouvement portant le nom de “gilets rouges” qui fait son apparition avec une première manifestation dès aujourd’hui à Kasserine, dans le centre-ouest frontalier avec l’Algérie. Le choix de ce lieu n’est pas fortuit, car c’est dans cette ville où l’un des fondateurs de ce mouvement a été arrêté vendredi.
Il s’agit de Borhane Ajleni, un militant d’un parti de gauche, auquel on reproche d’avoir diffusé en ligne des appels à soutenir la campagne de contestation, selon des membres de ce mouvement.
Ceci dit, les “gilets rouges” protestent contre la flambée des prix et pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Ils demandent au gouvernement tunisien l’établissement d’une stratégie pour l’emploi, l’augmentation du Smic et une baisse des prix des produits de première nécessité.
Ces demandes se justifient par le fait que le chômage dépasse 15%, l’inflation atteint près de 8% et le dinar continue sa dégringolade. Les revendications des “gilets rouges” traduisent la colère qui gronde depuis des mois en Tunisie, avec les grèves dans l’enseignement, dans les transports de carburant, au sein des avocats et de menaces de débrayage dans le transport aérien.
On rappellera qu’une grève générale est prévue à la mi-janvier à l’appel du puissant syndicat UGTT. Il y a lieu de noter que ce mouvement des “gilets rouges” semble bien structuré selon ses responsables, qui affirment qu’il repose sur 9 coordinations régionales et 53 locales.
Conférence de presse, pages facebook déjà en place, représentants en régions, leaders issus des rangs d’un syndicat d’étudiants de gauche ou proches de certaines personnalités politiques traduisent une mobilisation bien réfléchie et loin d’être spontanée.
Interrogé sur cette campagne des “gilets rouges”, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, qui participait à un séminaire organisé par la Fédération nationale des hydrocarbures à Hammamet, a affirmé, samedi, au micro de Radio Shems fm, que “ce qui importe le plus est non pas le déclenchement des manifestations, mais plutôt le fait de savoir les encadrer”.
Noureddine Taboubi a ajouté que la centrale syndicale refuse que les manifestations soient orchestrées par certaines parties, rappelant que la situation sociale du pays est critique. Il a dans ce contexte appelé toutes les parties à faire preuve de responsabilité.
Il y a lieu de signaler que la police tunisienne a saisi cette semaine dans un entrepôt à Sfax 48 000 gilets rouges dont l’importateur affirme qu’une grande partie est destinée à des sociétés pétrolières.
Merzak Tigrine
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Pour protéger le prince héritier, l’Arabie saoudite continue dans sa fuite en avant, alors que les enquêtes menées jusque-là ont conclu à sa culpabilité.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a accentué hier la pression sur l’Arabie Saoudite au sujet de l’affaire de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, tué puis décapité à l’intérieur du consulat saoudien d’Istanbul le 2 octobre dernier, et dont le corps n’a jamais été retrouvé. “Il est absolument essentiel d’avoir une enquête crédible et une punition pour ceux qui en sont coupables”, a déclaré M. Guterres lors d’une conférence de presse en marge d’une conférence à Doha (Doha Forum). Le chef de l’ONU n’a pas précisé s’il souhaitait une enquête internationale dans ce meurtre qui a considérablement terni l’image de l’Arabie Saoudite. “Je n’ai pas d’informations spécifiques (sur le meurtre) à l’exception de celles données par les médias”, a encore dit M. Guterres.
Cette sortie intervient au lendemain de celle du chef de la diplomatie turque, Mevlüt Cavusoglu, dont le pays a affiché son intention de saisir l’ONU pour l’ouvertyure d’une enquête internationale, estimant que l’Arabie Saoudite fait montre de sa mauvaise foi dans la gestion de cette affaire en refusant de partager toutes les informations collectées par Riyad. “Nous n’avons reçu aucune nouvelle information ou résultat de l’enquête côté saoudien”, a déclaré le ministre, Mevlüt Cavusoglu, en marge d’une conférence au Qatar. “La Turquie ne renoncera pas sur ce sujet, nous irons jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, cité par les agences de presse. “Nous savons que le corps de Khashoggi a été démembré et sorti du consulat, mais nous ne savons pas où il se trouve et c’est la question principale à laquelle nous devons répondre”, a souligné Mevlüt Cavusoglu.
Mardi dernier, la Turquie a indiqué être en discussions avec l’ONU pour une éventuelle enquête internationale sur le meurtre de Jamal Khashoggi. “À ce sujet, nous nous sommes entretenus avec le Secrétaire général de l’ONU et avec nos homologues et nous continuons de le faire”, avait précisé M. Cavusoglu. Jamal Khashoggi, un éditorialiste critique du pouvoir de Riyad, a été tué par des agents saoudiens dans le consulat de son pays à Istanbul. La Turquie avait affirmé dans un premier temps ne pas souhaiter d’enquête internationale, privilégiant une coopération directe avec les autorités saoudiennes. Mais Ankara n’a eu de cesse de critiquer le manque de collaboration de Riyad, qui affirme que le meurtre a été commis sans l’accord de ses plus hauts dirigeants.
