BÉCHAR – Les représentations artistiques et poétiques de la première rencontre « Voix de Femmes », dont le coup d’envoi a été donné lundi en fin d’après-midi à la salle des spectacles de la maison de la culture « Mohamed Kadi » à Bechar, est un espace dédié à la femme et à sa créativité, selon les organisateurs.
« Nous voulons à l’occasion de cette rencontre culturelle mettre en exergue l’apport des femmes à la préservation et la pérennisation des expressions musicales et chorégraphiques traditionnelles et du patrimoine culturel des régions participantes », ont précisé à l’APS les membres de l’association féminine de préservation du patrimoine culturel « Kounouz » (partie organisatrice).
Pour cette première édition, cette association a opté en faveur de spectacles artistiques dans la pure tradition des fêtes familiales de la région du sud-ouest et qui seront animées par une quarantaine de musiciennes et chanteuses des six (6) troupes féminines présentes à cette rencontre. Il s’agit des groupes « Azawane » de musique et chant Hassani (région de
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LAGHOUAT – Les participants au séminaire national sur « l’enseignement réformiste dans la région de Laghouat 1926-1962, et le rôle de la Medersa d’éducation et d’enseignement durant la Révolution » ont appelé, au terme de leur travaux lundi à Laghouat, à classer ces écoles parmi le patrimoine culturel historique.
Ils ont recommandé la restauration de la Medersa de Laghouat, aujourd’hui école primaire « Ahmed Chetta », dans le respect de ses conception architecturale et matériaux originels, en associant des équipes scientifiques spécialisées.
Les intervenants ont plaidé aussi pour l’encouragement des études sur les éminentes personnalités du mouvement réformiste, leurs parcours et leurs œuvres, avec l’introduction de l’histoire de la région dans le programme scolaire, notamment ce qui a trait à la résistance de Laghouat et celle de Bennacer Benchohra.
Lors de la séance de clôture de la rencontre, Mohamed Mehddadi (Université de Annaba) a évoqué, dans sa communication intitulée « les efforts de Mebarek El-Mili dans l’institution de l’enseignement réformiste à Laghouat », l’action d’El-Mili qui a jeté le fondement de cet enseignement et a formé un groupe de Chouyoukh qui ont assumé cette mission jusqu’à ce que Laghouat devienne « un centre de rayonnement dans le Sud algérien ».
Mebarek El-MiIi aspirait aussi à mettre en place un projet élaboré, basé sur un enseignement moderne, qui a suscité l’intérêt des populations locales, selon l’intervenant qui a fait état aussi de contraintes de l’enseignement dans la région, et à différents niveaux.
L’opportunité é été saisie, par ailleurs, pour honorer des élèves de la Medersa de Laghouat et des familles de certains parmi ceux ayant contribué à la dynamisation de cette établissement d’enseignement durant la Guerre de libération nationale.
Initiée par l’association locale des chercheurs, à l’occasion du 70ème anniversaire de la fondation de la Medersa de Laghouat, cette rencontre de deux jours a regroupé un panel d’enseignants et de chercheurs de différentes universités du pays.
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OUARGLA – Des peines allant jusqu’à 20 ans de prison ferme ont été prononcées lundi par le tribunal criminel près la Cour de Ouargla à l’encontre d’un groupe de narcotrafiquants poursuivis pour chargement et transport illégaux de stupéfiants et port d’armes de guerre et de munitions.
Une peine de 20 ans de prison a été prononcée à l’encontre de C.T (51 ans) et une autre de 10 ans à l’encontre de Z.L (69 ans) poursuivis pour chargement et transport illicites de produits stupéfiants.
La même juridiction a infligé, dans cette affaire, une peine de 10 ans de prison ferme à l’encontre de deux autres individus, B.A (50 ans) et B.M (39 ans, ressortissant nigérien), pour chargement et transport illicites de drogues et port d’armes de guerre et de munitions, séjour illégal sur le territoire national pour le second mis en cause (B.M).
Une autre personne répondant aux initiales de T.A (23 ans) a été acquittée.
Les quatre premiers mis en cause ont été condamnés à payer une amende de deux (2) millions DA chacun, en plus de la confiscation des produits saisis, dont des véhicules et des téléphones portables.
L’affaire remonte, selon l’arrêt de renvoi, au mois de mai 2017 lorsque les éléments de l’Armée nationale populaire intercepté, au terme d’une course poursuite un véhicule tout terrain dans la région d’Aoulef (Adrar), à bord duquel se trouvaient B.A et B.M, et où ils ont découvert une quantité de 268 kg de kif traité, en plus de deux armes automatiques, trois chargeurs dotés de munitions et des téléphones portables.
