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Afrique

Selon la monographie du site de la présidence : Tamazight n’est que langue nationale

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 18:32

La monographie du site de la Présidence est restée figée depuis au moins 2016. Dans la catégorie “Langues nationales”, il y a l’arabe et tamazight, mais dans la case langue officielle, il n’y a que l’arabe.
Pourtant tamazight est consacrée langue nationale et officielle dans la nouvelle Constitution de 2016 qui est d’ailleurs publiée sur le même site de la Présidence. Est-ce une omission, un oubli ? Certainement. D’autant que d’autres rubriques du site n’ont été ni actualisées ni mises à jour par ceux qui sont chargés du suivi, en temps réel, du site.

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Proclamation des résultats du second tour des élections législatives, régionales et municipales

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 09/17/2018 - 17:55
AMI - Le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), Monsieur Mohamed Vall Ould Bellal, a proclamé, lundi après-midi...
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L'opposition étale sa division au grand jour

24 Heures au Bénin - Mon, 09/17/2018 - 17:52

L'opposition béninoise va s'illustrer une fois encore, par la division qui la caractérise. En effet, le secrétaire général exécutif du parti des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe), Valentin Djénontin, dans un message, a invité les membres du bureau politique ainsi que les députés du parti, à prendre part à une sortie médiatique qui se tient dans la soirée de ce lundi 17 septembre 2018. L'objectif, apprend-on, est de sonner glas des querelles entre l'ancien président de la République, Boni Yayi et son ancien ministre Candide Azannaï.

Les opposants au régime de la Rupture et du Nouveau départ sont divisés sur tous les plans. Une réconciliation entre l'ancien ministre Candide Azannaï et l'ex président de la République Thomas Boni Yayi n'est que du leurre. Ces deux hommes s'étaient déjà réconciliés en 2008, ce qui a permis à Candide Azanai d'aller au gouvernement. Il fut éjecté du gouvernement Yayi après huit mois de cohabition en pleine crise ICC-Services.

La suite est connue. Boni Yayi a été victime des pires violence verbales de sa vie. Et ce n'est pas tout.
La famille Soglo attend également à son tour les excuses de Candide Azanai si on s'en tient au conflit juridique assorti d‘une décision de justice quand Lehady Soglo prenait les rênes de la RB.
Il apparaît que les acteurs de l'opposition ne sont pas mus par un même idéal politique. Ils viennent ainsi exposer à la face du monde, la division qui règne dans leur camp. Sinon, comment comprendre que des acteurs qui prétendent défendre un même idéal, annoncent leur réconciliation à un point de presse ?
Autant de réalités qui dénotent de ce que, au sein de l'opposition, règne une haine qui ne peut les faire prospérer .

Paul Tonon

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Au Soudan du Sud, les meurtres, actes de torture et violences sexuelles continuent (ONU)

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Mon, 09/17/2018 - 17:48
Devant le Conseil des droits de l’homme à Genève, la Commission des Nations Unies sur les droits de l’homme au Soudan du Sud a dressé lundi un constat accablant des violations qui se poursuivent dans ce pays d’Afrique de l’Est.
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Recette: Fondue d’aubergines aux pois chiches

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 17:28

400 g de pois chiches (en conserve), 1 c. à s. d’huile d’olive, 20 g de beurre, 1 cuillère à café de cannelle, 1 cuillère à café de cumin, coriandre fraîche ciselée, 2 petites aubergines, 2 tomates, 1 gousse d’ail, 1 oignon, menthe fraîche ciselée, sel, poivre

Lavez les aubergines et coupez-les en rondelles d’environ 5 mm d’épaisseur . Disposez-les sur une plaque huilée au pinceau et mettez sous le gril du four. Dès coloration, retournez les rondelles pour faire griller l’autre face. Pendant ce temps, dans une sauteuse, faites blondir l’oignon et l’ail dans le beurre fondu environ 5 minutes. Remuez de temps en temps. Lavez, pelez et épépinez les tomates. Coupez-les en dés et ajoutez-les dans la sauteuse bien chaude. Saupoudrez de cannelle et de cumin, d’une pincée de sucre (pour ôter l’acidité des tomates) et salez. Couvrez et cuisez à feu doux pendant 10 minutes. Une fois grillées, mélangez les aubergines à la préparation précédente. Rincez et égouttez les pois chiches. Ajoutez-les dans la sauteuse et assaisonnez avec le sel et le poivre. Poursuivez la cuisson en couvrant partiellement sur feu doux jusqu’au moment de servir. Ajoutez la coriandre et la menthe fraîches ciselées au dernier moment.
Suggestion : Servir avec un yaourt assaisonné de menthe fraîche et de cannelle.

