Les Algériens ainsi le reste du monde est en rendez-vous avec un évènement astronomique exceptionnel qui placera ce vendredi la terre, entre la lune et le soleil.
L’éclipse totale de la Lune vendredi 27 juillet durera 6 heures et 31 minutes, par conséquent la plus longues du 21e siècle, elle sera visible en Algérie à 18h15 pour atteindre son maximum à 21h22.
L’éclipse lunaire se produit quand l’orbite de la Lune est aligné sur celui de la terre. Cet alignement fait que l’ombre de la terre va masquer la totalité de son satellite, lui conférant une teinte rousse ou cuivrée.
«Les circonstances de cette éclipse en Algérie seront particulières puisque la lune se lève juste avant le soleil et qu’à ce moment-là, la lune sera partiellement éclipsée déjà », a affirmé le Centre de recherche en Astronomie, astrophysique (CRAAG).
«La lune commencera à entrer dans l’ombre de la terre à 19h24 alors qu’à Alger, elle ne se lèvera qu’à 19h51. Elle n’entrera pleinement dans l’ombre de la terre qu’à 20h30. La phase de totalité durera jusqu’à 22h13, soit 1 heure 43 minutes de totalité », ajoute la même source.
La lune prendra alors une couleur rougeâtre et sera rouge sombre autour du maximum de l’éclipse qui aura lieu à 21h22, note le CRAAG qui explique que le phénomène peut être observé à partir de n’importe quel endroit avec un horizon Est dégagé.
Selon le CRAAG, la prochaine éclipse lunaire totale aura lieu le 21 janvier 2019. Elle sera visible très tôt le matin avant le lever du soleil.
Une autre éclipse totale lunaire aura également lieu le 16 juillet 2019 dans presque les mêmes conditions que celle attendue vendredi (27 juillet) prochain.
L’évènement sera couvert par le CRAAG en ouvrant au grand public un stand au niveau des Sablettes (Alger) de 18 à 23 heures.
Zahira Medjrab / version française: Rachel Hamdi
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Le conseil des ministres du mercredi 25 juillet a pris une décision importante dans le secteur sanitaire de notre pays. En effet, il a été demandé aux praticiens exerçant dans le public et ayant des cliniques privées de faire un choix avant le 1er septembre. Pour prendre une telle décision, il faut être un président courageux, soucieux en permanence du bien-être de son peuple.
La fin de la récréation a enfin sonné. A partir du 1er septembre, nul ne peut être à la fois agent de l'Etat et promoteur de centre de santé privé. Une décision importante et très courageuse prise par le gouvernement Talon. Une décision à saluer absolument car pour qui sait comment ces cliniques fonctionnent, il est de bon ton que cette pagaille cesse. Voilà des agents de l'Etat qui livrent une concurrence déloyale à l'Etat en ouvrant des centres privés. La concurrence est déloyale en ce sens que ces agents détournent les patients des hôpitaux publics vers leurs cliniques privées. Et ce sont ces mêmes agents qui crient que les recettes sont en baisse et que le plateau technique est vétuste et défaillant. Comment renouveler alors le plateau technique si les recettes baissent ? Comment réaliser des recettes si les clients sont convoyés vers les privés ?
Un pas de géant vient d'être posé par le gouvernement Talon. En obligeant les agents de santé à faire un choix, la situation sera désormais claire. Et c'est à l'actif du président Talon et son gouvernement qui ne pensent pas marchander les questions de santé de la population béninoise. Offrir aux Béninois un soin de santé de qualité à un coût raisonnable ne peut être que la raison qui va pousser un gouvernement responsable à prendre une mesure aussi salvatrice.
Ce pas de géant est en fait le premier. Le prochain est à coup sûr la dotation des hôpitaux de plateaux techniques performants et de nouvelle génération afin que les privés ne prennent pas le pas sur le public.
Enfin, un président s'est armé de son courage et a tapé dans la fourmilière pour remettre les pendules à l'heure. Cela y va de la performance du système sanitaire.
