Par Cassim KETFI.
Une image du Samsung Galaxy S10+ qui semble provenir des bureaux de la marque a été diffusée sur le web. Elle montre bien le nouveau design du smartphone, avec notamment son écran doublement percé.
Le Samsung Galaxy S10 sera bientôt dévoilé, et les fuites autour du smartphone se multiplient. Le site 91Mobiles a mis la main sur une nouvelle image, qu’il affirme être un rendu presse officiel de Samsung.
Un écran doublement percéL’image montre les faces avant et arrière du Galaxy S10+. La qualité de l’image permet de souligner les bords assez fins et uniformes tout autour de l’écran. On remarque une nouvelle fois la présence du bouton Bixby en plus des boutons de volume et d’alimentation du téléphone. Sur l’écran de verrouillage, on peut noter la date du vendredi 8 mars, qui correspondrait à la date de sortie du téléphone.
Rendu presse supposé du Galaxy S10+
Ce qui saute aux yeux, c’est surtout les deux capteurs photo à l’avant.
Si ces images sont avérées, alors la barre de notification ne sera pas alignée avec les capteurs du Galaxy S10+. On peut noter sur l’autre côté de l’image, la présence des trois capteurs photo pour la première fois sur un smartphone haut de gamme de la marque.
Difficile de tirer d’autres éléments de ces images, d’autant que l’on connait déjà presque toutes les caractéristiques du smartphone.
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Des écoles fermées, des vols et des trains suspendus, 16.000 sans-abri mis à l’abri… Un froid extrême frappe depuis plusieurs jours le nord des États-Unis, et notamment la ville de Chicago. Au moins huit morts sont à déplorer.
Des millions d’Américains continuaient jeudi à subir des températures polaires dans le nord des États-Unis, forçant les autorités à fermer les écoles, à suspendre avions ou trains et à ouvrir des centres d’accueil d’urgence pour les plus vulnérables. Cette brutale vague de froid, provoquée par un vent polaire venu de l’Arctique, a causé la mort d’au moins huit personnes, selon les médias américains. Les températures ressenties ont chuté encore plus bas que moins 45°C dans le Midwest septentrional. La poste américaine, le US Postal Service, a indiqué continuer à suspendre sa distribution de courrier jeudi dans plusieurs États.
Face à cette «masse d’air arctique sans précédent», affectant quelque 60 millions de personnes, les populations touchées sont encouragées à rester à l’abri chez elles. Dans la région des grands lacs, ces conditions météorologiques inhabituelles ont provoqué des phénomènes naturels surprenants. Des blocs de glace ont envahi les canaux de la ville et les rives du lac Michigan gelées, baignant sous le soleil et recouvertes d’une brume provoquée par la différence de température entre l’air et l’eau. Des parties des chutes du Niagara étaient même gelées.
À Chicago, la troisième ville du pays surnommée la «ville des vents», il a fait mercredi jusqu’à -30 degrés en matinée et -26 dans l’après-midi. Les températures les plus basses étaient attendues dans les premières heures de la journée jeudi.
«Nous avons affaire à un froid historique, de toute évidence», a jugé le maire de Chicago Rahm Emanuel lors d’une conférence de presse mercredi soir. «Les températures mettent les vies en danger et nous devons agir en conséquence», a-t-il souligné. «Il y a le froid, et il y a LE FROID!», ont mis en garde les services météorologiques: «un FROID extrême et dangereux». «Je me sens presque comme de la glace, je ne peux plus sentir ma peau», a affirmé à l’AFP Leon Gilbert, 31 ans, qui travaille dans un café du centre-ville déserté par la population. Pour se protéger du vent glacial, les résidents devant sortir se couvraient les yeux avec des masques de ski.
Sur ordre de la gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, les administrations de l’État sont fermées jusqu’à vendredi et les fonctionnaires considérés comme non essentiels sont restés chez eux. Les écoles ont également fermé alors que le mercure devait rester entre -30 et -40°C ce jeudi, selon le NWS. Les employés des chemins de fer de Chicago ont enflammé les rails pour éviter qu’ils ne gèlent et soient impraticables. Tous les trains urbains Metra Electric étaient à l’arrêt mercredi et jeudi, selon la société de transport. «Il y a eu de multiples problèmes avec les câbles (d’alimentation), notamment à cause de la rétractation du métal en raison des conditions climatiques extrêmes», a expliqué la porte-parole de Metra, cité par la presse.
«Restez au chaud»Le trafic aérien est également perturbé. Des milliers de vols intérieurs, en provenance ou à destination des États-Unis, ont été annulés. «Je reste jusqu’à ce qu’on me laisse partir car tous mes vols ont été annulés», plaisantait Brandon Robinson, qui a dû passer une journée supplémentaire dans un hôtel du centre de Chicago. La mairie a lancé sur Twitter le mot-dièse «RestezAuChaud» pour décourager la population de sortir.
Plus de 270 «centres de réchauffement» ont été mis en place dans des bâtiments fédéraux, des centres sociaux, des bibliothèques et même des commissariats de police pour ceux ayant besoin d’un endroit chaud, notamment les quelque 16.000 sans-abri de la ville. Le service de réservation de voitures avec chauffeur Lyft a également offert des courses, jusqu’à hauteur de 15 dollars, pour les clients souhaitant rejoindre ces centres pour se protéger du froid. À Minneapolis et dans sa «ville jumelle» Saint-Paul, de nombreux abris devaient rester ouverts 24 heures sur 24.
Le redoux est prévu dans ces régions pour la fin de semaine tandis que la vague de froid se dirige vers la côte Est. Une chute des températures et des bourrasques de neige étaient ainsi attendues en Pennsylvanie et dans le Maine.
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Comme cela a été indiqué, la nouvelle aérogare d’Alger ne va tarder à connaitre son heure de gloire et ce, en ouvrant ses portes au grand bonheur des usagers de tous bords, puisque son inauguration par le président Bouteflika devrait se faire durant le mois de février de l’année en cours.
Cette oeuvre de grande envergure, qui a coûté la coquette somme de 80 milliards de DA, pourra accueillir 10 millions de voyageurs par an.
Dotée d’infrastructures ultra- modernes et d’in design digne des plus grands aéroports du monde, cette aérogare saura charmer son public et donner un nouveau souffle au secteur touristique mais aussi économique à la région.
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ALGER- Le Niger souhaite bénéficier de l’expérience algérienne en matière d’éducation, d’enseignement et d’alphabétisation ainsi que de formation et d’enseignement professionnels, a indiqué, jeudi à Alger, le ministre nigérien des Enseignements professionnels et techniques,Tidjani Idrissa Abdoulkadri.
« Le Niger souhaite bénéficier de l’expérience algérienne en matière d’éducation, d’enseignement et d’alphabétisation ainsi que d’enseignement et de formation professionnels, notamment après les améliorations apportées par le ministère de l’Education nationale, au sein d’un grand atelier à valoriser », a déclaré le ministre nigérien à l’issue d’un entretien avec la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit.
Après avoir souligné « la convergence des vues entre les deux pays concernant la révision du système éducatif, en tirant profit des expériences des autres pays », le responsable nigérien a salué les efforts consentis par l’Algérie dans ce domaine.
M.Tidjani Idrissa a fait savoir que « son pays souhaite bénéficier de l’expérience algérienne en matière d’éducation à même de raffermir le tissu social et développer la société, notamment les jeunes en proie d’idées extrémistes ».