Les autorités saoudiennes ont rejeté une demande d’extradition turque des suspects, parmi lesquels deux proches du prince héritier Mohammed ben Salmane, accusés par Ankara de faire partie des planificateurs du meurtre. Les deux hommes, Ahmed al-Assiri et Saoud al-Qahtani, ont été démis de leurs fonctions le 20 octobre.
Lyès Menacer
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Elle serait, en partie, l’œuvre d’“un microcosme affolé par la perspective d’un changement de président de la République qui serait formé de gens soucieux de leur carrière et de leurs intérêts”.
Ni l’éditorial d’un journal gouvernemental ni les réticences de certains responsables de partis de “la majorité” n’ont réussi à lever le brouillard qui entoure la prochaine élection présidentielle. La confusion règne toujours. Et en l’absence d’un geste de la présidence de la République, c’est la rumeur et la spéculation qui règnent en maîtresses.
Alors qu’au moins une partie du pouvoir a démenti, par le biais d’un éditorial publié dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid, l’idée de reporter l’élection présidentielle, la clôture du congrès de TAJ a donné lieu à de nouvelles spéculations. La relance du débat sur l’idée d’Amar Ghoul, qui appelle à la tenue d’une conférence nationale autour de l’élection présidentielle, a donné lieu à d’incroyables lectures. Alors que le président de TAJ n’a pas prononcé le terme “report de l’élection”, une bonne partie de la presse est allée jusqu’à affirmer que l’ancien ministre des Travaux publics plaide en faveur du report de l’élection présidentielle et surtout de la prorogation du mandat d’Abdelaziz Bouteflika. Une thèse relayée par nos confrères du Soir d’Algérie qui vont jusqu’à affirmer que l’élection présidentielle sera bonnement annulée par le biais d’une révision constitutionnelle qui justifiera, légalement, une telle option.
Dans l’état actuel des choses, et en l’absence d’éléments concrets, il est quasiment difficile de confirmer ou d’infirmer une des options sur la table. Mais des hommes issus du système écartent l’éventualité de reporter l’élection présidentielle. “Cela me paraît être une plaisanterie de mauvais goût. Nous sommes dans une situation normale, nous savons depuis bientôt cinq ans qu’il va y avoir une autre élection et tout le monde devrait être prêt à aller vers cette échéance. Je ne vois pas de raison de prolonger le mandat ou de changer la nature du système politique dans l’urgence. Je pense vraiment que c’est une lubie qui n’a aucun fondement”, a, par exemple, estimé l’ancien président de l’APN, Abdelaziz Ziari, invité par le site TSA. Ce sont des ballons-sondes envoyés par “un microcosme qui est affolé par la perspective d’un changement de président de la République, non pas parce qu’ils sont soucieux du bien-être des Algériens ou du président Bouteflika lui-même, mais surtout pour leur carrière et leurs intérêts”, ajoute Ziari, qui pense même à des campagnes d’intoxication.
Du côté de l’opposition, en dehors du MSP, dont le chef, Abderrezak Makri, s’interroge désormais sur les intentions d’Abdelaziz Bouteflika, d’autres composantes ne croient pas au scénario du report. Le report “ne va pas régler le problème du régime dans le sens où plus on éloigne l’échéance présidentielle plus le système s’affaiblit sous l’effet des contradictions et des revirements”, a, par exemple, expliqué le président du RCD, Mohcine Belabbas, dans une interview accordée à Liberté. Le chef du parti démocrate rappelle même que depuis son arrivée au pouvoir, Abdelaziz Bouteflika “essaye de vendre l’image d’une stabilité retrouvée”. “La prolongation du mandat présidentiel est tout simplement un attentat à la morale, à l’État de droit, à la démocratie et aux intérêts stratégiques du pays”, estime, quant à lui, le coordinateur national du mouvement Mouwatana, Soufiane Djilali. Ce conglomérat de partis et personnalités de l’opposition a toujours appelé Abdelaziz Bouteflika à ne pas briguer un nouveau mandat
présidentiel.
Cette confusion est nourrie par les nouveaux éléments de langage utilisés par les partis de la “majorité présidentielle”. Continuité, soutien au chef de l’État ou encore “parachèvement” de l’œuvre sont les maîtres-mots de ces partis et personnalités qui ont construit leur assise sur le seul soutien à Abdelaziz Bouteflika. Mais point de référence à un nouveau mandat dès avril prochain. Ce qui signifie que les paris sont ouverts !
Ali Boukhlef
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Le dernier Conseil de wilaya, tenu jeudi dernier, a été consacré au dossier de l’investissement privé dans différents secteurs d’activité, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la wilaya.