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Santé: Les épinards sont-ils une excellente source de fer ?

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 17:26

Non 
Dans les aliments que nous consommons, le fer existe sous deux formes : on distingue le fer héminique présent exclusivement dans les viandes et les poissons et le fer non héminique qui constitue le fer des végétaux, du lait, des œufs et d’une partie du fer des viandes et des poissons.
Le fer héminique est bien absorbé par notre organisme : son taux d’absorption peut atteindre 25%. En revanche, la disponibilité du fer non héminique est nettement plus faible et dépend de la composition du repas. Son taux d’absorption peut varier de 1 à 10%. Certains éléments susceptibles d’emprisonner le fer comme les fibres des végétaux et les tanins du thé ont un effet négatif sur l’absorption du fer non héminique. Inversement, la vitamine C des végétaux, la présence de viande l’augmentent.

CONCLUSION 
Continuons à consommer des épinards, mais n’oublions pas les viandes et les poissons pour assurer une couverture de nos besoins en fer.

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Recette: Flan de bananes

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 17:23

3 bananes, 30 g de beurre + 30 g pour les ramequins, le jus d’une orange, 4 œufs, 90 g de sucre, 20 cl de lait, 20 cl de crème liquide, 1,5 c. à café d’extrait naturel de vanille 
Retirez la peau des bananes et coupez-les en deux tronçons puis encore en deux dans la longueur, cette fois. Faites fondre 30 g de beurre dans une poêle à revêtement antiadhésif et mettez les 12 morceaux de bananes à colorer légèrement sur feu doux 1 minute environ de chaque côté. Versez le jus d’orange, augmentez le feu pour le porter à ébullition, laissez frémir 30 secondes puis retirez du feu. Répartissez les demi-bananes deux par deux dans 6 jolis ramequins ou plats à gratin de forme allongée ou rectangulaire beurrés. Préchauffez le four à 150° (th.5). Mélangez les œufs et le sucre au fouet électrique ou au robot jusqu’à consistance mousseuse. Toujours en fouettant, ajoutez le lait, la crème liquide et l’extrait de vanille, puis le jus de cuisson des bananes. Versez cette préparation sur les bananes et enfournez au milieu du four pour 35 à 40 min de cuisson environ. Servez tiède ou froid.

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Aéronautique : Air Burkina refuse la fusion avec Mauritania Airlines

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 09/17/2018 - 17:16
L'Economiste du Faso - • Le Burkina plutôt pour une coopération entre compagnies • En attendant une décision des chefs d’Etat du G5...
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Les innovations pour une meilleure évacuation sanitaire sous le régime Talon

24 Heures au Bénin - Mon, 09/17/2018 - 17:00

Le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, invité sur le plateau de la télévision nationale, ce dimanche 16 septembre 2018, a relevé les insuffisances et les difficultés liées aux évacuations sanitaires au Bénin depuis plusieurs années. Ces évacuations selon le ministre, sont marquées par la complexité de la procédure qui existait. Pour faire une évacuation sanitaire, rappelle Benjamin Hounkpatin, il y a un circuit qui part du médecin qui a consulté, va vers le ministère de la santé, parcoure les ministères de la fonction publique et celui des finances, implique la Bceao puis l'hôpital qui va accueillir le patient.

