Les agents de la Police Républicaine, placés sous mandat de dépôt pour faits de complicité en bande organisée d'escroquerie sont fixés sur le sort depuis le vendredi 24 août 2018. Raoufou Abiola Oceni et Lavenir Houssotro sont condamnés respectivement à 10 ans et 5 ans d'emprisonnement ferme. L'agent Adelakoun Vicel Falade a été reconnu non coupable.
Les 03 agents de la Police Républicaine sont impliqués dans des faits de complicité en bande organisée d'escroquerie. Raoufou A. Oceni est retenu dans les liens de prévention d'abus de fonction, de complicité en bande organisée, de corruption et de recèlement de corruption et infractions connexes. Il a été condamné à 10 ans d'emprisonnement ferme et à 25 millions de FCFA d'amendes et aux frais.
Concernant les faits de détournements de biens placés sous-main de justice et de destruction de biens de saisie, l'agent a été relaxé au bénéfice du doute.
Le major Lavenir Houssotro du commissariat Klouekanme, est condamné à 5 ans d'emprisonnement ferme et à une amende de 5 millions de FCFA et aux frais.
Le tribunal le retient dans les liens de prévention d'abus de fonction et de corruption. Par contre, il est reconnu non coupable au bénéfice du doute pour les faits de complicité en bande organisée.
Aussi, l'agent Adelakoun Vicel Falade est-il déclaré non coupable au bénéfice du doute pour les infractions qui lui sont reprochées. Le tribunal met les frais à la charge du trésor public.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Le président de la république algérienne Abdelaziz Bouteflika, a entamé de nouveaux changement au sein de l’armée. En effet il s’agirait du chef de la quatrième Région militaire Abderrazak Cherif qui a été démis de ses fonctions, d’après les informations de la chaîne Ennahar.
Il est remplacé par le général Hassan Alaïmia, qui occupait jusque-là le poste d’adjoint du chef de la 4e Région.
S’ajoute un autre changement, à savoir celui du Général-major Said Chengriha, chef de la troisième Région militaire, qui est nommé à la tête des Forces terrestres, en remplacement du général Ahcène Tafer, limogé.
Ces changements succèdent ceux des trois Régions militaires (Première, deuxième et sixième) ainsi que la DSCA.The post De nouveaux changements au sein de l’armée appeared first on .
A. Mallem
Conséquence de la grogne des travailleurs de l’EPIC d’assainissement de Hamma Bouziane, en grève à cause des salaires qui n’ont pas été versés depuis 5 mois, les quartiers de Bekira et de Djelloulia croulaient sous les ordures ces derniers jours, notamment les déchets résultant du rituel du sacrifice des moutons de l’Aïd El-Adha. «C’est un décor d’apocalypse qui s’offre à vos yeux si vous abordez notre cité», nous a expliqué hier un résident de Bekira. Des déchets jetés partout et qui commencent à pourrir au soleil. Des peaux, des viscères, des oreilles arrachées et des cornes de mouton jonchent les rues. Le tout dégageant une odeur putride. «Nous avons beau alerter les services de la mairie, mais ceux-ci nous ont répondu qu’ils ne pouvaient rien faire car une grande partie des agents de l’assainissement était en grève», se lamentent des habitants. A El-Djelloulia, cet autre grand quartier de Hamma Bouziane, les citoyens qui nous ont contactés, hier matin, ont décrit la même situation, ajoutant que la population est prise d’angoisse devant la saleté qui a envahi le quartier et en ces temps où l’on ne parle que d’épidémie. «Ils craignent une épidémie de choléra et ne s’alimentent plus qu’à l’eau minérale dont le prix de la bouteille ne cesse de grimper», nous a assuré un résident du quartier.Cette situation nous a été confirmée d’entrée par le président de l’Assemblée populaire communale de Hamma Bouziane, M. Filali Abderrezak, qui venait tout juste de reprendre son poste après un congé. «J’ai été informé de la grève déclenchée par une partie des travailleurs de l’assainissement qui est à l’origine de l’amoncellement des ordures dans les quartiers indiqués», a-t-il répondu. «Mais, ajouta aussitôt le maire, je viens d’envoyer des équipes de nettoyage dans ces quartiers. Elles se trouvent actuellement sur place et font leur travail», a-t-il assuré. Le maire nous a révélé ensuite qu’il s’était réuni dans la matinée avec le contrôleur financier de la mairie et la rencontre a abouti à un accord sur le règlement immédiat de 3 mois de salaires aux ouvriers de l’EPIC d’assainissement. «Je pense que maintenant le problème est réglé», a estimé le maire en révélant aussi que le système de travail de l’EPIC va connaître un changement en matière de paiement des prestations de l’EPIC. «Nous allons, a-t-il expliqué, adopter le système du paiement à commande’. De la sorte, cette entreprise n’aura plus de problèmes de trésorerie et elle pourra faire face au versement régulier des salaires de ses travailleurs». En attendant, les agents d’hygiène et d’assainissement se trouvent à l’œuvre sur le terrain pour récupérer le temps perdu et rendre à la rue sa propreté.