La même source a ajouté que le wali Far Bachir et les membres de ce conseil ont passé en revue ce dossier afin de faire le point pour le booster conformément aux orientations des pouvoirs publics relatives à l’assouplissement des procédures administratives qui constituent un frein à l’investissement, de l’avis de certains investisseurs rencontrés récemment lors d’une rencontre initiée par les autorités locales. A cet effet, la commission du Calpiref totalise 194 projets agréés susceptibles de créer 23 913 postes d’emploi dans différents secteurs d’activité, a souligné notre source ajoutant que le secteur de l’industrie vient en pole position des projets validés avec 87 projets, suivi par le secteur du tourisme avec 44 projets d’investissement, les services avec 28,17 dans le domaine de la pêche et des produits halieutiques, 14 dans le secteur de la santé portant essentiellement sur la réalisation d’une dizaine de cliniques et des unités de production de produits pharmaceutiques et de médicaments.
Selon les services de la wilaya, le secteur agricole totalise 13 projets d’investissement agréés dont une station de conditionnement et de calibrage des produits agricoles dans la commune d’el-Kennar, 7 projets dans le domaine du BTHP.
La même source a précisé que ces projets seront implantés dans les zones de Chouf tenine, relevant de la commune de Ouled-Yahia-Khedrouche, Béni-Ahmed, le pos est, relevant de la commune chef-lieu de wilaya.
Rappelons que les autorités locales ont octroyé la décision de concession d’une assiette foncière de 2 hectares dans la ZAC de Bani-Ahmed à l’investisseur Bentebel Boualem qui projette, avec l’apport des chinois, de réaliser un complexe de transformation des déchets ménagers en énergie pour un montant de 32 millions de dollars susceptible de créer 150 postes d’emploi directs et 50 autres indirects.
Bouhali Mohammed Cherif
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L’hôtel Mekter de la capitale des monts des ksour, Aïn-Séfra, a abrité, du 14 au 15 décembre courant, le congrès de la fondation de l’Organisation nationale pour la protection du patrimoine culturel et du développement du tourisme (ONPPCDT).
Plusieurs membres fondateurs, représentant plus d’une vingtaine de wilayas du pays, dont Skikda, Annaba, El-Taref, Ghardaïa, Laghouat, Oran, Tlemcen, Béchar, Naâma (l’organisatrice) ont pris part à ce congrès constitutif. Après l’élection du bureau, M. Boudelal Mohamed a été élu à l’unanimité président de l’organisation.
Ce dernier nous a déclaré en substance : «Notre organisation vise plusieurs axes majeurs prioritaires, d’abord la protection du patrimoine culturel et la promotion et le développement du tourisme de nature, d’aventure et de recherches au niveau national, ainsi que la mise en œuvre d’une stratégie de mise en valeur de notre patrimoine dans un cadre culturel et touristique, comme nous comptons favoriser l’essor économique par l’exploitation des potentialités que recèle notre pays.»
B. Henine
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Des dizaines de médecins exerçant au niveau de l’hôpital Mohamed-Boudiaf de Bouira se sont rassemblés, hier, en observant un piquet de grève de deux heures, pour dénoncer les conditions de travail au sein de cet établissement hospitalier.
Selon les protestataires rencontrés sur les lieux hier dans l’après-midi, une anarchie totale règne au sein de l’hôpital, au point où les médecins n’arrivent plus à exercer leur métier convenablement.
En effet, selon eux, il y a d’abord les accompagnateurs des malades qui pénètrent tous à l’intérieur des blocs opératoires, dans les salles de soins, et dans les salles de réanimation, en agressant souvent les médecins qui oseraient leur demander de sortir et de les laisser ausculter le malade calmement.
Outre ces conditions de travail difficiles, le matériel médical, ainsi que les consommables comme les pansements, les gants, et autres injections, ainsi que les médicaments sont souvent manquants, poussant les médecins à regarder le malade souffrir sans pouvoir lui faire quoi que ce soit. Devant cete situation intenable, les médecins protestataires, qui rappellent que le directeur de l’EPH refuse d’admettre qu’il y a un manque de matériel, se sont vu obligés d’observer ces piquets d’alerte afin d’alerter la DSP ainsi que le ministère sur les conditions de travail au sein de cet EPH qui manque de tout. Ils en appellent au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière afin d’intervenir pour recruter plus d’agents de sécurité, et doter cet hôpital de moyens médicaux et de médicaments pour pouvoir exercer leur métier dans de bonnes conditions et être à la hauteur des attentes des citoyens qui n’ont d’autres endroits, vu les conditions sociales de beaucoup d’entre eux, que ces établissements publics pour soulager leurs souffrances et celles de leur progéniture.
Y. Y.
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L’Université de Sidi-Bel-Abbès s’est positionnée à la 56e place à l’échelle mondiale en 2018, ont fait remarquer ses responsables, lors d’une cérémonie. L’université Djilali-Liabès de Sidi-Bel-Abbès a dans la journée du samedi marqué son 40e anniversaire d’existence lors d’une cérémonie symbolique à laquelle étaient conviés les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Hadjar Tahar, de la Poste et des Télécommunications, Houda Feraoun et celui de l’Enseignement et de la Formation professionnels, M. Mebarki.
