Le Tamazight n’est pas une matière facultative et ne nécessite pas une autorisation parentale pour suivre les cours. La ministre de l’Education nationale Nouria Benghabrit a démenti les informations relayées par les réseaux sociaux dans un communiqué publié sur sa page Facebook officielle.
Un document administratif, largement publié sur les réseaux sociaux, a fait susciter une polémique » l’enseignement de la langue amazighe est toujours soumis à l’autorisation paternelle » et que ce document « doit être dûment signé et légalisé au niveau de l’administration de l’établissement scolaire ».
Mme Nouria Benghabrit a démenti cette fausse information en rappelant le décret ministériel n°631-2004 fixant les modalités de l’enseignement du Tamazight à l’école.
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Engagée sur la voie du développement énergétique durable, l’Algérie se penche désormais sur l’épineux problème de la gestion des déchets. Pressé d’agir face à la multiplication et à la dangerosité des décharges sauvages, le gouvernement veut faire d’une pierre deux coups et investir dans la valorisation énergétique des déchets. Un projet est prévu au début de 2019.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati, a déclaré qu’un projet de complexe de gestion et de valorisation énergétique des déchets est prévu au début de 2019, et ce en vue de réduire les déchets de 30%. Ce projet d’une valeur de 30 milliards de DA, permettra de prendre en charge les déchets dans quatre wilayas : Alger, Blida, Boumerdès et Tipasa, a indiqué Mme Zerouati lors d’une rencontre avec le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, et les autorités locales de la wilaya. La ministre a également évoqué la préparation des assises sur l’économie circulaire, qui débuteront en fin d’année et porteront sur la gestion intégrée des déchets.
Mme Zerouati a souligné l’impératif de trouver des solutions opérationnelles de transport et de transfert des déchets, à l’instar de la création de centres de transit et de tri des déchets valorisables, pour gagner du temps. Elle a, dans ce sens, appelé à mettre un terme au gaspillage et à la surconsommation pour préserver l’environnement. La ministre a évoqué l’idée du transport des déchets par voie ferroviaire. Celle-ci sera examinée dans le projet de valorisation énergétique pour une gestion rationnelle et efficace des déchets. La ministre a mis l’accent sur la nécessité d’introduire un plan de gestion des déchets au profit des nouveaux quartiers en vue de garantir un cadre de vie décent pour les citoyens et préserver l’environnement.
A une question sur la méthode traditionnelle de collecte des déchets à La Casbah, la ministre a indiqué que les ruelles de la Casbah sont exiguës et ne permettent pas l’accès aux camions de collecte des déchets, soulignant que cette méthode est usitée dans d’autres pays du monde. Mme Zerouati a tenu à rappeler que l’implication des citoyens et de la société civile est nécessaire pour la préservation de l’environnement, mettant l’accent sur le rôle efficient du citoyen qui doit inculquer la culture environnementale aux générations montantes. La ministre a, entre autres, évoqué la mise en place d’un plan d’action à court terme pour la troisième unité de tri du centre d’enfouissement technique (CET) de Hamici, pour une durée de 10 ans, et ce pour assurer son exploitation optimale. De son côté, le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a souligné la nécessité de conjuguer les efforts pour trouver des solutions à tous les problèmes liés à la situation environnementale, laquelle est « en nette amélioration ».
Des sommes colossales ont été débloquées pour la prise en charge des questions environnementales, a indiqué M. Zoukh, appelant à une consommation rationnelle, notamment du pain. Il a rappelé les réalisations accomplies par la wilaya d’Alger et le ministère de l’Environnement, particulièrement l’élimination de 500 points noirs à Alger qui ont été transformés en espaces publics et verts. Cette rencontre a permis de passer en revue les mesures prises par la wilaya d’Alger pour la prise en charge de l’environnement, dont le lac de Réghaïa et l’aménagement d’Oued El-Harrach.
