Algérie Télécom a le plaisir de présenter ses meilleurs vœux aux Algériens à l’occasion du Nouvel An Amazigh « Yennayer 2969 ».
Apres plus d’une année que le Nouvel An Amazigh «Yennayer » soit Décrété fête nationale, Algérie Télécom a fait en sorte d’introduire la langue Amazighe dans ses documents administratifs ainsi que dans l’ensemble de ses campagnes de communication réalisé en 2018 et poursuivra cette politique durant l’année 2019.
Algérie Telecom confirme encore son engagement pour la valorisation de la langue Amazigh en tant que langue officielle et a le plaisir d’annoncer à son aimable clientèle le lancement officiel de la version amazighe de son site internet www.at.dz le 01 Yennayer 2969 correspondant au 12 Janvier 2019.
L’équipe Algérie Télécom souhaite une excellente année à tous les Algériens ! Que cette année puisse nous apporter réussite, innovation et enthousiasme.
Aseggas ameggaz
Yennayer Amervouh
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ALGER – Une cache de munitions contenant (27) obus, 2 canons lance-roquettes et un lot de balles a été découverte mercredi, lors d’une opération de recherche menée par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) à Tamanrasset, indique jeudi leMinistère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, le 9 janvier 2019, lors d’une opération de fouille et de recherche menée près de la bande frontalière à Tamanrasset (6e Région militaire), une cache de munitions contenant (27) obus de calibre 106 mm, deux (2) canons lance-roquettes sans support, ainsi que (360) balles de calibre 23 mm », précise la même source.
Par ailleurs, et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire « a arrêté, à Tamanrasset (6e RM), huit (8) orpailleurs et saisi trois (3) véhicules tout-terrain, deux (2) motocyclettes et divers outils d’orpaillage ».
Dans le même contexte, des Garde-frontières « ont saisi, à Tlemcen (2e RM), (33) kilogrammes de kif traité », tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale « ont saisi, lors d’opérations distinctes menées à El-Oued (4e RM) et Tébessa (5e RM), (8.255) boites de médicaments, (3.670) unités de différentes boissons et (140) comprimés psychotropes ».
En outre, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont appréhendé, à Barika (5e RM), deux (2) individus en possession d’un pistolet automatique et un fusil de chasse, (6,8) kilogrammes de poudre noire, ainsi qu’une quantité de munitions et divers outils servant dans la fabrication des armes artisanales et le remplissage des cartouches », rapporte également le communiqué.
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BORDJ BOU ARRERIDJ – La totalité des stations-service Naftal situées sur l’autoroute Est-ouest seront mises en exploitation « avant fin de 2020 », a affirmé, mercredi à Bordj Bou Arreridj, le Président-directeur général de Naftal, Rachid Nadil.
S’exprimant lors de l’inauguration de deux stations-service, dans la commune d’El Mehir, en présence des autorités locales, l’une sur l’autoroute Est-ouest et l’autre sur la RN 45 reliant M’sila et Bordj Bou Arreridj, Rachid Nadil a indiqué que parmi les 29 stations sur un total de 42 en cours de réalisation le long de l’autoroute Est-ouest, « trois entreront en service au cours du premier trimestre de l’année 2019 ».
Le reste des stations-services, toujours en cours de réalisation, a accusé un retard en raison de la nature du terrain, ce qui a nécessité le recours à d’autres assiettes plus adaptées.
Le PDG de Naftal a également posé la première pierre du projet de construction d’un centre d’enfutage et de stockage de bonbonnes de gaz butane d’une superficie de 20 ha, à la sortie Ouest du chef-lieu de wilaya, avec une capacité d’emmagasinage de 50 000 m3 et pour un délai de réalisation de 12 mois.
Ce projet, qui dispose d’une quantité équivalent à un mois de bonbonnes de gaz butane, permettra de transférer le centre d’enfutage de bonbonnes de gaz butane (situé sur la route de Medjana au chef-lieu de wilaya), ayant une capacité de stockage n’excédant pas deux jours, loin des habitations qui se trouvent à proximité.
Rachid Nadil a également fait savoir que la capacité nationale d’approvisionnement en carburant est passée à 17 jours au lieu de 12 jours, pour atteindre les 27 jours d’ici à la fin de l’année en cours et enfin 30 jours en 2020 et ce, conformément au programme du gouvernement dans ce domaine.
Le PDG de Naftal a fait état, par ailleurs, d’un projet de réalisation d’unités Sirghaz en partenariat avec une société étrangère et un projet relatif à la construction d’une unité de production d’huiles de moteur « avant la fin de 2020 ».
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ALGER – L’Algérienne des eaux (ADE) et l’Office national de l’assainissement (ONA) vont lancer dès la semaine prochaine un programme de mise à niveau de leurs cadres pour renforcer leurs compétences dans les métiers de l’eau, a indiqué jeudi l’ADE dans un communiqué.
A travers ce programme, appelé « Transfert de Savoir Faire National », l’ADE et l’ONA, qui misent sur le capital humain, veulent « renforcer les compétences métiers de leurs cadres pour la mise à niveau selon le standard international, et ce, dans les domaines de l’eau et de l’assainissement, afin de répondre efficacement aux grands enjeux d’amélioration et de durabilité du service public de l’eau », note la même source.
Le programme de « Transfert de Savoir-Faire National » s’inscrit dans le cadre du contrat qui lie l’ADE et l’ONA au groupe international Suez, explique le communiqué.
Ceci permettra, à terme, de professionnaliser davantage les équipes de l’ADE et de l’ONA, par la formation et la mise à niveau selon le standard international en s’appuyant sur les outils développés par Suez, précise l’ADE. Pour ce faire, 42 métiers dans les domaines de l’eau et de l’assainissement ont été identifiés dans le diagnostic qui touchera quatre unités de l’ADE et quatre unités de l’ONA.
Il s’agit des unités d’Annaba (ADE-ONA), de Tlemcen (ADE), de Tizi-Ouzou (ADE), de Ouargla (ADE-ONA), de Tamanrasset (ONA) et de Bejaia (ONA).
Les résultats du diagnostic et les propositions d’amélioration aboutiront à la mise en place d’un Plan d’actions qui définira les mesures à prendre pour le développement et la mise à niveau des infrastructures de l’eau et de l’assainissement à travers l’ensemble des unités du pays. Le premier diagnostic sera lancé le 13 janvier en cours à l’unité de l’ADE d’Annaba et se poursuivra dans les sept (7) autres unités concernées jusqu’à juin prochain.
Ce diagnostic s’appuiera sur l’expertise d’équipes composées à la fois des experts de la Société des eaux et de l’assainissement de la wilaya d’Alger (SEAAL, filiale de l’ADE et de l’ONA) ayant déjà bénéficié du transfert de savoir-faire de Suez, et des experts de ce groupe international.
