Par Slimane SEBA
Cette édition verra la participation de nombreux opérateurs nationaux, publics et privés.
Après une éclipse de quelques années, «le Salon des vacances, des loisirs et bien-être» reprend du service. Cette 3ème édition est prévue, selon les organisateurs, du 10 au 13 avril 2019 au Palais des expositions des Pins maritimes, à Alger.
Considéré comme un carrefour de rencontres et d’opportunités entre les professionnels nationaux et étrangers d’une part et ces derniers avec le grand public dans ses recherches de voyages, le Salon est organisé par l’agence de communication Interexpo depuis 2010.
Cette édition verra la participation de nombreux opérateurs nationaux, publics et privés, qu’ils soient de l’hôtellerie, voyagistes ainsi que de tous les métiers qui gravitent autour de l’activité touristique et qui concourent au bien-être de façon générale.
Quoique des exposants étrangers soient au programme, le thème central sera consacré au tourisme domestique. Les conférences et autres rencontres qui sont prévues dans ce cadre tenteront de répondre à la problématique du tourisme national ou comment hisser l’offre touristique nationale à la hauteur de la demande en matière de vacances, de loisirs et de bien-être.
Bien que des efforts notables aient été fournis par les institutions publiques pour le développement du tourisme, ce dernier peine à satisfaire les aspirations des Algériens pour des vacances décentes. Le tourisme balnéaire reste en deçà des besoins en qualité et en quantité. Quant au tourisme saharien, il reste difficilement accessible et il est plutôt d’une vocation d’excellence.
L’ultime alternative des Algériens sera le cap vers d’autres pays et en particulier la Tunisie, la destination phare. Le thermalisme aura la part du lion dans cette édition. Il fera valoir tous les acquis réalisés dans ce domaine et notamment les différentes actions engagées par le Groupe HTT pour la modernisation des stations thermales à travers le pays. Les loisirs des Algériens seront également au rendez-vous. Cette manifestation mettra en valeur, à coup sûr, toutes les initiatives prises en matière de réalisations de parcs d’attractions, à travers les différentes wilayas au profit des familles algériennes.
Le «Salon des vacances, des loisirs et du bien-être» permettra, par ailleurs et à coup sûr, un coup d’accélérateur à la préparation de la prochaine saison estivale. Celle de l’année en cours outre d’avoir confirmé la montée crescendo de la demande de séjours touristiques des Algériens, a été entachée par quelques événements malheureux dans quelques plages algériennes et des déboires auxquels ont été confrontés quelques groupes de touristes algériens dans certains hôtels balnéaires tunisiens.
Le mois d’avril, date du déroulement du «3ème Salon des vacances, des loisirs et du bien-être» sera le mois propice pour débattre des enjeux des vacances des Algériens et des offres de séjours de santé et de bien-être tout en tirant les enseignements de la saison 2018, afin d’en consolider les points forts et d’en éviter les aspects négatifs.
Il offrira une opportunité indéniable pour prendre connaissance de toutes les offres disponibles, autant en Algérie qu’à l’étranger.
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Par Hasna YACOUB
Ce drame familial s’est déroulé la semaine dernière à Ali Mendjeli, dans la daïra d’El Khroub. Un jeune d’une trentaine d’années et dont on ignore encore le mobile, a jeté de sang-froid sa belle-mère du 4ème étage. Le trentenaire serait passé à l’acte à la suite d’une violente dispute familiale l’opposant à sa victime, âgée d’une cinquantaine d’années. Le jeune homme, comme habité d’une folie meurtrière, va d’un geste regrettable, pousser la femme du haut de son balcon. La victime décédera quelques minutes plus tard, à la suite de ses graves blessures. Alertés par les voisins, les éléments de la police judiciaire vont, lors d’une enquête minutieuse sur les lieux du crime et grâce également aux témoignages des voisins, récolter de nombreux indices et preuves incriminant le mis en cause. Interpellé, le jeune meurtrier, en attendant sa prochaine comparution devant la justice pour répondre de ses actes, a été placé en garde à vue.
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Par Wahida BAHRI
Les opérations de relogement se suivent et se ressemblent à Annaba, dont l’amorce, le 28 août écoulé, a donné lieu à un apaisement sans précédent du front social.
