PARIS-La découverte archéologique de la place des Martyrs d’Alger est un exemple de la coopération franco-algérienne pour l’archéologie et le patrimoine, ont relevé des intervenants lors d’une rencontre lundi soir à Paris.
Organisée par l’Association France-Algérie (AFA) au siège du Sénat, cette rencontre a été l’occasion de faire découvrir les résultats des recherches récentes en Algérie en matière d’archéologie et montrer les liens qui se nouent entre les chercheurs des deux pays dans ce domaine.
Le directeur général du Centre national algérien de recherches en archéologie (CNRA), Toufik Hamoum, a dressé un état des lieux de cette coopération, mentionnant son « importance » dans les travaux de recherche dans ce domaine.
Pour sa part, le président de l’AFA, Jean-Pierre Chevènement, a souligné, à cet effet, la « vitalité et l’intérêt » de la coopération franco-algérienne dans le domaine de l’archéologie et du patrimoine, affirmant qu’elle permet à l’Algérie de « reconquérir son passé » à travers des recherches et fouilles.
Citant l’exemple de la découverte archéologique de la place des Martyrs, qui révèle 2000 ans d’histoire de la ville d’Alger, plusieurs intervenants ont indiqué qu’outre les riches potentialités touristiques de l’Algérie, les découvertes archéologiques contribueront dans le développement du tourisme culturel.
La découverte archéologique de la place des Martyrs, rappelle-t-on, a été le fruit des sondages exploratoires sur le tracé du métro qui relie la Grande-Poste à la place des Martyrs qui ont déclenché en 2013 des fouilles archéologiques.
Ces fouilles ont permis d’exhumer des vestiges datant de la fin du premier siècle d’avant Jésus-Christ, en passant par les époques byzantine et ottomane jusqu’à l’époque de la colonisation française.
François Souq, directeur scientifique et technique adjoint, qui a participé aux fouilles de la place des Martyrs, a indiqué dans son intervention que ces fouilles étaient « une opération techniquement pas simple », rappelant qu’en 2009 il y a eu deux diagnostics, suivis par la suite par des fouilles qui s’adaptaient aux travaux du métro.
Il a relevé que les découvertes sur l’époque byzantine sont « très importantes », car, a-t-il expliqué, « on ne connaît pas beaucoup de choses » sur cette période en Méditerranée.
François Souq a parcouru, photos des découvertes et croquis à l’appui, les différentes phases de l’histoire de la ville d’Alger interprétées par la céramique, des récipients culinaires, les ateliers, la monnaie, les architectures et l’urbanisme.
La préhistorienne du Centre national de la recherche scientifique (CNRS, France) et directrice de la Maison Archéologie et Ethnographie (MAE), Isabelle Sidera, a mis en valeur, dans une présentation, la mise sur pied au début de 2018 d’une équipe de chercheurs français et algériens pour mener des recherches sur l’archéologie préhistorique algérienne, dont fait partie le chercheur algérien Iddir Amara.
De son côté, Patrick Blanc, animateur du programme « Mosaikon » (musée de l’Arles antique) de restauration des mosaïques antiques en Méditerranée, a exposé la coopération entre les deux pays dans le domaine de la restauration des mosaïques, notamment en assurant in situ des ateliers de formation diplômant pour les techniciens à la conservation.
Plusieurs ateliers ont été organisés à Alger, Cherchell, Tipasa et au site archéologique de Lambèse (Tazoult, Batna), a-t-il ajouté, soulignant que cette formation englobe l’inventaire des mosaïques, leur maintenance, leur conservation et leur restauration.
Au cours des débats, des intervenants ont soulevé le manque d’intérêt de l’Union européenne, sur le plan du financement des travaux, à l’égard de ce domaine de « grand avenir » dans la région du sud de la Méditerranée.
Avant la clôture de cette rencontre, Jean-Pierre Chevènement a annoncé l’octroi d’une bourse de 1600 euros pour la recherche archéologique à l’Algérienne Sabrine Hamani, inscrite en doctorat à l’Université d’Alger II, pour effectuer des travaux de recherches à Aix-en-Provence (sud de la France).
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AIN DEFLA – A l’instar de nombre de régions du pays, les citoyens à Aïn Defla vivent au rythme de la coupe du monde de football (14 juin-15 juillet), s’employant à tout faire pour ne rien rater de ce rendez-vous planétaire dédié au sport le plus populaire au monde.
