Hier une enseigne n’est pas passée inaperçue à Paris. En effet il s’agit d’une enseigne « tabac » installée à la sortie du métro aérien à Barbès, à Paris.
L’enseigne rouge en forme de losange allongée est utilisée généralement pour signaler l’entrée des bureaux de tabac. Quelqu’un s’en est donc inspiré, et a installé une enseigne « tabac » à l’emplacement de l’un des plus importants lieux de vente de cigarettes de contrebande.
Selon le quotidien, les agents de la RATP, entourés d’une dizaine de policiers, ont démonté l’enseigne « tabac », alors que les vendeurs à la sauvette étaient toujours là, à quelques mètres, pour vendre leurs marchandises.
LDJ. Sarah
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M. B.
Deux victoires en déplacement ont été enregistrées lors de cette seconde journée du championnat dans ce groupe, dont celle de l’AS Khroub, qui est allée s’imposer chez le promu, le RCB Ouled Djellal, confirmant ainsi sa bonne santé en ce début de challenge et, surtout, ses intentions en s’installant sur le fauteuil.L’ASK a été imitée par le CRB Aïn-Fakroun, qui a battu le CRB Kaïs dans son antre, lui infligeant sa première défaite de la saison. Pour ce qui est des autres prétendants, l’USM Khenchela a glané un précieux point lors de son périple à Oum El-Bouaghi, où l’US Chaouia n’a toujours pas décollé, alors que le MO Constantine est venu difficilement à bout de l’US Tébessa et enregistre ainsi son premier succès, ce qui a fait énormément plaisir à ses supporters, de plus en plus exigeants.
De son côté, la JSD Jijel qu’on pensait plus solide, a laissé des plumes à Chelghoum-Laïd face à l’ABCL, tandis que l’autre formation de la ville, le Hillel Chelghoum-Laïd, s’est inclinée à Jijel, plus précisément devant le CR Village Moussa, qui s’est repris après sa première déroute en ouverture du championnat. Enfin, l’AB Merouana a concédé sa seconde défaite en autant de rencontres, cette fois à Collo. A noter que le dernier match au programme de cette seconde journée s’est joué hier entre le CAB et l’USMAB.
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Tayeb Zgaoula
Accrochée sur ses terres il y a une semaine par l’ASM Oran, la JSM Skikda a réussi à tenir en échec l’USM Annaba au stade du 19-Mai 1956 pour le compte de la sixième journée du championnat Ligue 2. Assurément, ce point constitue une véritable bouffée d’oxygène pour les protégés du coach adjoint Boureni Abdelaziz, qui a dirigé la rencontre en remplacement de Liamine Bougrera, qui a suivi les débats à partir des tribunes. Il est évident que ce résultat satisfait le technicien des «V», ravi par la prestation de son équipe. « Bien sûr, nous sommes contents de ce résultat qui intervient à une période difficile. D’ailleurs, c’est notre premier match nul hors de nos bases. C’est vraiment un point bon pour le moral. Ce que je retiens de cette rencontre, c’est la grande volonté affichée par le groupe, nos joueurs se montrant très solidaires. Pour preuve, bien que réduits à dix après l’expulsion somme toute justifiée de notre défenseur Haddad dans le dernier quart d’heure pour une faute sur un attaquant annabi, nos joueurs ont parfaitement réussi à maîtriser leur jeu », a indiqué le coach de la JSMS. A notre question ayant trait au plan tactique mis en place, optant pour un regroupement défensif, Boureni reconnaît qu’il a choisi la prudence dès le début des hostilités. « Oui, nous sommes venus avec la ferme intention de faire un résultat. Il fallait donc fermer les espaces aux attaquants adverses. Et, après l’expulsion de notre défenseur, on a carrément évolué en 4-4-1. Cette stratégie s’est avérée payante, car nous avons arraché ce précieux point », a souligné le technicien skikdi. On signalera enfin que les joueurs ont salué la galerie des nombreux fans venus de Skikda pour soutenir ses favoris.The post JSM Skikda: Un point bon pour le moral appeared first on .
