L’armée d’occupation israélienne a arrêté lundi deux Palestiniens dans la Bande de Ghaza, a rapporté l’agence de presse palestinienne WAFA. L’agence Wafa a indiqué également qu’un char israélien a bombardé plusieurs positions sur la Bande de Ghaza. Cette arrestation survient dans le contexte de l’escalade de l’agression israélienne dans la Bande de Ghaza où l’armée israélienne a tué 115 Palestiniens et en a blessé environ 13 000 autres depuis le 30 mars, premier jour de la « Grande marche du retour ». Vendredi, au moins vingt-cinq manifestants palestiniens ont été blessés lors d’affrontements avec des soldats de l’occupation israélienne le long de la frontière orientale de la bande de Ghaza avec Israël.
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Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont enregistré au cours des 10 premiers jours du mois de Ramadhan un recul du nombre d’accidents par rapport à la même période en 2017, a indiqué dimanche le lieutenant Mouloud Ibazatene, chargé de la communication à la sûreté de wilaya d’Alger.
Le nombre d’accidents de la route enregistrés au cours des dix premiers jours du mois de Ramadhan 2018 dans la wilaya d’Alger a reculé par rapport à la même période en 2017, a déclaré le lieutenant Ibazatene à la presse au niveau d’un barrage sur l’autoroute entre El-Harrach et Ben Aknoun où ont été dressées 2 tentes d’iftar collectif pour les usagers de l’autoroute.
10 accidents de la route ont été enregistrés les dix premiers jours du mois de Ramadhan en 2018 contre 15 accidents à la même période en 2017 grâce à l’intensification des opérations de sensibilisation menées par le services de sûreté, notamment au niveau des barrages.
Pour éviter l’excès de vitesse, notamment juste avant l’iftar, les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont, dans le cadre de la police de proximité, dressé des tentes d’iftar collectif au niveau de certains barrages pour offrir des repas chauds aux conducteurs dans leurs voitures, a-t-on constaté au niveau du barrage sur l’autoroute reliant El-Harrach à Ben Aknoun. Une initiative qui a été saluée par de nombreux conducteurs.
Les citoyens, qui ont pris part aux tables d’Iftar au niveau des tentes, ont salué cette initiative qui leur a permis de ne pas faire de la vitesse et d’éviter les accidents de circulation, d’autant plus que la majorité d’entre eux est venue d’autres wilayas, à l’instar de Sétif, Tébessa, Tizi-Ouzou et autres.
Lors d’une sortie sur le terrain dans les différents quartiers de la capitale et notamment au niveau des barrages sécuritaires du centre commercial d’Ardis, de la cité des Bananiers, du Métro d’Alger et de la Place des martyrs, le dispositif sécuritaire a été renforcé en ce mois sacré dans les différents lieux publics très fréquentés par les citoyens, en vue de les rassurer.
Les éléments de la sûreté mobilisés au niveau des barrages ont été renforcés par des brigades de la police judiciaire qui procèdent au contrôle et à la surveillance en vue de parer à tout éventuel acte criminel.
S’agissant du Métro d’Alger, la brigade de la police judiciaire chargée de sa sécurité a été renforcée par une brigade cynotechnique, ainsi que par des moyens techniques et des caméras en vue de surveiller les colis suspects.
A ce titre, le lieutenant Mouloud Ibazatene a fait savoir qu’à l’occasion du mois sacré de Ramadhan, les services de Sûreté de la wilaya d’Alger avaient déjà mobilisé 7 000 policiers de différents grades en vue de sécuriser les grands centres commerciaux, les places publiques, les marchés et les gares de transport des voyageurs, y compris le tramway et le métro. Des citoyens approchés par l’APS au niveau du Métro d’Alger et de la Place des martyrs ont fait part de «leur satisfaction» de ces mesures, affirmant que la capitale connaît une amélioration de la sécurisation des quartiers et des rues cette année, grâce au renforcement du dispositif sécuritaire «particulièrement dans les endroits très fréquentés par les citoyens».
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La représentation nationale a démarré l'étude du texte de loi portant code pénal en République du Bénin, ce lundi 28 mai. C'était sous la direction du président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji en présence du Garde des sceaux, ministre de la justice Me Joseph Djogbénou.
