La problématique de la collecte, du traitement et du recyclage des déchets sera au centre des discussions, débats et expositions à l’occasion de la 3e édition du Salon international de la récupération et de la valorisation des déchets “Revade”, prévue du 8 au 11 octobre prochain au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger. “L’entrepreneuriat circulaire, un levier de développement de la gestion des déchets” est le thème retenu pour cette édition. L’évènement est organisé par la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (Caci), en collaboration avec l’AND, la Safex et la CCIAF.
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Mustapha Guitouni a indiqué que l’Opep cherche à stabiliser le prix du baril entre 70 et 80 dollars sur le long terme.
Prenant prétexte de la demande de députés qui l’ont interpellé sur le non-raccordement en gaz de ville de dizaines de communes à Sétif et à Tissemsilt, le ministre de l’Énergie a évoqué la nécessité d’aller vite vers l’exploitation du gaz de schiste. “Nous devons nous orienter vite vers l’exploitation du gaz de schiste dans un cadre réglementé, en considérant les paramètres sanitaires et environnementaux. Nous allons travailler dans ce sens car l’intérêt du pays en dépend”, a-t-il affirmé, après avoir souligné qu’“une couverture (raccordement, ndlr) à 100% est synonyme d’une production de 100 milliards de mètres cubes pour la consommation interne (…) C’est pourquoi, il est impératif de trouver d’autres sources, à l’image du gaz du schiste”.
Improvisant un point de presse, en marge de la plénière consacrée jeudi par le bureau de l’APN aux questions orales, le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, s’est exprimé sur l’actualitée liée à son secteur.
Interpellé sur la menace du président américain, Donald Trump, d’enlever la protection des États-Unis aux pays du Moyen-Orient s’ils n’incitent pas l’Opep à augmenter sa production en vue de baisser les prix du pétrole, le membre du gouvernement a assuré que ce tweet n’a aucun effet sur la position de l’Opep, “souveraine dans ses décisions”. Il a précisé que l’accord auquel est parvenu l’organisation, y compris avec des pays producteurs de pétrole qui n’y sont pas membres, induira un équilibre du marché pétrolier. “Un prix du baril stabilisé autour de 70 à 80 dollars nous convient, car il faut un compromis entre l’offre et la demande. Nous sommes en train, à ce titre, de discuter avec les pays consommateurs”, a poursuivi le ministre de l’Énergie. Sur un autre chapitre, il a démenti l’information afférente à la fermeture du gazoduc traversant le Maroc pour arriver en Espagne. “Nous n’avons pas l’intention de fermer ce gazoduc. L’information est infondée. Nous avons relié les réseaux qui vont en Espagne et en Italie en perspective d’une augmentation de nos capacités d’exportation”, a-t-il expliqué.
Par ailleurs, Mustapha Guitouni a informé qu’un appel d’offres national a été lancé pour la production de 150 mégawatts (MW) d’électricité à partir de sources renouvelables. Il a invité les entreprises, intéressées par ce projet, à retirer le cahier des charges.
Il a rappelé, à l’occasion, que le Programme national de développement des énergies renouvelables vise une production de 22 000 MW d’électricité, puisés de l’énergie solaire, notamment dans une échéance de 10 ans, pour la consommation domestique et 10 000 MW supplémentaires destinés à l’exportation.
L’objectif est de réduire, à échéance, la consommation d’énergie fossile de 9% et d’économiser jusqu’à 240 milliards de mètres cubes de gaz naturel, soit quelque 63 milliards de dollars sur vingt ans.
Souhila Hammadi
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Le crédit témoigné à la politique de la rahma initiée par le président Zeroual, qui n’avait alors consenti aucune largesse aux islamistes armés, devait servir en fin de compte de préambule aux concessions, sans limites, accordées aux islamistes et à leur bras armé.
Indissociable des bilans tous azimuts du règne sans partage, deux décades durant, de Bouteflika, la réconciliation nationale est devenue, bon gré mal gré, la trame de fond qui module aussi bien la propagande du pouvoir que les discours de ses relais.
