Les grossistes répartiteurs inculpés dans l'affaire faux médicaments vont devoir attendre la date du 27 novembre 2018, pour connaître la sentence du juge. Au terme de l'audience qui s'est déroulée, ce mardi 13 novembre, à la Cour d'appel de Cotonou, le juge en charge du dossier, Hubert Arsène Dadjo, à l'issue des réquisitions et plaidoiries, a renvoyé le verdict au 27 novembre prochain.
Reste à savoir s'il confirmera les 4 ans d'emprisonnement dont 02 fermes et le paiement des 100 millions FCFA d'amende requis par le ministère public contre les inculpés.
F. A. A.
L’engouement “remarquable” des agriculteurs de la wilaya de Relizane pour le crédit R’fig au titre de l’actuel exercice, a favorisé l’extension des surfaces agricoles réservées aux légumineuses et aux céréales, a indiqué hier une source responsable de la direction locale des services agricoles. Plus de 666 dossiers ont été jusqu’ici validés par la Banque de l’agriculture et du développement rural (Badr) et le montage financier de ces dossiers est de l’ordre de 273 904 440,57 DA, fait savoir ce responsable, qui a révélé que le nombre de bénéficiaires à ce crédit devrait atteindre au titre de cette saison les 800 agriculteurs. Il a déclaré, dans ce contexte, qu’environ 8 000 agriculteurs activant dans différentes communes de la wilaya de Relizane ont bénéficié lors de la campagne agricole 2017-2018 de ce crédit sans intérêt, destiné notamment à l’achat de semences et d’engrais.
La hausse du nombre d’adhérents à la formule du crédit R’fig a eu pour effet de réduire la jachère dans la wilaya de Relizane, où plus 2 816 hectares ont été cultivés cette saison contre 3 000 ha l’année précédente, a encore souligné notre source. Le succès de cette formule et l’augmentation des surfaces agricoles sont à mettre au crédit des journées de sensibilisation organisées en direction des agriculteurs pour la réduction de la jachère et en optant pour la culture des légumes secs. Concernant l’actuelle campagne labours-semailles, lancée mi-octobre, ce responsable a précisé qu’elle se déroulait dans “d’excellentes conditions”, grâce aux précipitations enregistrées dernièrement et la forte disponibilité de semences et d’engrais.
Il a, à ce propos, expliqué que plus de 33 427,50 quintaux de semences, toutes espèces confondues, ont été livrés aux agriculteurs par la Coopérative des céréales et des légumes secs (CCLS) de Relizane, en même temps qu’une quantité de 37 000 quintaux d’engrais et plus de 8 700 d’angrais de fond. Constitué de plus de 3 269 tracteurs, le parc de matériel agricole de la wilaya de Relizane est suffisamment doté pour garantir le succès de cette campagne, a ajouté la même source.
E. Yacine
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Organisé par la direction du Tourisme et de l’Artisanat en collaboration avec la Chambre de l’artisanat et des métiers, un Salon national de l’artisanat s’est ouvert hier à la Maison de la culture Nour-Boubakeur du chef-lieu de wilaya avec la participation d’une cinquantaine d’artisans, venus de 17 wilayas du pays exposer leurs produits, habits traditionnels, bijoux traditionnels, travail sur bois, objets de décoration et d’art, tapis et tissage, poterie, fromage traditionnel Bouhaza, apiculture (miel et dérivés). Pour Bacha Mabrouk, artisan apiculture et dérivés (Oran), “l’apiculture a beaucoup évolué, on assiste depuis une dizaine d’années à une diversification des produits, d’autres arriveront après. Cependant l’État doit revoir sa stratégie de l’artisan, on est marginalisés comparativement à ceux dans des pays voisins”. De son côté, Boukhdir Hassina, artisane spécialisée dans l’habit traditionnel (Souk Ahras), “il existe, d’abord un problème de commercialisation, le produit n’est pas demandé dans toutes les régions du pays, ensuite celui de la cherté de la matière première qui, en plus, n’est disponible qu’à Ghardaia et Constantine”. Cette manifestation culturelle, qui a connu un engouement particulier dès l’ouverture, s’étalera sur 3 jours.