L'actuel texte de loi dont le Bénin s'apprête à se doter, contient plus de 1007 articles réparti en 03 livres et 05 titres. Il regroupe les textes applicables en matière pénale pour en faire un code unique qui actualise l'ensemble du fond existant. Il réunit et met en cohérence tout ce qui incrimine et réprime toutes las atteintes diverses et permet d'adapter les réponses législatives aux phénomènes criminels contemporains.
Le 1er livre en 03 titres, présente les dispositions générales et traite des généralités relatives à la loi pénale, de la responsabilité pénale et des peines. Le 2ème livre en 02 titres, dans lequel se trouve l'essentiel du code est relatif aux crimes, aux délits et leurs répressions. Le 3ème livre concerne les contraventions de la police. Il prévoit les peines que sont l'emprisonnement d'un jour à deux mois maximum, l'amende, la confiscation, la détermination des contraventions et autres. Le nouveau code en examen est dépouillé des peines dont l'application est contraire à la constitution et aux engagements internationaux de l'Etat. Les peines de travaux forcés sont remplacées par la réclusion criminelle, perpétuelle ou à temps. La peine de mort et certaines infractions sont supprimées du texte.
Selon le Garde des sceaux, le code une fois adopté, sera un outil puissant et pertinent mis à la disposition des autorités judiciaires et de police pour mieux protéger les citoyens et mieux répondre aux dimensions nouvelles du phénomène criminel. Le gouvernement s'engage à assurer une bonne diffusion du texte s'il était adopté, a-t-il affirmé. Ce code pénal sera le tout premier dont va se doter le Bénin depuis les indépendances. Plusieurs dispositions actuelles dans le code en vigueur sont devenues désuètes et compte tenu des nouvelles réalités, il urge d'actualiser l'ensemble des dispositions pénales.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Une réunion qualifiée de «très importante» se tiendra au plus tard mercredi prochain entre le wali d’Alger M. Abdelkader Zoukh et une délégation de l’Union de wilaya d’Alger qui sera conduite par son secrétaire général, M. Amar Takjout. Selon des sources syndicales sûres, «la rencontre qui se tiendra à la demande du wali d’Alger déterminera la suite que la coordination syndicale aura à donner à leur mouvement de protestation».
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – Dans la lettre qui lui a été adressée en date du 24 mai dernier, portant la signature du premier responsable de l’Union de wilaya d’Alger, M. Amar Takjout et dont Le Soir d’Algérie détient une copie, les syndicalistes de l’UGTA, représentant les douze syndicats d’entreprises (EPIC) ont tenu à «exprimer leur inquiétude et leur désarroi sur la décision unilatérale prise sans consultation du partenaire social et a contrario du principe du dialogue social prôné par l’UGTA comme moyen civilisationel pour le règlement des problèmes et qui est même devenu une référence aussi bien sur le plan national qu’international».
«A cet effet, la coordination des EPIC de la wilaya d’Alger rejette dans toute sa dimension cette décision non concertée qui remet en cause les acquis sociaux des travailleurs et travailleuses notamment l’indemnité de départ en retraite et la prime de décès», lit-on dans le document. Mieux, l’Union de wilaya d’Alger a lancé un «appel pour une prise de conscience et de responsabilité afin d’éviter des perturbations qui peuvent engendrer une instabilité sociale». Pour rappel, cette montée au créneau de l’UGTA au niveau de la wilaya d’Alger fait suite à la note du 4 mai 2018 inscrite sous la référence 01662/spw portant protocole d’accord «UGTA – Wilaya du 21 février 2013» et «dans lequel il «remet en cause les acquis des travailleurs des EPIC». «Face à cette situation, les syndicats d’entreprise des EPIC de la wilaya d’Alger au nombre de douze ont tenu à exprimer leur inquiétude et leur désarroi sur la décision unilatérale prise sans consultation du partenaire social et a contrario du principe du dialogue social prôné par l’UGTA», ajoute-t-on.
Pour les cadres syndicaux de l’UGTA, le «wali d’Alger, à travers sa note adressée aux directeurs des EPIC concernées, a agi d’une manière unilatérale et n’a nullement respecté les lois de la République». «Le syndicat est dans son droit et dans son rôle de défendre les droits et les acquis des travailleurs. Maintenant, décider d’une manière unilatérale en retirant les acquis, est une démarche nullement responsable.
Les lois de la République sont promulguées et faites pour qu’elles soient respectées», a fait savoir le secrétaire de wilaya chargé des conflits sociaux, M. Idir Boukabous.
