ALGER- Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) changera de statut, dans les jours à venir, et se transformera en syndicat patronal, a indiqué samedi à Alger son président, Ali Haddad, fraîchement réélu pour un nouveau mandat.
« Le FCE avait constitué un dossier pour se convertir en organisation syndicale des chefs d’entreprises et avait tenu plusieurs rencontres avec le ministre du Travail et de la Sécurité Sociale et de l’Emploi Mourad Zemmali », a expliqué M. Haddad.
« Nous avons pratiquement tout finalisé. Il nous reste encore une ou deux rencontres et nous deviendrons une organisation syndicale des patrons », a-t-il ajouté lors d’un point de presse tenu à l’issue des travaux de l’Assemblée générale élective de cette organisation et la pose de la première pierre de son nouveau siège.
Selon le patron du FCE, cette transformation de statut contribuera davantage au développement de l’entreprise nationale. Elle permettra, entre autres au FCE de participer aux rencontres tripartites, pas en tant qu’observateur, comme lors des précédentes tripartites, mais en tant que syndicat patronal, qui aura ainsi le droit d’exposer les préoccupations des entreprises et émettre des propositions.
Lors des travaux de l’Assemblée générale élective du FCE, le ministre du Travail et de la sécurité sociale et de l’emploi Mourad Zemmali, a validé la demande du FCE, en indiquant que « le Forum sera, dans les jours à venir, agrée en tant que syndicat patronal. »
Dans ce contexte, M. Zemmali a annoncé la tenue la semaine prochaine d’une rencontre au siège de son département pour finaliser les procédures relatives à la demande du FCE relative au changement de statut.
Créée en octobre 2000, le FCE est une association à caractère économique.
Il regroupe 4.000 chefs d’entreprise représentant plus de 7.000 entreprises qui cumulent un chiffre d’affaires global de plus de 4.000 milliards de dinars.
A signaler qu’à l’issue d’un vote lors d’une assemblée générale élective du FCE, M. Haddad a été réélu à la tête de cette organisation, pour un nouveau mandat avec la désignation de Mohamed Bairi comme président-adjoint.
A cette occasion, M. Haddad a exprimé son immense fierté de porter à nouveau la voix des entrepreneurs.
« J’espère pouvoir en être à la hauteur tellement les difficultés sont grandes et la responsabilité lourde à porter », a-t-il déclaré.
Le patron du FCE a rappelé que durant le mandat écoulé, son organisation avait engrangé des acquis et réalisations « incontestables. »
« Son assise s’est élargie, sa place dans le paysage socio-économique s’est renforcée et sa crédibilité au plan international s’est établie », s’est-il félicité.
Pour lui, le Forum qui a choisi de s’engager pleinement dans les options économiques nationales, aura, toutefois à relever de nouveaux défis.
« Et c’est à ce titre que le FCE a procédé à l’élargissement de son Conseil exécutif et d’ouvrir la composante du bureau exécutif », a-t-il fait savoir.
A propos de ses nouvelles priorités, le patron du FCE a cité principalement l’édification d’un nouveau siège social, la construction d’une école supérieure de commerce et de management qui formera l’élite managériale du pays, la création d’une école pour l’hébergement et la prise en charge de 1.000 enfants handicapés.
Il a également mis l’accent sur les ambitions du Forum dont le soutien des TPE et PME dans leurs dynamiques de développement, la promotion des TIC et de l’économie numérique, l’émergence d’un secteur privé fort…
Après son réélection à la tête du FCE, M. Haddad a procédé à la pose de la première pierre du nouveau siège de l’organisation, établi au quartier d’affaires d’Alger, à Bab Ezzouar. D’une durée de réalisation de 24 mois, le nouvel édifice coûtera de 2,2 milliards de DA.
The post Le FCE se transformera en syndicat patronal, bientôt appeared first on .
ALGER – La deuxième exposition nationale des oiseaux d’élevage, organisée vendredi et samedi au palais des expositions « Haroun Rachid » d’Oued-Koriche (Alger), a drainé plusieurs centaines de fans, de toutes les catégories d’âge et avec une assez forte présence féminine, a constaté l’APS sur place.
Un salon avec lequel a été jumelée la première édition du Championnat national des oiseaux d’élevage, organisée par l’Association ornithologique Algéroise (AOA).
« J’ai été agréablement surpris par le grand nombre de personnes qui nous ont honorées de leur présence, car sincèrement, je n’attendais pas à ce que notre activité draine une affluence aussi importante » a indiqué à l’APS, Rochdi Benabdallah, un responsable chargé de l’organisation au niveau de AOA, ajoutant avoir constaté « le même effet de surprise chez les visiteurs », qui selon lui « ne semblaient pas s’attendre à ce que cette passion soit aussi importante » en Algérie.
Parmi les grandes découvertes faites par le public à l’occasion de cette exposition, l’existence d’un bureau de conseil et d’orientation, formé d’éleveurs professionnels, qui n’hésitent jamais à faire part de leur expérience aux clients.
« L’autre satisfaction pour nous a été de constater la présence de toutes les catégories sociales, allant du médecin à l’ouvrier, messieurs et dames, grands et petits. Un fait qui nous encourage à continuer à travailler et à faire encore plus » a indiqué Khaled Aoudia, un membre de l’AOA, venu de Tizi-ouzou.
Pour sa part, la première édition du Championnat national des oiseaux d’élevage a été marquée par la participation de 131 éleveurs, ayant concouru avec 875 oiseaux, appartenant à cinq espèces différentes, à savoir: les canaris de posture, les canaris de couleur, les oiseaux exotiques à bec droit, les oiseaux exotiques à bec crochu (comme les perroquet) et les oiseaux dit européens, comme les fameux chardonnerets.
« Sur les 875 oiseaux d’élevage engagés dans ce Championnat national, 180 ont été primés, car considéré tous comme ayant un niveau mondial » a assuré Benabdallah, en ajoutant que le verdict a été rendu par des juges de renom, comme Liano Michel, Cicero Sylvain, Alain Pierre Martin et Cyrille Jardinier, appartenant à l’Organisation mondiale des juges en ornithologie (OMJ), où à la Commission nationale française des juges (CNFJ).
Selon la même source, « les éleveurs engagés dans cette compétition sont venus des quatre coins de l’Algérie, et ils étaient nettement plus nombreux que l’an dernier », lors de la première exposition nationale des oiseaux d’élevage.
Outre le partage de cette passion, « le principal objectif » de l’AOA reste « la création d’une fédération algérienne des oiseaux d’élevage », ce qui non seulement lui permettra d’intégrer l’Union internationale de la discipline, mais aussi de participer aux plus grands évènements planétaires.
