Le rappeur Moha La Squale, de son vrai nom Mohamed Bellhamed, a récemment fait l’objet d’une arrestation en Allemagne et d’une extradition en France. Cette […]
L’article Accusé de viol, Moha la Squale, le rappeur d’origine algérienne arrêté en Allemagne est apparu en premier sur .
Une vidéo virale, partagée récemment sur les réseaux sociaux, a suscité une vive réaction de la part des internautes. Dans cette séquence choquante, un camion […]
L’article Un chauffeur de camion manque de faire un carnage sur l’autoroute, la GN intervient est apparu en premier sur .
La mise à la retraite d'office de fonctionnaires de l'Etat est l'un des sujets sur lequel est revenu le président de la République Patrice Talon, jeudi 08 février 2024 en conférence de presse.
« Tous ceux qui sont concernés » par la mise à la retraite d'office ont droit à « un traitement particulier de sorte que personne n'ait une chute de revenus pendant les 2 ans qui vont suivre (…) », selon les explications du président Patrice Talon, jeudi 8 février 2028.
Le modèle est mis en place de sorte que l'agent mis à la retraite commence à toucher immédiatement sa pension mais reçoit tous les mois une compensation financière. Les deux premières années, le fonctionnaire touche un revenu plein tout en étant à la maison et la moitié du revenu à partir du temps qu'il reste s'il n'y avait pas eu mise à la retraite d'office.
« Pendant deux (02) ans, il n'y a pas de perte de revenus », indique le président. Patrice Talon a ajouté à titre d'exemple que : « si un fonctionnaire va à la retraite avec 200.000 de pension mensuelle pour un salaire mensuel qui était de 300 000, pendant les deux premières années, il va toucher en plus de sa pension normale un montant de 100 000 qui est la différence entre la pension et le salaire ».
Le Bénin n'est pas le premier pays à décider de la mise à la retraite d'office des fonctionnaires de l'Etat, a reconnu le Chef de l'Etat mais aucun pays au monde n'a mis en place des mesures compensatoires « en termes financier ». « (…) Moi je n'ai vu dans aucun pays, un Etat faire ça, quand bien-même la mise à la retraite d'office n'est pas quelque chose que le Bénin a inventé », a indiqué Patrice Talon.
En ce qui concerne le bien-fondé de la mesure portant la mise à la retraite de centaines de policiers, douaniers, militaires, garde-forestiers, plusieurs critères ont prévalu. Il s'agit, entre autres, d'aptitude physiques, de disponibilité, régularité et le souci d'avoir des effectifs capables d'aller au front face aux défis sécurités car à en croire le président de la République, la pyramide est renversée au sein des Forces de défense et de sécurité. Il y a plus de gradés que d'agents à commander. « Nous avons besoin de jeunes pour constituer notre réelle force de sécurité et de défense. Des jeunes qui forts vaillants, agiles qui sont encore dans les forces de l'âge », a expliqué le Chef de l'Etat.
M. M.
Un Libanais, propriétaire d'un restaurant à Cotonou, a été jugé, jeudi 08 février 2024, par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Il est poursuivi pour vol de courant de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE).
Des expatriés se mêlent à la pratique malsaine de vol de courant de la SBEE. Un Libanais, promoteur d'un restaurant à Cotonou, est poursuivi devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Il a été jugé ce jeudi 08 février 2024.
Selon le représentant de la SBEE rapporté par Banouto, l'accusé utilise l'énergie électrique de la SBEE sans payer les réels montants de sa consommation ; et ce, sur une période estimée à 06 mois (juillet à décembre 2023). Les vérifications effectuées ont révélé que malgré que le compteur qui alimente les installations de son commerce soit disjoncté, les lumières sont toujours allumées.
Le Libanais selon les déclarations du représentant de la société distributrice de l'énergie électrique, dispose de réfrigérateurs, de climatiseurs et de pleins appareils de grande consommation d'énergie électrique.
A la barre ce jeudi 08 février 2024, l'accusé n'a pas reconnu les faits mis à sa charge. Il a expliqué à la Cour qu'il n'est pas le propriétaire de l'emplacement que son restaurant occupe. Il l'aurait loué auprès d'un de ses compatriotes qui serait introuvable.
La SBEE réclame des millions de francs CFA pour préjudices.
Selon le représentant de la SBEE, le montant des préjudices causé par le Libanais est estimé à des millions de francs CFA.
