Une cache d’armes, contenant un (01) pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions, a été découverte jeudi à Tamanrasset, par un détachement de l’Armée Nationale Populaire (ANP), indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense Nationale.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières, et lors d’une opération de fouille menée à Tamanrasset/6eRM, un détachement de l’ANP a découvert, le 20 septembre 2018, une cache contenant un (01) pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munitions », précise le communiqué du ministère.
Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et lors d’une patrouille près de la bande frontalière, les éléments des Gardes frontières de Bab Elassa à Tlemcen/2e RM ont découvert (145) kilogrammes de kif traité caché dans les buissons.
En outre, un détachement de l’ANP à Bordj Badji Mokhtar/6e RM, a arrêté (04) individus et saisi (06) marteaux piqueurs, (05) groupes électrogènes et (01) véhicule tous-terrains, ajoute la même source.
Dans le même contexte, des détachements de l’ANP ont saisi à Souk-Ahras, Tébessa et Al Taref/5eRM, (7978) litres de carburants destinés à la contrebande, tandis que les éléments de la Gendarmerie Nationale ont saisi (02) fusils de chasse sans permis et une quantité de cartouches à Saida/2e RM et Guelma/5e RM.
Dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine, des Garde-côtes ont mis en échec à Oran, Ain Témouchent et Mostaganem/2e RM, des tentatives d’émigration clandestine de (60) personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, tandis que six (06) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été appréhendés à Laghouat/ 4e RM.
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Plus de 100 personnes ont péri dans le naufrage jeudi du ferry MV Nyerere dans la partie sud du lac Victoria, en Tanzanie, a annoncé vendredi la radio publique, citant le chef de la police tanzanienne.
La radio TBC Taifa a donné ce nouveau bilan en citant l’inspecteur général de la police Simon Sirro. Un précédent bilan faisait état de 86 morts et 40 rescapés.
Dans toutes les têtes, la même question lancinante revenait: combien de personnes se trouvaient à bord du MV Nyerere lorsque celui-ci a chaviré non loin du débarcadère de l’île d’Ukara, sa destination finale?
Des témoins ont rapporté à la télévision publique qu’environ 200 passagers se trouvaient à bord du ferry, d’une capacité de 100 personnes. Le gouverneur de la région de Mwanza, John Mongella, a indiqué ne pas être en mesure de confirmer ce nombre.
« Depuis ce (vendredi) matin, ce sont maintenant presque 60 corps qui viennent d’être repêchés. Si vous ajoutez les 44 morts (dénombrés jeudi), le nombre total de morts s’élève à plus 100 », a déclaré M. Mongella vendredi à la télévision publique TBC.
Le gouverneur a ajouté qu’il y avait en l’état 40 rescapés, soit trois de plus que jeudi soir. Mais il n’a pas précisé si ces survivants avaient été secourus vendredi ou jeudi.
Le ferry MV Nyerere s’est retourné jeudi après-midi à quelques dizaines de mètres seulement du débarcadère de sa destination finale, l’île d’Ukara, dans le sud du plus grand lac d’Afrique, avait indiqué jeudi soir l’Agence tanzanienne des services électriques et mécaniques, l’exploitant public du navire.
Vendredi matin, les équipes de secours s’affairaient sur les lieux du drame, sous le regard de dizaines de personnes massées sur le littoral, tandis que la télévision publique mettait en garde contre tout faux espoir: « les chances de trouver des survivants sont quasi nulles ».
La navigation peut être difficile sur le lac et elle se fait avec des navires vétustes ou mal entretenus. Les registres des passagers sont par ailleurs lacunaires et les autorités peu regardantes sur la sécurité.
En 1996, quelque 800 personnes, selon la Croix-Rouge, avaient trouvé la mort dans le naufrage du ferry « Bukoba », surchargé de passagers d’un ferry, a quelques milles marins au large de Mwanza.
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La 10ème réunion du Comité ministériel mixte de suivi OPEP-non OPEP (JMMC), prévue dimanche prochain à Alger, va se tenir « dans un contexte géopolitique complètement différent » de celui des réunions précédentes et de la réunion d’Alger de septembre 2016, a indiqué l’expert dans les questions énergétiques, Abdelmadjid Attar.
Selon lui, l’objectif de tous les membres est, certes, de garantir un prix de baril « acceptable » et « supportable », ce qui est le cas aujourd’hui avec un prix entre 70 et 80 dollars.
Cependant, poursuit-il, « les discussions ne seront pas dominées par le mécanisme de surveillance qui ne posera pas de problème », mais la question réside plutôt dans « la compréhension de chacun des acteurs de la définition du niveau de production: Faut-il parler du niveau de production global, ou du niveau de chaque producteur (quota), de ce que chaque producteur peut mettre sur le marché ou ce qu’on lui permet de produire? ».
Pour cet ancien ministre de l’Energie, le contexte géopolitique dans lequel se déroulera cette rencontre, qui est lié non seulement aux sanctions américaines contre l’Iran et la Russie ainsi qu’aux guerres commerciales lancées par le Président américain contre notamment la Chine, « va peser de tout son poids non seulement sur cette réunion mais aussi sur celle de l’OPEP prévue en novembre prochain. »
Plus explicite, il dira que, d’une part, le respect satisfaisant de l’accord de réduction de la production et l’actuel prix de de pétrole 70 à 75 dollars « devraient, en principe, permettre au JMMC de faire des recommandations pour la prochaine réunion de l’OPEP afin de maintenir le niveau de production/réduction ou de l’adapter en fonction de la demande sur le marché 2019 comme le souhaitent certains pays. »
D’autre part, relève M. Attar, « il y a les conséquences liées aux sanctions américaines contre l’Iran dont le niveau de production a déjà commencé à se réduire et dont on ne sait, pour le moment, jusqu’à quel niveau va-t-il se réduire du fait que cela dépendra en grande partie de la position du principal client chinois, lui-même en conflit commercial avec les Etats-Unis. »
L’Iran, souligne-t-il, « ne souhaite surtout pas que sa part de production ou sa réduction, du fait des sanctions, soit récupérée par l’Arabie Saoudite qui fera tout pour la récupérer ».