Des propos confortés par le secrétaire général de l’Union de wilaya, M. Amar Takjout, qui nous a déclaré pour sa part, «que dans le cas où il n’y a pas de suite à donner, que chacune des parties assume ses responsabilités». En effet, la réunion d’hier a été ponctuée par une décision selon laquelle l’Union de wilaya d’Alger, en sa qualité de structure-mère des douze EPIC, va saisir le wali d’Alger.
A. B.
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Le ministre de la Santé continue de défendre le projet de loi sanitaire. Mokhtar Hasbellaoui assure que la gratuité des soins est maintenue en dépit de l’introduction d’articles énonçant clairement la possibilité de demander aux usagers des structures de la santé une «contribution financière». Il en profitera pour réaffirmer, une fois de plus, que le maintien du service civil était non négociable.
Nawal Imès – Alger (Le Soir) – Deuxième jour hier des débats autour du projet de loi sanitaire au Sénat. Le ministre de la Santé en a profité pour réaffirmer, une fois de plus, que l’Etat n’avait pas l’intention de se désengager ni de remettre en question le principe de la gratuité des soins.
Les dispositions de la loi garantissent, affirme Mokhtar Hasbellaoui, un accès aux soins pour tous et de «manière égalitaire». La gratuité des soins est un «principe non négociable» car, dit-il, elle constitue «la soupape qui garantit un accès aux soins à tous». A ceux qui soupçonnent les pouvoirs publics de vouloir céder du terrain au privé, le ministre réplique que «le secteur public reste la locomotive à côté d’un secteur privé». Pourquoi faire participer financièrement les patients ? Le ministre de la Santé rappelle que les dispositions de l’article 334 étaient déjà présentes dans la loi 85. «On ne peut pas parler de recul puisqu’il ne s’agit que d’une contribution qui sera précisée dans un texte plus tard», dit-il, ajoutant que «la contractualisation n’est pas contradictoire avec le principe de la gratuité» et que la gestion des structures de santé copiée sur le modèle de celle du secteur privé leur conférera une meilleure organisation grâce à des audits externes et des contrôles réguliers.
Aux dires du ministre de la Santé, la loi antérieure était devenue obsolète, empêchant le système de santé d’avancer alors que le texte présenté aux sénateurs porte, selon lui, en son sein les moyens permettant de mettre un terme aux dysfonctionnements, notamment ceux relevés par les sénateurs dans leurs interventions.
Les débats qui avaient précédé l’intervention du ministre de la Santé sont restés centrés sur la notion de gratuité des soins. Les sénateurs se sont, en effet, interrogés au sujet de cette dernière. Il ne s’agit pas, affirment beaucoup de sénateurs, de pouvoir avoir droit à une consultation chez un médecin généraliste sans pour autant avoir l’opportunité d’accéder à des soins spécialisés qui sont, déplorent-ils, souvent réservés aux personnes ayant l’opportunité d’avoir recours à des interventions.
Le texte adopté par les députés le 30 avril dernier sera proposé à l’adoption demain.
Le ministre de la Santé pourrait alors, à cette occasion, rompre le silence et s’exprimer au sujet des développements dans le conflit des résidents.
N. I.
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Au lendemain du drame du Lac Toho, dans la commune d'Athiémé, le laboratoire centrale de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments a été chargé des analyses nécessaires en vue de cerner le produit ayant causé la mort de milliers de poissons. Les résultats ont été adressés au ministre en charge de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, Gaston Dossouhoui. Les conclusions des analyses excluent une contamination des eaux.
Les eaux du lac Toho (Athiémé) ne sont pas contaminées contrairement aux rumeurs qui ont circulé à travers les médias. Par la lettre N° 372 en date du 25 mai 2018, le directeur du laboratoire centrale de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments, informé le ministre de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, des résultats des analyses. Selon Dr Kisito Chabi Sika, les résultats révèlent qu'aucune matrice poissons, eaux, sédiments ne contient les quatre grandes familles de perticides. Il indique par ailleurs, la présence de médicaments vétérinaires notamment les Tétracyclines et Sulfamides qui ont été décelées dans les poissons et pas dans les eaux. Le potentiel d'hydrogène (pH) et l'alcalinité de l'eau étant aussi neutre, il ressort l'exclusion d'une contamination des eaux par les pesticides ou de médicaments vétérinaires.