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M. Zeggai
L’heure de vérité a sonné pour l’USMA, dernier rescapé de l’Algérie en Coupe de la CAF. Face aux Egyptiens d’Al-Masry en match aller des quarts de finale de l’épreuve en question, les Usmistes ont une belle carte à jouer compte tenu de l’importance de l’enjeu de ces retrouvailles algéro-égyptiennes. Les « Rouge et Noir » seront face à leur destin dans cette compétition puisqu’il s’agit d’un billet pour le dernier carré de la Coupe de la CAF. Le match avait commencé avant l’heure avec cette sortie médiatique des Egyptiens qui sont passés maîtres dans l’art dans ce genre de provocations utilisées pour perturber la concentration de leurs adversaires, surtout lorsqu’il s’agit d’un club algérien. Exploitant la sortie des Irakiens après l’incident et les remous du match USMA – Force Aérienne d’Irak en Coupe arabe, les Egyptiens ont entamé la guerre psychologique pour créer un « faux problème », ou plutôt un « incident diplomatique » en réclamant la sécurité en Algérie et la protection contre les supporters Usmistes à l’occasion du match retour prévu le 23 septembre prochain. Les dirigeants de l’USMA, conscients des répercussions que peut engendrer cette situation, ont pris leurs précautions par un travail de sensibilisation afin de permettre à leurs joueurs de se concentrer uniquement sur leur travail sur le terrain. L’entraîneur égyptien Hossam Hassan, comme à son habitude, s’est mis de la partie dans cette fameuse guerre psychologique. Mais, sur le terrain, c’est une autre paire de manches, c’est là où les Algériens de l’USMA veulent imposer leur suprématie pour répondre à l’attente du public algérien en général et à celui de Soustara en particulier. Ce ne sera pas impossible, mais la mission des protégés du coach français Thierry Froger ne sera pas de tout repos face à la seule formation invaincue lors de la phase de poules avec trois nuls à l’extérieur. Les Usmistes devront donc se tenir sur leurs gardes s’ils veulent prendre une option pour la qualification aux demi-finales. Avec une défense guère rassurante, Al-Masry est prenable, mais il faudra tout de même prendre au sérieux cette équipe qui renferme quelques étrangers en son sein. En dépit de toutes ces données, les représentants algériens possèdent de solides arguments à faire valoir pour revenir avec le meilleur résultat possible, à condition de faire preuve de prudence et de calme, gérant le match en tenant compte des circonstances « spéciales », d’autant qu’ils auront à en découdre avec une formation égyptienne qui est en train de réaliser un bon début de saison en championnat d’Egypte. Avec un milieu de terrain des plus équilibrés du championnat national et la motivation qui animé le groupe, l’USMA est bien partie pour réussir cette première mission. Surtout que nos représentants sont dans de meilleures conditions, notamment après la visite du corps diplomatique algérien en Egypte qui a affirmé son soutien et sa disponibilité aux Usmistes. Pour rappel, la CAF a désigné un quatuor d’arbitres sénégalais pour ce match aller. Il s’agit de Maguette Ndiaye, comme arbitre-directeur, et sera assisté de ses compatriotes Djibril Camara et El-Hadji Malick Samba. A noter que le match retour de ces quarts de finale aura lieu le 23 septembre prochain au stade du 8-Mai 1945 de Sétif en raison de l’indisponibilité des stades 5-Juillet et de Blida pour travaux.The post Coupe de la CAF : Al-Masry – USMA, aujourd’hui à 20h00: Prendre une option en vue du retour appeared first on .
par Abdelkrim Zerzouri
Le voyage d’une délégation de pharmaciens en Angleterre, pour assister au congrès scientifique «Pharmacy Show», dont la tenue est annoncée à Birmingham (au nord-ouest de Londres), les 7 et 8 octobre prochain, est hypothéqué par le refus d’octroi des visas aux concernés par les autorités de l’ambassade du Royaume Uni à Alger.Selon des pharmaciens qui ont introduit leurs dossiers de demande des visas accompagnés des invitations envoyées par les organisateurs du congrès, le 19 août dernier, auprès de TLS Contact, 10 refus ont été notifiés aux concernés, ainsi que 5 autres refus d’octroi des visas notifiés aux demandeurs qui ont déposé leurs dossiers le 28 août et 3 refus notifiés à des demandeurs qui ont demandé des visas «prioritaires» (nécessitant des frais plus chers dans ce cas) le 3 septembre dernier. Alors qu’une bonne quarantaine d’autres demandeurs, qui ont déposé leurs dossiers le 10 septembre dernier, sont en attente d’une notification d’un très probable refus, puisque leurs cas ne diffèrent pas de ceux qui les ont précédés, notamment concernant la même raison du voyage et la même profession.
Nos interlocuteurs parmi les pharmaciens qui ont reçu des notifications de refus d’octroi des visas ont été désorientés par ce rejet de leurs demandes, d’une part parce qu’ils ne s’attendaient pas du tout à vivre pareille situation, car la plupart d’entre eux, présentant des profils de scientifiques et de propriétaires d’officines pharmaceutiques, ont déjà obtenu le visa Schengen à plusieurs reprises.
