NEW YORK – Les luttes autour du croissant pétrolier en Libye pèsent sur la stabilité du pays et risque de saper le processus politique onusien, a indiqué lundi l’émissaire Ghassan Salamé qui évoque « une accalmie relative » menacée par les rivalités autour de la gestion des revenus pétroliers.
S’exprimant lors d’un briefing au Conseil de sécurité, le chef de la mission d’appui des Nations Unies en Libye(Manul) a déclaré que les derniers événements survenus au Croissant pétrolier libyen « ont mis en évidence les questions sous-jacentes qui affectent le pays à savoir les frustrations concernant la distribution de la richesse ainsi que le pillage endémique des ressources ».
Il y a fort à craindre que « les accords conclus pour reprendre la production pétrolière s’arrêtent, et il sera difficile de faire progresser le processus politique », a averti Salamé, appelant à mettre fin en urgence
aux rivalités autour de la rente pétrolière.
Le chef de la Manul qui est revenu sur la nouvelle flambée de violences autour des infrastructures pétrolières à Ras Lanouf et As Sidra, Al-Hariga et Zouetina, a indiqué que ces événements ont « scindé le pays en intensifiant les divisions entre les institutions et les régions ».
Les pertes engendrées par l’arrêt des exportations pétrolières durant cette crise ont avoisiné les 900 millions de dollars, selon les estimations chiffrées fournies par l’émissaire onusien.
Si cette « crise a eu un côté positif », si le fait que « les différentes autorités libyennes reconnaissent à présent qu’elles doivent agir pour protéger les richesses du pays », a-t-il poursuivi.
Les exportations pétrolières libyennes ont repris mercredi dernier dans le croissant pétrolier, poumon économique de la Libye, après que le Maréchal Haftar a accepté de remettre les ports pétroliers à la compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC), reconnue par la communauté internationale.
Salamé a ajouté que la Manul allait « redoubler d’efforts pour préconiser des réformes économiques car la stabilité et l’unité du pays sont en jeu ».
Mise en garde contre les partisans du statut quo
Au plan sécuritaire, la Libye a connu « un calme relatif », caractérisé par une baisse significative des actions militaires, selon le médiateur onusien qui a évoqué « des progrès politiques liés à l’absence de l’activité militaire sur le terrain ».
Le nombre de civils tués durant les échanges de feu est tombé à quatre en mars et à cinq en avril.
Cependant les deux derniers mois ont enregistré une recrudescence des actes de violence qui ont « affaibli la dynamique du processus mis en place par l’ONU », a-t-il relevé, citant en cela le conflit à Derna qui attise encore les divisions dans le pays et la dernière crise autour du croissant pétrolier.
Ghassan Salamé a fait savoir que le processus consultatif menée dans le cadre de la conférence nationale inclusive, sera suivi d’un rapport exhaustif contenant les recommandations pour sortir de la transition et faciliter la tenue des élections présidentielle et législatives.
A ce titre, l’envoyé de l’ONU a mis en garde « contre une poignée de libyens qui bénéficient du statut quo » et qui n’hésiteraient pas à entraver les prochaines élections.
Sans les nommer, Salamé a indiqué que « la marge d’action » de cette « poignée de personnes qui défient la volonté populaire » est « grande surtout ceux qui détiennent des positions officielles, souvent lucratives ».
« Si les conditions propices ne sont pas réunies il serait inopportun de procéder aux élections », a-t-il averti. Et d’ajouter « aux dirigeants de la Libye, je dis que le moment est venu de rendre la parole aux citoyens ».
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ALGER – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui s’est félicité, lundi à Alger, des « résultats positifs » de la 6ème session du Comité bilatéral frontalier algéro-nigérien (CBF) dont les travaux ont été couronnés par l’adoption de recommandations « opérationnelles ».
Dans son allocution de clôture des travaux de la 6è session du CBF au Centre international des conférences (CIC), Abdelatif Rahal, M. Bedoui a indiqué que les efforts des experts de deux délégations « ont permis la réalisation des résultats positifs escomptés, notamment dans les questions relatives aux régions frontalières », ajoutant que cette rencontre était une occasion pour « affirmer la volonté commune des deux pays de poursuivre leurs efforts visant à réaliser la stabilité et à renforcer la solidarité et la coopération bilatérales », et ce « en vue de consacrer les aspirations des populations de ces régions et garantir leur bien-être en application des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et son homologue nigérien, Issoufou Mahamadou ».