Au cours de cette cérémonie, les intervenants ont retracé le parcours de cette université qui a ouvert ses portes avec le statut de centre universitaire en septembre 1978 avant de devenir une importante université qui a actuellement 9 facultés, un campus, un UFC, 48 laboratoires, 377 enseignants-chercheurs, une école nationale de l’informatique, une maison de l’entrepreneuriat, 12 résidences universitaires, 29 000 étudiants et 1 400 enseignants. L’université Djilali-Liabès a, depuis sa création, fait des progrès considérables en matière de recherches, d’enseignement, de réalisation d’infrastructures, d’équipements. En 2016, elle a été classée première à l’échelle nationale et maghrébine et 27e à l’échelle africaine. En 2018, elle s’est positionnée à la 56e place dans le domaine du génie civil et 200e dans le domaine des sciences de la matière à l’échelle mondiale selon le classement de Webometrics Ranking. Trois de ses chercheurs ont vu leurs travaux cités dans les revues mondiales. Des distinctions qui lui ont valu le nom de pôle universitaire par excellence, ont souligné les intervenants.
Des journées de formation sur la gestion des produits à haut risque
Dans la matinée d’hier, ont débuté, et ce, jusqu’à mercredi prochain, les quatre journées de formation autour de la technique de gestion des produits à haut risque, de leur prévention lors de leur manipulation, leur transport et leur utilisation. Ces journées initiées par la Direction générale de la Protection civile et organisées par la Protection civile de Sidi-Bel-Abbès, sous l’égide de la sous-direction de la Protection civile des risques majeurs et les coordinations régionales de l’Afrique du Nord et du Sahel auprès des Nations-Unies, concernent plusieurs corps, à savoir la Protection civile, la gendarmerie, les douanes, la police et les directions agricoles dont les cadres seront initiés et formés pour réduire l’impact des risques de ces produits et renforcer les capacités de ces derniers dans la prévention lors de leur manipulation, leur utilisation et leur transport.
Les experts de la DG de la Protection civile, acteurs dans cette formation, se sont relayés à la tribune pour démontrer les techniques de gestion de ces produits à haut risque tels que les produits chimiques, nucléaires, radiologiques et biologiques, en vue de réduire au mieux leur impact sur les personnes et l’environnement. La formation qui durera quatre jours, sera illustrée par des ateliers et pour le dernier jour, des exercices de simulation.
A. M.
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«Tout sera prêt pour la rentrée scolaire de septembre 2019.» Le chef de l’exécutif se veut rassurant. Dimanche dernier, lors de la quatrième session de l’APW, il a fait le point sur les travaux qui devraient être effectués dans pas moins de 250 établissements scolaires de la wilaya, «notamment pendant la pause estivale». «Personnels des communes et salariés des entreprises doivent s’affairer pour achever les travaux et réaménager les sites à temps, au maximum avant le 15 août 2019», a-t-il déclaré devant les élus locaux.
Et le wali de commenter : «On doit profiter des vacances scolaires et surtout de la période estivale pour finaliser cette opération, ceci afin de limiter l’impact sur le quotidien des élèves et des enseignants.» Nous apprenons, par ailleurs, que le budget consacré aux travaux de maintenance et de rénovation de ces écoles s’élève à 150 milliards de centimes.
«La sélection des écoles qui vont faire l’objet de travaux est basée sur des critères de priorité, il s’agit, entre autres, de la sécurité des enfants dans les locaux, l’amélioration des conditions d’accueil, et surtout la maintenance qui doit prendre en compte le chauffage, l’eau, l’électricité et l’assainissement», indique une source proche des services de la DAL.
Noureddine Guergour
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Le secteur de la santé dans la wilaya de Souk Ahras a été doté de plusieurs nouvelles structures, destinées à renforcer les prestations de services, a déclaré le directeur de la santé et de la population (DSP), Amor Bentouati.
Deux polycliniques ont été réceptionnées dans les communes de Safel-Ouidane et d’Ouled-Moumène, et deux autres structures sanitaires similaires ont été mises en service, en novembre dernier au pôle d’occupation du sol (POS) 9 au chef-lieu de wilaya, et dans la localité de Tergualet, a indiqué samedi le responsable.
Le complexe mère-enfants (120 lits) et l’hôpital de la commune de Taoura (60 lits) ont fait l’objet récemment d’opérations de réhabilitation, d’aménagement et de rééquipement, a-t-il ajouté, notant que l’exploitation de ces infrastructures sanitaires est prévue «prochainement» après la levée de toutes les réserves.
Une autre polyclinique, dont le taux d’avancement des travaux a atteint 95%, sera également réceptionnée au début de l’année 2019 dans la localité de Henancha, a poursuivi le responsable, relevant que deux appels d’offres nationaux relatifs à l’acquisition des équipements médicaux au bénéfice de cette infrastructure sanitaire et du nouveau service de chirurgie générale de l’établissement public hospitalier de la ville de Souk Ahras, ont été publiés récemment.
