Rachid Boutlelis
L’envahissement de masures hideuses, érigées en parpaing et tôles ondulées, constituant, désormais, un bidonville, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, suscite la consternation devant ce laisser-faire, ayant des connotations de complaisance, chez les habitants du quartier Ibn Sina’, mitoyen au cimetière européen, juste en face de la base aérienne, à la sortie-sud de la municipalité de Bousfer, qui ont exprimé leur ras-le-bol au Quotidien d’Oran’. Nos interlocuteurs ont, vivement, désapprouvé ce déplorable état de fait, à l’origine de la dégradation qui va crescendo, de leur cadre de vie.«Nous avons avisé les gendarmes qui se sont déplacés sur les lieux pour constater les faits», ont fait remarquer nos interlocuteurs, avant de renchérir, avec une pointe de dépit, « nous sommes durement confrontés aux répercussions négatives, sur notre cadre de vie, enfantées par l’installation de ce bidonville qui ne cesse de s’étendre, dans l’indifférence de tout un chacun. Dès l’apparition des premières masures, près de trois années auparavant, nous avons aussitôt signalé, à plusieurs reprises, cette transgression aux responsables concernés, sans pour autant suscité une réaction, à même d’annihiler la multiplication des constructions illicites».
En effet, selon le constat établi sur le terrain par Le Quotidien d’Oran’ un hideux regroupement de baraques vient, en effet, de naître, tout près du cimetière européen de la commune de Bousfer, juste en face de la base aérienne Gasmi’, sur une assiette où ont été lancés, un peu plus de deux ans plus tôt, des travaux de réalisation d’une cité de logements sociaux. Ce nouveau bidonville, constitué de près d’une centaine de masures, a pris forme dès le lancement des travaux de réalisation de cette cité de logements sociaux. Selon un recoupement d’informations, glanées sur les lieux, la construction d’une baraque dans ce regroupement de constructions illicites, une superficie d’environ quatre mètres carrés, est proposée à partir de sept millions de centimes, négociables. La main-d’œuvre est disponible sur place, en contrepartie, évidement, d’une autre somme d’argent.
Au sein de ce bidonville, visible à l’œil nu, pour les usagers du chemin vicinal, reliant la commune de Bousfer à celle d’Aïn El Turck, des individus, faisant partie probablement des réseaux, veillent au grain et construisent des habitations illicites à la demande en contrepartie d’importantes sommes d’argent. Il importe de noter qu’en contrebas de la cité des 72 logements sociaux participatifs, LSP, sise au lieu-dit Ouadite’, dans cette même commune de Bousfer, la même activité lucrative, de vente de lopins de terre et de baraques, a été constatée par Le Quotidien d’Oran’. A l’instar du bidonville mitoyen au cimetière européen, situé derrière la cité des 72 logements LSP du lieu-dit Ouadite’, est entouré d’amas de détritus et autres déchets de matériaux de constructions, véritable garde à manger pour les chiens errants, rats et autres animaux nuisibles.
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J. Boukraâ
Les habitants des cités AADL 2.500 et 2.700 logements d’Ain Beida viennent de monter au créneau pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme des lacunes, en tenant un sit-in, hier samedi, dans leur cité. Ces derniers mettent au premier plan la non ouverture de la route qui devrait relier ces deux cités et faciliter ainsi les déplacements des riverains, le retard dans le raccordement des deux écoles de façon définitive, aux réseaux électrique et du gaz naturel, le retard dans la réception de nouveaux établissements scolaires: deux écoles primaires et deux collèges, qui, en principe, permettraient à leurs enfants d’éviter de ce déplacer vers d’autres localités.Ces habitants dénoncent, surtout, le manque d’un poste de police pour se sentir en sécurité et protéger, ainsi, leurs enfants ainsi que le manque de sérieux de la part des opérateurs en transport urbains qui desservent leurs cités alors que la rentrée scolaire est dans quelques jours. Les habitants déplorent, aussi, l’inexistence de commerces dits de base. Ils soulèvent, également, le problème de l’accès à la cité qui demeure fermé. Un accès, juste entre le cimetière de Ain El Beida et la caserne militaire, ce qui les oblige à faire un long détour pour accéder à leur cité, en passant par la cité 200 logements Es Senia’ et ce, en prenant le 4ème boulevard périphérique. Il faut signaler qu’il s’agit là d’une énième protestation des habitants qui n’ont cessé d’attirer l’attention des responsables locaux pour la prise en charge de leurs doléances qui datent depuis leur installation sur site, il y a plus de deux années.
