You are here

Afrique

Tébessa: La médecine préventive, les programmes et les structures

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:44

Par Ali Chabana

La médecine dite préventive reste une mission essentielle et constitue un important volet des programmes et calendriers établis par les pouvoirs publics dans la lutte contre les maladies contagieuses, ainsi que les pathologies non transmissibles (diabète, hypertension artérielle). Dans la wilaya de Tébessa, le système de prévention s’articule autour d’un ensemble de structures sanitaires, parmi lesquelles les services de prévention de la DSP, service d’épidémiologie, à travers les 7 bureaux localisés aux EPH de Tébessa, Bekkaria, Cheria, Bir El Ater, Ouenza, El Aouinet et Morsott. Le suivi en matière de prévention se fait également dans les bureaux communaux d’hygiène, entités sanitaires de proximité dotées d’un encadrement médical, sauf que les insuffisances persistent dans certaines communes rurales (Bekkaria, Boulhaf Dyr, Saf Saf, Ouesra, Oum Ali, Bir Dheb). Même constat du manque de moyens de transport. Les services sanitaires de la wilaya ont aussi équipé les points de passage frontalier d’unités médicales, à Bouchebka, El Meridj, Ras Laâyoun et Betita. Le bilan établi par la DSP concernant les maladies à transmission hydrique ou par les animaux, les zoonoses, maladies infectieuses ou parasitaires transmissibles à l’homme par les animaux vertébrés (chien, vache, volaille), 352 cas de brucelloses enregistrés depuis le début de l’année 2018, ainsi que 202 cas de leishmanioses dont 80 cas à Bir El Ater, 62 cas de tuberculose extra pulmonaire, 32 cas d’hépatite C et 487 cas de rougeole.

La couverture médicale scolaire dépasse 87% dans les 522 établissements éducatifs. Les maladies les plus répandues en milieu scolaire sont les troubles oculaires, l’hépatite A, certaines maladies chroniques, la pédiculose, vecteur de maladies bactériennes.

Retenons que les 23 unités de dépistage et suivi accusent pour la plupart un déficit en éclairage, chauffage, absence d’hygiène, donc des conditions non conformes pour mener à bien leur mission. La réception de nouvelles structures sanitaires permettra certainement l’amélioration de la prise en charge des patients, le rapprochement de certaines spécialités médicales près des habitants, notamment dans les zones éloignées.

Le défi serait aussi le changement positif des prestations et la diminution du nombre d’évacuations hors wilaya et à l’étranger.

The post Tébessa: La médecine préventive, les programmes et les structures appeared first on .

Categories: Afrique

En prévision de la prochaine rentrée: Les projets des infrastructures scolaires suivis de près

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:42

Par Houari Barti

En prévision de la prochaine rentrée scolaire 2018 – 2019, le secrétaire général de la wilaya d’Oran, M. Si Ali Meddah, a inspecté au cours des deux derniers jours plusieurs chantiers de réalisation d’équipements scolaires des trois paliers répartis sur différentes localités de la wilaya.

Selon un communiqué diffusé hier par la wilaya d’Oran, l’objectif premier de ces visites d’inspection du SG de la wilaya, qui assure actuellement le poste de wali par intérim, est de « veiller à ce que les établissements scolaires annoncés pour cette rentrée scolaire soient livrés à temps. Selon la même source, les chantiers en question sont localisés dans les communes d’Oran, Bir El Djir, Oued Tlelat, Bethioua, Arzew et Gdyel. Des instructions ont été données aux entreprises de réalisation pour renforcer leurs chantiers en moyens humains et matériels afin de réceptionner ces infrastructures scolaires dans les délais impartis.

Il est à noter que la wilaya d’Oran avait annoncé en mai dernier la réception pour la rentrée scolaire 2018-2019 de pas moins de 35 projets relevant du secteur de l’éducation nationale, soit, 24 du palier primaire, 7 du moyen et 4 du secondaire. Ces projets représentent soit des ouvrages affectés aux nouveaux groupements urbains, soit des extensions d’établissements déjà existants afin de palier au problème des surcharges de classes dont certaines zones urbaines de la wilaya en sont particulièrement touchées. Six groupes scolaires et deux CEM sont ainsi annoncés pour ce mois de septembre dans la daïra d’Es Sénia, ce qui permettra de renforcer les capacités de scolarisation des élèves, notamment dans les cités nouvellement créées, à l’exemple des nouvelles cités AADL de Aïn El Beïda. L’on annonce également la réception pour cette rentrée des classes de deux lycées et un CEM dans la commune de Bir El Djir. Dans la localité d’El Mohgoun, un CEM et deux groupes scolaires pour le niveau primaire seront aussi réceptionnés dès septembre prochain, annonce-t-on.

Lors de sa dernière visite d’inspection et de travail à la wilaya d’Oran durant le mois de mai, la ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghabrit, avait, pour rappel, constaté dès le premier point inscrit au programme de sa visite à la cité des 2.500 logements AADL d’Es-Senia, qu’une seule et unique école primaire était ouverte, de surcroît surchargée. Tout au long de sa visite, la ministre fera le même constat de retard dans les délais d’achèvement des travaux dans les nouvelles cités d’habitation récemment occupées, ou encore la mauvaise exploitation et rentabilisation des terrains affectés à son département.