En outre, avance-t-il, la Russie fera, pour sa part, tout pour partager la part de l’Iran avec l’Arabie Saoudite car « ce sont les seuls pays en mesure de faire face à un déficit de production important en ce moment, qui entraînerait une forte augmentation du prix que l’Arabie Saoudite ne souhaite pas ».
« C’est vraiment une équation qui va être très difficile à résoudre, et je pense qu’elle le restera tant qu’on n’aura pas une appréciation fiable des conséquences des sanctions américaines sur la production iranienne », relève cet expert.
Le marché pétrolier a atteint un niveau d’équilibre
Faisant le point sur l’accord historique décroché lors de la réunion d’Alger en septembre 2016, M. Attar considère qu’il avait permis « de faire revenir l’OPEP à presque ce qu’elle était et pouvait faire en 1973, année au cours de laquelle elle avait décidé d’un embargo ayant donné naissance au premier choc pétrolier et fait monter le prix du baril de 3 à 12 dollars de l’époque. »
Toutefois, aux yeux de cet expert, « l’OPEP n’est plus ce qu’elle était, et le monde non plus, et ce, en raison des mutations géopolitiques, économiques et bien sûr énergétiques ». D’où « la nécessité de s’adapter ou de disparaître. »
Interrogé sur les perspectives du marché pétrolier à moyen terme, M. Attar considère que le marché pétrolier a atteint, en ce moment, un niveau d’équilibre qui peut satisfaire tout le monde, à condition que des considérations d’ordre géopolitique ne viennent pas le perturber. Car « si cela devait intervenir, nous ne serons pas à l’abri d’un choc pétrolier, dans un sens ou dans l’autre, en matière d’évolution du prix du baril. »
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Le président vietnamien Tran Dai Quang est décédé vendredi à l’âge de 61 ans, a annoncé l’agence d’information d’Etat.
« Le président Tran Dai est mort à l’hôpital militaire » dans la matinée, selon un bulletin de l’agence officielle VNA, Vietnam News Agency.
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Quelque 400.000 postes de formation, couvrant 23 branches professionnelles, sont proposés dans près de 1.300 établissements publics répartis à travers tout le territoire national, à l’occasion de la rentrée, dimanche, de la formation et de l’enseignement professionnels, un secteur dont le rôle intégrateur, tant économique que social, s’affirme d’année en année.
Comparativement à l’année passée, 67 nouveaux établissements entreront en fonction, parmi lesquels 13 instituts nationaux spécialisés (INSFP), 24 centres de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) et 3 instituts de l’enseignement professionnel (IEP). L’ensemble de ces établissements seront encadrés par plus de 28.000 enseignants-formateurs.
Plus de 200 nouveaux équipements technico-pédagogiques sont, en outre, en cours de réception ou d’acquisition dans les ateliers de formation, dont 88 sections d’équipements devant être fonctionnelles avant la fin de l’année.
En matière d’offre de formation, 478 spécialités sont proposées aux demandeurs de formation, dont 54 nouvelles pour l’année 2018, sanctionnées par des diplômes d’Etat.
Une nouvelle branche, Art, Culture et Patrimoine, a été introduite, dans la nomenclature des branches professionnelles.
Selon le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, qui va donner à partir de Relizane le coup d’envoi officiel de la rentrée 2018/2019 du secteur de la formation professionnelle, près de 450.000 jeunes quittent, annuellement, l’enseignement général classique sans diplômes ni qualifications et, chaque année, quelque 300.000 candidats qui échouent à l’examen du baccalauréat s’orientent vers des instituts de formation professionnelle.
Durant tout l’été, une campagne de communication en direction des jeunes a été menée, en collaboration avec plusieurs ministères et organismes, pour les informer des conditions d’inscriptions aux différents diplômes et certificats, à savoir les filières et spécialités ouvertes et leur localisation, ainsi que les possibilités d’internat.
Le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels estime que la communication doit être une action « permanente », pour intensifier l’information sur les spécialités, vulgariser les modes et dispositifs de la formation professionnelle et la nouvelle organisation du cursus de l’enseignement professionnel.
L’intérêt pour les filières de formation considérées prioritaires a augmenté de façon graduelle ces dernières années. Selon des données du ministère, les spécialités de l’industrie représentent 25,40% de l’offre globale en 2018, alors qu’elle ne dépassait pas 22,7% pour la session de septembre 2017.
La filière hôtellerie, tourisme et artisanat représente, quant à elle, 15,69% de l’offre globale et le BTP 12,41%.
Les nouvelles règles sur l’apprentissage permettront, d’autre part, et conformément aux objectifs fixés, d’atteindre, en 2019, la formation en apprentissage de 60% des inscrits à un diplôme.
Dans ce cadre, plus de 120.000 postes d’apprentis sont déjà programmés pour la rentrée de septembre et « ce chiffre peut être revu à la hausse en cas de besoins, grâce au partenariat qui se renforce avec le monde économique », a indiqué le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels.
Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels s’attelle à « prendre en charge les besoins en ressources humaines nécessaires au fonctionnement de l’entreprise et du développement économique et à répondre à la demande sociale de formation professionnelle aux côtés des autres segments du système éducatif national », a souligné M. Mebarki.
Il a ajouté que la qualité et la promotion du partenariat avec l’environnement socio-économique sont considérées comme un critère de performance dans le management des établissements de la formation professionnelle, rappelant que plus de 13.000 conventions de partenariat ont été signées entre le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels et le secteur économique depuis 2008 et ont permis la formation de 650.000 travailleurs.
Cette démarche de partenariat est renforcée par des organes de concertation, réorganisés et mis en place au cours de l’année 2018: au niveau national, un Conseil de partenariat de la formation et de l’enseignement professionnels et, au niveau local, des commissions de partenariat de wilaya.
La coordination et la concertation avec l’environnement socioéconomique sont considérées comme un axe majeur de la politique du secteur pour une « meilleure adéquation des formations aux réalités du pays ».
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Le Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, Vice-ministre de la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, effectuera à partir de samedi une visite de travail à la 3e Région Militaire à Béchar durant laquelle il procédera à l’installation du commandant de cette Région militaire, a indiqué vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale.
« Monsieur le Général de Corps d’Armée présidera, le dimanche 23 septembre 2018, au nom de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef Suprême des Forces Armées, Ministre de la Défense Nationale, la cérémonie d’installation du Général-Major SMAALI Mostefa, en qualité de Commandant de la 3e Région Militaire, en remplacement du Général-Major CHANEGRIHA Saïd, désigné en qualité de Commandant des forces Terrestres », précise la même source.
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Un nouveau rapport publié jeudi par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) confirme que les conflits qui perdurent et les chocs climatiques contribuent à aggraver les niveaux d’insécurité alimentaire, déjà élevés, et ce, surtout dans les pays d’Afrique australe et du Proche-Orient.
Selon le document, près de 39 pays, dont 31 en Afrique, sept en Asie et un dans les Caraïbes (Haïti), ont besoin d’une aide alimentaire extérieure – une situation qui demeure inchangée depuis trois mois, selon le rapport sur les Perspectives de récoltes et situation alimentaire.
Selon le rapport, les conflits civils et les déplacements de population demeurent les principales causes de l’insécurité alimentaire en Afrique de l’Est et au Proche-Orient, tandis que les conditions climatiques sèches ont contribué à réduire les productions céréalières en Afrique australe.
Les dernières prévisions de la FAO pour la production céréalière mondiale en 2018 font état de 2 587 millions de tonnes, soit son plus bas niveau en l’espace de trois ans et 2,4% en dessous du niveau record enregistré l’année dernière.
La production céréalière dans les 52 pays à faible revenu et déficit vivrier (PFRDV) devrait atteindre cette année les 490 millions de tonnes, soit 19 millions de tonnes au-dessus de la moyenne des cinq dernières années.
Le statu quo de la production mondiale s’explique par une hausse de la production en Asie orientale et en Afrique de l’Est qui devrait compenser une baisse de la production en Afrique australe, en Asie centrale et au Proche-Orient, en raison du climat.
Les faibles pluies en Afrique australe tombées lors de stades clés du processus de culture ont contribué à réduire la production céréalière cette année, avec des diminutions particulièrement importantes signalées au Malawi et au Zimbabwe.
Au Malawi, avec des prévisions faisant état cette année d’une production céréalière en-dessous de la moyenne, le nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire en 2018 pourrait doubler par rapport à l’année dernière pour finalement atteindre 3,3 millions de personnes.
Au Zimbabwe, 2,4 millions de personnes devraient être confrontées à une situation d’insécurité alimentaire en 2018, suite à une baisse de la production céréalière et d’un accès limité à la nourriture en raison des faibles revenus et d’un problème de liquidité dans les ménages vulnérables.
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La 10ème réunion du Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord de réduction de la production pétrolière des pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et non-OPEP (JMMC) se tiendra dimanche prochain à Alger.
« Cet accord nous ramène à réaliser 100% de la production (fixée par l’organisation) (…) » (Guitouni)
Le JMMC a été créé par la 171ème Conférence ministérielle de l’OPEP, tenue le 30 novembre 2016, et par la réunion ministérielle conjointe OPEP-non OPEP le 10 décembre 2016 à Vienne.
C’est lors de la tenue à Alger de la 170ème réunion extraordinaire de la Conférence ministérielle de l’OPEP en septembre 2016 que les pays membres de cette organisation avaient décidé d’ajuster leur production, dans un intervalle de 32,5 à 33 millions de barils par jour (mbj), et de créer un Comité de haut niveau présidé par l’Algérieen vue d’élaborer les détails de l’accord.
Ces détails ont été définis dans une proposition algérienne adoptée lors de la 171ème réunion ordinaire de la Conférence ministérielle de l’OPEP tenue en novembre 2016 à Vienne.
Le haut comité a également tenu des réunions avec des pays non membres de l’organisation. Ces discussions ont abouti à la signature de l’Accord de coopération entre les pays membres de l’OPEP et les pays non-OPEP participants à la réunion de décembre 2016.
L’OPEP a ainsi décidé d’une réduction de sa production de pétrole d’environ 1,2 mbj à compter du 1er janvier 2017, rejointe par la suite par 11 pays non membres ayant accepté de réduire leur offre de 600.000 bj.
Une année après, l’Organisation et ses partenaires décidèrent de prolonger jusqu’à fin 2018 leur plafonnement de la production au profit du prix du baril.