« Les efforts que nous avons fourni commencent à porter leurs fruits, comme en témoignent les 180 oiseaux primés lors de ce Championnat national. Des spécimens de très grande qualité, avec lesquels nous pouvons espérer des succès au plus haut niveau » a encore assuré Benabdallah.
L’exposition a été marquée également par la présence de certains vétérinaires, venus en assez grand nombre, car considérant que leur métier a un rapport direct avec cette activité.
« Les travaux que je mène actuellement ont pour objectif de développer un traitement pouvant prévenir les oiseaux de certaines maladies contagieuses.
Les éleveurs possèdent généralement différents spécimens, et il arrive que certaines maladies se transmettent involontairement des uns aux autres. Ce qui est dommage » a indiqué à l’APS le Docteur Senoune Draria, un vétérinaire du laboratoire Animaxy, présent à l’exposition.
« Même s’il est parfait, un oiseau ne peut espérer remporter un concours si les juges ne le voient pas sous sa meilleure forme, d’où l’importance de notre travail » a considéré le Dr Senoune, dont le laboratoire comporte une quinzaine de vétérinaires, spécialisé chacun dans une espèce animalière différente.
The post La 2e exposition nationale des oiseaux d’élevage a drainé les grandes foules appeared first on .
ALGER- L’imagerie médicale et l’utilisation des technologies numériques ont permis d’opérer « une véritable révolution scientifique dans la prise en charge des patients », ces dernières années, ont indiqué, samedi à Alger, plusieurs spécialistes, en marge des journées algéro-françaises de radiologie et d`imagerie médicale.
Cette technique a permis d’opérer une révolution scientifique sans précédent dans le domaine médical, ces dernières années, contribuant largement à déceler les tumeurs qui peuvent toucher différentes parties du corps notamment le cerveau, compte tenu de la complexité de ses fonctions », a affirmé le chef de service de l’imagerie médicale au Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Paris, Pr François Boudeghène.
Il a estimé, à cet effet, que cette technique, d’une grande utilité pour les spécialistes dans le dépistage des différents types de cancer, connaîtra « une avancée significative à l’avenir à même de permettre aux spécialistes d’assurer une large prise en charge aux patients à des coûts réduits ».
L’utilisation de l’imagerie médicale au profit de certains malades chroniques, en hausse ces dernières années, permet d’examiner plusieurs pathologies en même temps, a-t-il affirmé, ajoutant qu’elle constitue « un véritable gain de temps et d’efforts et une prévention supplémentaire pour le patient contre d’éventuelles complications ».
Le Président de la Société française de Radiologie, Jean François Meder a souligné, pour sa part, l’importance de cette technique dans la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC), sans laquelle « il est impossible de confirmer si une personne ayant reçu un choc crânien, a subi un AVC ou une hémorragie interne ».
Grâce à l’imagerie médicale et suite à la création d’unités de prise en charge des AVC, le spécialiste a fait savoir que « les médecins sont parvenus à prévenir un deuxième ou un troisième AVC au patient, pouvant lui coûter la vie ».
« L’utilisation de la technique de l’imagerie médicale, appelée aussi intelligence artificielle, s’avère aujourd’hui très utile pour la détection de certains déséquilibres invisibles à l’£il nu », a fait savoir le chef de service d’Imagerie au Centre Pierre et Marie Curie de cancérologie (CPMC) à Alger, professeur Salah Eddine Bendib.
Grâce à cette technique, a-t-il poursuivi, les spécialistes sont parvenus à des résultats probants en peu de temps, en ciblant la tumeur et en anticipant parfois d’éventuelles complications.
L’imagerie médicale opèrera, dans les 10 à 15 années à venir, une autre révolution scientifique dans le monde, grâce à la recherche continue dans ce domaine, a-t-il soutenu.
S’agissant de l’utilisation de l’imagerie médicale dans les hôpitaux nationaux, professeur Bendib a affirmé que cette technologie avait été mise en place progressivement depuis quelques années déjà, citant à titre d’exemple la radiothérapie dans le traitement des cas de cancers du sein.
L’imagerie a permis, ainsi, « de scruter profondément les tumeurs, tant malignes que bénignes », a-t-il ajouté.
En dépit de l’essor fulgurant de l’imagerie médicale, le facteur humain demeure le premier responsable de cette technique qui lui économise non seulement l’effort mais aussi le temps, a-t-il estimé.
Revenant sur les effets des radiations lors de l’utilisation de l’imagerie sur le corps médical et les patients, M. Bendib, également doyen de la faculté de médecine d’Alger, a rassuré que les utilisateurs de cette technique veillent au respect des lois en vigueur, en injectant les doses adéquates pour l’obtention de résultats précis et sans risques.
The post L’imagerie médicale, une véritable révolution scientifique dans le domaine médical appeared first on .
PARIS- La présidente de la Région d’Ile-de-France, Valérie Pécresse, est en visite pour deux jours en Algérie dans le cadre de l’accord de coopération avec la wilaya d’Alger, a indiqué samedi un communiqué de la région qu’elle dirige.
Valérie Pécresse conduit une importante délégation dont Jérôme Chartier, 1er vice- président chargé de la Stratégie institutionnelle et des Relations internationales, Agnès Evren, vice-présidente chargée de la Culture, du Patrimoine et de la Création, Hamida Rezeg, vice- présidente chargée du Tourisme et Béatrice Lecouturier, déléguée spéciale à l’Orientation, a-t-on précisé de même source.
Elle est également accompagnée par de personnalités franciliennes et franco-algériennes telles que Jean Nouvel, architecte, Zahia Ziouani, chef d’orchestre, Djamel Bensalah, réalisateur et scénariste, Akrame Benallal, chef étoilé, Yamina Benguigui, réalisatrice et ancienne Ministre et Gilles Kepel, politologue, spécialiste de l’islam et du monde arabe contemporain.
Une convention tripartite sera signée, au cours de cette visite, entre la Région Ile-de-France, la wilaya d’Alger et les Ateliers Jean Nouvel portant sur la revitalisation de la Casbah d’Alger, inscrite au patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1992.
Ce projet, qui associera experts français et algériens, inclura notamment la réalisation d’une vision architecturale globale ainsi que la reconversion du palais du Dar El Hamra en équipement culturel métropolitain.
L’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (IAU), organisme associé de la Région, sera directement associé aux travaux et pourra faire appel à divers experts franciliens dans les domaines de l’architecture, de la réhabilitation patrimoniale, de l’urbanisme et du tourisme, indique-t-on de même source, précisant que cet institut a mandaté, dès cet été, un expert architecte à Alger pour une durée d’un an, chargé de contribuer à la définition de la stratégie de régénération socio-économique de la Casbah.