L’opportunité offerte à ces derniers en cette date du 29 septembre qui coïncide avec le 13e “anniversaire” du référendum sur la charte pour la paix et la réconciliation nationale remet au goût du jour le rapprochement déconcertant commis, il y a une année exactement, par l’ancien président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini qui disait : “Sans la moindre complaisance, et surtout sans le moindre excès, je considère honnêtement que la réconciliation nationale est un événement qui est de la même ampleur que le 1er Novembre 1954. Si la révolution de 1954 nous a permis de retrouver l’indépendance, la réconciliation nationale nous a permis de retrouver la paix.” Mais de paix, l’inclination outrancière des partis de l’allégeance, organisations et même des institutions qui leur sont subordonnées, occulte l’effervescence grandissante du front social, animé, entre autres, par une frange, distinctement omise par les dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Les retraités, invalides et radiés de l’ANP, ainsi que leurs ayants droit, qui revendiquaient ni plus ni moins qu’une régularisation de leur situation administrative et une revalorisation de leur pension de retraite, portant encore les stigmates de leurs sacrifices au front de la lutte antiterroriste, sévèrement réprimés par les services de sécurité, il y a moins d’une semaine à Haouch El-Mekhfi, ne méritaient-ils pas, eux aussi, quelques égards portés par la charte de 2005. Eux qui étaient les fers de lance dans les brasiers de la décennie noire et qui avaient permis à la République de rester debout. Cela, au moment où ceux qui avaient mis en péril la pérennité de la nation et de l’État lui-même, et dont les mains étaient encore maculées du sang de dizaines de milliers de victimes sont réhabilités et indemnisés sur l’autel du dévouement et du sacrifice des enfants valeureux de l’Algérie. Des milliers d’autres victimes ont, par dignité humaine, choisi le silence et, parfois même, d’accompagner cette réconciliation “coupable”. De la concorde civile à la charte pour la paix et la réconciliation nationale, que l’on estime avoir atteint 95% de ses objectifs, d’aucuns considéraient déjà que le terrorisme était militairement vaincu en 1999. Même l’actuel chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, devenu chantre des bienfaits de la réconciliation, claironnait, dès 1997, que la bête immonde était réduite à sa plus simple expression et que le terrorisme n’était plus que résiduel. Le crédit témoigné à la politique de la rahma initiée par le président Zeroual, qui n’avait alors consenti aucune largesse aux islamistes armés, devait servir, en fin de compte, de préambule aux concessions sans limites accordées aux islamistes et à leur bras armé. Aussi, si en ce 29 septembre 2018, qui nous rapproche davantage d’une fin de mandature des plus floues, il n’est plus d’à propos de disserter autour des circonstances d’avènement de cette charte, la propagande du pouvoir, uni, semble-t-il, pour le meilleur et pour le pire, autour de la perspective d’un cinquième mandat, exhume, pour sa part, à cette occasion, tous les bilans. Imputant toutes les réalisations au climat de quiétude retrouvé grâce à la charte pour la paix et la réconciliation adoptée par voie référendaire un certain 29 septembre 2005, les partis de l’allégeance, les organisations de masses inféodées au pouvoir et les médias publics viennent d’annoncer depuis hier la thématique de la campagne électorale pour la présidentielle de 2019. Même les mosquées sont mises à contribution dans cette entreprise, les imams ayant consacré leurs prêches de la prière du vendredi à la réconciliation nationale et ses retombées en termes de paix sociale et d’essor économique.
Kamel Ghimouze
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Le ministère de l’Éducation nationale a rendu public, jeudi, dans un communiqué, le calendrier des examens nationaux des trois paliers pour l’année scolaire 2018/2019 (bac, BEM et 5e).
L’examen du baccalauréat aura lieu du 16 au 20 juin, celui du Brevet d’enseignement moyen (BEM) du 9 au 11 juin, tandis que l’examen de la 5e année primaire est fixé au 29 mai, a précisé la même source.
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Le réseau national « Algerian Eco », impliquant des associations environnementales et des organisations de la société civile, ainsi que des laboratoires de recherches universitaires et des experts, a lancé vendredi à Tikjda (Est de Bouira) une campagne de sensibilisation sur les dangers du phénomène des changements climatiques avec la participation de 13 wilayas.
Ce réseau avec à sa tête l’association environnementale « AGIR », a été créé lors de la rencontre nationale sur l’environnement et de la biodiversité, organisée par AGIR en partenariat avec le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables ainsi que le ministère de la Jeunesse et des Sports à Tikjda en juillet 2017.
Il « ambitionne à contribuer sur le terrain à sensibiliser la société civile sur la question des changements climatiques », a expliqué le formateur, Hisham Messaoudi.
« Nous sommes ici pour sensibiliser des associations venues de 13 wilayas, dont Bouira, Mascara, Tizi Ouzou, Béjaia, Sidi Belabbès, ainsi que Chlef, sur les dangers du phénomène du changement climatique, qui constitue une véritable menace pour la terre », a déclaré à l’APS M. Messaoudi, en marge de la première journée de cette rencontre qui se poursuivra jusqu’à samedi au niveau du Centre national de sport et de loisir de Tikjda (CNSLT).
Le formateur a indiqué que cette campagne de sensibilisation avait été lancée dans le cadre du projet « Appui au Plan National Climat » (APNC), qui est le fruit d’une collaboration entre les gouvernements algérien et allemand. Elle est pilotée par l’organisation allemande « GIZ », l’association « AGIR » en collaboration avec le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables.
Au cours de la première journée, les formateurs Hisham Messaoudi et Juba Maâmmar ont axé leurs interventions sur l’identification du phénomène des changements climatiques, son impact, ses causes et ses conséquences sur la planète terre.
« Le réchauffement climatique ou toute modification aux paramètres climatiques engendrent des impacts sur l’environnement et l’activité socio-économique. Ses impacts négatifs n’ont de cesse de s’amplifier du fait de la révolution industrielle que connaît le monde aujourd’hui », ont-ils souligné.
« Ce phénomène est à l’origine des déséquilibres dans la biodiversité ces dernières années, ainsi que du manque d’eau et de la désertification et de la dégradation de la qualité de l’aire et de l’appauvrissement de la couche d’ozone », ont-ils mis en garde.
A ce propos, Kamel Khellas, représentant de l’organisation allemande GIZ à Alger, a saisi cette occasion pour réitérer la volonté et l’engagement de l’Algérie dans la lutte contre ce phénomène via la mise en œuvre du projet APNC dans le cadre de la coopération avec l’Allemagne.
Pour M. Khellas, cette rencontre est une grande opportunité pour les différentes associations vertes à travers wilayas prenant part à cet évènement, pour s’informer sur les différentes recherches et projets réalisés ou lancés dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique et contre les émissions de gaz à effet de serre.
