Le ministre des Affaires étrangères de la Bosnie Herzégovine, Igor CRNADAK, effectuera du 27 au 29 mai 2018 une visite officielle en Algérie à l’invitation de son homologue Abdelkader Messahel, indique samedi un communiqué du ministre des Affaires étrangères.
Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement du dialogue politique entre l’Algérie et la Bosnie Herzégovine et de la relance de la coopération bilatérale.
Le ministre des Affaires étrangères bosnien et son homologue algérien « auront l’occasion de passer en revue les différents volets de la coopération bilatérale et d’identifier de nouvelles opportunités d’échanges ».
Cette visite « leur offrira également l’opportunité d’échanger sur les questions politiques d’actualité régionale et internationale d’intérêt commun ».
Au cours de cette visite, Igor CRNADAK sera également reçu par plusieurs personnalités et Hauts responsables algériens, souligne la même source.
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Cent-cinquante-deux (152) athlètes représentant 29 pays dont l’Algérie prendront part à l’étape de la Coupe du monde d’escrime de sabre féminin individuel et par équipes, organisé du 1 au 3 juin prochain au palais des sports d’El Menzah à Tunis avec la participation des meilleures joueuses du monde.
Cette coupe du monde qui réunira les joueuses du top 20 mondial dont la championne du monde ukrainienne Olga Kharlan, l’Italienne Rossella Gregorio, numéro 2 mondiale, la Française Cecilia Berder (4e) et la Roumaine Bianca Basco (5e).
L’Italie, la France et les Etats Unis seront les pays les plus représentés dans cette étape de la Coupe du monde, en alignant chacun 12 sabreuses. La Russie, le Japon et l’Allemagne compteront également de fortes délégations composées respectivement de 11, 10 et 9 escrimeuses.
Les autres pays engagés sont: la Corée du Sud (8), la Chine (7), la Tunisie (6), la Pologne (6), l’Ukraine (6), le Canada (5), l’Espagne (5), la Chine Taipei (5), la Turquie (5), la Hongrie (4), la Belgique (4), Singapour (4), Kazakhstan (3), Le Mexique (3), la Grèce (3), l’Egypte (3), la Grande Bretagne (2), l’Algérie (2), la Roumanie (1), le Maroc (1), la République Tchèque (1), le Brésil (1) et l’Inde (1).
Les éliminatoires des épreuves individuelles se dérouleront les 1er et 2e juin au palais des sports d’El Menzah, tandis que les finales se joueront le soir à l’amphithéâtre de Carthage.
Quant aux épreuves par équipes, elles auront lieu le dimanche 3 juin au palais des sports d’El Menzah.
La Tunisie accueillera ensuite du 5 au 9 juin, la 18e édition du championnat d’Afrique des trois armes (filles et garçons).
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L’instabilité et l’insécurité dans le Sahel et en Libye expliquent et justifient les dernières manoeuvres militaires menées par l’ANP dans l’extrême sud du pays.
L’information rapportée par l’APS faisant état de la reddition de terroristes dans le sud du pays renseigne sur la situation prévalant dans le Sahel et la Libye. Quatre terroristes se sont rendus les 21 et 23 mai courant aux autorités militaires de la 6e Région militaire de Tamanrasset.
Il s’agit de terroristes Gharbi Ahmed, Ghedir Abdenasser et Amari Lazhar qui se sont rendus mercredi dernier. Mais l’information majeure est la reddition lundi dernier, d’un chef d’une organisation terroriste activant dans la Sahel. Selon le communiqué de l’ANP, il s’agit du dénommé A. Moustafa, dit Abou Aïssa qui avait rallié les groupes terroristes en 2015.
La reddition de ce chef terroriste est un indice sur les déchirements de chefs de guerre qui écument les régions frontalières de l’Algérie avec le Mali et la Libye où l’instabilité et l’insécurité expliquent et justifient amplement les dernières manoeuvres militaires menées par l’Algérie dans cet immense espace qu’est l’extrême Sud algérien. La présence en force de l’ANP tout au long de ces frontières où les conditions de vie sont extrêmement difficiles, s’explique justement par les risques que constituent la présence de groupes terroristes dans le nord du Mali, la fragilité de la situation au Niger et l’instabilité chronique de la Libye où les tribus et les chefs de milices armées font la loi et se font la guerre.