La consommation relevée sur le compteur pendant la période indiquée, est de 16 millions de francs CFA, auxquels s'ajoutent les pénalités qui s'élèvent à 04 millions de francs CFA, soit au total 20 millions de francs CFA.
Sur ce montant, la défense informe que l'accusé a déjà payé 03 millions de francs CFA, et il aurait même entrepris des démarches pour payer les 17 millions FCFA restants avec des possibilités de réduction.
Le dossier et renvoyé au 04 avril prochain.
Fiat Algérie a officiellement annoncé hier, soit le jeudi 08 février 2024, des réductions pour les clients à partir du 1er février en cours dans […]
L’article Fiat Algérie : réductions sur différents modèles de voitures est apparu en premier sur .
L'École de Formation des Professions Judiciaires (EFPJ) lance un cycle préparatoire de neuf (09) mois, ouvert à toute personne aspirant aux corps des auditeurs de justice (élèves magistrats) et des greffiers (élèves greffiers). L'objectif est d'assurer une meilleure préparation intellectuelle des candidatas aux concours d'accès à ces corps. Le dépôt des dossiers se fera du 12 au 19 février 2024. Voici les conditions d'accès, les frais de formations et les pièces à fournir.
Face à la presse ce jeudi 8 février 2024, le Chef de l'Etat Patrice Talon s'est prononcé sur la question de la révision de la Constitution béninoise qui alimente des doutes sur un 3e mandat.
« Désormais on soupçonne tout le monde (les présidents africains, ndlr) à la fin du 2e mandat de chercher les voies et moyens pour contourner les dispositions constitutionnelles », a relevé le Chef de l'Etat, Patrice Talon. Selon lui, cette question est réglée au Bénin depuis la dernière modification de la Constitution en 2019 à son initiative. « Nous avons précisé dans la Constitution que nul ne peut de sa vie exercer plus de deux mandats. Que la constitution soit nouvelle, qu'il s'agisse d'une nouvelle République, qu'il s'agisse de quoi que ce soit, aucun vivant au Bénin ne peut faire plus de deux mandats en qualité de président de la République », a-t-il déclaré. Pour Patrice Talon, ce sont les « acteurs politiques qui agitent cela (le débat de 3e mandat, ndlr) juste pour se donner une raison d'exister, pour créer de la polémique, pour animer le débat politique avec un sujet qui en fait n'en est pas un ».
Le sujet sur la révision de la constitution intervient après une décision de la Cour constitutionnelle relative à la relecture du code électoral. Par décision en date du 4 janvier 2024, la Cour constitutionnelle a invité l'Assemblée nationale à modifier le code électoral pour, d'une part, rétablir l'égalité du pouvoir de parrainer à l'égard de tous les maires et, d'autre part, rendre conformes à l'article 49 de la Constitution les dispositions de l'article 142 alinéa 6 de la loi n°2019-43 du 15 novembre 2019 portant code électoral.
Le député du Bloc républicaine Assan Séibou a introduit une proposition de loi portant révision de la Constitution au parlement le 26 janvier dernier.
« J'ai lu la proposition de loi en question et je n'ai pas vu dans sa proposition de loi qu'il souhaite qu'on extirpe, qu'on sorte de la constitution cette phrase là que nul ne peut de sa vie exercer plus de deux mandats, de sa vie, qu'il s'agisse d'une nouvelle constitution ou non », a confié le Chef de l'Etat. Tant que cette phrase demeure dans la Constitution, poursuit-il, il n'y a aucune raison qu'on me soupçonne de vouloir faire comme tout le monde, comme ça se passe ailleurs.
Patrice Talon soutient qu'aucun Béninois de son vivant ne pourra enlever cette phrase de la Constitution. « Est-ce qu'à l'occasion de l'examen d'une retouche technique, les uns et les autres, ne seraient pas tentés d'enlever cette phrase-là ? Je crois que personne au Bénin ne pourra le faire, personne au Bénin. Il n'y a pas un Béninois qui veuille bien que cela se passe, personne, à commencer par moi-même », a-t-il affirmé.