Ce Comité bilatéral se veut « le mécanisme le plus adéquat à la promotion des relations bilatérales, notamment la coopération frontalière », a ajouté le ministre, indiquant toutefois que « ce mécanisme doit faire l’objet de révisions périodiques pour l’adapter aux derniers développements régionaux et aux menaces transfrontalières communes ».
M. Bedoui a évoqué, en outre, nombre de recommandations adoptées lors de cette session, principalement l’intensification de la coordination et de la concertation entre les services de sécurité au niveau des régions frontalières et le renforcement des capacités opérationnelles de la police et de la protection civile du Niger, les deux parties étant appelées à poursuivre l’opération de rapatriement des migrants clandestins dans le but de lutter contre la migration clandestine.
Les recommandations de la session ont mis en exergue la nécessité d’intensifier l’échange d’informations en vue de démanteler les réseaux de traite d’humains et d’élaborer un programme visant à renforcer les capacités des cadres nigériens en charge de l’aménagement du territoire à travers l’organisation de sessions de formation, l’échange de visites entre experts des deux délégations et la poursuite de l’octroi des bourses de formation au profit des apprentis et étudiants nigériens ainsi que la formation des imams, outre la lutte contre le radicalisme avec la réactivation du comité chargé du suivi des recommandations émanant de cette session qui « se réunira, désormais, deux fois par an ».
Dans ce cadre, M. Bedoui a appelé à « la désignation de représentants des ministères de l’Intérieur des deux pays chargés du suivi, de la coordination et de l’évaluation de la mise en œuvre des recommandations et des activités émanant de ce sessions du comité ». La foire régionale « Assihar » à Tamanrasset prévue pour le premier semestre de l’année prochaine, traduit la volonté des deux pays à la relance de la coopération commerciale », appelant, dans ce sens, les opérateurs économiques à y participer massivement.
Le ministre a également mis en avant l’importance des rencontres bilatérales entre les walis de Tamanrasset et d’Illizi et les gouverneurs de Aghadis et Tahoua, les exhortant à « intensifier les efforts nécessaires pour le renforcement de ce mécanisme local de coopération frontalière et à veiller au respect des échéances des sessions ».A cette occasion, le wali de Tamanrasset, Douma Djilali qui copréside avec le gouverneur de Aghadis, Sado Soloki la commission chargée de la sécurité, de la libre circulation des personnes et des affaires consulaires, a indiqué que « le rapport d’évaluation sur la situation de la bande frontalière affirme que les défis sécuritaires nécessitent des deux parties de déployer davantage d’efforts et de solidarité ».
S’agissant du renforcement de la coopération sécuritaire, M. Douma a fait savoir que les deux parties avaient convenu d’ajouter « un caractère opérationnel » à toutes les procédures issues de la cinquième et de la sixième session. Pour sa part, le gouverneur d’Aghadis s’est félicité des résultats de la 6ème session, mettant l’accent sur l’importance de la décision portant mise en œuvre de ces recommandations sur le terrain.
Au terme des travaux de la session, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a procédé avec le ministre d’Etat nigérien, ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique, de la décentralisation et des Affaires coutumières et religieuses, Mohamed Bazoum à la signature du procès verbal de la 6e session du Comité bilatérale frontalier algéro-nigérien.
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La capitale algérienne possède une grande expérience dans l’organisation de compétitions d’envergure au niveau continental, notamment les Jeux africains disputés à deux reprises à Alger (1978 et 2007) et qui sont beaucoup plus médiatisés contrairement aux JAJ, réservés aux jeunes sportifs âgés entre 14 et 18 ans aux grandes potentialités au stade de l’apprentissage mais promis à un avenir radieux dans les prochaines années.
L’idée des Jeux africains de la jeunesse a germé dans l’esprit du président de l’Association des Comités nationaux Olympiques en Afrique (ACNOA) de l’époque, l’Ivoirien Lassana Palenfo qui a lancé cette initiative en 2006, avant d’avoir le 3 février 2010 l’accord définitif du Conseil supérieur du sport en Afrique (CSSA) de mettre sur pied cette compétition juvénile tous les quatre ans.