Le directeur précise qu'au regard de la mort massive de poissons, on pourrait penser à une intoxication aigue par contamination chimique venant d'une source endogène au lac. Ceci par infiltration souterraine. Il conclut que la recherche de molécules sulfureuses en cours permettra de confirmer la dernière hypothèse.
Giscard AMOUSSOU
Prévu pour être prononcé ce mardi au tribunal de première instance de première classe de Cotonou, le délibéré du juge a été prorogé au mardi 12 Juin 2018. Aussitôt arrivé pour la reprise de l'audience, le juge Rodolphe Azo a appelé à la barre David Babalola et consorts et leur a notifié la nouvelle date, celle du 12 Juin prochain pour les fixer sur leur sort. Me Générique Ahouangonou, Conseil de l'un des prévenus a souligné qu'apparemment le juge n'est pas prêt pour rendre sa décision et s'est donné le temps jusqu'au 12 juin pour être prêt. Il a souhaité que le 12 mai prochain, les parties soient fixées sur leur sort et émis le vœu qu'ils soient relaxées, « puisque c'est ça nous avons plaidé », a-t-il précisé.
L'ancien directeur général de la Soneb et certains de ses collaborateurs sont détenus depuis quelques mois dans le cadre d'une affaire de malversation financière. Il leur est reproché d'avoir produit de fausses quittances pour justifier le reversement au fisc de 289 000 000 de frais de Tva au Trésor public. Le ministère public a requis contre les personnes impliquées dans le dossier, une peine de 5 ans d'emprisonnement ferme et une amende de 200 000 000 de francs CFA à titre de dommages et intérêts.
F. A. A.
S’il y a bien une chose dont les citoyens de la wilaya de Tizi Ouzou devraient être fiers, c’est le large élan de solidarité qui est enregistré chaque année durant le mois de Ramadhan.
Une solidarité agissante qu’on retrouve dans les 67 communes de la wilaya et plus particulièrement au chef-lieu de wilaya. Organisées généralement sous l’égide de la direction de l’action sociale et de la solidarité de la wilaya, ces actions de solidarité tous azimuts permettent à des milliers de citoyens et de familles nécessiteuses de passer un mois de Ramadhan loin du besoin et dans la dignité. Les dix premières journées du Ramadhan-2018 ont vu de nombreuses actions intitiées dans ce sens. Selon un premier bilan provisoire rendu public par les responsables de la direction de l’action sociale et de la solidarité de la wilaya de Tizi Ouzou, il a été procédé jusque-là, à la distribution de 4 600 repas dans le cadre des restaurants aménagés et mobilisés chaque soir à l’heure du ftour dans diverses localités comme Tizi Ouzou, Draâ Ben Khedda, Aïn Zaouïa, Draâ El Mizan…
Le nombre de «restaurants du coeur» en activité dans la wilaya depuis le premier jour du mois de Ramadhan est de trente-deux, ont indiqué par ailleurs les mêmes responsables. Initialement, il devait y en avoir quarante mais huit n’ont pas été retenus après inspection de la commission d’hygiène et de contrôle de la wilaya. Par ailleurs, dans le cadre de la distribution des couffins alimentaires aux familles à revenus faibles, il a été enregistré, jusque-là, la distribution de 23 430 couffins sur les 37 000 prévus. Il faut noter que ces aides s’ajoutent à des milliers d’autres qui se font de manière anonyme par des donateurs privés qui refusent de faire de la publicité à leurs actes de charité. Par ailleurs, le mois de Ramadhan, c’est aussi l’ouverture de nouveaux marchés de fruits et légumes pour installer une concurrence et faire baisser les prix. C’est ainsi donc que le bureau de wilaya de l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta), en collaboration avec la direction du commerce, ont ouvert cette semaine un marché spécial Ramadhan au chef-lieu de wilaya au niveau de la placette «Mbarek Aït Menguellet» (ex-gare routière). L’objectif escompté par l’ouverture de ce marché, c’est, entre autres, de créer de l’animation au niveau de cette partie de la ville qui peine à attirer du monde depuis que l’ancienne gare routière a été aménagée en espace public de jeu pour enfants.