Le 26 septembre dernier, le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, et la présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, ont signé à Paris une feuille de route pour le lancement du projet de sauvegarde et de revitalisation de la Casbah d’Alger.
La signature de cette feuille de route s’inscrit dans le cadre des actions en matière de réhabilitation du patrimoine architectural de la wilaya d’Alger, suite à l’accord-cadre signé le 23 mars 2017 entre les deux régions.
L’accord-cadre de 2017 définit, rappelle-t-on, les plans d’action entre la wilaya d’Alger et la Région Ile-de-France dans les domaines de l’aménagement urbain et des transports, de l’innovation et de l’entrepreneuriat, de la coopération universitaire et de la culture, du patrimoine et du tourisme.
Par ailleurs, la présidente de la Région d’Ile-de-France devra se déplacer, au cours de sa visite en Algérie, au monastère de Tibhirine (Médéa) pour se recueillir sur la tombe des moines assassinés en 1996 par des terroristes.
Les sept moines de Tibhirine, rappelle-t-on, ont été béatifiés samedi dernier à Oran, aux côtés de douze religieux chrétiens assassinés durant les années du terrorisme en Algérie.
The post La présidente de la Région d’Ile-de-France en visite en Algérie appeared first on .
Les élèves du lycée Ahmed-Ben Bella, situé à la périphérie de la ville de Sidi-Bel-Abbès ont, dans la journée du jeudi dernier, refusé de rejoindre les bancs de leurs classes à cause du froid et des conditions hygiéniques.
Les lycéens se sont massés devant leur établissement, ignorant les appels des responsables du lycée pour observer un sit-in et décrier, selon eux, le froid dans les classes à cause de la panne des chauffages. De plus, ils évoquent aussi des sanitaires nauséabonds. Depuis l’année dernière, nous vivons cette situation de froid entretenue par des promesses non tenues, ont-ils souligné. De son côté, la Direction de l’éducation a réitéré cette promesse de régler ce problème, déclarant qu’elle a pris attache avec un chauffagiste qui entamera, durant les prochaines vacances d’hiver, des travaux de réparation sur la chaudière qui est en panne.
Il ne reste plus qu’une semaine pour les vacances et les lycéens devront patienter.
A. M.
The post Sidi-Bel-Abbès : les lycéens boycottent les cours à cause du froid appeared first on .
Le premier responsable de la wilaya, M. Mohamed Hadjar, a donné en fin de semaine, le coup d’envoi d’une caravane de solidarité qui sillonnera l’ensemble des zones éparses de la wilaya.
Initiée par le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, cette campagne qui durera pendant une dizaine de jours, est organisée par la Direction de l’action sociale de la wilaya (DAS) en étroite collaboration avec les cellules de proximité de l’ADS (Agence de développement social) installées au niveau des daïras, les associations caritatives, mais aussi, elle est composée d’un staff médical.
Elle touchera autant que possible les familles défavorisées, nécessiteuses et sans ressources opérant dans les recoins de la wilaya.
Cette opération, nous dit-on, prévoit des aides sociales, la distribution des couvertures, des matelas, des denrées alimentaires, mais aussi une prise en charge médicale.
Tous les moyens nécessaires pour la réussite de cette opération ont été mis par les services de la wilaya, à la disposition des accompagnateurs, et ce, dans l’espoir de venir en aide à ces familles en période des grandes gelées et donner la joie à leurs enfants.
B. Henine
Le blocage de l’Assemblée populaire communale de Bordj-Thar, dans la wilaya de Jijel, se poursuit toujours depuis plus de six mois, a-t-on appris auprès d’un élu de cette APC de cette commune montagneuse.
La même source a ajouté que la dernière tentative en vue de surmonter les divergences entre les deux parties, initiée par le nouveau chef de daïra de Chekfa, n’a pas abouti.
Notre interlocuteur appartenant à l’Union des forces démocratiques sociales, a souligné que l’UFDS possédait 5 sièges sur un total de 13 et que l’actuel président de l’Assemblée populaire communale n’a pas pu faire passer le budget communal, ce qui pénalise lourdement les fonctionnaires et les citoyens de cette commune enclavée.
Ainsi, le bras de fer entre les deux parties se poursuit au grand dam des citoyens qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Les élus frondeurs au nombre de neuf, dont trois de sa propre formation politique, cinq appartenant à l’UFDS et un au Front de libération nationale (FLN), reprochent au maire, d’obédience RND, ses décisions unilatérales et des dépassements dans la gestion des affaires de ladite Assemblée populaire communale.
En attendant l’intervention de la tutelle locale, ce bras de fer se poursuit toujours, bloquant ainsi la gestion des affaires courantes des citoyens qui interpellent le wali en vue de trouver une solution à ce problème qui a trop duré.
Bouhali Mohammed Cherif
The post BORDJ-THAR (JIJEL) Un blocage qui dure depuis six mois appeared first on .
The post Après la découverte d’une bombe dans un champ d’oliviers à M’chédallah Des villageois demandent le ratissage des lieux appeared first on .
Sous le slogan : «La SAA se modernise pour mieux servir sa clientèle», cette compagnie d’assurances a organisé, cette fin de semaine à l’hôtel Sheraton de Annaba, une rencontre destinée à se rapprocher de sa clientèle tout en recherchant à étoffer celle-ci à travers de nouveaux produits.
Ont pris part à cette rencontre des membres de la CCI Seybouse Annaba, des représentants de banques, ainsi que de nombreux opérateurs économiques de la région. Dans sa présentation de son entreprise, le P-dg Nacer Sais a relevé que celle-ci arrive au premier rang des compagnies d’assurances en Algérie et 8e au Maghreb, enregistre 2 millions de clients et dispose d’un capital social de 30 millions de dinars et 520 points de vente à travers le pays. Sauf que la SAA n’est pas cotée en bourse !
Aux offres classiques des produits qu’elle commercialisait, le directeur général adjoint technique et commercial, Kamel Rahem, a présenté une demi-douzaine de nouveaux produits. Il s’agit, entre autres, de la prise en charge d’un complément de frais de réparation, un pack intitulé « Al Wafa» récompensant la fidélité des clients, des offres sur mesure et avantageuses pour les artisans et commerçants et toute autre profession libérale, de nouvelles variantes de la garantie tous risques en payant moins cher.