Cokou Romain COKOU
Mercredi prochain, 1er août 2018, nous fêterons le 58e anniversaire de l'accession à la souveraineté internationale de notre pays, le Dahomey devenu République Populaire du Bénin en 1975, puis République du Bénin en 1990, à l'occasion de l'historique Conférence Nationale des Forces Vives, tenue, à Cotonou au Plm Alédjo, du 19 au 28 février 1990. Rien que par ces changements successifs de noms, on peut déduire qu'au lendemain des indépendances, les choses n'ont pas du tout été aussi faciles pour la plupart des pays africains dont le nôtre. En effet, durant plus d'un demi-siècle d'indépendance, nous n'avons pas mis à profit les années, le temps et l'espace, pour nous affranchir véritablement prouvant à ceux que nous désignions comme nos oppresseurs et autres dominateurs que nous avions raison de nous soustraire de leurs jougs. Bien au contraire, nous nous sommes comportés comme des opprimés déclarés indépendants mais qui n'ont jamais pu prendre conscience de ce que être indépendant signifie et implique. Autrement dit, être responsable dans tout ce qu'on fait et dit, s'appliquer à bâtir son pays et à l'aimer plus que tout, dans la logique du sens patriotique qui fait dire : la patrie ou la mort. Nous nous montrons plutôt paresseux, partisans demoindres efforts et du gain facile, complexés et quémandeurs, tendant toujours la main aux colonisateurs que nous ne cessons d'accuser d'être à la base de nos maux et de notre sous-développement. Est-ce encore bien juste de continuer à percevoir et à voir les choses comme cela, alors que nous avons nos tares, nos insuffisances et incapacités qui nous aveuglent à ce sujet ! Nous parlons d'indépendance et de liberté comme s'il suffisait seulement de demeurer dans les théories,pour se croire véritablement indépendant ! Nous paressons, tout en espérant que les alouettes nous tombent rôties, pour nous bomber le torse d'être indépendant ! Nous nous contentons de légers progrès et évolutions dans certains domaines de la vie socio économique, pour croire que nous avons déjà fait assez d'effort pour prouver notre indépendance ! Nous pataugeons tellement dans la corruption, les prévarications, les compromissions les plus inimaginables et les rafistolages les plus sordides qui enfoncent davantage notre pays dans l'abîme, que nous manquons du sens de la République, de la Nation et de la Patrie ! Des indépendances à nos jours, les différentes options et conceptions de la plupart de nos dirigeants au plus haut niveau sont si mal pensées, que nous peinons à trouver nos marques et surtout la meilleure voie qui mène au développement du pays ! Sur le plan politique, les intrigues, les règlements de compte et la personnalisation du pouvoir d'État pour servir nos propres intérêts, ceux de nos clans et de nos partis politiques, et non ceux du peuple, sont si perceptibles dans les pratiques et comportements, qu'il faut bien se demander, à quand la politique, la vraie qui mène au développement réel ? Un développement réel qui s'entend par des citoyens au travail, chacun donnant le meilleur de lui-même dans son secteur d'activités, et au prix de mille et un sacrifices pour s'assumer et pour faire avancer son pays. Un développement qui fasse mettre véritablement les hommes et femmes valides au travail, pour non seulement s'épanouir, mais aussi pour prouver leur fierté d'appartenir à une Nation, convenant avec Edmond About que « nous sommes les héritiers de tous ceux qui sont morts, les associés de ceux qui vivent et la providence de ceux qui naîtront ». En cela justement, comme Antoine de Saint-Exupéry, la question que nous devons nous poser, c'est celle de savoir « quelle terre, quelle patrie laisserons-nous à nos enfants ? » Une question essentielle et non moins pertinente que les Béninoises et les Béninoises poseront à la veille ou à l'occasion de la célébration de l'anniversaire de l'indépendance de leur pays ! Ceci, en méditant quelques passages du 2e couplet de notre hymne national « l'Aube Nouvelle » : « Dans le vert, tu liras l'espoir du renouveau ; de tes aïeux, le rouge évoque le courage ; des plus riches trésors le jaune est le présage ».