Pour rappel, un projet de création de l’Ecole nationale de gestion de l’eau et de l’assainissement (ENGEA) est prévu par le ministère des Ressources en eau, qui profitera aussi aux cadres pour renforcer leurs compétences, selon le standard international, dans les métiers de l’eau et de l’assainissement.
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RAMALLAH (Territoires palestiniens) – La Commission palestinienne des Affaires des prisonniers et ex-prisonniers a dénoncé la négligence médicale et le retard du traitement des prisonniers palestiniens malades ou blessés qui se trouvent dans des geôles israéliennes.
La commission a fait savoir dans un communiqué repris jeudi, par l’agence de presse palestinienne, Wafa, que « l’administration des prisons israéliennes néglige délibérément de retarder le traitement médical des prisonniers, notamment les malades chroniques ».
Il s’agit de Saif Al-Badw, âgé de 20 ans, de la banlieue ‘Shweikeh’ à Tulkarem atteint de diabète. « Il se trouve dans la prison israélienne « Majiddo », et a été soumis à un interrogatoire cruel au niveau du centre de détention « Al-Jalama », ce qui a aggravé son état de santé ».
Le deuxième prisonnier Diab Nasser, 28 ans, est originaire de la localité de Saffa à Ramallah. « Il souffre d’un grave problème de dos et son état de santé s’est détérioré après son arrestation ».
Un autre jeune de 28 ans, Sami Al-Haj, de la localité de Beit Rima à Ramallah, souffre au niveau de l’œil gauche suite à une blessure qu’il a subie avant son arrestation. Il souffre aujourd’hui, du deuxième œil après avoir perdu la vue au niveau de l’oeil gauche.
L’agence Wafa, a également fait savoir, qu’un autre prisonnier, Ziad Mohammad Shalaldeh, 45 ans, « a été transféré mercredi, vers un hôpital après avoir été sauvagement agressé par les forces militaires israéliennes pendant son arrestation ».
L’avocat du Club du prisonnier palestinien, Maamoun Al-Hashim, cité par Wafa, a indiqué que Shalaldeh de Ramallah, « lui a été interdit de rencontrer son avocat ».
Plus de 1.500 prisonniers palestiniens souffrant de maladies chroniques sont victimes de négligence médicale dans les prisons de l’occupation israélienne, selon le Club des Prisonniers Palestiniens.
Début juin dernier, des responsables palestiniens, avaient appelé les institutions internationales à enquêter sur la politique de négligence médicale pratiquée par l’administration pénitentiaire de l’occupant israélien à l’encontre des détenus palestiniens malades.
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ISTANBUL – La Turquie a menacé de nouveau jeudi de lancer une opération militaire dans le nord de la Syrie contre les kurdes syriens, ont rapporté des médias locaux.
Le chef de la diplomatie turque, Mevlut Cavusoglu, a averti qu’Ankara lancerait une opération dans le nord de la Syrie « si le retrait américain prévu de ce secteur devait être retardé ».
S’exprimant lors d’une interview à la chaîne NTV, Mevlut Cavusoglu, a réagi aux récentes déclarations faites par son homologue américain Mike Pompeo qui avait affirmé que Washington a retardé le retrait de ses soldats du nord de la Syrie afin de s’assurer que la Turquie n’interviendra pas. Le président américain, Donald Trump, a annoncé en décembre le retrait des quelque 2.000 soldats américains postés en Syrie.
L’annonce du retrait américain et le flou qui entoure ses modalités et son calendrier ont poussé la Turquie à suspendre son intervention militaire qu’elle semblait sur le point de déclencher mi-décembre dans le nord de la Syrie contre les forces des Unités de protection du peuple (YPG). Ankara considère ces forces locales comme des « terroristes ».
« La Turquie combattra les YPG, que les Etats-Unis se retirent ou pas », a soutenu dans ce contexte M. Cavusoglu.
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HOUSTON – La consommation énergétique au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie continue d’augmenter rapidement au fil des années, a affirmé mercredi l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA).
Ces trois régions sont responsables pratiquement à elles seules de l’essor de la consommation énergétique mondiale, avec une croissance d’environ 20% dans chacune de ces régions entre 2010 et 2016, selon les données les plus récentes disponibles dans la base de données de statistiques internationales de l’énergie de l’EIA.
La consommation énergétique a particulièrement augmenté au Moyen-Orient et en Afrique. La croissance économique, l’accès accru aux marchés de l’énergie et l’essor démographique rapide contribuent à ce développement.
La consommation énergétique en Asie progresse de manière régulière tandis que la consommation en Chine a diminué en 2015 et 2016.
Dans les économies matures d’Amérique du Nord, la consommation énergétique a augmenté de 1% de 2010 à 2016. En Europe, la consommation énergétique a baissé de 4% au cours de la même période.
En termes de consommation totale d’énergie, l’Asie et l’Océanie ont consommé bien plus d’énergie au total, représentant 42% de la consommation énergétique mondiale en 2016, contre 6% pour le Moyen-Orient et 3% pour l’Afrique.
Au niveau mondial, le pétrole et les autres combustibles liquides, dont les biocarburants tels qu’éthanol et biodiesel, constituent la forme la plus importante de consommation d’énergie. L’augmentation de l’offre d’huile de schiste aux Etats-Unis et d’autres sources de combustible liquide au niveau international a favorisé une hausse de la consommation de ces carburants, selon l’EIA.
Dans le même temps, le produit intérieur brut (PIB) de la Chine a progressé de plus de 6% par an, pour une consommation énergétique totale relativement inchangée ces dernières années. Les données démontrent également une amélioration de l’intensité énergétique de la Chine, c’est-à-dire du PIB généré par unité d’énergie consommée.
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TIARET – Les unités du groupement territorial de la Gendarmerie de Tiaret ont saisi, durant l’année 2018, quelque 92 kilo de kif traité et 1367 comprimés de psychotrope lors du traitement de 47 affaires liées au trafic de drogue, a-t-on appris mercredi de ce corps constitué.
Lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation du bilan 2018, le colonel Rabah Kermi, commandant du groupement, a souligné que ses unités ont traité 47 affaires liées au trafic de drogue dont 92 kilo de kif traité dont 80 kilos dans la seule localité de Frenda. Ces unités de la Gendarmerie nationale ont également saisi 6 véhicules et arrêté 76 individus dont 72 ont été placés sous mandat de dépôt.
Le même officier supérieur a souligné l’augmentation du nombre d’affaires traitées par rapport à l’année précédente au cours de laquelle 23 affaires ont été traitées ayant abouti à la saisie de 30,487 kilos de kif traité et de 992 comprimés de psychotropes.