Que ce soit à Aïn Defla, Khémis Miliana, El Attaf ou encore Miliana ainsi que dans bien d’autres villes et villages de la wilaya, l’enthousiasme des amateurs de football est le même pour ce tournoi créé en 1928 en France, sous l’impulsion de Jules Rimet, alors président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA).
Cafés, restaurants mais aussi petits commerces à l’image des salons de coiffure et des épiceries de quartier, vivent ce rendez- vous, ne lésinant pas sur les moyens pour acquérir les équipements les plus sophistiqués susceptibles de leur permettre de profiter pleinement du spectacle inhérent à cet évènement tant attendu.
« En dépit d’un emploi du temps particulièrement chargé, je m’adonne à une véritable gymnastique pour pouvoir suivre le plus grand nombre de matchs possible », assure Lyès, un agent dans une administration à Aïn Defla, soutenant qu’à l’image des éditions précédentes, le suspense augmentera à mesure que la compétition avance.
Dans un café situé non loin du rond-point des trois horloges au centre-ville de Aïn Defla, la « fièvre » du football est à son apogée, une trentaine de personnes suivant le match du jour, les yeux rivés sur le petit écran.
Un silence de cathédrale s’abat sur l’endroit, entrecoupé parfois par le brouhaha des téléspectateurs consécutivement à la prouesse d’un joueur ou d’une décision de l’arbitre jugée inopportune.
« Heureusement que le recours à la vidéo permet de dissiper le doute dans les situations litigieuses », lance aâmi Ali, un septuagénaire féru de football, qui assure que si elle avait été adoptée du temps du mondial mexicain (1986), cette technologie aurait,à coup sûr, décelé la prétendue « main de Dieu » chère à Diégo Maradona (l’Argentin, au sommet de son art, avait inscrit alors un but de la main que l’arbitre n’avait pas aperçu, n.d.l.r).
En sus des cafés, nombre de personnes préfèrent suivre les matchs à la maison, à l’image de Madjid, la trentaine, qui accueille du monde chez lui pour profiter du spectacle dans une ambiance spéciale qui rappelle celle des stades.
« La passion qui se dégage de ces rencontres, est inégalable », confie-t-il, le besoin de partager ses émotions étant « irrésistible », ajoute-t-il.
L’ombre de l’Algérie
Mais, en dépit de cet engouement pour les matchs de coupe du monde, force est de constater que l’absence de l’Algérie à ce rendez-vous réunissant la crème du football mondial est restée en travers de la gorge de bon nombre de supporters des verts.
Les gens estiment que la présence d’une équipe qui, quatre ans plutôt, avait fait trembler l’ogre Allemand (le vainqueur final du trophée et qui s’était même permis le luxe d’étriller le Brésil, pays organisateur, sur le score sans appel de 7 buts à 1), le contraignant à rester dans ses derniers retranchements, aurait, à coup sûr, donné plus de saveur à la compétition.
Ce sentiment est appuyé par les prestations des sélections des pays arabes présents au mondial, des prestations qui ont parfois suscité le courroux, voire l’opprobre au regard du faible niveau qui les a caractérisées.
Tout en soutenant que le public algérien compte en son sein des supporters traditionnels d’équipes telles le Brésil, l’Allemagne ou l’Argentine, Dr Hadj Titaouni, enseignant en sciences de l’information et de la communication à l’université DjillaliBounaâma de Khémis Miliana, a observé qu’en l’absence de l’Algérie, les Algériens voulaient voir les équipes africaines et surtout arabes, déchantant rapidement à la lumière des prestations de ces dernières.
Pour ce spécialiste bien averti, le fait que les gens suivent massivement sur les réseaux sociaux les matchs de l’équipe d’Algérie livrés durant le mondial de 2014, est révélateur à plus d’un titre, rappelant qu’à cette époque-là, l’Algérie était le seul représentant des pays Arabes en phase finale de coupe du monde.
Tempérant quelque peu les propos tenus par l’universitaire, Mohamed Laâribi, journaliste sportif à la radio régionale de Aïn Defla, estime, pour sa part, que le fait que l’Algérie ne soit pas présente à la compétition n’empêchera pas les Algériens férus de football de suivre les matchs et de faire la fête.