Les investigations ont permis d’identifier les autres membres de la bande, en l’occurrence C.T et Z.L, en plus de la découverte, le lendemain, d’un autre véhicule tout terrain dissimulé dans une palmeraie de Meraguène (Adrar), à bord duquel se trouvait une quantité de 264 kg de drogue, appartenant aux membres de la bande criminelle et présentant des impacts de balles.
Le représentant du ministère public a requis la peine à perpétuité pour l’ensemble des mis en cause.
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TIPASA – La majorité des commerçants du centre-ville de Tipasa ont fermé boutique lundi pour protester contre le « maintien » par l’Assemblée populaire communale (APC) du nouveau plan de circulation de la ville, entré en service depuis le début de la saison estivale écoulée, au motif que celui-ci « nuit » à leur activité.
Selon des échos recueillis par l’APS auprès de commerçants protestataires, ces derniers sont entrés en grève pour protester contre une vidéo mise en ligne, dernièrement, sur les réseaux sociaux, dans laquelle le P/APC, Kouider Kidji, affirme le « maintien du nouveau plan de circulation de la ville », en se contentant d’y introduire « quelque correctifs ».
La commune de Tipasa avait lancé, l’année dernière, une consultation nationale en vue d’un nouveau plan de circulation visant une meilleure fluidification du trafic au sein de la ville.
Avec la mise en œuvre de ce plan, la circulation au centre-ville de Tipasa va dans un sens unique en partant de son entrée-Est, puis le boulevard 1 er novembre, jusqu’au siège du groupement territorial de la Gendarmerie nationale, avant de tourner en boucle vers la gauche, en direction du boulevard de la gendarmerie nationale.
Selon les protestataires, qui ont organisé un sit-in devant le siège de la Radio régionale de Tipasa, avant de se diriger vers le boulevard de la gendarmerie nationale et de fermer l’artère principale, ce nouveau plan serait à l’origine d’un « net recul » de leurs activités commerciales.
Ils ont, également, évoqué un « refus de dialogue » de la part de l’APC qui selon eux, « refuse de prendre en compte leurs préoccupations depuis la mise en œuvre de ce plan en juin dernier », en dépit de « multiples requêtes officielles introduites, qui se sont toutes avérées vaines », regrettent-ils.
Les protestataires ont campé sur leurs positions au niveau de boulevard principal de la ville, jusqu’à la venue du P/APC, qui s’est engagé à « transmettre leur doléance principale au wali de Tipasa ».
Ce mouvement de protestation a causé beaucoup de désagréments aux travailleurs et autres employés et élèves des écoles de la ville, issus pour la plupart des régions avoisinantes, a constaté l’APS.
Selon une source du cabinet du wali, le dossier dit du rejet du plan de circulation par les commerçants de Tipasa ferait l’objet d’un « examen loin de toute pression », considérant que tout projet mis en exploitation est en période expérimentale, avant d’y introduire des correctifs, parallèlement à l’enregistrement de toutes les réserves le concernant, dont celles émanant des citoyens.
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AIN TEMOUCHENT – Des éléments de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’Ain Témouchent ont démantelé un réseau régional de passeurs de candidats à l’émigration clandestine via la mer et arrêté trois de ses membres, a-t-on appris lundi de ce corps de sécurité.
Ce réseau de passeurs opérait à partir des côtes des wilayas de Chlef , Mostaganem, Oran et Ain Témouchent, assurant des traversées clandestines vers les côtes espagnoles.
Six éléments de ce réseau ont été identifiés, dont trois originaires des wilayas de Chlef et Ain Témouchent ont été arrêtées, et les recherches sont en cours pour appréhender les autres membres du réseau, ont indiqué les services de la Gendarmerie nationale d’Ain Témouchent.
L’opération a permis la récupération d’une embarcation de pêche utilisée par ce réseau et les trois mis en cause ont été placés dimanche en détention provisoire par la justice pour émigration clandestine.
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ALGER – Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a été honoré, en marge de la conférence nationale sur « le principe de l’exception d’inconstitutionnalité », ouverte lundi à Alger, pour ses efforts dans l’appui du processus démocratique et l’ancrage des fondements de l’Etat de droit.
