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Vers une « stabilité » du déficit de la CNR durant les prochaines années

Wed, 01/23/2019 - 15:06

ALGER- Le déficit financier de la Caisse nationale des Retraites (CNR) connaitra une  » stabilité » durant les prochaines années en raison de la « régression » enregistrée dans les départs à la retraite, a affirmé mercredi à Alger, son Directeur général, Slimane Mellouka.

« Il y aura une certaine stabilité du déficit financier de la caisse dans les années à venir, puisque il y a eu une régression des dossiers de retraites en 2018 avec l’abrogation des dispositions pour le départ à la retraite avant l’age légal. Aussi, nous prévoyons un passage du déficit de l’ordre de 600 à 610 milliards DA en 2019 », a précisé M. Mellouka, sur les ondes de la Chaine III de la Radio nationale.

Faisant savoir que le nombre des départs à la retraite a été de moins de 80.000 l’année écoulée, il a rappelé que le déficit actuel de la caisse s’élève à  600 milliards DA. Un montant qui a été octroyé à cette dernière, sous forme d’un prêt à payer en différé et en 2 tranches, avec un délai de 20 ans, et ce, dans le cadre de loi de Finances (LF 2019), a-t-il détaillé.

A ce montant, s’ajoute la contribution « régulière » de l’Etat, ce qui a permis à la caisse de se doter d’un total de 700 milliards de DA devant lui permettre de couvrir le payement des pensions et allocations des retraites, a-t-il ajouté.

Le meme responsable a fait état, en outre, de « réflexions sur des pistes » devant endiguer le déficit qui « se creuse » depuis 2015, dont des « mesures juridiques » pour assurer le recouvrement des déperditions dues aux non déclarations ou à la sous déclaration des travailleurs par leurs employeurs. Sachant, a-t-il noté, qu' »il y aurait quelque 43 % des salariés non déclarés », selon l’affirmation du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale.

« L’Etat réfléchit à des mécanismes de réduction des frais de fonctionnement ciblant l’ensemble des organismes du système de Sécurité sociale, en plus du développement de la politique de l’emploi afin d’augmenter le nombre des cotisations », a-t-il poursuivi, exprimant son « souhait de revenir à la situation d’équilibre », soit 1 retraité pour 5 cotisants.

Tout en rappelant les mesures « déjà prises » par les pouvoirs publics pour faire face au déficit de la caisse induit par le nombre « très important » des départs à la retraite anticipée, il a affirmé que cela s’est traduit par un déficit croissant, de l’ordre de 100 milliards DA l’an, passant ainsi de 150 milliards DA en 2015 à près de 560 milliards DA en 2018.

Un montant de 500 milliards DA avait alors été accordé à la caisse pour lui permettre d’assurer le paiement des pensions, et ce, dans le cadre de LF 2018, a-t-il rappelé.

Revenant sur l’évolution du de ce déficit financier, il a soutenu qu’en 2013-2014, la caisse « avait encore les moyens nécessaires » pour prendre en charge les dépenses de l’époque, mais depuis 2015, une « saignée très importante » a été ressentie.

« En 2016, près de 300.000 dossiers de départs à la retraite ont été déposés », a-t-il relevé, faisant savoir qu’après sélection, plus de la moitié a été retenue, ce qui a négativement impacté l’équilibre de cette caisse « dépendante » des cotisations, a-t-il encore rappelé.

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WSIS Project Prizes 2019: Votez pour les projets Algériens nominés pour la phase finale !

Wed, 01/23/2019 - 14:47

Algérie Télécom a le plaisir de vous annoncer que le projet « Fiber optic essential mean for border area sustainable development program », soumis par la Direction d’Algérie Télécom de Tlemcen, figure parmi les dix projets Algériens nominés pour la phase finale du prestigieux concours mondial « WSIS Project Prizes 2019 »

Pour Information, le « WSIS Project Prizes » récompense les meilleurs projets TIC, répartis dans différentes catégories, et qui favorisent l’édification de la société de l’information, il est organisé chaque année par l’Union Internationale des Télécommunications dans le cadre du Sommet mondial de la société de l’information (SMSI).

Pour voter, il suffit de se rendre sur le site: https://www.itu.int/net4/wsis/stocktaking/prizes/2019/ et de cliquer sur le bouton « vote », après l’ouverture d’un compte sur la plateforme, la liste des projets sera affichée et vous aurez la possibilité de voter pour le projet de votre choix.

Ces projets reflètent les grands efforts d’innovation et de créativité de la jeunesse Algérienne évoluant dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication ainsi que les compétences des employés d’Algérie Télécom, pour plus de détails concernant les projets veuillez consulter le lien suivant:

https://www.itu.int/net4/wsis/stocktaking/fr/Prizes/2019/Nominated#start

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WSIS Project Prizes 2019: dix projets Algériens nominés pour la phase finale

Wed, 01/23/2019 - 14:44

Dix projets algériens participeront à la phase finale du prestigieux concours mondial « WSIS Project Prizes 2019 », organisé par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), annonce un communiqué du ministère de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique.

Pour Information, le « WSIS Project Prizes » récompense les meilleurs projets TIC, répartis dans différentes catégories, et qui favorisent l’édification de la société de l’information, il est organisé chaque année par l’Union Internationale des Télécommunications dans le cadre du Sommet mondial de la société de l’information (SMSI).

Pour voter, il suffit de se rendre sur le site: https://www.itu.int/net4/wsis/stocktaking/prizes/2019/ et de cliquer sur le bouton « vote », après l’ouverture d’un compte sur la plateforme, la liste des projets sera affichée et vous aurez la possibilité de voter pour le projet de votre choix.

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Marché du premium: La domination de Mercedes se confirme

Wed, 01/23/2019 - 14:39

Les marques allemandes Mercedes, Audi et BMW ont encore une fois largement dominé le marché du premium dans le monde. Une bataille qui fat rage depuis plusieurs années entre ces trois grands constructeurs. 2018 n’a évidemment pas dérogé à la règle et les mastodontes germaniques se sont encore une fois livrés une lutte acharnée, à grands coups de nouveautés, pour devenir en fin d’exercice le roi incontesté du premium.

Et cette année, l’heureux élu est… 
Mercedes. Pour la troisième année consécutive, la firme à l’étoile devance ses rivales sur le terrain des ventes. En 2018, elle a en effet écoulé 2 310 185 véhicules dans le monde (+0,9% par rapport à 2017), nouveau record, pendant que BMW immatriculait 2 125 026 voitures (+1,8%) et Audi 1 812 500 unités. La marque aux quatre anneaux est d’ailleurs la seule à ne pas avoir vu ses ventes augmenter en 2018 (-3,5%).