Il s’agissait alors pour l’ACNOA d’expérimenter ce concept par l’organisation de diverses rencontres sportives entre jeunes âgés de 14 à 18 ans. Ces Jeux régionaux ont connu une véritable adhésion de la part des sportifs, de leurs dirigeants et même des autorités étatiques des divers pays africains.
L’objectif principal des JAJ est d’enrayer le déclin de la pratique sportive chez les jeunes et de contribuer à offrir à cette génération une éducation reposant sur des valeurs comme l’Olympisme, la paix, le courage, la tolérance le respect et l’honnêteté.
C’est à la capitale du Maroc, Rabat qu’échoit l’honneur d’abriter la première édition de cette grande fête sportive et culturelle pour jeunes durant la période allant du 13 au 18 juillet 2010, durant laquelle 1.008 athlètes de 40 pays ont concouru dans 16 disciplines et qui verra la Tunisie décrocher la 1re place au tableau final avec 28 médailles dont 10 en vermeil.
Les JAJ-2010 de Rabat étaient qualificatifs aux jeux Olympiques de la jeunesse (JOJ) de Singapour disputés la même année.
Puis ce sera au tour de Gaborone (Botswana) d’abriter la 2e édition, du 22 au 31 mai 2014. Cette fois-ci, 2.500 athlètes de 54 pays (un record) se sont affrontés dans 20 disciplines qui ont vu la nette domination de l’Egypte, vainqueur de 92 médailles dont 45 en or, suivie de la Tunisie (96/41 or) et du Nigeria (42/19 or). Les meilleurs athlètes avaient décroché leur billet pour les JOJ-2014 de Nankin, en Chine.
A Gaborone, l’Algérie avait terminé au pied du podium (4e) avec un total de 48 médailles (15 or, 22 argent et 11 bronze).
C’est le 30 mai 2014 dans la capitale botswanaise que le mémorandum officiel d`attribution de l`organisation des JAJ-2018 à l`Algérie avait été signé par le président du Comité olympique et sportif algérien (COA), Mustapha Berraf et l’ancien président de l’ACNOA, Lassana Palenfo.
Pour cette 3e édition qui débutera mardi, elle sera qualificative aux JOJ-2018 prévus en automne prochain à Buenos Aires.
C’est dans cette perspective argentine que cette manifestation amènera les meilleurs athlètes et par voie de conséquence elle imprimera un meilleur cachet technique aux JAJ-2018.
Pour le rendez-vous d’Algérie, tous les records vont être pulvérisés en partant du nombre de participants (3.000), de pays (54 annoncés) et de disciplines (30).
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ALGER – Le montant des transactions commerciales non facturées mises au jour par le ministère du Commerce a atteint 51,32 milliards de dinars durant le premier semestre de l’année 2018, a appris lundi l’APS auprès de ce ministère.
Ce montant a été découvert grâce aux 528.995 interventions effectués par les services de contrôle, ayant permis la constatation de 79.067 infractions et l’élaboration de 75.609 procès-verbaux. Le plus grand taux d’infractions a trait au défaut de publicité des prix (44,16%), l’opposition au contrôle (6,18%) et défaut de registre de commerce (5,64%).
S’agissant des mesures administratives conservatrices, il a été procédé à la saisie de marchandises pour une valeur de 4,06 milliards DA et la fermeture administrative de 6.961 locaux de commerce pour diverses infractions aux règles commerciales, notamment le défaut de registre de commerce. En matière de contrôle de la qualité et de la répression des fraudes, ces interventions ont donné lieu à la constatation de 46.931 infractions aux règles relatives à la protection du consommateur et à l’élaboration de 44.515 procès-verbaux d’infractions.
Les services de contrôle ont effectué 425.620 interventions sur le marché, ayant permis de relever 46.330 infractions donnant lieu à l’établissement de 44.275 procès-verbaux à l’encontre des contrevenants opérant aux différents stades de la mise à la consommation des produits. L’examen des résultats enregistrés fait ressortir que la majorité des interventions demeure orientée, de façon notable, vers l’objectif de la réduction du risque alimentaire qui représente à lui seul 251.522 interventions par rapport à l’activité globale.