Il y avait aussi parmi les nouvelles offres, la garantie rachat et franchise concernant un véhicule neuf ou de moins de cinq ans, ainsi que l’assurance prenant en charge la perte d’exploitation en cas d’accident avec paiement d’une indemnité journalière entre 3 et 12 jours d’immobilisation.
Lui succédant, le chef de division des risques d’entreprise et des grands comptes, Djamel Eddine Djebarra, a analysé les risques et montage d’un programme d’assurance d’une entreprise estimant que celle-ci est une entité vulnérable aux risques donc elle est tenue «de protéger ses biens et son personnel».
Clôturant le programme des interventions, le P-dg a abordé les assurances transport en développant un sujet aussi épineux que celui du commerce international et ses problématiques. Il mettra le doigt sur l’absence de précautions lors de la conclusion de contrats d’achat, la méconnaissance des règles et des outils qui régissent le commerce international. «Les armateurs qui appartiennent aux pays développés, sont vicieux ou si vous voulez trop intelligents. Ils font tout pour gagner le maximum, même s’ils le font au détriment des clients. Les risques sont nombreux : avaries de marchandises, pertes, vols, crash et naufrage, entre autres. Nous agissons pour vous protéger contre les risques transports», dira-t-il, en substance.
Lors du débat, l’un des présents a évoqué la longueur dans les remboursements des sinistres. Et le P-dg de lui rétorquer que la SAA règle 400 000 sinsitres/an, rappelant ceux de l’ENIE de Bel-Abbès et de Vitajus qui ont coûté à l’entreprise respectivement 850 millions et 550 millions de dinars.
A. Bouacha
The post ANNABA Rencontre SAA-opérateurs économiques de la région appeared first on .
C’est à partir du village Raffour, dans la commune de M’chédallah, à 40 kilomètres à l’est de Bouira, qu’a été lancée officiellement, jeudi, la campagne oléicole saison 2018-2019.
Et c’est parce que cette présente campagne est placée sous le signe de la modernité, tant tous les professionnels, et même les plus artisans des oléiculteurs, ont pris conscience de la nécessité de moderniser la filière, ce lancement a été l’occasion pour la chambre d’agriculture de la wilaya de Bouira de présenter, sur le terrain, un nouveau matériel appelé à se généraliser et qui fera gagner aux oléiculteurs du temps pour leur récolte et de la qualité pour leur produit final qu’est l’huile d’olive. ll s’agit du peigne électrique, présenté sur le terrain, jeudi, par un expert agricole venu de Tunisie, pour vulgariser les bienfaits de cette nouvelle technologie de récolte des olives, et qui sera en rupture définitive avec les méthodes traditionnelles et archaïques faites de gaules.
Ainsi et en présence du directeur des services agricoles de la wilaya, des représentants de l’ITAF, du président de l’UNPA, du président de la chambre d’agriculture, et de dizaines d’oléiculteurs de la wilaya, une démonstration a été faite sur place avec ce peigne électrique, composé d’un peigne à pinces mobiles, que l’on accroche au bout d’une tige extensible jusqu’à 3 mètres, et le tout branché à un fil électrique long de 15 mètres que l’on doit brancher à une batterie de 12 volts. Durant la démonstration, l’opérateur, M. Omar Kabouchi, patron de la société Basma Agriculture, expert agricole et détenteur exclusif des droits de la marque Jolly Italia en Tunisie, venu en Algérie pour la promotion de ce produit révolutionnaire de récolte des olives qui se fait jusque-là d’une manière manuelle, dira qu’il y a deux sortes de peignes électriques ; le premier est à pinces presque circulaires et se tient directement avec la main, une fois branché, et le deuxième peigne est plus aplati et sera placé sur une perche télescopique, et une fois branché, l’opérateur pourra le manier à distance de telle sorte qu’il pourra faire agiter le peigne sur une hauteur pouvant aller jusqu’à 5 mètres si l’on tient compte de la hauteur de l’opérateur et des trois mètres de la perche. Une hauteur largement suffisante pour un arbre aussi grand et haut soit-il ; sinon, on pourra, puisque la longueur du fil électrique de ce mécanisme est de 15 mètres, utiliser une échelle ou un escabeau pour gagner plus de hauteur.
En somme, comme le rappellera le représentant de cette firme italienne, c’est un procédé révolutionnaire qui , pour le cas de la Tunisie, n’a pas eu l’engouement escompté dans les premiers temps, tant les mentalités sont dures à oublier les vieilles méthodes, mais une fois expérimenté, les demandes ont explosé d’une manière exponentielle tant cette méthode fait gagner aux oléiculteurs du temps pour leur récolte, et partant, de la qualité de l’huile car, tout le monde aujourd’hui sait que la meilleure qualité de l’huile est celle provenant d’une olive arrivée à maturité et cueillie rapidement. Ainsi, le peigne électrique, d’après cet expert, fera gagner à son utilisateur jusqu’à dix fois le temps de récolte et le rendement, pour une femme et six à huit fois s’il s’agit d’un homme. Autant dire qu’un oléiculteur qui a l’habitude de ramasser sa récolte en deux mois, va la récolter en un mois avec en plus, une olive pas du tout abîmée, sans brindilles et sans feuilles. Des détails qui ont leur importance lors de la trituration pour une huile extravierge, qui est la plus demandée sur le marché et surtout la plus cotée.
Cela étant, pour le prix de vente de ce matériel électrique, M. Kabouchi dira que celui-ci n’est pas encore arrêté pour le cas de l’Algérie mais pour le cas de la Tunisie, le prix avoisinerait les 800 euros. Un prix qui n’est pas à la portée de tout le monde et pour lequel l’Etat, dans le cadre des différentes aides pour le développement de l’agriculture, pourra intervenir dans un cadre du montage financier avec les oléiculteurs.
Cela étant, rappelons que durant cette journée, tous les oléiculteurs rencontrés, à commencer par le président du Conseil interprofessionnel de la filière oléicole de la wilaya de Bouira, Hafidh Toumi, du président de l’Association pour la production et le développement de l’olive de la wilaya de Bouira, Arezki Toudert, ou de simples oléiculteurs, comme Akkouche Amarouche, et d’autres encore à travers la vallée du Sahel, tous se plaignent de la vente anarchique de l’olive le long des routes sans aucun registre de commerce ni autorisation des services concernés, une vente anarchique qui encourage le vol de l’olive par des jeunes et des enfants désœuvrés surtout de nuit dans les oliveraies lointaines et difficiles à surveiller. Cela encourage également le vol des olives récoltées et déposées dans des cours de maisons.
