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Union européenne

La loi climat, une « capitulation » selon Greta Thunberg

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 11:52
La Commission européenne a présenté sa loi sur le climat, destinée à faire de l’Europe un continent neutre en carbone d’ici à 2050. Mais pour l’activiste climatique Greta Thunberg, elle équivaut à une « reddition ».
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Le ministre des finances allemand tente de briser le tabou de la dette

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 11:39
Olaf Scholz (SPD), souhaite briser les règles de frugalité du pays en l’endettant davantage. Mais il nie désormais toute intention de lever le "frein à la dette", un engagement constitutionnel, après s’être attiré les foudres d’autres partis.
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5G : la France ne veut pas se laisser influencer par les investissements Huawei

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 11:32
Bruno Le Maire a indiqué que la volonté du géant chinois des télécoms d’ouvrir une usine en France ne modifierait pas « d’un iota la position du gouvernement sur la 5G ». Un article de notre partenaire, la Tribune.
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Cinq ans après la fin des quotas laitiers, où en sont les exploitations ?

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 11:32
Loïc Guines, président de la chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, le premier département laitier français, fait un portrait tempéré du changement progressif de paysage. Un article de notre partenaire, Ouest-France.
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Pour la santé mondiale, la France doit être au rendez-vous

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 11:31
Six ans à peine après la résurgence du virus Ebola, l’actualité du coronavirus vient rappeler une double évidence : les épidémies ne connaissent pas de frontières et les crises sanitaires menacent plus particulièrement les populations des pays les plus vulnérables.
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Viktor Orbán se réjouit que l’UE « adopte » sa politique de migration

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 10:32
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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Un premier cas de coronavirus au sein des institutions européennes

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 10:23
Dans un email envoyé en interne, l’Agence européenne de défense (AED) confirme que l’un de ses employés a bien contracté le coronavirus et annule par conséquent toutes les réunions dans ses locaux jusqu’au 13 mars par précaution.
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26/2020 : 5 mars 2020 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-766/18 P

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 03/05/2020 - 10:14
Foundation for the Protection of the Traditional Cheese of Cyprus named Halloumi / EUIPO
Propriété intellectuelle et industrielle
La Cour annule l’arrêt du Tribunal selon lequel la marque collective HALLOUMI, réservée aux fromageries chypriotes, ne fait pas obstacle à l’enregistrement comme marque de l’Union européenne du signe « BBQLOUMI » pour les fromages d’un producteur bulgare

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25/2020 : 5 mars 2020 - Conclusions de l'avocat général dans l'affaire C-66/18

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 03/05/2020 - 10:01
Commission / Hongrie (Enseignement supérieur)
Liberté d'établissement
Selon l’avocate générale Kokott, la Hongrie doit traiter de la même manière les établissements d’enseignement supérieur nationaux et étrangers

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En Roumanie, le Don Quichotte de la forêt lutte contre l’abattage illégal

Euractiv.fr - Thu, 03/05/2020 - 09:08
Les forêts roumaines, qui comptent parmi les plus vastes et les plus anciennes d'Europe, sont gravement menacées par l'exploitation illégale massive. Tiberiu Bosutar, un villageois du nord du pays, lutte sans relâche en traquant les mafieux du bois. Un article d’Euroefe.
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Les eurodéputés veulent régler le compte des Etats

Coulisses de Bruxelles - Wed, 03/04/2020 - 18:57

Les négociations budgétaires qui ont débouché sur un échec lors du sommet européen des 20 et 21 février se sont déroulées entre les seuls chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-Sept. Pourtant, en bonne logique, un vingt-huitième acteur aurait dû être invité : le Parlement européen. En effet, depuis le traité de Lisbonne, entré en vigueur en 2009, celui-ci doit donner son accord à la majorité absolue de ses membres au «cadre financier pluriannuel» adopté par le Conseil européen. Certes, malgré ses rodomontades, l’Assemblée de Strasbourg s’est jusque-là lamentablement couchée, tant il est vrai qu’il faut du courage pour s’opposer aux Etats, les vrais maîtres de l’Europe.

Mais une révolution copernicienne a eu lieu lors des européennes de mai 2019 : la fin du duopole PPE (conservateurs)-S & D (socialistes), qui dominait l’Assemblée depuis 1989, et l’irruption sur la scène européenne des centristes de «Renew Europe» (RE), le groupe dominé par En marche. Jusqu’ici, il suffisait d’un appel de la chancellerie allemande aux patrons du PPE et du S & D pour que ces deux groupes, majoritaires à eux deux et largement dominés par les Allemands, votent le doigt sur la couture du pantalon ce qu’avaient décidé les Etats. Cette fois, il n’en ira pas de même. La majorité absolue étant de 353 dans un Parlement comptant 704 élus depuis le départ des Britanniques, il manque 19 voix au PPE (187 élus) et au S & D (147) pour l’atteindre. En réalité bien plus, la discipline de vote n’existant pas, les logiques nationales se superposant aux logiques politiques.