Certes, des centaines de personnes et de familles y affluent après le ftour mais l’activité commerciale dans cet endroit reste au point mort. Il y a lieu de rappeler, en outre, que des centaines d’autres locaux commerciaux ont vu leur activité changer en ce mois de Ramadhan. Des restaurants se sont reconvertis, par exemple, en vendeurs de pâtisseries orientales (kelb ellouz et zlabia principalement), d’autres proposent à la vente toutes sortes de pains améliorés et spéciaux. Il s’agit là de produits alimentaires très prisés au mois de Ramadhan. Les citoyens se ruent également sur ces commerces conjoncturels surtout à partir du milieu de l’après-midi. Concernant les prix des fruits et légumes, il y a lieu de souligner que, 10 jours après le début du mois de Ramadhan, ils n’ont pas encore connu la baisse tant attendue par les consommateurs. Il faut dire qu’une telle baisse n’est pas du tout favorisée par la forte demande et l’affluence extraordinaire enregistrées à tout moment de la journée sur les marchés en question.
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ALGER – La loi sur la santé, adoptée le 30 avril dernier par l’Assemblée populaire nationale (APN), prévoit plusieurs mesures visant à intensifier la prévention et la lutte contre le tabagisme, dans le but de protéger et préserver la santé de la population, et introduit des dispositions pénales à l’encontre des contrevenants.
A cet effet, l’article 52 de la loi énonce que les services de santé, en collaboration avec les secteurs concernés, élaborent et mettent en place les programmes de prévention et de lutte contre le tabagisme.
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L’association « Sauvons la Casbah d’Alger » organise un concours pour récompenser le quartier le plus propre et le mieux animé de la vieille médina en ce mois de Ramadhan.
L’événement est intitulé « Layali Casbate el Djazair » et en est à sa troisième édition cette année. Le concept est simple : encourager les habitants de la Casbah à s’investir davantage dans l’animation de leur quartier et sa propreté et inviter les citoyens à les fréquenter. L’association a sélectionné 60 personnes divisées en six groupes, avec un îlot pour chacun.
Qui dit Casbah d’Alger dit Chaabi; du 24 mai au 08 juin, des soirées chaabi auront lieu à chaque îlot. Le 09 juin, une remise de prix est prévue à l’hôtel El Aurassi afin de récompenser le travail des meilleurs groupes:
– îlot Koudia – soirée Châabi programmée le 24/05/2018
– îlot Sidi m’hamed cherif – soirée Châabi programmée le 25/05/2018
– îlot N’fissa – soirée Châabi programmée le 31/05/2018
– îlot Sidi ramdhan – soirée Châabi programmée le 01/06/2018
– îlot Bourahla – soirée Châabi programmée le 07/06/2018
– îlot Soustara – soirée Châabi programmée le 08/06/2018
Un appel à contribution est lancé aux citoyens qui veulent aider à accomplir ce projet, ainsi qu’aux médias et autres entreprises de communication et évènementiel. Pour ce faire, contactez l’association « Sauvons la Casbah d’Alger » à l’adresse suivante : ascacontact1@gmail.com ou par téléphone au 0550010121 / 0772 59 54 95.
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Le patron de Cevital a fait l’annonce d’un projet dans les cartons dans le domaine de dessalement de l’eau de mer.
Le Président du groupe Cevital, Issad Rebrab, a souligné, dans un entretien, dimanche, au Financial Afrik, un média multisupport, qu’en matière d’exportation, notre objectif, au cours des trois prochaines années, vise à porter les exportations de nos produits à “3 milliards d’euros par année, dont 2 milliards proviendront de l’électroménager”.
En 2016, a-t-il rappelé, Brandt Algérie, une filiale de notre groupe, producteur et exportateur de produits électroménagers et électroniques, a récolté les fruits de son travail en étant nommé “meilleur exportateur en Algérie”. Et d’ajouter : “Nos exportations sont diverses et couvrent aussi bien l’Afrique que d’autres continents. Nous exportons beaucoup de produits comme le sucre, l’huile, la margarine, la conserverie, le verre plat et d’autres produits.”
Le patron de Cevital a, par ailleurs, fait l’annonce d’un projet dans les cartons dans le domaine de dessalement de l’eau de mer. Notre projet, a-t-il détaillé, consiste en “la production de membranes et d’unités de dessalement de l’eau de mer et de production d’eau ultra pure pour les industries pharmaceutiques, agroalimentaires, des semi-conducteurs et pour le traitement des eaux, de gaz et de pétrole de schiste”. “C’est, a-t-il poursuivi, un projet que nous comptons lancer cette année et qui pourra sauver toute l’humanité du déficit hydrique prévu prochainement.”