« Les représentants de ces associations pourront ainsi sensibiliser au niveau local dans leurs wilayas sur cette question d’actualité », a indiqué le représentant de GIZ.
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“Comme vous le savez, les États-Unis apprécient notre partenariat avec le peuple algérien et nos partenaires dans le gouvernement. C’est plutôt le processus de l’élection qui compte pour la politique des États-Unis. La volonté des électeurs est ce qui compte le plus, le plus important (…)”, a souligné Brian Neubert.
Alors que Paris, via l’ex-chef du renseignement, Bernard Bajolet, semble avoir décidé de “sonner le tocsin” du cinquième mandat, Washington préfère plutôt opter pour la prudence. C’est, du moins, ce qu’il est permis de conclure de la réponse, somme toute très diplomatique, de la porte-parole du département d’État, Erica Chiusano, à une question sur la disponibilité des États-Unis à soutenir ou non un éventuel cinquième mandat du président Bouteflika.
“Les États-Unis entretiennent une relation fructueuse et profonde avec l’Algérie non seulement entre les deux gouvernements, mais également entre les deux peuples. Concernant les prochaines élections, les États-Unis suivent l’évolution (…) Il y aura des discussions avec la société civile, les politiques (…) Et l’ambassadeur aura à s’exprimer dans ce contexte. Le gouvernement américain est disposé à travailleur avec le gouvernement qui sortira de ces élections”, a indiqué, jeudi, Erica Chiusano, lors d’une téléconférence conjointe, depuis le siège des Nations unies à New York, avec son collègue Brian Neubert. Relancé de nouveau par Liberté, Brian Neubert s’est montré, lui également, très prudent en reprenant des poncifs liés au processus électoral. “Comme vous le savez, les États-Unis apprécient notre partenariat avec le peuple algérien et nos partenaires dans le gouvernement. C’est plutôt le processus de l’élection qui compte pour la politique des États-Unis. La volonté des électeurs est ce qui compte le plus, le plus important (…) Vous allez suivre les discours de mes collègues à l’ambassade et bien sûr de l’ambassadeur.” Si cette prudence procède probablement du “pragmatisme” américain, d’autant qu’ils ont été échaudés par la polémique de 2014 après la visite peu avant l’élection de l’ancien secrétaire d’État, John Kerry, Washington ne manque pas de mettre l’accent sur la qualité de la “coopération” entre les deux pays dans la lutte contre le terrorisme et les “leçons” qu’elle tire de l’expérience algérienne et le rôle d’Alger dans la “stabilité” de la région du Maghreb et du Sahel. “Nous avons une relation forte avec l’Algérie, et l’un des domaines importants de coopération est le volet sécuritaire et la lutte contre le terrorisme. Nous apprécions l’Algérie pour ses efforts pour la stabilité dans la région. Nous avons beaucoup de programmes avec l’Algérie pour renforcer la relation dans ce domaine et approfondir la coopération”, souligne Erica Chiusano. La lutte contre le terrorisme doit-elle être limitée seulement à l’action militaire ?
“Parmi les leçons apprises de votre expérience dans le cadre de notre partenariat avec l’Algérie, c’est que la solution militaire et sécuritaire est nécessaire, mais pas suffisante.”
Pragmatisme américain
“Il y a aussi la possibilité de développement, la bonne gouvernance économique et la création des possibilités qui sont absolument nécessaires pour les jeunes et la population”, soutient, pour sa part, Brian Neubert. Interrogés dans le même contexte pour confirmer ou infirmer la présence de soldats américains en Tunisie, près de la frontière algérienne, comme rapporté récemment par une publication, les diplomates américains ont insisté sur le fait qu’en tant que diplomates, ils ne rentrent pas dans les détails et qu’ils suivent les déclarations du ministère de la Défense. “Ce que je peux dire, c’est qu’on coopère dans la lutte contre le terrorisme, la sécurité, l’investissement dans plusieurs domaines. Cette coopération ne concerne pas la Tunisie seulement, mais également d’autres pays de la région”, affirme Erica Chiusano. Par ailleurs, à la question sur les risques qu’encourt l’Algérie, en vertu d’une loi américaine préconisant des sanctions à l’égard d’entités qui coopèrent avec la Russie, un de nos principaux fournisseurs, notamment en armes, Brian Neubert suggère des “discussions” au préalable. “Parmi les crises, il y a celles qui sont provoquées par la Russie, c’est pour cela que nous avons imposé des sanctions (…) Nous respectons le choix souverain des pays, comme l’Algérie, dans la manière de gérer leurs affaires étrangères et leurs partenariats, comme nous savons que vous allez respecter nos intérêts et notre politique étrangère. C’est quelque chose que nous devons discuter, et je pense, dans ce sens, que nous pouvons trouver un moyen pour mettre la pression sur la Russie afin qu’elle arrête de menacer ses voisins et la paix mondiale.”
Karim Kebir
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Le chanteur de la variété algérienne, Abdelwaheb Djazouli a animé jeudi soir à Alger un concret empreint de rythmes andalous et chaâbi devant ses admirateurs.
Accueilli à la salle Ibn-Zeydoun de l’Office Riad El Feth (OREF), le concert a drainé un public nombreux de fans, gratifiés de pièces de l’andalou, décliné dans ses genres hawzi et châabi algérois.