Par ailleurs, les services de la Gendarmerie de Tiaret ont saisi, durant la même période, 54306 unités de boissons alcoolisées, 12715 de paquets de tabac à chiquer ainsi que 8020 paquets de cigarettes destinés à la contrebande ainsi que 7866 quintaux de blé périmés lors du traitement de 20 affaires dans la localité d’Aïn Dheb.
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ALGER – L’entraîneur de la sélection algérienne de sabre, la Sud-Coréenne Shin Me Lee, a assuré vouloir aider les escrimeurs algériens à atteindre leurs objectifs à court et long termes, en les motivant davantage pour améliorer leurs capacités physiques et techniques.
« Je veux atteindre avec les athlètes des objectifs à court et long termes. J’ai fait partie de la première génération d’escrimeurs de sabre féminin en Corée et j’ai dû relever de nombreux défis pour me familiariser avec le monde de l’escrime. Je peux donc voir les défis auxquels les tireurs algériens sont confrontés aujourd’hui », a déclaré Shin Me Lee dans un entretien accordé au site de la Fédération algérienne de la discipline (FAE).
« Je pense pouvoir aider les athlètes à atteindre leurs objectifs en les motivant davantage ainsi qu’être utile à la recomposition systématique de la formation pour améliorer la performance, y compris les capacités physiques et techniques. Et enfin, enseigner aux athlètes comment se préparer pour les grands événements comme les compétitions importantes », a-t-elle ajouté.
Approchée par la FAE lors des Championnats du monde cadets et juniors de 2018 à Vérone (Italie), Shin Me Lee est arrivée à Alger il y a quelques semaines. Elle est en charge des équipes nationales de sabre et formatrice à l’Académie africaine de Maîtres d’armes.
« J’ai reçu une offre d’emploi en tant qu’instructeur sabre, au moment où je participais aux Championnats (du monde) en tant qu’entraîneur de sabre de l’équipe de Singapour », a-t-elle raconté.
Ancienne internationale sud-coréenne entre 2001 à 2008 avec, à son actif, six participations aux Championnats du monde et plusieurs titres au niveau asiatique, Shin Me Lee s’est dit « très enthousiaste » dans sa mission d’accompagner les jeunes sabreurs algériens dans leurs formation et apprentissage du haut niveau.
« Le fait qu’il y ait beaucoup de jeunes tireurs passionnés d’escrime et que la FAE soit prête à soutenir ces jeunes athlètes qui ont beaucoup de potentiel, m’a poussé à accepter ce challenge », a-t-elle fait savoir.
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KHENCHELA – Les premières journées du Théâtre amazigh ont été ouvertes mercredi après-midi à la maison de la culture Ali Souaihi de Khenchela, dans le cadre du programme de la 2ème édition de la semaine du patrimoine amazigh, célébrant l’an 2969.
En participation de plusieurs théâtres régionaux des wilayas de Bejaïa, Sétif, Tizi Ouzou et Oum El-Bouaghi, le lancement de cette manifestation culturelle a été marqué par la présentation de la pièce » Qarib Al Ghaba » du Théâtre régional de Bejaïa.
Mise en scène par Rachid Maamria, l’œuvre en tamazight adaptée de livre de l’écrivain bulgare Nocolai Khaytov constitue « une symbolique sociale », a précisé à l’APS le metteur en scène.
« L’œuvre dont les événements se déroulent dans une forêt, mettant en avant une femme et un garde forestier, véhicule le message de l’importance de la solidarité et l’entraide et de la complémentarité entre une communauté et ses responsables pour atteindre un objectif commun, celui de vivre en paix et dans la prospérité », a-t-il souligné.
Aussi, dans le cadre des activités de la semaine du patrimoine amazigh, lancée sous le slogan « répandant la paix par la plume », la 3ème édition du salon amazigh des arts plastiques, à l’initiative de l’association locale « Lamassat » se poursuit avec la participation de 27 artistes représentant plusieurs wilayas du pays, ainsi que 6 autres de la Tunisie, exposant plus de 130 tableaux proposés au public.
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CONSTANTINE – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Peche, Abdelkader Bouazghi, a déclaré jeudi à Constantine que « les premiers lots de vaccins contre la peste des petits ruminants seront disponibles d’ici à la fin du mois de janvier ».
S’exprimant lors d’une conférence de presse, en marge d’une visite de travail dans cette wilaya, M. Bouazghi a indiqué que »des mesures d’urgence ont été prises par le gouvernement pour l’acquisition de grandes quantités de vaccin afin de les mettre à la disposition des éleveurs en vue de contenir la propagation de l’épidémie ».
En ce sens, le ministre de l’Agriculture a affirmé que « les mesures administratives relatives à l’acquisition de ces vaccins ont été finalisées », soulignant que son ministère œuvre à lutter contre cette maladie en mettant à la disposition des services vétérinaires, à travers le territoire national, des quantités suffisantes de doses de vaccins.
L’opération de vaccination contre la fièvre aphteuse a déjà été lancée sur tout le territoire national, a indiqué le ministre, rappelant les multiples opérations préventives menées et encadrées par le secteur.
Se montrant rassurant quant à la maitrise de la situation, notamment dans les wilayas les plus affectées (Djelfa, Naama, El Bayedh, Laghouat, Tiaret, Biskra et M’sila), M. Bouazghi a également rappelé que les mesures préventives ont été lancés dès l’apparition des premiers cas de cette maladie qui peut toucher n’importe quel pays au monde.
Saluant la contribution des walis dans l’accompagnement des mesures de prévention, à savoir fermeture des marchés à bétails, interdiction de déplacement de cheptel notamment en zones frontalières, et le renforcement des contrôles vétérinaires, entres autres, le premier responsable du secteur de l’agriculture a mis en avant l’implication des éleveurs ayant pris en considération les directives et les orientations d’hygiène pour lutter contre l’épidémie.
A noter que M. Bouazghi a présidé l’ouverture d’un séminaire national sur le développement de la filière céréalière auquel ont pris part des professionnels venus de plus de trente wilayas du pays.
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ADRAR – Des milliers de fidèles ont assisté aux obsèques de l’érudit Cheikh Sidi Hadj Salem Ben Brahim, qui se sont déroulées, mercredi à Adrar, dans la ferveur et la tristesse en présence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui en qualité de représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Après avoir rendu un dernier hommage au regretté dans son domicile, M. Bedoui a remis à la famille du défunt, un message de condoléances du président Bouteflika.
Le ministre a également assisté à la prière du mort dans « la mosquée Cheikh Sidi Mohamed Belkebir » au centre-ville de la wilaya d’Adrar, en présence de milliers de fidèles venus de plusieurs wilayas présenter leurs condoléances.
La prière du mort a été suivie de la lecture du message de condoléances du président de la République, dans lequel il a mis en avant les qualités du défunt qui « a voué sa vie à l’adoration de Dieu le Tout Puissant et à l’enseignement du Saint coran et des sciences islamiques ».