« Faute de supporter notre équipe nationale, nous avons chacun notre équipe préférée qu’on soutiendra durant cette CM », analyse-t-il, émettant le souhait de voir l’Algérie représentée dignement à travers les arbitres Mehdi Abid Charef et Abdelhak Etchiali, retenus sur la liste des directeurs de jeu devant officier lors de ce mondial.
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DAMAS- L’armée syrienne poursuivait mercredi son offensive dans la province de Deraa, dans le sud du pays où elle tente de reprendre les zones aux mains des terroristes, provoquant la fuite de plusieurs dizaines de milliers de civils.
L’armée syrienne a réalisé une percée dans la province de Deraa (sud) avec la conquête de deux localités tenus par les terroristes dans la nuit du lundi à mardi, morcelant ainsi les territoires tenus par les hommes armés et provoquant la fuite de milliers de civils.
Selon l’ONU, environ 45 000 personnes ont fui les combats dans la province pour rejoindre la Jordanie, et « au moins 32 civils ont été tués », selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Dans la nuit de mardi à mercredi, les forces gouvernementales ont conquis les deux localités voisines de Basr al-Harir et Mlihat al-Atach, coupant en deux les territoires sous le contrôle des groupes armés dans l’est de Deraa, a annoncé l’ONG. « C’est la progression la plus importante du gouvernement en une semaine » a estimé le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, précisant que « le nord-est de Deraa est désormais totalement encerclé ».
Les forces syriennes ont pris également le contrôle de la zone de Lajat, dans le nord-est de la province de Deraa, selon des médias.
Le gouvernement a fréquemment eu recours à la stratégie d’encerclement lors de ses précédentes offensives contre des bastions des groupes terroristes, cherchant à isoler les territoires afin d’affaiblir ces groupes. Ces derniers contrôlent 70 % de la province de Deraa et celle voisine de Quneitra, tandis que le gouvernement contrôle la région de Soueida, la troisième de ce trio qui compose le sud syrien.
-Des consultations de l’ONU pour trouver une solution politique-
L’envoyé spécial des Nations Unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, a rencontré lundi à Genève de hauts représentants français, allemands, jordaniens, saoudiens, britanniques et américains pour discuter du processus politique de Genève mené et lancé par les Syriens et facilité par les Nations Unies.
Dans un communiqué de presse, M. de Mistura a expliqué que pendant cette rencontre, les participants ont été informés de la situation sur le terrain.
Des échanges ont également menés sur les perspectives de progrès sur le terrain constitutionnel et les efforts diplomatiques continus pour promouvoir un terrain commun parmi les acteurs internationaux.
Lors de la réunion, l’envoyé spécial de l’ONU a salué les six pays qui ont réaffirmé qu’ils soutenaient le rôle de l’ONU dans la facilitation du processus politique, précise le communiqué, ajoutant que d’autres réunions similaires sont attendues pour faciliter l’établissement d’un comité constitutionnel pour traiter les dimensions plus larges du processus politique.
Plus tôt cette semaine, il a rencontré des officiels russes, turcs et iraniens pour discuter du même sujet.
Les dernières discussions de paix de l’ONU sur la Syrie, qui se sont achevées à Genève en décembre 2017, ont été qualifiées par M. de Mistura d' »une opportunité en or manquée ».
Sur le plan politique interne, le président syrien Bachar al-Assad a affirmé que « toute réforme constitutionnelle en Syrie ne sera effectuée que si elle est soutenue par le peuple syrien ».
Une réforme constitutionnelle n’a rien à voir avec le président ou le gouvernement de la Syrie, et elle n’a rien à voir avec les pays étrangers ou les organisations internationales, a affirmé M. al-Assad. « Malgré le fait que la guerre est en cours maintenant, nous avons assez de moyens pour redresser le pays, nous en sommes sûrs », a-t-il assuré.
Le président syrien a notamment fustigé les accusations sur les armes chimiques proférées par l’Occident comme un « prétexte » pour une intervention étrangère, disant que la Syrie ne possède pas d’armes chimiques depuis 2013.
La guerre en Syrie a fait plus de 350.000 morts et jeté à la rue des millions de personnes depuis mars 2011.