Accompagné d’un orchestre de huit musiciens dont un luthiste, pianiste et un percussionniste, Abdelwaheb Djazouli a revisité des classiques du chaâbi, exécutés avec une finesse vocale et instrumentale. Des titres, très connus du public comme « Bin el bareh oua lyoum » (entre hier et aujourd’hui), « ma narafech oua ana sghir » (Petit, je connais rien), ont suscité de l’admiration d’un public chaleureux.
Les prouesses de l’artiste et son orchestre ont été payées par des applaudissements nourris d’un public mélomane, venu en masse pour assister à cette soirée marquant l’anniversaire de la naissance du chanteur.
Promenant son public dans un voyage Hawzi, l’artiste a interprété « Welfi Meriem », un classique de la musique andalouse chanté par de grands noms de la chanson algérienne.
Dans la deuxième partie de cette soirée, l’artiste a dévoilé trois chansons tirées de son premier album « Jazz’man », sorti dernièrement.
Djazouli a chanté « Karima », titre de chanson écrite par son père qu’il a dédiée à sa mère, avant d’enchainer avec « Ya Kmar ya ali » (ô lune si élevée!), composée par Hakim El Batni du groupe Kahina.
Issu d’une famille d’artistes dont son grand-père Cheikh Mohamed Djazouli, Abdelwahab a bercé dans un univers musical qui l’a emmené dans la voie de l’art depuis sa tendre enfance.
Passionné et inspiré par de grands noms du chaâbi dont El Hadj M’hamed El Anka, El Hachemi Guerrouabi, Abdelwahab a fait ses classes au Conservatoire d’Alger où il apprend à jouer de la guitare, du luth et de la mandoline.
A l’association « El Inchirah », qu’il a intégrée en 2003, il apprend de Smain Hini, son mentor, à chanter les noubas (pièces instrumentales et vocales de la musique andalouse).
Sur scène, le chanteur qui anime des galas privés, allie des sonorités musicales actuelles dont le gnawi moderne avec le chaâbi algérois, adapté aux goûts et aux attentes de son public.
En 2009, il enregistre son premier single intitulé « Kounti Aliya takadbi »(Tu m’avais menti), suivi de « Hayaw » en 2012 et « Nedjma », sorti deux ans plus tard.
C’est dans « Jazz’man », son premier opus de huit titres sorti en février dernier, que Abdelwahab Djazouli retrouve son style (algérois), revisité avec une touche moderne et des rythmes variés.
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Les chutes de pluies enregistrées jeudi après-midi sur la ville d‘Adrar et ses environs ont provoqué l’effondrement d’une vingtaine de bâtisses et sinistré 85 familles, au niveau des ksour de Tamentit (12 km Sud d’Adrar), a-t-on appris auprès d’un élu de cette collectivité.
Les services de la commune ont mis en place une cellule de crise pour la prise en charge des sinistrés et leur évacuation vers des salles d’établissements scolaires, retenues pour leur hébergement provisoire, a indiqué Abdelhalim Amraoui, membre de l’Assemblée populaire communale (APC) de Tamentit.
Les opérations de recensement des sinistrés et des dommages occasionnés par ces intempéries se poursuivent, en coordination avec les services de la protection civile, a-t-il ajouté dans ce premier bilan.
Des pluies intermittentes se sont abattues jeudi sur Adrar et ses environs, entrainant des agglutinements d’eaux à divers endroits, perturbant le trafic routier, et causant des dommages à plusieurs vieilles bâtisses construites en toub (pisé), a-t-on constaté.
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Le moudjahid Ahmed Sebgueg dit Boudraâ est décédé jeudi soir à Djanet à l’âge de 91 ans, des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de la direction des moudjahidine de la wilaya d’Illizi.
Né en 1927 dans la wilaya d’Ouargla, le défunt, qui a rallié les rangs de l’Armée de libération nationale en 1957, ‘’était un compagnon d’arme du Président de la République Abdelaziz Bouteflika (Abdelkader El-Mali) à la base Sud au Mali’’, a indiqué à l’APS le directeur des moudjahidine, Salah Keddi.
Eminent élément de l’ALN avec le grade d’officier, le défunt avait contribué largement à la mobilisation et l’entrainement des révolutionnaires, la collecte d’aides et l’acheminement d’armes pour la Révolution via les frontières sud du pays, a-t-il ajouté.
Il s’impliqua à l’indépendance dans al mobilisation des jeunes et leur sensibilisation à la préservation des acquis de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954, tout comme il représentait une référence pour les jeunes, les élèves et les étudiants qu’il rencontrait souvent, selon la même source.
Le moudjahid Ahmed Sebgueg est décédé à son domicile au quartier Ifri (Djanet), après une longue maladie, et devra être inhumé vendredi après-midi au cimetière ‘’Aghoum’’ à Djanet.
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Le séisme et le tsunami survenus vendredi sur l’île indonésienne des Célèbes ont fait au moins 384 morts, selon un nouveau bilan fourni par l’agence de gestion des catastrophes.
Un précédent bilan fourni quelques heures plus tôt par les autorités avait fait état de 48 morts et 356 blessés dans la ville de Palu, comptant quelque 350.000 habitants et frappée par une vague de 1,5 mètre vendredi.
Vague violenteLes images venues de la ville de Palu, située sur la côte ouest des Célèbes, montraient des corps allongés près de la côte, certains recouverts de couvertures bleues. Des carcasses de véhicules témoignent de la violence de la vague qui s’est abattue sur la côte. Alors que les hôpitaux sont dépassés par l’afflux de victimes, de nombreux blessés étaient soignés à l’extérieur.
Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l’agence de gestion des catastrophes, avait prévenu lors d’une conférence de presse ce samedi que le bilan de 48 morts pourrait rapidement s’alourdir.
“Nous pensons que des dizaines ou des centaines (de victimes) n’ont pas encore été dégagées des décombres. Le principal centre commercial de Palu (…) s’est effondré”. “L’hôtel Rua-Rua (…) s’est affaissé, il avait 80 chambres dont 76 étaient occupées”, a-t-il détaillé.
Séisme de magnitude 7,5Le séisme a frappé l’île juste avant 11h GMT vendredi avec une secousse d’une magnitude de 7,5, selon l’institut géologique américain (USGS).
Un tsunami s’est déclenché peu après avec une hauteur maximale de 1,5 m sur la côte proche de Palu. La panique a poussé les habitants à fuir vers les hauteurs de la ville, selon des images des télévisions locales. Une vidéo montre une vague imposante s’abattre sur plusieurs bâtiments et inonder une mosquée.
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ALGER – Plus de 2273 personnes sont décédées lors des huit premiers mois de l’année en cours au niveau national, a indiqué un bilan du Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR), qui a fait état d’une baisse dans le nombre des morts et des blésées par apport à la même période de l’année précédente.
L’Algérie a enregistré, lors des huit premiers mois de l’année en cours, 15943 accidents de la route ayant fait 2273 morts et 22775 blessés. Par rapport à la même période de l’année dernière, le nombre de morts a connu une baisse de 9.69 % ainsi que celui des blessés (-10,43%) et celui des accidents (-8.02%), ajoute la même source.
Durantla même période de l’année dernière, 2517 personnes ont péri dans plus de 17.000 accidents de la circulation survenus à travers le territoire national, outre 25.426 blessés.
Selon les statistiques fournies par le CNPSR, la tranche d’âge située entre 18 et 29 ans est fortement impliquée dans ces accidents, sachant que les titulaires de nouveaux permis (moins de 5 ans) sont responsables de la moitié des accidents enregistrés.
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L’Algérie a réalisé 36 grands barrages depuis l’an 2000 faisant augmenter le nombre des barrages réalisés à réceptionner d’ici 2020 à 85 barrages, a indiqué jeudi le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
Lors d’une séance consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN) présidée par Saïd Bouhadja à laquelle a assisté le ministre des Relations avec le parlement, Mahdjoub Bedda, M. Necib a indiqué que le secteur recensait 80 barrages en cours d’exploitation et 5 grands barrages en cours de réalisation qui seront progressivement réceptionnés jusqu’en 2020.
Répondant à une question du député Youcef Brahmia concernant le projet de réalisation du barrage Koudiet Hricha (Guelma), M. Necib a précisé que les études réalisées avaient démontré que la composante géologique de la terre constituée essentiellement de gypse ne permettait pas la réalisation de ce projet, vu sa vulnérabilité.
L’estimation financière préliminaire de ce projet était de près de 50 milliards DA avec une capacité de stockage prévisible de 50 millions de m3. Toutefois, le projet n’a pas été réalisé en raison des données géologiques inappropriés, d’où la décision du secteur d’enregistrer un autre projet alternatif consistant à réaliser un petit barrage aux abords de Oued Charef avec une capacité de stockage atteignant 100 millions de M3/an.
La fonction de ce barrage est de transférer les eaux vers le barrage Debagh qui a enregistré un déficit du niveau des eaux, eu égard à la rareté des pluies.
Ce projet, qui coûtera au secteur une enveloppe financière de 3 milliards de DA, permettra de transférer les eaux vers le barrage de Debagh dans la région, d’approvisionner les citoyens de la wilaya de Guelma en eau potable et d’assurer 6 millions de M3 pour l’irrigation des terres agricoles.
Un appel d’offres sera annoncé pour la réalisation du projet durant les prochains jours, a fait savoir le ministre.
Répondantà une question relative aux puits artésiens de la wilaya d’Illizi, le ministre a fait savoir que cette dernière ne comptait pas ce type de puits, mais dispose plutôt des puits nécessitant le recours à l’opération de pompage d’eaux au regard des caractéristiques géologiques de la région.
La wilaya d’Illizi compte environ 55.000 habitants, et fournit 4 millions de mètres cubes d’eaux par mois, partant des puits profonds y existants (au nombre de 659 puits d’une capacité d’un million (1) et 300.000 mètres cubes d’eau potable par mois).
De son côté, la région « Thihaout » est alimentée en eau potable par un puits traditionnel qui suffit à répondre aux besoins de la population (200 habitants), en sus de deux autres puits.
Pour sa part, la région « Ifra » s’est dotée d’un puits avec une pompe dont le débit s’élève à 260 mètres cubes/jour, permettant de réguler et d’assurer l’alimentation en eau potable.
En ce qui concerne l’irrigation agricole, le ministre a affirmé que le secteur avait adressé des instructions aux autorités de la wilaya d’Illizi et à la direction des Ressources en eau de la wilaya pour parachever les projets enregistrés en vue d’approvisionner en eaux suivant des programmes réguliers et en quantités suffisantes.
Actuellement, il est procédé à la mise au point des procédures de réalisation d’une station de déminéralisation des eaux au nord de la ville d’Illizi qui vient s’ajouter à la station déjà réalisée dans la région, ajoute la source. Il est prévu, en outre, la réhabilitation de 8 puits.