Le JMMC est chargé de veiller à ce que les objectifs de cette Déclaration de coopération soient réalisés grâce à la mise en oeuvre des ajustements volontaires de la production de pétrole des pays OPEP et non-OPEP signataires de cette Déclaration.
Ce Comité facilite également l’échange d’analyses et de perspectives conjointes, ce qui fournit une contribution précieuse à l’évaluation du processus de conformité.
Présidé par le ministre saoudien de pétrole et co-présidé par son homologue russe, le JMMC est composé de quatre pays membres de l’OPEP (Algérie, Arabie Saoudite, Koweït et Venezuela) et de deux pays non membres (Russie et Oman).
Œuvrer pour maintenir l’équilibre du marché
Cette 10ème réunion du JMMC permettra de « connaitre la situation du marché pétrolier international et d’œuvrer au maintien de son équilibre », avait expliqué récemment le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, qui avait avancé que l’issue de cette réunion sera couronnée de « décisions unifiées ».
Ayant dépassé les objectifs de l’accord, avec des niveaux de conformité record dépassant parfois même les 150%, l’OPEP a convenu en juin dernier de limiter à 100% le niveau de respect des engagements, induisant une augmentation effective de l’offre de l’ordre de 757.000 barils/jour.
« Cet accord nous ramène à réaliser 100% de la production (fixée par l’organisation). En mai 2018, nous avons réalisé un taux de conformité de 152% par rapport aux quotas mis dans l’accord (de la baisse). Les 52% de plus, soit les 757.000 barils/jour qui n’ont pas été produits, vont être repris », avait expliqué le ministre dans une déclaration à l’issue de la 174ème Conférence ministérielle de l’OPEP.
C’est dans un contexte marqué par la nécessité de maintenir la hausse des prix, d’assurer la continuité des investissements dans le domaine pétrolier et de garantir l’offre face à une demande qui augure d’augmenter que se tiendra la réunion du JMMC à Alger.
Par ailleurs, les conséquences que pourrait avoir l’embargo pétrolier des Etats-Unis contre l’Iran, devant entrer en vigueur le 5 novembre prochain, accaparent l’attention.
En effet, le président américain Donald Trump avait annoncé en mai dernier son retrait unilatéral de l’accord international de 2015 relatif au dossier nucléaire iranien, rétablissant ainsi toutes les sanctions américaines levées dans le cadre de cet accord, et interdisant également aux pays d’acheter le pétrole iranien sous peine de sanctions contre eux.
Troisième plus grand producteur de l’OPEP, l’Iran voit déjà ses ventes de brut fondre à l’approche de l’application de ces sanctions sachant que sa production est estimée à 1,4 million de barils par jour.
Ce pays détient les quatrièmes réserves mondiales prouvées de pétrole alors que nombre de pays, en Asie particulièrement, ont besoin de se fournir en brut iranien. D’autant que leurs raffineries sont spécialement conçues pour traiter la variété due pétrole iranien (Iran Heavy).
Mais à l’approche de l’échéance prévue de ces sanctions, la production pétrolière iranienne a atteint ses niveaux les plus bas depuis juillet 2016, alors que, par ailleurs, le Venezuela connaît aussi une érosion continue de sa production.
Pour l’OPEP, l’Iran reste « un membre très important (…) et nous n’avons pas d’autre choix que de continuer à travailler avec tous les membres », a soutenu le secrétaire général de l’OPEP, Mohammed Barkindo, sans préciser comment les producteurs mondiaux allaient compenser la baisse des exportations iraniennes avec l’entrée en vigueur des sanctions américaines.
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Dans un entretien paru ce vendredi dans le Figaro, Bernard Bajolet l’ancien ambassadeur de France à Alger critique les responsables en place en Algérie.
Interrogé au sujet des relations franco-algériennes, Bernard Bajolet a ainsi indiqué qu’il « croit à une évolution par petits-pas, et ce pour deux raisons ».
La première tient à un problème de génération. La nomenclature algérienne, issue ou héritière de la guerre d’Algérie, a toujours besoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l’égard de l’ancienne colonie.
Bernard Bajolet poursuit : “La seconde raison est plus conjoncturelle : le président Bouteflika, avec tout le respect que j’éprouve pour lui, est maintenu en vie artificiellement. Et rien ne changera dans cette période de transition”.
L’ex Patron de la DGSE publie en France un livre “Le soleil ne se lève plus à l’Est” dans lequel il revient sur sa carrière de diplomate dans plusieurs pays, notamment l’Irak et l’Algérie.
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La ministre française des armées, Florence Parly a indiqué que le président de la République, Emmanuel Macron “fera bientôt des annonces fortes en faveur des harkis” ayant participé à la guerre d’Algérie ainsi que leurs familles, dont la carte du combattant leur sera accordée dès 2019 à ceux qui ont servi après l’indépendance.
Les déclarations de la ministre française des armées, Florence Parly interviennent en marge des débats à l’assemblée nationale autour de la reconnaissance de la responsabilité de l’État français dans la disparition du militant de la cause algérienne Maurice Audin.
“Le président de la République a reconnu que Maurice Audin avait été torturé puis exécuté, ou torturé à mort”, a-t-elle répondu aux questions des députés.
“Au-delà du cas de Maurice Audin, dont la mémoire a été inlassablement défendue, ce qui est reconnu, c’est la part de responsabilité de la France dans l’usage de la torture pendant la guerre d’Algérie”, a-t-elle ajouté, soutenant qu’”Il était temps que la nation accomplisse un travail de vérité sur ce sujet…”.