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La 23éme édition du salon international du livre d’Alger, débutera le 29 octobre 2018, a annoncé le ministre de la culture Azzedine Mihoubi via son compte twitter.
Pour cette édition, c’est la Chine qui sera à l’honneur: « La république populaire de Chine sera l’invite d’honneur à l’occasion du 60e anniversaire des relations historiques entre l’Algérie et la Chine » Précise le ministre de la culture.
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Khaled Boumediene
La visite d’inspection et de travail effectuée, jeudi dernier, par le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, dans la daïra de Fellaoucène a dévoilé l’aspect désagréable et le visage peu reluisant de l’agglomération d’Aïn Fettah, blottie au pied des grands monts de Trara, à une vingtaine de kilomètres de Nedroma.Dès son arrivée sur les lieux, le premier responsable de l’exécutif est exaspéré par l’insalubrité criarde qui saute aux yeux de n’importe quel visiteur qui arpente les ruelles de cette cité de plus de 6.000 âmes. Des ordures entassées devant des maisons individuelles, des tas de déchets, des ruissellements d’eaux usées, des sacs en plastique de toutes les couleurs composent le triste paysage de la majorité des rues de ce village et portent un coup fatal à la santé publique et à l’environnement en général. Cette situation catastrophique a été fortement décriée par M. Benyaiche.
«Je n’ai jamais vu une agglomération aussi sale et étranglée par les déchets ! Je ne comprends pas pourquoi personne ne s’est inquiété de cette situation. Où sont les élus, que font les responsables ? Pourquoi tout cet abandon, il faut nettoyer tous les points noirs de la ville ! Organisez des campagnes de nettoyage, impliquez tout le monde, les élus, les citoyens et les agents de nettoiement ! Il faut également changer les mauvais réflexes et l’incivisme des habitants pour éviter de telles carences qui sévissent à Aïn Fettah ! », s’est exclamé le wali à l’adresse du président d’APC d’Aïn Fettah, qui n’a point trouvé d’arguments à faire valoir. Il faut rappeler que durant la décennie noire du terrorisme, Aïn Fettah a souffert le martyre à cause des incursions répétitives des groupes armés qui prenaient les immenses forêts de Fellaoucène comme base de repli. En 1994, le parc de la commune d’Aïn Fettah a été complètement incendié et plusieurs personnes ont été froidement assassinées devant leurs proches.
A Fellaoucène (10 kilomètres d’Aïn Fettah), le wali qui a procédé à l’inauguration d’un nouveau service de maternité au sein de la polyclinique et visité les projets de réalisation de 50 et 100 logements sociaux, une salle omnisports, une école primaire et 04 logements d’astreinte pour la police, a écouté les réclamations des habitants portant sur les fortes nuisances dues aux fumées insupportables des déchets brûlés de la décharge publique de Mahrez.
Cette problématique d’incinération des déchets touche aussi la population d’Aïn Fettah. Le premier chef de l’exécutif a instruit les responsables concernés à exploiter la décharge implantée à Hammam Boughrara. Il a promis dans ce cadre de doter les deux communes de camions bennes à ordures ménagères et de réhabiliter le tronçon routier du chemin de wilaya n°105 reliant Sidi Ali Benzemra. M. Benyaiche a clôturé sa visite par la commune d’Aïn Kébira où il s’est enquis des travaux du projet des 30 logements sociaux à Heumri Benamar et visité une aire de repos à El Hashas et une école coranique à Zaouiat Sidi Bénamar.