Pour sa part, Mme Benghabrit a indiqué que cette rencontre avait permis de mettre en exergue « tous les aspects initiés par son département en matière d’amélioration et de mise en œuvre des réformes adoptées par l’Algérie depuis 2003 », citant notamment « les évaluations ayant permis l’identification et le traitement pédagogique des erreurs que les élèves peuvent commettre, aussi bien en linguistique qu’en mathématiques ».
Les deux responsables ont également abordé « le principal atelier initié par le ministère, lié à l’enseignement primaire, pour la consolidation des constantes nationales et la consécration de la dimension nationale algérienne dans les programmes scolaires, à travers l’impression de la première partie de recueils littéraires contenant des textes d’auteurs algériens dans les trois langues (arabe, tamazight et français) », a précisé la ministre.
L’accent a été mis, lors de cette rencontre, sur « l’expérience algérienne réussie dans l’alphabétisation ainsi que la formation et l’enseignement techniques qui ont permis de relancer l’économie nationale des deux pays », a-t-elle poursuivi.
Par ailleurs, les deux parties ont évoqué le programme d’échange entre les régions de Tamanrasset (Algérie) et d’Aghadis (Niger) qui s’inscrit dans le cadre du Comité bilatéral frontalier algéro-nigérien, notamment en ce qui concerne l’enseignement de la langue arabe et de l’éducation islamique et leur rôle dans la lutte contre l’extrémisme.
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Cinquante sept (57) personnes sont décédées et plus de 596 autres secourues durant le mois de janvier, suite à l’inhalation du monoxyde de carbone émanant des dispositifs et appareils de chauffage et chauffe bains, selon un bilan établi jeudi par les services de la Protection civile.
Des erreurs de préventions en matière de sécurité, l’absence de ventilation, le mauvais montage, appareils vétustes et l’utilisation de certains appareils qui ne sont pas destinés au chauffage sont à l’origine de ces drames, rappelle la Protection civile, soulignant que la prévention contre ce fléau reste sa priorité.
Plusieurs campagnes de sensibilisation avec les différents acteurs et partenaires, au profit des citoyens ont été lancées, depuis novembre dernier, par la protection civile afin d’instaurer une culture préventive et réduire le taux de victimes.
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Après trente années d’enseignement à l’École normale supérieure et à l’Institut national d’agronomie, Yasmina Sellam — agronome titulaire d’un magistère en protection de la nature — a rendu son tablier de pédagogue pour porter celui de gastronome et se consacrer à ce qu’elle aime le plus, cuisiner bio et diététique aux saveurs du terroir. En 2011, elle ouvre une table d’hôte, à son domicile à Bouchaoui, qu’elle appelle “Dar Djeddi”. Depuis, elle a lancé une série de produits bio, qu’elle a même réussi à exporter. Il y a deux jours, “épicerie fine”, sa boutique a ouvert ses portes à Saïd-Hamdine. Récit d’une reconversion largement réussie.
“Mélanger des aliments et des ingrédients en appliquant des recettes pour cuisiner, c’est facile”, annonce spontanément Yasmina Sellam, dans un sourire presque indéfectible. “Mais connaître les aliments que nous mangeons, comprendre comment la manière de les cuisiner influence leur goût et surtout comment en tirer le meilleur pour manger sainement, c’est toute une autre histoire”, ajoute l’agronome, devenue depuis quelques années chef cuisinière.
Elle ne cherche pas ses mots en s’exprimant et semble donner un peu de sa personne à chaque parole énoncée. Elle a le contact facile et se confie généreusement et sans filtres. Il n’est pas étonnant qu’elle aime particulièrement les moments de convivialité partagés atour d’une table joliment dressée. Elle peut passer des heures aux fourneaux à la recherche de la bonne alchimie. Elle apprécie les ingrédients frais qu’elle utilise et mélange avec soins.
Puis quand arrive le moment de la dégustation, elle scrute ses invités pour reconnaître dans leur regard, ce plaisir de découvrir des saveurs qui flattent le palais. Elle se plaît alors à leur raconter l’histoire et les particularités de chaque plat.
Son leitmotiv est de “mettre de la science dans les assiettes”, mais aussi d’entretenir un savoir-faire ancestral de peur qu’il se perde. Yasmina Sellam, la soixantaine à peine entamée, déborde d’une énergie qu’elle s’est habituée à consacrer à la prise de parole et à la transmission. Après trente années d’enseignement à l’École normale supérieure et à l’Institut national d’agronomie, Yasmina Sellam — agronome titulaire d’un magistère en protection de la nature — a rendu le tablier en 2009 pour se consacrer à ce qu’elle aime le plus, cuisiner bio et diététique aux saveurs du terroir.
En 2011, elle ouvre une table d’hôte, à son domicile, au fond de son grand jardin, situé sur le tapis verdoyant de Bouchaoui. Elle développe son concept autour du terroir, avec un menu respectueux des différentes régions du pays, qu’elle divise en quatre parties : “Un menu pour la région côtière à base de poissons, des recettes plus consistantes pour les régions montagneuses, un menu citadin constitué des plats connus et reconnus des grandes villes et pour finir les plats typiques du désert”, expose-t-elle.
Après avoir reçu ces premiers convives, son label “Dar Djeddi” prend vie et forme par le bouche-à-oreille dans un Alger avide de cuisine typiquement algérienne, servie dans un cadre authentique et apaisant.
Les repas qu’elle propose, sous le citronnier qui domine son jardin, font très vite sensation, notamment auprès des délégations étrangères en visite dans le pays. À leur contact, elle réalise les préjugés tenaces qui entament l’image d’une Algérie qu’elle veut chaleureuse et accueillante.
Elle prend plaisir à les déconstruire et à défendre une vision de l’Algérie d’antan, qui vacille entre traditions et modernisme sans verser maladroitement ni dans l’une ni dans l’autre.
Dar Djeddi à Miami
Quelques années après l’ouverture de sa table d’hôte, Yasmina a puisé ses recettes dans les produits du terroir pour concevoir une série de préparations bio, proposés à la vente. Vinaigre, compotes, hydrolat, ail noir, tomates séchés, confitures. “Nous avons actuellement une soixantaine de produits disponibles mais je peux étendre et aller jusqu’à 200 préparations”, annonce-t-elle, spontanément. Il y a deux jours, “épicerie fine”, sa boutique a ouvert ses portes à Saïd-Hamdine. En 2016, ces produits ont été mis en valeur aux États-Unis (Miami), lors d’une exposition dont elle parle avec émotion. “Nous avons passé la nuit, mon mari, mon fils et moi à remplir avec une louche ce jus de gingembre dont je tiens la recette de ma grand-mère”, se rappelle-t-elle, en riant.
“Nous avons collé les étiquettes nous-mêmes, une à une”, ajoute-t-elle. Mais avant d’en arriver à ce moment de consécration, elle a dû parcourir un long chemin.
Cette envie de faire des produits du terroir sa matière lui vient de loin. Originaire de Mila, la dame se souvient de ses premiers voyages à l’intérieur du pays, alors qu’elle venait d’avoir son premier emploi. “Spécialiste en bioclimatologie, j’ai été recruté en 1983 au secrétariat d’État aux forêts. J’étais chef de bureau chargé d’installer un réseau de station météo. J’enchaînais les visites de terrain à travers le pays. Comme j’étais la seule femme de la délégation, pendant que mes collègues mangeaient dehors, j’étais toujours reçu dans des maisons”, se souvient-elle.