The post En prévision de la prochaine rentrée: Les projets des infrastructures scolaires suivis de près appeared first on .

Categories: Afrique

Décès d’el Hadj Benaouda Bentounès, Mokadem de la zaouïa Alawiyya de Mostaganem

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:40

ALGER – Le Mokadem de la zaouïa Alawiyya de Mostaganem, el Hadj Benaouda Bentounès est décédé mardi soir des suites d’une maladie, a annoncé Khaled Bentounès, guide spirituel de la confrérie soufie alawiyya sur sa page Facebook.

Le défunt a rendu l’âme à l’hôpital de Tigditt où il a été admis, durant la journée, aux services des urgences médico-chirurgicales suite à une détérioration de son état de santé, a indiqué pour sa part la zaouïa Alawiyya, précisant que l’enterrement aura lieu mercredi après la prière d’el-Dohr au cimetière de la zaouïa à Mostaganem.

« Si el Hadj Benaouda était un homme dévoué, sincère et fidèle dans notre voie. Je voudrais ici lui rendre un hommage particulier, et rendre hommage à sa grandeur d’âme, sa bonté, sa tendresse, sa tolérance et sa douceur légendaire. Mes pensées vont ce soir à sa famille, à ses proches et aux fokaras », a écrit Khaled Bentounès.

The post Décès d’el Hadj Benaouda Bentounès, Mokadem de la zaouïa Alawiyya de Mostaganem appeared first on .

Categories: Afrique

Bannière résultats Bac

24 Heures au Bénin - Wed, 08/08/2018 - 12:40
Categories: Afrique

Aïn El Beïda et Akid Lotfi: 52 tonnes de déchets collectées

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:39

Par K. Assia

  La campagne d’entretien de l’environnement et de collecte des ordures ménagères lancée depuis le début de la saison estivale se poursuit à travers plusieurs quartiers et localités balnéaires. Un premier bilan de cette opération fait état de plus de 52 tonnes de déchets solides et de restes de matériaux de constructions qui ont été ramassés de la période allant du 1 au 6 août au niveau de Aïn El Beïda et Haï Akid Lotfi.

Cette action a été initiée par l’entreprise Oran-Propreté qui a mobilisé des camions et des rétro-chargeurs pour nettoyer les sites en question.

Au niveau de Haï Akid Lotfi, cinq points noirs ont été éradiqués au grand soulagement des riverains. Idem à Aïn El Beïda où cinq points noirs ont été aussi éradiqués par les équipes de nettoiement.

A la cité Saint Charles, l’opération de nettoiement se poursuit jusqu’à l’éradication de tous les points noirs, est-il indiqué. Celle-ci a mobilisé les équipes de l’alliance environnementale et les services du secteur urbain Ibn Sina.

D’autre part, 180 sacs renfermant du plastique, des bouteilles en verre, des bouteilles en aluminium en plus de mauvaises herbes ont été ramassés samedi et transférés au centre d’enfouissement technique lors d’une vaste campagne qui a ciblé les principales routes à grand trafic automobile. Il s’agit, des routes qui mènent aux localités balnéaires Aïn El Turck, Mers El Kébir, Bousfer et El Ançor L’opération a ciblé la corniche supérieure, l’axe de la corniche et également la RN 4 qui relie l’aéroport jusqu’au rond-point El Bahia. Pas moins de 40 agents de l’alliance environnementale de la wilaya ont été retenus pour mener à terme cette action et quatre camions ont été aussi mobilisés pour la collecte.

D’autre part et pour renforcer la collecte des ordures dans plusieurs zones d’Oran, l’entreprise Oran-Propreté s’est dotée dernièrement de dix camions compresseurs d’une capacité de 12 m3 et de chargeurs. Cette acquisition vient en application des directives du wali d’Oran portant sur la préservation de l’environnement et l’éradication des points noirs dans certaines localités et quartiers de la ville.

The post Aïn El Beïda et Akid Lotfi: 52 tonnes de déchets collectées appeared first on .

Categories: Afrique

Deux blessés dans la chute d’un véhicule à Cap Falcon

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:38

Par Rachid Boutlélis

  Les deux occupants d’un véhicule qui a chuté tôt dans la matinée d’hier, aux environs 4 heures, d’une falaise ceinturant la baie du village de Cap Falcon sont sortis presque indemnes, hormis quelques légères blessures superficielles. La voiture des victimes, un couple âgé de 28 et 22 ans, originaire de la wilaya de Tiaret, aurait pu terminer sa chute sur les récifs tapissant le rivage à une vingtaine de mètres plus bas, n’était-ce un talus dans lequel elle a fini sa course, indiquent des sources policières. Le conducteur a arrêté son véhicule, une Renault Laguna, au lieudit Belle Vue qui surplombe la baie de Cap Falcon. Pour des raisons que déterminera l’enquête de police, la Renault a subitement dévalé la pente. Les victimes ont été évacuées vers le service des urgences de l’hôpital Dr Tami Medjbeur d’Aïn El Turck. Selon des sources hospitalières, les victimes pourraient quitter l’hôpital aujourd’hui (NDLR mercredi) après les soins que leur prodigue l’équipe médicale.