La sécurité des produits et l’obligation de l’information du consommateur totalisent, quant à elles, 174.098 interventions de l’activité de contrôle de la qualité. Selon la même source, les contrôles opérés se sont traduits par la constatation de 46.330 infractions, dont 35.839 pour la réduction du risque alimentaire et 10.491 pour la maîtrise de la sécurité des produits ainsi que l’obligation de l’information du consommateur.
Refus d’admission de 505 cargaison sur le territoire national
A ce propos, les infractions principales relevées sur le marché ont concerné le défaut d’hygiène et de salubrité (47,41 %), la tromperie ou tentative de tromperie du consommateur (13,79%) et absence de l’autocontrôle (12,16%). Au titre des mesures conservatoires, il a été procédé à la saisie de marchandises non-conformes d’une valeur de 762,40 millions DA, le blocage aux frontières de cargaison pour une quantité de 21.376 tonnes de produits non-conformes d’une valeur de 7.396 millions DA et la fermeture de 1.884 locaux de commerce.
S’agissant du contrôle de la conformité des produits importés, il a été procédé à l’examen de 34.294 dossiers d’importation pour une quantité de 14,939 millions de tonnes. Cela a donné lieu au refus d’admission sur le territoire national de 505 cargaisons pour une quantité de 21.376 tonnes représentant une valeur globale de 7.396 millions DA. Un total de 240 dossiers de poursuites judiciaires ont été élaborés à l’encontre des importateurs défaillants.
Dans le domaine du contrôle analytique, il ressort de l’état des prélèvements d’échantillons, un nombre total de 8.140 prélèvements, dont 602 échantillons se sont avérés non-conformes, ce qui représente un taux de non conformité de 7,40%. Par type d’analyse et sur les 4.076 échantillons prélevés pour analyses physicochimiques, 489 échantillons se sont avérés non-conformes, soit un taux de 12,0%, alors que l’analyse de 3.929 échantillon au plan microbiologique a révélé la non-conformité de 471 échantillons, soit un taux moyen de 12,0%.
Aussi, il a été prélevé 177 prélèvement d’échantillons de produits industriels, notamment, les matériaux de construction, les appareils électroménagers, dont 31 se sont avérés non-conformes. Concernant le taux infractionnel, il a représenté 12 ,73% contre 13 ,09% pour le même semestre de 2017. En effet, le nombre d’autorisations d’admission a été de 33.789 pour le premier semestre 2018 contre 49.736 pour le même semestre de l’année écoulée, soit un taux de -32,1%.
Cette situation révèle qu’en termes d’importation, la donne a changé en ce qui concerne les produits soumis au contrôle des frontières. Ce qui témoigne d’une action favorable pour la production nationale résultant des mesures prises, récemment en matière de commerce extérieur, a fait valoir le ministère du Commerce. Pour rappel, le montant des transactions commerciales non facturées mises au jour par le ministère du Commerce s’etait chiffré à 116,45 milliards de dinars durant l’année 2017, contre 59,3 milliards de dinars en 2016.
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Des responsables et des chefs de sécurité algériens et tunisiens se sont rencontrés ,mercredi, à Tunis et ont débattu des voies et moyens en vue de la sécurisation de la frontières entre les deux pays, et ce au lendemain d’un attentat terroriste qui a visé une patrouille de la sûreté nationale tunisienne. Bilan six morts.
Selon le quotidien “Al Arabi Al Jadid”, de hauts responsables sécuritaires algériens ont rencontré leurs homologues tunisiens en charge de la lutte contre le terrorisme. Il a été question de présenter la carte de déploiement des groupes armés ainsi que les informations recueillis des deux côtés au sujet de l’identité et des images des terroristes qui activent toujours dans les régions frontalières.
D’après la même source, “les responsables des deux pays ont convenu de mettre en place un nouveau plan de coordination visant à déloger les groupes terroristes présents sur le tracé frontalier “.
Al Arabi Al Jadid a ajouté que “l’Algérie s’emploie à offrir du soutien logistique aux forces de sécurité tunisiennes déployées le long de la frontière, sachant que la Tunisie manque de moyens et d’équipements de lutte contre le terrorisme”. L’engagement de l’Algérie de soutenir le voisin de l’Est émane de sa certitude au fait que la présence des groupes terroristes dans la région constitue une menace contre le pays.