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K. Assia
Un important lot de boissons alcoolisées soit 15.496 bouteilles de différentes marques, a été saisie par les gendarmes d’Oran. C’est sur la base d’informations parvenues aux gendarmes de Hassi Bounif et faisant état de la commercialisation, sans autorisation, dans une maison, de boissons alcoolisées qu’une enquête a été ouverte. Les investigations ont permis de déterminer l’emplacement de l’habitation sachant que le propriétaire profitait des constructions illicites pour s’adonner à cette activité. Dans ce registre, les gendarmes de Benfreha, de Boufatis appuyés par les unités d’intervention de Béthioua ont procédé à une perquisition ordonnée par la procureur, dans l’habitation en question, et découvert le lot suscité. Le propriétaire de cette marchandise illicite reste inconnu et les recherches se poursuivent.The post Hassi Bounif: 15.496 bouteilles de boissons alcoolisées saisies appeared first on .
Bencherki Otsmane
Avec la fin des vacances et la rentrée sociale en ce début de mois de septembre, des embouteillages sont constatés à l’entrée de la ville notamment au niveau des trois accès à Chlef. En effet, les automobilistes venant de l’ouest de la wilaya (Boukadir, Oued Sly, etc.), de l’Est (Oued Fodda, Karimia, etc.) ou du Sud (Ténès, Abou El Hassan, La Marsa, etc.) éprouvent des difficultés pour accéder au centre-ville en raison des embouteillages relevés particulièrement aux heures de pointe. Ainsi pour améliorer la circulation, les services de la wilaya ont introduit récemment de nouvelles mesures telles que l’installation de feux tricolores aux carrefours les plus fréquentés à l’image de celui de Hay Houria. Pour contourner la ville par le côté ouest, une trémie qui reliera la RN4 au nouveau quartier El Bradai est en voie de construction.La nouvelle organisation du plan de circulation du chef-lieu de wilaya prévoit également de nouveaux pont et de trémies. Il s’agit du dédoublement du pont de Hay Meddahi (Zeboudj). Concernant le point noir que constitue le marché populaire de Hay Bensouna, nous avons appris que des propositions ont été faites. En ce qui concerne les 122 bus affectés à l’université qui font quotidiennement la navette entre Ouled Farès et Chlef sur une distance de 15 km, il a été proposé aux responsables de l’ONOU (œuvres universitaires) un nouvel itinéraire qui permettra de décongestionner le centre-ville. Toutefois les usagers de la route demeurent sceptiques et se demandent si cette nouvelle organisation va leur permettre de sentir un soulagement du trafic routier. Quoi qu’il en soit, la réponse à cette question interviendra dans un avenir très proche, après une période transitoire d’adaptation.
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Rachid Boutlélis
Le phénomène des cordages de petits et de gros calibres, fixés sur la chaussée et installés en travers de la route, a pris des proportions démesurées, dans la contrée d’Aïn El Turck. Destinés, initialement, à amarrer les bateaux, ces cordages, sont désormais utilisés, par les riverains, en guise de ralentisseurs’ dans pratiquement toutes les rues des quartiers, essaimés à travers les quatre municipalités que compte cette contrée, selon le constat établi sur le terrain par «Le Quotidien d’Oran». Cette infraction, qui met à rude épreuve les plus solides des châssis des véhicules, allant jusqu’à les détériorer, irrite, grandement, les automobilistes, notamment les non avertis. Comble de l’ironie, cette transgression, constituant une piètre spécificité pour cette région côtière, s’est carrément intégrée dans les paysages et ce, en l’absence d’une opération d’assainissement à même d’endiguer ce phénomène. Il importe de signaler que ces cordages, qui sont solidement fixés avec des boulons sur les chaussées et suscitent l’ire des usagers, ont causé d’importants dégâts aux voitures.Des altercations ont même opposé des automobilistes, outrés au plus haut point, à des riverains suspectés d’être les auteurs de cette infraction. «Le cardan de ma voiture a été détérioré. Je dois, obligatoirement, le changer mais cependant, qui donc va me dédommager maintenant ? A qui dois-j m’adresser ? Je ne comprends pas cette innommable anarchie», s’est insurgé un automobiliste dépité, originaire de la région du centre du pays, de passage dans cette contrée et dont la voiture a buté sur un gros cordage, dans une rue de la municipalité d’Aïn El Turck. Notre interlocuteur a, encore, renchéri avec colère «n’y a-t-il donc personne pour arrêter ce massacre à ciel ouvert ?». Il est utile de noter, dans ce même contexte, que cette transgression est déplorablement majorée par l’installation, par des riverains également, de ralentisseurs’ hors normes, construits avec du béton en travers les chaussées, qui sont en plus tapissées de nids de poules et autres crevasses béantes. Notons, encore, que ces infractions, qui se sont généralisé avec le temps à la faveur de l’indifférence manifeste des uns et des autres, sont répertoriées dans presque toutes les rues des quatre municipalités de la contrée d’Aïn El Turck. Notons, aussi, que cette infraction est lamentablement additionnée au déplorable état des chaussées qui deviennent carrément impraticables pendant la saison des pluies. Un phénomène dans un phénomène qui suscite le courroux des automobilistes et a été à l’origine de plusieurs accidents de la circulation, dans cette contrée, qui a été désignée comme zone tampon pour les Jeux méditerranéens qu’organisera la capitale de l’Ouest en 2021.