(...) Lire l'intégralité sur https://croixdubenin.com/articles/editoriaux/848-le-prix-de-l-independance
Abbé Crépin M. Acapovi, directeur de publication La Croix du Bénin
Ecrit par: LDJ.Sarah
Le massacre de Si Zerrouk a eu lieu dans le quartier de Si Zerrouk dans le sud de Larbaa en Algérie le 27 et 28 juillet 1997, causant une cinquantaine de morts.
En 1997, l’Algérie était au cœur d’un conflit brutal civil qui avait débuté après l’annulation par l’armée en 1992 des élections, remportées par le Front islamique du salut (FIS).
Deux grands groupes de la guérilla islamiste, le Groupe islamique armé (GIA) et l’AIS, ainsi que plusieurs mineurs, ont été en lutte contre le gouvernement.
Larbaa a été un centre majeur de la branche armée du FIS, l’Armée islamique du salut (AIS). Le GIA avait récemment déclaré la guerre à Mustapha Kartali de l’AIS, un ancien chef de GIA qui s’était séparé de lui en 1995 et devenu chef de Katibat l’AIS Errahamane brigade, basée dans la région.
Durant l’après-midi du 27 juillet 1997, l’électricité est coupée. Le nuit même, un nombre de guérilleros armés avec des fusils, des couteaux et sabres (30 selon The Economist, 100 selon Liberté) ont fait irruption dans le quartier, ont commencé à piller les maisons et à égorger les habitants, tuant hommes, femmes et bébés, et ont brûlé des victimes vivantes. Environ 50 personnes (la plupart des journaux rapportent qu’il y aurait 47 morts ; Le Matin, 58) ont été tués.
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Les piroguiers sont sommés de respecter les normes d'embarcation pour assurer la sécurité des personnes et des biens de part et d'autre du fleuve Mono au Bénin et au Togo. C'est la décision du conseil communal de Grand popo relayée par l'Abp ce jeudi 26 juillet 2018.
La période de crue du fleuve Mono n'est pas du tout reluisante pour les populations riveraines. Afin d'assurer un minimum de protection aux populations, le conseil communal propose une réglementation de la traversée du fleuve. Ainsi, le trafic fluvial est désormais règlementé pendant la période de montée des eaux du fleuve Mono. Selon la décision du conseil communal, il est important que tout piroguier sache bien nager. Aussi, a-t-il été interdite l'utilisation des petites barques pour la navigation pendant la période de crue. Des patrouilles des forces de sécurité sont sollicitées pour veiller au respect de la décision de l'autorité communale.
Le président de l'Association des piroguiers d'Agoué pour le développement (APAD), Lazare d'Almeida, apprécie à juste titre cette décision qu'il trouve salutaire. Il se réjouit de ce que cette décision entre dans le cadre de la volonté de l'association de règlementer et d'assainir un milieu en grande partie pourvoyeur de ressources locales pour l'arrondissement.
La décision est soutenue par les populations notamment les usagers des marchés riverains. Le chef du village d'Agoué, Adjahoungba Amakoué apprécie aussi la décision du conseil qui selon lui entre dans la droite ligne des mesures de protection des populations en temps de crue du fleuve Mono.
G.A.
L'atelier bilan du Programme national d'alimentation scolaire intégré (Pnasi) s'est ouvert, ce jeudi 26 juillet 2018, à Azalaï hôtel de la Plage de Cotonou. Les travaux dudit atelier ont été officiellement lancés par le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane karimou devant un parterre d'invités et de partenaires dont M. Guy Adoua, Représentant résident du Programme Mondiale Alimentaire (Pam) au Bénin.
Faire l'état des lieux des facteurs favorisant et limitant l'exécution du Programme national d'alimentation scolaire intégré (Pnasi) et proposer des solutions pour son amélioration dès la rentrée scolaire 2018-2019. C'est l'objectif de l'atelier bilan de la première année de mise en œuvre du Pnasi, organisé par le ministère des enseignements maternel et primaire (Memp) en collaboration avec le Programme Mondiale Alimentaire (Pam).Cette rencontre qui a réuni tous les acteurs impliqués (communautés, membres des comités de gestion, directeurs d'écoles et Ong partenaires) dans le processus entend pérenniser cette initiative.