Selon les motivations du refus d’octroi des visas, on trouve «suspect» le relevé bancaire retraçant les entrées et sorties d’argent et, en second lieu, on n’a pas trouvé normal le fait que les réservations d’hôtel soient effectuées auprès d’un hôtel à Londres alors que le congrès se tient à Birmingham. Nos interlocuteurs relèvent qu’il s’agit peut-être d’une «incompréhension» de la part de la commission d’attribution des visas, car sur les relevés bancaires, la CNAS et la CASNOS, les organismes qui paient les pharmaciens dans le cadre du tiers payant, mentionnent le mot «partenaire» sur les bordereaux virements, un mot qui reste indéfini mais on peut apporter des clarifications sur ce point. Quant à la réservation du lieu d’hébergement, relèvent nos interlocuteurs, cet hôtel à Londres offre le meilleur rapport qualité/prix, et puis Birmingham n’est pas trop loin de la capitale. En tout cas, ne voulant pas rater ce congrès scientifique, les pharmaciens sollicitent l’intervention urgente de l’ambassadeur du Royaume Uni, afin de leur permettre de préparer le voyage, notamment les réservations des billets d’avion.
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Invitée au forum d’El Moudjahid, la ministre de l’Education nationale a indiqué que 50% des personnels de l’Éducation bénéficieront d’augmentations.Ces augmentations entreront en vigueur dès la publication du Décret 14-266.
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La phrase de La Fontaine de trois siècles se croise encore avec notre période : « rien ne sert de courir, il faut partir à point ». Alors que le candidat potentiel des présidentielles 2019 Abdelaziz Bouteflika n’a même pas manifesté son intention à briguer un autre mandat, des candidats lièvres sans CV politique se bousculent aux portes d’El Mouradia !
Placé en tête des candidats aux prochaines présidentielles, le Président Bouteflika au cœur d’une campagne électorale initiée par les partis poids lourds de la coalition, malgré lui, ne s’empresse pas à montrer la couleur de son calepin. Son silence hante la classe politique et engoue les partis pro-pouvoir en faveur d’un 5e mandat, FLN, RND, TAJ, ANR, Karaman … et met les autres partis de l’opposition sur la sellette.
Un silence accoutumé à la veille de chaque échéance présidentielle qui n’a pas servi de leçon pour les petites pointures qui tentent de faire face au candidat incontournable des partis de poids lourds. Des candidats sans expérience politique et sans base populaire ont peaufiné leur stature présidentielle en lançant des spots publicitaires via des medias locaux, annonçant leurs candidatures, et pourtant quelques partis politiques de l’opposition qui devront jouer un rôle important dans les prochaines élections, comme, le MSP, Talaie El Houriyet et le FFS, temporisent et restent accrochés à l’annonce officielle de la candidature du Président Bouteflika.
A six mois des élections, c’est le défilé des candidats comédiens qui se lancent dans une aventure à la magistrature suprême du pays. Au moins cinq lapins, sans palmarès politique ont annoncé officiellement de présenter leurs candidatures à la prochaine échéance électorale. La première candidature annoncée à la présidentielle de 2019 est celle de, Fethi Gheras, âgé de 45 ans , candidat du parti du mouvement démocratique et social (MDS), le deuxième candidat n’est autre que Nacer Boudiaf, qui vient d’enfiler le costume de son père le défunt président algérien Mohamed Boudiaf, et la candidature la plus drôle est celle de l’ex-député spécifique Tahar Missoum qui rêve lui aussi de devenir président . Le célèbre commentateur sportif de la chaîne qatarie Bein Sports, Hafid Derradji, a annoncé lui aussi qu’il comptait se porter candidat aux élections présidentielles. La liste des lièvres vient d’être renforcée par un colonel à la retraite, Ramdane Hamlat, l’homme de main de Benflis durant les présidentielles de 2014.
De l’autre côté, des sois disant candidats potentiels, on trouve Ali Benflis, président du parti de Talaie El Houriyet, le candidat malheureux des deux présidentielles de 2004 et 2014. Abderrezak Makri, qui joue sur les mots quant au choix d’un candidat du MSP, ceux qui le connaissent disent qu’il est enflammé par la candidature. Le FFS par contre tente l’option des droits de l’homme et pourra propulser au-devant de son parti, une personnalité telle que l’Avocat Bouchachi ou un général à la retraite, déjà des informations non confirmées évoquent la candidature de l’ancien patron de la DRS Toufik. L’effet de surprise dans cette échéance, serait peut-être la candidature de Rebrab, le scénario qui a été suggéré par certains oligarques algériens. L’homme le plus riche du pays avec une fortune estimée à près de 4 milliards de dollars, en conflit avec de nombreux responsables, son influence sur le marché algérien déstabilisée, il mettra le paquet pour sauver son empire financier.