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A.E.A.
Selon le chef de service «protection de la faune et de la flore» à la conservation des forêts de Constantine, le volume des dégâts d’incendies en matière de patrimoine forestier a reculé de manière significative cet été 2018 et ce, au regard du nombre des interventions anti-incendies enregistrées qui n’ont pas atteint la dizaine et ont concerné une quarantaine d’hectares, dont la majorité est constituée de broussailles et de maquis. Depuis le lancement de la campagne de lutte contre les incendies de forêt, dit-il, à savoir le premier du mois de juin dernier jusqu’au 23 du mois d’août en cours, les départs de feux ont été limités faisant en sorte que nous n’avons eu à intervenir qu’à sept occasions. Et d’indiquer que les superficies ravagées par les flammes n’ont pas dépassé les 41 hectares, dont la plus grande proportion est constituée de broussailles et de maquis et seulement 7,25% ont touché la forêt proprement dite.«Ces incendies, qui ont nécessité l’intervention de nos agents avec équipements et matériel anti-feu, se sont déclenchés au niveau des espaces forestiers de Djebel Ouahch, d’El Djabass, à Constantine, et de Hadj Baba, dans la commune de Aïn S’mara», dira-t-il. Et de préciser dans ce sillage que les interventions n’ont pas duré longtemps et ont été plutôt rapides, de même que les dégâts ont été limités. Bien évidemment, fait-t-il savoir encore, nombre d’incendies se sont déclarés aussi au niveau des autres forêts et d’espaces boisés, situés en milieu urbain, mais qui n’ont pas entraîné de dégâts significatifs dignes d’être rapportés, parce que vite maîtrisés. Toujours selon notre interlocuteur, il y a lieu de signaler néanmoins que si cette période de l’été s’est distinguée par un faible nombre d’incendies, les arbres ravagés par les flammes appartiennent à l’espèce pin d’Alep, principalement. Sachant, dans ce cadre, que c’est là l’espèce d’arbres dominante dans la majorité des forêts de la wilaya et qui en sont couvertes à près de 75%, conclut-il.