L'un des programmes phares du gouvernement, exécuté par le Pam et qui a permis à 320.000 apprenants des zones défavorisées de bénéficier des repas chauds, tous les jours de classe depuis septembre 2017 à ce jour.
Selon M. Guy Adoua, représentant résident du Pam au Bénin, ce résultat satisfaisant est le fruit des efforts consentis par le gouvernement, les parents d'élèves, les partenaires de mise en œuvre et l'équipe du Pam.
D'un coup global de 27 milliards 200 millions FCFA, le Pnasi est financé par le gouvernement pour une période de 4 ans (2017-2021) et couvre 1579 écoles primaires publiques dans 11 départements du Bénin. Selon le ministre des enseignements maternel et primaire, le Pnasi au-delà de son objectif principal d'améliorer le taux de scolarisation et de rétention des enfants à l'école, participe à l'atteinte de l'Objectif de développement durable Odd2, relatif à la « faim zéro ».
Ainsi, le taux de couverture des écoles à cantines devrait passer de 30% à 51%, soit trois cents cinquante mille (350.000) écoliers bénéficiaires de repas scolaires. Lors de la cérémonie d'ouverture de l'atelier, M. Guy Adoua n'a pas manqué de remercier le gouvernement et plus particulièrement le président Patrice Talon, et les ministères sectoriels (Ministère du plan et de développement et le Memp) pour leurs appuis, conseils et accompagnements dans la mise en œuvre du programme. Car, selon lui, le Pnasi est aussi un programme qui souhaite améliorer l'alimentation scolaire à travers l'adoption d'une approche multisectorielle, associant l'éducation, la production locale, la nutrition et l'hygiène pour un développement durable au Bénin. Le premier responsable du Pam au Bénin a réitéré l'entière disponibilité de son agence à accompagner le gouvernement dans l'atteinte des objectifs du Pnasi pour le bien-être des apprenants.
Juliette Mitonhoun
L’école de formation de coding basée à Denver, Galvanize, va acquérir le concurrent Hack Reactor dans le cadre d’un accord de fusion de deux des plus importants bootcamps informatiques, ont déclaré les deux sociétés à Reuters. Galvanize a des succursales dans sept villes des Etats-Unis. Les activités de Hack Reactor à San Francisco, où se trouve son siège social, à New York et à Austin, seront consolidées dans les campus de Galvanize dans ces villes. «Nous pensons que nous avons l’équipe et les atouts pour être le leader dans les bootcamps technologiques pour les étudiants et les entreprises», a déclaré le directeur général de Galvanize, Al Rosabal, cité par Reuters. Ces deux écoles enseignent des compétences technologiques allant du développement web à la data science pendant quelques semaines. En outre, Galvanize a obtenu une levée de fonds de 32 millions de dollars dirigée par Catalyst Investors, une société de capital-investissement basée à New York. L’école avait auparavant recueilli environ 70 millions de dollars en financement. Galvanize utilisera le nouveau financement pour continuer à croître, acquérir des bootcamps et se développer davantage géographiquement. En 2017, le marché a vu la fermeture de Dev Bootcamp de Kaplan Inc et The Iron Yard d’Apollo Education Group Inc., deux pionniers dans le secteur. Le secteur a également vu l’entrée de WeWork, la start-up de co-working space, avec son acquisition en octobre de Flatiron School à New York pour une somme non divulguée.
