(B2) Les militaires britanniques peaufinent leur préparation en cas de ‘no deal’, détaille la chaîne Skynews. L’hypothèse d’un Brexit dur n’est plus de la théorie aujourd’hui. Nom de code de cette opération d’un nouveau genre : Redfold
3500 militaires en alerte
Pas moins de 3500 militaires ont ainsi été placés en alerte, notamment pour pouvoir approvisionner certains points du pays. Une équipe militaire de 200 personnes est ainsi prête à conduire des citernes de carburant aux stations-service si nécessaire. Des bases militaires ont été réquisitionnées pour pouvoir parquer les camions en attente lors des contrôles douaniers.
Planificateurs et budget dégagé
Une centaine de planificateurs militaires participent depuis plusieurs mois à la planification de cet évènement avec d’autres départements ministériels, notamment le Cabinet du gouvernement et le ministère des Entreprises. La défense a déjà dépensé « au moins 23 millions de £ pour stocker des vivres, du carburant, des pièces détachées et des munitions » sur des bases, situées au Royaume-Uni ou à l’étranger (Chypre notamment), « au cas où les circuits d’approvisionnement seraient perturbés », précisent nos collègues Deborah Haynes et Beth Rigby.
Le bunker ‘Pindar’ activé sous le ministère de la défense
Les forces armées ont même activé « une équipe dans un bunker à l’épreuve des armes nucléaires, dénommé Pindar, placé dans le sous-sol, du bâtiment principal du ministère de la Défense à Whitehall » détaille la chaîne britannique, qui fait dans le sensationnel. « C’est l’installation utilisée par les forces armées en temps de guerre ou d’urgence nationale. » En fait le centre de gestion de crises du ministère de la défense… au cas où !
(NGV)
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(B2) Le rythme normal des formations a repris au camp de Koulikoro — le camp de formation de l’armée malienne où se trouvent également les formateurs européens de EUTM Mali —, annonce l’état-major des forces armées espagnoles mercredi (20 mars).
(crédit : EMAD)
Un cours d’orientation
Un cours d’orientation et de cartographie a été ainsi organisé par les formateurs espagnols (1), français, belges et irlandais, à l’intention des commandants de différentes unités et académies de l’armée malienne. Le cours comportait deux parties : une séance théorique, puis pratique, sous la forme d’une course d’orientation, en relais, auxquels ont participé les binômes malien-européen.
Un excellent exercice de cohésion
Une excellente manière de symboliser le retour à la vie normale et d’assurer la cohésion entre tous les militaires cohabitant dans le camp après l’attaque subie fin février (Lire : Attaque terroriste sur le centre de formation de EUTM Mali à Koulikoro cette nuit (V7) et Des détails sur l’attaque du camp d’EUTM Mali à Koulikoro).
(NGV)
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(B2) Invité par le think tank américain Atlantic Council, la ministre française des Armées a assumé lundi (18 mars) un discours particulièrement offensif envers Washington.
« La Belgique achète des F-35. La Suède achète des Patriot. La Pologne achète des HIMARS. L’Europe a le marché de l’armement le plus ouvert. Je suis personnellement inquiète de voir que la solidarité au sein de l’Otan puisse être conditionnée à l’achat d’équipement à tel ou tel pays. L’alliance doit être inconditionnelle, sinon ce n’est pas une alliance. La clause de solidarité de l’Otan s’appelle article V, pas article F-35. »
(Romain Mielcarek)
Télécharger le discours
Cet article La clause de solidarité de l’Otan s’appelle article V, pas article F-35 (Parly) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Carnet (20.03.2019). Confidentiels (COPS, Conseil européen agenda, UE-Chine, Crimée condamnation). PESC (Egypte, Irak, Ben Laden). Opérations (EUNAVFOR Atalanta – COPS, Syrie zone de sécurité, Monusco). Défense (SCAF Belgique). Diplomatie (Mali terrorisme, UE-Iran point régional, Nicaragua répression, Guinée-Bissau élections, Tchétchénie condamnation). Voisinage (Instrument de préadhésion, Macédoine du nord négociations). Aides (Cyclone Idai). Sécurité (Cybersécurité Cour des comptes, Armes à feux correctif). Pouvoirs (Protection données). est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Un mécanisme d’examen périodique de l’État de droit par des pairs. Une initiative belgo-allemande est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Le sous-marin portugais Trident a pris la mer lundi (18 mars) pour rejoindre l’opération maritime européenne EUNAVFOR Sophia de lutte contre les trafics de migrants
Le sous marin Trident (crédit : marine portugaise)
Une mission : la collecte d’informations sur les trafiquants
Le navire devrait rester deux mois sur zone, avec une mission principale : la collecte d’informations. Celles-ci seront partagées « avec les autorités régionales responsables du sauvetage en mer, en vue d’identifier les navires surpeuplés de migrants », les passeurs et leurs commanditaires. L’objectif est de « contribuer ainsi à la diminution du risque de perte de vies humaines dans la région » indique la marine portugaise.