Au nom de tous les acteurs du secteur de la justice, l’avocate Nawel Bouras a décerné un « bouclier » au président de la République, reçu en son nom par le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah et le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, précisant que cette distinction intervenait « en reconnaissance des efforts consentis par le Président Bouteflika dans l’appui du processus démocratique et l’instauration de l’Etat de droit ».
Cette distinction « vient couronner ses efforts incessants en matière de protection des droits de l’Homme et de consolidation des libertés fondamentales », a ajouté l’intervenante dans une allocution prononcée à cette occasion.
Ce geste se veut également « une reconnaissance du rôle actif du chef de l’Etat en vue d’éteindre le feu de la fitna, de rétablir la sécurité, la sérénité et la stabilité, à la faveur de l’initiative de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale qui a permis à l’Algérie de se repositionner sur la scène internationale », selon la représentante du secteur.
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Tout a débuté en 2013, l’année où le trafic d’or s’est répandu d’une manière très alarmante dans le grand Sahara, où les mines d’or « fantômes », voire inexploitées par les autorités du pays, à défaut de trouver un bon partenaire étranger, sont régulièrement visitées par les chasseurs d’or. Les orpailleurs, de nationalités différentes, ont débarqué aux frontières algériennes dans le but d’accaparer l’or algérien. Munis de moyens sophistiqués : véhicules 4X4, téléphones satellitaires, marteaux-piqueurs, jumelles infrarouges, détecteurs de métaux précieux, groupes électrogènes et même, parfois, armes de guerre, les orpailleurs n’ont peur de rien.
Avec un peu plus de 176 tonnes d’or, l’Algérie occupe la 25e place mondiale et la 3e des pays arabes, selon le dernier classement du Conseil mondial de l’or (CMO) de février 2018. En Afrique, l’Algérie occupe la première place devant l’Afrique du Sud (29e), la Libye (31e), le Maroc (59e) et la Tunisie (77e). Les réserves souterraines d’or de l’Algérie sont estimées à plus de neuf milliards de dollars.
Devant tant de richesses, les orpailleurs, par milliers, ne profitent pour en faire un trafic organisé, à travers la grande ruée vers l’or du désert algérien. A Djanet, au Hoggar, à Tamanrasset et ailleurs les mines d’or inexploitées jusqu’à ce jour, à défaut de trouver un bon partenaire étranger, fascinent les chasseurs d’or venus de plusieurs pays africains et même au-delà. Fort heureusement, la présence des troupes de l’Armée nationale populaire (ANP) au niveau des frontières a permis d’arrêter, entre 2013 et 2018, plus de 5 000 orpailleurs étrangers et locaux. Pas plus loin qu’avant-hier, des détachements de l’ANP ont intercepté à Tamanrasset, In Guezzam et Djanet 36 orpailleurs et saisi six véhicules de type 4X4, 18 groupes électrogènes, 14 marteaux-piqueurs, un appareil de détection de métaux et un téléphone satellitaire. C’est ce qu’a annoncé le ministère de la Défense dans un communiqué. Ce genre de pillage est devenu quotidien et les chasseurs d’or, semblent déterminés à mettre leur vie en péril pour le précieux métal jaune algérien. Dans certaines régions du pays, les pépites d’or, très brillantes, sont visibles au premier coup d’œil ; elles peuvent être extraites à seulement une cinquantaine de mètres sous terre. Devant cette possibilité inespérée offerte, les orpailleurs ont investi dans le trafic d’or visant particulièrement l’Algérie.