La Chine adore le premium
Si les trois marques ont reculé dans plusieurs régions du monde (-2,3% et 933 697 véhicules pour Mercedes, -0,3% et 1 097 654 voitures pour BMW, -13,6% avec 743 600 unités pour Audi), elles ont en revanche fortement progressé en Chine, le plus grand marché automobile mondial (+11,1% à 652 996 unités pour Mercedes, +10,9% et 663 049 véhicules pour Audi et +7,7% à 639 953 exemplaires pour BMW).

Classe C, le best-seller de Mercedes
Du côté des modèles, Mercedes a notamment pu compter sur le succès de sa Classe C, son best-seller, avec 397 000 immatriculations, mais aussi sur la vitalité du segment des compactes (609 000 Classe A, Classe B, CLA et GLA vendus, +3,4%) et des SUV, lesquels, avec 820 721 exemplaires écoulés (+1,9%), représentent désormais plus d’un tiers des ventes de l’étoile. Pêle-mêle, il s’est également vendu 355 000 Classe E et 77 927 Classe S en 2018.

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Don au Croissant-Rouge Algérien: Renault perpétue une tradition

Wed, 01/23/2019 - 14:38

Dans le cadre de ses activités citoyennes, le groupe Renault et à travers sa filiale algérienne a confirmé récemment sa volonté de perpétuer une tradition initiée il y a trois années en remettant un chèque de 30 millions de dinars au Croissant-Rouge algérien. Une cérémonie s’est déroulée dans le bâtiment historique du C-RA en plein cœur de la capitale, en présence de sa présidente, Saida Benhabyles, et du directeur général de Renault Algérie, André Abboud.

En prenant la parole en premier, Mme Benhabyles et tout en remerciant Renault pour cette contribution, a tenu à préciser les utilisations faites de cet argent, notamment l’aide apportée à plus de 25 000 familles nécessiteuses dans plusieurs régions du pays, particulièrement les zones montagneuses où les habitants vivent dans des conditions extrêmement difficiles. C’est le cas aussi pour des villages situés à l’extrémité est du pays.
La présidente du CRA a souligné également le volet solidarité inscrit dans la démarche de Renault Algérie en affirmant aux responsables de la filiale : «Vous avez réussi à humaniser votre entreprise.»

Pour sa part, André Abboud est revenu sur la profondeur de cette coopération lancée en 2016. «A travers cette opération, Renault Algérie témoigne encore une fois  sa solidarité et son soutien à son partenaire et espère que cette mobilisation contribuera à soutenir le travail de terrain quotidien du Croissant-Rouge algérien», avant de rappeler qu’«en sa qualité d’acteur majeur du secteur automobile algérien, le Groupe Renault était animé d’une responsabilité citoyenne toute particulière et que son engagement sociétal s’articulait autour de trois principaux axes, la sécurité routière, l’éducation et la solidarité».

Il est à signaler que le chèque remis par le DG de Renault Algérie à la présidente du C-RA  représente la somme des dons collectés par la filiale du groupe français en 2018, dans le cadre de l’opération TadaMoon.

B. B.

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Ville de Bordj-Bou-Arreridj: Le dernier des cinémas ferme ses portes

Wed, 01/23/2019 - 14:37

Au mois de novembre 2018, la salle de cinéma Vox qui faisait autrefois  le bonheur des citoyens a été démolie. Il faut rappeler que de nombreuses salles obscures de la ville de Bordj-Bou-Arréridj, n’étaient plus fonctionnelles depuis belle lurette, non pas parce qu’il n’y avait pas de public cinéphile, mais parce qu’elles ont été laissées à l’abandon, faute de transition du cinéma vers la technologie numérique, étant donné que la chose culturelle n’a jamais été l’apanage du ministère de la Culture.

La question que les citoyens commencent à se poser aujourd’hui n’est pas celle du devenir du cinéma, mais la mort éventuelle du 7e art. Alors que sous d’autres cieux, on se plaint du fait que le public déserte les salles obscures sous l’effet conjugué de la généralisation et de l’utilisation de supports variés tels que la parabole, l’internet, ou les DVD, à Bordj-Bou-Arréridj ce sont plutôt les écrans de cinéma, les salles elles-mêmes qui ont disparu de notre environnement socioculturel.

Alors que la ville disposait, jusqu’aux années 1960, de  quatre salles de projection cinématographique, ce réseau respectable pour la dimension moyenne de la cité s’est rétréci au fil du temps pour aboutir dramatiquement aujourd’hui à sa disparition complète qui fait effet de contradiction brutale avec le statut de chef-lieu de wilaya. Pour une ville qui n’a cessé de  s’accroître, et de se developper depuis 20 ans en termes d’investissement économique urbanistique, d’espace et de population, elle est restée particulièrement attachée aux lieux les plus anciens, tels les salles de cinéma, l’ancienne gare de chemins de fer, le terrain de tennis qui a été aussi laissé à l’abandon et démoli sans raison, juste parce que les décideurs étaient animés de la culture de mauvais goût de destruction des édifices qui offraient plus d’urbanité que ceux que la société produit aujourd’hui.

De fait , la population est inquiète des formes que prend la ville de Bordj-Bou-Arréridj  en l’absence d’espaces culturels suffisants, et des risques de toutes sortes qu’elles semblent engendrer socialement et culturellement. En cela, il n’existe aucune salle de cinéma à Bordj-Bou-Arréridj, le cinéma Rex (L’ex-Musée du cinéma fermé en 1991 par l’ex-l’APC/FIS), la seule salle où se faisaient des projections avec support-vidéo lamentable en programmant pour un public de jeunes désœuvrés en mal de loisir des films violents et superficiels dont l’impact sur de jeunes esprits inoccupés n’est pas négligeable, était une référence à une sorte d’âge d’or du réseau d’exploitation des films à Bordj-Bou-Arréridj.

La ville de Bordj-Bou-Arréridj est, en fait, une ville où l’effraction salutaire et positive du phénomène cinéma ne date pas d’aujourd’hui. On raconte que des projections de films muets se faisaient au début du XXe siècle. Le marché couvert de la ville a été utilisé comme espace de projection à un moment donné mais dans les années 1940-1950, un Français résidant à Bordj-Bou-Arréridj ouvrira successivement trois salles de projection équipées en 35 mn, le Lux, le Rex et le Vox.
Chacun de ces films en fonction d’un ciblage précis du public (films pour enfants, films d’auteur, ou films d’aventure), ce qui permettait aux exploitants de couvrir tout le champ de la cinématographie de l’époque. On pourrait ajouter à ce réseau l’ouverture d’une belle salle de projection «le Paroissial» à l’initiative de l’édifice  catholique.

Ce réseau a continué à fonctionner normalement et va culminer dans les années 70 avec l’avènement des premières approches culturalistes et filmologiques par un lancement du cinéclub communal.
Les cinéclubs féminins (l’un des premiers du genre en Algérie), cette éclosion dynamique de pôles de consommation refléchie (séance-débat) du film a permis à la ville de redynamiser l’activité culturelle et travailler sur la constitution d’un public cinéphile.