Plusieurs autres problèmes entravent les évacuations sanitaires. Il s'agit entre autres, selon le ministre, de la perte des dossiers du fait de la non informatisation de la procédure, des problèmes pour réunir le conseil de santé.
Lorsque ce conseil se réunit pour traiter les dossiers, informe le ministre, il se retrouve devant toute une panoplie de dossiers énormes qu'il devrait étudier. A cela, s'ajoute la dissémination du conseil de santé dans tous les ministères, et le choix unilatéral des structures d'accueil par les médecins. Autant de faits qui expliquent que l'Etat ne contrôlait pas toujours ce qui se faisait et la qualité des soins qui était offerts dans ces structures, ne pouvait pas être appréciée.
En un mot, « il y avait tout un réseau autour des évacuations sanitaires, indique Benjamin Hounkpatin. Pour lui, il s'agit d'un réseau à tentacules multiples avec des intermédiaires par-ci par-là, qui ne permettait pas vraiment d'assurer l'efficacité du processus. Et c'est l'Etat qui, selon lui, perdait parce que non seulement, les fonds qui étaient versés dans ces pays n'étaient pas maîtrisés, mais au-delà de ça, comme les dossiers traînaient longtemps, le malade peut déposer un dossier aujourd'hui et partir dans un an ou deux ans. Parfois, ils sont déjà morts et les fonds sont transférés, précise le ministre. Deux jours seulement après leur arrivée, certains patients décèdent, ajoute Dr Hounkpatin.
Ce système sanitaire souligne le ministre, ne profitait qu'à une minorité de populations. Dans le rang de cette frange, il y en a qui avaient du plaisir à repartir pour des contrôles insignifiants pour lesquels on dépensait des frais de séjour d'un mois, soit pratiquement 4,2 millions FCFA pour aller faire une consultation qui n'est pas forcément nécessaire. Dans le même temps, regrette-t-il, il y en a qui meurent pour défaut de 2000 francs CFA de poche de sang dans les structures sanitaires du pays. Certaines évacuations selon le ministre de la santé, sont vraiment inutiles. Il y a des cas où, tout peut être offert ici, des interventions totalement banales, pour lesquelles on se faisait évacuer avec les différentes pressions de part et d'autres, déplore-t-il.
Des évacuations pour lesquelles plus de 10 milliards FCFA ont été injectés.

La réorganisation sous le régime de Talon

Avec le régime du président Patrice Talon, le ministre de la santé explique que l'Etat a signé un contrat de prestation avec Paris Hospital Foundations (PHF), qui est un groupe de santé privé à but non lucratif qui regroupe trois hôpitaux. Avec un contrat bien précis avec des définitions claires qui définit les rôles et responsabilités de chacun, le pays a vraiment beaucoup à gagner, souligne le ministre.
Selon Benjamin Hounkpatin, les coûts des prestations ont été déjà revus à la baisse et un circuit de validation des dossiers beaucoup plus fluide est également aménagé. Après la validation par le conseil de santé, explique-t-il, les dossiers validés sous l'autorité du ministre de la santé, sont transmis directement à PHF qui les étudie, les valide et aménage un circuit de rendez-vous pour les patients. Lorsque les patients arrivent, poursuit Benjamin Hounkpatin, ils sont automatiquement pris en charge depuis l'aéroport durant tout leur séjour, et leur retour est organisé. Mais avant, les patients partaient avec leurs accompagnants qui les délaissaient déjà à l'aéroport alors qu'ils ont pris un billet d'avion, des frais d'accompagnement pour amener le malade. Le patient se retrouvait ainsi livré à lui-même pour aller à l'hôpital, pour faire les soins pour organiser son retour. Une situation vraiment compliquée. Le gouvernement avec PHF ont alors mis en place un système qui allège et facilite la vie aux patients, indique le ministre.
Au sujet du budget des évacuations qui ne couvrirait pas l'année et les dettes éventuelles, le ministre a expliqué que dans le système actuel, il n'y a pas de dette et que le gouvernement approvisionne régulièrement les PHF et les points sont faits au fur et à mesure.
Avec le système antérieur, on virait beaucoup de sous par le mécanisme de ressources des fonds ; ce qui fait qu'on a pleins de milliards qui sont disséminés dans des hôpitaux. La non informatisation du système et le réseau qu'il y avait autour, ne permettent pas de situer totalement où se trouvent ces ressources du pays.
Avec la dynamique que le gouvernement a établie avec PHF actuellement, il y a un meilleur suivi des rendez-vous et une meilleure réorganisation du retour au pays. Avec cette réorganisation, si la poursuite des soins va se faire au pays, PHF donne déjà le protocole à établir et sur place, le gouvernement a entamé la poursuite de la chimio thérapie, renseigne le ministre.
Aujourd'hui, selon le ministre, le Bénin a évolué d'un pas, en plus, le pays est entrain de formaliser le processus, et ça ira encore plus vite et beaucoup mieux.
Avec la construction de l'hôpital de référence, souligne Benjamin Hounkpatin, tout ira et le gouvernement va pouvoir prendre en charge les patients sur place, les grandes spécialités pour lesquelles le pays évacue. Ce centre sera un hôpital de référence qui offre des soins de santé grande qualité. Selon le ministre, il y a pleins de Béninois de la diaspora qui excellent dans leurs domaines à l'extérieur. Ces fils du pays devraient être sollicités pour appuyer les hôpitaux. Chaque fois que la nation aura besoins de compétence extérieures pour appuyer certaines interventions, il y en aura qui viendront. « Lorsque vous déplacez un spécialiste pour soigner 20 patients, c'est vraiment mieux que de déplacer 20 patients pour aller se faire soigner par une personne », a-t-il renchéri.