Originaires de plusieurs nationalités, notamment des Soudanais, des Libyens, des Maliens ou encore des Nigériens, des Ivoiriens, des Tchadiens, et bien d’autres, avec la complicité des trafiquants d’or algériens, ils font l’objet d’une grande chasse à l’homme lancée par les forces de l’ANP et des GGF depuis l’apparition de ce fléau criminel. Les mines isolées du désert algérien font l’objet d’un grand envahissement par des trafiquants de divers horizons, et pour cause : de l’or enfoui sous terre se trouve en grandes quantités. La nouvelle s’est propagée comme une traînée de poudre dans les milieux des trafiquants africains, allant jusqu’au nord-est de la mer Rouge, le Soudan. Pour la seule période de 2014 à 2017, les différents détachements de l’ANP, appuyés par les GGF de la Gendarmerie nationale, ont arrêté plus de 3 000 trafiquants d’or, en flagrant délit d’extraction dans les mines. Rien qu’en 2017, les forces de l’ANP ont arrêté 516 orpailleurs et saisi 476 détecteurs de métaux, en plus de 668 groupes électrogènes et 520 marteaux-piqueurs et plus de 900 véhicules utilisés par les trafiquants. L’année d’avant, soit en 2016, le bilan des arrestations de pilleurs d’or a battu tous les records. Selon le ministère de la Défense, 1977 orpailleurs, dont la plupart (1274) sont de nationalités africaines, ont été arrêtés. En outre, les forces de l’Armée ont saisi 18 armes de guerre en possession des
orpailleurs. Ces derniers étaient équipés de 1722 détecteurs de métaux en plus d’un grand nombre de groupes électrogènes et de marteaux-piqueurs, de 170 véhicules tout-terrain et de 65 motos utilisés par les trafiquants dans leurs déplacements vers d’autres pays frontaliers. A Tamanrasset, In Guezzam, Bordj Badji-Mokhtar et dans d’autres régions du Sud, des milliers de trafiquants algériens, subsahariens, soudanais, tunisiens, égyptiens, libyens ont investi les mines où ils arrivent souvent à voler des pépites du précieux métal jaune, à l’aide de détecteurs de métaux précieux, avant de les transférer hors du pays, voire jusqu’à Israël. Un nouveau fléau qui rapporte beaucoup d’argent aux trafiquants. Après le trafic de drogue, le trafic d’humains et la contrebande, voilà que le Sud du pays connaît, désormais, le trafic d’or.
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ALGER – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar a reçu ,lundi à Alger, les deux chercheurs internationaux en mathématiques, Cédric Villani et Ngô Bao Châu qui effectuent une visite en Algérie.
Cette audience qui a eu lieu au siège du ministère a constitué « une opportunité d’examiner les voies et moyens à même de consolider et promouvoir la coopération dans le domaines de la formation en mathématiques, qui connait un progrès notable », a souligné M. Hadjar dans une déclaration à la presse.
« La visite des deux chercheurs en Algérie tends à diffuser la connaissance en milieu universitaire, en premier lieu, à travers la tenue d’une série de conférences et à tirer profit de l’expérience des deux chercheurs qui ont obtenu des prix mondiaux dans le domaine des mathématiques », a-t-il ajouté. Cette visite vise également, poursuit le ministre, à diffuser la connaissance au grand public, notamment en ce qui a trait au domaine des mathématiques dont les applications rendent de grands services à l’humanité « .
A son tour, le chercheur M. Villani, a précisé que sa visite aux différents établissements d’enseignement des mathématiques en Algérie, a pour but d’informer « les étudiants et les personnes intéressées des nouveautés survenant dans le domaine de la Recherche scientifique spécialisée en la matière (mathématiques), au niveau international, outre l’examen des défis auxquels est confrontée l’enseignement de cette matière, devant le progrès technologique, ainsi le rôle des mathématiques dans la promotion de l’humanité ».
M. Ngô Bao Châu, s’est félicité, pour sa part, de « l’intérêt » que portent les autorités algériennes à l’enseignement des mathématiques, faisant part à cet égard, de sa gratitude de l’accueil qui lui a été réservé depuis sa présence en Algérie. Cette audience a été rehaussée par la présence de membres de la famille du mathématicien, enseignant à l’université d’Alger et le militant de la Guerre de libération nationale, Maurice Audin.
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TIZI-OUZOU – Une étude de dépistage du VIH/Sida sera lancée en janvier prochain par le ministère de la Santé et de la Population et de la Réforme hospitalière auprès des populations subsahariennes présentes en Algérie, a indiqué lundi à Tizi-Ouzou Sidmohand Hakim, chargé du programme IST-VIH auprès du ministère.
Intervenant à l’ouverture d’une journée de sensibilisation sur le SIDA organisée par le CHU Nedir Mohamed, le représentant du ministère de la Santé a souligné que cette étude qui sera réalisée en collaboration avec d’autres organismes et départements ministériels « n’incrimine en rien cette population de migrants dans la propagation de l’épidémie » et vise à « mesurer le degré de connaissance et de conscience de ce virus chez cette population ».
Elle se décline, a-t-il expliqué, « en deux volets essentiels dont le premier consistera justement à mesurer le degré de connaissance de cette épidémie chez ces populations et le second à réaliser des tests de dépistage sérologiques » avec, a-t-il dit, le « plein consentement » des personnes atteintes.