Selon la ministre, le locataire de l’Elysée ” a encouragé le travail historique sur tous les disparus de la guerre d’Algérie, et il fera bientôt des annonces fortes en faveur des harkis”.
“La nation est et demeure reconnaissante envers tous ceux qui l’ont servie avec honneur, notamment entre 1962 et 1964. C’est pourquoi nous leur accorderons dès 2019 la carte du combattant”, a fait savoir Florence Parly, vivement applaudie par les députés LREM et Modem.
Rappelons que le gouvernement français a fait l’objet de grosses pressions de la part des députés, sénateurs et associations des pieds noirs ayant réclamé l’octroi de la carte du combattant aux soldats ayant servi en Algérie au lendemain de l’indépendance (1962-1964).
En effet, certains députés ont exprimé leur mécontentement suite à la reconnaissance par Macron de la responsabilité de l’Etat français (torture) dans la disparition du mathématicien Maurice Audin en juin 1957.
D’ailleurs, la député Michèle Tabarot du groupe (LR) a dit que le chef de l’Etat a reconnu, le 13 septembre dernier, a reconnu la responsabilité de l’État dans la disparition de Maurice Audin en juin 1957, alors que des milliers de soldats, de pieds-noirs et de harkis ont tragiquement disparu.
“Il a décidé d’honorer un activiste de l’indépendance de l’Algérie. Quelle douleur pour tous ceux qui ont défendu notre pays au péril de leur vie!”, a-t-elle dit, avant d’ajouter: “Jeudi dernier, le Président n’a pas eu un mot pour les 25 000 soldats français morts durant cette guerre. Pas un mot non plus pour des milliers de Français d’Algérie disparus”.
Hassen Houicha / Traduit par: Moussa. K.
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La présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Naïma Salhi a déclaré la guerre à la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit.
D’ailleurs, elle l’a sommée de partir ou de se déchaîner contre elle dans l’assemblée populaire nationale (APN).
L’histoire a commencé lorsque le PEP a réalisé un sondage en ligne en interrogeant les parents d’élèves d’accepter ou non que leurs enfants étudient Tamazight sans qu’on leur demande leur avis?
En effet, le sondage a fait suite à des plaintes de certains parents d’élèves qui se disent contraints de signer un formulaire concernant l’inscription de leurs enfants pour apprentissage de tamazight.
Le département de Nouria Benghabrit n’a pas tardé pour apporter un éclairage sur la question affirmant que “les parents d’élèves ne sont pas tenus de signer aucun formulaire concernant l’inscription de leurs enfants pour apprentissage de tamazight”, ajoutant que “certains directeurs auraient agi individuellement et que leur initiative individuelle n’engage qu’eux-mêmes”.
“Etes-vous pour l’apprentissage de Tamazight pour vos enfants sans votre avis?”, telle fut la question posée par Naïma Salhi sur le net.
Pour elle, ce sondage s’explique par ce qu’elle qualifie de “dépassements graves et répétés de la ministre de l’Education et ses tentatives de casser l’identité arabe et islamique…sans pour autant consulter le peuple”.
Elle a ajouté avoir agi de la sorte “de peur que le pays soit exposé au risque de régionalisme et de division”.
En vérité, la présidente du PEP ne s’est pas arrêtée à ce niveau-là puisque elle a haussé le ton après avoir été vivement critiquée par ses opposants.
D’ailleurs, elle n’a pas laissé échapper l’occasion de la visite de la chancelière allemande en Algérie pour revenir à la charge en se demandant: “Qui a programmé la rencontre entre Benghabrit et la chancelière allemande sous prétexte d’apprentissage de la langue allemande?”
“Il aurait été préférable que la chancelière allemande se rende à l’usine de Rouiba où des véhicules de la marque allemande «Mercedes Benz» sont fabriqués”, a-t-elle insisté.
“Je ne vous (Benghabrit) pardonne pas pour ce que vous aviez fait au système éducatif…Dégagez! Sinon vous serez ma première cible dans l’hémicycle”, a-t-elle menacé.
Les publications de Naïma Saliha ont, faut-il le souligner, divisé les internautes, dont certains ont dit ne pas comprendre l’acharnement de celle-ci contre la langue amazighe reconnue par la Constitution comme “langue nationale et officielle”.
Nadia Slimani / Traduit par: Moussa. K.
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L’épidémie du choléra est-elle derrière nous ? A en croire les déclarations du ministre de la santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui « aucun cas suspect de choléra n’a été enregistré depuis une semaine ». Cependant, le ministre indique que le dispositif de prévention reste en vigueur.
102 cas confirmés, et (02) décès déplorés depuis la déclaration de l’épidémie, le premier responsable du secteur estime que c’est juste des «cas sporadiques et familiaux» et que la situation est « vite maitrisée » grâce à « la mobilisation de tous les moyens ».
Lors d’une présentation sur son secteur devant la commission de santé, des affaires sociales, du travail et de la formation professionnelle à l’Assemblée Populaire Nationale (APN), M. Hasbellaoui a précisé que « ce système de vigilance » mis en place par son secteur restait en vigueur, au moment où les équipes de santé demeurent également mobilisées et au plus haut niveau de vigilance « jusqu’à éradication totale de l’épidémie ».
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Comme de coutume, les Algériens célèbrent, jeudi, l’Achoura. Cette date qui tient une place bien particulière parmi les fêtes religieuses, est synonyme de retrouvailles, d’entraide et de solidarité. Durant cette journée fériée, les familles se retrouvent toutes réunies pour partager un repas et faire don pour aider les plus démunis.