The post Deux blessés dans la chute d’un véhicule à Cap Falcon appeared first on .

Categories: Afrique

Université d’Oran: Le département d’espagnol marque ses 50 ans d’existence

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:36

Par Houari Barti

A l’occasion du 50ème anniversaire de sa création, le département d’espagnol de l’université d’Oran a annoncé hier l’organisation pour le mois de novembre prochain d’une journée d’étude intitulée «Le département d’espagnol, 50 ans plus tard (1968-2018) : évolution, situation actuelle et perspectives de la formation en graduation et post-graduation».

Selon le Pr Terki-Hassaine Ismet, président du comité d’organisation de l’évènement, cette journée d’étude sera également «une occasion de rendre hommage au doyen des professeurs et pionnier de la post-graduation du département, le professeur Emilio Sola, qui a enseigné au département d’espagnol de l’université d’Oran de 1976 à 1984». «C’est grâce au Pr Emilio Sola que le département d’espagnol de l’université d’Oran a pu former les premières promotions en DEUA, magister et doctorat», a-t-il tenu à souligner. Spécialiste de l’histoire algéro-espagnole, notamment durant la période ottomane, il est actuellement professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université d’Alcalá de Henares en Espagne, a-t-il précisé.

Cette journée vise tout d’abord à «faire connaître les circonstances dans lesquelles a été créé le département d’espagnol de l’Université d’Oran et son évolution jusqu’à nos jours», a indiqué au Quotidien d’Oran le Pr Terki-Hassaine Ismet. «Mais elle vise surtout à analyser et évaluer la trajectoire de la formation de la langue espagnole en graduation et post-graduation dans ses différentes spécialités : didactique, littérature linguistique et civilisation. Une analyse qui doit déboucher sur la formulation de propositions pour améliorer les méthodes d’enseignement dans ces domaines à tous les niveaux, a-t-il indiqué. Cette journée d’étude, a ajouté le Pr Terki-Hassaine, sera également une occasion de choix pour réfléchir et débattre sur la possibilité de créer un master professionnel (à la carte) dans un avenir proche, en tenant compte des besoins du pays et des défis de la nouvelle politique des langues étrangères dans le monde. Il y sera également question, a-t-il ajouté, d’ouvrir de nouveaux domaines et lignes de recherche dans la littérature et la civilisation latino-américaine.

The post Université d’Oran: Le département d’espagnol marque ses 50 ans d’existence appeared first on .

Categories: Afrique

Le dernier contingent des pèlerins mauritaniens arrive à Médine

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 08/08/2018 - 12:33
AMI - Le 4eme et dernier contingent des pèlerins mauritaniens est arrivé mercredi à Médine, en Arabie Saoudite, dans de bonnes conditions,...
Categories: Afrique

Aïn Témouchent: Session de formation pour l’enseignement de la langue amazighe

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:32

Par Saïd Mouas

La généralisation de l’enseignement de la langue tamazight poursuit son bonhomme de chemin et tend graduellement à s’installer dans le paysage institutionnel éducatif.

A la prochaine rentrée scolaire, le premier palier du primaire bouclera la troisième année consacrant la langue officielle en tant que vecteur culturel incontournable dans le processus de réappropriation de l’identité nationale.

Une démarche à laquelle sont associés, conjointement, l’Académie de la langue tamazight et le Haut-Commissariat à l’amazighité dont les efforts sont fortement soutenus par l’Etat. C’est ainsi qu’au niveau de l’Institut national de l’éducation d’Aïn Témouchent, qui jouxte le lycée Cheikh El Ibrahimi, se tient, depuis le 05 août passé, une session de formation destinée aux nouvelles recrues de l’enseignement primaire devant encadrer les cours en langue berbère. Originaires de 18 wilayas, les futurs enseignants vont, quinze jours durant, se familiariser avec les contenus de programmes et les méthodes d’apprentissage sous la férule d’inspecteurs et de professeurs spécialisés. Une évaluation continue permettra, une fois le personnel concerné opérationnel, d’apporter les adaptations nécessaires à une plus grande maîtrise des outils pédagogiques. Rappelons que l’enseignement du tamazight en est à sa septième année dans le cycle secondaire et à sa onzième année à l’université. Il s’agira, à travers ces premiers jalons, de jeter les bases d’une vaste politique de réhabilitation de la composante amazighe.

The post Aïn Témouchent: Session de formation pour l’enseignement de la langue amazighe appeared first on .

Categories: Afrique

Tlemcen: Le barrage Mefrouch, un site incontournable

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:31

Par Khaled Boumediene

Si Tlemcen est surtout connue pour son melting-pot de cultures et sa Kissaria fourmillante du centre-ville, elle n’en est pas moins une destination de choix pour les férus de nature.