S’agissant de la situation épidémiologique du VIH en Algérie, M. Sidmohand a relevé qu’elle « se caractérise par une épidémie de type peu active avec une prévalence faible, inférieure à 0.1% dans la population générale, mais concentrée au niveau des populations vulnérables au risque VIH/sida ».
Révélant à l’occasion que l’Algérie compte « 12 083 cas de séropositifs et SIDA compris, dont 33 nouveaux cas de Sida et 538 nouveaux cas de séropositifs ont été enregistrés depuis le début de cette année », le chargé du programme IST-VIH a souligné que le pays reste, néanmoins, parmi les nations ayant « réussi à freiner la progression de la maladie grâce au traitement gratuit et anonyme qu’offre le programme national de lutte contre ce virus ».
Un programme, a-t-il précisé, qui « applique les orientations du programme adapté par l’OMS et l’ONU Sida qui vise à éliminer le VIH comme problème de santé à l’horizon 2030 et qui a permis de circonscrire la propagation du virus dans certains milieux et à maintenir son état de progression à l’état stationnaire ».
Dans ce sillage, « une campagne de dépistage vient d’être lancée au niveau de 15 wilayas, situées pour la plupart d’entre elles dans l’Est du pays, qui ont été sélectionnées selon la prévalence de ces IST », a-t-il indiqué, ajoutant que ces campagnes « ont connu une nette accélération depuis 2015 avec l’introduction de la technique du test rapide qui a permis la réalisation de 1 200 000 test en 2017 ».
Ces tests « gratuits et anonymes » sont réalisés au niveau des 60 centres de dépistages éparpillés à travers le territoire national avec un centre au minimum par wilaya. Les malades sont pris en charge et traités dans 15 centres de références dotés d’un personnel spécialisé.
Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, la situation épidémiologique est caractérisée par « 174 cas dont 127 séropositifs et 47 cas de sida avérés, cinq (05) nouveaux cas de séropositifs et un (01) cas de Sida ont été enregistrés de janvier 2018 au 30 septembre dernier », a indiqué docteur Toudeft Fadila, chef de service prévention au niveau du CHU.
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C’est lors du conseil de wilaya que le problème des dettes fut soulevé par le Directeur de la SDO, et dont le montant de la dette est de 39 milliards de centimes pour les APC de la wilaya et 37 milliards de centimes pour certaines administrations publiques. En ce sens , le wali est intervenu et a instruit les APC de régler leurs factures avant le 2O décembre 2O18 pour permettre à l’entreprise de faire face à ses obligations, la SDO a plusieurs projets en cours de réalisation et sans le reglement des factures qui se chiffrent en milliards de centimes , elle ne peut répondre à la demande de ses abonnés.
B.Boufaden
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Dans un entretien au journal en ligne Dzair Tube, le docteur et chercheur en archéologie a l’université de la Sorbonne M. Younes Rezkallah a décrit la récente découverte à Setif de galets en calcaire et en silex taillés datant de 2.4 millions d’années, d’un bond en avant dans l’étude de la civilisation humaine et d’une grande modernisation des concepts qui prévalaient jusqu’a maintenant.
Cette découverte contient des informations importantes sur l’homme qui a vécu dans la région, de son environnement, de son mode de vie, et de sa culture et ses animaux, et ce, depuis 2,4 millions d’années.
Rappelons que les travaux de l’équipe dirigée par M. Sahnoun, publiés dans la prestigieuse revue Science indiquent que « Les outils en pierre taillée, découverts en Algérie, remontent à 2,4 millions d’années, ils sont bien plus anciens que ceux trouvés dans cette région jusqu’à présent », cela pourrait remettre en cause l’Afrique de l’Est comme berceau unique de l’humanité.
Le professeur Rezkallah est archéologue et archéomètre, chercheur Associé à l’universite de la Panthéon-Sorbonne, ou il exerce depuis plus de 10 ans.
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Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a reçu, lundi à Dubaï, le Prix d’excellence et mention d’honneur des pionniers arabes des réseaux sociaux dans la catégorie « politique » pour l’année 2018.
Organisée par le Club de presse de Dubaï, cette édition est placée sous le haut patronage du Cheikh Mohamed Bin Rached Al Maktoum, vice-président des Emirats arabes unis et président du Conseil des ministres et gouverneur de Dubaï.
Lors de cette cérémonie, Mme Mouna Ghanem Al Meri, présidente du comité d’organisation du sommet arabe des réseaux sociaux, a salué la qualité du compte twitter du ministre Abdelkader Messahel, mettant en exergue notamment la densité et la qualité de l’information qu’ils véhiculent, la créativité qui le caractérise et l’engagement qui y se manifeste à l’échelle du réseau Twitter en utilisant trois langues à savoir l’arabe, le français et l’anglais comme vecteurs de communication.