Selon le journal électronique malien, Niarela Nel, «les groupes terroristes ont mené, durant ces trois derniers mois, 71 attaques sur l’ensemble du territoire (37 contre les forces de défense et de sécurité maliennes, 31 contre la Minusma, dont quatre contre ses sous-traitants, deux contre un groupe armé signataire (de l’accord de paix d’Alger, ndlr) et une contre l’opération Barkhane)».
Le 16 mai dernier, Le département d’Etat américain a annoncé dans un communiqué avoir ajouté le groupe dénommé «Etat Islamique dans le Grand Sahara (Eigs)» à sa liste des organisations terroristes étrangères. Le département d’Etat a également désigné le chef de l’Eigs, Adnane Abou Walid Essahraoui, comme Sdgt (Terroristes internationaux spécialement désignés).
Selon les détails fournis par le département d’Etat, «l’Eigs a émergé lorsqu’Adnane Abou Walid Essahraoui et ses adeptes ont quitté El-Mourabitoune, faction d’El-Qaïda et groupe désigné comme Sdgt et FTO (organisation terroriste étrangère) par les Etats-Unis». Pour rappel, Essahraoui a prêté allégeance a «l’Etat islamique, Daesh» en mai 2015 et, en octobre 2016, Daesh a reconnu avoir reçu la prestation d’allégeance du groupe sous la houlette d’Essahraoui. L’Eigs est principalement basé au Mali et opère le long de la frontière entre le Mali et le Niger.
l a revendiqué la responsabilité de plusieurs attentats sous la direction d’Essahraoui, y compris celui du 4 octobre 2017 perpétré contre une patrouille conjointe américano-nigérienne dans la région de Tongo Tongo, au Niger, qui a coûté la vie à quatre soldats américains et à cinq soldats nigériens. «Ces désignations s’inscrivent dans le cadre d’un plan complet plus large pour la défaite de Daesh en coordination avec la coalition mondiale», précise le département d’Etat.
Les groupes terroristes, affaiblis par l’intervention française dans le nord du Mali, ont réussi à se reconstituer en invoquant la légitimité du «Jihad» contre «la présence» étrangère en «terre d’Islam», un argument que redoutait l’Algérie quand elle a averti contre toute intervention étrangère dans le Sahel et dans la Libye. D’ailleurs, une information rapportée en mars 2017 par le site Ménadéfense, est passée inaperçue.
Selon ce site qui se réfère à Al Zalaqa media, plusieurs groupes terroristes du Nord Mali avaient fusionné créant ainsi une nouvelle organisation appelée «Groupe pour le soutien de l’Islam et des musulmans», dirigée par le chef d’Ansar Edine Iyad Ag Ghali. Outre le chef d’Ansar Edine, la vidéo diffusée par Al Zalaqa Media, nouvel organe de communication de la nouvelle organisation, avait montré Yahia Abu Al Hamam, Emir d’Aqmi dans le Sahara, Mohamadou Kouffa, chef des brigades du Massina, Hassan Al Ansari, adjoint de Mokhtar Belmokhtar, chef des Mourabitoun et Abou Abderrahman El Senhadji le qadi d’Aqmi.
Cette organisation avait prêté allégeance à Aymen Edhawahiri, chef d’El Qaïda, mais aussi au chef d’Aqmi Abdelmalek Droukdel et plus étrangement au chef du mouvement des taliban le mollah Haïbetullah. La présence d’Iyad Ag Ghali était un démenti aux informations sur sa mort, du moins avant mars 2017 alors que l’absence de Mokhtar Belmokhtar à ce conclave important pourrait confirmer sa mort en Libye à la suite d’une frappe française en 2016 à la suite d’informations fournies par les renseignements américains.
La situation en Libye ne s’est pas améliorée même si elle ne fait plus l’actualité puisque la situation au Moyen-Orient lui a ravi la vedette.
Le pays est toujours bicéphale puisqu’il est dirigé par deux gouvernements qui se disputent le contrôle des territoires par instrumentalisation de chef de milices et de tribus qui se font la guerre alors que les islamistes aussi bien les résidus de Daesh que les courants salafistes se restructurent et occupent les terrains militaires pour les premiers et social pour les seconds.
Si les adeptes de Daesh reculent, les salafistes téléguidés par le leader wahhabite Rabiï EL Medkhali, semblent avoir le vent en poupe et risquent à terme de s’imposer comme la première force politico-militaire en Libye. Selon les informations en provenance de la Libye, les disciples d’El Medkhali constituent une force de plus en plus apparente et influente et semblent être l’unique force présente sur l’ensemble du territoire libyen.