Autre problème soulevé durant cette journée par les oléiculteurs, la lenteur dans la livraison du projet des eaux d’irrigation du barrage Tilesdit ; une requête pour laquelle le président de l’UNPA, Hamadache Aoudia, présent lors de cet événement, semble optimiste puisqu’il a annoncé devant les présents que le périmètre irrigué du Sahel dont fait partie le périmètre de M’chédallah, sera livré dans quelques mois.
Quoi qu’il en soit, la filière oléicole, qui commence à prendre conscience de la nécessité d’aller vers le qualitatif, gagnera plus en faisant siens certains autres matériels de modernisation de la filière comme les nettoyeuses des olives et même les ramasseuses d’olives car, sachant de c’est grâce tous ces procédés modernes que les pays voisins ont réussi à placer leurs huiles dans les marchés mondiaux. Et quand on sait que pour le cas de notre pays, la variété existante dans la région de M’chédallah justement, celle de Achemlal, fait partie d’une variété qui donne une huile extravierge à moins de 0,1% d’acidité, quand on sait que du temps du colonialisme français, l’huile de cette région a gagné par deux fois des médailles d’or dans les foires internationales de Milan et Madrid, en 1929 et 1939 ; les pouvoirs publics doivent penser sérieusement, comme nous l’avons souligné déjà, à encourager ces méthodes de modernisation de la filière en aidant les oléiculteurs dans l’acquisition de ces matériels, et ce, afin de hisser le drapeau algérien dans ce genre de manifestations internationales et faire de l’huile d’olive, une véritable source de devises. Il suffit que la volonté politique pour ce faire soit.
Les milliers d’oléiculteurs de la région mais également de tout le pays attendent une véritable politique oléicole de la part du gouvernement. Et le résultat sera palpable dans moins de 10 ans.
Rappelons que dans la wilaya de Bouira, et d’après le DSA, quelque 7,5 millions de litres d’huile sont attendus pour cette année avec une surface agricole de 26 000 hectares d’oliveraies en rapport sur un total de 39 000 hectares. C’est dire combien la filière est prometteuse dans cette wilaya à vocation agricole et dont l’oléiculture détient la palme d’or.
Y. Y.
The post LANCEMENT OFFICIEL DE LA CAMPAGNE OLÉICOLE À BOUIRA Sous le signe de la modernisation de la filière appeared first on .
Pour la deuxième année consécutive, la pharmacie Oukaci sise à Khemis Miliana a organisé une journée de sensibilisation et d’information sur les méthodes de la recherche d’une glycémie équilibrée.
Cette fois-ci, cette journée a laquelle ont pris part des dizaines de personnes atteintes de diabète des 2 types, des personnes des 2 sexes, jeunes et moins jeunes, le médecin animateur, le Dr Bitam Tarek, nutritionniste et éducateur, en collaboration avec le laboratoire Vitalcare, a dans une première phase, écouté attentivement les uns et les autres, leurs questionnements, leurs inquiétudes et leurs incompréhensions et surtout leurs manières de gérer leur équilibre glycémique au moyen des injections de doses d’insuline pour l’absorption d’hypoglycémiants. «Le tout, ce n’est pas de viser un chiffre précis de la glycémie, mais de se maintenir dans un espace de confort, dans une fourchette entre 0,90 et 1,30 gr», en ajoutant «maintenir sa glycémie dans cette marge permet d’assurer le confort du diabétique d’une part et d’autre part d’éloigner les éventuelles complications qui peuvent survenir au delà de cette fourche qui, si elle est franchie trop fréquemment, peut entraîner des déséquilibres à éviter». Comment se nourrir, quand faut-il procéder aux auto contrôles, comment et dans quelles parties du corps s’injecter son insuline ? Telles ont été les recommandations avancées par l’animateur en réponse aux multiples questions individuelles de l’assistance. Le spécialiste a expliqué que bien gérer son diabète, c’est de gérer convenablement les apports alimentaires exogènes (de l’extérieur) et ne pas recourir aux apports endogènes en obligeant le corps à solliciter la réserve glycogène emmagasinée par le foie.
Le nutritionniste a insisté aussi sur la pratique des activités physiques telles que le sport, la marche ou de simples exercices physiques. A propos de régime alimentaire, pour le spécialiste, il ne s’agit pas de ne pas manger mais de se nourrir pour garder son équilibre. A la fin de la séance, les présents n’ont pas manqué d’exprimer leur grande satisfaction «C’est de ces explications simples compréhensibles, la simplicité langagière de l’animateur et les exemples imagés qu’il a donnés avec les réponses individuelles, voilà ce dont nous avions besoin.»
D’autres diront «c’est rare qu’une pharmacie se préoccupe de l’information de ses clients, de les accompagner dans leur manière de gérer leur diabète, une pharmacie qui ne se contente pas de nous vendre des médicaments, un exemple que feraient bien de suivre d’autres officines.»
K. O.
The post KHEMIS MILIANA Journée d’information sur la gestion du diabète appeared first on .
Mourad Zemali, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, était dans la wilaya de Chlef où il a effectué une visite de travail et d’inspection des instances relevant de son secteur.
Accompagné du wali Mostefa Sadek, des autorités civiles et militaires et des responsables de son secteur, le ministre a relevé avec satisfaction, après examen de la situation de l’emploi dans la wilaya de Chlef, que le chômage dans la wilaya a atteint un taux inférieur à 8,5%.
L’envoyé du gouvernement qualifie ce résultat de «réussite très encourageante qui donne à la wilaya de Chlef une place très honorable au niveau national, une réussite qui ne cesse de se confirmer d’année en année».
Pour le ministre, cette réussite est due au fait que «la wilaya de Chlef a déployé d’importants efforts en matière de création d’entreprises dans le cadre du partenariat par les jeunes diplômés des instituts et des universités dans une diversité de domaines porteurs et cette dynamique a commencé à porter maintenant ses fruits».
Le ministre ajoutera, en direction des responsables relevant de son secteur, que «cette réussite qui se confirme doit s’affirmer davantage et ce, par des mesures d’accompagnement et de facilitation et c’est là la mission dont sont investies les commissions de l’emploi au niveau de chaque wilaya du pays».
A propos de mesures d’accompagnement, de facilitation et d’encouragement, ainsi que dans le cadre de la lutte contre la précarité de l’emploi, le ministre annonce la mesure attendue depuis des années par des milliers de jeunes dans toutes les régions du pays et bénéficiaires de contrat dans le cadre du DAIP (Dispositif d’aide à l’insertion professionnelle), «dès 2019, il sera obligatoirement accordé aux employés déjà recrutés dans les entreprises et autres structures administratives dans le cadre du DAIP, le statut de permanent». Dans le cadre de sa visite, le ministre a eu à inaugurer les sièges des agences de l’emploi et de la Casnos.