حصلت اليوم على جائزة رواد التواصل الاجتماعي العرب في فئة السياسة، و هو تكريم يعكس جهود #الجزائر في تشجيع الإعلام و التجاوب مع متطلبات العمل الدبلوماسي الحديث خاصة في شقه المتعلق باستعمال شبكات التواصل الاجتماعي #arabsmis @DubaiPressClub pic.twitter.com/1Rau5ZXG8m
— Abdelkader Messahel (@Messahel_MAE) 10 décembre 2018
Le prix des autres catégories étaient attribués, entre autres, à la mosquée de Cheikh Zayed (tolérance), à l’université saoudienne Nora Bent Abderrahmane (enseignement) et à Cheikh Hazza bin Zayed Al Nahyan, vice-président du conseil exécutif d’Abou Dhabi dans la catégorie « secteur gouvernemental ».
En outre, une mention d’honneur est également décernée à Cheikh Rached El Naimi, président du conseil exécutif d’Ajman, à la reine Rania de Jordanie et au prince Ali Ben Hussein de Jordanie.
Le Prix des pionniers arabes des réseaux sociaux permet de reconnaître le caractère exceptionnel du rôle de premier plan que jouent les lauréats choisis dans les différentes catégories par leur interaction positive au service de la promotion de l’image des pays arabes à l’échelle régionale et internationale.
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Une personne est décédée et une autre a été blessée dans une collision entre un véhicule de tourisme et un camion survenue sur la RN 100, dans la commune de Chelghoum Laid (Sud de Mila), a-t-on appris lundi auprès des services de la Protection civile.
L’accident s’est produit plus exactement dans la mechta de Bekhbakha, située dans ladite localité, provoquant la mort sur place du conducteur du véhicule âgé de 48 ans et des blessures, à divers degrés, à une personne âgée de 33 ans, ont indiqué les mêmes services.
Les deux victimes ont été transportées par les éléments de ce corps constitué vers l’hôpital de la commune de Chelghoum Laid, a ajouté la même source, précisant que le véhicule de tourisme a été complétement endommagé, tandis que seul l’avant du camion a été touché.
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Les manifestations du 11 décembre 1960, parties du quartier Mohamed Belouizdad (ex Belcourt) avant d’atteindre plusieurs autres parties d’Alger, ont été le fait d’Algériens, de tous âges, ayant défié courageusement, à mains nues, l’armée coloniale pour réclamer haut et fort, et au prix de leur vie, l’indépendance de l’Algérie, selon des témoins qui ont vécu ces évènements.
« En réalité, c’est la veille, le 10 décembre, que les événements ont débuté. Je me trouvais à proximité du centre commercial (ex-Monoprix) lorsque nous aperçûmes des partisans de l’Algérie française qui venaient d’initier une marche, sur fond de la visite entamée, la veille en Algérie, par le Général de Gaulle », se souvient, El Hadj Noureddine Benmeradi, plus connu dans le quartier Mohamed Belouizdad par le prénom de son défunt père, Bennacer, dirigeant à l’époque du club de football le « Widad de Belcourt », devenu le Chabab Riadhi de Belcourt dés 1962.
« Tout en scandant des slogans hostiles à la solution d’une Algérie algérienne, ces ultras ne manquaient pas de nous insulter. Je me souviens que l’un des voisins du quartier, Ammi Said Adim, réputé pour être un inconditionnel nationaliste, les a défiés en répliquant à leurs propos », poursuit le témoin.
Pour éviter un affrontement entre les deux communautés, « les pieds noirs ont été conduits par la police au commissariat, dirigé alors par un certain capitaine Bernard. Cela ne nous a pas empêchés de poursuivre notre marche et de lancer des slogans… jusqu’au moment où l’on entendit une voix clamer Algérie musulmane et Algérie algérienne », se souvient-il encore.
Ces slogans clamés, pour la première fois, ont eu l’effet de motiver davantage la foule qui, tout en avançant grossissait, pour atteindre l’un des magasins du quartier, celui d' »André » pour chaussures et dont la vitre a volé en éclats, sous la colère populaire, poursuit-il, narrant, par ailleurs, la mise à feu du dépôt en plastique de l’ex-Monoprix.