Khalifa Haftar, chef de l’armée Libyenne dont l’influence s’étend de la Cyrénaïque jusqu’à la Tripolitaine, au-delà de ses soutiens étrangers, notamment l’Egypte et les Emirats arabes unis, est gravement malade et pourrait même être mourant selon ses proches, d’où une lutte de succession dont les conséquences pour aboutir à l’éclatement de son armée, ouvrant la voie à une aggravation de la situation.
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Reporters sans frontières (RSF) dénonce une sanction infondée et disproportionnée après la suspension, mercredi 23 mai, de La Nouvelle Tribune, quotidien réputé proche de l'opposition, pour une série de propos jugés injurieux et outrageants à l'égard du chef de l'Etat.
"La Nouvelle Tribune, c'est fini. Au suivant", indique ce jeudi 24 mai une caricature en une du journal. La veille, la Haute autorité de la communication et de l'audiovisuel (HAAC) du Bénin a décidé de suspendre le quotidien jusqu'à nouvel ordre pour s'être “engagé depuis plusieurs mois dans un régime injurieux, outrageant et attentatoire à la vie privée du chef de l'État sur la base d'un champ lexical dévalorisant.”
L'article 55 de la loi organique relative à la HAAC précise qu'une telle sanction ne peut être prise qu'en cas de manquements aux dispositions de cette même loi. Or, pour justifier sa décision, la HAAC s'appuie sur des dispositions du code de l'information et de la communication ainsi que du code de la déontologie de la presse béninoise, sur l'injure, l'outrage, le respect de la vie privée et de l'éthique. Et ces textes ne prévoient pas de mesure de suspension pour ce type d'infraction. Joint par Reporters sans frontières (RSF), Adam Boni Tessi, le président de la HAAC a refusé de commenter la décision prise par l'organe de régulation.
“La décision de la HAAC n'est pas fondée, estime Arnaud Froger, responsable du bureau Afrique de RSF. Suspendre un journal sur la base de textes qui ne prévoient pas eux-mêmes cette sanction est une aberration. La sanction apparaît également totalement disproportionnée par rapport aux faits reprochés. Tant que la HAAC aura recours à des suspensions abusives de médias qui critiquent les autorités, elle apparaîtra comme un instrument aux mains du pouvoir.”
Dans un communiqué conjoint, l'Union des professionnels des médias du Bénin (UPMB) et le Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel (CNPA-Bénin) “s'interrogent sur les motivations réelles du président de la HAAC” estimant qu'il n'existe “pas d'arguments valables devant justifier la fermeture d'un espace de liberté”.
En décembre 2016, la HAAC avait ordonné la fermeture de quatre médias audiovisuels réputés proches de l'opposition. Depuis, trois d'entre eux ont pu rouvrir, mais Sikka TV qui appartient à Sébastien Ajavon, principal opposant au chef de l'État, est toujours privée d'antenne malgré une décision de justice de mai 2017 ordonnant sa réouverture. Adam Boni Tessi était déjà le président de la HAAC à l'époque. Il avait lui-même été condamné à une amende de 76 000 euros de dommages et intérêts.
Le Bénin (84e) a perdu six place dans le Classement mondial de la liberté de la presse établi par RSF en 2018.
Reporters sans frontières
«À l’horizon 2030, notre ambition est d’atteindre la 5 ème place mondiale des NOC.»Les équipes opérant dans la région de In Salah se sont vues expliquer la nouvelle stratégie adoptée par Sonatrach, baptisée SH 2030. Abdelmoumen Ould Kadour, présidant une délégation de la Sonatrach, s’y est déplacé pour présenter ladite stratégie.
Le plan SH 2030 est un plan de développement et de transformation de la Sonatrach, qui consiste en 30 initiatives s’articulant autour de trois axes, à savoir la direction, la communication et les relations publiques. Parmi ces initiatives, on trouve l’amélioration des processus RH, de business planning et d’amélioration en forage et en développement de la production. Les initiatives incluent aussi le développement de l’énergie solaire et des ressources non conventionnelles, telles que le gaz de schiste.
«À l’horizon 2030, notre ambition est d’atteindre la 5ème place mondiale des NOC», a déclaré Fethi Arabi, conseiller auprès de Ould Kadour. NOC est un diminutif anglais pour désigner les compagnies pétrolières nationales.