Une contribution à Sea Guardian
Le ‘Trident’ va aussi apporter son soutien à l’opération ‘Sea Guardian‘ de l’OTAN, en mettant à disposition ses capacités et ses systèmes de collecte d’informations dans le domaine de la connaissance de la situation maritime dans la région méditerranéenne, qui seront partagés avec la structure de commandement de l’Alliance.
Une femme à bord
Parmi les 36 militaires, une femme. C’est la première fois qu’un submersible portugais embarque une femme au sein de son équipage, annonce l’état-major des forces armées portugaises.
Un outil bien discret
(commentaire) Ce n’est pas la première fois en revanche qu’un sous-marin est employé dans l’opération Sophia. Récemment, un sous-marin grec avait été utilisé. Et des sous-marins français ou italien ont aussi été activés dans le passé. Le côté discret, insoupçonnable, de ce navire permet d’assurer une surveillance tout azimut de la côte libyenne et des alentours, pour observer les différents trafics et mouvements militaires — le trafic des êtres humains n’est pas souvent le seul objectif des sous-mariniers.
(NGV)
Cet article Un sous-marin portugais en Méditerranée est apparu en premier sur Bruxelles2.
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(B2) The future of the naval military operation Sophia, conducted in the Mediterranean by the EU, is becoming more and more dotted.
Questioned by an Italian colleague at the end of the meeting of EU foreign ministers, Federica Mogherini, the head of European diplomacy, did not hide that nothing had advanced. « It’s not a mystery. I’ve said it publicly. If there is no agreement, the operation must be closed. I still hope that an agreement can be found, but I do not see any particular movement in this direction. […] If there no further development in a positive direction before the end of March, the operation will end its activities, with all the consequences that tis will entail, unfortunately … »
Commentary :
It can be said that no discussion really took place on the subject at the European level, especially between the 28 ambassadors of the PSC, the Political and Security Committee, the usual forum for discussion of the common security and defense policy (CCS). « It’s mostly an Italian-Italian question, » says a knowledgeable diplomat.
(Nicolas Gros-Verheyde, with Leonor Hubaut)
Read also :
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(B2) La mission européenne de soutien à la police palestinienne (EUPOL COPPS) recrute actuellement dans divers secteurs. Trois personnels seront recrutés par voie de contrat ou de détachement aux postes de:
Douze autres postes sont à pouvoir (uniquement par voie de détachement d’un État membre ou État participant à la mission) :
Date limite d’inscription : 1er avril 2019 17h (Bruxelles).
Informations détaillées ici.
PS : pour parfaire vos connaissances sur la politique européenne, le manuel sur la politique européenne de sécurité et de défense est le complément indispensable à votre préparation.
(MHA)
Cet article Quinze postes à pourvoir en Cisjordanie est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Le futur de l’opération militaire navale Sophia, menée en Méditerranée par l’UE, se conjugue de plus en plus en pointillé.
Interrogée par un collègue italien à la fin de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE, Federica Mogherini, la chef de la diplomatie européenne, n’a pas caché que rien n’avait avancé.