L’ouverture d’un musée du cinéma viendra couronner cet intense mouvement pour qui le cinéma était, de tout évidence, un fait d’esthétique et la salle obscure, un espace de réflexion et d’échanges d’idées irremplaçable. Les années 90 ouvriront l’ère des basses conjonctures, où les militants de l’ex-FIS  se faisaient passer pour une association de bienfaisance, face à des citoyens innocents animés par la quête de la culture universelle. En 1991, toutes les salles de cinéma ferment, le public formé se disperse et s’évanouit dans la nature, le désert culturel va gagner, la mort programmée de toute forme d’expression culturelle se produisit.

Layachi Salah-Eddine

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Recette: Soupe de haricots verts

Wed, 01/23/2019 - 14:32

       600 g de haricots verts équeutés cuits, 1 bouquet de persil plat, 1,5 l de bouillon de légumes, 1 cuillerée à café de curry en poudre, 30 cl de crème fraîche liquide, piment en poudre, paprika, sel, poivre 

Laver, essorer le persil et le mixer avec les haricots verts. En garder une poignée pour la décoration des assiettes. Mettre à bouillir le bouillon de légumes., ajouter la crème liquide et la poudre de curry. Mélanger au fouet, saler, poivrer si nécessaire. Incorporer les haricots verts mixés. Remuer, donner un bouillon puis laisser refroidir. Réserver au frais jusqu’à utilisation. Au moment de servir, poudrer la soupe froide de piment mélangé avec une pointe de paprika. Décorer chaque assiette de quelques haricots verts. Déguster aussitôt.

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Recette: Cupcakes aux fruits secs

Wed, 01/23/2019 - 14:28

   150 g de sucre, 250 g de farine, 4 œufs, 150 g de beurre fondu, 1 sachet de sucre vanillé, 1 sachet de levure, 250 g de fruits secs (gardez-en pour la décoration).

Préchauffez le four th.6 (180°C). Dans 1 saladier, mélangez le sucre et les œufs. Ajoutez le beurre fondu, le sucre vanillé et les fruits secs et mélangez bien le tout. Ajoutez la farine et la levure. Beurrez vos moules à cupcakes et versez-y la pâte (ou versez directement dans des caissettes). Enfournez et laissez cuire 20 min. Vérifiez la cuisson à l’aide d’un couteau. Sortez vos cupcakes et démoulez-les, puis décorez de quelques noix et amandes.

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Beauté: Taches de vieillesse, explications et astuces

Wed, 01/23/2019 - 14:23

Nous les appelons souvent «taches de vieillesse». Les lentigos sont des signes de l’âge qui apparaissent au fil du temps et, souvent, avec les agressions du soleil.

Les connaître, c’est bien ; savoir comment y faire face, c’est encore mieux. Les lentigos sont des taches planes (on ne les repère pas au toucher). Leur couleur peut aller du roux clair au brun foncé et leur surface est de quelques millimètres carrés ; mais ils sont souvent accompagnés de taches blanches, plus petites. Ces taches de vieillesse apparaissent plus volontiers sur les surfaces souvent exposées au soleil : visage, mains, décolleté. Malheureusement, ce sont aussi les zones les plus visibles et les taches de vieillesse sont les cauchemars des coquettes. En règle générale, cette apparition se produit après la quarantaine, mais cela peut arriver plus tôt.

Dangereux ou pas ? 
En soi, les lentigos ne sont pas une maladie et ne sont pas dangereux. C’est une simple désorganisation de la mélanine dans la peau, due aux agressions répétées du soleil. Il est cependant utile de les surveiller, parce qu’une lésion cancéreuse peut se développer à partir d’un lentigo. Cependant, pour la majorité des personnes touchées par les lentigos, les inconvénients sont uniquement de nature esthétique. Cette gêne peut cependant être importante. Cela vaut donc la peine de se pencher sur la meilleure manière de les combattre.

Soleil : protection obligatoire 
La protection contre le soleil est votre première défense contre les taches de vieillesse, comme contre le vieillissement de la peau en général, d’ailleurs.
Attention, il ne s’agit pas de diaboliser le soleil : profiter de ses rayons est indispensable au fonctionnement de notre corps, c’est la quantité de soleil qui peut devenir mauvaise pour votre peau. Alors, une bonne balade en bord de mer les jours où il fait beau, c’est oui ; six heures de bronzette intense, c’est plutôt non, même avec une protection contre le soleil.

Des moyens cosmétiques 
Si les taches sont déjà apparues, vous pouvez tout de même lutter. Il existe des produits, souvent à base d’acides de fruits, qui luttent contre les lentigos. Si ce n’est pas suffisant, il existe aussi des solutions de l’ordre de la médecine esthétique, comme des peelings ou dermabrasions. Celles-ci ne garantissent cependant pas que les lentigos ne reviendront jamais. La cosmétique peut aussi apporter une réponse aux lentigos ; elle offre des fonds de teint spécialisés dans le camouflage qui conviennent même aux peaux matures.

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Sonatrach face aux défis de la demande: La consommation en gaz explose

Wed, 01/23/2019 - 14:16

     L’Algérie, dont la production de gaz naturel oscille entre 130 et 140 milliards de m3, risque, sous l’effet d’une demande interne plus forte, de voir ses capacités d’exportations s’amenuiser dans les années à venir.

La disponibilité de l’offre gazière semble avoir créé une dynamique de la demande difficile de refréner et aujourd’hui, la consommation interne en gaz explose non seulement dans les Hauts-Plateaux où le froid règne, mais également  dans d’autres régions. En chiffres, elle se situe aujourd’hui entre 40 et 45 milliards de mètres cubes dont 15 milliards sont injectés dans la production de l’électricité.

Cette tendance atteindra son paroxysme à l’horizon 2028, puisqu’à cette date, la consommation va s’envoler à 67 milliards de mètres cubes. Un énorme défi pour Sonatrach ! Ces indications ont été fournies à l’occasion de la présentation hier par la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (Creg) du programme d’approvisionnement du marché national en gaz naturel  pour la période 2019-2028. La rencontre s’est déroulée au siège du ministère de l’Énergie.

En 2017, la consommation de gaz naturel a grimpé à 7,9%, une hausse induite par les besoins croissants des clients de Sonelgaz, notamment ceux du secteur des ménages, et où le nombre total d’abonnés a atteint 5,3 millions, soit plus de 345 000 nouveaux clients. L’Algérie, dont la production actuelle de gaz naturel oscille entre 130 et 140 milliards de m3, risque, sous l’effet d’une demande interne plus forte, de voir ses capacités d’exportations, s’amenuiser, les années à venir.