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La fondation Joseph Djogbénou vient d'être créée.Sa vision est de Faire prospérer la paix universelle, juste et durable et la coopération internationale d'une part, promouvoir le développement humain durable d'autre part, puis mener des actions sociales, culturelles et philanthropiques. Ses actions visent à promouvoir la production agro pastorale, assister les communes dans l'élaboration et la mise en œuvre des plans de développement et enfin, consolider les programmes de santé communautaire et du développement infrastructurel. De par ses attributions, la fondation Joseph Djogbénou a pour but d'œuvrer pour l'éradication de la pauvreté et de l'exclusion, l'enracinement de la démocratie, la renaissance de l'humanité et la paix du cœur pour tous.
La fondation Joseph Djogbénou est enregistrée sous le N°9/011/PDM/SG/STCCD. Elle est représentée par son président Coffi Saturnin Akpo, son Secrétaire général Marie Charlie Sokou et sa Trésorière générale Adrienne Euphrasie Ayaba Akpo.
La fondation Joseph Djogbénou est implantée à Porto-Novo, dans l'arrondissement de Dodji, où se trouve son siège social.
G. A.
Radio coran célèbre son anniversaire, pour sa 28eme bougie elle a choisie pour slogan « vivre ensemble dans la paix, et la concorde civile ».
Une conférence sera animée jeudi 13 septembre au centre culturel Aissa Messaoudi au siège de la Radio Algérienne au 21 boulevard des Martyrs à Alger. Les différentes interventions des Professeurs universitaires et des Théologiens seront consacré au thème adopté cette année par l’ENRS : « vivre ensemble dans la paix et promouvoir le concept de la concorde civile ».
Les conférenciers aborderont également la problématique du : « Réaliser la paix avec une vision doctrinale moderne ».
Cette commémoration qui coïncide avec la journée de Mouharam « Nouvel an Musulman », sera rehausser par la présence du ministre de la communication Djamel Kouane , du ministre des affaires religieuses et des wakfs Mohammed Aissa et du directeur général de la Radio Algérienne Chaabane Lounakel.
Pour les célébrations de cet événement des chants religieux (madaihs diniyas) seront au programme avec l’interprétation de Cheikh Abdellah Ben Dada.
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Commentant, mercredi, la récente réapparition d’une épidémie de choléra dans le centre de l’Algérie, « une maladie moyenâgeuse oubliée par les praticiens », le président du Conseil national de l’Ordre des médecins l’impute à un environnement « qui s’est passablement dégradé ».
S’exprimant durant l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le Dr Mohamed Bekkat Berkani qualifie cette affection de « maladie des mains sales » résultant, dit-il d’une « absence de prévention » de la part des autorités sanitaires.
En plus des comportements inciviques de citoyens, il pointe du doigt les autorités locales et les bureaux d’hygiène en particulier « qui ne maitrisent ni ne contrôlent suffisamment leur environnement »
Celui-ci tient par ailleurs à relever tout en le regrettant « l’oubli » de création d’une Agence de veille sanitaire dans la loi sanitaire adoptée récemment. Une telle structure est importante indique-t-il, pour déterminer la notion de risque en étudiant et en anticipant toutes les situations de propagation des maladies épidémiques et décider des conduites à tenir lors de leur éventuelle apparition.
Pour le Dr Bekkat Berkani, la prévention devrait être une seconde nature chez les citoyens, tout comme la propreté de l’environnement. A ce propos justement, il relève « l’état de saleté dans lequel se débattent nos villes et jusqu’à nos campagnes ».
En plus du choléra, « une maladie de pays en guerre », il relève, d’autre part, la réapparition, en Algérie, d’autres pathologies à l’exemple de la rougeole mais aussi de la rubéole, laquelle, ajoute-t-il, « cause des dégâts chez les femmes enceintes ».
Revenant à l’épidémie de choléra, il estime qu’elle est un indicateur, un « signal d’alarme » alertant que « notre système de prévention est à l’arrêt », d’où la nécessité de réagir.