F. Aubin AHEHEHINNOU

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Accidents de la route: Le contrôle technique des véhicules à l’index

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:56

Trente et une personnes ont perdu la vie et 1 573 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus du 2 au 8 du mois en cours, dans plusieurs régions du pays. Le bilan établi par les services de la Protection civile est effrayant, d’où la question de savoir si les véhicules accidentés ont fait l’objet de contrôle technique adapté aux normes de la sécurité routière.
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – Le rôle des sociétés de contrôle technique des véhicules est aujourd’hui plus que jamais au centre de la problématique des accidents de la route. En effet, au-delà du facteur humain, qui reste en tête des causes des accidents de la route, l’état des véhicules constitue un autre facteur à l’origine d’un grand nombre des accidents de la route.
D’ailleurs, on laisse croire que l’accident qui s’est produit le 11 août dernier au niveau de la localité de Aïn Defla sur le tronçon autoroutier est-ouest, suite au renversement d‘un bus de transport de voyageurs et ayant causé la mort de trois personnes aurait pu être évité si «le système de freinage n’était pas défaillant».
C’est dans ce cadre, que le contrôle technique périodique des véhicules a été rendu obligatoire par la loi n° 87-09 du 10 février 1987 relative à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière.

Se conformer aux normes
Le contrôle en question s’effectue au niveau des agences de contrôle agréées par le ministère des Transports conformément aux dispositions du décret n°88-06 du 19 janvier 1988, fixant les règles de la circulation routière, modifié et complété.
Toutefois, la question qui se pose est celle de savoir, si les agences concernées «appliquent rigoureusement la réglementation de contrôle, loin de toutes formes de complaisance ?».
Bien évidemment, «l’objectif fondamental d’un contrôle technique est de réduire le nombre d’accidents liés au facteur technique». Selon la loi, «ce contrôle doit être effectué, par un personnel qualifié, dûment habilité et avec des équipements que les normes exigent». En effet, il ressort que les mauvais freinages et suspensions du véhicule, «présentent des risques considérables».
D’après plusieurs conducteurs, «ces deux facteurs techniques sont souvent les principales causes des accidents mortels sur nos routes». C’est pour ces raisons-là que ces mêmes observateurs considèrent que «le remède ou du moins une partie du remède préconisé est d’imposer un contrôle technique efficace et de qualité au niveau des agences, ainsi qu’un service pénal juste, à même de condamner tout auteur d’accident (chauffard), ou de fraude (pour les agences de contrôle)».

Quel rôle pour l’Enacta ?
La création d’une agence de contrôle technique de véhicules, en vue de son exploitation, est subordonnée à l’obtention d’un agrément délivré par le ministre chargé des Transports, après avis technique de l’Etablissement national de contrôle technique automobile «Enacta» sur la conformité de l’agence aux exigences requises par le cahier des charges. C’est ce qui ressort du nouveau décret qui a pour objet de modifier et de compléter les dispositions du décret exécutif n°03-223 du 9 Rabie Ethani 1424 correspondant au 10 juin 2003, et qui vient d’être publié sur le journal officiel.
Le texte précise que «nul ne peut postuler à titre personnel à un agrément pour la création et l’exploitation d’une agence de contrôle technique s’il ne remplit pas certaines conditions». Lorsque le demandeur ne remplit pas la condition d’aptitude professionnelle, il doit bénéficier de la collaboration permanente et effective d’un contrôleur technique agréé et disposer d’un site devant abriter l’agence conformément aux prescriptions du cahier des charges. Mieux, le demandeur ne doit pas figurer dans le fichier national des fraudeurs.
C’est dans ce cadre qu’intervient le rôle de l’Etablissement national de contrôle technique automobile (Enacta). Créé par décret exécutif n°98-271 du 29 août 1998, L’Enacta a pour principales missions, «de réaliser ou de faire réaliser le contrôle technique périodique des véhicules automobiles, de définir les méthodes, les plus appropriées, relatives aux visites visant à assurer les meilleures conditions de sécurité et de prévention des accidents imputables aux défaillances mécaniques», mais surtout «d’inspecter les agences de contrôle technique de véhicules automobiles». Autrement dit, «les installations et les équipements des agences de contrôle technique de véhicules automobiles sont contrôlés et supervisés par les agents habilités du ministère chargé des Transports et de l’Etablissement national de contrôle technique automobile (Enacta)». Les textes sont connus de tous et les missions définies, il reste à situer les responsabilités.
A. B.