Les efforts des responsables en charge du secteur de l’habitat à Annaba se conjuguent dans le temps et dans l’espace. Le constat renseigne sur la volonté de vouloir réussir la rentrée sociale dans cette wilaya où la contestation citoyenne était des années durant une préoccupation première. Cette année, la rentrée sociale s’annonce sous d’heureux auspices, notamment pour les demandeurs de logements sociaux. Le quota de 7 000 unités de ce segment d’habitations réservé au chef-lieu de la commune de Annaba, a permis à cette dernière de faire une rentrée sociale calme, voire satisfaisante.
Annoncé par les pouvoirs locaux de la wilaya de Annaba, ce quota conséquent et l’affichage des listes des ayants droit, ont été comme un remède pour les bénéficiaires, qui, depuis août 2017, ont pris leur mal en patience. Car, bien que la remise des clés ait mis beaucoup de temps, le fait de se savoir bénéficiaire, leur a donné plus d’aise dans leur patience. Cette dernière, a été bien récompensée avec la remise des clés d’un premier quota de 576 logements à la nouvelle ville de Draâ Errich. Une opération marquée par l’assistance de l’Office de promotion et de gestion immobilière (Opgi). L’installation des premiers habitants de ce pôle urbain intégré a freiné toute équivoque quant aux rumeurs sur l’inachèvement des habitations de ce nouveau pôle urbain. «Nous ne pouvions pas reloger les 7 000 bénéficiaires en même temps, a fait savoir Abdelkrim Benchadi, DG de l’Opgi de Annaba. «Nous travaillons selon un calendrier et un programme. La première opération, a touché 576 bénéficiaires des neuf quartiers de la ville de Annaba», devait préciser notre interlocuteur.
La deuxième opération a touché 3 340 familles occupant des habitations vétustes et menaçant ruine, les quartiers La Colonne, la Vieille ville, El Mahafeur et Sidi Brahim, entre autres. D’autres opérations suivront au fur et à mesure pour toucher l’ensemble des bénéficiaires, comme précisé par le DG de l’Opgi de Annaba, expliquant que toutes ces opérations s’inscrivent dans le cadre d’un programme global portant sur l’attribution de 7 000 unités sociales, dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des citoyens évoluant sur des sites précaires», devait noter notre interlocuteur. Supervisant par lui-même les opérations de tirage au sort et de remise des clés, Abdelkrim Benchadi ne veut rien laisser au hasard, encore moins céder à l’anarchie. C’est pourquoi d’importants moyens humains ont été mobilisées sur le site de Draâ Errich où s’effectue la remise des clés aux bénéficiaires. Des moyens similaires ont également été mobilisés sur le site de Bouhdid, au chef-lieu de la commune de Annaba, au profit des bénéficiaires concernés par les procédures de destruction de leurs anciennes constructions illicites. Cette dernière, comme précisée par le wali de Annaba, lors de la réunion dédiée au dossier des 7 000 logements de la commune de Annaba: «Chaque bénéficiaire d’un logement social, parmi les occupants des constructions illicites, devra signer une décharge attestant la remise de son arrêté et des clés de son logement, puis devra assister à la démolition de sa construction anarchique». Une mesure, selon Mohamed Salamani qui devra freiner le phénomène de la réoccupation des mêmes taudis, par d’autres demandeurs fraudeurs.
Et c’est là un coup de filet dans les clans de la mafia de la construction illicite à Annaba et dans toute la wilaya. Car, faut-il noter, le premier responsable de la wilaya de Annaba, a laissé entendre que cette mesure sera généralisée à travers toutes les communes où prolifèrent les constructions illicites. La démolition de celles-ci et toutes les baraques, est synonyme, selon le DG de l’Opgi de Annaba, d’éradication des bidonvilles du tissu urbain de toute la wilaya.
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La deuxième journée de la rentrée scolaire 2018-2019, dans la wilaya de Tizi Ouzou, a été marquée par plusieurs actions de protestation et d’actions de grève initiée notamment par des parents d’élèves.