Car la cité des Zianides regorge, même sur ses hauteurs les plus paisibles, de plans d’eau et massifs forestiers éparses où Dame Nature se manifeste sous toutes ses formes. Situé à un jet de pierres du plateau de villégiature de Lalla Setti (1200 mètres d’altitude), le barrage de Mefrouch, qui tourne à plein régime en cette saison de l’été, reste un lieu naturel incontournable pour le pique-nique écolo, les promenades attrayantes et les barbecues sur les rochers. « Les alentours de ce barrage sont jalonnés de petits coins accueillants et qui conservent encore leur côté sauvage. C’est idéal pour installer sa nappe à carreaux et échapper à la canicule, avec une vue qui surplombe le plan d’eau. Même en hiver, je ramène ma famille pour profiter des paysages enneigés et prendre un bol d’oxygène », explique Sid-Ahmed, un riverain de Mansourah rencontré lundi dernier au barrage de Mefrouch. Pour un autre habitant de Tlemcen, venu prendre son dîner en famille dans cet endroit serein, « c’est un vrai moment de bonheur simple et de partage quand je suis ici, je préfère marcher au maximum autour de ce plan d’eau pour perdre du poids et activer la circulation cardiaque et la ventilation, car je suis diabétique de type 2. J’aime beaucoup cet endroit qui diminue le stress et améliore beaucoup ma santé.

Et puis, cet endroit offre un paysage naturel impressionnant. Tout y est pour se sentir au plus près de la nature et de la campagne. Seul bémol, Il n’y a ni poubelles, ni bancs, ni tables, ni aires de stationnement pour les véhicules. Je dois profiter de votre de journal pour lancer un appel aux autorités et aux responsables du tourisme et même à ceux de la forêt pour leur demander de procéder à des aménagements dans les alentours de ce barrage qui attire beaucoup de gens en hiver et en été. Ils doivent au moins s’installer sur des bancs et des tables de pique-nique qui auront vue sur le plan d’eau du barrage. Il faut aussi créer beaucoup d’activités pour attirer davantage de visiteurs vers ce site pittoresque ». De nombreux jeunes en quête de fraicheur sont attirés par le site majestueux des cascades d’El Ourit qui se situe en aval de ce barrage. Ils font ainsi un saut, en grand nombre, vers le lac bleu « Guelta Zerga », pour se baigner ou admirer les merveilleuses chutes d’eau déversant dans le lac bleu, et la verdure surplombant le bassin d’arrivée des eaux. En hiver, quand il pleut suffisamment, de nombreux citoyens viennent de tous les coins de la wilaya et des régions environnantes de Sidi Bel Abbès, Ain Témouchent, Oran, Bayadh et Saïda pour contempler les plus belles chutes d’El Ourit, suite au trop-plein du barrage Mefrouche. De nombreux visiteurs font une halte sur leur passage, dans le bourg rural de Mefrouch, pour acheter du pain traditionnel (El-matlou, khobz frina, khobz zraâ, khobz dra, etc.) préparé à la maison par des mains expertes, mais aussi, du lait de vache cru ou pasteurisé, du beurre, des olives grosses et charnues, des amandes, des plantes culinaires et médicinales (Basilic, sauge, thym, romarin, absinthe, verveine, lavande, menthe et tisane), ainsi que des cultures de plein champ et quelques volailles et lapins.

The post Tlemcen: Le barrage Mefrouch, un site incontournable appeared first on .

Categories: Afrique

El-Bayadh: Un faux vétérinaire arrêté

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:26

Par Hadj Mostefaoui

Un faux vétérinaire a été pris la main dans le sac, ce lundi en début de matinée, par les éléments de la BRI de la sûreté de daïra de Bougtob, dans la wilaya d’El Bayadh, au moment où il délivrait à gauche et à droite de faux certificats de vaccination aux éleveurs dans le marché à bestiaux de cette localité. A l’approche de la fête du sacrifice, ce document est initialement exigé pour tous les maquignons et éleveurs désireux d’écouler leur bétail qui doit être vacciné contre la fièvre aphteuse, la brucellose et la clavelée, des maladies qui affectent depuis peu le cheptel de la région. Cet individu et son complice, âgés respectivement de 47 et 42 ans, ont été arrêtés en possession d’une somme de 18.000 DA, fruit de leurs transactions illégales ainsi que d’un paquet de 250 faux certificats de vaccination, portant le cachet et la signature dérobés par son complice auprès d’un autre vétérinaire issu d’une wilaya limitrophe. Ces documents étaient proposés par ces individus aux éleveurs naïfs ou peu scrupuleux à raison de 5.000 DA l’unité, censés les mettre à l’abri de toute forme de contrôle sanitaire de leur bétail présent sur les marchés de la région. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal territorialement compétent, ils ont été placés sous mandat de dépôt et écroués.

The post El-Bayadh: Un faux vétérinaire arrêté appeared first on .

Categories: Afrique

Chantiers oubliés

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:24

Six ans après leur lancement, 3 chantiers de parkings à étages dans la capitale sont encore très loin de voir le bout du tunnel. Il s’agit des projets d’El Madania, de Hydra et de Kouba (ce dernier devant accueillir une station de bus) qui  ne semblent pas inquiéter outre mesure les autorités de la capitale.

The post Chantiers oubliés appeared first on .