La même source a souligné qu’un lien est établi entre le groupe terroriste qui a pris pour cible une patrouille de police tunisienne à Jendouba dimanche dernier et les terroristes ayant fait exploser des bombes artisanales au passage d’un convoi de l’armée nationale populaire en février dernier. L’attentat a fait cinq morts par les éléments de l’armée.
Sofiane. A. / Traduit par: Moussa. K.
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MINI a diffusé quelques détails exclusifs du design comme avant-première du premier modèle entièrement électrique de la marque britannique et dont la présentation aura lieu l’année prochaine.
A la suite du projet pilote de la MINI E il y a exactement dix ans et de la MINI Cooper S E Countryman ALL4 plug-in hybride en vente depuis 2017, la première MINI entièrement électrique représente l’étape suivante de l’électrification de la marque MINI et reflète ainsi la stratégie NUMBER ONE > NEXT de BMW Group.
Deux images sont ainsi dévoilées, la première de la calandre pleine comme ce qui se fait dans le monde électrique et une seconde dévoilant des jantes au design assez spécifique pour ne pas dire déroutant.
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La toute première collaboration de Nissan et Italdesign, la Nissan GT-R50 a fait ses premiers pas au Goodwood « Festival of Speed 2018’ » au main de Lucas Ordoñez, premier vainqueur de la Nissan GT Academy.
Carrosserie et habitacle pensés par Nissan, conçu et fabriqué concrètement par Italdesign, les lignes de la Nissan GT-R50 rappellent celles de la Nissan GT-R de série, ce prototype unique possède ses propres traits de caractère et un design unique (voir ici dans le détail).
Sous son design inédit, la Nissan GT-R50 par Italdesign reprend la chaîne cinématique de la Nissan GT-R Nismo, mais en augmentant encore sa puissance de 120 chevaux, le V6 biturbo de 3,8 litres assemblé à la main offrant désormais 720 ch et un couple de 780 Nm.
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À l’occasion des 100 ans de la Royal Air Force, Ford Performance et le champion de drift Vaughn Gittin Jr. se sont associés pour créer une Mustang GT unique.
Spécialement préparé et présenté à l’occasion du festival Goodwood, qui se déroule actuellement au Royaume-Uni, cette Mustang GT de 700 chevaux est habillée aux couleurs de l’ »Eagle Squadron », un escadron de pilotes volontaires américains ayant combattu aux côtés des Anglais entre 1940 et 1942, avant l’entrée en guerre des États-Unis. L’ »Eagle Squadron Mustang GT » est pilotée par Vaugh Gittin Jr., accompagné par le vétéran Paul Miller, dont le père a servi au sein de l’Eagle Squadron en 1941 et 1942.
Sous le capot, le moteur V8 5.0l de la sportive a été boosté par un compresseur pour atteindre 700 ch, accompagné d’une transmission 6 rapports. L’Eagle Squadron Mustang GT est équipée de suspensions actives MagneRide, de barres stabilisatrices réglables RTR et de ressorts Ford Performance. Des sièges Recaro uniques en cuir habillent l’intérieur, ornés de l’emblème de l’Eagle Squadron. Ce logo est également gravé sur le pommeau du levier de vitesse, tandis qu’un badge en aluminium gravé à la main décore le tableau de bord.
Ce véhicule unique sera vendu aux enchères le 26 juillet prochain, les fonds seront ensuite reversés auprès de l’Experimental Aircraft Association, qui propose des programmes d’éducation pour les jeunes pilotes.
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Les forces armées syriennes ont progressé lundi dans le sud du pays, reprenant le contrôle de plusieurs localités, dont une colline stratégique surplombe les hauteurs du Golan occupée par l’entité sioniste, ont rapporté des médias syriens. Dans le cadre d’une vaste offensive destinée à reprendre les zones du sud-ouest du pays, lancée le 19 juin dernier, les forces armées syriennes se sont emparés lundi de la colline al-Haara dans la province de Deraa, a indiqué la télévision d’Etat syrien. Selon la même source, l’armée syrienne a repris le contrôle du village de Machara, situé dans la province de Kouneïtra à une dizaine de kilomètres de la frontière du Golan.