Cette situation a été enregistrée dans plusieurs écoles de quelques communes de la wilaya de Tizi Ouzou. C’est le cas de certaines écoles dans les communes de Draâ El Mizan, Makouda, Mkira, Aïn El Hammam, Ait Yahia Moussa, Ainsi, dans la commune de Mkira (daïra de Tizi Ghennif), ce sont les élèves de l’école primaire «Mohammed Fodhil» du village Taka qui n’ont pas renoué avec les bancs de l’école à l’occasion de la rentrée scolaire. La décision de boycotter la rentrée des classes a été prise par les parents d’élèves. Ces derniers, organisés sous la houlette du comité de village, se sont réunis la veille de la reprise des cours et ont fait un état des lieux de la situation qui prévaut dans l’école où sont scolarisés leurs enfants. L’état de l’école est tellement vétuste que la scolarité en devient impossible, déplorent les parents d’élèves. Ces derniers évoquent, entre autres anomalies, le fait qu’un nouveau bloc de classes promis par les autorités n’est pas encore totalement réalisé. Il s’agit, pour rappel, d’une école ayant été partiellement brûlée suite à un incendie qui s’est déclaré il y a deux années. Absence totale d’eau, manque d’hygiène, mobilier complètement vétuste, etc… C’est le décor désolant qu’offre cette école. Notons qu’au niveau de cet établissement scolaire, l’action du boycott des classes se poursuivra jusqu’à ce qu’une réponse concrète soit apportée aux préoccupations exprimées par les parents. C’est du moins ce que ces derniers ont laissé entendre. La situation n’est pas plus réjouissante à l’école Amar Benallel du village Tazrout de Draâ El Mizan. En effet, les parents ont également retenu leurs enfants à la maison. Les enfants de ce village n’ont donc pas goûté à la joie de la reprise des classes. Les parents ont même observé un sit-in devant l’école. Ici, l’un des problèmes dénoncés, c’est l’absence d’hygiène engendrée par l’indisponibilité de l’eau dans l’établissement scolaire. Des citernes, mal nettoyées, menacent la santé des enfants, expliquent les parents-protestataires. L’absence de ralentisseurs au niveau de la route qui longe l’école est une autre raison de cette colère. Les voitures y circulent à vive allure, ce qui menace la sécurité des élèves. De nombreux autres problèmes sont indexés par les parents comme l’absence de gaz, les conditions de restauration dans la cantine, l’absence de vitres des fenêtres dans les salles… Dans la commune de Makouda, ce sont les élèves de l’école primaire «Akli Babou» du village Attouche qui sont restés cloîtrés chez eux durant les deux premières journées de l’année scolaire 2018-2019 parce que leurs parents en ont décidé ainsi. En effet, ces derniers n’avaient pas d’autre choix que celui-ci pour tenter d’attirer l’attention des responsables concernés sur l’état peu reluisant dans lequel se trouvent les salles de classes de cette école. Les parents d’élèves du village Attouche mettent en avant, pour justifier leur action, plusieurs insuffisances dans l’école du village comme l’absence totale d’hygiène, le manque de matériel, l’état des murs, des fenêtres et des portes des salles de classes complètement détérioré mais aussi et surtout l’absence totale d’eau dans les toilettes de l’école, ce qui met en danger, inéluctablement, la santé des élèves. Notons que des réunions avaient eu lieu, avant la rentrée scolaire, entre les représentants des parents d’élèves d’une part et les autorités locales de l’APC d’autre part afin de dégager des solutions à temps. Ce qui n’a pas pu se concrétiser. Les parents d’élèves n’avaient donc pas d’autre choix que d’avoir recours au maintien de leurs enfants à la maison jusqu’à nouvel ordre. Enfin, au niveau de l’école des frères «Louni» du village Azib El Madjen (commune de Aït Yahia Moussa), les classes ont également été désertées par les élèves.
L’état de délabrement avancé dans lequel se trouvent les salles de classe de cet établissement scolaire est la principale motivation ayant poussé les parents d’élèves à empêcher leurs enfants d’aller à l’école. Notons qu’une enveloppe financière a été dégagée par l’Etat pour lancer les travaux de réfection de cette école, mais ces derniers ont été retardés car les autorités locales peinent à trouver une entreprise qui prendra en charge ces travaux. Et ce sont les élèves qui en payent le prix.
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Les passeurs sont généralement de jeunes femmes ou jeunes hommes qui ne peuvent pas, par leurs professions justifier de telles sommes d’argent.