« La vue de la fumée nous a impressionnés tous et c’est à ce moment que les militants du Front de libération nationale (FLN) sont intervenus pour nous remettre des rouleaux entiers de tissus pour en confectionner des emblèmes nationaux, en prévision d’une manifestation de plus grande ampleur le lendemain », poursuit M. Benmeradi.
Ce dernier s’interroge à ce jour « d’où sont sortis ces rouleaux de tissus sur lesquels se sont penchées, toute la nuit, les couturières pour que les drapeaux soient prêts le jour J? ».
Le fait est que le lendemain, les manifestants de la veille ont reconduit leur action pour être rejoints par des centaines d’autres jusqu’à ce qu’elle fasse tache d’huile dans d’autres quartiers de la capitale, se remémore-t-il encore, s’arrêtant, avec une forte charge émotionnelle, sur l’image de la petite Saliha Ouatiki, 12 ans, tombée sous les balles meurtrières des forces de répression françaises, car figurant dans le premier rang des contestataires.
« Le jeune homme qui a pris sur ses épaules la petite Saliha pensait que le sang qui giclait de la poitrine de celle-ci était le sien. Il n’avait pas encore réalisé que la fillette avait été touchée », raconte-t-il, avant de soutenir que les manifestations se sont poursuivies les jours d’après.
« Depuis, les Français ont fini par comprendre, une fois pour toutes, que le peuple algérien était du côté du FLN », assène-t-il avec conviction.
Des scènes encore vivaces…
Dans la mémoire de Mahmoud Boussoussa, également présent lors des ces manifestations, demeurent aussi vivaces qu’il y a 58 ans, deux images: l’une d’elles, détaille-t-il, est celle d’une fillette, portée sur les épaules d’un jeune homme et brandissant le drapeau national, en ce dimanche, jour de repos, choisi par les Algériens pour manifester dans la rue.
« A un certain moment, les bérets rouges ont visé d’une balle son thorax et bien qu’une ambulance soit vite arrivée, la fillette ne tarda pas à rendre l’âme », ajoute-t-il, avant de préciser, la gorge nouée par l’émotion, qu’il s’agissait de la Chahida Saliha Ouatiki.
Il a fait ensuite état de la colère, la douleur et la tristesse qui se sont vite emparées de tous les manifestants présents à la suite de cet « acte criminel », citant en particulier deux femmes qui pleuraient en criant leur rage: « la pauvre, la pauvre ! ». Ce tragique fait a eu lieu, se souvient-il, au niveau de la ruelle appelée à l’époque « L’allée des mûriers », à quelques mètres dudit « Monoprix ».
Outre Saliha Ouatiki, M. Boussoussa, qui a été journaliste à El-Moudjahid, tient à évoquer une autre martyre des événements de Belcourt, Hamida Neguale (19 ans), alors que le petit Farid Maghraoui, âgé à peine de 10 ans, tombait au champ d’honneur à Diar El Mahssoul (El-Madania), ce même jour.
« Ces enfants venaient de rejoindre la longue liste des martyrs de la Révolution », a-t-il ponctué avant de partager l’autre souvenir qui continue à le marquer: celui auquel il a assisté, également en ce 11 décembre, à la Place Maurétania où siégeait, à l’époque, la compagnie Air France.
Bien que la marche était pacifique et les manifestants mains nues, les colons se sont empressés de tirer « à bout portant » au moyen de munitions procurées du Commissariat central, sis à proximité, a-t-il déploré, rappelant que cette confrontation s’est soldée par quelques 380 martyrs et 800 autres blessés parmi les Algériens.
Il exprime, à ce propos, son « indignation » quant au bilan avancé, à l’époque, par les médias français qui ont réduit à 55 le nombre d’Algériens morts.
Lorsqu’il a été convié, cette semaine, par l’association Machaâl Echahid pour apporter son témoignage sur ces historiques événements, il a préféré le consigner dans un écrit qu’il a intitulé « La détermination d’un peuple », avant de le lire à l’assistance.
Ayant également pris part à cette mémorable journée du 11 décembre, Tafath Assia, alors âgée de 15 ans, se remémore cette journée particulière où elle est sortie « spontanément » avec des voisins de son quartier d’El-Mouradia (ex-Le Golfe) pour se joindre aux manifestants de Belcourt.
« Ma mère criait après moi pour que je revienne à la maison mais j’étais déterminée à continuer sur ma lancée. Elle a été contrainte de me suivre après avoir, précipitamment, jeter sur elle son haïk (voile) », témoigne cette septuagénaire, photos à l’appui de sa présence sur les lieux des faits, investis par ailleurs par le reste de sa famille.