B. NACER
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Les moniteurs et autres instructeurs d’auto-école de Bouira viennent de lancer une pétition dans laquelle ils interpellent les pouvoirs publics, notamment la Direction des transports de la wilaya (DTW), sur “l’absolue nécessité” de doter la wilaya, plus précisément la commune de Bouira, d’un circuit d’examen digne de ce nom. Selon ledit document dont Liberté détient une copie, l’actuel circuit situé au parking du stade Rabah-Bitat de Bouira est inadapté aux besoins de leur profession. “Nous enseignons dans des conditions déplorables. Le circuit dont nous disposons est assimilable à un vaste champ de patate, tant il manque d’aménagement et, surtout, avec le temps il s’est avéré trop exigu”, indiquent les signataires de cette missive. Le circuit d’examen est dégradé, précisent les pétitionnaires, en évoquant le circuit situé aux abords de la RN33, plus communément appelé route de Haïzer. Pour les représentants de ces professionnels, le chemin servant d’examen pour les candidats est dégradé et impraticable. Et d’expliquer que “le circuit actuel, si on peut qualifier un parking de circuit, ne répond pas à nos besoins (…) Parfois, quatre à cinq auto-écoles passent des examens simultanément, ce qui nous empêche de faire notre travail dans les meilleures conditions”. Selon eux, les candidats ne peuvent assimiler les règles de la conduite dans un circuit implanté dans un parking, précisent-ils, tout en rappelant aux responsables de la DTW et l’APC de Bouira leurs engagements pris en mars 2016. “Suite à notre débrayage initié en 2016, les autorités se sont engagées à nous accorder un circuit digne de ce nom. Depuis, rien n’a été fait !”, ont-ils déploré. Pour sa part, le directeur local des transports s’est dit attentif aux préoccupations des auto-écoles. “Nous sommes au courant des conditions dans lesquelles exercent ces moniteurs et nous faisons tout afin de les améliorer”, dira en préambule le nouveau DTW de Bouira. Ce dernier a annoncé qu’une étude pour la réalisation d’un circuit répondant aux normes a été lancée par ses services en collaboration avec ceux de l’APC de Bouira. Idem pour la commune de Lakhdaria (ouest de Bouira) où, selon le même responsable, un autre circuit plus adapté est en cours d’étude.
À titre indicatif, 178 auto-écoles activent à l’échelle de la wilaya, dont 78 se trouvent au chef-lieu, Bouira.
RAMDANE B.
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La wilaya de Tamanrasset a mis en place 1000 caissons à ordures ménagères afin d’éradiquer le phénomène des décharges sauvages qui enlaidit la capitale du tourisme saharien. C’est ce qu’a indiqué, avant-hier, le directeur de l’entreprise publique de gestion des centres d’enfouissement technique de la wilaya, Abdelkader Khilouli, lors d’une courte entrevue accordée à Liberté. Notre interlocuteur a précisé que ces bacs ont été installés dans 22 quartiers de la ville afin d’en finir définitivement avec les points noirs recensés par la commission de l’environnement et les associations locales. “La logique des collectes réalisées par sections est révolue avec la nouvelle stratégie de la wilaya portant sur la dotation de tous les quartiers de la ville en nombre suffisant de bacs à ordures ménagères et l’installation des entreprises de ramassage auxquelles plusieurs avantages d’accompagnement ont été accordés”, a souligné le directeur de l’EPGCET de Tamanrasset en faisant remarquer que le parc de véhicules destinés à la collecte s’élève à 21 camions à benne tasseuse, dont 11 appartiennent à des entreprises créées dans le cadre du dispositif Ansej, 8 à l’Epic Tamnet et 3 à l’APC de Tamanrasset. D’après le même responsable, plus de 80 t d’ordures ménagères sont ramassées quotidiennement dans la ville de l’Ahaggar. Le chiffre qui était, dans un passé récent, arrêté à 35 t/jour peut être revu à la hausse avec les mesures incitatives prises au profit des entreprises chargées de la collectes, laquelle se fait par 4 brigades intervenant 24/24h. “La nouvelle stratégie de gestion des déchets ménagers nous a permis d’instaurer des règles de base de la salubrité publique, mais surtout d’embarquer tous les intervenants dans un environnement concurrentiel ayant donné lieu à une véritable course aux déchets”, note notre interlocuteur. À ce propos, il a tenu à faire savoir qu’à la pesée, l’entreprise reçoit 2500 DA pour chaque tonne ramassée. Les employés de l’Epic Tamnet, eux, sont payés suivant le barème appliqué par leur direction. L’entreprise publique de gestion des CET de Tamanrasset envisage de se lancer dans le tri sélectif en amont afin de favoriser l’émergence des petites industries de transformation et de recyclage et, du coup, la création des postes d’emploi.