Donc, pour être certain d’obtenir une majorité, il faut compter sur les voix non seulement de RE (98), mais aussi des Verts (67). Car là aussi, les déperditions sont fortes… Pis : sur 704 élus, seuls 263 appartiennent à des partis gouvernementaux (dont 175 seulement du même parti que celui du Premier ministre en exercice). Ainsi, pour la première fois, le PPE a plus de députés dans l’opposition que dans la majorité. Enfin, pour ne rien arranger, l’actuel Parlement est au début de son mandat et est composé à 60 % de nouveaux élus qui doivent faire leurs preuves, alors que celui de 2013 était en fin de mandat et composé de députés vieillissants.

Autant dire que les gouvernements n’ont pas de majorité acquise et pas de relais pour en obtenir une : si la chancelière Angela Merkel appelle Manfred Weber, le patron allemand du groupe PPE, celui-ci ne pourra rien lui garantir. En clair, si les Vingt-Sept parviennent péniblement à un compromis sur le budget, il est fort probable qu’il sera rejeté par le Parlement. Car les Etats vont sans doute encore le réduire pour la deuxième fois depuis 2014, alors même qu’il faut financer de nouvelles politiques, dont le «pacte vert». Or le PPE, le S & D, RE et les Verts exigent un budget à 1,3 % du RNB européen alors que les Etats les plus radins (Allemagne, Autriche, Danemark, Pays-Bas et Suède) ne veulent même pas le maintenir à son niveau actuel, soit 1,11 % du RNB, mais le diminuer à 1 %… La crise budgétaire ne fait que commencer.

Photo: Vincent Kessler. Reuters

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Migrants: quel message la Turquie adresse-t-elle à l'Union européenne?

Coulisses de Bruxelles - Wed, 03/04/2020 - 18:51

Josep Borrell, le ministre des Affaires étrangères de l’Union, l’a annoncé vendredi après-midi sur Twitter : son homologue turc, Mevlüt Çavusoglu, s’est engagé, lors d’une conversation téléphonique, à respecter le pacte migratoire de 2016. Pourtant, un peu plus tôt dans la journée, un « haut responsable turc », probablement le président Recep Erdogan lui-même, avait menacé l’Union de laisser partir les réfugiés syriens qui voudraient trouver refuge sur son territoire, ce qui a déclenché un branle-bas de combat à Bruxelles et dans les capitales européennes.

Car la crise de 2015 a marqué au fer rouge la mémoire européenne : à l’époque, plus d’un million de personnes, essentiellement des réfugiés syriens, ont quitté la Turquie pour se rendre, via la route des Balkans, en Allemagne dans l’espoir d’y obtenir asile. Berlin avait alors, pour éviter une catastrophe humanitaire à ses frontières, accepté de les accueillir. Mais parallèlement, la chancelière Angela Merkel a négocié avec le président turc pour que celui ferme à nouveau ses frontières et accepte de reprendre sur son territoire les étrangers que les Européens refouleraient, le tout en échange d’une aide financière destinée à prendre en charge une partie des coûts engendrés par la présence sur son territoire de 3,5 millions de réfugiés syriens. L’accord a été ensuite endossé par les Vingt-huit de l’époque : la Turquie a reçu depuis 2016 6 milliards d’euros versés en deux tranches.

C’est cet accord que le « haut responsable turc » a menacé de ne pas reconduire. « On est vigilant, mais pour l’instant, il n’y a pas de mouvement notable. Si la Turquie rouvre le robinet, cela ne se fera de toute façon pas du jour au lendemain », note un diplomate européen de haut niveau. Même si les Européens se méfient de l’imprévisibilité d’Erdogan, rares sont ceux qui craignent une réouverture pure et simple des frontières turques.

Car, d’une part, la Turquie n’y a pas intérêt. En 2015, débordée par l’afflux de réfugiés syriens, elle avait voulu lancer un avertissement à l’Union en laissant partir une partie d’entre eux. Mais, très rapidement, elle avait perdu le contrôle d’une partie de son territoire et de ses ports, les filières mafieuses se structurant. Irakiens, Afghans, Égyptiens, Tunisiens, Marocains, ressortissant du Sahel avaient alors afflué vers la Turquie, la route grecque étant moins dangereuse que celle de la Méditerranée centrale… « Ankara peut tenter un coup de sonde pour voir, mais elle n’ira pas plus loin si elle ne veut pas recréer le chaos sur son territoire », veut croire ce même diplomate européen.

D’autre part, l’Union est mieux préparée : « la Grèce de Kyriakos Mitsotakis, le Premier ministre conservateur, n’est pas celle d’Alexis Tsipras et elle luttera contre les passages », assure ce même diplomate. Et elle sera aidée par l’Union » qui a depuis créé un corps de garde-côtes et renforcé Frontex, l’agence européenne chargée d’aider au contrôle des frontières extérieures européennes. « On n’est pas otage de la Turquie contrairement à ce que certains font mine de croire », martèle un responsable français.