Ce que souhaite Patrice Talon
Le Chef de l'Etat est également contre le fait de toucher à la Constitution pour régler le dysfonctionnement constaté dans le cadre de l'élection présidentielle d'avril 2026 relatif aux parrainages. « Je ne veux pas qu'on touche à une virgule de la Constitution. Il ne faut pas le faire. Et je l'ai dit déjà aux députés qui se réclament de mon bord (Bloc Républicain et Union Progression- Le Renouveau », a-t-il confié. Patrice Talon souhaite que les tous les partis s'entendent pour modifier le code électoral. « Que les modifications à faire soient conformes à l'esprit de la Constitution et à l'éthique. C'est mon souhait », a-t-il ajouté.
Selon les dispositions actuelles, les élections couplées législatives et communales sont organisées le deuxième dimanche du mois de janvier de l'année électorale soit le dimanche 11 janvier 2026. L'élection du président de la République est organisée le deuxième dimanche du mois d'avril de l'année électorale soit le dimanche 12 avril 2026. Des députés de la 9e législature ne seront plus en mesure de parrainer les candidats à l'élection présidentielle 2026 puisque de nouveaux députés seraient déjà élus le 11 janvier. Les députés élus le 11 janvier ne pourraient être aussi habiletés à parrainer les candidats à la présidentielle de 2026. La clôture du dépôt des dossiers pour l'élection présidentielle est fixée au jeudi 5 février alors que les nouveaux députés ne seront installés que le dimanche 8 février. De même, tous les maires ne seront pas encore installés pour délivrer les parrainages.
Dans la proposition de la loi portant révision de la Constitution introduit au parlement, il est suggéré « la modification de l'article 153-1 alinéa 1 afin que l'élection du duo président de la République et vice-président de la République soit organisée avant celles des députés et des conseillers communaux ».
A.A.A
Suite à des allégations d’arnaque formulées par des étudiants algériens concernant les frais d’inscription à l’EDC Paris Business School, l’établissement apporte des précisions sur la […]
L’article Remboursement des étudiants algériens : l’école française réagit aux accusations est apparu en premier sur .
Amadou Diongue, représentant résident de la CEDEAO salue la transformation économique qui s'opère au Bénin grâce à la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Au terme d'une visite mercredi 07 février 2024, le diplomate s'est dit très impressionné par ce projet d'envergure du Programme d'action du gouvernement.
C'est formidable ce qui se passe à la Zone industrielle de Glo-Djigbé. Le représentant résident de la CEDEAO a exprimé sa fierté après une visite mercredi 07 février 2024. « C'est un plaisir de voir comment un pays se transforme en quelques années par la vision d'un Etat, de son gouvernement et de son président », a confié Amadou Diongue.
Le diplomate a noté au cours de sa vite que le Bénin à travers la GDIZ, procède à la combinaison des deux principaux facteurs : transformer les produits agricoles et profiter de sa position pour les placer sur le marché étranger et le marché régional. « C'est un défi de voir que le Bénin passe en quelques années, d'une économie d'importation et de réexportation, à une économique de production », a félicité le représentant résident de la CEDEAO. Ce qui, selon lui, permet « d'amorcer le développement d'un pays ».
Amadou Diongue s'est par ailleurs dit très impressionné par « une présence nationale et régionale dans les investissements » à la GDIZ (46%). Fait peu courant dans les zones économiques spéciales en Afrique et qui dénote « d'un excellent début ».
Le représentant résident de la CEDEAO s'est engagé à promouvoir la GDIZ, zone où « la rentabilité et les facilités sont les mieux offertes ».
Située à environ 45 Km de Cotonou, la Zone industrielle de Glo-Djigbé, fruit de la Joint-venture entre le gouvernement du Bénin et le groupe ARISE II a connu un succès fulgurant en l'espace de 02 ans d'exploitation. Selon les responsables de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), structure en charge de l'aménagement et de la promotion de la zone, 36 investisseurs opérant dans divers secteurs (transformation du coton, du soja, de cajou, etc), se sont installés au terme de la 1ère phase de 400 ha.
Quelques images
F. A. A.
Des dégâts estimés à des centaines de millions de FCFA ont été enregistrés dans l'incendie d'une unité de fabrication de matelas survenu jeudi 08 février 2024 à Godomey, Togoudo, dans la commune d'Abomey-Calavi.
Un incendie s'est déclenché dans une usine de fabrication de matelas jeudi dernier à Godomey Togoudo, dans la commune d'Abomey-Calavi, département de l'Atlantique.
Plus de 70 tonnes de mousse seraient parties en fumée.
D'autres biens dont des équipements, de l'argent, des motos, téléphones portables, et autres matériels ont également brûlés dans l'incendie.