“J’ai eu de très beaux échanges avec des femmes des quatre coins du pays, c’était extraordinaire, je découvrais des produits, des recettes, l’Algérie dans sa diversité à travers sa gastronomie”, conclut-elle. Cet élan de recherche est vite interrompue par une autre envie dont elle ne se prive pas de vanter les mérites : l’enseignement.
“C’était un choix pris par passion et par conviction : j’aimais être dans la transmission avec mes étudiants, c’était très gratifiant”, confie-t-elle. “Peut-être suis-je un peu narcissique”, lâche-t-elle encore dans un rire, avouant qu’elle aimait capter leur attention et leur parler pendant des heures.
Une forme de militantisme
Pour captiver ses étudiants, elle usait souvent d’humour pour rendre les cours plus “digestes”. Mais elle se souvient avoir ressenti une immense démotivation, lorsque, au fil des années, ses étudiants ont cessé d’être réceptifs à son sens de l’humour. Islamisme oblige. “Il y a eu une rupture dans les esprits qui m’a ôté l’envie d’enseigner”, souligne-t-elle. Elle se souvient d’un étudiant en particulier, qui lui a reproché, en 1995 alors que le terrorisme battait son plein, d’être “une impie”.
C’était la première d’une série d’atteintes du genre. Elles se sont succédé durant plus de dix ans. “Je suis musulmane pratiquante, attachée à mes traditions mais l’obscurantisme me révulse. Je n’ai jamais pu accepter que des étudiants me donnent des leçons de bonne conduite et remette en question ma bienséance au nom de pratiques religieuses venues d’ailleurs.”
Lasse et déçue, l’enseignante jette le tablier et prend sa retraite. Depuis, Dar Djeddi est devenu son subterfuge. Elle y recrée à souhait l’Algérie “perdue”. “Ce qu’on apprend chaque jour dans nos médias n’est pas réjouissant. Nous avons besoin d’espoir.” S’engager dans une telle initiative est justement, pour elle, une forme de militantisme où se joue la survie d’un certain esprit qui ne se raconte presque plus.
F. B.
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Une panoplie d’artistes à l’image de Mustapha Mahfoud, Amel Atbi, Baroudi Benkhedda, Djalil Raïs, Hamza Skandar, Merouane Tribet, Hania Bakhti et Ibrahim Hardbèche animeront ces soirées musicales au grand bonheur des amoureux de la chanson.
La Direction de la culture de Blida organise, du 2 au 5 février prochain, des journées nationales de la chanson engagée, qui auront lieu à la salle des conférences de la wilaya de Blida ainsi qu’au centre culturel de Béni Mered.
C’est une manifestation qui s’inscrit dans le cadre des activités de la Direction de la culture qui tend à revaloriser le patrimoine immatériel dans cette ville notamment la chanson, nous dira Meshoub El Hadj, directeur de la culture, d’autant qu’il s’agit d’un hommage rendu au grand ténor de la chanson moderne algérienne, à savoir le regretté Abderrahmane Aziz.
C’est ainsi qu’une panoplie d’artistes à l’image de Mustapha Mahfoud, Amel Atbi, Baroudi Benkhedda, Djalil Raïs, Hamza Skandar, Merouane Tribet, Hania Bakhti et Ibrahim Hardbèche animeront ces soirées musicales au grand bonheur des amoureux de la chanson engagée. Dans la même perspective, un film documentaire retraçant la vie et l’œuvre du regretté Abderrahmane Aziz sera projeté à l’ouverture de ces journées. Par ailleurs, une exposition de photographies et d’objets appartenant à l’artiste seront exposés.
En outre, un recueillement sur la tombe de Abderrahmane Aziz aura lieu le mardi 5 février au cimetière des Chouhada, à la cité du 13 mai à Blida, en présence de la famille du défunt et de ses amis qui l’ont accompagné tout au long de son parcours artistique.
Rappelons enfin, que Abderrahmane Aziz est décédé le 5 février 1992 à l’âge de 72 ans.
M. Belarbi
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Par M. Kebci .
Week-end politique par excellence que celui qui démarre demain avec pas moins de cinq partis qui tiennent des sessions de leurs conseils nationaux dont le dénominateur commun est le scrutin présidentiel, ceci en sus de la réunion de la nouvelle Alliance présidentielle.
Intense activité politique que celle annoncée pour ce week-end. Avec comme point de fixation pour le RND, le RCD, le FJD, le TAJ ou encore le MPA, la plus que probable adoption de positions claires à l’égard de la prochaine élection présidentielle tant tout ce beau monde observe, jusqu’ici, une sorte de réserves et d’attentisme.
Alors que Abdelaziz Bouteflika n’a pas encore annoncé sa candidature, le RND, le MPA et TAJ devront certainement adopter la position le moins que l’on puisse dire, la plus explicite jusqu’ici. Un ex-parti unique dont le coordinateur de l’instance de gestion des affaires a annoncé la mise sur pied d’une instance pour préparer la participation à l’élection présidentielle et l’organisation d’un grand meeting, le 9 février à Alger, pour lancer officiellement la campagne électorale visant à «réélire» le candidat du parti dont «vous savez le nom», en s’adressant aux parlementaires du parti. «On va constituer une commission pour collecter les signatures», a déclaré le coordinateur de l’instance dirigeante du FLN». «Nous avons les signatures des élus sur le plan national et local. Mais nous avons également (à collecter), et ce qui nous importe le plus, les signatures des enfants du peuple algérien», a-t-il encore ajouté.
Dans la foulée, Moad Bouchareb a également annoncé la tenue, samedi, d’un sommet de l’Alliance présidentielle pour, selon lui, «coordonner» la campagne électorale.
Des annonces qui supposent que les conseils nationaux du RND, du MPA et du TAJ, prévus successivement ce jeudi, demain et après-demain, devront officiellement entériner la candidature de Abdelaziz Bouteflika comme jamais fait auparavant, le parti que préside Amara Benyounès s’étant même «distingué», jusqu’ici, du reste de l’allégeance en réservant son ultime position une fois tous les éléments de la situation en notre possession», comme n’a jamais cessé de le professer l’ancien ministre du Commerce.
Ahmed Ouyahia, qui animera samedi sa traditionnelle conférence de presse qui suit chaque session du conseil national du RND, devra certainement en dire un peu plus sur le sujet.
Ceci pour le camp de l’allégeance alors que du côté de l’opposition, le RCD et le FJD devront à coup certain adopter une position commune, soit le boycott du rendez-vous du 18 avril prochain. Le conseil national du parti que préside Mohcine Belabbas, qui doit se réunir demain en session ordinaire, ne manquera certainement pas d’entériner cette bouderie qui ne serait que la suite logique de ce que le parti a développé comme discours et littérature politiques ces derniers temps.
Il en est de même pour le conseil consultatif national du front que préside Abdallah Djaballah qui devra, également, faire sien ce mot d’ordre de boycott déjà adopté la semaine dernière par le FFS dans l’attente de probables nouveaux adeptes, surtout parmi ceux qui avaient misé sur le renoncement du président de la République à briguer un cinquième mandat de suite.
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La police financière italienne a annoncé jeudi la saisie dans le port de Gênes (nord-ouest) de plus de deux tonnes de cocaïne pure d’une valeur d’environ 500 millions d’euros en provenance de Colombie et destinée à l’Espagne.
Cette saisie « représente la plus importante réalisée en Italie ces 25 dernières années », ajoute la police dans un communiqué, précisant qu’elle est le fruit d’une collaboration avec les autorités colombiennes, espagnoles et britanniques.