Le pays n’a exporté en 2018 que 50 milliards de m3, soit un niveau analogue à celui de l’exercice précédent. Ce rythme de consommation ne peut cependant pas être soutenu et il faut changer de modèle de consommation, en économisant du gaz en matière de production d’électricité et en développant davantage le renouvelable, a recommandé le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, présent à cette réunion.

La consommation de l’énergie électrique, estimée à 60 GWh,  a connu une hausse de 10% en 2017, comparée à l’année 2016. Elle est  tirée surtout par la demande des clients de la haute tension, qui a augmenté de 20%. La demande en énergie électrique continue d’enregistrer des pics durant la saison estivale. Elle a atteint en 2017 une forte hausse de plus de 11%, avec un pic de 14,2 GW, par rapport à l’été 2016 qui avait enregistré, quant à lui, un pic de 12,8 MW.

Et, Sonelgaz doit produire 5 150 mégawatts entre 2019 et 2028 pour faire face à cette demande galopante, avec comme défi majeur une maîtrise nécessaire de la consommation. Relever un tel défi est tout à fait dans ses cordes, renchérit le ministre de l’Énergie pour qui, le secteur dont il a la charge avance, peut-être, à un rythme lent, mais avance quand même. Mustapha Guitouni a rappelé que l’Algérie dispose aujourd’hui d’un surplus d’électricité qu’elle veut exporter vers l’Europe via l’Espagne.

En termes chiffrés, Sonelgaz dispose aujourd’hui de 19 000 mégawatts, et d’un excédent de 9 000 mégawatts en hiver. Pour pouvoir exporter cet excédent, Sonelgaz va mettre en place un câble sous-marin reliant l’Algérie à l’Espagne. Ce projet a déjà été discuté avec la partie espagnole et une étude économique sur l’opportunité du projet a été lancée, a indiqué le ministre de l’Énergie.
Au chapitre des carburants, Guitouni a souligné que la raffinerie de Sidi R’zine, qui fait l’objet de travaux de réhabilitation, devrait entrer en service en février ou en mars prochains. Elle produira 3,2 millions de tonnes de carburant par an.

Youcef Salami

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Ils pensent mieux vivre en Europe: Le rêve brisé des harragas

Wed, 01/23/2019 - 14:13

     La pauvreté, la hogra, le manque de loisirs, le mal-être poussent les harragas vers l’Europe. Au bout de leur expédition, ils rencontrent la mort, les centres de détention, la drogue, la prostitution et… la misère qu’ils ont fuie.

“Même avec des armes, il est impossible de fléchir la volonté d’un harrag.” En peu de mots, Kamel Belabed, coordinateur d’un collectif d’environ 400 familles de harragas à Annaba, résume la détermination inflexible des candidats à la migration clandestine à faire aboutir leur projet de rejoindre la rive nord de la Méditerranée quels que soient les obstacles. Depuis que son fils a disparu en mer le 17 avril 2007, il est obsédé par le phénomène. Il vit littéralement entouré de ses dossiers sur les migrants disparus, à telle enseigne que son épouse, qu’il faisait vivre dans un traumatisme permanent, l’a exhorté à aménager son bureau ailleurs.

Le septuagénaire ne s’est guère découragé. Il a transféré son micro et ses documents au sous-sol de la maison familiale et a continué à entretenir des contacts étroits avec des centaines de harragas et leurs familles. “J’en connais qui ont fait des traversées traumatisantes, ont été malmenés dans les centres de transit, ont passé des séjours en prison. Mais dès qu’ils ont l’occasion, ils repartent. Rien ni personne ne peut les arrêter”, assure-t-il. Faïza Kessanti, mère de Abdelhadi Khabet, surnommé Dadi, noyé à quelques encablures de l’île de Sardaigne en Italie, corrobore. “Dadi s’est rendu deux fois à Annaba pour prendre le large. Il est revenu.

La veille de son dernier départ, il m’a dit : ‘Si je passe, je t’appelle vendredi. Si je n’y parviens pas, pardonne-moi maman.’ Il était décidé. Je ne pouvais pas le retenir”, témoigne-t-elle. À la mi-novembre dernier, le naufrage, aux abords des côtes italiennes, de l’embarcation qui transportait 13 jeunes du quartier, a ébranlé la population de Raïs Hamidou, dans la proche banlieue est d’Alger. Trois passagers ont été secourus par les gardes-côtes italiens. Les corps de Dadi et Ghilas ont été rejetés par les flots. Aucune nouvelle, à ce jour, n’est parvenue des autres garçons, qui se sont hasardés à atteindre le rivage à la nage, de nuit dans une eau glaciale.

Leurs familles croient encore au miracle. Deux mois plus tôt, le feu a consumé une embarcation en partance de Cherchell. Dix personnes, dont une femme, ont été secourues in extremis par les garde-côtes. Trois autres sont toujours recherchées. En décembre, la submersion d’une felouque au large de Tigzirt a mis en danger onze harragas. Deux, épuisés, abandonnent la bataille avant d’atteindre la terre ferme. Cinq passagers sont sauvés et six disparaissent en mer. Il y a quelques jours, vingt personnes, dont deux enfants, ont péri par les flammes qui ont ravagé leurs embarcations à quelques encablures des côtes oranaises. Ces destins tragiques bouleversent l’opinion publique.

“Si j’ai 1% de chance de changer ma vie, je la saisis”
Régulièrement, le ministère de la Défense nationale (MDN) communique sur les interceptions de groupes de migrants aux larges de Annaba, Mostaganem, Béni Saf, El-Kala, de corps reflués par les vagues, de disparitions en mer… Le spectre de la mort n’inhibe pourtant nullement les candidats à la migration irrégulière dans des chaloupes de fortune. “Si j’ai une chance sur cent de changer ma vie, je la saisis”, parole d’un harraga, à peine sorti de l’adolescence. Sa chance, il l’a tentée au début de l’année en cours. Il a réussi à fouler des pieds une terre, qui lui est interdite sans visa. Son père, un chef d’entreprise, remue ciel et terre pour le ramener au pays par le circuit réglementaire. Il le scolarise dans une école privée et l’inscrit aux épreuves du bac, session 2019.

Exauçant son vœu, il lui offre une moto. Au bout de quelques semaines, le gosse brade la bécane et rallie, à nouveau clandestinement, l’Europe par mer. Pourquoi donc ce désir compulsionnel de quitter l’Algérie ? “Je ne supporte plus l’incivisme. Je vends tout ce que je possède et je partirai”, lance un chauffeur de taxi, à Annaba. “J’ai connu personnellement quelque 1000 cas de harragas. Chacun est parti pour des raisons différentes. Un dénominateur commun entre eux : ils sont mal dans leur peau”, rapporte Kamel Belabed. Le chômage, la promiscuité dans des appartements exigus, le célibat forcé… motivent objectivement l’émigration clandestine. Pas uniquement. Le manque de loisirs, le passe-droit, le sentiment d’injustice, les déceptions amoureuses, les conflits familiaux… sont aussi des moteurs puissants à la vadrouille. “Mon fils avait 24 ans. Il était à l’aise financièrement.