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Les opérateurs télécoms russes devront augmenter leurs frais de 10% pour couvrir les coûts engendrés par la mise en œuvre de nouvelles lois visant à renforcer la surveillance de la sécurité publique sur les télécommunications, selon une estimation du FSB héritier du KGB. L’estimation de l’augmentation des frais démontre les conséquences lourdes de la loi soutenue par le Kremlin, qui oblige les opérateurs à stocker le contenu des appels téléphoniques, des messages texte et du trafic internet des utilisateurs pendant six mois. «Oui, ces estimations ont été mentionnées dans la lettre du FSB», a déclaré à Reuters Alexander Ponkin, directeur du département de régulation des radiofréquences et des réseaux de communication du ministère des Communications, à propos du chiffre de 10%. La même source dit qu’il est encore trop tôt pour prévoir comment la loi, qui entrera en vigueur dans sa totalité à partir du 1er octobre de cette année, influera sur la hausse que les opérateurs envisagent de facturer à leurs clients. Selon les données du ministère des Communications, les recettes totales générées en Russie par la fourniture de services de téléphonie mobile et internet l’année dernière s’élevaient à 1,1 billion de roubles (17,32 milliards de dollars). Dix pour cent de cette somme s’élèverait à 1,73 milliard de dollars. La nouvelle loi a déjà entraîné des conséquences inattendues. Les opérateurs de télécommunications russes se bousculent pour acquérir les équipements nécessaires pour stocker les grandes quantités de données des utilisateurs. Rostelecom est le principal acteur des télécommunications fixes en Russie. Les grands opérateurs sur le marché russe des télécoms mobiles sont : Megafon, MTS, Veon, et Tele2 Russie.
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Le président de la Federal Trade Commission (FTC) américaine, qui a déjà enquêté sur Google pour abus de position dominante dans la recherche sur le Web, a déclaré qu’il examinerait de près la récente décision de l’UE d’infliger une amende de 4,34 milliards d’euros. «Nous allons examiner de très près ce que l’UE a décidé», a déclaré M. Simons à un sous-comité du Comité de l’énergie et du commerce de la Chambre des représentants. En plus de l’amende, les régulateurs antitrust de l’UE ont ordonné à Google d’arrêter d’utiliser son système d’exploitation mobile Android pour bloquer ses rivaux. Google a déclaré qu’elle ferait appel. Interrogé sur la domination de Google et Apple sur le marché des smartphones, Simons a déclaré : «Ils sont deux, et ils se font donc une sérieuse concurrence», ajoutant que les marchés dominés par peu de sociétés sont ceux où les autorités antitrust s’attendent souvent à trouver une «conduite problématique». Simons a également appelé à une législation donnant à la FTC le pouvoir de demander des sanctions civiles dans le cas d’une violation de données.
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Des problèmes techniques et de chaîne d’approvisionnement liés à des équipements fabriqués par l’entreprise chinoise Huawei ont exposé les réseaux de télécommunications britanniques à de nouveaux risques de sécurité, a annoncé jeudi dernier un rapport gouvernemental. L’évaluation, faite dans un rapport signé par l’agence d’espionnage britannique GCHQ, intensifiera le débat sur l’espionnage autour de Huawei Technologies, qui est de plus en plus critiquée par les Etats-Unis et l’Australie. Le rapport a été publié après que des sources ont déclaré à Reuters que les hauts responsables britanniques de la sécurité disent qu’ils peuvent donner des «assurances limitées» que les opérations de Huawei au Royaume-Uni ne menacent pas la sécurité nationale. «L’identification des lacunes dans les processus d’ingénierie de Huawei a permis de mettre en lumière de nouveaux risques dans les réseaux de télécommunications du Royaume-Uni et des défis à long terme dans leur atténuation et leur gestion», ont indiqué les responsables dans le rapport. Huawei, le plus grand producteur d’équipements de télécommunications au monde, a salué le rapport du centre de contrôle Huawei Cyber Security Evaluation Center (HCSEC), qui a indiqué que la supervision des autorités britanniques fonctionnait bien. «Le rapport conclut que l’indépendance opérationnelle de HCSEC est à la fois robuste et efficace. Le Conseil de surveillance a identifié des domaines d’amélioration dans nos processus d’ingénierie», a déclaré un porte-parole de Huawei cité par Reuters. «Nous sommes reconnaissants pour ces commentaires et sommes déterminés à résoudre ces problèmes. La cybersécurité demeure la priorité absolue de Huawei et nous continuerons à améliorer activement nos processus d’ingénierie et nos systèmes de gestion des risques», ajoute la même source.
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