Achoura « fête la délivrance des juifs du joug du pharaon d’Egypte » par le prophète Moïse, explique, à la Chaine 3 de la Radio Algérienne, Kamel Chekkat, membre de l’association des ulémas musulmans, qui ajoute que « le jeune du jour de Achoura était observé par les arabes de la Mecque bien avant la venu de l’Islam ».
Les musulmans sunnites profite de cette occasion pour s’acquitter de l’aumône et observer deux jours de jeûne, tel que recommandé par le prophète Mohammed.
Toutefois, explique encore M. Chekkat, si la fête de Achoura coincide avec la Zakat, l’aumone légale annuelle, cette dernière, par contre, n’a rien à voir avec Achoura,
Le Nissab de la Zakat pour l’an 1440 de l’Hégire fixé à 552.500,00 DA
Concernant le Nissab de la Zakat pour l’an 1440 de l’Hégire, le ministère des Affaires Religieuses et des Wakfs a annoncé, dans un communiqué, qu’il a été fixé à cinq cent cinquante-deux mille et cinq cents dinars algériens (552.500, 00 DA), a.
La Zakat correspond au quart du dixième, soit 2,5 % de toute valeur ayant atteint le Nissab au terme d’une année, à savoir l’argent, les offres commerciales et les marchandises évalués au prix de vente actuel le jour de la Zakat, a précisé la même source.
Le nissab de la Zakat a été calculé sur la base de 20 dinars or dont le poids équivaut 85gr alors que l’Agence nationale de transformation et de distribution de l’or et métaux précieux (AGENOR) a fixé le prix du gramme d’or de 18 carats à 6.500, 00 DA.
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La nouvelle production du Théâtre régional Kateb-Yacine de Tizi-Ouzou Juba II sera dévoilée au public le 27 septembre, a annoncé mardi le responsable de cet établissement culturel.
Ecrite et mise en scène par Lyes Mokrab, cette nouvelle production aborde la vie de ce roi berbère, sa détention à Rome, son mariage avec Cléopâtre Séléné (fille de Cléopâtre et Marc Antoine), son règne et, surtout, sa passion pour les lettres et les arts, a indiqué à l’APS Farid Mahiout.
Cette pièce sera interprétée en tamazight par 12 comédiens, dont Fellag Malek dans le rôle de Juba II et Makhmoukhen Djedjiga, celui de Séléné. Une narratrice est aussi introduite dans ce spectacle qui accorde, en outre, une place à la danse qui sera exécutée par quatre danseurs, a-t-on ajouté de même source. Juba II est la deuxième pièce produite par le Théâtre Kateb-Yacine en 2018 après Célibattantes, dont le texte et la mise en scène sont signés Houche Abderahmane et qui a été présentée au public le 8 août dernier.
Une troisième pièce sera mise en chantier en octobre prochain. Il s’agit d’une pièce pour enfants intitulée «Aqchich Amenchouf», a indiqué M. Mahiout
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Sabrina Belouaar est une jeune artiste franco-algérienne, au parcours multiple. Récompensée en 2016, du prix Art-o-rama à Marseille, elle expose ses créations à la galerie Madragoa à Lisbonne en 2017, puis à la biennale de Sharjah (Emirats arabes unis) et au Liban une année plus tard. En 2018, Sabrina expose une œuvre au studio 13/17, du centre Georges-Pompidou, sous l’égide du célèbre Mohamed Bourouissa. Pour sa première exposition en Algérie, elle choisit le thème des marchandes d’or de rue — «El Dellalate». L’expo est ouverte à la galerie Al Marhoon (Saïd Hamdine, Alger), fondée en 2015 et qui œuvre dans la promotion de l’art moderne et contemporain algérien, en organisant plusieurs expositions permanentes ou temporaires.
Le Soir d’Algérie : Pourquoi avoir choisi ces représentantes d’un métier ancestral, aujourd’hui considéré désuet ?
Sabrina Belouaar : A chacun de mes séjours en Algérie durant mon enfance, j’étais marquée par les recommandations de ma mère, qui me demandait d’éviter de les fixer, sans plus d’explications. Cela m’a toujours intrigué, je ne comprenais pas où était le mal ? En grandissant, je m’y suis intéressée de près, et j’ai découvert le monde «fabuleux» de ces femmes, au final business women. En cherchant un peu plus, je découvre que derrière cette façade «dorée», c’était des femmes au parcours difficile, souvent veuves, divorcées, en charge d’une famille nombreuse… Et pour s’en sortir, elles ont commencé à vendre leur dote. Elles créent donc un marché souterrain, régi par des femmes, dans un pays musulman. Tombées là-dedans, certaines m’ont dit qu’elles étaient devenues addictes à leur propre métier. Elles ont pris goût à cette vie. J’ai trouvé ça fantastique.
Vous semblez avoir passé pas mal de temps avec elles. Comment s’est passée votre immersion ? Se sont-elles montrées ouvertes à ta curiosité ?
Très très ouvertes ! Elles parlaient facilement, avec une grande aisance, et une détermination qui m’ont surprise. Certaines m’ont même demandé de prendre des selfies ensemble.
Et pour les photographies, vous avez pu en prendre facilement ? Est-ce qu’elles ont compris le sens de votre démarche ?
J’ai pu facilement prendre des photographies de leurs mains, la seule condition étant l’anonymat. Quand je me présentais en tant qu’artiste, elles comprenaient journaliste, mais en réalité ce qui leur importait le plus, était mon statut civile, et donc quelques part ma vie en tant que femme. Elles me posaient beaucoup de questions sur mon éventuel époux… J’ai compris que pour faciliter l’échange, et donc les confidences, j’ai donné un peu de moi. Nous avons échangé ; de femmes à femme.