Les indicateurs du secteur public et le taux de couverture dans la wilaya représentent 1 lit pour 983 habitants, un hôpital pour 171 444 habitants, une polyclinique pour 21 434 habitants, ainsi qu’une salle de soins pour 6 768 habitants dans cette wilaya frontalière qui compte 514 436 âmes, a fait remarquer le DSP.
Le secteur de la santé dans la wilaya de Souk Ahras dispose de 120 médecins spécialistes, 351 médecins généralistes, 103 chirurgiens dentistes, 24 psychologues cliniciens, ainsi que 209 laborantins, 48 assistants en anesthésie et réanimation, 1 027 infirmières et 118 sages-femmes, a-t-on signalé des services concernés.
APS
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Plus de 6 000 candidats sont inscrits au niveau des services de l’Agence nationale de l’emploi (Anem) à Ouargla pour prendre part au prochain concours de recrutement proposé par le Groupe Sonatrach, a-t-on appris hier des responsables locaux de cet organisme de l’emploi.
Offrant un quota de près de 500 postes, ce concours est destiné uniquement aux candidats issus de la wilaya d’Ouargla, titulaires de diplômes universitaires (bac +5, bac+4 et bac+ 3) dans plusieurs spécialités, a-t-on signalé.
Les candidats admis effectueront une formation professionnelle assurée par l’Institut algérien du pétrole (IAP) spécialisé dans l’encadrement du personnel recruté par Sonatrach dans les différents métiers liés au secteur des hydrocarbures, a-t-on fait savoir.
L’opération d’inscription s’est déroulée, du 12 au 15 décembre, au niveau de l’agence régionale de l’Anem, implantée au chef-lieu de wilaya, pour les candidats des communes de Ouargla, Rouissat, Sidi Khouiled, Aïn-el-Beïda, Hassi Benabdallah et N’goussa, ainsi que de la Direction de l’emploi dans la wilaya déléguée de Touggourt pour les 11 communes relevant de cette collectivité en plus d’El-Hedjira et El-Alia, a précisé la même source.
Il s’agit, en outre, de l’annexe communale située au quartier des 40 logements à Hassi-Messaoud et le bureau de l’agence de l’emploi à El-Borma, a-t-on ajouté.
Reporté depuis septembre dernier, le concours en question, qu’abritera durant trois jours (23, 24 et 25 décembre courant), l’Université Kasdi-Merbah de Ouargla, va donner une nouvelle opportunité d’emploi aux jeunes universitaires de cette wilaya du sud-est du pays au sein de Sonatrach, a-t-on indiqué. Plus de 1 500 postes d’emploi, tous grades et spécialités professionnelles confondus, vont être offerts, parallèlement, au profit des chômeurs de la wilaya de Ouargla, selon la même source.
L’opération de dépôt de dossiers de candidature dans le cadre de ces nouveaux emplois, pour effectuer les tests professionnels, a été déjà lancée la semaine dernière dans le secteur économique, notamment les compagnies nationales opérant au niveau des champs pétrolifères de la région (950 postes), les entreprises exerçant dans le domaine du gardiennage (300) ainsi que des sous-traitants et entreprises privées (300), a-t-on détaillé.
APS
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Une forte affluence des jeunes a été enregistrée au Salon de la formation et des projets organisé à la Maison de la culture de Chlef, à l’initiative de l’entreprise internationale El Farissi pour l’information et la production, a-t-on appris, hier, auprès des organisateurs.
Depuis son ouverture samedi soir, près de 400 jeunes ont visité cette manifestation marquée par la participation de nombreuses entités économiques et de formation, a indiqué Henni Adda Amine, gérant de l’entreprise organisatrice, qui s’est félicité de cette forte affluence juvénile.
Il s’agit, a-t-il ajouté, d’offrir l’opportunité aux jeunes de se rapprocher de différentes entreprises activant dans divers secteurs économiques, en vue d’introduire leur CV pour une éventuelle embauche, ou pour tout simplement s’informer des conditions nécessaires pour intégrer une formation de leur choix.
L’objectif de cette manifestation étant, selon M. Henni Adda Amine, la création d’un cadre d’échanges entre les nouvelles PME émergentes et les grandes entreprises économiques opérationnelles sur le terrain, depuis des années, et ce, dans le but de les inciter (PME) à élargir leurs activités et, partant, recruter davantage de jeunes dans la région, a-t-il expliqué.
A noter que près de 17 établissements de formation (en langues, information et publicité) et économiques relevant de divers créneaux d’activité, dont la production de médicaments, le montage de panneaux solaires, de moteurs et de générateurs électriques, prennent part à cet événement économique.