Au niveau du chef-lieu de la wilaya, Mourad Zemali a eu à inspecter le siège de la Cnas où il a exhorté les responsables et de la Cnas et de la Casnos à redoubler d’efforts et à engager des campagnes de sensibilisation pour le recouvrement des cotisations car le déficit de la Caisse est à l’heure actuelle de 57% et ainsi réduire ce déficit.
A Yarmoule et à Labiodh-Medjadja, le ministre a eu à visiter des microentreprises spécialisées dans la réalisation de matériaux de construction, dans la communication et dans la fabrication de différents produits pharmaceutiques, encourageant les responsables de ces entreprises créées grâce au soutien de la Cnac et de l’Ansej.
Karim O.
The post Mourad Zemali l’annonce depuis Chlef : «Les personnes inscrites au DAIP seront permanisées en 2019» appeared first on .
SIDI BEL ABBES – L’université Djillali Liabès de Sidi Bel Abbès, qui souffle ses 40 ans d’existence, est en plein essor en termes d’infrastructures et de spécialités, devenant un pôle scientifique par excellence pour 30.000 étudiants issus de différentes wilayas et encadrés par 1400 enseignants.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présidé, samedi, en compagnie des ministres de la Formation et de l’Enseignement professionnels, de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, respectivement Mohamed Mebarki et Imene Houda Feraoun, les festivités marquant ce 40ème anniversaire de la création de cette université, en organisant plusieurs manifestations scientifiques, sportives et artistiques.
Cet établissement d’enseignement supérieur a connu une évolution notable en quatre décennies, après sa promotion en université, le 1er janvier 1989, comptant six instituts pour atteindre, six années plus tard, 10 instituts de différentes spécialités.
En 1998, avec la mise en place du système des facultés, l’université a abrité les facultés de lettres, des sciences économiques et de gestion, de droit, d’ingéniorat, de médecine et des sciences, a rappelé son recteur, Meghachou Mourad.
Trois autres trois facultés ont été ajoutées à ce réseau, à savoir celles des sciences de la nature et de la vie, des technologiques et des sciences appliquées. Sa salle de conférences de 600 places, équipée de tous les moyens, a été ouverte pour l’organisation de manifestations scientifiques et culturelles.
Cette infrastructure a bénéficié d’un projet structurant visant la réalisation d’un pôle universitaire s’étendant sur une superficie de 90 has. Ce qui a permis de la hisser au rang de grande université au niveau national, a souligné le recteur.
Ce pôle universitaire compte trois facultés : celle des lettres, des langues et de arts, la faculté du génie électrique et la faculté des sciences humaines et sociales, outre un bloc administratif, composé de 5 étages abritant le rectorat , une bibliothèque, une maison de l’entreprenariat, un siège des œuvres sociales et des infrastructures sportives.
L’université dispose aussi de laboratoires de recherche de pointe. Leur nombre a atteint les 49 laboratoires versés dans différentes filières. Ils sont encadrés par 90 équipes et 370 enseignants en plus de 2.000 étudiants post-graduation pour les diplômes d’études supérieures.
Les efforts déployés dans le domaine de la recherche scientifique ont permis à cette université de décrocher, en 2016, selon le classement du site web « Metric Ranking », la première place au niveau national et maghrébin, et la 27ème place au niveau africain et enfin la 1.725ème place parmi 27.000 universités au niveau mondial.
L’université de Sidi Bel Abbès a été baptisée, en 1996, du nom du professeur Djillali Liabès, natif de Sidi Bel Abbès et docteur en sciences humaines. Il occupa plusieurs postes dont celui de ministre des universités (1991) puis ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique (1992) avant d’être nommé directeur de l’institut des études stratégiques globales. Djillali Liabès a été assassiné le 16 mars 1993 à Alger.
The post L’université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbès : un pôle scientifique d’excellence appeared first on .
TIZI-OUZOU – Un contrat de partenariat et de sponsoring a été signé samedi à Oued-Aissi (05 km au Sud-est de Tizi-Ouzou) entre l’entreprise nationale des industries de l’électroménager (ENIEM) et la JS Kabylie (Ligue 1 Mobilis).
Lors de la cérémonie de signature qui s’est déroulée au siège de l’ENIEM, les responsables des deux parties ont rappelé les « relations historiques » entre le club phare de la région et le pionnier de l’électroménager.
« La JSK et l’ENIEM ont marqué leur époque » a souligné Cherif Mellal, président des Canaris, ajoutant qu’aujourd’hui, ils sont » appelés à écrire une nouvelle histoire commune (…) pour redorer le blason du club et reconquérir la place qu’il n’aurait jamais du quitter sur le plan national qu’international ».
Au-delà de « la symbolique forte » de ce nouveau partenariat, les deux parties mettront le cap sur « de nouvelles conquêtes sportives et économiques dans un esprit gagnant-gagnant » a estimé pour sa part, Djillali Mouazer, PDG de l’ENIEM.
The post Ligue 1 Mobilis : Signature d’un contrat de sponsoring entre l’ENIEM et la JS Kabylie appeared first on .
BEJAIA – Le parti « Khat el Assil » (voie authentique), a tenu samedi à l’hôtel des Hammadides à Tichy, 15 km à l’Est de Béjaïa, son deuxième congrès, en présence de plus de 300 délégués issus de 26 wilayas.
Organisé sous le thème générique de « Fidèles aux fidèles », les travaux ont donné lieu au plébiscite et à la reconduction d’Abderrahmane Sellam au poste de secrétaire général du parti, à l’élection de son nouveau conseil national et à l’adoption de son nouveau programme et statuts, au bout d’une votation à main levée.
Les congressistes ont réitéré, à l’occasion, leur attachement à la ligne politique adoptée à leur congrès constitutif, ancrée dans la « la mouvance nationaliste » et reposant sur les principes des valeurs du 1er novembre et la consolidation de la vocation identitaire du peuple, l’arabe, tamazight et l’islam.
A ce titre, le secrétaire général du parti a indiqué que le choix de Béjaïa n’est pas fortuit, la région, a-t-il dit, ayant fait la démonstration de son attachement à ses valeurs, ayant abrité le congrès de la Soummam, et contribué au rayonnement et de la langue arabe et de la religion musulmane. « C’est une référence nationale de premier ordre », a-t-il affirmé, soulignant que le parti n’est que l’expression d’une fidélité à l’exemple qu’elle en donne.