La délégation a profité du déplacement pour suivre le projet «In Salah Gas», projet en partenariat avec BP et Statoil, qui vise à développer les quatre champs de Gour Mahmoud, In Salah, Garet El Befinat et Hassi Moumene, pour maintenir la production à 9 milliards de mètres cubes par an de gaz.
«C’est un effort de proximité et de communication interne que je crois fondamental pour la réussite de notre transformation», a déclaré Ould Kadour, étant «convaincu qu’il est primordial d’aller au contact de nos équipes là où elles se trouvent». Ceci fait partie des initiatives qui rentrent dans le cadre de la stratégie RH 2030, où la communication interne est un axe majeur, y compris avec les bases lointaines.
Le P-DG de la Sonatrach estime aussi «qu’il est primordial […] d’aller au contact de la société civile et jouer, pleinement, son rôle d’entreprise que citoyenne».
Car, il ne faut pas l’oublier, c’est la Sonatrach qui fait vivre l’Algérie, engrangeant la quasi-totalité des revenus en devises et employant plus de 120 000 personnes, ses filiales incluses.
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Djamel Ould-Abbès ne rate quasiment aucune occasion pour afficher sa démarcation du président de l’Assemblée nationale.
Ainsi, ces derniers jours, le patron du FLN a multiplié les «confidences» sur le fait que Saïd Bouhadja ait agi de son propre chef, sans consulter la direction du parti, dans l’élaboration du projet, très controversé, du règlement intérieur de l’APN.
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Après la pédophilie, l’adultère. Des imams, prêchant la bonne conduite à tenir, tombent dans leurs propres pièges en se contredisant dans leurs actes. C’est l’une de ces étiquettes que l’on a tenté de coller insidieusement à un imam d’une mosquée de Aïn El Türck, très précisément dans le quartier de Trouiville.
Les habitants de cette localité ce sont levés du mauvais pied en animant, jeudi soir, une ambiance particulière, mouvementée dans laquelle ils ont mis dans l’embarras un imam connu pour sa probité et son intégrité. Ainsi donc, des habitants, rouges de colère, se sont rassemblés devant le logement de fonction dudit imam demandant sa tête.
Une telle colère est motivée par le fait que l’imam en question a, selon ces «égarés», commis la balourdise de sa vie en introduisant une femme dans son logement de fonction. Un acte qu’il a commis juste après la rupture du jeûne.
Les habitants dudit quartier, déchaînés, n’ont trouvé rien de mieux à faire que d’arroser l’habitation de jets de pierres et autres injures lancées à son encontre, l’accusant…d’adultère. Selon des témoignages oculaires, la tension est montée de plusieurs crans et la situation a failli dégénérer n’était-ce l’intervention des policiers qui ont sauvé l’imam du lynchage.
Dans cette «exfiltration», l’imam était en compagnie de sa «dulcinée», une guide religieuse exerçant dans la mosquée guidée par l’imam. Quelque temps après, ledit imam, n’ayant commis aucun impair ni encore moins un quelconque acte d’adultère, a été relâché. Pour cause, «sa compagne de jeudi soir n’est autre que sa fiancée», a-t-on expliqué.
Ce comportement intégriste est condamnable et inadmissible dans une Algérie qui a payé les frais de l’intolérance et de l’extrémisme religieux.
Comme tout citoyen, l’imam n’a-t-il pas le droit d’inviter sa fiancée avant le mariage? Que peut cacher donc une telle sortie de ces nostalgiques du retour à la case départ, la violence intégriste? Ou alors cette secte de salafistes veut-elle accaparer cette mosquée et en faire sa tribune en sacrifiant ainsi cet imam qui prêchait un islam malekite basé sur la tolérance.
Le cas de Aïn El Türck confirme, une fois de plus, ce désir de domination affichée clairement par ces hommes qui s’autoproclament gardiens de la foi et des valeurs de l’islam authentique. Mais en vérité, ils n’ont aucun lien avec notre vrai islam. On se rappelle les extrémistes du FIS dissous qui ont plongé le pays dans le chaos durant une décennie entière marquée par l’effusion de sang provoquée au nom de l’islam. Au jour d’aujourd’hui, la plaie est toujours béante.
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Ahmed Ouyahia tente une nouvelle approche de communication pour expliquer le contenu de la LFC 2018 puisqu’il y a eu mauvaise interprétation et des spéculations autour du projet non encore examiné en conseil des ministres ! Il justifie les surtaxes sur les documents administratifs et explique que celles-ci n’auront pas d’impact sur le pouvoir d’achat des algériens.