« Comme il nous a été impossible de rejoindre le quartier de Belcourt depuis le Golfe en raison de la forte présence des forces de sécurité coloniales, nous y sommes parvenus via celui d’El-Madania, raconte-t-elle, décrivant les « scènes impressionnantes » ayant opposé manifestants algériens et forces de sécurité coloniales .
Elle aussi, ce sera la petite Saliha Ouatiki qui marquera sa conscience, se souvenant l’avoir « vue en sang », avant de nous donner à voir une photo de la petite martyre brandissant le drapeau national, quelques minutes avant qu’elle soit atteinte par les salves nourries ciblant la foule compacte des protestataires. Elle fait, en outre, savoir que le jeune homme se tenant à côté de la jeune chahida n’est autre que son frère Aziouez, âgé aujourd’hui de 77 ans.
Ces bribes de témoignages, aussi partielles soient-elles, illustrent la volonté d’un peuple à en découdre définitivement avec les chaînes de la répression coloniale, alors que la violence policière avec laquelle ont été matés les manifestants a fini par retentir sur la scène internationale.
Portée ainsi jusqu’à l’enceinte de l’Organisation des Nations unies (ONU), la cause algérienne a, depuis ce 11 décembre 1960, interpellé la communauté internationale et mobilisé toutes les voix, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, en faveur du droit des Algériens à l’autodétermination.
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La sélection nationale féminine de handball s’est inclinée face au Congo (24-22), ce lundi à Brazzaville, en match de classement de la 23e édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2018).
Visiblement, la raclée prise dimanche face à l’Angola (41-17), en quarts de finale du tournoi, a laissé beaucoup de séquelles dans les rangs du Club Algérie. En effet, les Algériennes n’ont pas réussi à se remotiver pour aller chercher cette 5e place.
Face au pays hôte, le Sept National a raté le coche en première mi-temps. Les camarades de Sihem Hemissi avaient le match en main durant les 20 premières minutes, en comptant 3 buts d’avance, avant de voir leur adversaire du jour égaliser puis repasser devant avant la pause (16-14).
Durant la seconde période, les Congolaises ont su conserver leur petite avance pour empocher un nouveau succès dans cette compétition (24-22). Une victoire qui leur permet de rester en course pour la 5e position.
Lors du premier match de classement, entre le 5e et le 8e rang, la Tunisie a pris le meilleur sur la Guinée en s’imposant sur le score de 30 buts à 26.
Après avoir raté leur objectif, qui était de finir 5e du tournoi, les protégées de Abdelkrim Bendjemil auront l’occasion de sauver les meubles ce mardi (15h00). Pour sa dernière sortie, l’Algérie jouera la Guinée et tentera de terminer sur une bonne note.
Mohamed Kermia
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La Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) d’Oran organisera la 7ème édition du Salon national des industries traditionnelles du 26 décembre courant au 1er janvier prochain, a-t-on appris, lundi, du président de cette institution, Ferhat Boukhari.
Entre 150 et 200 artisans représentant 35 wilayas de différentes régions du pays vont prendre part à cet événement, a indiqué à l’APS M. Boukhari, ajoutant que le choix de cette période précise pour l’organisation du salon vise à assurer « un afflux important des visiteurs car, coïncidant avec les vacances scolaires d’hiver ».
Le salon, qui aura pour théâtre le Centre d’artisanat sis à Haï Essabah dans la commune de Sidi Chahmi, permettra aux participants de faire connaitre et de commercialiser leurs produits, selon le même responsable qui a souligné l’importance de maintenir cette tradition annuelle « qui encourage la promotion des différents produits des artisans activant dans ce domaine, à l’image des spécialistes de la céramique et la poterie ».
Cet événement, placé sous le patronage du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, s’inscrit également dans le cadre des efforts du ministère pour promouvoir l’activité artisanale, faisant partie du patrimoine culturel, ainsi que l’échange d’expériences entre artisans de divers domaines et spécialités, souligne-t-on de même source.
L’occasion sera propice également pour les habitants d’Oran et les touristes nationaux de passage dans la capitale de l’ouest du pays, en cette période de vacances, pour découvrir la richesse de l’artisanat algérienne et la diversité de ses produits.
Ce salon permettra de jauger le niveau atteint par cette industrie dans le pays, a conclu le président de la CAM.
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