Les flammes se sont propagées aux habitations proches de l'unité de fabrication de matelas.
Il n'y a pas eu de perte en vies humaines. Mais un blessé a été enregistré dans une maison jouxtant l'atelier de fabrication de matelas.
Un court-circuit électrique aurait provoqué l'incendie dévastateur, selon le propriétaire de l'usine de fabrication de matelas.
M. M.
A la recherche de 20 milliards sur le marché de l'Union Monétaire Ouest Africaine, le Bénin obtient 70 milliards et retient 13 milliards FCFA.
L' Etat béninois a fait une émission simultanée de Bons et d'Obligations Assimilables (BAT-BAT-OAT), jeudi 08 février 2024 sur le marché financier de l'UMOA.
Le Montant global des soumissions s'élève à 70 884,220 milliards de FCFA et le Bénin a retenu 13 183,2200 milliards de FCFA.
La maturité est respectivement de 91 jours pour le BAT dont l'échéance est le 09 mai 2024 et de 182 jours pour une échéance fixée au 08 août 2024. Leur valeur nominale unitaire respective est un million.
L'OAT a une durée de 3 ans pour une valeur unitaire de dix mille francs au taux de 5,75%. La date d'échéance est le 19 janvier 2027.
M. M.
Aujourd’hui même, le passage de diverses perturbation météorologique en Algérie va entraîner un changement notable dans les conditions climatiques à travers le pays. Une alerte […]
L’article Météo en Algérie : vents violents dans plusieurs régions est apparu en premier sur .
Face à la presse nationale ce jeudi 08 février 2024, le chef de l'Etat Patrice TALON s'est prononcé sur plusieurs sujets d'actualité. S'exprimant sur la situation politique dans la sous-région, notamment la sortie annoncée du Mali, du Burkina, et du Niger de la Communauté des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), il dit être très peiné de cette décision prise par les dirigeants de ces trois pays.
La crise politique que connait l'Afrique de l'ouest avec la situation au Niger, au Burkina Fao et au Mali, a déjà trop duré et il faudrait selon Patrice TALON, « tout laisser tomber » et satisfaire aux aspirations de ces trois peuples afin que « la décision de se retirer de la CEDEAO n'aille pas plus loin que l'intention ou la déclaration ». Le chef de l'Etat l'a fait savoir jeudi 08 février 2024 lors d'une rencontre avec la presse nationale.
Peiné par la décision de retrait de l'organisation sous régionale prise par les dirigeants de ces trois pays, il confie avoir eu un entretien téléphonique avec l'un d'entre eux. Avec ce dernier, le chef de l'Etat informe avoir dit : « ce n'est pas bien ». « Les peuples ne nous ont pas élus pour les diviser. Le rôle des dirigeants de la sous-région, c'est de conduire le destin pendant un temps de la communauté de la CEDEAO, de l'UEMOA, mais la volonté des peuples, c'est de s'intégrer » a-t-il expliqué lors de l'entretien téléphonique.
Pour le président de la République, « il n'y a pas de conflit entre le peuple du Bénin et le peuple du Niger. Il n'y a pas de conflit entre le peuple du Burkina ni du Mali. Il n'y a aucun problème entre les peuples de la communauté de l'UEMOA et de la CEDEAO. Aucun problème ! », a-t-il insisté avant de préciser que c'est au niveau des organes de la CEDEAO qu'il y aurait des malentendus entre les responsables.
« La CEDEAO des peuples n'est pas en difficulté. Il n'y a aucun problème dans la CEDEAO des peuples. C'est au niveau de la conférence des chefs d'Etat, au niveau de la commission de la CEDEAO aussi bien que de l'UEMOA qu'il y a un problème ; parce que ceux-là sont en charge du respect des règles, notamment par les autorités de ces pays-là », a clarifié le président de la République. La conférence des chefs d'Etat de l'UEMOA et de la CEDEAO, le conseil des ministres de la CEDEAO et de l'UEMOA, la commission de la CEDEAO, la commission de l'UEMOA poursuit-il, sont chargés de veiller au respect des règles par les autorités de ces pays-là. D'après lui, nul n'a accusé le peuple burkinabè, nigérien, malien ou guinéen, d'avoir posé un acte qui soit contraire aux règles. « Non ! Qu'il y ait un problème au niveau des responsables, et que leurs homologues, leurs pairs constatent et disent que ce n'est pas bien, ce n'est pas conforme aux règles, qu'entre eux qu'ils ne s'entendent pas et qu'il y ait conflit, des heurts voire même des bagarres, ce n'est pas l'affaire du peuple », a expliqué le président TALON. Pour lui, si ces conflits, ces différends persistent, il ne faut pas que ça aboutisse à la division des peuples.