Les affaires liées aux transferts illicites de capitaux sont revenus au-devant de la scène ces derniers jours. Il ne se passe pas un jour, sans que l’on ne découvre dans les bagages de voyageurs à destination de Tunisie, Dubai ou Turquie d’importantes sommes en devises. Les sommes saisies par les services de la police des frontières et la douane, amènent à penser que ce ne sont pas de simples transferts «anodins», comme cela a toujours existé dans les ports et les aéroports du pays. Les services des douanes ont l’habitude de prendre des individus, la main dans le sac. La pratique est courante en soi. On retiendra, à titre d’illustration, que pour la seule année 2016 et dans la région de l’Oranie seulement, pas moins de 66 affaires liées aux fuites de capitaux, de devises et d’or, ont été traitées par les services de la direction régionale des douanes d’Oran.
A l’échelle nationale, il est clair que l’on peut multiplier ce chiffre par trois ou quatre. Mais si le phénomène n’est pas nouveau, il est d’une ampleur anormale, ces derniers jours. En plus de la multiplication des saisies dans tous les points de passage, l’importance des sommes objet du trafic tranche nettement avec un usage «personnel» pour un petit investissement à l’étranger ou encore une tentative de soustraire de l’argent au fisc. L’ampleur du trafic est quasi industriel, puisque la valeur des transferts illicites a dépassé, en une seule opération, le million d’euros. Ce n’est donc pas un «petit» trafic, comme il peut se produire n’importe où, mais il s’agit vraisemblablement d’une entreprise bien plus organisée qui semble miser gros pour faire sortir un maximum de devises du pays. Même si les enquêtes diligentées par les services de sécurité restent encore dans le secret des procédures, il reste que l’option d’une véritable maffia qui fonctionne comme les trafiquants de drogue est tout à fait de mise. Et pour cause, dans beaucoup de saisies, le premier constat qui saute aux yeux a trait au profil de la personne prise en flagrant délit de transfert illicite de devises. Ce sont généralement de jeunes femmes ou jeunes hommes qui ne peuvent pas, par leurs professions, justifier de telles sommes d’argent. C’est-à-dire que leurs activités dans la vie courante ne les mettent pas en situation de manipuler des dizaines, voire des centaines de millions de dinars. Il s’est même trouvé, parmi les «passeurs» des sans-emploi. L’autre facteur qui pousse à privilégier la thèse de l’action maffieuse, tient dans les destinations de ces «voyageurs». En effet, les pays sur lesquels est jeté le dévolu des trafiquants sont ceux qui n’exigent pas de visas d’entrée sur leur territoire. Cela revient à dire que l’objectif des «maffieux» est de faire faire à leurs «soldats» un maximum de voyages en un minimum de temps et, ainsi, réaliser des transferts volumineux de devises vers l’étranger. Le modus operandi de cette maffia consiste à mettre cinq, dix, voire plus, de jeunes dans différents aéroports du pays, avec la mission de passer les contrôles policiers et douaniers. Comme pour les trafiquants de drogue, ce qui importe pour les criminels en col blanc, c’est qu’au final, l’argent passe, même si au passage, «ils laissent des plumes», à l’occasion de saisies qu’opèrent régulièrement les services habilités.
Il reste que les «soldats» qui se font prendre peuvent constituer de précieuses sources d’information pour les enquêteurs. Mais ils peuvent aussi ne rien savoir sur l’identité de leurs commanditaires. La question qui se pose est de savoir, si réellement, une maffia spécialisée dans la fuite des capitaux opère en Algérie. Pour l’heure, seuls les indices et certains recoupements peuvent amener à le penser. Tant qu’on n’aura pas arrêté un «gros poisson», il serait imprudent d’avancer pareille assertion.
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Une série de mesures pédagogiques et structurelles ont été préconisées pour faire face au problème de la surcharge des classes dans les établissements scolaires, a indiqué samedi à Alger, la ministre de l’Education nationale, Mme Nouria Benghabrit.
Dans une déclaration à l’APS, Mme Benghabrit a expliqué que le taux de redoublement ou de l’échec scolaire « constitue un problème pour le secteur, car il est une des causes de la surcharge de classe », avec d’autres facteurs liés au retard accusé dans la réalisation de projets, après leur dégel.
Parmi ces mesures pédagogiques et structurelles, la ministre a cité, l’élargissement des examens de rattrapage aux élèves ayant obtenu, pour le cycle primaire, des moyennes entre 4 et 4.99 sur 10 et à ceux ayant obtenu, pour le cycle moyen, des moyenne entre 9 et 9.99 sur 20.