Issad Rebrab a expliqué qu’il s’agit d’un projet de “grande envergure qui pourra répondre à la problématique de l’eau qui va se poser les 20 prochaines années dans le monde”. Et de noter : “Actuellement, dans les grandes places financières, toutes les transactions tournent autour des hydrocarbures et des matières premières. Durant les 15 ou 20 prochaines années, ces échanges se concentreront autour de l’eau, ressource vitale qui deviendra rare.” Le Président de Cevital a évoqué également dans cet entretien la zone de libre-échange continentale dont la convention de création a été signée, il y a quelques mois, par des pays africains. Il dit “apprécier fort ce désir de rapprocher les populations et économies africaines”.
Cette convention, a-t-il relevé, permettra, entre autres, de “booster les échanges commerciaux et de services entre différents pays du continent”. “Mais, a-t-il ajouté, il ne faudrait pas se limiter uniquement à cet aspect.” Et d’expliquer : “Comme vous le savez, l’Afrique accueillera d’ici à 2035 plus de
450 millions de nouveau-nés. Donc, tous ses besoins vont s’accroître. Il faudra anticiper afin de satisfaire ces populations en termes de nourriture, d’infrastructures, de logements et d’autres besoins.” Issad Rebrab a, en outre, estimé que “l’augmentation des échanges entre nos pays passe avant tout par la mise en place de véritables infrastructures. Imaginez-vous, un conteneur exporté à partir de l’Algérie passe presque 45 jours pour arriver au port d’Abidjan. Par contre, s’il y avait une ligne ferroviaire qui quitte n’importe quelle ville algérienne, passant par le Mali, il lui faudrait juste 36 heures pour qu’il soit en Côte d’Ivoire. Un conteneur exporté à partir d’un port algérien passe au minimum 60 jours pour arriver en Centrafrique”. Le patron de Cevital a souligné, dans le même registre, que “s’il y avait une ligne ferroviaire quittant une ville algérienne, passant par le Tchad, il lui faudra juste, à ce conteneur, 36 heures pour qu’il soit en Centrafrique”.
Youcef Salami
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Une compagne populaire a été lancée, dans le but de nettoyer le quartier Bourouba dans la commune d’El Harrach. Cette opération se fera chaque semaine. Les jeunes sont incités a y participé, et cela dans le but d’éviter la pollution, et de vivre dans un environnement saint et propre.
LDJ. Sarah
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Les élèves concernés par l’examen de fin de cycle moyen dans la wilaya de Tamanrasset sont mis à rude épreuve en raison de la chaleur caniculaire qui s’abat sur la région. Les épreuves du BEM se déroulent dans une chaleur intenable et une fournaise qui n’est pas sans conséquence sur le rendement des candidats, particulièrement ceux composant dans des établissements dépourvus de climatisation.
Ce qui explique les vives inquiétudes des parents d’élèves qui insistent sur l’hydratation de leurs enfants, afin qu’ils puissent se concentrer sur les questions des sujets de composition. Ce n’est pas le cas de Mohamed qui se dit étouffer à l’intérieur d’une salle d’examen équipée de deux climatiseurs non fonctionnels. Rencontrés à la sortie du CEM Larbi-Tbessi de la cité El-Ouiam, Mohamed évoque un échec prématuré au BEM à cause des mauvaises conditions dans lesquelles se sont déroulés les examens. Avis partagé par Abdellah qui a dénoncé l’absence des commodités et des facilitations que les autorités compétentes ne cessent d’évoquer à chaque sortie médiatique.
“Nos responsables doivent savoir que le candidat à Tamanrasset qui oublie sa gourde d’eau risque de crever de soif puisque cette denrée vitale se fait rare dans certains centres d’examen. Plus grave encore, on doit couper sa respiration pour accéder aux sanitaires et faire ses besoins en apnée”, peste notre interlocuteur. Un constat similaire a été fait au CEM du centre-ville où l’on s’interrogeait sur l’utilité des citernes installées dans la cour de récréation et des climatiseurs qui ne servent que pour le décor des façades. Mécontents, certains parents comptent saisir la direction locale de l’éducation pour dénoncer cet état de fait que le responsable du centre concerné impute au problème d’installation et de charge électrique. La directrice de l’éducation de la wilaya est invitée à faire le tour des établissements pour se rendre compte des souffrances des candidats et, du coup, vérifier la véracité des données avancées par la commission chargée des préparatifs et d’inspection des centres d’examen.