« Connu pour ses nobles qualités et sa tolérance, le défunt prônait l’amour, l’unité et la conciliation jusqu’à ce que Dieu le rappelle à Lui », a ajouté le chef de l’Etat.
« Je prie Dieu le tout Puissant d’accorder au défunt Sa sainte miséricorde et de l’accueillir en Son vaste paradis parmi ceux qu’Il a comblés de ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle, d’assister les siens et de leur prêter patience et réconfort », a conclu le président Bouteflika qui a adressé ses « condoléances les plus attristées » à la famille du défunt.
Les obsèques auxquelles ont assisté le ministre de l’Intérieur et la délégation l’accompagnant dont des représentants de autorités locales, se sont déroulées dans le domicile du défunt au siège de son Ecole coranique sise à Cité Hataba au centre-ville de la wilaya d’Adrar.
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GENEVE – Le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus a souligné l’engagement de l’agence onusienne à éradiquer la poliomyélite, à l’issue d’une récente visite de quatre jours en Afghanistan et au Pakistan.
L’Afghanistan et le Pakistan sont les deux seuls pays dans lesquels des cas de poliovirus sauvage ont été signalés l’année dernière.
« Nous devons tous faire de notre mieux sur ce dernier kilomètre pour éradiquer la poliomyélite une fois pour toutes. Mon souhait pour 2019 est qu’aucune poliomyélite ne soit transmise », a déclaré mercredi M. Ghebreyesus dans un communiqué.
« L’OMS apporte tout son soutien pour aider à atteindre chaque enfant et à stopper ce virus pour de bon », a-t-il ajouté.
En Afghanistan, le Dr Tedros a confirmé le soutien de l’OMS au gouvernement afghan pour élaborer des options de financement permettant de garantir l’accès aux services de santé pour tous les Afghans.
Au Pakistan, le Dr. Tedros a visité le Centre des opérations d’urgence pour l’éradication de la poliomyélite à Islamabad, où il a salué le travail du gouvernement et de ses partenaires en tant qu' »équipe réunie sous un même toit » et a souligné l’importance cruciale d’une coopération étroite avec l’Afghanistan pour prévenir la transmission transfrontalière.
La visite du Dr. Tedros est intervenue peu après que ce dernier ait pris la présidence du Conseil de surveillance de la polio, une instance qui oriente et supervise l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite, sous direction des gouvernements, de l’OMS et de l’UNICEF, entre autres.
Il y a encore 30 ans, le poliovirus sauvage paralysait plus de 350.000 enfants dans plus de 125 pays chaque année. En 2018, moins de 30 cas ont été signalés dans deux pays seulement – l’Afghanistan et le Pakistan.
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Samedi prochain, l’Alliance nationale républicaine (ANR) tiendra une conférence de presse au siège du parti à Alger. Cette rencontre, qui suivra la tenue d’une réunion de son bureau politique, est l’occasion pour le chef du parti, Belkacem Sahli, de fixer le cap sur le prochain rendez-vous présidentiel et les différentes initiatives en rapport sur la scène nationale.
Le parti présentera aussi son bilan politique de toutes ses activités durant l’année 2018. Lors de cette rencontre avec les journalistes, Sahli, qui mène aussi l’initiative de « Continuité pour la stabilité et la réforme » initiée avec plus de 15 partis politiques, devrait faire le point aussi sur ses relations avec les autres partis de l’Alliance présidentielle qui se sont un petit peu détériorées, alors qu’elles furent longtemps très bonnes. Sur une émission d’El Bilad TV la semaine dernière, Belkacem Sahli a opté une nouvelle fois pour la stratégie de l’homme imprégné de «culture d’État » en s’attardant sur les dernières sorties et initiatives des partis de l’Allégeance et de l’Opposition qui n’ont que «brouillé davantage la scène politique» en cherchant à «se substituer à la volonté populaire, par la volonté des partis».
Durant presque une heure d’entretien, Sahli a tenté de se démarquer des partis composant l’Alliance présidentielle en se présentant comme « un parti qui a été toujours stable et durable sur toute la ligne». Après avoir rappelé que «l’ANR a toujours cru que la présidentielle se tiendrait en son délai légal», Sahli a commenté les récentes initiatives et propositions de TAJ d’Amar Ghoul et du MSP d’Abderrezak Makri, qui ont appelé récemment à «une conférence de consensus » et à un «report de la présidentielle». «Certains dans l’allégeance ou dans l’opposition parlent d’une manière étrange de report ou de prolongation ainsi que d’une conférence dont la tenue est même plus importante que la présidentielle elle-même. C’est quelque chose d’inconcevable et dépourvue de toute logique politique», a-t-il jugé.
«Pour la présidentielle, nous refusons les initiatives émanant des partis politiques car nous estimons que l’initiative doit émaner de celui qui détient la légitimité, c’est-à-dire le président de la République», a-t-il ajouté. Sahli a critiqué les initiatives de TAJ et du MSP, en accusant les deux chefs de ces partis de «parler au nom du président et de l’Armée» : «Je pense que ce qui est arrivé à ces deux partis c’est l’état de suspicions et d’inquiétude interne qu’ils ont voulu extérioriser à toute la scène politique.
Cela a effectivement perturbé la scène politique mais nous, à l’ANR, on n’est pas inquiété». «Ces initiatives rabaissent le scrutin présidentiel au niveau des intérêts partisans», a-t-il estimé. Pour l’ANR, «les présidentielles ne sont pas comme les législatives où chacun des partis cherche à s’accaparer des sièges. La présidentielle est une compétition sur des projets de société. Donc en tant que partis, il faut renoncer aux intérêts étroits et se propulser à de véritables familles politiques».
Dans ses rapports, quelque peu embrouillés notamment suite à la crise de l’APN où Sahli, qui est aussi député, a exprimé clairement son opposition à la manière avec laquelle il a été traité par les partis de l’Alliance, le SG de l’ANR a pointé les contradictions d’un «groupe avec lequel ce qui le rassemble est plus que ce qui le différencie». «Des partis disent que nous sommes avec la continuité et après le lendemain ils te disent nous sommes uniquement avec le programme du Président. L’Alliance présidentielle, dans sa déclaration politique, n’a jamais évoqué la continuité du Président au pouvoir ou un cinquième mandat. Ils parlent uniquement de soutien au programme du Président. Donc il y a une certaine inquiétude et des remous, voire même un brouillard.
Certains qui avaient même dit «je ne soutiens pas un cinquième mandat» se sont réveillés le lendemain en se retrouvant dans l’Alliance présidentielle», a analysé Sahli. Sahli est-il mécontent de ne pas avoir été inclus dans la coalition au pouvoir aux côtés du FLN, TAJ, MPA et le RND ? À l’ANR, on dit seulement que «le groupe des 15 est plus cohérent et homogène que l’Alliance», mais «nous sommes dans la complémentarité et non pas dans la contradiction». Plus loin, il pose même le doute sur les déclarations de ces partis : «l’initiative de Ghoul a faussé sur toutes les lignes, car ce n’est ni le temps, ni le timing ou la circonstance à seulement 20 jours de la convocation du corps électoral», poursuivant : «je ne pense pas que le Président va ressortir une telle initiative par le biais de partis politiques».