Des jeunes rencontrés sur place par l’APS ont loué cette initiative qui leur permet de s’informer sur les opportunités d’emploi et de formation qui leur sont offertes, tout en faisant la promotion des jeunes entreprises locales, ont-ils estimé.
Amal, une visiteuse de ce salon, a assuré avoir pris la décision d’intégrer une formation en montage de panneaux solaires, après avoir pris connaissance de cette spécialité et de son importance dans la préservation de l’environnement et de la consécration du développement durable, à l’occasion de cette manifestation.
Un groupe de stagiaires du CFPA de Chlef a effectué une visite à ce salon où des explications leur ont été fournies sur les conditions de poursuivre leur formation au niveau de l’un des établissements participants.
Selon ses organiseurs, des efforts seront consacrés, au titre de la prochaine édition de ce salon, en vue du relèvement du nombre de ses participants, tout en lui conférant une dimension nationale.
APS
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Le gouvernement français espérait hier que la forte baisse de la mobilisation des «gilets jaunes» samedi sonne le clap de fin de ce mouvement social inédit, commencé il y a un mois et qui a secoué la présidence d’Emmanuel Macron.
La cinquième journée de manifestations a réuni samedi moitié moins de personnes dans les rues françaises que les semaines précédentes, marquant, selon Jérôme Sainte-Marie, sondeur à l’institut français Pollingvox, «la fin d’un cycle de mobilisation».
«Une étape est derrière nous, certainement, et je pense que c’est l’intérêt de tout le monde qu’il en soit ainsi, y compris des ‘’gilets jaunes’’», a déclaré hier le ministre français de l’Education Jean-Michel Blanquer.
Depuis le 17 novembre, les «gilets jaunes» — ces Français modestes réclamant plus de justice sociale — bloquent ronds-points et axes routiers à travers la France.
Si tous les blocages ne se lèveront pas en un jour, le gouvernement français ne cache pas son soulagement. «Le temps du dialogue est venu», a souligné samedi le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, un très proche du président Macron.
«Les ronds-points doivent être libérés et la sécurité de tous redevenir la règle», a ajouté le ministre français de l’Intérieur Christophe Castaner.
Depuis le début du mouvement, huit personnes sont mortes en marge des blocages et manifestations.
Mais pas question de crier victoire et encore moins de conclure à une quelconque défaite des «gilets jaunes» qui ont obtenu bien plus que les syndicats ou partis d’opposition avant eux.
Annulation d’une taxe sur le carburant, gel des tarifs de l’électricité et du gaz, hausse de 100 euros par mois pour les salariés payés au salaire minimum, annulation d’une hausse d’impôt sur les petites retraites… la liste des concessions arrachées au président Macron est longue. Après quatre samedis de manifestations à Paris et en régions, dont trois émaillés de spectaculaires violences et dégradations, «ça s’apaise, mais ce qui reste de tout ça c’est une détestation très forte d’Emmanuel Macron», estime Hervé le Bras, de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS).
«Ils ont réussi à faire reculer un pouvoir qui pourtant paraissait très fort», estime de son côté Jérôme Sainte-Marie.
«Le mouvement faiblit, la cote de l’exécutif aussi», écrivait hier le Journal du Dimanche.
L’hebdomadaire français publiait hier un sondage sur la popularité du président Macron, dont la cote est tombée à 23% de «satisfaits» (-2 points) et 4% de «très satisfaits» (stable), contre 76% de «mécontents» (+3 points).
Emmanuel Macron, dépeint en Jupiter en début de mandat, «sera désormais obligé d’avoir une attitude plus attentive avec les corps intermédiaires, les syndicats ou les maires, et même directement au contact avec les Français», souligne le sondeur français Jean-Daniel Levy, de Harris Interactiv.
Après la taxe carbone, les revendications des «gilets jaunes» se sont rapidement élargies à la question globale du pouvoir d’achat avant de déborder sur d’autres thèmes. Samedi, les manifestants étaient nombreux à réclamer l’organisation d’un «RIC», un référendum d’initiative citoyenne, comme il se fait en Italie ou en Suisse.
Les revendications diverses et parfois contradictoires d’un mouvement aussi peu structuré que celui des «gilets jaunes» rendent très difficile toute prédiction quant à son avenir et ses éventuels débouchés politiques.
Mais, pour Jérôme Sainte-Marie, un retour à la situation d’avant le 17 novembre est exclu et l’exécutif a vraiment intérêt à tenir ses promesses. «Si jamais les mesures concernant le pouvoir d’achat ne sont pas appliquées, il y a un risque de reprise de mobilisation très important. Car les gens ont pris conscience de leur pouvoir», dit-il.
L’essoufflement du mouvement est également vécu comme un soulagement pour l’économie française et notamment pour les petits commerces, qui, à l’approche des fêtes, ont fortement souffert de la mobilisation. Le président de la Confédération des commerçants de France a estimé, samedi, que le mouvement représentait «une véritable catastrophe» pour eux, avec une baisse du chiffre d’affaires comprise entre «40% et 70%».