En plus de la mise en branle d’un système de veille sanitaire, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins appelle à décentraliser les moyens de prévention et de lutte, à travers la création d’agences régionale de santé.
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ALGER – Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, et l’ambassadrice du Royaume du Danemark en Algérie, Julie Elisabeth Pruzan Jigensen, ont convenu mercredi d’élargir le partenariat bilatéral au-delà du domaine du médicament, tout en renforçant la communication à destination des communautés d’affaires des deux pays, indique un communiqué du ministère.
Lors d’une audience accordée par M. Raouya à Mme Jigensen, les deux parties ont procédé à un échange de points de vue sur l’état de la coopération bilatérale et les voies et moyens susceptibles de la renforcer davantage.
Tout en affichant leur « satisfaction » quant au déroulement des actions de coopération engagées, les deux parties ont convenu de « la nécessité d’élargir le partenariat et l’investissement au-delà du domaine du médicament », selon la même source.
A cet égard, il a été estimé nécessaire que les deux pays puissent faire connaitre le potentiel de leurs économies respectives à travers, notamment, un effort de communication à destination des communautés d’affaires et la multiplication des rencontres entre opérateurs économiques des deux pays.
L’ambassadrice, qui était accompagnée d’une délégation de l’entreprise danoise Coloplast, spécialisée dans la production de dispositifs médicaux (Stomies et sondes urinaires), a fait part du souhait de la partie danoise de consolider le dispositif institutionnel de coopération par la conclusion d’un accord sur la non double imposition.
Coloplast est en mission de prospection en Algérie en vue d’y renforcer sa présence et son investissement, selon la même source.
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La société des aéroports du Bénin sera bientôt mise en place, selon le relevé du Conseil des ministres de ce mercredi 12 septembre 2018. La création et le démarrage effectif des activités de cette société s'inscrivent dans la logique d'une gestion rationnelle du patrimoine de l'Etat afin de réduire les sources de perditions des ressources publiques.
La création de cette société, souligne le Conseil des ministres, permettra de réaliser un recensement exhaustif du patrimoine aéroportuaire national et, l'ensemble des aéroports et aérodromes du Bénin relèveront désormais, de la gestion de cette société.
Pour le gouvernement, la connaissance des actifs aéroportuaires est un impératif qui servira de levier pour la mobilisation de financement en vue du développement des infrastructures du secteur et de leur mise aux normes.
F. A. A.
Sorkoua Sambiéni, maire de Matéri se préoccupe des attaques terroristes et létales qui deviennent très fréquentes au niveau de la frontière la commune avec le Burkina-Faso. A l'occasion de la célébration de la journée mondiale de l'Aide Humanitaire, le 06 septembre 2018, le maire a fait part de ses craintes au directeur de cabinet du ministre de l'intérieur et de la sécurité publique, Ouorou Baro Mora.
« Ma commune fait face au double défi sécuritaire lié à sa position frontalière avec le Togo et le Burkina-Faso, et au terrorisme lié à la menace islamiste qui frappe à nos portes du côté du Burkina-Faso », a confié Sorikoua Sambiéni.
Pour assurer la sécurité au niveau de la commune, le maire a plaidé pour que le gouvernement procède à l'installation de commissariats à Doga et à Tantéga. Ces deux villages, relient Matéri au Togo et au Burkina-Faso.
Tout en témoignant son engouement au président Patrice Talon et ses collaborateurs, il a salué la réforme sécuritaire qui a permis aux commissariats d'arrondissements de renforcer leur dispositif sécuritaire à travers les moyens matériels, humains et financiers.