Le premier ministre précise sur son site internet que «le budget de fonctionnement pour 2018 demeure inchangé avec 4 584,4 milliards DA, tel que voté à la fin 2017.
A l’intérieur de ce montant, des rattachements de crédits ont été faits à partir de la provision budgétaire groupée appelée « charge commune» au profit de certains départements ministériels, sans plus».
Le document revient en détail sur les taxes sur les documents administratifs revues à la hausse. Une hausse justifiée pour le premier ministre qui souligne que «les nouveaux tarifs appliqués aux documents électroniques reflètent leur coût».
«L’établissement relevant du ministère de l’Intérieur qui les produit a fourni les prix de revient de chacun de ces documents, et c’est à partir de cela que les nouveaux tarifs de délivrance ont été fixés», ajoute-t-on dans le même communiqué.
Ainsi «la carte nationale d’identité biométrique électronique : son coût est de 2 000 DA et elle sera délivrée pour 2 500 DA. Pour le passeport biométrique électronique : son coût est de 6 000 DA pour le modèle de 28 pages (qui sera délivré pour 10 000 DA) et de 12 000 DA pour le modèle de 48 pages (qui sera délivré pour 50 000 DA).
La production du passeport en procédure d’urgence entraîne un coût plus élevé : 25 000 DA pour le passeport de 28 pages et 60 000 DA pour le passeport de 48 pages. Il en résulte un tarif de délivrance de 50 000 DA et 150 000 DA selon le modèle.
Le coût de production du permis de conduire biométrique électronique est de 10 000 DA pièce, alors que celui de la carte d’immatriculation automobile est de
20 000 DA pièce.
«La carte nationale d’identité, le passeport, le permis de conduire et la carte d’immatriculation, sont tous des documents qui ont une durée de validité minimale de dix années. Ramené à cette durée, le tarif de délivrance de chacun de ces documents devient modeste», justifie le premier ministère estimant que «les critiques sur l’atteinte au pouvoir d’achat des citoyens sont infondées».
Ilhem Tir
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«Les médecins non grévistes jouissent, eux aussi, de leur liberté en s’exprimant au profit ou contre tel ou tel mouvement», a expliqué un juriste.
La direction du Centre hospitalo-universitaire Benzerdjeb (ex-Plateau Michel) vient de hausser le ton ripostant à la hauteur des événements tout en recourant à la justice, le parquet près le tribunal d’Oran. Dans leur requête, ils accusent plusieurs médecins résidents les désignant comme étant les instigateurs des troubles qu’ont connus récemment plusieurs services dudit hôpital.
Dans une telle action judiciaire qu’elle a déclenchée, la direction de l’hôpital juge anormal que les médecins grévistes forcent la main aux non grévistes les incitant, sans sommation, à se mettre de la partie, rejoindre le mouvement de grève. Selon la cellule de communication de l’hôpital de Plateau Michel, il s’agit très précisément des médecins des services de gastro-entérologie, maternité qui ont été empêchés, par les grévistes, de rejoindre leurs postes de travail, tout comme ils ont (les médecins grévistes) envahi les salles des cours, les amphis dudit hôpital.
Pourquoi recourir à un tel procédé, forcer les non grévistes à pénaliser les malades en les laissant pour soi tout en empêchant les médecins non grévistes de se rendre dans leurs services? Plus d’un, notamment des connaisseurs des rouages syndicalistes, estiment que «les résidents sont en perte de vitesse». L’on ajoute que «l’action menée par ces médecins est à bout de souffle vu la démobilisation la marquant de jour en jour».
La meilleure preuve est, selon nos sources, l’échec total de l’action prévue pour la journée de dimanche dernier, d’où l’ire des médecins grévistes en accablant leurs confrères portant les stéthoscopes tout en se rendant aux chevets des malades leur prodiguant les soins dont ils ont besoin.
Le recours au mouvement de protestation est un droit constitutionnel mais sans pour autant qu’il soit imposable aux non grévistes. «Faute de quoi, cela s’appelle de la radicalisation», a-t-on expliqué. «Les médecins non grévistes jouissent, eux aussi, de leur liberté en s’exprimant au profit ou contre tel ou tel mouvement», a explicité un juriste. Vider, de force, les services de leur personnel en empêchant ce dernier d’exercer sa profession constitue une première dans les annales du secteur de la santé», indique la direction de l’hôpital d’Oran expliquant qu’«un tel fait n’est autre qu’un dépassement perpétré contre les choix et les libertés individuelles».