La wilaya a bénéficié, également, de la réalisation de 8.000 mètres linéaires des puits profonds, à l’exception du puits de la région « Thihaout » dont les travaux seront entamés dans les jours à venir. Ce programme permettra l’accroissement des surfaces agricoles irriguées de 300.000 hectares.
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Un nouveau guide sur la prise en charge de la femme enceinte a été élaboré par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, pour une meilleure organisation durant la période de grossesse et jusqu’à l’accouchement, a annoncé vendredi à Alger, le directeur général des services de santé au ministère, Mohamed El Hadj.
« Le ministère a élaboré un guide pour organiser la prise en charge de la parturiente durant toute la période de la grossesse jusqu’à l’accouchement, en fixant, notamment, les calendriers de consultation, les types de femmes enceintes (femmes à haut risque ou sans risque), et les différents paliers chargés de la prise en charge », a précisé M. El Hadj, lors du 22éme Congrès international sur la gynécologie obstétrique.
Le même responsable a expliqué que l’opération pilote de mise en œuvre de ce guide a débuté depuis six mois au niveau des structures de santé dans certaines wilayas ajoutant que d’ici à la fin de l’année en cours, il sera procédé à la validation finale de ce document.
Il a fait savoir également, que des sessions de formation sont en cours au profit des praticiens de santé dans ce domaine.
D’autre part, le représentant du ministère a mis l’accent sur l’importance de l’accueil de la malade dans les structures de santé, estimant que le bon accueil représente « la moitié du traitement » appelant les enseignants à « inculquer les règles du meilleur accueil « .
Par ailleurs, M. El Hadj a invité les participants au congrès à proposer des recommandations liées à la spécialité gynécologie-obstétrique, afin de les impliquer dans la préparation des projets de textes d’application de la nouvelle loi sanitaire.
Pour sa part, le secrétaire général de la Société algérienne de gynécologie-obstétrique(SAGO), Mohamed Said Oukid, a indiqué que les participants à cet événement, aborderont durant les deux jours des travaux les thèmes liés aux aspect médico-légal en gynécologie obstétrique, la prise en charge médico-chirurgicale de l’infertilité et l’hémorragie de la péri-ménopause.
M. Oukid a précisé que cette rencontre organisée par SAGO en collaboration avec la faculté de médecine de Blida, a pour objectif de présenter les mécanismes et outils de prise en charge et de discuter des difficultés et les techniques en vigueur dans le domaine.
Il a ajouté que cette rencontre médicale se veut également un espace d’échange et de partage d’expériences en la matière entre les experts des pays maghrébins et de l’Afrique qui sont aussi invités à cette rencontre.
Le même responsable a relevé les moyens colossaux mis en place par les pouvoirs publics pour une meilleure prise en charge de la femme enceinte et assurer des accouchements dans de meilleures conditions, soulignant une forte diminution des accouchements à domicile et que « la majorité des accouchements se font en milieu assisté ».
De son côté le président du congrès, le professeur en gynécologie-obstétrique, Cheikh El Ghanama Mohamed Ziad, a indiqué que ce congrès assure, entre autre, un enseignement post-universitaire de « qualité » et constitue une rencontre de formation continue des gynécologues-obstétriciens, des sages-femmes et des résidents.
Il a précisé dans ce sens que les ateliers sur l’échographie et la colposcopie inscrits dans l’ordre du jour de cette rencontre, permettront aux praticiens de se recycler.
Evoquant par ailleurs, la prise en charge des hémorragies péri-ménopause chez les femmes âgées entre 40 et 50 ans, il a indiqué que c’est « une pathologie fréquente, cependant difficile à traiter parfois », estimant que 10% des cas peuvent être dus à des lésions malignes (d’origines cancéreuses) qui nécessitent un dépistage.
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Les cours du pétrole montaient vendredi en cours d’échanges européens alors que les investisseurs ne trouvaient pas de solution pour remplacer les barils iraniens, touchés par les sanctions américaines à partir de début novembre. Dans l’après midi, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, dont c’est le dernier jour de cotation, valait plus de 83 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de plus de 1, 56 dollars par rapport à la clôture de jeudi.
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Présentation du groupe de l’Agence Française de Développement Institution financière publique et solidaire, l’Agence Française de Développement (AFD) est l’acteur central de la politique de développement française. Elle s’engage sur des projets qui améliorent concrètement le quotidien des populations en conformité avec les objectifs du Développement Durable (ODD), les engagements de la France lors de la COP 21 et les priorités de l’action extérieure de la France. Présente dans 109 pays via un réseau de 85 agences, l’AFD accompagne aujourd’hui plus de 3500 projets de développement.
L’action de l’AFD en 2017
Une action sur les 5 continents avec des engagements à hauteur de 10,4 Mds€ et un encours net de 30,4 Mds€. 50% des engagements financiers de l’AFD (5,2 Mds€) vont à l’Afrique où 80% des moyens budgétaires accordés par l’Etat sont concentrés. 20% en Asie et dans le Pacifique 16% au Proche et Moyen-Orient 14% en Amérique Latine et Caraïbes.
L’AFD finance des trajectoires de développement durable contribuant aux 5 transitions majeures dans lesquelles les pays du Nord et du Sud sont engagés : transition démographique et sociale – transition territoriale et écologique – transition énergétique – transition numérique et technologique – transition politique et citoyenne.