La drogue saisie le 23 janvier se trouvait répartie dans 60 sacs à l’intérieur d’un conteneur sur un navire parti de Colombie. Ce navire avait fait escale à Gênes et devait repartir pour Barcelone, en Espagne, où la drogue aurait été déchargée pour être vendue sur le marché européen, selon la même source.
La police financière italienne avait annoncé mercredi une autre importante saisie dans le port de Livourne, en Toscane, avec plus de 640 kg de cocaïne d’une valeur d’environ 130 millions d’euros.
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Par Louiza Ait Ramdane.
L´Algérie est confrontée, ces dernières années, aux effets dévastateurs des inondations qui affectent aussi bien le nord que le sud du pays. Elle compte pas moins de 689 sites inondables, dont 233 présentent un risque très élevé.
L’Algérie, qui fait face aux problèmes épineux des inondations, compte se doter d’un plan d’action. Pour ce faire, il aurait fallu d’abord élaborer une cartographie des zones inondables et mettre par la suite des programmes d’actions de prévention contre ce phénomène qui continue à causer des dégâts matériels et humains à chaque goutte de pluie qui tombe.
Les zones les plus exposées aux risques d’inondations sont situées dans les régions nord, est et sud du pays. À noter que le sud du pays se distingue par l’apparition de crues très rapides, causant de sérieux dégâts. A l’orée de chaque hiver, les populations vivent le calvaire. A la moindre goutte de pluie, les villes se transforment en épreuves titanesques. Rues gorgées d’eau, boue, gravats jonchant la chaussée et bloquant la circulation automobile, des inondations, des oueds en furie, sont le lot des habitants de la ville. Cette situation qui se répète est due généralement à l’inexistence de réseaux d’évacuation des eaux de pluie ou à leur vétusté.
Intervenant sur les ondes de la Radio nationale, la directrice de l’assainissement et de la protection de l’environnement au ministère des Ressources en eau, Nora Frioui, a fait état d’un plan d’action pour prendre en charge, en urgence, ces zones à haut risque. Ce plan de lutte contre les risques d’inondations a été élaboré pour 30 sites pilotes en attendant sa généralisation à l’ensemble des autres sites. «Nous sommes en train d’élaborer des Plans de prévention des risques d’inondations (PPRI) qui comportent un ensemble de mesures, notamment sur l’urbanisation», assure-t-elle. Des plans qui peuvent exiger, note l’invitée de la Chaîne 3, la destruction de certaines habitations en danger et l’aménagement d’autres pour leur adaptation à ces zones. Les plans en question recommandent la destruction des habitations implantées dans ces zones à risque et l’aménagement d’autres pour parer à ces mêmes risques.
Sur les récentes inondations enregistrées à Annaba, l’invitée de la Chaîne 3 indique qu’elles ne seraient pas particulières à l’Algérie mais à l’ensemble des pays méditerranéens qui souffrent du même phénomène. S’attardant sur le cas d’Annaba, elle rappelle que «le BMS annonçait 40 mm de pluie alors qu’on en a reçu 140 mm équivalent à 51 jours de pluie».
Pour la même responsable, il n’y a pas lieu de chercher le coupable mais il faut mettre en place de nouveaux mécanismes pour éviter que ce genre de phénomènes naturels et aléatoires n’occasionnent plus de dégâts. Elle a rappelé, à ce propos, que plusieurs mesures ont été adoptées par le passé, comme la réalisation de 200 ouvrages visant la protection d’une centaine de villes. «Ces ouvrages sont là et ils participent à l’atténuation de l’ampleur des dégâts, mais il faudrait améliorer la prévision par le renforcement de la coordination, veiller à l’entretien des ouvrages et surtout arrêter l’urbanisation anarchique», recommande-t-elle.
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L’offre nationale de ciment continue à progresser avec des volumes de production qui dépassent aussi bien les prévisions que la demande locale.
Le dernier exemple en la matière nous vient de la Société des ciments d’Aïn Touta (Scimat), à Batna, qui prévoit une production de plus 1,120 million de tonnes de ciment en 2019, soit un volume qui dépassera de «loin» les objectifs tracés préalablement, a indiqué le P-dg de l’entreprise, Meftah Bey.
Après avoir produit 1,128 million de tonnes en 2018, Scimat, appartenant au Groupe industriel des ciments d’Algérie (Gica), «s’emploie à dépasser les objectifs tracés pour 2019», a souligné M. Meftah, avant de revenir sur les capacités et les objectifs de la société qu’il dirige.
La société, qui jouit d’une expérience de 32 ans, ambitionne de mettre à profit cet acquis pour répondre «aux besoins du secteur du bâtiment en matière de ciment, gravier et sable», a-t-il indiqué, mettant en avant le réseau commercial dont dispose l’entreprise qui lui permet d’écouler un million de tonnes de ciment, produit annuellement, à travers ses différentes unités commerciales et points de vente de la wilaya de Batna, des wilayas limitrophes et du sud-est du pays jusqu’aux frontières algéro-libyennes dans les wilayas d’Illizi, Ouargla, Adrar et Tamanrasset.
«Cette cimenterie a de tout temps respecté ses engagements s’agissant de l’application des normes mondiales de qualité dans les domaines de l’environnement, la santé et la sécurité, pour le développement durable», s’est réjoui le même P-dg, évoquant à l’occasion, un système administratif intégré selon les normes mondiales que Scimat est en train de développer, en plus de l’acquisition d’un filtre pour un montant de 1,20 milliard de dinars dans le cadre de la poursuite des programmes de modernisation et d’investissement visant la réduction de la pollution et la préservation des ressources naturelles.
Les capacités de production de l’entreprise, tout comme celles des autres unités du groupe public Gica, se sont sensiblement renforcées ces dernières années, faisant passer l’Algérie du statut de gros importateur de ciment à celui d’exportateur de ce produit. Mais pas que ça. Additionnée à la production d’autres intervenants dans la filière, dont principalement Lafarge-Holcim, la production nationale de ciment a commencé à grimper pour atteindre des pics qui permettent au pays de ne plus recourir aux importations à partir de 2017.
Par la suite, elle a carrément explosé. Et il est attendu qu’elle atteigne les 40 millions de tonnes en 2020, dont 10 millions pourraient être exportées. En attendant, quelques opérations d’exportation de ciment ont déjà été réalisées par Gica et Holcim Lafarge, en 2018, en direction de l’Afrique de l’Ouest. Sauf que les quantités exportées ne suffisent pas à absorber les énormes volumes supplémentaires qui mettent l’offre dans une configuration de surabondance, aux risques et périls de producteurs d’une matière difficile à stocker, mais aussi à exporter. Il y a sans doute une surproduction de ciment en Algérie.
Et c’est visiblement l’une des raisons qui a poussé les pouvoirs publics à appliquer le seuil maximum de 200% de droit additionnel provisoire de sauvegarde (Daps) appliqué pour l’importation de différents types de ciment qui, faut-il le préciser, sont les seuls produits sur lesquels est appliqué ce taux sur les 1 025 figurant sur la liste des marchandises récemment autorisées à l’importation, après leur suspension en 2018.
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Lors de son intervention tout récemment à la Télévision, la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit, est revenue sur sa décision et envisage le lancement officiel d’un concours de recrutement dans le corps de l’Éducation nationale pour l’année prochaine.
Cette décision a été prise conformément aux instructions du gouvernement, sachant que dans un passé récent, la ministre avait signalé qu’il n’y aurait pas de concours de recrutement d’enseignant durant l’exercice 2019.