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Yazid Alilat
Légère hausse du coût de la vie au mois de juillet dernier par rapport au mois précédent, selon les dernières données de l’Office national des statistiques (ONS). Le taux d’inflation annuel en juillet s’est ainsi établi à 4,8%, en hausse de 0,2 point de base par rapport à juin (4,6%), exprimant une progression lente mais solide des niveaux des prix des principaux produits et services durant cette période.Cependant, le taux d’inflation enregistré au mois de juillet 2018 par rapport au mois de juin 2018 a baissé à -1,9% contre 1,1% en juin et 1,8% en mai par rapport à avril dernier. Ce sont les produits alimentaires frais qui sont à l’origine de la baise de l’indice des prix, et, en termes de variation mensuelle par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont enregistré un recul de 4,5% en juillet dernier par rapport à juin 2018, explique l’ONS. Ce sont les produits agricoles frais qui ont tiré à la baisse la tendance des prix avec une chute de 8,7%, résultat de la baisse des prix de certains produits agricoles de saison dont les fruits et légumes (respectivement -38,8% et -12,5%). Durant cette période, la pomme de terre (+22% en juin), est descendue à 40-45 DA/kg, alors que la hausse moyenne des légumes était de 6,6%, dont la tomate qui était cédée entre 60 et 80 DA/kg, la courgette à 60 DA/kg ou le poivron à 100 DA/kg et l’aubergine à 60-80 DA/kg. Or, le mois de juillet correspond habituellement aux grandes récoltes saisonnières, avec une profusion de produits de bonne qualité, frais, dont la tomate de consommation et industrielle, les haricots, l’aubergine, la courgette, etc. Par contre, les prix du poulet ont fait grimper la tendance, avec une hausse de 3,9% des prix durant le mois de juillet dernier. Cette hausse des prix de la volaille, notamment du poulet, avait en fait coïncidé avec cette histoire de taxe sur certains aliments pour l’engraissement des cheptels, dont le maïs et le soja. Une taxe non prévue par la loi de finances 2018, mais perçue à la source à la douane, ce qui avait fait grimper les prix du poulet entre juillet et début août à plus de 400 DA/kg. Avec l’Aïd El-Adha, la tendance s’est relativement calmée. Les prix des produits alimentaires industriels ont par ailleurs enregistré une variation positive de +0,1%, les prix des produits manufacturés ont enregistré une hausse de 0,5%, alors que ceux des services sont en hausse de +0,1%.
Par groupe de biens et services, les prix de l’habillement enregistrent une hausse mensuelle de 0,2%, les meubles et articles d’ameublement ainsi que les prix des transports et communication sont en légère progression de +0,1%, tandis que le groupe Divers enregistre une croissance de 1,4%. Le reste des groupes s’est caractérisé par des stagnations, ajoute l’ONS. Le taux d’inflation annuel au mois de juillet est par ailleurs en train d’atteindre les prévisions de la loi de finances 2018, qui l’a établi à un seuil de 5,5%. Or, dans ses prévisions pour l’Algérie, le FMI le situe plutôt à 7,4% en 2018 et 7,6% en 2019.
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Les ménages algériens pourraient se réjouir car, selon nos indiscrétions, l’avant projet de loi de Finances pour l’exercice 2019 ne prévoit pas une hausse des prix d’électricité, de l’eau, de gaz et du carburant.
En effet, le gouvernement a précédé l’ouverture de la session d’automne du parlement prévue le 2 septembre prochain par la tenue d’une rencontre dimanche, dont il a été question de débattre des mesures incluses dans l’avant projet de loi de Finances 2019.
L’Exécutif a tenu dimanche, agendas du Premier ministre Ahmed Ouyahia obligent, lui qui sera en déplacement fin de semaine en cours en Chine, une réunion à laquelle ont pris les ministres invités à aborder l’avant projet de LF 2019.
Selon de sources gouvernementales, cette réunion n’avait guère de caractère urgent, sauf que la visite que devra effectuer le Premier ministre en Chine a fait que la date soit avancée exceptionnellement au dimanche au lieu de mercredi.
D’après les mêmes sources, le PLF 2019 ne prévoit ni de nouvelles taxes, ni une révision à la hausse des tarifs d’électricité, de gaz et du carburant, non plus les taxes prévues dans la LFC 2018 que le président Bouteflika avait annulées en juin dernier.
Pour elles, l’avant projet de LF 2019 n’est guère “provocateur” vis-à-vis du citoyen, excepté les quelques taxes contenues dans le chapitre relatif aux clauses douanières et aux impôts liés aux activités industrielle et commerciale ainsi que certaines clauses relatives au domaine de l’Etat.
En effet, cet avant projet traduit, selon nos sources, une politique prudente du gouvernement, en ce qui concerne notamment le volet relatif au budget, les opérations financières de l’Etat, entre autres le budget général qui regroupe toutes les recettes et dépenses budgétaires ainsi que les budgets sectoriels.
La réunion du gouvernement n’a pas manqué de se pencher sur l’épidémie de choléra qui a touché quatre wilayas du pays, dont le chef de l’Exécutif a eu droit à un exposé sur le dossier qu’il a confié, rappelons-le, au premier responsable du secteur de la Santé, Pr Mokhtar Hasbellaoui.