Un tel dépassement a, selon la même source, généré un état d’anarchie générale, d’où le recours à la justice, représentée par le procureur du tribunal d’Oran. «On ne tire pas sur l’ambulance.» Les médecins résidents, en agissant de telle sorte ont franchi le pas de plus. Après avoir paralysé le secteur de la santé pendant près de 7 mois, et boudé les gardes, les défaillants à la profession noble sont passés à l’acte qui ne les honore en rien ni n’honore le métier qu’ils exercent, la médecine».
Ce sont ces quelques échantillons des jérémiades lâchées, très souvent, par des malades ainsi que par leurs familles dont plusieurs sont, depuis quelques mois, en attente, d’être consultés. A quand donc la prise de conscience?
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Un incendie s’est déclaré, vendredi, au niveau d’un centre commercial au centre ville de Tipasa ravageant 15 locaux et sans faire de victimes, a-t-on appris des services de la Sûreté nationale.
« L’incendie, probablement causé par une étincelle électrique, a ravagé vendredi matin presque entièrement 15 locaux du centre commercial +Dubaï+ itué au centre ville de Tipasa », précise la même source.
Les services de la Sûreté nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances et les causes de l’incendie survenu au centre commercial, ouvert depuis à peine un mois, a-t-on ajouté de même source, précisant qu’aucune victime n’a été enregistrée à part des blessures légères à un agent de la Protection civile.
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Le trafic aérien entre l’Algérie et la France connaitra des perturbations samedi et dimanche 26 et 27 mai courant, suite à un mouvement social cyclique des aiguilleurs du ciel de la région du Marseille, a indiqué samedi la compagnie aérienne nationale Air Algérie dans un communiqué.
« Des perturbations attendues sur les vols d’ Air Algérie le samedi et dimanche 26 et 27 mai vers la France et particulièrement vers Marseille, Nice et Lyon et ce en raison d’un mouvement social cyclique des aiguilleurs du ciel de la région du Marseille » a précisé la même source.
Ainsi, les vols d’Air Algérie vers l’Europe survolant la France seront également touchés par ces perturbations, a signalé Air Algérie.
Cependant, la compagnie a pris des dispositions nécessaires afin de minimiser les retards, a-t-elle rassuré.
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Chiffre effarant que celui divulgué par la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme concernant les personnes bénéficiant de l’allocation forfaitaire de solidarité.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Ghania Eddalia, qui s’exprimait, jeudi dernier, au Conseil de la nation dans le cadre d’une séance de questions orales, a, en effet, révélé que plus de 944 000 citoyens bénéficient de l’allocation forfaitaire de solidarité (AFS). Une arithmétique à laquelle il faudra ajouter, a précisé la ministre, 113 431 bénéficiaires inscrits sur la liste d’attente dans le cadre de l’actualisation des listes des personnes démunies ayant bénéficié des différentes mesures et dispositifs d’aide sociale.
Des mesures et autres dispositifs dont la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme a étalé, à l’occasion, les données.
Elle a affirmé, à ce propos, que 243 941 personnes âgées de plus de 18 ans, handicapées à 100% et sans ressources, bénéficient d’une pension mensuelle de 4 000 DA outre la couverture sociale et que 192 347 handicapés, dont le taux d’invalidité est inférieur à 100% et âgés de plus de 18 ans et sans source de revenu, bénéficient également de l’allocation forfaitaire de solidarité (AFS) qui s’élève à 3.000 DA. Ceci en sus de la gratuité du transport ou de réduction de tarifs et de différentes autres aides de solidarité concédées à ces catégories de personnes vulnérables.
Eddalia a également évoqué les efforts déployés par son département concernant l’insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées aptes à exercer une activité professionnelle dans un milieu normal, et ceux liés à la prise en charge des enfants handicapés dont plus de 26 000 sont pensionnaires des établissements et classes spécialisés.
La ministre a également fait part de la révision et de l’actualisation périodiques des listes des bénéficiaires des différents dispositifs d’aide sociale, en vue de l’établissement d’un fichier national de cette catégorie de personnes. Ceci en adoptant des opérations de modernisation en matière de gestion des différents projets sociaux pour «une prise en charge efficace des catégories démunies».
M. K.
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