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VIENNE- Le Maroc figure parmi les principaux producteurs de la résine de cannabis dans le monde, a indiqué le nouveau rapport mondial sur les drogues, publié mardi, par l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
Selon les conclusions de ce rapport, le Royaume marocain fait partie des régions où l’on enregistre les plus fortes productions et consommation de cannabis à l’échelle internationale.
En témoigne, a ajouté le document onusien, les « importantes saisies effectuées dans les pays destinataires de cette drogue ».
Se basant sur les informations fournies par les Etats membres des Nations Unies, concernant la provenance de la résine saisie, le rapport de l’Office onusien a cité le Maroc et l’Afghanistan comme les principaux fournisseurs de l’Europe, de l’Afrique du Nord, ainsi que le Proche et le Moyen Orient.
Les quantités de résine de cannabis saisies représentent seulement 40 % de la production totale, essentiellement interceptée en Europe occidentale et centrale, a relevé également le document de l’ONU, précisant que la consommation mondiale de cannabis est restée relativement invariable ces dernières années.
Au niveau mondial, les saisies des quantités de cannabis ont été réalisées essentiellement dans les Amériques (trois quarts), suivi de l’Afrique (14 %) et de l’Europe (5 %).
Le constat de l’Office des Nations Unies vient appuyer celui établi récemment par l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies. Dans son rapport de l’année 2018, l’Organisme européen avait souligné que la résine de cannabis consommée en Europe est principalement importée du Maroc.
L’Espagne est désigné comme le point d’entrée majeur de la résine de cannabis produite au Maroc.
Madrid avait saisi les trois quarts (76%) de la quantité totale saisie dans l’UE en 2016. Ces saisies sont considérées comme un indicateur révélateur de la quantité produite de cette drogue chez le pays voisin.
L’Observateur européen avait noté que les producteurs marocains du haschich avaient même adopté de nouvelles techniques pour une production massive de cette drogue, notamment dans la partie nord du pays.
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ALGER- Le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire organisera, vendredi, une campagne nationale de nettoiement des espaces publics à travers toutes les wilayas du pays dans le cadre de la saison estivale 2018 pour « assurer le bien être des citoyens durant cette période de l’année », a indiqué mercredi un communiqué du ministère.
Outre les plages pour les wilayas côtières, cette campagne concernera les lieux, places publiques, espaces verts, aires de repos dans les espaces forestiers et quartiers, et ce avec la participation des collectivités locales, de la société civile et des associations de jeunes, selon la même source.
Cette initiative « s’inscrit dans le cadre des recommandations de la commission nationale multisectorielle pour préparer la saison estivale et a pour objectif éliminer la pollution de l’environnement qui peut se répercuter sur la santé du citoyen durant la saison estivale, appuyer les démarches des autorités publiques visant à faire répandre les valeurs de citoyenneté et de civisme notamment chez les jeunes et sensibiliser les différents acteurs de la nécessité de conjuguer les efforts pour préserver la propreté de l’environnement », lit-on dans le communiqué.
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Pour l’année modèle 2019, l’A4 Berline et l’A4 Avant profitent d’une petite mise à jour esthétique et d’un pack d’équipements « S line competition » aux touches plus dynamiques.
Trois ans à peine après son lancement, la quatrième génération de l’Audi A4s’offre un lifting à peine perceptible se résumant aux boucliers avant de l’A4 et A4 Avant et des prises d’air latérales en forme de pentagone. Le pack S line extérieur propose des nouveaux pare-chocs au design angulaire . Une finition en forme de U sépare l’extérieur de l’intérieur parachevé par une calandre Singleframe en nid d’abeille qui permet, désormais, de différencier les finitions. Dans le pack extérieur S line, la calandre présente désormais des lamelles en 3D et une lame parachève la partie inférieure de l’avant.
Le pare-chocs arrière révèle également un nouveau look de série. Deux larges sorties d’échappement trapézoïdales remplacent les anciennes sorties d’échappement rondes. La zone du diffuseur entre les sorties d’échappement est à présent plus étroite. Enfin, les jantes, disponibles en version de 16 à 19 pouces, ont également été redessinées.