Celui-ci s’est rendu dimanche dans la wilaya la plus touchée par la pandémie, en l’occurrence Blida, où il a affirmé que la situation était maîtrisée.
Samira Belaâmeri / Traduit par: Moussa. K.
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A.E.A.
La coordination des gardes communaux de la wilaya de Constantine a organisé, hier, une réunion en son siège de Aïn S’mara de tous ses affiliés des 12 communes, pour passer en revue leur plateforme de revendications et adresser aussi une lettre au wali pour demander l’autorisation de tenue d’une rencontre régionale de 18 wilayas à Constantine. Selon le président de la coordination des gardes communaux de la wilaya, Youcef Chaib, près de 200 éléments de la garde en question ont assisté à la rencontre pour discuter des points de la plateforme qui restent pendants, mais aussi de se féliciter de ce qui a été réalisé, à l’instar du dossier du logement. Et d’indiquer que, en effet, il n’y a pas lieu d’omettre tout ce qui a été accompli, particulièrement pour ce qui concerne l’application des instructions du ministre de l’Intérieur. Les gardes communaux de la wilaya ont bénéficié au cours du mois de Ramadhan dernier de logements sociaux et des aides à l’habitat rural. Par ailleurs et selon toujours notre interlocuteur, les concernés ont rédigé une correspondance officielle adressée au wali de Constantine, le félicitant de l’exécution des instructions du ministère de tutelle les concernant, d’une part, et sollicitant l’octroi d’une autorisation pour l’organisation d’une rencontre régionale.Laquelle rencontre, fait-t-il savoir, aura lieu avec la participation de 18 wilayas et la présence du président de la coordination et le porte-parole des gardes communaux à l’échelle nationale. En sus, poursuit-il, une copie de cette correspondance sera également envoyée au conseiller du ministre de l’Intérieur, chargé des œuvres sociales et du dossier des gardes communaux. Car il faut l’avouer, si une partie des revendications a commencé à voir un début d’application, il n’en demeure pas moins que plusieurs autres points restent pendants et attendent une solution. Et d’indiquer, dans ce sillage, la reconnaissance officielle des sacrifices de la garde communale, faits pour sauver le caractère républicain de l’Etat, la revalorisation des pensions de retraite, la création d’une prime de dissolution du corps de la garde communale et la réhabilitation des agents «abusivement» sanctionnés et révoqués.
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Ali Chabana
Le secteur de la Santé publique de la wilaya de Tébessa a bénéficié, au titre de l’exercice 2018, de 198 postes budgétaires ouvrant la porte devant le recrutement et le renforcement des effectifs. Les postes budgétaires seront répartis entre les nouvelles structures hospitalières de M’henia Benjedda (réhabilitée) et l’hôpital psychiatrique de 120 lits au chef-lieu, qui seront réceptionnées à la fin de l’année en cours.La wilaya de Tébessa accuse un manque chronique en praticiens spécialisés, en particulier en génécologie obstétrique, cardiologie et chirurgie générale. De même pour ce qui est de la catégorie de médecine générale, là, également, le déficit est constaté dans l’EPH spécialisé mère-enfant Khaldi Azzouz et la clinique chirurgicale Alia Salah à Tébessa ainsi qu’à l’hôpital Mohamed Chebouki à Cheria. D’après le rapport dressé par la DSP, cela est dû en premier lieu au départ volontaire de médecins et leur retour dans leurs wilayas d’origine, conséquence, la couverture médicale s’en fait ressentir, surtout au niveau des services des urgences. En matière de formation de sages-femmes, 45 postes ont été ouverts à l’Institut national supérieur de paramédical à Tébessa pour la période 2016-2018.
D’autre part et selon les rapports établis par les gestionnaires des établissements hospitaliers, les dotations financières allouées demeurent en deçà des besoins exprimés, pour la maintenance et réforme des structures sanitaires, l’acquisition de médicaments, produits pharmaceutiques et matériels médicaux. Citons le cas des services d’hémodialyse dont les prestations coûtent de plus en plus cher, avec l’augmentation du nombre de malades bénéficiaires, ainsi que l’apparition de cas de pathologies rares. Les services de la DSP s’inquiètent aussi du poids des dettes redevables aux fournisseurs privés en médicaments.
