Balkans Occidentaux

Le scandale continue en Albanie. Le 8 novembre, 102 conteneurs ont été déchargés dans le port de Durrës. Le navire serait rempli de 2000 tonnes de déchets toxiques destinés à un trafic d'import/export. Les autorités assurent avoir la situation sous contrôle mais habitants, associations et partis d'opposition exigent des réponses.

Le scandale continue en Albanie. Le 8 novembre, 102 conteneurs ont été déchargés dans le port de Durrës. Le navire serait rempli de 2000 tonnes de déchets toxiques destinés à un trafic d'import/export. Les autorités assurent avoir la situation sous contrôle mais habitants, associations et partis d'opposition exigent des réponses.

Le maire d'un quartier d'Istanbul a été arrêté le 30 octobre pour des liens présumés avec le PKK. Trois autres édiles, membres du parti pro-kurde (DEM), ont connu le même sort dans le sud-est du pays. Ces inculpations questionnent sur la stratégie du gouvernement à l'égard de la minorité kurde. Reportage.

Rencontrez Patricia Morosan et Bianca Oana et découvrez leur dernier livre Télépoétique– Pratique d'intimité à distance, un projet littéraire hybride (textes et images) qui expérimente la communication à distance. Le livre reprend aussi le texte Télépathie de Jacques Derrida.
Publié par les Editions sun/sun de Montpellier avec des textes en français, anglais et roumain.
Inspiré par la profonde compréhension de Derrida selon laquelle le transfert télépathique concerne, dans un sens, (…)

Théâtre Studio
16 rue Marcellin Berthelot
94140 Alfortville
Plus d'info ici

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Muzeu Kombëtar i Fotografisë Marubi
Rruga Kolë Idromeno, nr. 32
4001 Shkodër-Albania
+355 22 400 500
www.marubi.gov.al

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4001 Shkodër-Albania
+355 22 400 500
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De plus en plus critiqué après quatorze mois à la tête de Syriza, Stéfanos Kasselákis a décidé de claquer la porte et lancer son propre parti. La descente aux enfers continue pour le parti de gauche qui risque maintenant de perdre son titre de principale force d'opposition au parlement.

Malgré la déclassification des archives de la Sigurimi, l'ancienne police secrète albanaise, l'histoire de la communauté LGBTQIA+ sous le régime communiste reste négligée. Deux témoins partagent leurs souvenirs. Récit.

Malgré la déclassification des archives de la Sigurimi, l'ancienne police secrète albanaise, l'histoire de la communauté LGBTQIA+ sous le régime communiste reste négligée. Deux témoins partagent leurs souvenirs. Récit.

Animation Christelle Capo-Chichi – conférence illustrée – tout public
En compagnie de Sylvain Guyot et sa famille, découvrez de manière sensible et poétique les treize massifs montagneux grecs. Géographie, cartographie, histoire, mythologie, randonnées à expérimenter, et portraits d'habitant-e-s des montagnes grecques sont au programme de ces itinérances estivales, mais aussi hivernales, dans les hautes terres de Grèce.
Sylvain Guyot est géographe à l'Université Bordeaux Montaigne/CNRS, (…)

C'est l'Albert Londres de Roumanie. Des lépreux de Bessarabie au pogrom de 1941 à Bucarest, en passant par l'île turque d'Ada Kale et les juifs du Maramureș, F.Brunea-Fox décrit comme personne la Roumanie de l'entre-deux-guerres. Guillaume Balout a traduit en français ce pionnier roumain du grand reportage. Entretien.

Le MUBI Fest, qui devait se tenir du 7 au 10 novembre à Istanbul, a été annulé par les organisateurs en réaction à l'interdiction de diffuser le film Queer. Une censure que le gouvernement turc justifie par « la menace sécuritaire », tandis que le festival dénonce une atteinte à la liberté d'expression et artistique.

Nous célébrons cette année les 140 ans depuis la naissance de Panaït Istrati, ce conteur roumain devenu écrivain français. Sa personnalité a profondément marqué ceux qui ont croisé sa route.
« Roumaine par ses racines, française par sa forme, universelle par son caractère foncièrement humain, l'œuvre d'Istrati, à l'image de ses haïdoucs, bandits des Balkans, n'a cessé de se heurter aux cadres établis. » (Monique Jutrin)
Ce colloque, organisé par l'Association des Amis de Panaït Istrati, (…)

Entre 2018 et 2020, 19 000 personnes seraient mortes de la pollution émise par les centrales thermiques au charbon dans les Balkans occidentaux, selon les estimations de Bankwatch. Mais les autorités usent de différentes tactiques pour esquiver le problème et continuer à exploiter cette énergie sale mais peu chère.

Entre 2018 et 2020, 19 000 personnes seraient mortes de la pollution émise par les centrales thermiques au charbon dans les Balkans occidentaux, selon les estimations de Bankwatch. Mais les autorités usent de différentes tactiques pour esquiver le problème et continuer à exploiter cette énergie sale mais peu chère.

Entre 2018 et 2020, 19 000 personnes seraient mortes de la pollution émise par les centrales thermiques au charbon dans les Balkans occidentaux, selon les estimations de Bankwatch. Mais les autorités usent de différentes tactiques pour esquiver le problème et continuer à exploiter cette énergie sale mais peu chère.

Entre 2018 et 2020, 19 000 personnes seraient mortes de la pollution émise par les centrales thermiques au charbon dans les Balkans occidentaux, selon les estimations de Bankwatch. Mais les autorités usent de différentes tactiques pour esquiver le problème et continuer à exploiter cette énergie sale mais peu chère.

Entre 2018 et 2020, 19 000 personnes seraient mortes de la pollution émise par les centrales thermiques au charbon dans les Balkans occidentaux, selon les estimations de Bankwatch. Mais les autorités usent de différentes tactiques pour esquiver le problème et continuer à exploiter cette énergie sale mais peu chère.