Enfin, à voir le profil de ces candidats, il n’est pas exclu que le candidat des partis au pouvoir le président Bouteflika ne se lassera pas de mener une bataille gagnée d’avance !
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Des milliers de personnes ont manifesté samedi matin à Ouargla, pour dénoncer « la marginalisation », que subit cette wilaya pourtant « riche en pétrole en gaz ». La manifestants ont une énième fois revendiqué des emplois pour le jeunes de la région, notamment dans le secteur pétrolier. Ils ont aussi dénoncé le gel de la réalisation de certaines infrastructures à l’image d’un centre hôpitalo-universitaire, ou encore du tramway de Ouargla. Ils ont aussi demandé la réalisation d’un centre anticancéreux, d’un centre de lutte contre l’envenimation scorpionique, et de centres de santé de proximité, ainsi que d’un aéroport international. Ils demandent aussi que la wilaya de Ouargla soit traité au même titre que les wilayas du Nord. Les manifestants ont enfin dénoncé la gestion de la wilaya et ont demandé à ce titre, le départ du wali.
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Plus de 265.000 nouveaux étudiants rejoindront dimanche les bancs de l’université au titre de la rentrée 2018/2019 qui enregistre cette année 1,7 million d’étudiants dans tous les paliers de l’enseignement universitaire.
Cette population estudiantine est repartie sur 50 universités, 13 centres universitaires, 32 Ecoles supérieures, 11 Ecoles d’enseignants ainsi que 51 établissements affiliés à d’autres secteurs mais pédagogiquement soumis au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique outre 9 Instituts privés.
En prévision de la rentrée universitaire 2018/2019, les capacités d’accueil et niveau de prestations ont été renforcés, atteignant les 1.452,000 places pédagogiques à la faveur de la réception de 67.100 nouvelles places et de 45.500 nouveaux lits, ce qui portera les capacités d’hébergement à 629.500 lits, en plus de 6 cantines centrales implantées au sein des grands ensembles pédagogiques.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar avait déclaré récemment que son département a mobilisé tous les moyens matériels et humains nécessaire à la réussite d’une rentrée universitaire « confortable », ajoutant que « même si la répartition des capacités disponibles n’était pas égale et différait d’une cité universitaire à une autre, le secteur, ne devrait pas être confronté à de grandes contraintes dans la plupart des cités universitaires, en dépit de l’augmentation des flux successifs d’étudiants ».
Pour le ministre, la réception de ces infrastructures s’inscrit dans le cadre du renforcement des établissements universitaires et la concrétisation des efforts visant à consolider le réseau des Ecoles supérieures, et ce après l’annulation des Ecoles préparatoires, dans leur forme actuelle, et la promotion de celles répondant aux conditions au rang d’Ecoles nationales supérieures.
Le ministre a fait état, par ailleurs, de la révision graduelle du système d’orientation en vue de son amélioration en termes de satisfaction individuelle et collective quant à ses résultats, et ce en adoptant le principe de l’équité et du mérite.
Le secteur, a-t-il expliqué, œuvre à la révision graduelle du système d’orientation en vue de le parfaire à partir des principes d’équité et de mérite ainsi que des cadres juridiques et réglementaires régissant l’organisation et le fonctionnement de diverses établissements, à l’instar des statuts particuliers relatifs à l’Université, Centres universitaires et Ecoles supérieures ainsi que l’élaboration des textes d’application relatifs aux domaines de l’orientation, de la formation et de la recherche.
Pallier les insuffisances enregistrées en matière d’œuvres universitaires
Dans le but d’améliorer la vie universitaire, le ministre a réitéré la volonté et l’attachement de son secteur à œuvrer à l’amélioration des œuvres universitaires, en transport, hébergement et restauration, afin de permettre aux étudiants de poursuivre leurs études dans de bonnes conditions.
Le dossier des œuvres universitaires devra être débattu lors d’une conférence nationale, avec la participation des tous les acteurs de l’Université, en vue d’élaborer « une vision prospective participative ».
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué, à ce propos, que son secteur œuvrait à la rationalisation de la gestion du dossier des œuvres universitaires, auxquelles est consacré un taux de 37% du budget sectoriel global.
D’autre part, M. Hadjar a fait état d’une série de mesures pour le développement du sport universitaire, portant essentiellement sur la sensibilisation des étudiants à la pratique du sport et à l’élaboration d’un programme annuel au niveau de tous les établissements universitaires englobant toutes les activités sportives, individuelles et collectives ».