Un jour, il a décidé de partir sur un coup de gueule. Lui et les histoires des autres harragas que j’ai connus par la suite m’ont donné une leçon de vie. Je vivais dans le confort, inconscient de ce qui se passait autour de moi”, raconte un architecte. “C’est le malaise social qui est en cause. Une femme célibataire ne peut pas louer un studio sans être ennuyée par le voisinage. Les couples sont constamment harcelés par les agents de la police sur la voie publique… Je connais des intellectuels, des gens qui ont des revenus confortables, qui sont partis car ils n’admettaient plus la bureaucratie et la saleté”, commente Me Koceïla Zerguine, avocat inscrit au barreau de Annaba.

“Nos dirigeants ne vivent pas dans l’époque de la jeunesse. Ils distillent un discours sur la guerre de Libération nationale et le terrorisme, que les Algériens nés dans les années 90 et après ne comprennent pas”, poursuit notre interlocuteur. Croire que seuls les jeunes prennent le large est faux. Le plus vieux harrag était âgé de 72 ans quand il a quitté le pays en 2009, nous apprend-on.

Des familles entières, dont des femmes enceintes et des enfants, bravent les risques pour fuir l’indigence sous ses multiples formes. Signalés disparus par des proches, ils sont souvent retrouvés en hypothermie et angoissés. Parfois, avec des cadavres à bord de l’embarcation.

3/5 harragas ont vainement tenté d’obtenir un visa
L’Union européenne et les États-Unis ont considérablement durci leur politique d’immigration dès l’émergence du printemps arabe en 2011. Au fur et à mesure, ils adaptent les procédures, renfonçant, dans le sillage, les moyens de l’opération de surveillance Triton, menée par Frontex (Agence européenne des garde-côtes et garde-frontières), de saisie et destruction des embarcations transportant des migrants et d’interventions militaires contre les réseaux de passeurs. L’objectif est de stopper le flux migratoire aux limites territoriales des pays d’origine.

“L’Algérie a adhéré à la politique d’externalisation des frontières avec les pays du Nord au lieu de plaider pour la facilitation de délivrance des visas”, note Me Koceïla Zerguine, avocat agréé auprès de la cour de Annaba. Il fait référence à une étude réalisée par une ONG française, dont les résultats sont édifiants, de son point de vue. L’enquête a montré que 3 harragas sur 5 ont introduit, auprès des services consulaires européens, des demandes de visa en bonne et due forme. Un tiers a renouvelé la procédure au moins trois fois, sans obtenir le fameux sésame. “Dadi a fait de nombreux séjours à l’étranger. Ça lui permettait de se ressourcer puis de revenir au pays.

Ces dernières années, il a fait plusieurs demandes de visa. Elles lui ont été toutes refusées”, témoigne sa mère. Étouffé intra-muros, il a emprunté des voies escarpées pour pouvoir fêter ses 34 ans en Italie. Il s’est noyé le jour de son anniversaire. Son corps a été rapatrié le 10 décembre dernier. “Est-ce un crime de vouloir vivre ailleurs que dans son pays ? C’est la question que nous devons tous nous poser ?”, s’interroge Kamel Belabed. La libre circulation des personnes, dans un monde réduit à la taille d’un village grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, répond exclusivement à la raison d’État.

“Les restrictions à la mobilité des personnes contribuent à amplifier le phénomène de harga. Ils induisent l’effet inverse aux objectifs assignés”, analyse Me Zerguine. Il explique qu’il est laborieux de confiner une personne à l’intérieur des frontières de son pays quand son unique raison de vivre est d’en sortir. “J’ai vu partir des embarcations et j’ai fermé les yeux. Je me dis que ces gens-là n’ont rien fait de condamnable. Ils ne fuient pas la justice, mais la malvie et le mal-être. J’ai dénoncé d’autres pour sauver la vie de l’équipage parce que la mer était agitée”, avoue Kamel Belabed. Par une impitoyable sentence du destin, le rêve des harragas est brisé rapidement. Ils sont majoritairement happés par la mort dans les profondeurs de la Méditerranée.

En 2017, plus de 17 500 migrants algériens étaient retenus dans les centres de détention en Italie, en Espagne, en Grèce et en Bulgarie, selon le HCR. “Nos ressortissants refusent de donner leur identité pour ne pas être rapatriés. Ils préfèrent rester en prison. Dernièrement en Bulgarie, nous avons recensé 400 harragas”, soutient Me Zerguine. Ceux qui réussissent à passer entre les mailles des gardes-côtes sont engloutis, souvent, dans les milieux de la drogue et de la prostitution. Le cas d’un jeune de Annaba, utilisé comme esclave sexuel en Roumanie, est sidérante. L’information a été donnée par une télévision roumaine.

Le père a reconnu aussitôt son fils, porté disparu depuis qu’il avait pris la mer quelques années plus tôt. Les démarches entreprises pour le retrouver n’ont pas abouti. “Si l’on n’est pas outillé pour réussir dans son pays, comment y parvenir ailleurs ?”, épilogue un sexagénaire, dubitatif.

S. H.

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Top 10 des constructeurs 2018 à l’international: Le groupe Volkswagen toujours en tête

Wed, 01/23/2019 - 14:12

Volkswagen, Toyota et Renault-Nissan-Mitsubishi ont tous vendu plus de 10 millions de véhicules légers en 2018.
Au niveau mondial, le marché des véhicules légers a légèrement augmenté de 0,2% l’année dernière, à 95,6 millions d’exemplaires vendus.

Alors que les bons chiffres du premier semestre 2018 laissaient penser que les ventes dépasseraient la barre des 100 millions, le second semestre a été marqué par l’entrée en vigueur des nouvelles normes WLTP en Europe. Les immatriculations ont alors chuté de 10,6% sur le seul mois de septembre 2018…

La crise du marché chinois n’a rien arrangé. Les ventes ont baissé de 4% en 2018, une première depuis 20 ans.
Malgré cela, le Groupe Volkswagen (Volkswagen, Audi, Skoda, Seat, Bugatti, Lamborghini, Bentley et Porsche) arriverait en tête selon les derniers chiffres communiqués à la presse. L’allemand est numéro 1 mondial avec 10 830 625 voitures vendues en 2018, devant le Groupe Toyota (Toyota, Daihatsu, Lexus et Scion) et l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi (Renault, Nissan, Mitsubishi, Dacia, Lada, Infiniti, Datsun, Renault Samsung, CMC et ZNA).
Les trois premiers sont tous au-dessus des 10 millions d’immatriculations.
A noter la belle progression de Hyundai-Kia (+ 3,2%) et la méforme des groupes américains General Motors (- 2%), et surtout Ford (- 8,9%).