Pour l’instant, l’Union se demande surtout ce que veut Erdogan : « on doit attendre pour voir où il veut en venir », explique un diplomate d’un grand pays. Cherche-t-il à obtenir un renouvellement de l’aide européenne, la dernière tranche de 3 milliards d’euros parvenant à échéance ? La Turquie, seule, n’a effectivement pas les moyens d’assumer un nouvel afflux de réfugiés. Or, actuellement, plus d’un million de personnes fuyant les combats d’Idlib sont massés à ses frontières, un chiffre qui risque d’être rapidement multiplié par deux. « Si la Turquie n’ouvre pas sa frontière, ce sera un massacre. Même si elle est en partie responsable de la situation, on ne pas la laisser seule », estime le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique). « Sinon elle ne pourra que laisser les réfugiés se rendre en Europe pour alléger son fardeau ». L’Allemagne en a conscience et, sans attendre les menaces turques, elle a demandé à ses partenaires de prolonger l’aide financière afin de fixer les réfugiés sur place.

Il est aussi possible qu’Erdogan veuille que l’Union fasse pression sur la Russie pour parvenir à une cessation des combats. « On pourrait par exemple suspendre le financement européen du pipe-line gazier Nordstream II, les Russes étant totalement dépendants de nos achats», propose Raphaël Glucksmann. À Paris, on estime que cette politique des sanctions, « la seule politique russe de l’Union », est un échec : « elle n’a pas empêché les Russes de poursuivre leur politique agressive en Ukraine, en Syrie, en Libye ». La France veut donc maintenir le dialogue avec Moscou, car des sanctions « reviendraient à couper la ligne et les Russes se sentiraient libres de continuer à bombarder Idlib ». Mais personne, à Bruxelles, ne croit à une action européenne : « la Russie est un sujet difficile à Vingt-sept tant les divisions sont profondes », souligne un diplomate français. « C’est un sujet franco-allemand », dit-on à Paris. « Un sommet à quatre (Turquie, Russie, Allemagne et France) pourrait être organisé rapidement à Istanbul si des conditions minimales sont réunies : cessez-le-feu, acheminement de l’aide humanitaire, lancement d’un processus politique. Il faut aussi, via l’OTAN, réintroduire dans le jeu les États-Unis ». « En agitant la menace d’une réouverture de ses frontières, Erdogan va obliger les Européens à agir. Il n’avait pas d’autre choix », regrette Raphaël Glucksmann.

N.B.: article paru dans Libération du 29 février

Photo: Bulent Kilic, AFP

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Coronavirus: la « pizza corona » de Groland indigne l’Italie

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 11:41
Une vidéo de l’émission satirique de Canal + Groland, mettant en scène un pizzaïolo toussant et crachant sur une « pizza corona » a suscité l’indignation dans la Péninsule. Canal+ s’est excusé. Un article de notre partenaire Ouest-France.
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Coronavirus : « Si la paralysie perdure, elle peut être très dangereuse pour les entreprises »

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 11:29
En Chine, le coronavirus a mis à l’arrêt de nombreuses chaînes de production et a fait chuter la demande, ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses, souligne Sébastien Jean, directeur du Cepii. Un article de notre partenaire La Tribune.
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La moitié des plages pourraient disparaître en 2100

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 11:25
Près de 50% des littoraux sablonneux pourraient être rayés de la carte d’ici à 2100 à cause du dérèglement climatique, selon une étude publiée le 2 mars dans la revue Nature Climate Change. Un article de notre partenaire le Journal de l’environnement.
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La Hongrie plaide pour une coopération plus étroite de l’UE avec l’Union eurasienne

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 10:59
L’actu en capitales décrypte l’info de toute l’Europe, grâce au réseau de rédactions d’Euractiv.
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Le PDG d’Air France-KLM demande de reporter une nouvelle taxe aérienne pour cause de coronavirus

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 10:34
Le patron du groupe Air France-KLM, Benjamin Smith, a annoncé mardi 3 mars que les projets d’écotaxe sur l’aviation devraient être reportés en raison de l’impact économique du coronavirus sur le secteur.
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L’UE tente d’empêcher l’afflux massif de réfugiés

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 10:12
Dans l’espoir d'empêcher une arrivée massive de réfugiés, la diplomatie européenne se déploie en Grèce et en Turquie. Mais le président turc, Recep Tayyip Erdogan, affirme ne plus vouloir « de l'argent de l'UE ». Un article d’Euroefe.
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L’Italie demande à repousser les échéances de la PAC à cause du coronavirus

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 10:11
La ministre italienne de l’Agriculture, Teresa Bellanova, demande à la Commission de repousser les échéances de certaines procédures administratives de la PAC pour aider les agriculteurs du pays touchés par l’épidémie de coronavirus.
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Pascal Canfin : « l’objectif climat 2030 est dans les mains d’Angela Merkel »

Euractiv.fr - Wed, 03/04/2020 - 07:59
Pascal Canfin défend la loi climat présentée par la Commission européenne ce 4 mars, mais réclame que l’objectif de réduction d’émission de -55 % pour 2030 soit adopté au plus vite. Pascal Canfin est eurodéputé, président de la Commission environnement...
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