Hamid Mecheri
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À la veille de la célébration du premier jour de l’an amazigh, le marché national de la volaille est affecté par une flambée des prix. Une virée effectuée au niveau de quelques points de vente de poulets, situés, en particulier à Ouled Fayet, Chéraga et à Douéra, confirme ce constat. Et pour essayer de cerner cette problématique de la hausse des prix du poulet, nous sommes persuadés que les consommateurs évitent la viande rouge et se rabattent sur le poulet et que cet engouement incite les vendeurs du poulet à augmenter leur prix.
En effet, lors de notre virée pour constater cette situation, nous avons apostrophé quelques ménages sur place. Ces derniers estiment que face au risque de propagation de la peste des ruminants et de la fièvre aphteuse des bovins, ils évitent la viande rouge et ils se rabattent sur la viande blanche, surtout le poulet. L’un d’entre eux précisera, à ce propos, que la viande issue de ces ruminants atteintes par cette maladie est impropre à la consommation. Selon lui, depuis l’apparition de ces deux épidémies, les citoyens évitent d’acheter la viande rouge et se rabattent sur la viande blanche : « cet engouement incite les vendeurs du poulet à augmenter leur prix », explique notre interlocuteur.
Par ailleurs, un autre ménage s’exclame, encore : «C’est toujours comme ça à l’approche d’une fête, le prix du poulet augmente automatiquement», poursuit-il. Avant d’ajouter : «l’augmentation du prix du poulet a commencé à augmenter il y a environ une semaine, avant le premier jour de l’an amazigh» et il n’a pas manqué de souligner, en outre que pour maintenir la situation : «je me contente d’acheter des cuisses de poulet sans peau à bas prix», a-t-il fait savoir.
Assia et sa sœur Fella, la trentaine, toutes les deux, l’une est informaticienne et l’autre est architecte considèrent que cette flambée des prix du poulet est due à l’absence de contrôle et d’une politique visant à réguler le marché.
Pour sa part, Kacim, un éleveur de poulet de chair, rencontré à chéraga, nous a affirmé, également que cette augmentation des prix de la volaille s’explique par l’augmentation de la demande en cette période, en disant, que c’est l’offre qui décide les prix. : «Les élevages reviennent chers, les aviculteurs se plaignent, aussi bien du prix du petit poussin que de l’aliment et bien sûr des autres charges; à savoir : l’électricité et l’entretien du poulailler», répondra l’un des éleveurs rencontré dans une ferme située à «Ouled Fayet». D’autres interlocuteurs souhaitent que ces prix baissent dans les prochains jours qui suivent le premier jour de l’an amazigh.
Lors de notre virée, que nous avons consacrée au sujet de la flambée des prix du poulet, à la veille du premier jour de l’an Amazigh, nous avons remarqué que les ventes de volailles sont en hausse, comparativement à la viande rouge qui est de moins en moins populaire. Son prix est trop élevé, la chair des cuisses est cédée à 600 DA le Kg et celle des ailes, elle est affichée à 250 DA le Kg. Faut-il ajouter également que c’est la période des fêtes, le consommateur reste friand de viande blanche surtout quand elle est préparée avec un bon couscous authentique.
C’est ainsi qu’au niveau de la plupart des marchés, les prix du poulet de chair sont chers : le poulet évidé est proposé à 350 DA, nous confirme un commerçant à Alger. Dans le même sillage, le prix d’un plateau d’œufs est cédé entre 280 DA et 300 DA.
Parrallèlement à cela, nous avons discuté, également avec certains ménages. Ces derniers nous confirment qu’ils préfèrent acheter un poulet vivant qui sera immolé, déplumé et cuit, le jour du repas à la veille de «Yannayer». D’autres considèrent que «Yannayer» doit être accueilli avec le sacrifice d’un coq.
Le consommateur se rabat sur la dinde, le lapin…
À cette occasion aussi, certains ménages préfèrent acheter du poulet au niveau des fermes d’élevages ou au niveau des points de vente du poulet, selon eux, leurs prix est moins chers. Ces endroits imposent, en effet leurs présences avec tout ce que cela entraîne comme ambiances et rituels.
Lors de notre présence au niveau de quelques points de ventes, nous avons remarqué une véritable ruée des citoyens vers ces lieux : «Ces endroits constituent une opportunité pour ceux qui ne peuvent pas se permettre d’acheter de la viande rouge», nous dira Amar, un jeune aviculteur. Aussi, au niveau de certaines fermes, les volailles sont égorgées et vendues.
Parfois des étals de fortune sont achalandés de viande de volailles fraîches : (poulets, dindes), de même, certains clients préfèrent aussi la viande fraîche du lapin de race : «Seulement pour manger de la viande du lapin, il faudra la procurer directement chez l’éleveur», souligne Taïeb, un jeune éleveur de lapin, habitant à Douéra, qui révèle aussi que : «Vous savez, nous faisons cet élevage d’une façon artisanale, certains éleveurs abandonnent cet élevage, à cause des maladies qui touchent le lapin». Pour sa part, un autre éleveur nous expliquera toutefois que la viande de lapins de race est très demandée en période de fête, notamment en fin d’année.
Barre tarifaire haute pour les prix des fruits et légumes
De même, le marché de fruits et légumes a connu une flambée de prix sans précédent. La tomate est cédée à 120 DA, le poivron à 160 DA, la salade entre 100 DA et 120 DA le kilogramme, la courgette, ce légume très prisé durant les fêtes, se vend à 150 DA le Kg. Aussi, les prix des fruits restent toujours élevés : la pomme est affichée entre 300 DA et 350 DA, la poire entre 320 et 360 DA et l’orange était affichée entre 230 DA et 250 Da.
Interrogés par nos soins au sujet de cette flambée, de nombreux commerçants ont mentionné que cette augmentation est due à la forte demande de ces produits en cette période.
Il faut signaler, entre autre, que les prix de la majorité des produits alimentaires et féculents augmentent, les haricots sont proposés à 290 DA/ Kg, les lentilles à 130 DA… etc.
Par ailleurs, lors de notre tournée que nous avons effectuée dans les marchés de la capitale, en particulier au «Marché Tnach», nous avons remarqué que des pyramides de fruits secs ont été dressées.