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D’après le journal ABC qui cite un communiqué du ministère de l’Intérieur, un algérien a été arrêté en Espagne pour appartenance à l’organisation terroriste Daech.
Le suspect de 36 ans, a été retrouvé dans la ville de Vitoria, lors d’une opération de police menée en collaboration avec le renseignement et Europol. Selon la même source ce dernier est président d’une association culturelle. C’est d’ailleurs à travers cette dernière, qu’il s’adonne à une propagande pro-Daech. Pendant quatre ans, il a entrepris des activités faisant la promotion de l’idéologie du groupe terroriste.
Ce ressortissant algérien bénéficiait d’une allocation de chômage, et détenait un site de vente en ligne. Ainsi, ces revenus étaient prédestinés aux personnes qu’il envisageait d’endoctriner. Selon le journal ABC, l’homme a déjà été arrêté suite à une agression contre deux policiers.
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La Première ministre britannique Theresa May a accusé l’ancien chef de gouvernement travailliste Tony Blair de chercher à «saper» le Brexit en appelant à un second référendum, Tony Blair l’accusant en retour d’être «irresponsable», dans une rare dispute publique, hier.
«Le fait pour Tony Blair d’aller à Bruxelles et de chercher à saper nos négociations en plaidant pour un deuxième référendum est une insulte envers le poste qu’il a occupé et le peuple qu’il a servi», fustige la Première ministre, dans une déclaration transmise aux médias samedi soir.
«Nous ne pouvons pas, comme il le ferait, abdiquer la responsabilité de cette décision», ajoute Theresa May, qui a maintes fois rejeté l’option d’un second référendum sur le Brexit, défendue par plusieurs partis d’opposition, une partie du Labour, et des personnalités.
«Ce qui est irresponsable, c’est d’essayer de convaincre de force les députés d’accepter un accord qu’ils considèrent franchement comme mauvais en menaçant de quitter l’Union européenne sans accord, s’ils ne suivent pas la ligne», a riposté Tony Blair, via le compte Twitter de son cercle de réflexion, Tony Blair Institute.
Theresa May dit «se battre pour un bon accord pour le Royaume-Uni». Elle a obtenu un accord avec l’Union européenne après 17 mois de négociations difficiles, mais souhaite encore des «garanties» pour convaincre les députés britanniques, très divisés, de voter le texte. «Je n’ai jamais perdu de vue mon devoir, à savoir mettre en œuvre le résultat du référendum» de juin 2016, lors duquel 52% des Britanniques avaient voté pour sortir de l’UE. Mais Tony Blair, opposé au Brexit, considère que «ni le peuple, ni le Parlement ne s’unira derrière l’accord de la Première ministre».
Il préconise que le Parlement vote sur différentes options, dont l’accord négocié par Theresa May. «Si (les députés) ne peuvent pas se mettre d’accord, ce qui est logique est de redonner la voix au peuple», argumente M. Blair. Il s’est exprimé sur le sujet à Londres vendredi, alors que Theresa May rencontrait les dirigeants européens à Bruxelles. «Trop de personnes veulent saboter le processus (du Brexit) pour défendre leurs propres intérêts politiques — plutôt que d’agir dans l’intérêt national», a déclaré Theresa May.
Selon certains médias britanniques, plusieurs membres du gouvernement, dont le numéro 2, David Lidington, œuvreraient en coulisses pour un second référendum. Le chef de cabinet de Theresa May, Gavin Barwell, a démenti hier sur Twitter ces rumeurs, tandis que David Lidington a renvoyé à ses déclarations au Parlement mardi, lorsqu’il avait déclaré que le résultat d’un second référendum «serait certainement une source de divisions et ne pourrait garantir de mettre définitivement fin au débat».
Le ministre des Affaires étrangères Jeremy Hunt a aussi soulevé les risques de divisions posés par un second référendum dans une interview au Sunday Times.
Il a, par ailleurs, affirmé qu’en cas de sortie de l’UE sans accord, le Royaume-Uni, «prospérerait», «même si nous ne pouvons pas affirmer qu’il n’y aurait pas de perturbations». M. Hunt a aussi laissé entendre qu’il était intéressé par le poste de Premier ministre, après que Theresa May a annoncé qu’elle quitterait ses fonctions avant les prochaines législatives, prévues en 2022.
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ngrédients / pour
6 personnes 200 g de chocolat noir, 150 g de sucre, 50 g de farine,
150 g de beurre, 4 œufs
1- Cassez les œufs en séparant les blancs des jaunes. Battez fermement les blancs en neige avec une pincée de sel.
2- Mélangez le beurre mou et le sucre. Ajoutez-y le chocolat fondu tout en continuant de mélanger puis incorporez un à un les jaunes d’œufs sans cesser de remuer.
3- Ajoutez la farine puis les blancs d’œufs et mélangez délicatement.
Pour finir
Beurrez un moule et versez-y la préparation. Faites cuire le gâteau environ 20 minutes sur thermostat 5.