L’orateur n’a pas manqué de mettre l’accent sur l’impératif de faire croitre le parti et d’élargir son ancrage politique et social, en axant ses efforts sur une ligne militante, ayant pour objectif de consolider l’état démocratique et social, mue par l’instauration d’une politique sociale reposant sur la solidarité et la fraternité du peuple.
Les travaux ont été clôturés en fin de matinée, au bout de deux heures de travaux, et durant lesquels une douzaine de membres fondateurs du parti ont été exclus de ses rangs pour « absence » à ce congrès.
The post Le parti « Khat el Assil » tient son 2ème congres à Béjaïa appeared first on .
Ali Haddad, fondateur et PDG du groupe de travaux publics ETRHB Haddad, a été réélu pour un second mandat à la tête du FCE, ce samedi 15 décembre, lors de l’assemblée générale élective, qui se tient actuellement à la Safex aux Pins Maritimes à Alger.
Le président était candidat unique à sa propre succession.
The post Ali Haddad, PDG du groupe de travaux publics ETRHB Haddad réélu pour un second mandat appeared first on .
ALGER- Les pathologies allergiques représentent une « lourde charge » pour le système national de santé, a affirmé, vendredi soir à Alger, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, soulignant l’existence d’une stratégie de prise en charge de ces maladies.
« Les pathologies dues aux allergies occupent la 4éme position des maladies les plus répandues au monde. En Algérie, elles représentent désormais une lourde charge pour le système national de santé ainsi que sur le plan social », a soutenu le ministre, dans un discours lu en son nom par le Chef de Cabinet du ministère, le Pr Merzak Gharnaout, à l’ouverture des travaux du 3ème Congrès de l’Académie algérienne d’Allergologie, placé sous le thème « Allergie et Environnement ».
Citant l’asthme et la rhinite, comme étant les affections les plus présentes de cette discipline, il a déploré la conjugaison des facteurs qui en sont à l’origine, à savoir la pollution et la détérioration de l’environnement en raison, entre autres, des émissions de gaz toxiques en provenance des moyens de transports, de l’industrie, etc.
Face à ce problème de santé publique, a-t-il poursuivi, le ministère de tutelle a mis en place un programme national « optimal » consistant en une stratégie de prévention, de traitement et de lutte contre les causes induisant ces pathologies. Ce qui s’est traduit, s’est félicité le ministre, par une « amélioration » de la qualité de prise en charge des malades, ces derniers disposant des « médicaments qui leur conviennent ».
Ceci, d’autant plus que les Sociétés savantes algériennes ont élaboré des protocoles consensuels de traitement, a ajouté M. Hasbellaoui.
« Cependant, cela ne doit pas nous empêcher de poursuivre ces efforts, ensemble, en vue d’améliorer cette importante discipline, en même temps qu’à sensibiliser les autres secteurs pour jouer un rôle positif afin de diminuer l’étendue de ces maladies « , a-t-il recommandé.
Il a indiqué, en conclusion, que le département qu’il représente « s’appuiera », dans son plan d’action de lutte contre les allergies, sur les recommandations qui découleront de cette rencontre.
De son côté, le président de l’Académie algérienne d’Allergologie, le Professeur Réda Djidjik a considéré que « l’amélioration de la qualité de l’air est une mesure importante pour la prévention contre les conséquences néfastes de la pollution atmosphérique sur la santé des enfants et des adultes ».
– Les Prs Grangaud et Gharnaout honorés
Lors de cette rencontre, de deux jours, deux noms de la médecine algérienne ont été symboliquement honorés pour leurs apports distincts au secteur de la santé: le Pr Jean-Paul Grangaud, récipiendaire du 1er prix « Tedjini Haddam » (1921-2000) et le Pr Merzak Gharnaout, titulaire du 2 prix « Mohamed Seghir Belarbai » (1850-1950).
Le 3ème congrès de cette académie savante a été marqué par la présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, de spécialistes nationaux de la discipline, aux côtés de confrères de Tunisie, du Maroc, de France et du Canada.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables a été, quant à elle, représentée par Mme Fazia Dahlab, directrice et experte au Centre national des Technologies de Production Plus Propre(CNTPP), laquelle a passé en revue les actions de son département visant la préservation et la protection de l’environnement, et ce, pour le bien être du citoyen.
The post Les pathologies allergiques, une « lourde charge » pour le système de santé appeared first on .
ALGER – Un vibrant hommage musical a été rendu, vendredi à Alger, par une trentaine de musiciens et interprètes, au maître de la musique diwan, Maâllem Benaïssa, en commémoration de la dixième année de sa disparition.
Initié par des musiciens ayant côtoyé Maâllem Benaïssa, cet hommage qui s’est tenu à la salle Ibn-Zaydoun de l’Office Ryadh El-Feth, a réuni plusieurs formations musicales dans le style diwan ainsi que d’autres styles symbolisant l’œuvre de recherche musicale et la riche diversité du Maâllem.
Cette soirée qui a été inaugurée par un des derniers enregistrements vidéo du défunt a accueilli le groupe « Zaki Project » mené par le musicien et chanteur Zaki Mihoubi, fortement influencé par Maâllem Benaïssa à ces débuts, et qui lui a rendu hommage en interprétant quelques-uns de ses morceaux fétiches.
Zaki Mihoubi est par la suite rejoint par Djamil Ghouli et Nassim du groupe Diwan El Bahdja, des musiciens qui ont tous été influencés dans leurs carrières par Maâllem Benaïssa, Benaïssa Bahaz de son vrai nom, connu pour avoir initié plusieurs musiciens de la scène actuelle au diwan.
L’ouverture musicale dont faisait preuve Mâallem Benaïssa était également mise en avant, pour rendre hommage à celui qui voulait inscrire le diwan dans un registre World et jazz, par une prestation du chanteur Amine Chibane, oscillant entre plusieurs styles, accompagné de Mehdi Laïfaoui, un ancien membre du groupe « Diwan Dzair », fondé au début des années 2000.Une partie exclusivement dédiée au diwan traditionnel a été assuré par les membres du groupe « Wled Haoussa », accompagnés par Joe Batoury au goumbri, et qui sont revenus sur les morceaux les plus célèbres du patrimoine diwan.
Seul élève du mâallem, Chakib Bouzidi a également rendu hommage à son mentor avec sa formation « Ifrikya Spirit ».
Né en 1965 à Alger, Benaïssa Bahaz était connu pour être un grand maître du diwan et un musicien accompli, il a brillé par sa maîtrise et sa recherche de nouvelles sonorités au goumbri. Il a fondé le groupe « Diwan Dzair » et signé un album « Daoui » en 2007.