Classement par constructeur :
1- Volkswagen : 10 830 625 (+ 2,2%)
2 – Toyota : 10 520 655 (+ 2,2%)
3- Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi : 10 360 992 (+ 1,3%)
4- General Motors : 8.786.987 (- 2,0%)
5- Hyundai – Kia : 7.507.945 (+ 3,2%)
6- Ford : 5.734.306 (- 8,9%)
7- Honda : 5.265.125 (- 0,6%)
8- Fiat Chrysler Automobiles : 4 840 664 (=)
9- PSA : 4 125 683 (- 2,9%)
10- Suzuki : 3 213 224 (+ 1,2%).

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Vidéo: atterissage délicat d’un ex-avion Air Algérie à Montréal

Wed, 01/23/2019 - 13:37

C’est une page qui se tourne pour les Boeing 767 d’Air Algérie! en effet, les trois derniers appareils de ce type de la compagnie ont été retirés pour être vendus. Le premier à avoir pris sa retraite est le 767 immatriculé 7t-VJG.

Ce dernier, qui a rejoint Air Algérie en 1990, a marqué l’actualité cette semaine car il est resté bloqué à l’aéroport de Montréal duranr quelques jours, aéroport qui devait servir d’escale uniquement avant de rejoindre son nouveau propriétaire situé en Floride, aux Etats-Unis.

La vidéo plus bas montre l’atterrissage quelque peu compliqué de l’ancienne star d’Air Algérie à Montréal.

Par ailleurs, le deuxième 767 de la compagnie nationale, immatriculé 7t-VJI, serait prêt lui aussi à rejoindre son nouveau propriétaire ou prendre sa retraite, comme l’atteste les images partagées par la page Facebook Air Algérie Lovers.

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Sahel: le changement climatique exacerbe les conflits intercommunautaires (CICR)

Wed, 01/23/2019 - 11:55

GENEVE- Les effets du changement climatique exacerbent les conflits intercommunautaires au Mali comme au Niger, ce qui se traduit par une aggravation de la pauvreté, un affaiblissement des services publics et un bouleversement des moyens de survie traditionnels, a constaté le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) dans un communiqué rendu public mardi.

« Les tensions qui opposent depuis toujours les communautés d’éleveurs aux agriculteurs s’intensifient à cause du changement climatique, alors que les terres exploitables disponibles se réduisent et que les sources d’eau sont de moins en moins fiables », a indiqué le président du CICR, Peter Maurer, cité dans le texte publié à l’issue d’une visite de huit jours dans la zone.

« Les violences et difficultés que connait la région ne sont pas liées uniquement aux conflits, mais aussi à la diminution des terres exploitables et à l’évolution imprévisible des ressources en eau », a ajouté la même source.

« Le changement climatique complique encore la situation dans cette région ou le sous-développement, la pauvreté endémique, la criminalité généralisée et la violence exposent déjà la population à d’immenses risques.

Ce cocktail explosif impose de changer radicalement d’approche au Sahel, de manière à renforcer la capacité des habitants à faire face aux aléas climatiques ».

Les températures augmentent 1,5 fois plus vite au Sahel que dans le reste du monde. Les précipitations sont irrégulières et les saisons des pluies de plus en plus courtes, alors que selon les estimations de l’ONU, environ 80 % des terres agricoles du Sahel sont dégradées, au moment ou  quelque 50 millions de personnes dépendantes de l’élevage « se disputent le territoire ».

Quelque 33 millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire au Sahel, selon des estimations de fin 2018. Les communautés pauvres peinent à obtenir des soins de santé en toute sécurité, à trouver des écoles pour leurs enfants ou à gagner le minimum vital.

Pour subvenir aux besoins de leur famille, les gens se retrouvent confrontés à des choix difficiles, comme emprunter les routes périlleuses de la migration ou rejoindre des groupes armés.

L’augmentation de la violence est une autre source de préoccupation. Elle a notamment fait 1.686 morts au Mali en 2018 contre 949 en 2017 et 320 en 2016, selon les données du groupe de recherche « Armed Conflict Location & Event Data Project », cité par le CICR.

« Les zones de tension s’étendent également, du nord du Mali vers le centre du pays et le long des frontières avec le Niger, le Mali et le Burkina Faso », a-t-on indiqué.

Quelle que soit l’influence du changement climatique sur les violences, il apparait clairement que les communautés sont beaucoup plus menacées lorsqu’elles sont touchées par les deux phénomènes. « Les habitants du Mali et du Niger savent déjà bien que l’épuisement des ressources exacerbe les violences entre éleveurs et agriculteurs », a expliqué M. Maurer.

« Il y a beaucoup d’énergie déployée pour trouver des solutions, mais la priorité doit etre d’aider les gens à mieux faire face aux effets du changement climatique et de la violence, car force est de constater qu’ils ne sont pas près de disparaitre », a estimé le CICR.

Le changement climatique ne libère en rien toutes les parties armées (forces, milices et groupes armés) de la responsabilité qui leur incombe de respecter le droit humanitaire et d’en faire beaucoup plus pour prévenir les violations. Mais il est urgent que des mesures politiques substantielles soient prises pour atténuer le changement climatique, faute de quoi, a-t-on alerté, « les conséquences seront catastrophiques pour le Sahel ».

== Des actions spécifiques sont recommandées==  

Outre les efforts déployés au niveau mondial dans ce domaine, le CICR a recommandé des actions spécifiques, à savoir « batir des partenariats, planifier sur le long terme et investir dans de nouveaux modèles financiers », soulignant, dans le même sens, que « les donateurs, les humanitaires, les institutions locales et les scientifiques doivent collaborer avec les communautés pour mettre en oeuvre des solutions plus durables ».

« Les organisations humanitaires devraient s’efforcer de prévenir les crises plutôt que d’y répondre, améliorer la gestion de l’eau et de l’énergie sur le terrain : au niveau local, on pourra par exemple utiliser davantage de stations de pompage à énergie solaire et construire des petits barrages qui retiendront l’eau de pluie, permettant ainsi sa pénétration dans le sol et la reconstitution des nappes phréatiques », lit-on dans le communiqué du CICR.

La dégradation de l’environnement doit être limitée autant que possible, assurer aux Maliens et aux Nigériens des perspectives d’avenir viables :

étant donné la situation actuelle, cela implique d’améliorer l’accès à l’éducation, à la formation et à l’emploi, notamment via des programmes micro-économiques, et de renforcer la capacité des populations à trouver des solutions par elles-mêmes et à les mettre en application.

Des mécanismes financiers innovants seront dès lors nécessaires pour élargir l’assistance humanitaire traditionnelle et faciliter la création de moyens de subsistance dans les environnements fragiles, a conclu le CICR.