Categories: Afrique

Blida: 7 blessés dans 3 accidents de la circulation

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:24

Par Tahar Mansour

Trois accidents de la circulation ont été enregistrés par les unités de la Protection civile de la wilaya de Blida au cours de la journée d’avant-hier, lundi. Le premier a eu lieu à 6 h 30 du matin sur la voie ferrée au PK 809+37 à un passage à niveau au centre de Berriane quand un train en direction d’Alger a violemment percuté une Renault Express qui transportait deux personnes.

Les agents de l’unité de Boufarik sont intervenus pour secourir les blessés et les évacuer vers l’hôpital de Boufarik où ils ont été pris en charge. La voiture a aussi subi des dégâts à l’avant.

Le deuxième accident a eu lieu à 7 h 53 sur le tronçon de l’autoroute Est-Ouest entre Béni Méred en allant vers Boufarik où deux véhicules de tourisme, une Renault Symbol et une Volkswagen Polo, ont dérapé puis se sont renversées causant des blessures de divers degrés de gravité à leurs conducteurs qui ont été secourus et évacués vers l’hôpital de Boufarik. L’accident a causé un bouchon de plusieurs kilomètres sur l’autoroute du côté de l’accident jusqu’à ce que la route soit dégagée et même du côté opposé par de nombreux automobilistes qui s’arrêtaient pour prendre des photos ou simplement regarder les deux véhicules accidentés. Quant au troisième accident, il a eu lieu à Bahli dans la commune de Soumaa, aux environs de 9 h 55 après qu’une Mercedes a embouti une moto, causant des blessures diverses à trois personnes dont le conducteur de la moto et son passager ainsi qu’au conducteur de la voiture. Les trois blessés ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers du poste avancé de la Protection civile de Soumaa et évacués vers l’hôpital de Boufarik.

The post Blida: 7 blessés dans 3 accidents de la circulation appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – Commune de Constantine: La commission des œuvres sociales fait des vagues

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:23

Par Abdelkrim Zerzouri

Réagissant à l’article paru sur nos colonnes dans l’édition du 5 août 2018, sous le titre «Les travailleurs de la commune de Constantine en colère», le chargé des affaires sociales de la section syndicaliste affiliée à l’UGTA, laquelle section est en conflit avec une seconde section syndicale qui se revendique également de la représentativité des travailleurs de la commune, en l’occurrence M. Bouarroudj, que nous avons reçu hier à notre rédaction, a apporté des éclaircissements au sujet de ce malaise socioprofessionnel qui couve au sein des travailleurs. D’emblée, notre interlocuteur nous dira que l’article en question a ajouté le dépit à la colère, notamment concernant les déclarations de M. Maouadji Hocine, président de la commission des œuvres sociales de la commune.

Rappelons que ce dernier a «pointé du doigt le conseil communal auquel il a imputé cette situation de misère dans laquelle sont plongés les travailleurs de la commune», tout en soulignant que «ce conseil ne donne rien. Figurez-vous que les colonies de vacances que nous avons organisées cette saison n’ont été rendues possibles que grâce au budget des œuvres sociales de 2017, car nous sommes au mois d’août 2018 et le conseil communal n’a pas délivré la subvention à verser au fonds des œuvres sociales». Des propos qui ont provoqué l’indignation de M. Bouarroudj et de nombreux autres fonctionnaires, car la commission des œuvres sociales a terminé son mandat le 18 juin 2018, et M. Mouadjhi n’a plus la qualité de président des œuvres sociales, dont le sort reste suspendu aux actions de renouvellement de ses membres en étroite concertation entre l’administration et les syndicats représentatifs. «Comment voulez-vous que le conseil communal délivre une quelconque subvention dans ce cas de figure (ndlr, fin de mandat des membres de la commission) ?», dira-t-il. Dans ce contexte, M. Bouarroudj nous a révélé qu’une action en justice contre le président de la commission des œuvres sociales est en cours d’instruction.

Le concerné a été entendu sur PV par les services de sécurité le dimanche 5 août à la suite de la plainte qui été déposée devant le procureur de la République près le tribunal de Constantine, laquelle plainte porte sur de graves accusations contre le président des œuvres sociales, qui agit «hors normes réglementaires», «sans aucun plan d’action», «sans la présence des membres de la commission, qui n’ont pas été renouvelés après le départ de certains d’entre eux à la retraite», et qui «n’a présenté ni bilan moral ni bilan financier à la fin du mandat (18 juin 2018)». «Nous avons demandé l’examen des situations financières durant les trois dernières années par un expert financier, afin de situer les dépenses des subventions qui avoisinent les 9 milliards de centimes », ajoutera M. Bouarroudj, qui dira que les travailleurs sont en colère face à ces comportements qui marginalisent les salariés du droit de bénéficier du soutien des œuvres sociales, et qui se demandent à qui profitent les œuvres sociales de la commune ! Notre interlocuteur affirme encore que les primes sont régulièrement versées aux 2.500 travailleurs de la commune (et non 4.000 comme rapporté par l’article, puisqu’il y a eu un déploiement d’une partie du personnel vers les EPIC).