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Bencherki Otsmane
Les services de la wilaya ont engagé depuis plus d’une année des opérations de nettoyage hebdomadaire pour débarrasser de nombreux sites de leurs ordures. Lancée le 1er septembre 2017 par l’actuel wali M. Abdallah Benmansour, ce lifting visait à rendre la ville plus agréable à vivre et surtout dans un environnement sain et propre. Pour cela, le wali a impliqué tous les chefs de son exécutif, qui ont supervisé l’opération de nettoyage et d’enlèvement d’ordure, chacun ayant sous sa responsabilité un site bien déterminé et cela chaque journée de samedi. C’est le cas de la journée du samedi dernier où une opération d’envergure a touché l’ensemble des quartiers de la commune de Chlef. Le dernier bilan fait état de plus de 6 tonnes de détritus enlevées. Pour cela, des moyens matériels ont été renforcés suivis de campagnes de sensibilisation destinées aux citoyens de la ville de Chlef. Aujourd’hui, les habitants ont vu leur ville se moderniser, s’embellir et aussi être sécurisée.Par ailleurs, il est important de souligner que quelques fois l’incivisme de certains citoyens nuit à la gestion des déchets ménagers. A titre d’exemple les bacs à ordures installés au niveau de certains quartiers ont fait l’objet de destruction quand ce n’est pas le vol qui est constaté. Il y a également la sortie des ordures à tout moment de la journée alors que le passage des camions s’effectue à des horaires bien précis pour chaque quartier. Toutefois, malgré ces «carences», il faut reconnaître que la ville de Chlef respire mieux. A ce sujet, le wali dira: «Notre action ne sera pas limitée dans le temps car nous continuerons à œuvrer pour un environnement propre et sain». M. Abdallah Benmansour a également invité la population à «s’animer de bons gestes et d’inciter particulièrement les nouvelles générations d’écoliers et de jeunes de prendre conscience des dangers qui guettent l’environnement notamment ceux découlant du comportement humain et de la mauvaise gestion des ressources naturelles».
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Le chef de l'Etat Patrice Talon en visite de travail en Chine, a été reçu au Grand Palais du Peuple de Beijing, ce samedi 1er septembre par le Président Xi Jinping.
Au cours de la rencontre avec son homologue chinois, Patrice Talon a indiqué que depuis 2 ans, le Bénin s'est engagé dans des reformes structurelles considérables en matière de gouvernance. Des réformes qui, selon le président de la République, sont de nature à favoriser et rassurer l'investissement.
Le climat de confiance qui règne de plus en plus au Bénin, assure-t-il, offre une réponse positive à l'aide au développement et au renforcement de la coopération bénino-chinoise.
Ce fut l'occasion pour le chef de l'Etat de présenter à la partie chinoise, les opportunités qu'offre le Bénin en matière de tourisme et de promotion culturelle. Il n'a pas manqué d'inviter le président chinois à encourager les investisseurs de son pays à poursuivre leurs efforts d'investissement au Bénin.
Convaincu des analyses de Patrice Talon, le président Xi Jinping a fait remarquer que la vision du président béninois, son sens patriotique et de responsabilité sont très rassurants pour la partie chinoise. Pour lui, de nombreux axes et projets de coopération sont déjà en cours entre les deux pays. Ces projets selon Xi Jinping, concernent notamment la rénovation du palais des congrès de Cotonou et du stade général Mathieu Kérékou, le projet de l'aéroport de Glo-Djigbé, la route des pêches, la mise en place de conditions favorables à l'exportation du soja en Chine et l'amélioration des conditions d'accueil et d'intégration des étudiants béninois en Chine.