Il s’agit également de l’encouragement de la création d’associations et de clubs sportifs au niveau des établissements pédagogiques et des résidences universitaires, de l’organisation de sessions de sport universitaire, en forme de championnats, aux niveaux régional et national, à travers la relance des compétitions sportives, en coordination avec la Fédération algérienne du sport universitaire, en vue de déceler de nouveaux talents, qui représenteront l’Algérie lors de compétitions régionales et internationales.
La stratégie du secteur vise à développer la vie estudiantine dans tous les domaines et encourager la création d’espaces pour les activités culturelles, scientifiques, sportives et de loisirs dans les établissements et résidences universitaires, a-t- il déclaré, mettant en avant l’importance de l’adhésion des étudiants aux associations culturelles et sportives et clubs scientifiques au vu de son incidence positive avérée sur la capacité d’acquisition et la condition physique.
Sur un autre registre, le ministre a indiqué que la modernisation de l’administration universitaire et sa promotion graduellement au rang d’administration numérique compte parmi les objectifs de développement de la performance visée par le secteur.
Il a souligné, à ce propos, « l’élaboration d’un logiciel pour la gestion des inscriptions des étudiants à l’obtention d’une chambre dans les résidences universitaires, l’accès à la bourse et au transport via le système progress qui régule l’ensemble des opérations pédagogiques, scientifiques, administratives et financières de l’Université.
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La ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghabrit, a fait état, samedi à Alger, de l’élaboration en cours d’un plan national de lutte contre la déperdition scolaire et l’accompagnement des élèves rencontrant des difficultés d’apprentissage.
Invitée au forum d’El Moudjahid, la ministre a indiqué que son département s’attelait à « l’élaboration d’un plan national de lutte contre le phénomène de déperdition scolaire, en associant le Centre national d’enseignement à distance, l’Observatoire national d’Education et de formation et l’Association national d’alphabétisation afin de juguler ce phénomène ».
Imputant ce phénomène à la non prise en charge des écoliers ayant des difficultés d’apprentissage, la ministre a précisé que les directeurs des établissements éducatifs ont été instruits de « confier les classes de première et deuxième années du cycle primaire à des enseignants expérimentés ».
Réaffirmant que « la compétence est le seul critère pour parvenir à une école de qualité », Mme Benghabrit a soutenu que les inspecteurs sont tenus de se baser sur ce seul critère pour la titularisation des nouveaux enseignants à la fin de leur période de stage.
Elle a souligné, dans ce sens, l’impératif de « lutter contre la médiocrité » qui est, a-t-elle dit, « notre ennemie commun tant au niveau de la gestion que des enseignements », mettant en avant la poursuite de sa politique visant à améliorer les prestations du secteur et à former les personnels ainsi que le travail continu avec les directeurs de l’Education et les responsables des établissements éducatifs en vue de suivre et de trouver des solutions aux problèmes posés.
Rappelant que la loi interdit l’expulsion d’un élève avant l’âge de 16 ans, la ministre a précisé que c’est au Conseil des enseignants de définir ceux qui peuvent redoubler l’année, soulignant, cependant « le droit de tout élève à déposer un recours devant la Direction de l’éducation s’il estime son expulsion arbitraire ».
Le taux de redoublement en cycle secondaire est de 15%, en moyen de 17% et de de 5,8 au cycle primaire, a-t-elle précisé.
A ce propos, la ministre a estimé qu’il était temps de changer les mentalités et de combattre l’appréhension négative que la société a de la formation professionnelle en l’a liant, à tort, à l’échec scolaire.
« S’orienter vers les instituts de formation n’est nullement synonyme d’échec scolaire », a-t-elle soutenu.
Abordant le problème de la surcharge des classes qui a marqué cette rentrée scolaire, la ministre l’a imputé au non achèvement, dans les délais, des projets programmés, notamment les écoles primaires, relevant, dans ce sens, une hausse des naissances et l’intérêt grandissant des parents pour les conditions de scolarisation de leurs enfants.
Réaffirmant que le recours aux classes en construction préfabriquée n’est qu’une « solution d’urgence », la ministre a mis l’accent sur les efforts déployés par l’Etat en matière d’éducation, notamment en direction du cycle primaire, auquel un « grand intérêt » est accordé, ajoutant que 76 milliards de DA ont été alloués à la gestion des établissements éducatifs, dont la moitié à l’équipement.
Concernant l’enseignement préparatoire, la ministre a affirmé que le nombre des inscriptions a connu une augmentation de 4%, ajoutant que l’ouverture des classes est liée à la disponibilité des places pédagogiques.