Donc depuis quelques jours, la vente de fruits et autres produits et pâtes alimentaires, telles que la «rechta», la «trida», le couscous explose. Certains consommateurs s’approvisionnent de noix, de cacahuètes, de bonbons et surtout le «treize» où le mélange de 13 confiseries fait sa star et qui est indissociable des tables algériennes lors de la célébration de «Yennayer» : «Ce mélange augure d’une année fructueuse», précisent certains ménages, soulignant, ainsi que le «treize» est le roi de la table de «Yannayer» et une tradition qui se perpétue dans tous les foyers.
Rencontrée au marché situé à Douéra, Yamina, une mère de trois enfants nous confie : «Je ne peux laisser passer cette journée sans préparer le couscous maison de «Yannayer» au sept légumes secs et qui nous rappelle notre riche patrimoine et notre culture amazigh». Cette dernière ajoutera, d’autre part, que pour préparer le bouillon de ce couscous : «On n’utilise pas de légumes frais, on utilise, uniquement des légumes secs», a-t-elle ajouté.
Pour sa part, Saâdia, une jeune femme, à la quarantaine, considère que «Yannayer» comme étant une occasion de se réunir autour d’une bonne Rechta au poulet «Fermier» et qui permet de resserrer les liens familiaux». Et de poursuivre : «La «rechta» est un plat typiquement algérois que beaucoup apprécie et que je le prépare très souvent au poulet ou à la viande.»
M. I.
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Des échanges tendus entre différents candidats, violences pré-électorales qui ont émaillé récemment des meetings électoraux et insultes entre protagonistes sur les réseaux sociaux en passant aux plaintes à la justice. Les tensions ne cessent de croître à la veille de chaque scrutin électoral dans notre pays, déjà mal en point économiquement, faisant craindre des débordements à tout moment.
Passé l’épisode des élections sénatoriales du 29 décembre dernier, qui ont donné une victoire écrasante au Front de libération nationale (FLN), la classe politique se prépare aux présidentielles d’avril prochain, dans un contexte illisible politiquement et très tendu économiquement. La semaine dernière, des élus et militants du FLN et de son «frère-ennemi» et principal adversaire à l’occasion de chaque scrutin électoral, le RND, ont échangé des accusations de fraude et de «recours massif à l’utilisation de l’argent pour l’achat des voix» pour leurs candidats respectifs. Sur les chaînes des télés, dans les colonnes de la presse ou les réseaux sociaux, des vidéos et accusations ont circulé, portant sur des faits flagrants de corruption et d’utilisation de l’argent sale pour influer sur les élus durant le processus de vote.
La perte du siège de la Capitale, remporté par le RND en faveur de l’homme d’affaires et membre de la FAF Bachir Ould-Zemirli, a fait grincer des dents au FLN, de l’aveu même de son premier responsable, Mouad Bouchareb, qui a reconnu que la perte est lourde, en promettant que «les militants FLN qui ont voté contre les consignes du parti vont être débusqués et sanctionnés ». Plusieurs cas de violence entre militants des deux formations, alliées au gouvernement, ont été rapportés lors du déroulement de ces sénatoriales. L’agression sur le secrétaire de la wilaya de Tlemcen, Amine Senoussi, également député à l’Assemblée populaire nationale (APN), a suscité une émotion intense au sein des militants de la formation du premier ministre dans cette wilaya.
Après la décision du Conseil constitutionnel d’invalider cette élection, dont les résultats initiaux donnaient le candidat RND comme vainqueur, les élus de cette formation ont fini par sortir dans la rue. Tout au long de la journée, des batailles rangées avaient marqué ce scrutin. Plusieurs élus du RND se sont réunis samedi dernier pour donner leurs consignes de vote pour le second tour des sénatoriales de ce jeudi, décidées exceptionnellement par le Conseil constitutionnel dans cette wilaya.
Dans un communiqué, le RND, arrivé deuxième avec 9 sièges (auparavant accrédité par 11 sièges), a affirmé qu’il «ne s’engagera pas dans les élections de ce jeudi avant la garantie d’un certain nombre de conditions», dont notamment «la supervision directe du CC», «des magistrats chargés de surveiller le scrutin désignés en dehors de la Cour de Tlemcen», et «le changement de lieu de vote de l’APW de Tlemcen vers un autre lieu». Mouad Bouchareb, coordinateur général du FLN, parti qui a remporté 31 sièges, a répliqué lui aussi à travers un communiqué que sa victoire est bien «méritée» voire plus : «halal», niant les accusations de «l’argent sale» qui sont, selon le FLN, «sans fondement» et émanant d’«un mauvais perdant», allusions aux allégations du RND.
Même constat du côté du parti du Front El-Moustakbal, lorsque des faits similaires se sont produits à Illizi, après que les élus du parti de Belaïd Abdelaziz sont sortis dans la rue pour crier au complot suite à l’annonce du Conseil constitutionnel d’invalider le sénateur de leur parti en proclamant la victoire de celui du FLN. Lors des élections des APC/APW de novembre 2017, des incidents de violence ont émaillé aussi ce processus de vote. À Béjaïa, dans la commune de Boudjellil, des escarmouches ont éclaté à l’intérieur d’un bureau de vote entre surveillants de différentes formations politiques après des suspicions de fraude avant que ça dégénèrent en détruisant les urnes de votes.
L’incident, survenu d’abord dans un bureau de vote du village de Bouâziz, s’est étendu au centre de vote de Boudjellil mitoyen, provoquant l’arrêt momentané et inévitable de l’opération de vote, et la cause invoquée est «l’insuffisance de bulletins de vote réservés à leur formation » et « la présence concomitante sur les mêmes lieux de bulletins en position double, réservés à un parti concurrent, soupçonné de bénéficier des faveurs de l’administration locale ». Ces violences dénoncées par tous les partis politiques du pays risquent aujourd’hui encore d’enflammer l’échéance électorale cruciale très attendue cette année, un moyen facile entre les mains des protagonistes perdants en l’absence d’une réelle culture de démocratie et de multipartisme.
Hamid Mecheri
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À la veille des célébrations du nouvel an amazigh, le secrétaire général du Haut-commissariat à l’amazighité (HCA), Si El-Hachemi Assad, est revenu sur la question de l’enseignement de Tamazight à l’école. Évoquant le cachet facultatif donné à l’apprentissage de cette langue, comme le stipule l’article 34 de la loi de l’orientation de l’éducation datant de 2008, le SG du HCA a lancé un appel à la révision de cette loi afin de consolider la vision d’une langue nationale. Ce n’est pas tout, puisque il appelle également à actualiser la note circulaire de 2004 réglementant l’enseignement de tamazight.
Pour lui, «il est temps d’avoir un plan et une vision globale et enfin d’arriver à savoir quand est-ce qu’on arrivera à la généralisation de l’enseignement de la langue Tamazight». S’exprimant au forum d’EL Moudjahid, Si El-Hachemi Assad s’est montré catégorique, en affirmant que la «langue Tamazight doit être protégée par des textes de loi».Tandis que la loi indique que l’enseignement de tamazight est toujours tributaire de la demande, l’intervenant a affirmé qu’il «est temps de réviser des textes de lois pour se conformer à la nouvelle Constitution». Autrement, pour lui «depuis l’officialisation de Tamazight en 2016, il y a un décalage, puisque on ne peut déterminer qui est en mesure de provoquer la demande».