Et pour la sécurité, ces femmes vendent des bijoux en tous genres, comment se protègent-elles des agresseurs ?
Il faut savoir que ces femmes ont perdu leur soutien masculin, elles ont dû se trouver des protecteurs de rechange, moyennant finance. Ces protecteurs ont pris en quelque sorte le relais, se transformant eux-mêmes en «dellalate».
Et la question qu’on se pose tous, est-ce que c’est vraiment de l’or ?
Ce sont des bijoux annoncés vrais (18 K). Je ne saurai dire s’ils sont vrais ou faux. Mais ce qui est sûr, c’est que vous y trouverez toutes sortes de merveilles kitch… Du Chanel, en passant par Bvlgari… Tout y est !
Quel est le message que vous avez voulu transmettre à travers cette expo ?
J’ai voulu révéler ces femmes, et leur travail. Pour justement effacer le cliché et les préjugés, que l’on m’a également transmis étant jeune. Pour moi, ce sont des femmes fortes, qui, après galère sur galère, ont tenté de s’en sortir avec ce qu’elles avaient. Ces femmes sont toutes les femmes. Tout le monde peut se reconnaître à travers ce genre de parcours, et pourtant ce n’est pas ce qui saute aux yeux, quand, nous, simples passants, les croisons.
Pour finir, est-ce que cette exposition vous a donné d’autres idées pour la suite, et une autre raison de revenir en Algérie ?
Ce pays est tellement riche, il est très inspirant. En tant qu’artiste, de simples objets du quotidien, tels que les paraboles, ou le linge pendu aux fenêtres sont des sujets qui me donnent envie de me réapproprier ces codes, dans de prochaines installations.
Entretien réalisé par
Mira Gacem et Kader B.
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Préparation : 10 minutes. Cuisson : 25 minutes.
Ingrédients et quantités: 2 aubergines, 3 c. à s. d’huile d’olive, 1 oignon, 1 gousse d’ail, 250 g de tomates concassées en boite, 1 c. à s. de concentré de tomates, 300 g de mozzarella, sel et poivre, quelques feuilles de basilic
Étape 1
– Couper les aubergines en deux dans la longueur.
– Couper les tomates en petits dés.
– Couper la mozzarella en fines tranches.
Étape 2
Mettre 2 c. à s. d’huile d’olive sur les aubergines et les mettre dans un plat adapté au four (côté coupé vers le haut).
Faire cuire 20 minutes dans le four préchauffé à 200°C.
Étape 3
Faire chauffer le reste de l’huile d’olive dans une poêle.
Faire revenir l’oignon et l’ail.
Ajouter les tomates et le concentré de tomate.
Laisser mijoter 5 min.
Étape 4
Sortir les aubergines du four.
Ajouter la sauce et les tranches de mozza sur les aubergines.
Saler et poivrer.
Étape 5
Remettre le tout à gratiner pendant 5 minutes.
Décorer de basilic et c’est prêt !
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2 blancs de poulet, 1 kg de pommes de terre, 1 oignon, 1 œuf, 1 petit verre de lait, 2 gousses d’ail, 1 bouquet de persil haché, 2 cuillerées à soupe de crème fraîche, 2 cuillerées à soupe de chapelure, 80 g de beurre, bouillon de volaille, 40 g de fromage râpé, 1 pincée de muscade, sel, poivre
Épluchez les pommes de terre, lavez-les et coupez-les en gros morceaux. Mettez-les dans une casserole d’eau froide, salez et laissez cuire 25 minutes.
Egouttez-les, passez-les au moulin à légumes afin d’obtenir une purée, ajoutez le lait, l’œuf, la crème, le persil et la muscade, salez et poivrez, bien mélanger et laissez cuire à feu doux jusqu’à ce que la purée soit onctueuse.
Hachez finement le blanc de poulet, pelez l’oignon et l’ail, émincez-les. Dans une poêle, faites revenir les oignons émincés et l’ail avec le beurre fondu jusqu’à coloration, ajoutez le hachis de poulet et faites colorer sur feu doux, salez et poivrez, couvrez de bouillon de volaille et laissez cuire pendant 30 minutes.
Dans un plat légèrement beurré, déposez une couche de purée de pommes de terre puis une couche de hachis de poulet, salez et poivrez, terminez avec une couche de purée, saupoudrez de chapelure et de fromage râpé et enfournez pendant 40 minutes. Servir chaud.
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Ce énième drame dont le réseau routier est le théâtre et principalement le tronçon de l’autoroute de 104 km qui traverse le territoire de la wilaya s’est produit mardi en fin d’après-midi vers 18h30 dans la descente vers Khemis Miliana, au niveau du lieudit Sidi Abed sur le territoire de la commune de Aïn Soltane.
Là, un camion semi-remorque, transportant un conteneur, roulant vers l’ouest, à grande vitesse, qui semble ne pas connaître l’itinéraire et ses dangers, dit-on, n’avait pas eu connaissance à l’avance qu’il allait déboucher sur un chantier, ce dernier n’ayant pas été signalé à l’avance, parce que, la seule plaque de signalisation installée était accolée à l’entrée du chantier où une entreprise chinoise s’activait à la réalisation d’un ouvrage d’art au milieu de l’axe autoroutier pour le passage de voies ferrées Est-Ouest.