En plus d’avoir initié un grand nombre de jeunes musiciens au diwan et aidé à l’émergence d’une multitude de jeunes groupes, il a également été luthier, fabriquant essentiellement des goumbri.
Il avait également prit part au documentaire « Tagnawitude » de Rahma Benhamou El Madani dont il a signé la bande originale en plus d’avoir participé à plusieurs projets musicaux en Algérie comme à l’étranger.
Maâllem Benaïssa est décédé le 7 novembre 2008.
The post Dix ans après sa disparition, un concert en hommage à Maâllem Benaïssa appeared first on .
ANNABA- Des travailleurs recrutés dans le cadre de contrats de travail aidés (CTA) au complexe sidérurgique Sider El Hadjar (Annaba), ont poursuivi, vendredi, leur mouvement de protestation et bloqué la chaîne de production pour le troisième jour consécutif, a-t-on appris du secrétaire général du syndicat de l’entreprise, M. Riyadh Djemaî.
Les protestataires qui avaient entamé dimanche leur mouvement de protestation en bloquant la production pendant des heures, avaient repris la protestation sans bloquer la production avant de paralyser une nouvelle fois la production depuis mercredi en empêchant l’acheminement de la fonte du haut fourneau vers les aciéries, la première chaîne de production du complexe, ce qui a nécessité l’arrêt provisoire de l’activité du haut fourneau n 2 pour sécuriser les équipements du complexe, a-t-on indiqué, rappelant que les protestataires réclament leur permanisation.
Le protestataires campent sur leur position, a souligné le secrétaire général du syndicat, précisant que le syndicat oeuvre à trouver une solution à cette situation de blocage.
De sa part, le président directeur général du complexe Sider El Hadjar, M. Chemseddine Maâtalah a indiqué que la permanisation des travailleurs en CTA se fera dans le cadre de la loi et en fonction des moyens de l’entreprise, rappelant que plusieurs séances de dialogues avaient été organisé en présence du partenaire social, des représentants des protestataires, de l’inspection du travail et de la direction de l’emploi, durant lesquelles les représentants des protestataires avaient été informé sur les moyens du complexe et des efforts déployés pour garantir la stabilité de l’entreprise et son développement.
Le complexe a besoin de la mobilisation de tous pour préserver la stabilité de l’entreprise et gagner le défi relatif à la réussite de la deuxième tranche du plan d’investissement, a rappelé le même responsable.
Le complexe Sider El Hadjar emploie 4.500 travailleurs dont 498 en contrats de travail aidés (CTA) et 1.159 employés recrutés dans le cadre des contrats de travail à durée déterminée (CDD), a-t-on encore rappelé.
The post Sider El Hadjar: les protestataires bloquent la chaîne de production pour le 3è jour appeared first on .
PARIS- Le « Dhikr pictural », une invitation visuelle au concept apologétique d’inimitabilité du Coran (I’jaz), est exposé au Centre culturel algérien (CCA) de Paris, dont le vernissage s’est déroulé vendredi soir en présence de l’artiste Anissa Berkane.
Fruit de plus de 20 ans d’exploration artistique, intellectuelle et spirituelle, l’approche inédite d’Anissa Berkane dans le monde de l’art plastique se veut une expression visuelle des textes sacrés que recèle le Coran autour de sa codification mathématique.
Les tableaux qu’expose au CCA cette diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts d’Alger veut susciter chez les visiteurs des questionnements, leur proposant des suggestions et premières réponses autour d’une religion associée, par ignorance ou à dessein, à la terreur, « alors qu’elle est un Bien pour l’humanité entière ».
Les tableaux exposés jusqu’au 26 janvier captent, avec fascination, les regards des personnes qui sont interpelées pour une vision intelligente de l’islam, pour une réflexion autour des versets coraniques en relation avec la science moderne que nombre de scientifiques reconnaissent leur véracité scientifique.
Les visiteurs sont appelés, à travers cette exposition qui se veut itinérante, à un exercice de contemplation d’une beauté spirituelle des oeuvres mais, en même temps, un effet de distanciation pour découvrir ou confirmer le génie d’un texte sacré révélé il y a plus de 14 siècles.
Avec une dominante des couleurs chaudes, l’artiste, qui a fait beaucoup de recherches autour du Coran, utilise pour ses oeuvres la technique mixte sur de la toile avec parois des feuilles d’or. Chaque tableau est lié à un verset coranique qui explique une situation temporelle, propose une réflexion autour de soi-même ou rappelle des réalités scientifiques.
Une inspiration, selon l’artiste, qui la saisit et lui fait découvrir la création de l’humain et son univers. Un espace de prédilection d’Anissa Berkane à travers lequel elle apporte sa contribution à l’art arabo-musulman.
Dix-neuf tableaux sont exposés, manière de ne pas trop s’éloigner du chiffre magique 19, le nombre des lettres de la Basmala qui introduit toutes les 114 sourates du Coran sauf une (Tawba ou la repentance) et, en même temps, la base de tous les calculs mathématiques qu’on peut faire sur le texte sacré.
Anissa Berkane lui consacre d’ailleurs un tableau (Dix-neuf) aux couleurs chatoyantes. Dans sa quête de compréhension de l’univers, et bien sûr, l’humain, l’artiste évoque, à travers « Shor », en référence à l’algorithme quantique de Shor qui aide à factoriser un entier naturel en temps et en espace.
Même si elle consacre des oeuvres à la révolution digitale et à l’intelligence artificielle, génie de l’humain dans son espace et son temps, elle revient toujours au Livre-Saint avec « Qaf » (sourate qaf) et « El Hourouf » pour inviter à un perpétuel questionnement.
« Les visiteurs se posent des questions, veulent découvrir les mystères du Coran et ils sont très intéressés », a confié à l’APS l’artiste qui note que son objectif est atteint.
Elle souhaite, pour le besoin médiatique, que son oeuvre soit achetée par un footballeur de renommée mondiale comme Zinedine Zidane. « Ma finalité est trouver un jour un mécène », a-t-elle lancé.
La collection « Dhikr pictural » d’Anissa Berkane (52 ans) a connu plusieurs succès, depuis qu’elle a vu le jour à Alger en 2015. Elle a été exposée au Tehran Milad Tower (Iran) en décembre 2016 dans le cadre de la semaine culturelle algérienne et a fêté son anniversaire au palais de la Culture d’Alger en mai 2017, avant d’être présentée en décembre de la même année à la Galerie P21 de Londres.
The post Le « Dhikr pictural » d’Anissa Berkane s’invite au Centre culturel algérien de Paris appeared first on .