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Lors d’une vente-dédicace de l’ouvrage Beihdja Rahal, la félicité du répertoire andalou: Kamal Bouchama et Beihdja Rahal rencontrent le public de Tizi-Ouzou

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:51

Beihdja Rahal était l’invitée, dans la soirée de samedi dernier, du Café littéraire et philosophique de Tizi-Ouzou organisé par Emev. A ses côtés, l’ex-ministre et écrivain Kamal Bouchama qui a consacré un beau livre à la cantatrice qui a charmé de sa voix et de sa présence le nombreux public. Entre réminiscences historiques distillées par l’ancien ministre de la Jeunesse et des Sports, et des anecdotes croustillantes puisées au hasard de ses pérégrinations, de ses voyages, de ses rencontres avec son public et de son parcours artistique (par l’une des meilleures voix du répertoire andalou, pas seulement en Algérie), l’après-midi fut un véritable voyage dans l’histoire, le passé glorieux de l’Andalousie et de la musique andalouse, ce patrimoine qui a été laissé en héritage par les revenants de la terre ibérique vers leur terroir nord-africain suite aux guerres de la Reconquista, reconquête par les royaumes chrétiens des territoires ibériques occupés par les musulmans.
Pour beaucoup, ce fut aussi une immersion dans les charmes discrets et envoûtants de la musique andalouse. Durant presque une heure, les deux hôtes de la ville des Genêts se sont prêtés au jeu des questions-réponses avec le public.
L’échange a donné lieu à une véritable découverte de l’histoire méconnue et des charmes discrets de ce paradis perdu que fut l’Andalousie racontée avec passion par l’auteur de Beihdja Rahal, la félicité du répertoire andalou.
Un ouvrage qui, confesse-t-il, est le fruit de sa passion pour la musique andalouse et de l’intérêt qu’il porte pour la patrimoine musical algérien. «Je raconte le parcours biographique et artistique de Beihdja Rahal, je rends hommage à son engagement pour la transmission de son talent dans le cadre des masters class qu’il organise pour enseigner la musique andalouse…
Avec des mots simples, il racontera l’histoire de ces Africains du Nord, ces Amazighs qui ont entrepris en 711 «non pas une expédition hégémonique mais une entreprise culturelle.» Une présence qui a permis l’édification de grandes cités, de royaumes. Et de souligner le mérite de ces souverains issus de grandes tribus d’Afrique du Nord qui ont régné en ayant le souci de la tolérance et du vivre ensemble. «A côté des mosquées, ils ont construit des cathédrales et des synagogues», expliquera l’invité du Café littéraire de Tizi-Ouzou qui a défendu l’idée que la musique andalouse a des racines berbères, elle porte en elle le sceau du terroir et de l’humus culturel de ceux qui sont partis d’ici.
«La musique andalouse, c’est nous», clamera Kamal Bouchama qui se fait, pour ainsi dire le VRP d’une musique qui reste longtemps cloitrée dans une tour d’ivoire, une musique savante réservée à une certaine élitite. Un aspect que récuse Beihdja Rahal qui dit faire de pédagogie en faisant accompagner les albums des noubas qu’elle a eu à enregistrer par des fascicules dans lesquels sont transcrits en arabe les textes et les poèmes chantés accompagnés de traductions en français. Une façon de rendre plus accessible ces textes et de vulgariser auprès d’un public de plus en plus large.
Sur son expérience en tant qu’interprète des grands standards de la musique andalouse et de ses noubas, Beihdja Rahal dit avoir fait le choix de la difficulté en s’investissant dans la recherche, la découverte et la promotion du patrimoine.
Un tantinet perfectionniste, mais au bout satisfaite de la reconnaissance du public pour le travail accompli.
Répondant à une question d’un mélomane qui voulait savoir si elle pouvait chanter en kabyle, Beihdja Rahal aura cette réponse : «Je préfère interpréter la musique que je connais le plus et dans laquelle je suis formée ; je chante ce que je ressens», dira-t-elle. «Il n’est jamais venu à l’idée de M. Tahar Fergani, de son vivant de chanter le aroubi algérois, car c’est dans le malouf constantinois qu’il s’exprime le mieux», plaidera-t-elle.
S. A. M.