A propos de signalisation, les services des travaux publics questionnés à ce sujet affirment que le chantier est pré-signalé 1,4 km en amont et en aval mais que les usagers font fi des plaques de limitation de vitesses. Pour confirmer ces dépassements, il nous a été présenté des photos indiquant que des automobilistes se permettent des vitesses de 131 km/h alors que la vitesse autorisée ne doit pas dépasser les 80 km /h. De plus, toujours selon les responsables des travaux publics, les freins du camion avaient lâché bien avant qu’il n’arrive sur le chantier et en plus, il était en surcharge puisque après l’accident, pour dégager la route, une grue capable de soulever une charge de 25 tonnes n’avait pas pu le soulever. Que contenait-il ? On n’en sait rien.
Le gros engin dévalait la pente et ce n’est qu’en arrivant à l’entrée du chantier, surpris, après un virage, qu’il aurait tenté de freiner, mais trop tard, le poids lourd a percuté 2 véhicules légers, une Picanto, immatriculée 16 et une Atos, immatriculée dans la wilaya de Aïn Defla. Le gros camion déséquilibré sous le choc chancelle et le conteneur se détache, endommage les 2 véhicules, pour s’écraser sur un véhicule utilitaire, un Master, qui s’enflamme comme une torche et incendiant à son tour le poids lourd.
Quand les équipes de la Protection civile arrivent sur les lieux du sinistre, ils dégagèrent de l’Atos le conducteur, Mohammed Hamdaoui, 37 ans mort sur le coup et son passager blessé.
De la Picanto, le conducteur blessé lui aussi est dégagé. Le conducteur du poids lourd, bien que blessé aussi est arrivé à s’extraire de sa cabine en feu.
Cependant, le conducteur du Master, Mounir Boulakez, 38 ans, il a été extrait carbonisé.
Les victimes, 2 morts et 3 blessés ont été évacués sur l’hôpital de Khemis Miliana, où les corps des 2 défunts ont été déposés au niveau de la morgue. Sur l’autoroute, l’accident d’une part, les travaux en cours d’autre part, ont provoqué des dizaines de km de bouchon.
La protection civile est intervenu avec
4 camions d’incendie, 4 ambulances et 25 agents et officiers au côté des éléments de la Gendarmerie nationale des compagnies de Khemis Miliana et de Djendel avec le colonel commandant du Groupement de Aïn Defla qui a supervisé l’opération. La circulation, bloquée pendant près de 4 heures sur l’axe routier n’a pu être rétablie que vers 21h.
On signalera que lundi dernier dans la matinée, au même endroit, un semi-remorque chargé de 20 tonnes transportant des bobines géantes d’acier a percuté 2 véhicules faisant
4 blessés.
On signalera aussi que sur le tronçon d’autoroute situé entre El Hoceïnia et Khemis Miliana, les lieux-dits, Ouled El Mehdi sont devenus des lieux où périssent de nombreux usagers de la route, lieux où les accidents ne se comptent plus. Après coup, lendemain de ce terrible accident, sur instruction du wali, une réunion regroupant tous les cadres des parties concernées (Direction des transports, travaux publics, officiers supérieurs de la gendarmerie), s’est tenue hier en milieu de journée sous l’autorité de M. Khelifaoui, DG de l’ADA (Agence des autoroutes) à Khemis Miliana et a débattu d’une stratégie coordonnée pour adopter des mesures techniques à mettre en œuvre pour combler les déficits et tenter non pas d’éradiquer les accidents, mission impossible mais au moins endiguer l’hécatombe et infléchir la courbe du nombre d’accidents.
Un fait certain constaté sur place et en plusieurs endroits, c’est l’inconscience des conducteurs qui se permettent des excès de vitesse, très dangereux et des manières de conduire affolantes.
Manque de sensibilisation ?
Inconséquence des conducteurs ou encore et sûrement l’insuffisance des mesures répressives dissuasives pour rappeler aux criminels de la route que le code de la circulation doit être absolument respecté, parce qu’un mort est toujours un mort de trop.
Karim O.
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Coup de filet de la police judiciaire de la Sûreté de daïra de Hussein Dey, relevant de la Sûreté de wilaya d’Alger.
Ainsi après une semaine d’investigations et d’intenses recherches, il a été procédé au démantèlement d’un important réseau de trafic de drogue activant dans l’axe Tlemcen-Alger-Tipasa. Bilan : dix personnes arrêtées, 40 kg de résine de cannabis, 4 millions de dinars et quatre véhicules haut de gamme saisis.
Agissant sur la base d’informations, les enquêteurs de la police judiciaire ont, dans un premier temps, interpellé et arrêté deux personnes résidant dans la localité de Hussein Dey à Alger. Les deux personnes dont l’âge ne dépasse pas la trentaine avaient en leur possession cinq kg de résine de cannabis. Selon le commissaire de police Seghir Omar, la quantité de drogue saisie à Alger était destinée pour la revente au détail. Les informations exploitées suite à cette arrestation ont permis aux éléments de la police judiciaire, ajoute M. Seghir, «d’élargir leurs compétences d’enquêtes judiciaires jusqu’aux wilayas de Tipasa et de Tlemcen». Au niveau de ces deux wilayas, les enquêteurs ont procédé à l’arrestation de huit personnes, dont le «fournisseur» est un récidiviste résidant à Maghnia dans la wilaya de Tlemcen. Au total, 29 kg de résine de cannabis, 4 millions de dinars, des armes blanches et quatre véhicules, dont deux haut de gamme ont été saisis par les services de police lors de leurs différentes opérations.
Abder Bettache
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