Les établissements hospitaliers endettés sont dans l’ensemble soumis à la pression du remboursement des créances, lequel en retour affecte lourdement la gestion. Le secteur nécessite également des dotations financières supplémentaires afin de s’acquitter de ses engagements auprès des services de la distribution d’électricité et gaz, de l’ADE et ceux d’Algérie Télécom. La question est de savoir si tous ces problèmes soulevés par les responsables du secteur de la Santé reviennent au final à l’éternelle problématique de maîtrise des dépenses publiques, des ressources humaines, leur rationalité et leur répartition pour économiser un surplus qui, à son tour, sera exploité pour combler le manque et éluder ainsi les contraintes budgétaires.
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L’Iran plaidera, lundi, pour une levée des nouvelles sanctions imposées à son encontre par Washington, lors des premières audiences devant la Cour internationale de justice (CIJ).
Dans une procédure engagée en juillet, Téhéran appelle les 15 juges permanents de la CIJ, organe judiciaire principal de l’ONU, à stopper la réimposition des sanctions Américaines annoncée par Donald Trump il y a trois semaines.
En mai, ce dernier avait retiré son pays de l’accord sur le nucléaire, signé par l’Iran et les grandes puissances, dont les Etats-Unis, en 2015 et lors duquel Téhéran s’est engagé à ne pas chercher à se doter de l’arme atomique.
En engageant cette bataille contre les USA, l’Iran souhaite « mettre fin sans délai » à ces mesures. Il demande à la Cour basée à La Haye de stopper temporairement les sanctions, avant que les juges ne se prononcent ultérieurement sur le fond de l’affaire.
La CIJ devrait statuer sur la fin provisoire des sanctions exigée par l’Iran dans les deux mois suivant le début des audiences, une décision finale dans l’affaire pouvant prendre des années.
Dans sa requête, Téhéran fait état d’un « siège économique » imposé par Washington, « avec toutes les conséquences dramatiques que cela suppose pour la population Iranienne assiégée ».
Les avocats de Washington présenteront leurs arguments mardi et devraient plaider l’incompétence de la CIJ dans cette affaire.
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Par Kamel BOUDJADI
Pour beaucoup, cette violence a été précédée par des signes avant-coureurs. La cote d’alerte a été atteinte lorsque la violence physique a été signalée dans les écoles.
Un homme a été mortellement poignardé à Boghni, avant-hier soir. Une rixe visiblement anodine a tourné au meurtre. C’est l’explication donnée par des sources locales. A Benchoud, localité située près de Dellys, à la limite ouest de la wilaya de Tizi Ouzou, un homme, âgé d’une cinquantaine d’années, a froidement assassiné sa femme. La victime âgée elle, de 47 ans a été tuée à coups de couteau. Il n’y a pas plus d’une semaine, mercredi dernier, le lendemain de l’Aïd, un homme de 47 ans a été égorgé en plein centre-ville de Tizi Ouzou. La scène effroyable s’est déroulée sous les regards des passants.
La violence, longtemps restée confinée dans des cas résiduels, commence à sortir dans la rue et devenir banale, au point qu’une rixe tourne rapidement au drame et au meurtre. Les cas sont nombreux à indiquer que la courbe est ascendante. La situation est hautement inquiétante. De jour en jour, la violence se banalise. Les meurtres deviennent quotidiens. Les gens commencent vraiment à avoir peur. Avant ces drames successifs, à un rythme plus rapide, des cas ont été signalés, comme le fratricide qui a secoué la région de Aït Yahia Moussa où un homme a tué son frère à coups de marteau pour un différend banal.
Pour beaucoup, cette violence a été précédée par des signes avant-coureurs. La cote d’alerte a été atteinte lorsque la violence physique a été signalée dans les écoles. Des enseignants et des élèves ont été agressés par d’autres élèves. Des établissements scolaires ont été le théâtre de batailles rangées entre gangs. A Boudjima, le lycée et le CEM ont vécu des moments, similaires, poussant les responsables à fermer les établissements. En ces moments-là, les sonnettes d’alarmes n’ont pas été entendues. Pour certains spécialistes, la violence qui sévit aujourd’hui, est une suite logique de celle qui a régné dans les écoles. D’ailleurs, la majorité des personnes concernées ont l’âge qui convient pour tirer les conclusions.