Et, vraisemblablement, tout n’a pas été dit à ce sujet, car le P/APC, qui se trouve en congé, devrait avoir à dire son mot sur ces déclarations, notamment les critiques qui relèvent «l’absence totale de politique de gestion à la mairie», et en attendant les prochains jours, la fin de l’instruction judiciaire, pour voir probablement d’autres rebondissements dans cette affaire.

The post Constantine – Commune de Constantine: La commission des œuvres sociales fait des vagues appeared first on .

Categories: Afrique

Constantine – Mouton de l’Aïd: Affluence timide sur les points de vente

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:22

Par A. E. A.

  Au troisième jour de l’ouverture des points de vente officiels du mouton de l’Aïd, les clients ne sont pas nombreux et ceux qui s’y rendent le font surtout pour se renseigner et tâter le terrain, pendant qu’au niveau des points non réglementaires les choses n’ont pas traîné et les « vendeurs de moutons » sont déjà à pied d’œuvre, à l’instar du point de Aïn El Bey avec une affluence mitigée, mais où des ventes ont lieu malgré les interdictions et les risques de santé encourus. Le directeur des services agricoles de la wilaya, M. Ghédiri, rappelle que ces marchés informels sont strictement interdits, en considération de l’existence de maladies possibles, les moutons qui y sont offerts à la vente n’ayant aucune traçabilité ni suivi par les vétérinaires assermentés. Cela demeure l’affaire des APC concernées pour sévir, par le biais d’abattage pur et simple des bêtes ou par leur saisie, dira-t-il. Pour les questions de prix vente, ils sont situés, selon nos informations, entre 40.000 et 60.000 dinars pour un mouton d’envergure simple et normal pour l’Aïd, sans beaucoup de prétentions. Et évidemment beaucoup plus pour d’autres, dont la fourchette de prix peut aller jusqu’à 80.000 et 120.000 dinars. Ainsi le mouton de « Ouled Jalel » qui, annoncé auparavant au prix de 30.000 et 50.000 dinars, se retrouve finalement au niveau des marchés de la ville propulsé entre 45.000 et 65.000 et même plus. Pourtant et selon le commentaire d’un des citoyens intéressés par l’achat, qui a visité le point de vente de l’ex-ferme Gérard et celui du 13ème km de Aïn S’mara, les bêtes exposées ne payent pas de mine et ce, malgré le prestigieux label de « Ouled Jalel » qu’ils portent.

Questionné sur le sujet des prix du mouton destiné au sacrifice de la fête religieuse, l’Aïd El Adha, le directeur des services agricoles de la wilaya fera savoir qu’il estime pour ce qui le concerne que les prix tournant autour de 40.000 et 55.000 sont relativement abordables et répondent à la règle de l’offre et la demande. « En tout état de cause, je conseille le consommateur d’acheter directement auprès des éleveurs et producteurs, au niveau des exploitations agricoles, ou auprès des points de vente officiels, pour contrecarrer toute activité des spéculateurs et des envolées de prix, qui ne sont pas à écarter. Et aussi et surtout de s’éviter le risque de faire l’amère découverte après achat de l’animal qu’il est malade et d’être obligé de l’abattre », dira-t-il.

Par ailleurs et concernant les cas suspects de fièvre aphteuse détectés à Benihmidène et Ouled Rahmoune, l’inspecteur vétérinaire Mourad Benamer, de la DSA, réitère qu’il s’agit de cas suspects et des échantillons prélevés sont toujours au laboratoire pour analyse. Mais que l’abattage des dix cas de bêtes en question a été décidé par mesure préventive et pour éviter toute mauvaise surprise future.

The post Constantine – Mouton de l’Aïd: Affluence timide sur les points de vente appeared first on .

Categories: Afrique

Mauritanie : La HAPA convoque les partis participants aux scrutins de septembre à une réunion

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 08/08/2018 - 12:16
Tawary - La Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuelle (HAPA) a rendu public, ce mardi 7 août, un communiqué dans lequel, elle convoque...
Categories: Afrique

Mauritanie : Les autorités veulent "saboter" la candidature de Biram aux législatives (Sawab)

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 08/08/2018 - 12:13
Alakhbar - Le président du parti Sawab, Abdou Salam Horma, a accusé les autorités mauritaniennes de vouloir « saboter » la candidature du...
Categories: Afrique

Fermeture des commerces et des cabinets des professions libérales en août: L’anarchie règne

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 12:04

Par Madjid BERKANE

Sans, parfois, même aviser leurs clients et patients ne serait-ce que par une affiche sur les devantures de leurs locaux, les commerçants, médecins, avocats, notaires, architectes baissent rideau et rentrent chez eux ou optent pour d’autres cieux.