Au terme des échanges, les deux présidents espérent intensifier les relations entre les deux pays.
Le président Talon s'est ensuite rendu à l'hôtel des invités d'Etat de Diaoyutai, où il a été reçu par le Vice-Président chinois, Wang Qishan.
Pendant le déjeuner offert à la délégation béninoise, celui-ci a salué le leadership du président Talon et rassuré que les rapports entre le Bénin et la Chine ne cesseront de s'intensifier en raison du climat favorable qui règne désormais au Bénin.
F. A. A.
Au pays des 200 mille mosquées, du saint coran dans les bus, dans les taxis, dans les sonneries des portables, dans les administrations et autres, des agriculteurs algériens et musulmans irriguent leurs champs avec des eaux d’égouts pour empoisonner des musulmans et des kidnappeurs violent des enfants et des criminels noient le pays par la drogue emportée même dans des conteneurs, de la viande destinée pour la consommation durant le mois sacré de ramadhan ! Faut-il encore une fatwa du cheikh ‘’Chems Eddine’’ pour interdire aux agriculteurs d’irriguer leurs champs avec des eaux d’égouts, ou une campagne sur les réseaux sociaux à l’image de ‘’ khaliha takhemadj’’ pour obliger ses faux fellahs aux crédits bancaires à se repentir de leur grand péché !
Bien que l’autorité religieuse peu absente, occupée par les arnaques des fausses agences de voyages qui ont arnaqué même des hadjis en quête d’un pèlerinage aux lieux saints de l’islam, son partenaire, le chef du Syndicat des Imams, Cheikh Hadjimi, a volé au secours du ministre de la santé pour lui décrire un médicament fort capable d’abattre ce cholera . Le nouveau Epidémiologue à la barbe et au Kamis a bien trouvé la solution : combattre le Choléra avec 7 dattes, eau bénite et Rokia !
Pour cet Imam, le Choléra est une ‘’baraka’’ de Dieu, car Dieu quand il aime un peuple, il l’accable”. Un prêche qui encourage encore les fellahs d’irriguer leurs terres avec les eaux usées et ils seront remerciés pour leur largesse. Ainsi l’Algérie de ‘’Chemssou’’, D’Hassan Aribi et cheikh Belahmar bat son plein avec la Bédouinisation, le Choléra, la rougeole, la fièvre aphteuse et toutes les maladies du Moyen-âge.
C’est dans le monde de ces 20 mille mosquées, qu’un certain Kamel Bouchi a investi son argent sale pour blanchir son CV et se fait un bon statut religieux de ‘’Si El Hadj El Bouchi ‘’. Le terrain est gagné très vite puisque dans la religion il y a aussi des petits Bouchis, tel que l’imam de Palestro coincé dans l’affaire de la coke et en sa possession 3 milliards de cts, en guise de ‘’Ziara’’ de l’Escobar d’Alger Kamel Bouchi !
L’Algérie qui héberge le plus grand nombre de mosquées dans le monde islamique n’a pas pu transformer ses lieux de culte en un appareil pour combattre la drogue, la corruption, les crimes et les rapts d’enfants et les tricheries. Avec 200 mille mosquées, c’est 200 algériens par mosquée sans citer les ‘’medersa’’ et les salles de prières, mais malgré ce nombre important, ces mosquées restent immobiles devant le nombre grandissant d’algériens qui transgressent sans pudeur les principes de l’Islam, et qui causent le désordre dans la société, du plus petit mal aux plus grandes atrocités.
Un voyou musulman ça n’existe pas ! On ne peut être voyou, corrompu, tueur, tricheur, kidnappeur et aussi musulman ! Et c’est le comportement qui fait la différence entre le bon musulman et le mauvais musulman.
La mosquée ce n’est pas seulement un lieu de prière, c’est aussi une école et les imams sont des enseignants. En Islam, il existe une éducation, une orientation et un accompagnement pour ramener cette brebis égarée au troupeau ! Et c’est le rôle principal de l’imam, du voisinage, de la société civile et des parents ! Mais hélas, ils sont tous démissionnaires …
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