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Emmanuel Macron est déterminé à engager un travail mémoriel sur la guerre d’Algérie. Après avoir reconnu jeudi la responsabilité de l’Etat dans la mort du militant communiste Maurice Audin, le chef de l’Etat devrait s’attaquer dans les prochaines semaines à un autre dossier sensible : celui des harkis.
Selon les informations du Figaro de ce vendredi, Emmanuel Macron a chargé la secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées Geneviève Darrieussecq de faire des annonces sur la reconnaissance mémorielle des harkis et leur système d’indemnisation.
Elles pourraient survenir le 25 septembre, indiquait en août le JDD. Une date symbolique : il s’agit de la journée nationale d’hommage aux harkis, ces 150 000 Algériens (harkis) recrutés comme auxiliaires de l’armée française durant la guerre d’Algérie.
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L’ancien directeur de campagne de Donald Trump, Paul Manafort, a accepté vendredi, dans un revirement inattendu, de coopérer dans l’enquête russe, faisant encore monter d’un cran la pression sur la Maison Blanche.
S’il y a eu collusion entre Moscou et l’équipe du candidat républicain pendant la campagne présidentielle de 2016, l’ancien lobbyiste qui l’a dirigée pendant cinq mois et qui avait auparavant travaillé pour des Ukrainiens pro-russes, a toutes les chances d’avoir été au courant. Poursuivi pour des activités frauduleuses antérieures à la campagne, Paul Manafort, 69 ans, a accepté vendredi un accord avec l’équipe du procureur spécial Robert Mueller chargée de l’enquête russe, la bête noire de Donald Trump qui l’accuse de mener une injuste « chasse aux sorcières ». Manafort a accepté de plaider coupable d’association de malfaiteurs contre les Etats-Unis et d’obstruction à la justice, dans l’espoir d’une peine amoindrie.
Mais surtout, il a accepté de coopérer à l’enquête, ce qu’il s’était toujours refusé à faire. Preuve d’une certaine nervosité, la Maison Blanche s’est empressée d’assurer que sa décision concernait des faits n’ayant « absolument rien à voir avec le président ou sa campagne présidentielle victorieuse de 2016 ».
« Il n’y a absolument aucun lien », a martelé Sarah Sanders, porte-parole de l’exécutif. Paul Manafort est en effet mis en cause pour des faits antérieurs à 2014, le procureur spécial ayant autorité pour poursuivre tout délit découvert pendant ses investigations. L’ancien consultant a reconnu vendredi avoir dissimulé aux autorités et au fisc ses activités de conseil en faveur de l’ancien président ukrainien Viktor Ianoukovitch, puis d’avoir tenté de corrompre des témoins. Il a été reconnu coupable de fraude bancaire et fiscale en lien avec ces activités, dans un premier procès en août en Virginie. Il attend le prononcé de sa sentence. En plaidant coupable, il s’évite un nouveau procès embarrassant. Il a pris cette décision pour « protéger sa famille », a commenté son avocat Kevin Downing à l’issue de l’audience à Washington.
« S’il coopère pleinement, il pourrait fournir des informations importantes », a relevé le représentant démocrate Adam Schiff, membre de la commission du Renseignement, en saluant une « victoire importante » pour le procureur Mueller. « Il était impliqué ou avait connaissance des principaux développements dans la campagne de Trump, notamment la rencontre à la Trump Tower lors de laquelle l’équipe pensait recevoir des informations compromettantes sur Hillary Clinton », a-t-il rappelé. Cette réunion entre plusieurs membres de l’équipe de campagne, dont le fils aîné de Donald Trump et son gendre Jared Kushner, avec une avocate russe est au coeur de l’enquête de Robert Mueller. Celui-ci a lancé à ce stade des poursuites à l’encontre d’une trentaine d’individus, dont une majorité de Russes. Paul Manafort était jusque-là le seul Américain à refuser de plaider coupable. Certains commentateurs en avaient conclu qu’il espérait une grâce présidentielle.
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Un cercle de réflexion thématique pour la diaspora algérienne a été lancé samedi à Paris qui se veut un cadre d’échange de vues et d’engagement des membres de la communauté algérienne établie en France vis-à-vis de leur pays.
Inauguré au siège de l’ambassade d’Algérie en France, le Cercle Saint-Augustin a entamé sa première rencontre thématique avec le monde universitaire et scientifique, à laquelle a participé plus d’une cinquantaine d’enseignants, chercheurs, responsables de laboratoires scientifiques et un collectif d’étudiants algériens, en présence du professeur et ancien ministre de l’Education nationale, Ahmed Djebbar et de l’astrophysicien de renommée mondiale Tahar Amari.