La violence ne concernait pas uniquement le milieu scolaire mais elle se faisait plus présente sur la place publique. Le phénomène des parkingueurs était un indice suffisant pour voir arriver le mal. Mais il fallait qu’il arrive pour le constater avec amertume. Ces jeunes, avec une violence inouïe, ont agressé des centaines de paisibles pères de familles mais ils n’ont jamais été inquiétés. Il aura fallu qu’ils en arrivent au crime pour que la réaction vienne. Pour d’autres, la violence s’explique par le fait que la période que nous vivons est une suite logique de la décennie noire. Les conséquences du terrorisme et du choc subi par les Algériens ne font que commencer. D’aucuns estiment qu’un traitement psychologique de cette période est plus que jamais nécessaire. Après une période vécue sous le diktat du terrorisme barbare qui a décimé des villages entiers, un traitement psychologique du drame n’a pas été effectué comme il se devait. Par ailleurs, notons que la société kabyle n’est pas habituée à ce genre de violence. Jamais de mémoire d’habitant, les meurtres n’étaient aussi nombreux. La vie, bien que difficile dans les montagnes, préservait les habitants des affres de cette criminalité.
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M. Zeggai
La situation se complique davantage pour le RC Kouba et l’USM Harrach. C’est du moins l’impression qui se dégage de la troisième journée qui a vu les nouvelles recrues s’illustrer avec leurs clubs respectifs. A Chlef, l’ASO a exploité la venue du Raed pour signer son troisième succès en autant de matches et s’empare seule du fauteuil de leader. Les jeunes loups du RCK, qui se sont présentés avec seulement trois remplaçants, n’ont pas à rougir de cette lourde défaite, dans la mesure où ils ont tenu la dragée haute à leurs adversaires avec mention spéciale au keeper koubéen Hamdani. Il faut dire que le RCK subit en ce début de saison les conséquences de la non-qualification de ses nouveaux joueurs. C’est le cas de l’USMH où les jeunes ont du mal à résister à la dure exigence de la compétition. Cela a été profitable au MCEE qui a engrangé trois précieux points sur deux réalisations signées Delhoum et Berbeche. Par cette victoire, les Mouloudéens d’El Eulma affichent leurs prétentions, alors que les Harrachis, qui ont aligné leur équipe, se morfondent au bas du classement avec un petit point. De leur côté, l’ABS et l’ESM, les deux ex- co-leaders, ont concédé leurs premiers revers de la saison, respectivement à Biskra et à Sétif. Les Boussaâdis ont tenu bon avant de s’effondrer à la dernière minute devant ce diable de Benachour (ex-CABBA) qui permet à son équipe de remporter le premier succès de la saison avant la réception du NC Magra. De son côté, l’ES Mostaganem est également tombé à Sétif, le stade du NCM n’étant pas encore homologué. Un doublé de Nezouani (ex-MOB) a été suffisant pour les poulains de Ghimouz Amine à rafler la mise même si Meziane (ex-RCR) a donné des sueurs froides aux supporters des «Bleus». A la faveur de ces trois points, le team de Magra a effectué une belle remontée au classement. A Skikda, la JSMS, après deux revers consécutifs, a relevé la tête en s’imposant face au RCR. Un but de Khellili (ex-USMH) a suffi au bonheur de la JSMS en l’absence de son coach, Lamine Bougherrara, suspendu jusqu’à son audition, prévue aujourd’hui. A Saïda, le grand derby de l’Ouest entre le MCS et le WAT n’a pas connu de vainqueur. Le nul ayant sanctionné ces débats n’arrange nullement les affaires des Saïdéens avant leur prochain déplacement chez l’ASMO. Quant aux Widadis de Tlemcen, ils ont réussi à éviter la défaite, ce qui donnera certainement plus de confiance aux protégés de Bouali Fouad pour la suite de la compétition. Le choc tant attendu entre la JSMB et l’ASMO s’est achevé sur un score de parité.Les Béjaouis ont perdu deux précieux points qui vaudront leur pesant d’or au décompte final. Enfin à Blida, l’USMB et l’USMAn se sont quittés dos à dos. Un résultat qui embrouille quelque peu les cartes des Blidéens face aux Annabis qui récoltent un bon point en dehors de leurs bases. Un résultat satisfaisant pour Kamel Mouassa face à son ancienne équipe.