Toutefois, la révision des lois permettra, selon ses dires, «de consolider l’enseignement de cette langue». Donnant plus de détails quant à son appel d’actualiser la note circulaire de 2004 réglementant l’enseignement de tamazight, le SG du HCA a considéré qu’il est impératif de se pencher sur de nombreux problèmes, dont le volume horaire qui est posé par l’ensemble des enseignants. Par conséquent, Si El-Hachemi Assad a également plaidé pour la relance de la commission mixte entre le ministère de l’Éducation et le HCA et d’envisager des assises avec l’ensemble des directeurs de l’éducation.
«Nous devons avoir cette vision de dire quand Tamazight sera enseignée dans l’ensemble des établissements scolaires». «Nous devons avoir un plan pour 2019 pour atteindre cet objectif», a-t-il déclaré. Par ailleurs, tout en notant que l’enseignement de celle-ci, a connu «des avancées considérables», l’hôte du forum s’est félicité de l’ouverture de postes budgétaires pour les enseignants ainsi que l’amélioration de la formation de ces derniers. En ce qui concerne la problématique de la transcription l’intervenant a appelé à «tolérer la calligraphie» et de se pencher sur le plus important, à savoir, comment accroître le nombre de lecteurs.
«Celui qui veut le transcrire en arabe codifié ou en tifinagh qu’il le fasse, mais le plus important c’est de faire en sorte à servir cette langue», a-t-il dit. Tout en rappelant que la production littéraire en tamazight transcrite en latin est importante, Si El-Hachemi Assad a affirmé qu’on ne «peut jeter tout ce travail en l’air». Malgré cela, il a appelé à ne pas se précipiter et à ne pas trancher rapidement sur la question. «Nous avons œuvré au niveau du HCA depuis des années à désamorcer ces bombes. Maintenant c’est à l’Académie de prendre la décision adéquate pour la promotion de la langue», a-t-il dit, en affirmant que la dynamique observée dans la production littéraire est à préserver.
Ainsi, il a appelé de laisser les académiciens et linguistes à travailler loin des débats stériles, en soutenant que seule l’élite peut prendre une décision. Toutefois, il a tenu à rappeler «que ce débat est né des enjeux idéologiques que tout le monde connaît».
Lamia Boufassa
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Le collectif des retraités libres et frondeurs du groupe Sonatrach vient de lancer un appel à l’ensemble des retraités du groupe des 48 wilayas à poursuivre leur action de protestation décidée suite à la non satisfaction de nos revendications justes et légitimes qui perdurent depuis maintenant dix ans.
C’est encore une fois dans la rue, là où s’élève souvent la voix de la protestation, qu’un méga sit-in (39e) se tiendra le dimanche 27/01/2019 à 8h00 devant le siège de la Direction générale du Groupe Sonatrach, à Hydra pour se faire entendre. Cette action intervient après l’appel lancé récemment aux hautes autorités de l’État dans l’espoir qu’elles mettent un terme à une situation de marginalisation et d’injustice qui n’a que trop duré.
Une démarche qui s’est avérée apparemment vaine. Le collectif a aussi saisi par courrier Mr le P-DG, Ould Kaddour. Une promesse de la Direction leur a été faite pour une éventuelle rencontre avec lui, mais sans aucune suite. De ce fait, le collectif appelle tous les retraités à venir en masse pour exprimer «leur mécontentement, le rejet de l’injustice et de l’exclusion et pour affirmer leur soutien à leur collectif dans les démarches qu’il entreprend pour faire aboutir leurs revendications».
Le porte-parole dresse une situation dramatique et catastrophique des ex- travailleurs : plus de 30 000 retraités du groupe SH, à travers l’ensemble du territoire national, sont privés de leurs droits les plus élémentaires. Une partie de ces retraités ont atteint un âge avancé, sont malades ou handicapés, d’autres sont décédés sans pour autant avoir obtenu leur dû. «Nous n’abandonnerons pas notre cause et continuerons à manifester et à mettre notre tutelle devant le fait accompli et face à ses responsabilités», s’exclame un des retraités «nous voulons aussi les obliger à se conformer aux lois de la République, à la législation en vigueur et aux conventions, mais surtout obtenir des réponses favorables à nos revendications, notamment celles relatives à nos pensions et indemnités, entre autres la pension complémentaire de retraite (PCR) réduite illégalement de 20% à 12,50% traduite par une diminution drastique de 40% de notre pension, l’indemnité d’expérience professionnelle (IEP) pour tous les retraités sortis après 2009 et l’indemnité compensatoire (I.C) pour tous ceux ayant exercé dans les bases de vie au Sud, régime célibataire d’avant le mois d’avril 2011.»
Le porte-parole accuse les responsables de sombrer dans la surdité, mais aussi, comme le rapportent certains retraités, de piétiner les directives législatives, les lois et les principes de la République qui se résument dans les prononcés judiciaires plaidant en faveur des retraités pour une régularisation de leur PCR à 20% et celle de l’IEP et de l’I.C. Les jugements définitifs avec arrêt exécutoire ont été notifiés et les saisies sur compte on été ordonnées sans pour autant que la SH et la Mutuelle ne se conforment aux lois.
Tous les retraités plaignants ayant eu gain de cause, se voyaient radiés définitivement et injustement du bénéfice de leur pension viagère infligée arbitrairement, à titre de représailles. «Nous avons opté pour un sit-in, nous allons respecter cette démarche. Maintenant, nous avons toujours confiance pour une réponse aux préoccupations légitimes des retraités. Nous sommes par contre déterminés à aller jusqu’au bout, et si la SONATRACH et la Mutuelle ne prennent pas en charge sérieusement nos doléances, nous allons engager d’autres actions plus virulentes. »
Un dossier est en voie de finalisation pour saisir le bureau international du travail à Genève. Les retraités aspirent à vivre dignement du fruit de leur travail par un juste retour de leurs cotisations pour garantir le niveau de leur retraite. «Le dépôt de notre argent sans notre consentement dans des banques privées comme cela fut avec la banque Khalifa sans que les responsables ne fussent inquiétés au contraire ils sont à chaque fois félicités ou appelés à casser tout mouvement de revendications», souligne le porte parole, il ajoute «Nous pensons que nous ne sommes pas concernés par la faillite de la mutuelle, si faillite il y a. La transparence dans la gérance de ces caisses n’existe pas et il peut y avoir eu d’autres placements dans d’autres banques sans qu’on soit tenu au courant. Rien n’est clair. Ils dilapident l’argent du peuple et accusent les vrais nationalistes de tout.