L’ambassadeur Abdelkader Mesdoua a d’emblée expliqué les objectifs de ce cercle de réflexion qui va connaître prochainement des rencontres similaires avec des thématiques différentes, précisant que le choix de Saint-Augustin dans la nomination du cercle obéit aux messages délivrés par ce philosophe et théologien algérien de paix, de tolérance et de vivre ensemble.
« C’est un cercle qui n’a aucun tuteur, il appartient aux membres de la diaspora. C’est un cadre de réflexion, de réseautage, d’engagement qui devra permettre d’établir de passerelles avec l’Algérie qui a besoin de vous », a déclaré l’ambassadeur.
Indiquant que ce cercle ne doit pas adopter une structure rigoureuse ou administrative, l’ambassadeur a expliqué qu’il est appelé à être élargi à d’autres universitaires, appelant l’assistance à « rester en connexion » avec les 18 postes consulaires que compte l’Algérie en France et l’ambassade.
Abdelkader Mesdoua a déploré cependant le manque d’organisation de la communauté algérienne établie en France, appelant ses membres à « mettre de côté les égos ».
Au cours d’un débat, qui a duré environ trois heures, les participants ont totalement adhéré à cette initiative exprimant leur disponibilité à contribuer de façon « effective » et « efficace » à toute réflexion donnant lieu à des actions en faveur du développement de l’Algérie, notamment dans le domaine de la recherche scientifique.
Ils ont estimé que la mise sur pied de ce cercle est une « rupture » dans le sens où il permet l’implication des universitaires, chercheurs et scientifiques, ayant acquis une grande expérience dans le pays hôte, dans des projets en direction de l’Algérie. Ce cadre de réflexion et d’échange, ont-ils estimé, permettra également de débattre des problèmes de la diaspora algérienne, capitaliser leur expérience et servir de courroie de transmission pour des actions en Algérie.
Ils étaient unanimes, et c’est également l’avis de l’ambassadeur, à vouloir assurer la pérennité de cette entité pour permettre la création de la richesse par la recherche.
Ils ont souhaité, par ailleurs, l’accompagnement de leurs recherches, études et réflexion par les autorités algériennes, question sur laquelle l’ambassadeur les a rassurés.
A la fin de la rencontre, une bibliothèque, riche de quelques 2000 ouvrages et périodiques, a été inaugurée au siège de l’ambassade d’Algérie en France en présence des participants à cette rencontre.
L’ambassadeur a saisi l’occasion de leur demander d’enrichir cette bibliothèque, qui sera ouverte aux étudiants algériens, par leurs études et ouvrages.
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Cinq (5) personnes ont perdu la vie et 18 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation, survenus au cours des dernières 48 heures dans plusieurs régions du pays, indique samedi un bilan établi par les services de la Protection civile.
La wilaya de Naama déplore le bilan le plus lourd avec le décès d’une (1) personne, alors que 3 autres ont été blessées, dans un accident de la circulation.
Par ailleurs, et durant la même période, suite aux fortes chutes de pluies qui se sont abattues vendredi soir, notamment sur des wilayas du Centre et de l’Ouest du pays, les unités de la Protection civile ont effectué plusieurs opérations d’épuisements et de pompage des eaux pluviales à l’intérieur de plusieurs habitations et édifices publics.
Ainsi, dans la wilaya de Djelfa, les secours de la Protection civile sont intervenus pour le sauvetage 5 personnes, à bord d’un camion cerné par les eaux pluviales sur le RN n 89, dans la commune de Had Sahari et une (1) autre personne, à bord d’un véhicule dans la commune de Birine.
En outre, dans la wilaya de Relizane, 2 familles cernées par la remontée des eaux d’un Oued, ont été sauvées, dans la commune de Sidi M’hamed Ben Aouda.
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Les relations économiques entre l’Algérie et l’Allemagne enregistrent, depuis ces dernières années, une dynamique appréciable à travers des partenariats multisectoriels, mais qui appellent à connaître un nouvel élan.
La visite officielle qu’effectuera lundi à Alger la Chancelière allemande Angela Merkel à l’invitation du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est sa deuxième en Algérie après celle de 2008.
A travers cette visite, il s’agira notamment de faire une évaluation des relations économiques entre les deux pays et d’identifier les voies et moyens permettant de développer davantage la coopération économique en contribuant dans la diversification économique de l’Algérie.
Actuellement, plus de 200 entreprises allemandes activant dans différents secteurs sont implantées en Algérie, sachant qu’une commission économique mixte algéro-allemande a été créée à la fin 2010.