Ce restylage apporte également dans ses bagages la nouvelle finition « S Line Competition » caractérisée par la lame dans le pare-chocs avant et la baguette de la protection anti-gravillon en Argent Sélénite, un spoiler arrière RS sur l’A4 Avant et, entre autres, la nouvelle peinture Bleu Turbo. La partie inférieure des portes arrière arbore le logo aux quatre anneaux, soit en argent soit en noir en fonction de la couleur extérieure. Avec ce pack, les clients peuvent aussi profiter d’éléments techniques sportifs, comme les jantes Audi Sport de 19 pouces, les étriers de frein rouges, la suspension sport et les phares LED.
À l’intérieur, le pack S line competition est basé sur le pack intérieur S line Black et l’enrichit d’inserts en carbone, d’un volant multifonction à trois branches et de sièges sport noirs partiellement en cuir. Les clients peuvent aussi opter pour les sièges sport S en rouge magma ou dans une autre couleur.
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Aligné au Pikes Peak 2018, le Bentley Bentayga fort de son W12 développant 608 ch et 900 Nm de couple a décroché le record de sa catégorie, le constructeur annonçant une série spéciale dans la foulée.
Parcourant les 19,93 km en 10’49″902 aux mains de Rhys Millen, le Bentayga a affiché près de deux minutes l’ancien temps de référence, réalisé par Paul Dallenbach à bord d’un Range Rover Sport en 2014 (12’35″610)
Pour célébrer la course record, Bentley annonce une nouvelle édition limitée Bentayga, strictement limitée à seulement dix voitures, œuvre du département Mulliner caractérisée par sa livrée vert pétillant « Radium Satin » identique à celle de l’unité détentrice du record. Reste que pour les plus discrets, Bentley propose également un teinte noir « Beluga ». Logos Pikes Peak sur les ailes, jupes latérales, splitter, diffuseur et aileron, le tout en carbone et des jantes 22″ noir Beluga et vert Radium complètent le design extérieur.
À l’intérieur de la voiture, un Mulliner Design Color Split marie les accents Key Lime avec le cuir Beluga, avec des inserts Alcantara sur les sièges et les portes. Le volant et le levier de vitesses sont également taillés dans l’Alcantara, et la garniture de toit est en tissu technique Eliade. Un logo Pikes Peak décore la planche de bord en fibre de carbone, et des plaques de seuil numérotées Pikes Peak font également partie du décor.
Sous le capot, le Pikes Peak Bentayga dispose du bi-turbo W12 de 6,0 litres de Bentley développant 600 ch et 900 Nm, transmis par une transmission automatique ZF à huit rapports à quatre roues motrices permanentes. La suspension pneumatique adaptative et le système unique de contrôle antiroulis actif électrique 48 V de Bentley (Bentley Dynamic Ride) et le pack Bentayga Sports Exhaust and Touring Specification complète la voiture.
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Algérie Motors représentant de la marque BMW Motorrad en Algérie, annonce la disponibilité immédiate de la BMW G 310 R au tarif de 999.000 DA TTC au sein du showroom Algérie Motors d’Hussein-Dey
Garantie 2 ans avec kilométrage illimité, la BMW G 310 R, premier roadster BMW de moins de 500 cm3, est animée par un monocylindre 313cm3, à refroidissement liquide qui se distingue par une culasse quatre soupapes, deux arbres à cames en tête et une injection d’essence électronique, offrant une puissance de 34 ch à 9 500 tr/mn (Régime maximal 1 000 tours plus haut) et d’un couple de 28 Nm à 7 500 tr/mn, il est accouplé à une boîte 6 avec une transmission secondaire par chaîne. La consommation est annoncée à 3,33l/100 tandis que le poids ne dépasse pas les 158,5 kilogrammes.
Ce roadster G310R fabriqué en Inde n’en est pas moins premium que ses grands-frères puisqu’il se dote de l’ABS combiné de série et d’un châssis digne de la marque avec un cadre rigide en tube d’acier, une fourche inversée et un bras oscillant long favorisant la stabilité, le tout dans un format compact et accessible au plus grand nombre.
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Volkswagen ouvre ce mercredi une usine d’assemblage de véhicules au Rwanda, la première du genre dans ce pays d’Afrique de l’Est, le constructeur automobile allemand cherchant à étendre sa présence dans la région.
Le taux d’équipement automobile au Rwanda, un pays de 12 millions d’habitants, est relativement faible, avec un peu plus de 200.000 voitures privées immatriculées depuis 1997, selon l’organisme de recouvrement des impôts.