Cependant, ce projet bute sur l’incivisme de certains habitants qui freinent toute bonne initiative et qui avortent les efforts consentis pour que Tamanrasset se départisse de son label d’une grande ville poubelle. Il est donc plus qu’impératif d’impliquer les responsables de quartiers et les notables de la région pour faire aboutir la nouvelle stratégie de la wilaya, particulièrement de l’EPGCET qui déploie de gros moyens pour un ramassage régulier des ordures ménagères, le balayage quotidien des principales artères et avenues de la ville, le nettoyage des oueds et l’enlèvement des déchets encombrants.
RABAH KARÈCHE
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Depuis la création de l’automobile et plus précisément le taxi qui est devenu un moyen plus commode créant une certaine liberté de l’individu et parfois une intimité à titre individuelle vers tous les horizons et d’une façon plus rapide. Le chauffeur de taxi peut transporter ses clients en groupe ou seul. Ce genre de locomotion rend un fier service aussi bien aux pouvoirs publics en raison du manque de transport jadis très limité et une prestation de service aux usagers vu la démographie et cela se passe surtout dans les pays sous développés ou en voie de développement. Charité bien ordonnée, il faut commencer par soi même. Après plus de 50 ans d’indépendance, le ‘’ taxieur’’ algérien rencontre des problèmes multiples de la part de l’Etat ainsi que des taxis clandestins et arrive tout juste à joindre les deux bouts et parfois s’endette. Il fait une recette de 2000,00 à 3000,00 par jour où il doit défalquer toutes charges. Comment faire pour recouvrir leurs droits. Les ‘’taxieurs sont considérés au même titre que des commerçants. Il faut signaler de prime abord que le chauffeur de taxi légal trouve des difficultés pour faire face aux nouvelles applications réglementaires du fait qu’il doit supporter toutes les charges à savoir qu’il doit acheter par ses propres moyens financiers son véhicule, payer l’assurance de son véhicule, de sa personne et des usagers. Par ailleurs, il doit faire face à l’entretien de son taxi dans son appellation la plus large à savoir le contrôle technique et les pannes récurrentes sans parler des risques de la route et de certains usagers parfois violents et des contraventions qui peuvent pleuvoir de partout . En guise de récompense, il n’y a pas en contrepartie une contribution de l’Etat pour qu’il puisse acheter un véhicule ou bien alléger les charges fiscales comme cela se fait dans les pays voisins. Malheureusement, en plus de tout cela, un autre problème plus grave se pose à eux avec acuité qui est le problème des chauffeurs de véhicules clandestins qui s’érigent en ‘’taxieurs’’ sans pour autant avoir d’autorisation et ne payent absolument rien en contrepartie et leur volent leurs courses toute honte bue au vu et au su de tout le monde sans pour autant que les services concernés ne lèvent le petit doigt pour mettre un terme à cela. Il est à noter à titre indicatif qu’il existe à l’échelle nationale 180.000 ‘’taxieurs’’. Quand le taxieur’’ recouvrira il ses droits pour une vie digne ?
BENYAHIA EL HOUCINE
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Les insinuations du ministre de la justice, Tayeb Louh portées sur le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, ont pris une nouvelle tournure. Selon le secrétaire général du FLN Djamel Ould Abbès personne n’a à se mêler de cette affaire« Louh est un ami, il est ministre du gouvernement de Bouteflika, Ouyahia est le Premier ministre du même gouvernement. Seul le président Bouteflika pourra trancher sur cette affaire », a-t-il déclaré au microphone de la chaîne privée El Bilad TV.
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Dans une interview accordée à Manus Cranny sur « Bloomberg Daybreak: Middle East », Abdelmoumen Ould Kaddour, président-directeur général du groupe Sonatrach, a évoqué les projets de développement de la société. Il évoque également l’accord de Sonatrach avec BP et Equinor pour l’Algérie, ainsi que les prix du pétrole.
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