Les impacts des projets accompagnés par l’AFD sont mesurés.
Ils ont permis en 2017 :
Un accès à l’eau potable pérenne pour 822.000 personnes
Un accès à l’électricité pour 365.000 personnes
La protection ou la restauration de 16 millions d’hectares d’espaces naturels
L’installation de 3.395 MW d’énergie renouvelable
La scolarisation de 396.000 filles
L’AFD a rendu public lors de la tenue à Paris en décembre 2017 du One Planet Sommit de devenir la première institution « 100% accord de Paris ». Cela signifie que l’AFD s’engage à ce que tous les projets qu’elle soutient soient cohérents avec les trajectoires de développement bas carbone des pays et à accompagner ceux-ci dans leur transition vers une neutralité carbone. La lutte contre le changement climatique a ainsi bénéficié de plus de 4Mds€ de financement dont près de 900M€ alloués à des projets d’adaptation et 1Md€ aux énergies renouvelables sur le continent africain.
L’année 2017 a également été marquée par un rôle international accru confié à l’AFD dont le Directeur Général, Rémy RIOUX, a pris la présidence du plus grand réseau de banques de développement au monde, l’International Development Finance Club – IDFC – qui réunit les 23 plus grandes banques publiques de développement nationales et régionales à vocation internationale (www.idfc.org). Ce club dispose d’une capacité financière de plus de 800 Mds$ par an, dont 160 Mds$ pour des projets de lutte contre le changement climatique.
L’AFD développe ses activités dans les domaines des Industries culturelles et créatives, de l’enseignement supérieur, de l’Innovation et du numérique, du Social Business (Economie sociale et solidaire), de la gouvernance. Ses interventions dans les territoires en crise et conflit a connu une forte croissance en 2017. Enfin, conformément au mandat qui lui a été confié par les autorités françaises début 2018, le groupe AFD a pour ambition de devenir la plateforme française de la politique de développement. Le groupe intégrera à compter de 2019 Expertise France, l’agence française de coopération technique internationale, dont les compétences viendront renforcer la qualité de l’offre de l’AFD.
Accès à l’assemble des résultats : https://www.afd.fr
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Le monde de la presse est sous le choc, notre ami Youcef Bettache, connu sous la signature d’Abder Bettache, journaliste au Soir d’Algérie est décédé aujourd’hui à l’age de 53 ans victime d’un arrêt cardiaque.
Dans une publication sur Facebook, le maire d’Alger, Abdelhakim Bettache, confirme le décès de son frère Abderrahmen ce vendredi matin.
La Rédaction d’Algerie360 tient à présenter ses sincères condoléances à la famille du défunt Youcef Bettache. Allah yerahmou.
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Selon nos informations, Les groupes parlementaires de tous les partis politiques se sont rencontrés hier et ont décidé d’arrêter toute collaboration avec le troisième homme de l’État.
Pour rappel, Djamel Ould Abbes, avait convoqué mercredi une réunion urgente du groupe parlementaire du parti au sujet d’une affaire de prise en charge à l’étranger que le Secrétaire général aurait refusé au Président de l’APN.
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ALGER – Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a annoncé jeudi à Alger le lancement officiel d’un « nouveau portail électronique pour la promotion de la destination Algérie ».
Lors d’une rencontre organisée à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale du Tourisme sous le slogan « Le tourisme et les mutations numériques », M. Benmessaoud a précisé que ce portail qui se présente en trois langues : arabe, français et anglais, a pour objectif de faire connaître la diversité touristique de l’Algérie, les plus importantes destinations disponibles ainsi que les agences de tourisme et de voyage, les hôtels, restaurants classés, transport outre l’art culinaire et l’artisanat.
Le ministre a fait savoir que la langue amazighe sera introduite « prochainement » dans ce portail après la signature d’une convention-cadre avec le Haut-Commissariat à l’Amazighité (HCA), rappelant la « création d’un programme pour l’élargissement de la numérisation au soutien de la coopération et de la relation entre l’administration et le citoyen » et, prochainement, d’un « guide touristique électronique sous forme d’application sur téléphones portables » avec la contribution de « start-up gérées par des jeunes visant à présenter des idées innovées dans le domaine des voyages et de la promotion de la destination Algérie ».
M. Benmessaoud a estimé que la Journée mondiale du Tourisme (29 septembre) était une « occasion pour faire connaître les progrès réalisés par le secteur du tourisme en matière de programmes de numérisation », rappelant avoir donnée lors de plusieurs rencontres avec les cadres du ministère des « instructions claires pour l’adoption de la numérisation comme programme d’action sur tous les niveaux, eu égard aux facilités qu’elle offre ».
Le ministre ajouté que son secteur « œuvre au développement de l’administration à travers l’exploitation du développement technologique », rappelant l’ouverture en novembre dernier d’un portail au niveau du ministère concernant le traitement et le contact avec les agences de voyage et la création en mai 2018 d’un autre portail pour la réception et le traitement des dossiers des projets des investisseurs ».
Par ailleurs, le premier responsable du secteur a appelé tous les opérateurs du tourisme à une « participation active et sérieuse au Salon international du Tourisme et des voyages prévu le 17 octobre 2018, estimant que cet évènement était « important pour faire valoir les caractéristiques et les capacités touristiques réelles et considérables de l’Algérie ». Il constituera également une occasion pour le « lancement de la saison touristique saharienne, a-t-il ajouté.