Décidément, les commerçants et les professions libérales n’en font qu’à leur tête. Leurs horaires de travail ne tiennent, en dehors de leurs affaires aucune place. C’est ce que dégage en tout cas leur comportement, portant fermeture des commerces pour les uns et les locaux pour d’autres, en même temps à chaque début du mois d’août, et ce pour une durée d’un mois ou plus. Sans parfois même pas aviser leurs clients et patients ne serait-ce que par une affiche sur les devantures de leurs locaux, les commerçants, médecins, avocats, notaires, architectes baissent rideau et rentrent chez eux ou optent pour d’autres cieux. Si le motif tient la route, le congé annuel en l’occurrence, le procédé ne l’est pas. Il est même passible de sanctions. C’est la santé de certains qui est en jeu et les affaires de bien d’ autres qui risquent de se voir évaporer. Ce phénomène qui prend de l’ampleur à chaque été laisse tout le monde sans voix. Ces gens-là disposent- -ils d’un registre du commerce? Y a-t-il une partie à qui ils doivent rendre des comptes? Si c’est le cas, laquelle? Autant de questions et d’autres que ne cessent de poser et de se poser les citoyens à chaque période de l’année.
Le directeur exécutif de la Fédération algérienne des consommateurs(FAC) Mohamed Toumi, que L’Expression a interviewé, hier, à ce sujet, voir ci-après l’interview, a souligné que cette pratique est motivée par l’absence d’une loi devant réguler ce chapitre. Pour Mohamed Toumi, les commerçants et les fonctions libérales exerçant dans le même périmètre n’ont pas le droit de prendre leur congé annuel à la même période. Le congé annuel de ces derniers doit être pris à tour de rôle. Les dégâts de cette anarchie, fera remarquer le directeur exécutif de la (FAC), sont énormes. Ils ne concernent pas uniquement l’intérêt du citoyen, mais aussi l’activité économique du pays. Au sujet de l’activité économique, Mohamed Toumi ramène les dégâts à deux points.
Le premier a trait à l’activité économique elle- même. C’est-à-dire la vente et l’achat se répercutant sur la production.
Le second point est le fait que cette pratique favorise la prolifération de l’informel. Le citoyen qui ne trouve pas le commerçant de son quartier ouvert va se rabattre sur le commerçant vendant à la sauvette. «Cela va compliquer plus tard le travail des associations et celui des collectivités locales contre l’informel», a laissé entendre le directeur exécutif de la «FAC». Par ailleurs, il faut dire que la fermeture des commerçants de leurs commerces et les autres professions libérales de leurs cabinets durant le mois d’août contribue à l’accentuation de la morosité dans nos villes. En effet, les rues et les quartiers déjà peu animés en temps ordinaires deviennent de plus en plus désertes et fantomatiques avec leur fermeture. Une situation qui va à l’encontre de la volonté des pouvoirs publics voulant rendre nos villes plus attractives et touristiques. Pis encore, la fermeture d’un cabinet médical peut pousser un patient à se rendre malgré lui dans un pays étranger pour se faire soigner. Sur un autre plan, il y a lieu de dire que dans d’autres pays, l’activité de certains fonctionnaires libéraux est régie par des lois inhérentes à l’activité publique. Le commerçant approvisionnant un hôpital, une cantine scolaire ne doit pas travailler à sa guise. Son titre de congé doit être visé par l’instance compétente.

The post Fermeture des commerces et des cabinets des professions libérales en août: L’anarchie règne appeared first on .

Categories: Afrique

Les figues et les figues de barbarie à 400 da: Des fruits « exotiques » bien de chez-nous

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 11:54

Par Kamel BOUDJADI

La banane qui a pourtant traversé les océans pour parvenir dans notre pays est cédée entre 300 et 350 dinars.

La saison des figues et des figues de Barbarie arrive et avec elle ces fruits très succulents. La figue dans toutes ses variétés et la figue de Barbarie trop présentes dans le décor local font partie intégrante de la personnalité et de la culture locale. Toutes les familles possèdent au moins un figuier devant la maison et un petit talus couvert de figues de Barbarie. En ces mois estivaux, ces deux fruits s’intègrent harmonieusement au décor des montagnes et surtout à l’image des villages.
Mais d’une part, et contrairement à un temps pas si lointain, ce fruit est aujourd’hui vendu sur les routes dans des conditions d’hygiène lamentables. Selon les vieux, nos ancêtres ne lavaient pas les figues avant de les manger. Ces fruits autant fragiles que succulents perdaient beaucoup de leur saveur une fois lavés. Il suffisait juste d’enlever le bout et parfois jeter un peu d’eau dessus sans toucher de la main. Ce qui n’est plus possible aujourd’hui au vu des conditions dans lesquelles, les figues sont vendues. Une virée sur la RN12 reliant Tizi Ouzou à Alger suffit largement pour se faire une idée du désastre. Exposées aux abords des routes, ces fruits reçoivent toute la poussière soulevée par le passage à grande vitesse des voitures. Ceci en plus de la chaleur dans laquelle elles sont laissées durant toute la journée.
A cette vue, beaucoup de personnes, cédant à la nostalgie, s’arrêtent pour acheter un kilo ou un panier. Les connaisseurs se désolent de ces conditions car ils savent que les figues ne seront jamais bonnes à consommer. Ce fruit très sensible et fragile est pénétré jusqu’au noyau par la poussière de l’autoroute. Pour le consommer, il faut le laver fortement. Mais une fois lavée, la figue se dilue et perd sa saveur. C’est donc, impossible de retrouver le goût de la figue de Kabylie dans ces conditions.
D’autre part, en plus des conditions d’hygiène lamentable, ces fruits sont vendus à des prix trop élevés. Une tournée dans le marché fait ressortir que la figue et les figues de Barbarie coûtent plus cher que la banane. Alors que ce fruit exotique qui a traversé les océans pour parvenir dans notre pays est vendu à 250 dinars, la figue de chez nous s’élève à 300 ou 400 dinars. Beaucoup s’étonnent de la logique commerciale qui a prévalu dans le processus de détermination du prix de ce fruit.
Une interrogation qui en alimente d’autres en relation directe avec la gestion de ce créneau à tous les niveaux.
La figue et la figue de Barbarie sont des fruits du terroir qui méritent la plus grande attention et la plus grande considération. Leur culture et leur vente doivent répondre à des critères à même de faire vivre les producteurs. Ce qui ne semble point être le cas aujourd’hui au vu de la méthode anarchique de leur vente. Ces fruits ne parviennent pas encore à intégrer les circuits commerciaux légaux.
D’ailleurs, beaucoup de producteurs réclament aujourd’hui en urgence un marché pour écouler leurs productions.
L’existence de ce marché spécialisé des produits du terroir sera d’un apport considérable dans l’organisation de toute la chaîne allant de la production dans les vergers jusqu’au consommateur.
Enfin, en attendant l’arrivée de ces marchés, le producteur, lui, souffre. Les vendeurs sont conscients des conditions lamentables, mais ils ne peuvent rien faire. L’absence de marchés les contraint à aller exposer sur les routes. C’est l’unique canal pour se faire de l’argent. Un jeune vendeur nous a d’ailleurs montré des documents sur Internet pour nous prouver que ce n’est pas lui l’ignorant. Il sait bien comment est organisée la filière au Maroc et en Tunisie et il sait très bien où se situe l’incapacité.