Benghabrit rappelle que son département continue d’exploiter la liste d’attente nationale des enseignants admis au concours de recrutement des enseignants des cycles moyen et secondaire au titre de l’année 2017.
Elle rappelle également qu’en préparation de la rentrée scolaire 2019/2020, le ministère poursuit toujours l’exploitation de la liste d’attente nationale pour le concours de recrutement des enseignants du cycle primaire au titre de l’année 2018. Elle précisera que cette opération prend fin en décembre 2019. Le nombre d’enseignants diplômés sortant des écoles supérieurs demeure insuffisant, soit entre 5.000 et 6.000, ce qui ne permet pas de pallier le déficit enregistré en la matière dans les établissements scolaires.
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Le président syrien, Bachar al-Assad, a salué mardi les résultats de la réunion du Haut comité mixte syro-iranien tenue la veille et couronnée par la signature de 11 accords, dont l’accord de coopération économique et stratégique de longue durée, soulignant que ces accords renforceront la fermeté de Damas et de Téhéran faisant face à «la guerre économique» provoquée par certains pays occidentaux.
Le président syrien a examiné mardi avec le premier vice-président de la République islamique iranienne, Eshaq Jahangiri, et la délégation qui l’accompagne, les résultats de la réunion du haut Comité mixte syro-iranien qui s’est déroulée la veille à Damas et les 11 accords conclus au terme de cette rencontre, dont l’accord de coopération économique et stratégique de longue durée, a rapporté l’agence Sana. «Les deux parties ont exprimé leur satisfaction des résultats de la réunion et affirmé la nécessité de poursuivre l’action pour l’exécution rapide des accords conclus», a ajouté l’agence syrienne.
Le président al-Assad a affirmé, à l’occasion, que «ces accords et projets de coopération ont une dimension stratégique et constituent un fondement économique solide capable de renforcer la fermeté de la Syrie et l’Iran face à la guerre économique menée contre eux par certains pays occidentaux», a précisé la même source.
Mettant l’accent sur l’importance de l’intensification des efforts conjoints dans cette phase pour faire échouer les tentatives de certains pays visant à affaiblir les deux Nations, al Assad a souligné que «Damas et Téhéran vont continuer à défendre leurs décisions indépendantes et la volonté de leurs peuples, notamment après avoir réussi à éliminer le terrorisme».
De son côté, M. Jahangiri a indiqué que sa visite et la tenue de la réunion du Comité mixte à Damas est «un message au peuple syrien et à la communauté internationale que l’Iran, qui s’était tenue solidaire aux côtés de la Syrie dans la guerre contre le terrorisme, se tiendra aussi à ses côtés dans la phase de la reconstruction du pays». Le premier vice-président iranien a relevé que «les succès réalisés par la Syrie dans la lutte contre le terrorisme avaient contribué à éviter la propagation de ce phénomène dans d’autres pays».
Le président al-Assad et le responsable iranien ont réitéré que les «relations solides et enracinées entre les deux pays avaient constitué durant ces derniers années un facteur de force pour les deux peuples», mettant l’accent sur la nécessité de «poursuivre cet effort pour développer leurs économies et éliminer tous les obstacles qui entravent le développement de la coopération bilatérale». Les accords conclus entre la Syrie et l’Iran interviennent dans un contexte favorable marqué par le retour de la stabilité en Syrie, alors que d’intenses efforts son menés pour relancer l’économie du pays à travers la multiplication des projets d’investissements et de reconstruction du pays.
Les accords signés lundi concernent notamment la réhabilitation de certaines infrastructures, à l’instar des ports de Tartous et de Lattaquié, mais aussi la construction d’une grande centrale électrique d’une capacité de 540 mégawatts.
En août dernier, l’Iran et la Syrie avaient signé un accord de coopération militaire, devant permettre de renforcer les capacités défensives syriennes face aux tentatives extérieures d’atteinte à son intégrité territoriale et à la destruction des infrastructures publiques du pays.
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Macir Vie mise son développement sur le digital. Vous avez l’objectif de devenir la première Insurtech en Algérie. Le développement des Insurtech dépasse le simple accès aux produits d’assurance grâce aux moyens d’e-paiement. Qu’est ce que cela peut induire en matière d’organisation et d’offre de produits de la compagnie ?
Effectivement, l’objectif est clair et le cap est donné pour les 05 prochaines années, nous souhaitons devenir la première InsurTech Algérienne, cela signifie que tous nos produits devront être disponibles sur notre site web et permettront aux clients de vivre une expérience utilisateur optimale.
En matière d’organisation cela induit une disruption totale de la gestion d’une compagnie d’assurance (vie et/ou dommages) tant sur le volet Souscriptions que sur le volet Gestion des Sinistres. En effet, la réflexion n’est plus du tout focalisée sur la volumétrie des charges d’exploitation, ni d’ailleurs sur la dimension du réseau d’agences sur tout le territoire national, ni même sur la structure administrative de la société. Non, l’organisation est beaucoup plus souple, modulable, plus orientée open innovation, numérisation, digitalisation avec un énorme focus UX (User Experience) mobile et web avec un important effort marketing digital et en termes d’InBound Marketing.
Par ailleurs, la compagnie sera plus en back office avec les clients corporate et plus en connexion avec le client particulier lui évitant ainsi des allers-retours intempestifs. En effet, tout étant digitalisé, cela permet une plus grande fluidité dans les transferts d’informations entre la compagnie d’assurance et le client. Enfin, en matière d’offres de produits cela induit d’abord la mise à disposition des garanties classiques que les compagnies ont le droit de commercialiser et bien évidemment des innovations sur des « micro produits ». Ces derniers sont des garanties à très faible coûts, mensualisés et qui permettent de couvrir les clients avec une assistance incluse.
En conclusion, le client veut plus qu’un service, par nature immatériel, et il ne souhaite plus autant avoir à gérer les remboursements et autres flux. Il veut un service complet qu’il aura payé une seule fois et qui lui apportera tous les services additionnels nécessaires à son bien-être et à la remise en état des biens qu’il aura couvert.
Comptez-vous développer un système d’information susceptible de permettre d’offrir des produits sur mesure pour les assurés ?
Nous avons, depuis plusieurs années, mis en place une société d’engineering informatique dénommée « The Bridge » qui est l’une des rares sociétés en Algérie aujourd’hui spécialisée dans le développement des logiciels de gestion destinés aux compagnies d’assurance vie et non vie.
Cette société est composé d’ingénieurs algériens qui développent pour le compte de plusieurs compagnies privées leur logiciel d’exploitation payable en dinars et dont les coûts sont autrement plus concurrentiels que ceux qui sont donnés par des sociétés étrangères activant depuis de nombreuses années en Algérie, souvent de l’étranger et pas installés dans notre pays.
En fait, nous répondons, à travers cette société aux directives de notre gouvernement de faire appel, notamment dans le cadre de la commande publique, à des compétences algériennes en Algérie et qui par nature n’ont pas besoin de transférer de dividendes. En effet, nous réinvestissons tout ce que nous gagnons dans notre pays, ce qui permet de ne pas engager des frais en monnaies étrangères. Nous voulons montrer, par là même, que nous pouvons être une solution performante et économique pour les compagnies d’assurance en Algérie, d’une part, et que nous pouvons aussi développer des solutions pour des sociétés maghrébines, africaines et pourquoi pas européennes ainsi que mondiales, ce qui nous permettra d’exporter nos services et être ainsi des opérateurs économiques qui captent de la devise pour le compte de notre pays. Ainsi, pour répondre à votre question, nous avons d’ores et déjà développé un système d’information performant qui relie toutes nos opérations de la souscription à la gestion des dossiers sinistres en passant par l’enregistrement et le traitement automatique de toutes les opérations comptables. L’exemple de MacirVie est édifiant à plus d’un titre car nous avons par exemple digitalisé tout le processus de :
Enfin, il serait présomptueux de ma part de vous certifier que nous pourrions offrir des produits sur mesure aux assurés car il y’a des garanties dites « fixes » et d’autres qui peuvent s’adapter aux besoins des clients, sauf que la vraie révolution sera la manière dont le dossier sinistre sera géré et surtout l’impact financier important dont bénéficieront les clients du fait des diminutions importantes des coûts de gestion.