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D’abord pédagogue, ensuite très attentive aux questions qui renvoient aux luttes idéologiques autour de l’école, la ministre de l’Education nationale est prioritairement démocrate. Elle dit accepter le débat et le prouve dans l’entretien qu’elle nous a accordé.
L’Expression: A quelques jours de la fin de l’année scolaire 2017-2018, quel bilan en tirez-vous au plan pédagogique et dans l’organisation même de l’école?
Nouria Benghebrit: L’année scolaire 2017-2018 a été une année certes, un peu compliquée de par les perturbations qu’a connues le secteur encore une fois, mais très riche de par les productions, les outils de formation élaborés, le processus de modernisation qui prend de plus en plus d’envergure…
Nous étions sur plusieurs fronts: gestion des perturbations qui n’ont, fort heureusement, touché qu’un nombre réduit d’établissements scolaires, élaboration de référentiels et d’outils didactiques de remédiation pour la formation des formateurs sur la base d’un travail titanesque qui a été mené en amont, celui de l’identification des difficultés d’apprentissage chez les apprenants, pour que la formation ne soit pas juste formelle, théorique, mais qu’elle réponde exactement aux problèmes rencontrés sur le terrain.
Parce qu’après avoir établi le diagnostic (évaluations internes: deux conférences nationales, analyse d’erreurs, consultation nationale sur les pratiques d’évaluation + évaluation internationale Pisa), nous avons proposé des alternatives pédagogiques: Marwattt transcrit de l’arabe et qui signifie en français «Référentiel national de l’apprentissage, de l’évaluation et de la formation». C’est un travail formidable qui a été accompli par nos cadres qu’il me soit permis de remercier à travers cette tribune qui m’est offerte grâce à votre journal. Vous conviendrez avec moi que la formation ne peut se faire sans référentiels, sans outils de formation. C’est pourquoi, nous nous sommes acquittés, en priorité, de cette tâche complexe, mais tellement gratifiante. Au plan de la formation, il y a eu, aussi, tous ces efforts de récupération des instituts rétrocédés à d’autres ministères, que nous nous sommes efforcés de récupérer.
Et parce qu’une bonne gestion ne peut se faire, désormais, sans intégration des TIC, des efforts importants ont été également fournis afin de rendre opérationnels plus de modules dans notre Simen: système d’information du ministère de l’Education nationale avec l’espace scolarité, l’espace dédié aux fonctionnaires du secteur et l’espace parents, sans oublier bien évidemment la plate-forme de recrutement qui a donné des résultats très probants, ce qui est à même d’introduire plus de transparence, de fluidité et garantir davantage d’équité dans la gestion des dossiers.
Nous avons, également, oeuvré dans le sens de la promotion des activités péri et parascolaires afin que celles-ci servent les apprentissages, notamment des langages fondamentaux (écriture, lecture…) et pour que l’apprenant exprime toute sa palette de talents. C’est ainsi que nous avons lancé la 1ère édition du prix Aqlam Biladi, avec deux domaines d’écriture: les spécificités algériennes matérielles et immatérielles, c’est-à-dire le patrimoine historique, culturel, social et les anthologies littéraires scolaires qui sont des extraits d’ouvrages d’auteurs algériens dans les trois langues arabe, amazighe et langue étrangère. Les meilleurs ouvrages: poésie, récits, contes, scenarii pour pièces théâtrales… seront présentés à l’occasion de la 23ème édition du Salon international du livre d’Alger (Sila 2018). Vous savez, il n’est pas aisé de synthétiser, en quelques mots, tout ce qui a été mené par les fonctionnaires du secteur, chacun à son niveau d’intervention, durant cette année scolaire 2017-2018. Si je devais ne retenir qu’une chose de cette année qui vient de s’écouler, c’est cet engagement, cette mobilisation des fonctionnaires du secteur qui se sont rassemblés autour d’un projet ambitieux commun, celui de l’édification d’une école de qualité où la dimension d’algérianité trouve toute sa place car, nous ne devons développer aucun complexe: notre histoire est millénaire, notre patrimoine est riche et les Algériens ont beaucoup de talent.