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Education: sit-in devant les directions de l’Education à Alger

Wed, 01/23/2019 - 11:52

ALGER- Plusieurs enseignants et travailleurs relevant du Collectif des syndicats autonomes du secteur de l’Eduction ont organisé, mercredi après-midi, des sit-in devant les directions de l’Education à Alger, à l’instar des autres wilayas, soulevant des revendications à caractère socioprofessionnel.

Plusieurs enseignants, fonctionnaires et syndicalistes relevant du collectif des syndicats autonomes, dont l’Union nationale du personnel de l’éducation et de la formation (UNPEF), le Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), le Conseil des lycées d’Algérie (CLA), le Syndicat national autonome des professeurs de l`enseignement secondaire et technique (SNAPEST), le Syndicat national des travailleurs de l’éducation (SNTE), ont participé à ces sit-in.

Dans une déclaration à l’APS, le membre du CLA Zineb Belhamel a fait savoir que les syndicats ont soulevé plusieurs revendications notamment pédagogiques dont le manque de moyens de travail et de conditions propices permettant à l’enseignant de présenter le cours et à l’élève de les suivre, soulignant, en outre, la difficulté de ces conditions notamment en hiver en l’absence de chauffages et le manque de moyens nécessaires au niveau des établissements éducatifs avant le début de l’année scolaire.

La plateforme des revendications porte essentiellement sur des aspects socio-professionnels et pédagogiques, à l’instar de la reclassification du personnel du service économique, celui de l’orientation scolaire et professionnelle, ainsi que les laborantins et les superviseurs, outre le  maintien de la retraite proportionnelle sans condition d’âge et la mise en place de mécanismes rétablissant l’équilibre du pouvoir d’achat.

Les syndicats grévistes revendiquent, également, d’actualiser la prime de la zone sur le nouveau salaire de base outre que celui adopté en 1989, de permettre aux professeurs formés avant 03 juin 2012 de bénéficier d’une promotion au grade de professeur formateur en valorisant leur expérience professionnelle, de préserver les vacances de fins de semaines, et d’octroyer au personnel le droit à un congé de maladie.

Sur le plan pédagogique, les représentants des syndicats revendiquent notamment la révision des programmes scolaires en fonction du niveau des apprenants et particulièrement ceux de l’école primaire, l’amélioration de la formation, des conditions de travail et de scolarisation, la réalisation d’un enseignement de qualité, la réduction du volume horaire pour l’ensemble des paliers en respectant le volume de travail et les taches assignées, la préservation du pouvoir pédagogique des enseignants et la liberté d’exercer le travail syndical.

Le collectif des syndicats a organisé lundi une grève d’un jour enregistrant un taux de suivi de 8,27% au niveau national, selon les estimations du ministère de l’Education nationale, tandis que pour les  syndicats, il s’est élevé à 57% au niveau national.

Le tribunal administratif de Bir Mourad Rais (Alger) avait rendu lundi soir des jugements déclarant illégale la grève la grève à laquelle a appelé le collectif des syndicats autonomes.

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Tlemcen: Des renforts pour la santé et quelques soucis

Wed, 01/23/2019 - 09:53

Khaled Boumediene

Un hôpital de 120 lits totalement achevé et fonctionnel à Remchi, un centre de lutte contre le cancer (CLCC) d’envergure régionale de 120 lits à Chetouane dont le service radiothérapie a débuté l’activité le 21 septembre 2017 (un service nucléaire sera opérationnel dans les prochains jours), cinq polycliniques achevées et fonctionnelles à El-Aricha, Bab El-Assa, Fellaoucene, Béni-Boussaïd et Maghnia, une polyclinique pratiquement achevée et prête à l’ouverture à Souani…

Autant de réalisations d’envergure dans le secteur de la santé de la wilaya de Tlemcen durant ces trois dernières années. Selon le directeur des équipements publics (DEP) de la wilaya de Tlemcen, Salah Rachid, cinq autres polycliniques sont en voie d’achèvement à Béni-Mester, Aïn Ghoraba, Sidi-Abdelli, Bouihi et Tlemcen, en vue de renforcer le travail de proximité et la décentralisation des soins. « La polyclinique de Tlemcen à Oujlida connaît des contraintes de manque de crédits de paiement », a expliqué, lundi dernier, le directeur des équipements publics de Tlemcen lors d’une brève entrevue.

Et d’ajouter : «Le nouveau projet de la polyclinique de Souahlia vient d’être lancé. Cependant, les deux autres polycliniques de Béni-Ouarsous et Amieur n’ont pu être lancées, à cause, pour le premier projet, de l’arrêt de l’entreprise de réalisation pour un problème de changement du site et le nouveau choix de terrain en cours, et en raison du désistement du bureau d’études, de l’entreprise chargée de la réalisation et le changement du terrain pour le deuxième projet. Mais la relance des procédures de ces deux polycliniques de Béni-Ouarsous et Amieur est en cours». La même source soulignera que dans le cadre d’une meilleure couverture sanitaire quantitative et qualitative, quatre unités médicochirurgicales sont en cours de réalisation à l’hôpital de Sebdou (cette unité de 50 lits est achevée, il lui manque un scanner), à l’hôpital de Ghazaouet (de 50 lits, achevée et non équipée), au Centre hospitalo-universitaire de Tlemcen (de 100 lits). « Cette unité médicochirurgicale du CHU de Tlemcen, dont le taux d’avancement des travaux est de 55%, va résoudre les problèmes posés à l’urgence actuelle. Mais ce projet de réalisation connaît des contraintes de manque de crédits de paiement », a expliqué M. Salah Rachid, qui a en outre souligné qu’une autre unité médicochirurgicale, en attente d’une réévaluation, n’a pu être lancée par manque d’autorisation de programme (AP) et des crédits de paiement. Il faut souligner dans ce contexte que la daïra de Hennaya qui englobe les communes de Zenata, Ouled Riah et Hennaya ne dispose que d’un seul centre de santé trop exigu et bâti dans les années 70 à Hennaya. Malgré leur compétence professionnelle et leur dévouement, les personnels médicaux, paramédicaux et de l’administration éprouvent d’énormes difficultés à offrir les soins aux patients de cette daïra de plus de 36.000 âmes.

La maternité de cette structure de santé est trop exiguë et ne répond guerre aux normes requises en matière de sécurité et qualité pour la prise en charge des parturientes et des nouveau-nés en constante augmentation ces dernières années. De nombreuses spécialités primordiales à la population de Hennaya sont quasi absentes dans ce petit centre de santé très saturé.