M. Benmassaoud a indiqué que tous « les acteurs ont été impliqués dans les préparatifs à travers les campagnes de propagande et les sorties sur terrain, appelant à la conjugaison des efforts de tous pour faire de cette saison une réussite. »
Le ministre a estimé que « l’assurance des conditions sécuritaires représente un facteur essentiel et une condition impérative pour l’instauration de la stabilité et la réalisation du développement socio-économique entre les nations », affirmant qu’en dépit de « tous les conflits et menaces liés au terrorisme, à l’extrémisme violent et au crime organisé auxquels fait face le monde, l’Algérie est devenu un exemple à suivre en matière de cohabitation et de paix grâce aux efforts du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika visant à promouvoir la culture de la paix dans le cadre de la politique de la réconciliation nationale, de la consécration des principes de fraternité humaine et de la promotion de la coopération entre les pays ».
A cette occasion, un hommage a été rendu au défunt Seddik Slimane de Timimoune, Wilaya d’Adrar, connu par son soutien au tourisme local notamment dans la région de Gourara à Adrar, en reconnaissance à son soutien au produit touristique local et à son professionnalisme dans l’attraction des touristes étrangers.
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ALGER – Le ministre des Transports et des travaux publics, Abdelghani Zaalane a annoncé, jeudi, qu’il sera procédé au dégel progressif de la deuxième tranche des projets de tramway avec l’amélioration de la situation financière du pays.
« Ces projets concernent les wilayas de Batna, Annaba, Bejaia, Skikda, Tlemcen, Bechar, Tebessa, Blida et Djelfa » a précisé le ministre lors d’une plénière consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN).
Ces projets qui étaient sur le point d’être lancés après la désignation des sociétés de réalisation, ont été gelés, en 2015, en raison de la conjoncture financière difficile que connaissait le pays suite à l’effondrement des prix du pétrole, a rappelé le ministre.
Assurant que « Le gel desdits projets ne signifie pas leur annulation », le ministre a fait savoir que ces projets seront relancés « par ordre de priorité ».
M. Zaalane a réitéré, dans ce cadre, la détermination de l’Etat à « poursuivre la réalisation de tous les projets ayant pour objectif de moderniser et d’améliorer les moyens de transport et de faciliter le déplacement des citoyens », une action, a-t-il dit, qui sera concrétisée avec l’amélioration de la situation financière du pays.
Evoquant la pénétrante de l’autoroute Est-Ouest vers le port d’Annaba, le ministre a souligné que ce projet « demeure l’une des priorités du secteur dans la région », soutenant, toutefois, que sa réalisation restait tributaire de l’amélioration de la situation financière du pays.
Le ministère avait réceptionné, en 2014, l’étude relative à ce projet avant de proposer son inscription au titre de la loi des finances 2015, l’opération n’a pas pu être réalisée en raison de la conjoncture économique difficile qu’a connue le pays.
Soulignant que toutes les conditions étaient réunies pour le lancement du projet et qu’il ne restait que son inscription budgétaire qui se fera avec amélioration progressive de la conjoncture financière, le ministre a ajouté que l’entrée en exploitation du complexe de phosphate à l’est du pays devra faciliter la réalisation de cette pénétrante.
D’une longueur de 28 km, la pénétrante reliera l’autoroute à trois infrastructures importantes, à savoir le complexe sidérurgique d’El-Hadjar, l’aéroport international et le port d’Annaba et devra également contribuer au désengorgement la RN21.
S’agissant du renforcement des vols au niveau de l’aéroport Mustapha Benboulaid de Batna, le ministre a fait savoir que cette question était « tributaire du taux d’occupation des avions qui ne dépasse pas, actuellement, 69% pour les vols intérieurs et 65% pour les vols internationaux ».
« Néanmoins, les efforts se poursuivront pour l’amélioration de la programmation des vols au service des voyageurs de la région », a affirmé M. Zaalane, révélant que « le protocole du programme international des vols sera revu prochainement au service des aéroports internes ».
S’agissant de la tranche restante du projet de la pénétrante reliant l’autoroute Est-ouest à Batna, le ministre a fait savoir que « cette tranche sera programmée prochainement ».
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ALGER – Un terroriste dénommé « El Hemmal Kana », dit « Abou Khaled », qui avait rallié les groupes terroristes en 2006, s’est rendu mercredi aux autorités militaires à Tamanrasset, a indiqué jeudi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts des Forces de l’Armée nationale populaire, un terroriste s’est rendu, le 26 septembre 2018, aux autorités militaires à Tamanrasset en 6 Région militaire », a précisé la même source.
Il s’agit en l’occurrence du dénommé « El Hemmal Kana », dit « Abou Khaled », qui avait rallié les groupes terroristes en 2006, a ajouté la même source, relevant que ledit terroriste était en possession d’un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et d’un chargeur garni de munitions.
Dans le même contexte, des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) ont découvert et détruit une casemate pour terroristes et une bombe de confection artisanale, et ce, suite à des opérations de recherche et de ratissage menées à Tizi-Ouzou et Chlef/1e RM, a fait savoir la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement combiné de l’ANP a arrêté, à El Oued/4e RM, un narcotrafiquant à bord d’un véhicule touristique chargé de 10 kilogrammes de kif traité, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont saisi, lors d’opérations distinctes menées à Batna et Tébessa/5e RM, 8.750 cartouches de différents calibres et divers outils pour leur remplissage, a conclu le communiqué du MDN.
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