Interrogés sur la nature des questions, certains parents répondent désespérément : “On ne peut rien attendre d’un élève qui compose dans un bain de chaleur sèche. Les autorités locales doivent assumer leurs responsabilités et rendre des comptes sur cette situation problématique qui revient tel un leitmotiv à chaque examen de fin de cycle.” La direction de l’éducation de la wilaya dément formellement ces allégations. De sources bien informées, l’on apprend que les salles des établissements concernés par les épreuves du BEM sont toutes équipées de moyens de climatisation.
RABAH KARECHE
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Les présidents des commissions de transition d’Annaba et d’El-Hadjar prennent position en faveur de l’ancien ministre des Transports.
La crise interne du FLN s’est décentralisée vers l’est du pays, à Annaba, où au moins deux acteurs de premier rang s’affrontent à coups de déclarations et d’accusations publiques. En effet, depuis quelques semaines, deux figures de l’ex-parti unique à Bône, le député Bahaeddine Tliba et l’ancien ministre des Transports et également député, Boudjema Talaï, sont en guerre et se livrent à un étalage public de graves accusations de “dilapidation de deniers publics”, pour Talaï, et d’avoir “amassé une fortune d’une manière illégale”, pour Tliba.
Ce conflit qui éclate entre les deux hommes n’est pas resté sans prolongement depuis à Annaba et à El-Hadjar. Chacun des deux belligérants tentent de fédérer le plus de monde autour de lui, afin d’acculer l’autre. Dans une lettre de dénonciation adressée à Djamel Ould Abbes, SG du parti et signée conjointement par les présidents des commissions de transition d’Annaba et d’El-Hadjar, des militants du FLN demandent au SG “d’agir contre ceux qui attentent au militant Boudjema Talaï”. Cette même missive souligne “la désapprobation des militants” face aux “instigateurs des attaques” contre l’ex-ministre des Transports. Ils considèrent, par ailleurs, que les auteurs des attaques contre Talaï “ne représentent pas le FLN” au niveau local. Une manière pour le clan de Talaï de couper l’herbe sous les pieds de Tliba en s’assurant du soutien des instances locales du parti.
Cet antagonisme qui apparaît au grand jour à l’approche de l’élection présidentielle de 2019 vient, également, dans le sillage des manœuvres pour déstabiliser le secrétaire général du parti, Djamel Ould Abbes, par d’anciens hauts cadres du parti. Une pétition des membres du CC, réclamant la tête du SG, a été lancée, mais c’était sans compter sur la réaction d’Ould Abbes qui aurait actionné, lui aussi, ses “réseaux” afin d’étouffer les tentatives de ses détracteurs. Y a-t-il un lien entre la pétition lancée au sein du comité central et l’éclatement de ce conflit ? Assurément ! Puisque la “réhabilitation” de Tliba ne s’est faite, assurent des sources internes au FLN, qu’après son ralliement à Ould Abbes, lâchant ainsi son ancien mentor, Amar Saâdani. La preuve en est qu’au retour de sa visite à Annaba, Ould Abbes a gratifié Tliba de félicitations pour son implication dans l’organisation et la réussite du regroupement du FLN à Annaba. Selon des indiscrétions, Bahaeddine Tliba, qui bénéficie, désormais, de la protection d’Ould Abbes, veut se faire place nette et reprendre son influence au niveau d’Annaba en perspective des prochaines échéances.
Et comme Talaï est perçu comme un sérieux concurrent, c’est tout naturellement qu’il soit dans le collimateur d’un Tliba revenu dans les grâces du SG du FLN. “Il veut se repositionner au sein du parti après le camouflet qu’il a eu en se prononçant sur le 5e mandat”, assure notre source, ajoutant que “Tliba veut évincer, le cas échéant, tous ceux qui peuvent lui faire de l’ombre au sein du FLN à Annaba”. Interrogé sur le cas de Talaï et le timing choisi pour l’attaquer, notre source souligne que même s’il n’a pas fait preuve “pour le moment” d’ambitions au sein du FLN, “Talaï reste un sérieux concurrent de Tliba”, d’autant plus que, précise-t-elle, “Talaï bénéficie d’une aura telle qu’il est proche du véritable cercle décisionnel local”. Avec cette guerre qui secoue davantage le FLN à Annaba, les jours à venir risquent de connaître de nouveaux développements.
Mohamed Mouloudj
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