« Ce n’est pas un mystère. Je l’ai dit publiquement. En l’absence d’un accord, l’opération devra être close. J’espère toujours qu’un accord pourra être trouvé, mais je ne vois aucun mouvement particulier dans cette direction. […] S‘il n’y a pas de développement positif avant la fin du mois de mars, l’opération mettra fin à ses activités, avec toutes les conséquences que cela entraînera, malheureusement… »
Un problème italo-italien
On peut préciser qu’aucune discussion sur le sujet n’a vraiment eu lieu au niveau européen, notamment entre les 28 ambassadeurs du COPS, le Comité politique et de sécurité, l’enceinte habituelle de discussion de la politique de sécurité et de défense commune (PSDC). « Il s’agit surtout d’une question italo-italienne » indique un diplomate bien informé.
(Nicolas Gros-Verheyde, avec Leonor Hubaut)
Lire aussi :
Cet article Douze jours avant le clap de fin pour l’opération Sophia. Et toujours rien… est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Pour les 24 stagiaires libyens rassemblés au Centre de formation opérationnelle à l’interdiction maritime de l’OTAN (NMIOTC) dans la baie de Souda (Grèce), c’était la dernière journée vendredi (15 mars).
Le cours dit VBSS (Visit board, Search & Seizure) de visite de navire, recherche et saisie entamé fin février s’est clôturé par une petite cérémonie et une photo de groupe, en présence du numéro 2 de l’opération, le contre-amiral français Olivier Bodhuin.
(NGV)
Cet article Fin de formation à Souda pour les garde-côtes libyens est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Une attaque à l’arme à feu a eu lieu à Utrecht (Pays-Bas), place du 24 octobre, vers 10h45 ce lundi (18 mars) au matin. Un homme armé d’un fusil aurait fait irruption dans un tramway tirant sur les passagers. Au bilan : trois morts et cinq blessés (et non neuf comme annoncé au départ).
Le motif terroriste est pris en compte de façon officielle, mais seulement à titre de possibilité. La police d’Utrecht l’a confirmé dans un tweet.
The police is investigating the shooting at the #24oktoberplein in Utrecht this morning. An possible terrorist motif is part of the investigation.
— Politie Utrecht (@PolitieUtrecht) 18 mars 2019
Un tireur en fuite
Le tireur a pu prendre la fuite. Il est activement recherché. Une unité anti-terroriste DSI s’est déployée dans la ville, ainsi que des renforts de police, selon la presse néerlandaise. Des effectifs ont été aussi renforcés dans plusieurs endroits du pays. La surveillance autour de l’aéroport de Schiphol (Amsterdam) a notamment été renforcée. Le niveau de menace pour la province d’Utrecht a été porté au niveau maximal possible (niveau 5), jusqu’à 18 heures ce soir, et dans le reste du pays au niveau 4. Les écoles, l’université et le collège universitaire situés dans la zone des tirs ont été fermés. Toutes les mosquées d’Utrecht ont aussi fermé leurs portes par mesure de précaution après l’incident. Fermeture « faite en consultation avec la police », a déclaré un porte-parole de la mosquée Ulu, la plus grande mosquée d’Utrecht.
La police a lancé en début d’après-midi un appel à témoin contre un individu nommé « Gökman Tanis, né en Turquie et âgé de 37 ans ». de la fusillade à Utrecht.
The police asks you to look out for the 37 year old Gökman Tanis (born in Turkey) associated with the incident this morning at the #24oktoberplein in #Utrecht. Do not approach him but call 0800-6070. pic.twitter.com/U1IWEDtUYu
— Politie Utrecht (@PolitieUtrecht) 18 mars 2019
(mis à jour) Le suspect de la fusillade a finalement été arrêté, dans la soirée de lundi, dans le quartier de Oudenoord à Utrecht, a annoncé la police vers 19h. Les mesures de précaution ont été, en partie, levées.
(NGV)
Mis à jour 14h / 20h : bilan exact, arrestation
Cet article Attaque (terroriste) dans un tramway à Utrecht (V3) est apparu en premier sur Bruxelles2.