Dans la situation de crise, les présidents du Niger et du Burkina Faso selon lui, pouvaient suspendre leur participation aux organes de ces institutions-là. « Mais vouloir détacher le peuple burkinabè, malien, nigérien du peuple béninois, togolais, ou sénégalais, etc, sont des décisions qu'ils ont prises et ce sont des décisions qui séparent les peuples. Et ça, ce n'est pas normal », a-t-il fait savoir avant de souligner que la décision de retrait « est allé trop loin ». « Il faut qu'on se revoit et quel que soit ce qui s'est passé, on arrête tout, et on préserve l'essentiel qui est la communauté des peuples », a suggéré le chef de l'Etat. Pour lui, « ce qui est reproché aux uns et aux autres, les sanctions etc, tout ce qui se passe, est mineur par rapport à l'intérêt des peuples, à la communauté des peuples. C'est mineur. Donc, il faut plutôt regarder ce qui est important, ce qui est majeur à un moment donné, et laisser tomber ce qui n'est pas plus important que l'intérêt des peuples », a confié le chef de l'Etat.
F. A. A.
Pour production de fausse attestation de travail suite à une dénonciation, la société AGMF SARL et son gérant, Monsieur AGLETE MARTIN ont été exclu de la commande publique à compter du 1er février 2024 pour une durée de 02 ans. Le Directeur technique de ladite société, Monsieur ATCHIKPA WILFRIED a été exclu pour une durée de 05 ans. C'est à travers une décision de l'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) en date du 25 janvier 2024.
L'entreprise AGMF SARL a fourni une attestation de travail pour justifier la capacité technique de son Directeur Technique dans le cadre de l'appel d''offres international relatif aux travaux de construction de modules de salles de classes, laboratoires et blocs de latrines (Projets Japon KR1) lancé par l"Agence pour la Construction des Infrastructures du Secteur de l'Education (ACISE). Mais l'authenticité de l'attestation n'est pas avérée.
L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP), a exclu de la commande publique à compter du 1er février 2024 pour une durée de 02 ans. Le Directeur technique de ladite société, Monsieur ATCHIKPA WILFRIED a été exclu pour une durée de 05 ans.
M. M.
L'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a exclu de la commande publique en République du Bénin la Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) de la commune de Bohicon, l'Assistant de la PRMP et la Cheffe de la Cellule de Contrôle des Marchés Publics (C/CCM) de la même commune. C'est par décision en date du 1er février 2024.
Pour violation des principes de transparence des procédures et d'égalité de traitement des soumissionnaires exigés par la loi n°2020-26 du 29 septembre 2020 portant Code des marchés publics en République du Bénin, l'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a sanctionné trois cadres de la commune de Bohicon. Il s'agit de Monsieur BIAOU ISSAC DIMON LABITIN, Personne responsable des marchés publics de la commune ; Monsieur HODONOU ISSIAKA, assistant de la personne responsable des marchés publics de la Commune et de Madame KOSSOUHO GLORIA JUOVANIE ANICETTE FIFAME, Cheffe de la Cellule de contrôle des marchés publics de la commune qui ont été exclus de la commande publique en République du Bénin pour une durée de cinq (05) ans à compter du 07 février 2024 au 06 février 2029.
Les irrégularités ont été relevées dans la procédure de passation de l'appel d'offres relatif à l'acquisition de matériels informatiques et accessoires au profit de la mairie et de la RAGIEM-B (FP) dans la commune de Bohicon.
Selon l'ARMP, la PRMP et la Cheffe CCMP de la commune de Bohicon ont œuvré à déclarer attributaire un soumissionnaire qui n'a pas rempli les conditions exigées par le Document d'Appel d'Offres (DAO) notamment en ce qui concerne le certificat d'origine.
M. M.
Le Chef de l'État a fait ce 8 février 2024, un tour d'horizon des questions d'actualité nationale et sous-régionale notamment la situation politique nationale, la question de la révision constitutionnelle, le retrait du Burkina-Faso, du Mali et du Niger de la CEDEAO, la crise politique au Sénégal et bien d'autres sujets.
Voici en intégralité les déclarations. du Président de la République