L’un des objectifs que vous vous êtes fixés consiste en l’allongement de l’année scolaire de quelques semaines. Il semble que cela ne soit pas le cas cette année encore. Comment expliquez-vous cet état de fait?
Il faut souligner que le retour à la norme scolaire prendra du temps, car des habitudes ont été prises. Mais, nous pouvons avancer les explications suivantes: d’abord les perturbations qui sont au rendez-vous quasiment chaque année scolaire, puis la désertion des établissements par les élèves des classes d’examen, notamment ceux de terminale. La solution à la première cause serait l’opérationnalisation de la Charte d’éthique que nous avons signée avec nos partenaires sociaux et la moralisation du secteur tout en rétablissant la confiance et en consacrant la concertation et le dialogue permanent. Et les solutions à la 2ème pourraient être: la prise en compte du contrôle continu dans le calcul de la moyenne d’admission au bac sur deux années, à savoir la 2ème et la 3ème AS, l’amélioration de la qualité de l’enseignement dispensé et la dynamisation de l’école en en faisant un espace d’activités culturelles, de création…
Dans la pratique syndicale, les observateurs retiennent quelques comportements qui amènent à penser que des résistances à la politique du gouvernement en matière de réforme scolaire émanent de l’intérieur même de l’institution éducative. Quelle est votre commentaire?
Qu’il y ait des avis antinomiques sur des questions précises, parfois, est un signe de bonne santé. C’est un indicateur du degré de démocratie qui prévaut dans le secteur. Chacun exprime ses opinions et donne son avis en toute liberté, c’est une bonne chose en soi. D’ailleurs, nous avons toujours prôné le dialogue organisé avec nos différents partenaires sociaux. La concertation est un élément fondamental de la bonne gouvernance.
S’il y a des réticences suite à une mauvaise interprétation, une mauvaise lecture des mesures prises, à nous d’expliciter les tenants et les aboutissants de la politique tracée concernant tel ou tel point. A nous de dissiper tout malentendu, de convaincre. J’ai la conviction qu’à force d’arguments et d’échanges constructifs, nous pouvons toujours arriver à des alternatives partagées par le plus grand nombre. La signature de la Charte d’éthique avec huit syndicats sur 10 est la preuve concrète que nous pouvons nous associer pour l’intérêt de l’institution scolaire et de l’élève.
Des acteurs extérieurs au département que vous dirigez s’immiscent régulièrement dans vos missions et vous accusent de servir un agenda étranger. Quelle réponse leur faites-vous?
Je dirais, en toute franchise, que je comprends, tout à fait, que tout ce qui touche à l’école soit au coeur des débats et centralise l’attention de l’opinion publique. Il s’agit de l’avenir de générations entières. Je dirais même de l’avenir de tout un pays. C’est pourquoi, qu’il y ait un débat autour de l’école ne me dérange nullement. C’est une préoccupation légitime. Ce que je comprends moins, par contre, ce sont les accusations à tort et malintentionnées. La volonté des pouvoirs publics et du gouvernement dont j’en fais partie, est de réaliser le saut qualitatif que l’école algérienne mérite tant au regard des investissements consentis que du dévouement, de l’engagement de la ressource humaine qui exerce dans nos établissements scolaires que de l’intelligence de nos enfants. Maintenant, il est vrai que tout changement déstabilise surtout, ceux qui s’octroient la qualité d’être les gardiens du temple. Mais, j’ai la conviction que les efforts au travail sont toujours payants, même si le temps de l’éducation est un temps long et que les résultats des améliorations que nous introduisons, aujourd’hui, ne seront visibles qu’à long terme.
L’algérianisation du contenu littéraire dans les manuels scolaires aura été l’une des plus grandes batailles «politiques» de votre département. Peut-on dire qu’avec cet acte, vous êtes sur la voie pour soustraire l’école aux influences obscurantistes?