Croyez-vous que la réglementation est aujourd’hui adaptée au développement des Insurtech?
Quand je vois comment notre gouvernement traite la question de l’informatisation des process et la digitalisation de services administratifs comme sur le site du ministère de la Justice pour les certificats de nationalité et de casier judiciaire en ligne ou aussi ce qui se fait par le ministère de l’Intérieur via l’application Idjraati qui vous permets d’accéder à toutes les informations concernant n’importe quelle démarche administrative auprès des services du ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, et enfin tout les efforts déployés par le GIE MONETIQUE et la SATIM pour lancer le E-Payment avec leurs dernières décisions qui permettent désormais non plus qu’aux grands facturiers d’avoir la possibilité d’ouvrir leur site web marchands mais à toutes les startups algériennes de le faire. Toutes ces procédures, pour moi personnellement, me poussent à l’optimisme quand à une réglementation plus motivante. Maintenant, certaines décisions ne sont pas de nature à favoriser l’émergence d’un écosystème numérique. En effet, quand il est décidé de taxer les opérations de commerce électronique ce n’est pas encourageant car nous sommes tous encore « embryonnaires ». Autrement dit, vous étouffez dans l’œuf quelque chose qui peut être un facteur remarquable de croissance économique. Au contraire il aurait fallu défiscaliser ces opérations pour les promouvoir et pousser les jeunes à entreprendre. Cela sans compter que plus vous aurez des startups et du commerce électronique plus vous aurez dématérialisé la monnaie et surtout, vous aurez plus de la traçabilité et une plus grande bancarisation des opérations financières. Mais, ce sont là des sujets qui vont indubitablement revenir vers le législateur qui, je suis intimement convaincu, va appréhender toutes ces problématiques et va les solutionner. Pour cela, il faut juste beaucoup plus de communication et aussi plus d’acteurs dans ce domaine. Donc non, aujourd’hui, la réglementation est en décalage vis à vis des défis que le gouvernement se fixe pour l’entreprise algérienne, mais les initiatives de notre gouvernement, elles, le sont. A un moment ou un autre, ça va et ça doit s’homogénéiser incha’ALLAH. J’ai une entière confiance dans les différents acteurs au niveau du gouvernement
Macir Vie s’est pleinement engagée aux côtés de startups innovantes, notamment en matière d’assistance. Qu’est ce que cela apporte à la compagnie ?
Permettez moi de rectifier, nous nous sommes engagés dans un processus d’entrée en capital sur 04 startups et nous n’avons pas fini le processus de valorisation de ces dernières et nous ne sommes pas donc entrés dans leur capital de manière factuelle, ce sont des opérations qui prennent du temps mais cela ne saurait tarder car au bout d’une année il m’apparait évident de clore ce volet là des négociations et cela se fera d’ici quelque mois Incha’ALLAH.
Vous venez justement de lancer un nouveau produit de soins à domicile « Tabibou Home » en partenariat avec la Startup « Santé Dom ». Pourquoi investir aujourd’hui dans les soins à domicile ?
Santé Dom n’est pas une startup, mais une entreprise qui fournit des soins de santé à domicile qui a une très bonne réputation, composée de professionnels de la santé et un personnel de très haute facture et qui, en plus, connaît aujourd’hui des taux de croissance à deux voire trois chiffres. Nous nous sommes associés pour répondre aux besoins de notre clientèle qui souhaite avoir des médecins qui pourraient se déplacer à domicile ou qui pourraient éventuellement procéder à des opérations d’hospitalisation à domicile.
Il est très important pour nous en tant que compagnie d’assurance vie d’innover sur le plan des services d’assistance et notamment à domicile pour donner plus d’aisance et faciliter la vie à nos clients et cette garantie justement apporte plus de souplesse à nos clients qui pourront désormais souscrire en agence sur 04 wilayas pour l’instant (Alger, Blida, Tipaza et Boumerdes) et sur notre site web (www.macirvie.com) à ce produit, qui permets donc sur simple appel téléphonique de demander le passage d’un médecin pour des pathologies qui ne nécessitent pas un déplacement en hôpital ou en clinique et qui permet aussi de fournir des soins infirmiers au besoin et/ou une hospitalisation à domicile et ce 7j/7 et 24H/24 pour 12.000,00 dinars par An soit l’équivalent de 1.000,00 dinars par mois.
C’est, de mon point de vue, une innovation remarquable dans le secteur de la santé et dans le domaine qui est le nôtre à savoir l’assurance dans sa partie assistance, et nous répondons à une problématique terrain que nous avons identifié auprès de nos clients via nos vecteurs d’écoute, c’est aussi une formidable initiative en direction de notre clientèle. Nous en sommes extrêmement fiers. Enfin, nous répondons aussi à l’exigence du ministère des Finances, Direction des assurances qui nous a été transmise le 07 novembre 2013 nous demandant de faire de telle sorte que « l’Assurance santé soit, ainsi, un instrument privilégié pour un développement des infrastructures de soins nationales ». Et bien, aujourd’hui c’est le cas et nous en sommes fiers et heureux de pouvoir y répondre favorablement.
Dans ce contexte, comptez-vous lancer à terme des produits de complémentaire santé englobant la couverture des soins et aides à domicile ?
Evidemment, c’est même une suite logique d’ores et déjà programmée pour les mois à venir B’rabi incha’ALLAH. Le client étant au cœur de nos préoccupations il va sans dire que nous n’auront de cesse d’innover et d’apporter de nouvelles offres sur le marché au profit exclusif de nos clients, cela est notre ADN.
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La Fédération algérienne de football (FAF) a renouvelé son contrat avec l’équipementier Adidas pour les 4 années à venir avec de « meilleures conditions financières », a appris l’APS jeudi auprès de l’instance fédérale.
La signature du contrat s’est effectuée à Paris en présence du président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, au siège de la marque aux 3 bandes dans le salon Zinédine-Zidane.
Selon la même source, le nouveau contrat est « supérieur au précédent » et équipera toutes les sélections nationales, masculines et féminines, de toutes les catégories.
LaFAF avait lancé un appel à candidatures national et international le 28 mai dernier pour le choix d’un équipementier sportif pour ses sélections nationales de football (masculines et féminines).
La Fédération algérienne de football était liée depuis janvier 2015 par un contrat « longue durée » avec Adidas. Avant ce contrat, les Verts étaient équipés par les Allemands de Puma, notamment lors des Coupes du monde 2010 en Afrique du Sud et 2014 au Brésil.
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Notre planète a un problème avec le plastique. Une très petite partie des milliards de tonnes produites ont été recyclées,moins de 10 % d’après une récente étude. Le reste termine brûlé, est amassé dans les déchetteries, ou se répand dans les océans. Mais des scientifiques pensent pouvoir changer la donne.