Partant du principe que l’élève qui a obtenu une moyenne légèrement en dessous de 5 sur 10 ou de 10 sur 20 mérite une deuxième chance, il a été décidé d’élargir les examens de rattrapage à toutes les classes, à l’exception de celles des examens nationaux (5ème année primaire, 4ème année moyenne et 3ème année secondaire), a-t-elle expliqué.
En outre, la ministre a fait savoir que parmi les solutions adoptées pour cette année scolaire, les classes en préfabriqué auxquelles le secteur a recouru dans les zones d’Alger Est et d’Alger Ouest entre autres en raison de la forte affluence de nouveaux élèves, notamment pour le cycle obligatoire, suite aux opérations de relogements dans ces régions.
Elle a expliqué que pour pallier à cette situation « exceptionnelle et temporaire », il a été procédé à l’installation de 2 à 4 classes « préfabriquées » dans des établissements scolaires ou au niveau d’espaces vacants contigus, soulignant toutefois que cette solution « ne règlera pas le problème de la surcharge des classes de manière définitive ».
Citant d’autres solutions, elle a fait état de l’adoption du système de la double vacation, notamment pour le cycle primaire, outre les classes mobiles au cycle moyen.
Par ailleurs, Mme Benghabrit a indiqué que les directeurs de l’Education ont été instruits, dans le cadre de la formation, d’accorder une attention particulière aux élèves de la 1ère et de la 2ème année primaire et ceux des classes d’examen de fin de cycle pour « ne pas être affectés par le problème de la surcharge des classes ».
« La surcharge des classe exige de l’enseignant un effort supplémentaire, particulièrement en matière pédagogique, d’où la nécessité d’un accompagnement et d’une formation continue, a-t-elle ajouté.
Evoquant l’aspect moral, la ministre a mis l’accent sur l’importance de l’accompagnement dans ce sens car, a-t-elle dit, « la relation de l’élève au savoir est tributaire de sa relation à l’enseignant, en ce sens où l’élève a besoin d’être encouragé pour avoir confiance en lui ».
Par ailleurs, la ministre a indiqué que l’objectif principal pour cette année scolaire est la concrétisation des trois leviers auxquels ont abouti les deux Conférences nationales, organisées en juillet 2014 et juillet 2015, sur l’évaluation et la mise en œuvre des réformes de l’école, initiées par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika en 2003.
Il s’agit, a-t-elle dit, de la refonte pédagogique, de la gouvernance et de la consolidation de la place et de l’importance de la formation.
Affirmant que « l’école de qualité requiert le professionnalisme en matière de pratiques d’enseignement et de gestion, notamment pour les enseignants qui suivent des perfectionnements de niveau à travers la formation continu », elle a estimé que « la professionnalisation par la formation passe par un système national de standardisation des normes, formalisé dans le référentiel national des apprentissages, de l’évaluation et la formation ».
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Le quota restant du programme de logements de la formule location-vente de l’Agence de l’Amélioration et du Développement du Logement (AADL) 2013 sera inscrit au titre de la Loi des finances 2019, a indiqué samedi à l’APS une source responsable au ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville.
Pour rappel, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar avait annoncé « le lancement des travaux de réalisation de plus de 50% du programme de l’AADL inscrit pour l’exercice 2018, soit un quota de 120.000 unités », ajoutant que « le quota restant de ce programme se trouvait au stade de l’examen et du choix des futurs entrepreneurs chargés de sa réalisation ».
Concernant les opérations de livraison et de distribution des logements, la même source a affirmé qu’elles se déroulent selon une cadence « bonne et régulière ».
Selon la même source, le ministère de l’Habitat avait distribué près de 30.000 logements, toutes formules confondues, durant le mois d’août dernier et compte distribuer 30.000 autres unités durant le mois de septembre.
Temmar avait affirmé récemment que l’Etat « poursuivra la distribution des logements de différentes formules, à travers toutes les wilayas du pays. », rappelle-t-on.
Il s’est déterminé à suivre et à contrôler les travaux réalisés par les entreprises en charge de la réalisation de projets de logements, affirmant que son secteur prendra des sanctions à l’encontre de toutes les entreprises qui ne respectent les délais de livraison des projets qui leur sont confiés ».
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