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Tiaret: Près de 10 milliards de dinars pour les travaux publics

Wed, 01/23/2019 - 09:53

El-Houari Dilmi

Le secteur des travaux publics dans la wilaya de Tiaret se taille la part du lion en matière de ressources financières avec un pactole de près de 10 milliards de dinars, dédié à la réhabilitation du réseau routier et l’ouverture de nouvelles voies de communication. En effet, un budget de plus de 600 milliards de centimes a été alloué à la capitale des hauts-plateaux de l’ouest pour sa connexion avec l’autoroute Est – Ouest à hauteur des localités de Khémis Miliana et Relizane sur une distance de 100 kilomètres, selon le wali, M. Abdesslam Bentouati.

Le même responsable a également annoncé que sur les 351 milliards de centimes alloués aux projets d’amélioration et de requalification urbaines du chef-lieu de wilaya, 167 milliards seront consacrés à la reprise du réseau routier intramuros, et 32 autres milliards consacrés à la réhabilitation du chemin de wilaya N° 11 reliant les communes de Mechraâ-Sfa et Djilali Benamar sur une distance de 31 kilomètres.

Le wali a également annoncé qu’une enveloppe de 100 milliards de centimes a été dégagée par le ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville pour trouver une solution définitive au sempiternel problème des éboulements rocheux à l’entrée nord-ouest de la ville de Tiaret, à hauteur du col de Guertoufa. Les travaux, qui démarreront prochainement, doivent procéder à l’installation de plaquages (pose de grillages et de tiges) et le broyage des gros blocs de pierre sur une distance de quatre kilomètres afin de stabiliser les parois rocheuses et éviter ainsi les éboulements.

En mai dernier, le tronçon reliant la localité de Guertoufa à la ville de Tiaret est resté fermé au trafic automobile pendant une semaine, en raison d’éboulements rocheux, une véritable avalanche de grosses pierres, qui avaient endommagé une voiture et causé de grands tracas aux usagers de la route, obligés de faire un long contournement.

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Disparition d’Emiliano Sala: les recherches ont repris

Wed, 01/23/2019 - 09:49

Toujours sans nouvelle d’Emiliano Sala depuis lundi soir et son départ de Nantes vers Cardiff en avion de tourisme, la police de Guernesey a repris les recherches ce mercredi aux environs de 8h30.

« Deux avions ont décollé et mèneront des recherches dans une zone ciblée où nous pensons qu’il y a le plus de chances de trouver quelque chose, basé sur l’analyse des marées et de la météo », a déclaré le porte-parole de la police anglaise.

1/2

23rd January
7.30am update.
We have resumed searching. Two planes are taking off & will search a targeted area we believe has the highest likelihood of finding anything, based on review of the tides and weather since it went missing.

— Guernsey Police (@GuernseyPolice) 23 janvier 2019

2/2

Coastal areas around Alderney and off-lying rocks and islands will also be searched from the air.

Updates will be provided once information is available

— Guernsey Police (@GuernseyPolice) 23 janvier 2019

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El-Bayadh: Saisie de kif, un mandat de dépôt

Wed, 01/23/2019 - 09:43

H. M.

  Agissant sur information, les éléments de la BRI relevant de la sûreté de la wilaya d’El-Bayadh ont interpellé un individu en possession de cinq plaques de kif traité, totalisant 479 grammes, et d’une importante somme d’argent lors de la perquisition de son domicile situé dans un quartier sensible de la ville.

Présenté au parquet devant le procureur de la République près le tribunal d’El-Bayadh, cet individu a été placé sous mandat de dépôt et écroué à la maison d’arrêt.

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Chlef: Plaidoyer pour un pôle agricole

Wed, 01/23/2019 - 09:42

Abbad Miloud

Bouazghi Abdelkader ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, était ce lundi à chlef où il a visité des exploitations agricoles et un abattoir, en cours de réalisation. Auparavant, il s’est rendu à la Maison de la culture de Chlef où il a inauguré une exposition-vente, qui s’étalera jusqu’à aujourd’hui. De même, il a procédé à l’ouverture de la 3ème édition des Journées méditerranéennes sur l’agrumiculture ainsi que l’installation officielle du Conseil national professionnel des agrumiculteurs.

Dans une longue allocution, il a rappelé que la filière des agrumes a connu une chute de production due à plusieurs facteurs, parmi lesquels les plus importants sont le vieillissement des plantations, l’irrigation, le conditionnement, etc.. Cette situation a été accentuée par une période de désinvestissement qui a duré jusqu’à 1999, l’agriculture a connu une reprise des investissements, induite par la mise en œuvre, en septembre 2000 du PNDAR (Plan national de développement agricole et rural).

Cette politique vise essentiellement à satisfaire les besoins alimentaires qui sont en hausse, dans une première étape, puis l’exportation de certains produits agricoles permettant un gain en devises grâce à plusieurs actions entreprises par l’Etat, ce qui a permis l’augmentation de la superficie consacrée aux agrumes. Cette dernière passe de 63.180 ha en 2010 à 70.503 ha, en 2018 dans les 32 wilayas qui produisent des agrumes et où celle de Chlef occupe une place honorable. En 2018, la production a atteint 14 millions de quintaux. Le nombre d’emplois permanents, uniquement dans la filière agrumes, a atteint 250.000 en 2018 « Mon souhait est que la production atteigne, à moyen terne, 20 millions de quintaux soit 6 millions de quintaux en plus » dit le ministre.

Concernant la wilaya de chlef dont le taux de couverture des besoins en production agricole est jugé satisfaisant pour plusieurs produits. Le ministre a exhorté les responsables locaux à redoubler d’efforts afin de faire de cette wilaya, un pôle de développement agricole. Dans la commune de Oued Sly, la délégation a visité l’exploitation agrumicole de oued El-Hadj Abed qui s’étend sur une superficie totale de 91ha et produit 3variétés d’agrumes. Les propriétaires de l’exploitation ont demandé au représentant du gouvernement une superficie supplémentaire « Si vous nous aidez, sachez que nous possédons tous les moyens modernes pour atteindre des résultats performants » ont-ils assuré. Le ministre a indiqué que l’Etat est disposé à prendre en charge toute proposition pour aider à atteindre des résultats meilleurs.

Dans la commune d’Oum Drou, il a visité un abattoir en cours de réalisation qui prévoit une capacité d’abattage quotidienne de 100 bovins et 500 ovins. Les travaux ont débuté le 23 février 2018 et la structure sera opérationnelle, la fin du mois de mars prochain. Le nombre de postes permanents prévu est de 30 et passera à 100 à la fin du mois de mars. Dans la commune de Oued Fodda, plus précisément à Bir Saf- saf, le ministre a visité la SPA pépinière de Berradji Mohamed réalisée en partenariat. Elle s’étend sur une superficie agricole totale de 286 ha dont 248 ha de superficie utile. Le directeur de la SPA, dans sa présentation, a insisté sur l’ambitieux plan d’action de l’exercice en cours.

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