« Nous sommes satisfaits du niveau sécuritaire que nous avons atteint en si peu de temps avec cette réforme », a déclaré le maire de de Matéri.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Les membres du gouvernement ont institué ce mercredi 12 septembre 2018 en Conseil des ministres, le Programme des soins palliatifs. Ce Programme vise à soulager la douleur et à améliorer la qualité de vie des malades atteints du cancer et autres pathologies graves pour lesquelles l'espoir d'une guérison à court et moyen terme ne peut être envisagé. La mise en œuvre de ce Programme, nécessitera la construction d'unités de soins dont l'Etat assumera le fonctionnement et les charges. Ainsi, conformément aux principes de la couverture sanitaire universelle, toute personne, quels que soient ses revenus, selon la pathologie dont elle souffre ou son âge pourra avoir accès à ces soins palliatifs, contre une symbolique contribution mensuelle à portée de tous.
Selon le relevé du Conseil des ministres, les soins palliatifs et l'accompagnement subséquent s'adressent au malade en tant que personne humaine, à sa famille et à ses proches aussi bien à domicile qu'en résidence hospitalière. Le besoin de soins palliatifs est de plus en plus manifeste dans le pays. Mais l'état des lieux révèle que les initiatives et le dispositif existant sont parcellaires et inefficaces.
L'institution d'un Programme national permettra de renforcer toutes les actions en cours, de manière à les rendre plus cohérentes et intégrées dans la perspective de durabilité et de pérennité.
F. A. A.
L'Alliance Solaire Internationale (Asi) soutient les efforts du gouvernement béninois dans le secteur de l'énergie à hauteur 13 milliards de francs Cfa. Cette subvention intervient 09 mois après la signature de l'accord-cadre portant création de l'Alliance solaire internationale (Asi) auquel le Bénin est partie prenante.
A l'instar des 64 autres pays ayant ratifié l'accord, le Bénin joue pleinement sa partition dans la recherche de solutions aux principaux obstacles communs à un déploiement de l'énergie solaire. A cet effet, le ministre de l'énergie, Dona Jean Claude Houssou a soumis plusieurs projets lors de la conférence inaugurale de l'Alliance solaire internationale qui s'est tenue du 9 au 14 mars 2018 à New Dehli en Inde.
Quelques mois après cette conférence inaugurale, les projets soumis par le Bénin ont reçu l'avis favorables de cette organisation internationale. Ainsi, parmi les 100 projets à réaliser dans 36 pays par l'ASI, les projets du Bénin ont été retenus.
Par ces projets, 550 localités rurales du Bénin seront électrifiées. Il est également prévu la réalisation d'infrastructures sociocommunautaires (Centres de santé, écoles et système de pompage hydraulique) par système solaire photovoltaïque (PV).
Avec cet appui de l'Asi, on comprend que la politique énergétique du gouvernement bénéficie de plus en plus de soutiens ; résultat de la diplomatie offensive du chef de l'Etat, Patrice Talon.
F. A. A.
Réuni ce mercredi 12 septembre 2018, sous la présidence du Chef de l'Etat Patrice Talon, le Conseil des Ministres a mis sur pied le Comité chargé de la coopération muséale et patrimoniale entre la France et le Bénin. L'objectif visé est de procéder à la restitution des œuvres culturelles du Bénin en France. Le comité mis sur pied à cet effet est composé de personnalités réputées dans le domaine. Ledit comité a pour mission de définir avec la partie française, le cadre de partenariat et les modalités de circulation et de restitution des œuvres culturelles du Bénin en France et de convenir des modalités de réalisation d'un inventaire exhaustif des œuvres et des biens culturels concernés.
Pour rappel, le 26 août 2018, renseigne le Conseil des ministres, le Bénin a officiellement porté devant la République française, une requête visant la restitution des biens culturels issus du patrimoine national se trouvant dans plusieurs musées et collections français. Suite à cette démarche, des échanges ont eu lieu entre autorités au plus haut niveau des deux pays.
Le comité a pour objectif de conduire le processus afin que le Bénin puisse rentrer en possession de ces biens qui sont d'une valeur historique, spirituelle et culturelle inestimable.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)Tu