Euronews s’est rendu à Plaisance, dans le nord de l’Italie, où des chercheurs mettent au point un réacteur capable de recycler des déchets jusqu’ici impossibles à traiter. Nous avons visité le laboratoire de gr3n, une start-up fondée par Maurizio Crippa, un inventeur italien persuadé de pouvoir fermer la boucle du recyclage.
Son entreprise représente le cœur scientifique du projet européen DEMETO, dont l’objectif est de redonner vie à des objets du quotidien jusqu’ici condamnés, ne pouvant pas être traités dans les usines de recyclage mécanique.
« Le recyclage mécanique ne fonctionne que sur de très bons matériaux. Des emballages alimentaires. Typiquement, les bouteilles incolores, comme celle-ci. Il permet aussi de traiter des bouteilles colorées, mais pas celle-ci, qui est trop colorée. Il ne peut pas travailler le textile« , explique Maurizio Crippa en montrant une panoplie d’objets anodins.
« On peut produire des vêtements à partir d’une bouteille, mais on ne peut pas produire de bouteille à partir de vêtements. En fait, le recyclage mécanique est un recyclage descendant, c’est du décyclage. Grâce à notre technologie, nous pouvons faire du recyclage ascendant, du surcyclage », assure le PDG, qui raconte imaginé cette technologie au volant de sa voiture il y a quelques années.
La priorité des chercheurs est de parvenir à isoler le polytéréphtalate d’éthylène, plus communément appelé PET. Il s’agit du matériau le plus utilisé dans l’emballage et le textile. Ce processus s’appelle la dépolymérisation.
Dans ce laboratoire, elle est accélérée grâce à un réacteur micro-ondes, qui est l’élément clé de du prototype conçu par l’équipe.
« Il est capable de fusionner les caractéristiques d’un système mécanique avec la force du processus chimique accéléré par des mes micro-ondes en une seule machine« , résume Franco Cavadini, un ingénieur à la tête d’une entreprise partenaire de Gr3n.
Le sésame, c’est un liquide jaunâtre et visqueux, qui sort de la machine. Une fois purifié, on peut extraire de ce dernier les monomères qui composent le PET…. Ce même PET servira à produire du plastique, ou des vêtements. La boucle est bouclée.
Reconnaissance européenneLe projet a remporté le Prix Radar de l’Innovation 2018, remis début décembre à Vienne à l’occasion de l’ICT. Une initiative de la Commission européenne visant à identifier les innovations à fort potentiel commercial.
Les meilleurs inventeurs et entrepreneurs sont venus des quatre coins du continent en Autriche présenter leur vision de la société de demain.
Les recherches de Maurizio Crippa ont séduit le jury, qui a attribué à gr3n le Premier prix. La récompense devrait permettre d’aider l’équipe d’attirer des investisseurs dans la phase cruciale que traverse chaque innovation scientifique, entre le laboratoire et la commercialisation.
Notre planète a un problème avec le plastique. Une très petite partie des milliards de tonnes produites ont été recyclées,moins de 10 % d’après une récente étude. Le reste termine brûlé, est amassé dans les déchetteries, ou se répand dans les océans. Mais des scientifiques pensent pouvoir changer la donne.
Euronews s’est rendu à Plaisance, dans le nord de l’Italie, où des chercheurs mettent au point un réacteur capable de recycler des déchets jusqu’ici impossibles à traiter. Nous avons visité le laboratoire de gr3n, une start-up fondée par Maurizio Crippa, un inventeur italien persuadé de pouvoir fermer la boucle du recyclage.
Son entreprise représente le cœur scientifique du projet européen DEMETO, dont l’objectif est de redonner vie à des objets du quotidien jusqu’ici condamnés, ne pouvant pas être traités dans les usines de recyclage mécanique.
« Le recyclage mécanique ne fonctionne que sur de très bons matériaux. Des emballages alimentaires. Typiquement, les bouteilles incolores, comme celle-ci. Il permet aussi de traiter des bouteilles colorées, mais pas celle-ci, qui est trop colorée. Il ne peut pas travailler le textile« , explique Maurizio Crippa en montrant une panoplie d’objets anodins.
« On peut produire des vêtements à partir d’une bouteille, mais on ne peut pas produire de bouteille à partir de vêtements. En fait, le recyclage mécanique est un recyclage descendant, c’est du décyclage. Grâce à notre technologie, nous pouvons faire du recyclage ascendant, du surcyclage », assure le PDG, qui raconte imaginé cette technologie au volant de sa voiture il y a quelques années.
Maurizio Crippa espère fermer la boucle du recyclage grâce à l’innovationLa priorité des chercheurs est de parvenir à isoler le polytéréphtalate d’éthylène, plus communément appelé PET. Il s’agit du matériau le plus utilisé dans l’emballage et le textile. Ce processus s’appelle la dépolymérisation.
Dans ce laboratoire, elle est accélérée grâce à un réacteur micro-ondes, qui est l’élément clé de du prototype conçu par l’équipe.
« Il est capable de fusionner les caractéristiques d’un système mécanique avec la force du processus chimique accéléré par des mes micro-ondes en une seule machine« , résume Franco Cavadini, un ingénieur à la tête d’une entreprise partenaire de Gr3n.
Le sésame, c’est un liquide jaunâtre et visqueux, qui sort de la machine. Une fois purifié, on peut extraire de ce dernier les monomères qui composent le PET…. Ce même PET servira à produire du plastique, ou des vêtements. La boucle est bouclée.
Reconnaissance européenneLe projet a remporté le Prix Radar de l’Innovation 2018, remis début décembre à Vienne à l’occasion de l’ICT. Une initiative de la Commission européenne visant à identifier les innovations à fort potentiel commercial.
Les meilleurs inventeurs et entrepreneurs sont venus des quatre coins du continent en Autriche présenter leur vision de la société de demain.
Les recherches de Maurizio Crippa ont séduit le jury, qui a attribué à gr3n le Premier prix. La récompense devrait permettre d’aider l’équipe d’attirer des investisseurs dans la phase cruciale que traverse chaque innovation scientifique, entre le laboratoire et la commercialisation.
Franco Cavadini devant le réacteur conçu par gr3n« Le défi en Europe à mon avis, c’est que la transition, de la recherche fondamentale à la recherche appliquée, puis aux centres de recherche des grandes entreprises, puis des grandes entreprises au développement commercial, puis enfin à la mise sur le marché … cela prend beaucoup trop de temps. Nous devons changer cela en Europe. Nous devons créer des raccourcis pour être compétitifs et nous dépasser« , résume Pia Erkinheimo, membre du jury et directrice d’un réseau de business angels.
Un enjeu essentielLa production de plastique explose dans le monde. Augmenter son taux de recyclage, c’est réduire notre dépendance au pétrole, nécessaire à sa fabrication. C’est aussi une opportunité financière pour les industries de l’emballage, du textile et du recyclage.
Parti de presque rien, gr3n peut regarder fièrement l’avenir : la construction d’une machine d’une capacité largement supérieure doit être mise en service courant 2019.
« La phase suivante consistera à construire une usine, d’une capacité d’environ 25 000 tonnes par an. Cette capacité peut constituer une solution pour la collecte de déchets d’une zone urbaine de 2,5 millions d’habitants« , conclut Maurizio Crippa.
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L’Association nationale des commerçants et artisans algériens (ANCAA) qui avait applaudi l’annonce de la levée des interdictions sur les importations, revient à la charge pour avertir sur les risques de l’application du droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS) sur les 1095 produits autorisés à l’importation.