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Chergui Abdelghani
En allant arracher le point du nul de Saïda face à l’équipe du MCS, le WAT a confirmé sa bonne entame de l’exercice 2018-2019. Il est vrai qu’il y avait de la place pour voir les partenaires de Bouguèche revenir de Saïda avec le gain du match. Cependant, le point du nul reste tout de même bon à prendre, notamment en déplacement. C’est du moins l’avis de la majorité des supporters du côté de la ville de Sidi Boumediene après le coup de sifflet final de l’arbitre Farouk Mial. En effet, face à une équipe du MCS qui jouait sur son terrain et devant son public, les protégés de Fouad Bouali ont fait un bon match, avec une possession de balle largement supérieure à leurs adversaires. Bien organisés au milieu et en défense, les Tlemceniens avaient la possibilité de revenir à la maison avec les trois points dans leurs bagages au vu des bonnes opportunités de scorer qu’ils se sont procurées. Une performance qui permet aux gars du Widad de rester invincibles après deux déplacements et un match à domicile. «Tout d’abord, je tiens à féliciter mes joueurs qui ont livré une bonne prestation dans l’ensemble. Nous nous sommes créés plusieurs occasions que nous n’avons pas bien exploitées. Cela dit, il reste que le nul nous satisfait, vu que nous avons joué face à une bonne équipe de Saïda, bien organisée dans tous les compartiments. Il n’empêche qu’au vu du déroulement du match, nous méritons mieux.Ce précieux point va nous permettre de travailler dans le calme tout en corrigeant les lacunes, et préparer dans les meilleures conditions notre prochain match à domicile face à la JSM Skikda», a déclaré le coach Fouad Bouali à l’issue de la rencontre. Il faut savoir par ailleurs que le WAT effectue pour le moment un parcours positif, c’est-à-dire meilleur que celui de la saison passée. En effet, à cette époque, les partenaires de Houssam Bahraoui avaient du mal à s’adapter en collectionnant des contre-performances.
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M. Lamine
Le NAHD aurait pu éviter la défaite devant l’USMA, qui l’a battu par la plus petite des marges au cours du match de mise à jour de la deuxième journée du championnat de Ligue 1 Mobilis. L’absence criarde d’efficacité chez ses attaquants l’a privé au moins du nul, car les «Sang et Or» ont mal exploité les occasions de but qui se sont présentées à eux, notamment en première période. Autant dire que la formation de Hussein Dey était bien loin du rendement affiché lors de la première journée devant le CSC.Elle a manqué de concentration et de réalisme tout au long de sa confrontation face à la formation de Soustara. Les coéquipiers de Gasmi étaient visiblement crispés par le caractère derby de cette rencontre pour la préparation de laquelle ils avaient pourtant bénéficié de plus de temps que leurs adversaires. Il faut dire que le but encaissé à deux minutes de la fin de la première mi-temps les a complètement déstabilisés, au point de perdre leur équilibre durant le seconde période. Certes, l’USMA était mieux organisée, mais cela n’explique pas tout à fait la faible prestation du NAHD dont l’entraineur Dziri a reconnu que son équipe est passée complètement à côté de la plaque. «Sincèrement, je n’ai pas reconnu mon équipe. Je n’irai pas jusqu’à critiquer mes joueurs, mais je dirai qu’ils n’ont pas été à la hauteur de la confiance placée en eux pour sortir un grand match.
On ne pouvait pas battre notre adversaire, qui mérite sa victoire, il faut l’avouer. Toutefois, cette défaite ne doit pas affecter notre moral, bien au contraire, il faut relever très vite la tête et retrouver la forme afin de préparer nos prochaines confrontations avec une grande détermination», a déclaré le coach du Nasria. Ceci dit, l’équipe a déçu ses supporters venus en grand nombre au stade du 20-Août pour donner de la voix et encourager les joueurs.
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