Volkswagen, qui assemble déjà des véhicules au Kenya, un État voisin, veut non seulement vendre des véhicules à des particuliers mais espère également qu’ils seront utilisés via des systèmes d’autopartage sur le modèle d’Uber.
Le constructeur automobile allemand avait déclaré en janvier prévoir, dans un premier temps, de produire jusqu’à 5.000 véhicules par an au Rwanda, à commencer par les modèles Polo et Passat.
Monique Nsanzabaganwa, vice-gouverneure de la banque centrale du Rwanda, a salué cette décision comme un exemple d’investissement nécessaire dans le pays, qui reçoit plus d’un milliard de dollars (858 millions d’euros) d’aide étrangère et d’aide au développement.
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Aston Martin lève le voile sur la DBS Superleggera, remplaçante de la Vanquish, et troque le fabuleux V12 atmosphérique par un V12 5.2 biturbo de 725 chevaux.
Un moteur déjà vu sur la DB11 et Vantage mais également sur la DB11 AMRet ses 639 chevaux, le V12 5.2 bi-turbo affiche sur ce modèle une puissance plus impressionnante de 725 canassons et 900 Nm de couple, loin des 603 ch et 630 Nm de la Vanquish S. Associé à une nouvelle boîte automatique à huit rapports signée ZF, la DBS Superleggera affiche un 0 à 100 km/h en 3,4 s et une vitesse maximale de 340 km/h.
Le châssis est une évolution de la structure légère en aluminium de dernière génération, visible pour la première fois sur la DB11, avec des doubles triangles forgés à l’avant et un système multibras sophistiqué à l’arrière. Les amortisseurs adaptatifs retravaillés sont équipés de série de capteurs détectant les conditions de conduite en vigueur, ainsi que les exigences du conducteur vis-à-vis de la voiture. En fonctions de ses besoins, le conducteur a le choix entre trois modes dynamiques : GT, Sport et Sport Plus .
Cette GT 2+2, dotée d’une carrosserie en carbone spécifique mais frôlant néanmoins les 1600 kilos, se caractérise par des touches esthétiques qui lui sont propres comme sa lame avant, ses deux versions de jantes spécifiques chaussées de pneus Pirelli P Zero, son double diffuseur ou son petit becquet. L’habitacle reprend largement l’ambiance de la DB11 et adopte des sièges et le volant sport Performance Plus et de nouveaux inserts.
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ALGER – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a mis en avant mercredi à Alger, lors du sommet international des villes intelligentes, les efforts de l’Algérie en matière de mobilisation des technologies numériques au service du développement, assurant que le gouvernement travaille à la mise en place d’un environnement numérique dans tous les domaines.
« Nous travaillons à la mise en place d’une administration numérique et d’un environnement numérique dans tous les domaines », a indiqué M. Ouyahia à l’ouverture de ce sommet, mettant en exergue « tous les efforts et toute la volonté que l’Algérie mobilise à ce sujet ».
Le Premier ministre a rappelé, dans ce sens, que l’Algérie enregistre annuellement « plus de 20.000 diplômés universitaires dans le domaine du numérique » et « dispose de dizaines de milliers de kilomètres de fibre optique à travers tout le pays ».
« Certes, nous ne disposons pas encore de villes intelligentes, mais nous avons déjà quelques noyaux appelés à se développer », a-t-il dit, ajoutant que « la wilaya d’Alger travaille à promouvoir des projets prometteurs dans ce domaine ».
Concernant le sommet, qui rassemble deux jours durant quelque 4.000 experts algériens et internationaux ainsi que 40 pays et 15 institutions de renommées mondiales, il a indiqué que cette rencontre « revêt un intérêt particulier pour notre Gouvernement car elle se penche sur quelques-uns de nos défis nationaux majeurs ».
Il s’agit de « l’association de notre jeunesse au développement du pays » et de « la valorisation des nouvelles technologies de l’information » et de « l’association des capacités de notre communauté à l’étranger au développement national ».
S’agissant de l’association de la jeunesse au développement national, il a relevé que « les jeunes de moins de 30 ans représentent la majorité de notre population » et que « ce mois de juin qui s’achève a vu l’organisation des épreuves et des examens pour près de 10 millions d’élèves dans tous les cycles scolaires alors que se préparent aussi les examens de fin d’année ou de fin d’étude pour près de 1.500.000 étudiants ».