La réforme, introduite en 2003, et au fur et à mesure de sa mise en oeuvre, a nécessité un processus d’ajustement. Ainsi, et dans le cadre de la refonte pédagogique, une série de mesures a été introduite aux fins de renforcer la maîtrise des langages fondamentaux et faire acquérir à l’apprenant les compétences à même de lui permettre d’être compétitif et d’évoluer sans complexes en ce 3ème millénaire. Parmi ces mesures, il y a lieu de citer, notamment la réactualisation des programmes scolaires qui a révélé une indigence de textes d’auteurs algériens, particulièrement au primaire, ce qui ne sert nullement les apprentissages, étant entendu qu’un élève qui ne s’identifie pas à ce qu’il lit, à ce qu’on lui dispense comme littérature, comme culture et patrimoine, ne manifestera pas beaucoup d’enthousiasme.
D’où cette démarche entreprise par le ministère de l’Education nationale d’introduire une proportion plus importante d’auteurs, d’abord algériens, puis maghrébins, arabes, méditerranéens et du monde, dans un processus d’intégration graduel, allant de pair avec les spécificités de chaque cycle d’enseignement: primaire, moyen, secondaire. Mais, vous conviendrez avec moi que cette entreprise ne pouvait s’effectuer sans l’élaboration préalable d’anthologies littéraires scolaires.
C’est pourquoi nous avons tenu des rencontres avec les auteurs algériens, en présence de M.le ministre de la Culture, afin d’identifier les oeuvres littéraires que chaque apprenant algérien, citoyen de demain, doit connaître, et qui constitueront la base sur laquelle s’appuiera l’élaboration des anthologies littéraires algériennes.
Cet effort s’est poursuivi par l’organisation, en 2017, d’une université thématique algéro-tunisienne dans la perspective de l’élaboration d’une anthologie littéraire scolaire maghrébine. Nous nous devons d’accompagner l’apprenant vers sa construction identitaire littéraire. Nous devons être fiers de ce que nous sommes. Notre histoire est millénaire. C’est une immersion, en toute objectivité, dans cette longue histoire qui permettra à nos élèves de se construire un rapport paisible et rassuré à soi et à l’Autre.
Entretien réalisé par Said BOUCETTA et Ilhem TERKI
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Les établissements hôteliers publics autant que les privés pratiquent des prix qui dépassent tout entendement, contrairement à ce qui est prôné par le ministère du Tourisme. Au complexe touristique Matarès, situé à Tipasa, les prestations sont hors de prix. Rien que pour le parking, le client est invité à payer un ticket de 400 DA. On imagine ce que coûtera l’accès à la plage, la nuitée, etc. Ce n’est certainement pas avec ces tarifs que le tourisme local va connaître son essor. Le ministre du Tourisme a du boulot !
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Le prédicateur égyptien Mouez Massoud, très connu pour ses prêches en faveur des femmes voilées pour avoir déclaré qu’“une femme voilée, c’est comme un bonbon bien enveloppé, que ne peuvent toucher les mouches”, fait le buzz ces jours-ci sur les réseaux sociaux. Il a divorcé avec sa femme voilée, qu’il avait épousée 6 mois auparavant, pour se remarier avec l’actrice égyptienne Cherry Adel. Il fait l’objet de virulentes critiques de la part des internautes égyptiens.
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La croissance mondiale demeure robuste mais risque d’être affectée par la montée du protectionnisme, a indiqué lundi le Fonds monétaire international (FMI) dans ses perspectives économiques mondiales actualisées, publiées à Washington. Le FMI a maintenu inchangées ses prévisions de croissance mondiale pour 2018 et 2019 à 3,9%, soit les mêmes taux de croissance anticipés en avril dernier en indiquant que l’expansion économique mondiale qui s’est stabilisé ces deux dernières années commence à devenir moins équilibrée.
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L’Apoce (Association de protection et d’orientation du consommateur) compte désormais déposer plainte en justice contre toute entreprise ou particulier qui porte atteinte à l’environnement. L’Apoce décide ainsi d’ester en justice toute personne morale ou physique coupable d’une infraction environnementale. Par ces crimes environnementaux, on désigne les actes les plus graves qui mettent en danger la santé humaine, tels que le déversement de produits toxiques dans les rivières, la mer… Les décharges anarchiques, la pollution de la nature, les déchets ménagers, le rejet des eaux usées, le non-respect des règles de protection de la nature et de la biodiversité… sont autant d’irrégularités constatées par cette organisation à travers plusieurs wilayas et pour lesquelles ses dirigeants sont en train de constituer des dossiers.
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