The post Les figues et les figues de barbarie à 400 da: Des fruits « exotiques » bien de chez-nous appeared first on .

Categories: Afrique

75 millions de livres scolaires ont été édités: La pénurie sera-t-elle évitée?

Algérie 360 - Wed, 08/08/2018 - 11:51

Par Massiva ZEHRAOUI

Près de 75 millions de ces livres ont été édités et distribués par l’Office national des publications scolaires (Onps) au niveau des établissements scolaires du pays, en prévision de la rentrée, selon ce département.

Le ministère de l’Education nationale promet une rentrée scolaire «sans failles». Ses responsables ont assuré qu’outre la réhabilitation des infrastructures scolaires pour parer la surcharge des classes, il n’y aura pas de pénurie de manuels scolaires. Prés de 75 millions de ces livres ont été édités et distribués par l’Office national des publications scolaires (Onps) au niveau des établissements scolaires du pays, en prévision de la rentrée, selon ce département. Concernant le coût de ces livres, les mêmes services se sont assuré qu’il n’y ait aucun changement par rapport aux prix de l’année dernière. Cette opération aurait été entamée depuis le mois de mars dernier, afin d’être sûr que ces livres soient prêts avant la rentrées des classes au début du mois de septembre prochain. Pour éliminer tout risque de déficit de ces manuels, indispensables dans l’apprentissage des élèves, les services de Nouria Benghebrit ont édité un nombre de livres supérieur à celui de l’année écoulée.

Ceci dit, il faut avouer que ces mêmes garanties sont avancées avant chaque rentrée scolaire, mais à peine l’année entamée que le déficit de ces manuels est très vite enregistré au niveau des établissements scolaires. Rappelons qu’une grave pénurie des manuels scolaires est survenue l’année passée, après l’épuisement des stocks de l’Office national des publications scolaires, qui avait ouvert des points de vente à travers le pays. Il était devenu de plus en plus difficile de se procurer ces livres. 15 jours après la rentrée scolaire 2017-2018, les nouveaux manuels scolaires étaient quasiment introuvables. Suite à cette malencontreuse situation, les parents d’élèves, aux abois, se sont alors précipités vers les librairies privées, où les prix de ces livres étaient pourtant proposés à plus de la moyenne, face aux craintes exprimées par les parents qui ont pris peur que leurs enfants n’accusent du retard dans leurs cours.

Pour sa part, Nouria Benghebrit avait justifié ce retard, en affirmant que tout avait été prévu, du fait que les premiers jours devaient être consacrés à l’évaluation des élèves par leurs enseignants. Des syndicalistes et autres observateurs relevant du domaine, ont eux, imputé cette situation à la mauvaise planification et programmation des responsables chargés de cette question. Pour l’opération de cette année, le ministère de l’Education nationale a indiqué que certains établissements scolaires ont opéré la distribution de manuels scolaires avant les vacances d’été.
Ainsi, l’opération reprendra dés la rentrée prochaine, et ce, jusqu’au 10 octobre prochain. Sur le volet de la gratuité des livres, les mêmes dispositions seront prises pour certaines catégories. Nouria Benghebrit a par ailleurs mis l’accent sur la nécessité d’améliorer toujours plus, les méthodes de distribution des livres scolaires, car ces derniers sont un élément vital et indispensable à l’apprentissage des élèves.

The post 75 millions de livres scolaires ont été édités: La pénurie sera-t-elle évitée? appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.