Plusieurs filières industrielles intéressent les entreprises allemandes dont particulièrement l`industrie mécanique, la sous-traitance automobile, l`énergie renouvelable et l`industrie pharmaceutique.
Dans la filière mécanique, l`Algérie et l`Allemagne sont déjà liées par des partenariats d’envergure tels ceux de la production en Algérie de véhicules de la marque Mercedes-Benz entre le groupe allemand Daimler (société mère de Mercedes-Benz), la Société nationale de véhicules industriels (SNVI), le ministère de la Défense nationale (MDN) et le groupe émirati Aabar.
Ce qui a donné naissance à trois sociétés mixtes algéro-germano-émiraties en 2012 pour développer l`industrie mécanique en Algérie. Il s’agit de la Société algérienne pour la production de poids lourds Mercedes-Benz (SAPPL.MB) à Rouiba, la Société algérienne pour la fabrication de véhicules de marque Mercedes-Benz (Safaa) à Tiaret et la Société algérienne de fabrication de moteurs de marque Mercedes-Benz, Deutz et MTU à Constantine.
A cela s’ajoute la société SOVAC Algérie Production, résultant d’un partenariat entre le groupe allemand Volkswagen et le groupe SOVAC pour l’assemblage et le montage de véhicules de cette marque allemande.
D’un investissement de 20 milliards de dinars, l’usine SOVAC Algérie Production, installée à Relizane sur une superficie de 150 hectares, est entrée en production en 2017 avec le montage de plusieurs modèles des trois marques SEAT, Skoda et Volkswagen.
Durant les cinq dernières années, une quinzaine de projets industriels d`un montant global de plus de 24 milliards de DA (équivalent de près de 220 millions de dollars) ont été concrétisés en Algérie avec des partenaires allemands.
Il s`agit de projets portant essentiellement sur la fabrication de boîtes à vitesse, d`appareils de manutention, de matériaux de construction (plâtre et dérivés) et du gaz comprimé.
L’Allemagne est également présente dans le secteur des hydrocarbures à travers la société DEA Deutsche Erdoel AG qui est partenaire avec Sonatrach dans un contrat pour la recherche, l’appréciation et l’exploitation des hydrocarbures sur le périmètre Reggane Nord.
Dans les énergies renouvelables, l’Algérie souhaite la participation des entreprises allemandes aux appels d’offres relatifs à ce créneau énergétique, en insistant sur la nécessité de fabriquer localement les équipements, notamment les panneaux solaires, et la création de sociétés mixtes.
Une balance commerciale en défaveur de l’Algérie
Mais sur le plan du commerce extérieur entre les deux pays, il est constaté un gros déséquilibre en défaveur de l`Algérie.
Sur l`année 2017, l’Allemagne s’est classée comme quatrième fournisseur de l’Algérie avec un montant de 3,21 milliards de dollars d’importations algériennes alors que les exportations algériennes n’ont pas dépassé les 100 millions de dollars.
Les importations algériennes auprès de ce pays de l’Union européenne sont constituées notamment de biens d`équipements industriels et de biens de consommation, tandis que les exportations algériennes sont dominées par les hydrocarbures (pétrole et gaz) et les demi-produits.
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Une rencontre d’évaluation du programme relatif à l’ail de saison et d’arrière-saison a été organisée jeudi dernier par le ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, a indiqué samedi ce ministère dans un communiqué.
Cette rencontre, présidée par le secrétaire général de ce ministère, Kamel Chadi, a regroupé les directeurs des services agricoles des principales wilayas concernées par ce programme, les représentants des la profession et le président du Conseil national interprofessionnel de la filière ail.
Lors de cette réunion, les intervenants ont abordé les actions d’intervention pour la régulation du marché de ce produit durant la période de soudure, a précisé le ministère.
A cette occasion, M. Chadi a insisté sur la nécessité de développer davantage la production nationale de l’ail et de se projeter, d’ores et déjà, dans l’optique d’intégration de cette filière en assurant la disponibilité de la semence nationale et en investissant dans les créneaux de valorisation (conditionnement et transformation), rapporte le communiqué.
Par ailleurs, le même responsable a exhorté les différents intervenants de la filière à renforcer le dispositif de stockage pour assurer un meilleur encadrement de l’opération de stockage de ce produit à l’effet d’atteindre les objectifs arrêtés.
Pour rappel, la production nationale de l’ail durant la campagne 2017-2018 a été évaluée à 2.033.925 quintaux (qx) contre une production de 1.237.164 qx en 2017 (en hausse de 64%), de 1.036.266 qx en 2016 (en hausse de 96%) et de 960.074 qx (en hausse de 112%).
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