« Même s’il a été fortement réduit ces deux dernières décennies, le chômage demeure pesant sur la catégorie des jeunes et notamment des jeunes diplômés qui sont très nombreux dans toutes les spécialités », a-t-il encore noté.
Le Premier ministre a indiqué dans ce sens que « l’Algérie a mis en place sous la direction du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, une politique volontariste de soutien des jeunes à créer leurs micros entreprises en mettant à leur disposition des ressources financières fortement bonifiées, pour un montant de 10 millions de DA chacune, soit l’équivalent de près de 90.000 dollars ou de près de 75.000 euros ».
Au fil des années, cette politique « a permis la création de centaines de milliers de micros entreprises par les jeunes, dont plus de 500.000 ont été des réussites », a-t-il ajouté.
S’agissant des Startup, basées sur les nouvelles technologies de l’information, M. Ouyahia a indiqué, toutefois, qu' »elles se comptent encore par centaines seulement en Algérie, car, a-t-il dit, c’est un modèle nouveau dans notre pays, un modèle qui connaîtra certainement un développement futur accéléré ».
« Nul doute que vos échanges et vos recommandations finales contribueront à cette accélération », a-t-il déclaré à l’assistance composée d’experts, de représentants d’universités locales et internationales.
M. Ouyahia a souligné « combien l’Algérie attend de votre Conférence pour éclairer davantage sa marche sur la voie du développement de l’économie numérique », assurant les participants au sommet que l’engagement du gouvernement « à étudier avec intérêt les recommandations pratiques » dégagées lors du sommet.
« Certes, l’Algérie a encore des retards dans plusieurs domaines. Mais, ceux qui l’observent avec objectivité témoigneront que mon pays rattrape ces retards à une vitesse très honorable, grâce aux politiques et programmes arrêtés par le Président Bouteflika », a-t-il affirmé.
« L’Algérie est un pays d’avenir par sa jeunesse, par ses capacités économiques diverses et par la détermination de son peuple. J’espère que votre rencontre permettra à nos participants étrangers de s’en convaincre eux mêmes », a-t-il conclu.
Auparavant, le Premier ministre a visité une exposition au sein du Centre internationale des Conférences où se tient le sommet, dédiée aux nouvelles technologies du numérique.
Ce sommet, unique en son genre en Algérie, mais également dans les pays émergents, réunit plus de 4.000 participants et 150 experts internationaux, incluant des sommités mondiales en technologie, finance, industrie et autres. De nombreuses métropoles comme Paris, Séoul, Caracas, Kigali, San Francisco, Vancouver ou encore Londres, sont représentées par leurs décideurs à cette rencontre.
Les institutions et organisations internationales telles que la NASA, le Forum économique mondial, La Banque Islamique de Développement, la Banque Mondiale, les Nations Unies, ou encore les institutions universitaires, telles que le MIT ou l’Université de Toronto, ainsi que les acteurs technologiques de la Silicon Valley et d’autres hubs technologiques participent aussi à cet évènement.
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L’Algérie à tout intérêt à rattraper son retard et à investir dans l’énergie solaire, estime Mouloud Bakli, Responsable monde du développement solaire au sein du groupe Air Liquide.
Invité à s’exprimer dans l’émission Invité de la rédaction de la radio Chaine, M. Bakli a indiqué que ce retard à un coût exorbitant et occasionne d’énormes pertes à l’économie nationale. A titre d’exemple, le spécialiste en énergie solaire, évoque les subventions de l’électricité. «Nous subventionnons l’électricité à un montant exorbitant, puisque, explique-t-il, le coût de production est 10,4 DA le KW et on le paye seulement à 4 DA le Kw…, c’est une perte sèche parce qu’on a une alternative».
Cette alternative, pour l’invité de la Chaine 3, réside dans l’investissement dans les énergies solaires qui permettent non seulement de réaliser des économies importantes, mais également d’exporter le gaz utilisé dans la production de l’électricité et de créer plus de 500 000 postes d’emploi.
Selon lui, le coût de production de l’énergie solaire, contrairement aux idées répandues, est insignifiant, soit 4 fois moins cher comparativement aux énergies traditionnelles. Plus précis, M. Bakli indique que le prix des équipements a baissé de près de 80% durant ces 10 dernières années. «Les installations pourraient, aujourd’hui, s’autofinancer. On parlait d’un coût installé au watt de 3 à 4 dollars en 2008 aujourd’hui on l’estime à 0,6 dollars le watt», avance le spécialiste.