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Le président du Cnal (Conseil national des arts et lettres), M. Abdelkader Bendaâmèche, était l’hôte de la wilaya de Naâma hier, où il a présidé une cérémonie conviviale d’attribution des cartes professionnelles au profit d’une cinquantaine d’artistes (tous arts confondus) opérant dans la wilaya de Naâma.
En marge d’une conférence donnée à la maison de la culture Ahmed-Chami, M. Bendaâmèche a indiqué que plus de 10 000 artistes ont bénéficié à ce jour de cette fameuse pièce, qui est attribuée à tous les artistes en activité sans distinction aucune, sans exigence d’avoir une grande renommée ; elle permet à l’artiste de se doter de son statut particulier.
L’hôte de la culture ajoutera que d’autres avantages au profit des artistes — en plus de ceux déjà acquis depuis 2014 — sont en cours de réalisation, notamment un décret visant l’organisation du métier de l’artiste dans l’énumération de ses droits et ses obligations est en préparation.
«Ce décret, auquel contribuent plusieurs services de l’Etat, outre le Cnal (acteur principal créé en 2012), mais aussi, les services du gouvernement, ceux du ministère de la Culture et ceux du ministère du Travail et de la Sécurité sociale, une fois adopté, aura pour impact la promotion et la protection des artistes moralement et socialement ; comme il déterminera les conditions de travail liant directement l’artiste aux organisateurs de spectacles et des manifestations artistiques. Par conséquent, rappelle le président du conseil, les artistes devront désormais faire preuve d’innovation et de créativité, faire montre sur terrain de leur savoir-faire à l’effet de mettre en valeur l’identité algérienne et ce qu’elle recèle comme patrimoine.
Dans la foulée, M. Abdelkader Bendaâmèche dira qu’un ouvrage sur Sidi-Lakhdar-Benkhlouf est en projet. Ce fondateur d’El-Melhoun au XVIe siècle, reste en effet un grand monument de la culture nationale. Notons que la wilaya de Naâma est la 39e wilaya visitée par le Cnal.
B. Henine
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1 pâte brisée salée, 3 œufs, 15 cl de crème fraîche, 150 g de restes de poulet, viande ou pâté fumé, 200 g de gruyère (entier ou râpé)
Préchauffez le four th.7 (200ºC). Etendez la pâte au rouleau et disposez-la dans un plat à tarte que vous aurez beurré et fariné en la laissant dépasser sur les bords.
Coupez la viande et le gruyère en petits dés. Cassez les œufs dans un saladier et battez-les comme pour faire une omelette. Ajoutez les autres ingrédients, du poivre (pas de sel) et mélangez le tout avant de le verser sur la pâte.
Repliez doucement la pâte qui dépasse vers l’intérieur, sur la garniture. Enfournez environ 40 minutes.
Vous pouvez piquer avec la pointe d’un couteau pour voir si elle est bien cuite.
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La cannelle est l’une des épices connues parmi les plus anciennes et était traditionnellement utilisée non seulement comme une épice mais aussi comme un médicament. Saviez-vous que les bâtons de cannelle sont l’écorce de l’arbre qui a été séchée et que la cannelle en poudre,ce sont les bâtonnets de cannelle broyés et prêts à être utilisés ?
Voici 6 raisons d’ajouter de la cannelle dans vos repas :
1. Elle satisfait les envies de sucre
La cannelle accentue le goût sucré des aliments qui contiennent du sucre. Pour un délice sucré et faible en calories, saupoudrez un peu de cannelle sur des fruits tranchés comme les pommes et les bananes.
2. Elle aide à la perte de poids
Ajouter un peu de cannelle à vos repas stabilise le taux de sucre dans votre sang, réduit le stockage des graisses et vous garde satisfait pour une longue période, ce qui vous permet de moins manger. Si vous essayer de perdre quelques kilos, la cannelle vous donnera un bon coup de pouce. Vu sa capacité à stabiliser le taux de sucre dans le sang, elle aide énormément dans le traitement du diabète.
3. Elle améliore les fonctions du cerveau
Les études suggèrent que cette épice aromatique aide à stimuler l’activité cérébrale et peut aussi prévenir l’Alzheimer.
4. Elle est facile à utiliser
Même si vous n’avez pas d’incroyables talents de cuisinier, il est incroyablement simple d’ajouter de la cannelle au thé, au café, au yaourt, aux fruits, aux desserts et bien plus.
5. Elle est anti-inflammatoire
La cannelle est un anti-inflammatoire naturel qui peut aider les athlètes à guérir plus vite de l’entraînement et des blessures. Rajoutez-la à vos smoothies que vous prenez après votre entrainement.
6. C’est un antimicrobien
Ajouter de la cannelle à votre diète peut aussi vous aider à arrêter le développement de la candidose. Tout le monde a de la candidose dans le ventre, mais celle-ci peut devenir hors de contrôle et la cannelle peut aider à la stabiliser.
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