Nous sommes propres, notre défaut c’est de défendre notre pays et de dénoncer les incompétents et les traitres à la Révolution du peuple». Ils interpellent, une nouvelle fois, le ministre en charge de la sécurité sociale, tutelle des mutuelles pour demander à la Mutuelle des industries du pétrole d’assumer ses missions en direction de ces adhérents et demander à saisir l’inspection générale des finances (IGF) afin qu’une enquête approfondie puisse être menées sur la gestion de la MIP conformément à la loi 15-02 du 04/01/2015 relative aux mutuelles sociales et son article 88 chapitre 2 : Contrôle de la mutuelle. Les retraités marginalisés ne comptent pas, de ce fait, lâcher prise, confiants et persuadés que ce sit-in reste une action acquise pour faire appliquer la loi.
I.M.A.
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Un total de 3.983 postes de formation professionnelle est proposé à travers les établissements du secteur dans la wilaya de Khenchela, pour la session de février prochain, a-t-on appris lundi du directeur local du secteur, Abdelaziz Kadri. Les inscriptions ont été lancées au début de cette semaine à travers l’ensemble des centres de formation, des instituts spécialisés et annexes réparties sur les communes de la wilaya, a précisé à l’APS le même responsable, soulignant qu’elles devront se poursuivre jusqu’au 16 du mois de février prochain.
Des journées de sélection et d’orientation suivront entre les 17et 19 février, avant la rentrée officielle, prévue le 21 février prochain indiqué la Direction de la formation et de l’enseignement professionnels (DFEP). Le même responsable a ajouté que la direction locale de ce secteur a privilégié la formation par apprentissage où le nombre de postes ouvert au titre de cette session a atteint 1.108, suivi de celui réservé à la femme au foyer avec 500 postes réparties sur diverses spécialités, la confection des gâteaux traditionnels, la coiffure et la couture notamment.
Aussi, 100 postes ont été réservés pour les pensionnaires de l’établissement pénitentiaire de Babar et de Khenchela, a-t-on noté. La rentrée de février 2019 sera marquée par rapport à celle du mois de septembre dernier par l’introduction de nouvelles spécialités portant gestion et récupération des déchets, l’élevage ovin qui seront enseignées au centre de formation «chahid Ali Melouh» de la commune de Chechar, a révélé M. Kaderi qui a déclaré que la part du lion de ces postes concerne le secteur agricole compte tenu de la vocation de la wilaya et celui de construction et travaux publics qui enregistre une forte affluence des jeunes de la région, expliquée par «la disponibilité des postes d’emploi».
Par ailleurs, la même direction a signé plusieurs accords avec des institutions privées et publiques dans plusieurs spécialités dont une convention avec la société Cosider qui a lancé un investissement dans le secteur agricole dans la région Sud de la wilaya avec l’objectif d’assurer des stages pratiques pour les apprenants et l’insertion dans la mesure du possible des promus de la formation professionnelle dans divers créneaux. Une autre convention, a été signée aussi avec la Direction de l’administration locale (DAL) et de différentes assemblées populaires communales (APC) visant la formation du personnel des cantines scolaires, la réparation et l’entretien des équipements scolaires par des stagiaires spécialisés dans la plomberie, la menuiserie, le montage et la réparation des panneaux solaires (énergies renouvelables) ainsi que des guides touristiques, a signalé la même source.
Les inscriptions sont possibles pour la première fois par le biais du site électronique mis en place par le ministère de tutelle a ajouté la même source, rappelant qu’un intérêt particulier a été accordé aux demandeurs de formation justifiant «un niveau d’instruction réduit».
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Ils avaient acheté leur logement auprès de l’Entreprise national de la promotion immobilière (ENPI) en 2001. Le choix de terrain s’est fait à Bordj-Menaïel et Boumerdès. Des problèmes avec l’entrepreneur chargé de la réalisation retardent toujours le chantier, causant ainsi des années d’arrêt de travaux.
«Nous aurions dû prendre possession de ces logements depuis des années », indique l’un des bénéficiaires de ces logements. Le projet, consistant en la réalisation de 60 logements de type Logement social participatif ou LSP, a été finalisé en 2007, mais 50 logements seulement ont été remis à leurs bénéficiaires. Les 10 logements restant du projet non encore finalisés n’ont pas été attribués. Pourtant, les choses semblaient au début bien engagées. Les familles victimes, au nombre de 10, se sont acquittées à 100 % du montant de leurs logements situés dans un seul bâtiment, qui ne sera sans doute jamais achevé car le chantier n’a toujours pas repris.
Seulement voilà, constatant des retards aberrants, les acquéreurs commencent sérieusement à s’inquiéter deux ans plus tard. Un entrepreneur, basé dans la région, s’est engagé dans un chantier similaire sans finaliser le premier, laissant ainsi ces 10 logements non achevés. Ce qui l’avait conduit à voir son contrat résilié. La société-maître d’ouvrage, en l’occurrence l’ENPI, a débloqué tout les fonds nécessaires, apparemment sans prendre les garanties nécessaires. Leur assurant que les travaux vont reprendre, l’ENPI les a informés qu’un nouveau cahier des charges a été établi. Mais les propriétaires des logements en question ne voient pas encore le bout du tunnel.
Et pour cause : « Les ennuis continuent. Un responsable à la daïra de Bordj-Menaïel m’a dit l’année dernière qu’ils vont construire ces logements dans un autre terrain mais rien d’officiel depuis. D’importantes anomalies ont été détectées dans ce projet », soupire R. A, un acquéreur, d’une voix lasse. Autant de nouveaux déboires qui retardent le chantier et ruinent leurs bourses avec des dépenses supplémentaires. Ce même acquéreur victime, retraité depuis deux ans avec des enfants encore à l’âge de scolarité, est contraint, après avoir quitté son logement de fonctionnaire, de louer dans un logement situé dans une autre commune.
Son amertume, il l’exprime sans détour : « Cet appartement m’est devenu un cauchemar. Après tant d’années de loyaux services comme receveur dans un bureau de poste, je me sens comme quelqu’un sans la moindre considération, en voyant mon droit le plus élémentaire bafoué. Mais on n’a pas le choix, il nous faut mettre la main à la poche et nous armer de patience ». Après des va-et-vient continuels aux services des daïra, direction de l’Habitat, l’APW et le wali de Boumerdès, ces acquéreurs ont fini par perdre espoir. Ils comptent désormais s’adresser directement aux plus hautes autorités : les ministères de l’Habitat et l’Intérieur. Aujourd’hui, ces 10 acquéreurs continuent toujours à attendre, au bout de 17 ans d’errance, un logement qui ne sera probablement jamais achevé. Où sont passées donc les autorités concernées ?
Hamid Mecheri
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