Se voulant optimiste quant à la réalisation du programme nationale de développement des énergies renouvelable, M. Benakli invite, toutefois, les autorités à appuyer cette démarche par une batterie de mesures. Il recommande, entre autres, la subvention de l’installation des panneaux solaires à la place de la subvention de l’électricité et une imposition aux entreprises énergivores de combler au moins 20% de leur consommation par la production de l’énergie solaire, en suivant l’initiative prise, récemment, par le ministère de l’intérieur.
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«Khedam Seyadou», l’une des pièces phare d’Abdelkader Alloula, sera bientôt sur les planches grâce à un travail de collaboration entre le Théâtre national Algérien et le théâtre régional d’Oran. L’annonce a été faite par les deux directeurs de ces établissements lors d’une conférence de presse animée, mardi, au Théâtre national Algérien (TNA).
La pièce, qui sera mise en scène par Chérif Ayad, est tirée de l’œuvre du dramaturge italien Carlo Goldoni, qu’Abdelkader Alloula avait adapté avec beaucoup d’adresse et de finesse en 1993.
Pour les protagonistes, cette collaboration est une aubaine offrant la chance à la nouvelle génération de découvrir l’œuvre de ce monument du quatrième art. Elle ouvre, également, la porte aux échanges d’expérience et de savoir faire entre les théâtres algériens.
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ALGER- La séance matinale de la conférence internationale sur les villes intelligentes, les technologies globales et l’investissement, tenue mercredi à Alger, a été une occasion pour les responsables locaux de la capitale de s’enquérir des expériences internationales en matière de développement et de gestion des villes intelligentes.
Les experts intervenant lors d’un panel dédié à l’examen des différentes stratégies internationales en la matière, ont laissé entendre que la capitale algérienne disposait des éléments utiles pour l’émergence d’une Smart city à condition de poursuivre les efforts en termes de soutien de l’investissement privé, et notamment des startups, ainsi qu’en matière de numérisation.
Le responsable des Smart-cities au niveau de la Banque Mondiale Hyoug Gun Wang a ainsi noté que l’émergence des villes intelligentes nécessitait le développement de partenariats de type public-privé et l’encouragement de l’investissement privé dans tous les domaines et surtout dans les TIC.
L’expert Didier Nkurikiyimfura, chef de la technologie et de l’innovation au niveau de la Smart Africa, un projet portant sur la construction d’une infrastructure télécom en Afrique sub-saharienne, en connectant à Internet ses neuf pays, a de son côté souligné que la concrétisation d’une ville intelligente est tributaire du degré d’inclusion des citoyens et de leur niveau de numérisation.
« Pour mettre en place une Smart city il faut avoir une très bonne collaboration entre le Gouvernement et toute la composante de la société civile », a-t-il dit.
La responsable de la Smart city d’Oslo (Norvège), Mme Siije Bareksten, a pour sa part estimé que l’aboutissement de ce type de projet est lié à l’efficacité des mesures entreprises pour encourager et motiver les jeunes compétences.
Le marché des Villes Intelligentes est un marché en constante évolution dans le monde. Selon un rapport du cabinet Grand View Research, le marché de la ville intelligente atteindra 1.400 milliards de dollars d’ici deux ans.
De son côté, l’expert en TIC Younes Guerrar s’est réjoui de la volonté politique affichée pour la transformation progressive d’Alger en ville intelligente, c’est-à-dire une ville utilisant massivement les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la qualité des services urbains, en y appliquant les citoyens, les startups et l’ensemble de la société civile.
Cependant M. Guerrar a souligné la nécessité d’aller rapidement dans la résolution des problèmes techniques qui risquent de ralentir la concrétisation d’un tel projet, notamment en ce qui concerne les problèmes liés à la faiblesse du débit d’Internet et au nombre très réduit des fournisseurs d’Internet en Algérie.
« Car avant d’avoir des villes intelligentes, il faut d’abord avoir des villes connectées », a-t-il observé.
La rencontre se poursuit jusqu’à jeudi après-midi avec au menu l’organisation d’une cinquantaine de conférences-débats auxquelles assistent plus de 3.000 experts et professionnels algériens et étrangers.
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