Lors de son passage, ce jeudi dans l’émission L’Invité de la rédaction de la Chaine 3 de la radio nationale, Hadj Tahar Belenouar, président de l’ANCAA déplore «l’application de ces taxes élevées», qui selon lui vont non seulement «ouvrir les portes au monopole» sur le commerce extérieur, mais pourraient surtout «se répercuter sur les prix à la consommation et doper l’inflation».
Ce changement de politique de commerce extérieur, interprète M. Belenouar, traduit un aveu d’échec des mesures de restriction appliquées jusque là dans le but de réduire la facture d’importation et d’encourager la production nationale. «La levée des interdictions sur les importations est une preuve que cette politique n’a pas atteint ses objectifs, puisque nous constatons que la facture d’importation avoisine toujours les 40/45 milliards de dollars et la production nationale n’a pas décollé», déclare-t-il sur les ondes de la radio Chaine 3.
Une deuxième chance pour les producteurs nationaux
Les mesures d’interdiction des importations ont crée «un décalage entre l’offre et la demande» et généré par conséquent une forte augmentation des prix sur le marché local, avance le représentant des commerçants qui n’a pas manqué de pointé du doigt les producteurs nationaux qui n’ont pas œuvré à combler ce vide. Bien au contraire, «en 2018, certains producteurs ont profité de cette opportunité, pour augmenter les prix sans pour autant augmenter la production», regrette-t-il.
Par la taxation des importations, explique-t-il, le gouvernement offre une deuxième chance «en or» aux producteurs nationaux. D’ici fin 2019, met-il en garde, ces producteurs seront pris pour responsables s’ils n’arrivent pas à offrir une production à même de satisfaire les besoins du marché local en produits de qualité compétitive et adapté au pouvoir d’achat du consommateur algérien.
L’invité de la Chaine 3 qui s’est montré plutôt pessimiste quant à la réalisation des objectifs du gouvernement, recommande l’association des partenaires économiques à la prise de décision pour en finir avec ces changements fréquents de législation et de politiques qui perturbent fortement l’économie. Il plaide également en faveur de la mise en place d’un outil d’étude fiable permettant de cerner le marché national et demande aux responsables de prendre à bras-le-corps le marché informel qui représente 40 à 45% de l’économie national.
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GHARDAIA – Un projet algéro-saoudien pour le développement de cultures stratégiques, notamment céréalières, verra bientôt le jour dans la région d’El-Menea (300 km Sud de Ghardaia), a appris jeudi l’APS auprès de la direction des services agricoles (DSA).
Fruit d’un partenariat privé, le projet s’étendra sur une superficie de 5.000 hectares accordés dans le cadre de la concession agricole et sera consacré exclusivement aux cultures stratégiques, céréales et aliment de bétails, a affirmé le DSA, Mustapha Djekboub.
Une cérémonie de remise du titre de concession et du lancement du projet devant générer une centaine d’emplois, a été organisée mercredi à El-Menea, en présence des autorités de la wilaya de Ghardaia et de la wilaya déléguée d’El-Menea ainsi que des deux investisseurs privés, Abdelkrim Bounaâma (coté algérien) et Machaâl Ben Saoud Ben Abdelaziz (côté saoudien).
Véritable pôle d’attraction des investissements agricoles, El-Menea s’impose actuellement comme une zone agricole dynamique en pleine mutation dans le sud algérien, grâce à ses fortes potentialités hydriques souterraines et l’étendue des superficies arables.
La réussite de plusieurs expériences agricoles notamment dans les filières céréalière, oléicole, agrumicole et la production de primeur de pastèque, raisin et melon, ainsi que les plantes aromatiques et médicinale, joue en faveur de l’investissement dans ce secteur à forte valeur ajouté, a-t-on souligné à la DSA.
Elle pourrait attirer des investisseurs dans de nombreux secteurs porteurs, notamment l’agriculture, l’élevage, le tourisme, l’agroalimentaire et les énergies renouvelables, a-t-on estimé.
Plus de 329.600 hectares ont été attribués dans la wilaya de Ghardaïa dans le cadre des différents dispositifs mis en place par les pouvoirs publics, dont 210.000 ha dans le cadre de l’accès à la propriété foncière agricole (APFA) pour 12.936 bénéficiaires et 119.677 ha dans le cadre de la concession (112.505 ha pour 560 investisseurs et 7.172 ha pour 2.268 jeunes), selon les statistiques de la DSA.
Ces derniers ont également bénéficié des différents dispositifs de soutien et d’accompagnement mis en place par l’Etat, notamment en matière de crédits, de raccordement à l’énergie et de mobilisation des ressources hydriques.
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L’Association des entrepreneurs algériens assurent que les entreprises du BTPH souffrent non seulement de créances impayées, mais également de baisse drastique de commandes publiques.
Le secteur du BTPH se débat dans des difficultés d’une grande acuité. Des centaines d’entreprises, essentiellement des PME, sont mises à mal et le risque de mortalité de ces entreprises s’est fortement accru. Une menace sérieuse pèse, par conséquent, sur des milliers d’emplois. C’est ce qui ressort d’un état des lieux effectué par l’Association générale des entrepreneurs algériens (Agea).
L’organisation patronale relève que faute de plans de charges suffisants, de nombreuses entreprises du secteur BTPH sont en difficulté. “Des incertitudes économiques et des risques de trésorerie pèsent ainsi sur l’activité du BTPH”, indique l’Agea, ajoutant que ces entreprises souffrent non seulement de créances impayées, mais également de baisse drastique de commandes publiques. La chute des revenus pétroliers a engendré le gel de la majeure partie des projets non entamés et une insuffisance des crédits de paiement pour les projets en cours de réalisation. “Ces deux phénomènes viennent percuter de front les entreprises de réalisation, qui, dès lors, voient les retards de paiement s’allonger et s’accumuler, pour atteindre pour certaines entre 6 et 8 mois, voire plus, assistant, par ailleurs, au tarissement de la commande publique”, constate l’association patronale, qui évoque un “horizon assombri” dans ce secteur qui “fonctionne au ralenti”.
Selon l’Agea, quelques entreprises seulement se portent relativement bien, “le reste végète”, qualifiant l’environnement dans lequel évolue le secteur de “chaotique”. “Ce sont près de 35 000 entreprises offrant près de 1 000 000 d’emplois directs et indirects qui risquent de disparaître progressivement avec tout le cortège de mises au chômage et de misère que cela implique”, alerte l’association patronale. Cette dernière ajoute que les entreprises du BTPH n’arrivent plus à régler régulièrement les salaires de leurs employés, à payer leurs fournisseurs ni même à s’acquitter de leurs charges fiscales et parafiscales, ce qui leur vaut de lourdes pénalités. “Le rôle des pouvoirs publics dans ce secteur est aujourd’hui plus que jamais nécessaire”, estime l’Agea qui avance plusieurs propositions, pour sauvegarder et valoriser le potentiel de réalisation. L’association patronale demande, entre autres, l’installation d’une commission interministérielle, en vue de revoir le cahier des charges relatif à la promotion immobilière mixte (60% en vente et 40% en location).
Elle plaide pour la création de zones d’activités exclusives au BTPH au niveau des wilayas, en vue de l’implantation de projets d’investissements permettant davantage de création d’emplois. L’Agea souligne, également, la nécessité d’améliorer le climat des affaires par le respect des délais de paiement des créances, pour permettre aux entreprises de respecter leurs engagements et poursuivre la réalisation de leurs projets. L’association propose, aussi, la création d’un observatoire national des entreprises du secteur BTPH.
Meziane Rabhi
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