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Une tripartite pour le 5e mandat: Ould-Abbès rencontrera Sidi Saïd et Ali Haddad

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:49

La campagne pour un cinquième mandat de Abdelaziz Bouteflika passera à la vitesse supérieure dans les tous prochains jours. Selon une source sûre, l’entourage présidentiel prépare un grand coup médiatique pour la semaine prochaine avec la tenue d’une «tripartite» entre le Front de libération nationale, l’Union générale des travailleurs algériens et le Forum des chefs d’entreprises (FCE).
Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Cette tripartite est convenue autour de l’initiative que mène le FLN de Djamel Ould-Abbès depuis fin août dernier, à savoir «un front national solide». Le FLN, qui a déjà obtenu l’adhésion à cette initiative de pas moins de vingt-cinq partis et organisations nationales, passe, depuis quelques jours aux gros calibres, à savoir les grandes organisations de masse.
C’est ainsi que, hier dimanche, le parti majoritaire a reçu la direction de l’Union nationale des femmes algériennes, UNFA de Nouria Hafsi, qui annonce son adhésion à l’initiative. «L’UNFA n’a pas attendu l’approche des élections de 2019 pour exprimer son soutien totale au Président Abdelaziz Bouteflika», dira d’ailleurs la secrétaire générale de l’Organisation des femmes algériennes. Et c’était également à l’occasion de cette rencontre FLN-UNFA que Djamel Ould-Abbès annoncera avoir recu un appel téléphonique de la part du patron de la centrale syndicale, Abdelmadjid Sidi Saïd : «Abdelmadjid Sidi Saïd m’a appelé pour me charger et me faire l’honneur de faire lire la motion de soutien de la direction de l’UGTA au Président de la République ainsi que son adhésion à l’initiative nationale du front populaire solide auquel avait appelé le Président dans son message à l’occasion de la journée du Moudjahid le 20 août dernier», dira le SG du FLN. Il n’omettra pas à l’occasion, de rendre un vibrant hommage au patron de l’UGTA : «Il a eu le mérite et le courage de parler de sa maladie, ce matin, dans son discours devant la direction de l’UGTA. Il avait parlé de son intention de quitter son poste. Or, en votre nom à tous, d’abord je lui souhaite un prompt rétablissement ensuite, je lui demande de poursuivre sa mission à la tête du syndicat car il a beaucoup donné à l’Algérie.»
On croit savoir, par ailleurs, que les deux hommes se rencontreront demain mardi pour esquisser l’ébauche de la prochaine tripartite. Une tripartite dont la date sera officiellement fixée après le retour du président du FCE, actuellement en mission à l’étranger.
Par ailleurs, et comme nous l’annoncions précédemment, une autre rencontre bilatérale entre les deux chefs des deux plus grands partis de la majorité présidentielle, le FLN et le RND, devrait intervenir dans les prochains jours. Elle aura à l’ordre du jour, «la loi de finances pour 2019 et des questions d’ordre politique», nous révèle-t-on.
K. A.

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Rentrée universitaire: En attendant la loi d’orientation, pas de changements

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:44

Après le secteur de l’éducation, c’est au tour de celui de l’enseignement supérieur de faire sa rentrée. Plus d’un million d’étudiants sont attendus pour cette année. Le département de Hadjar promet une mue du secteur à travers la modification de la loi d’orientation de l’enseignement supérieur.
Nawal Imés – Alger (Le Soir) – Une place pédagogique pour chaque étudiant. C’est la garantie donnée par le ministère de l’Enseignement supérieur au moment où plus d’un million d’étudiants rejoignent les campus. L’année universitaire sera placée sous le signe du changement. Ce dernier concernera la loi d’orientation relative au secteur. Datant de bientôt vingt ans, cette dernière a fini par être obsolète de l’avis même du premier responsable du secteur.
Tahar Hadjar affirme en effet que des dysfonctionnements affectaient essentiellement la nomenclature des filières. La nouvelle mouture qui a fait l’objet d’un large débat maintiendra les principes essentiels régissant l’enseignement supérieur et qui resteront inchangés notamment en ce qui concerne la gratuité de l’enseignement. L’Etat, assure Tahar Hadjar, ne se désengagera pas en dépit du coût élevé des études supérieures, notamment en ce qui concerne certaines filières nécessitant plus de moyens que d’autres. Le secteur compte également entamer la révision graduelle du système d’orientation pour le parfaire et garantir ainsi les principes d’équité et de mérite.
Les cadres juridiques et réglementaires régissant l’organisation et le fonctionnement de divers établissements, à l’instar des statuts particuliers relatifs à l’université, centres universitaires et écoles supérieures, sont appelés à connaître des modifications ainsi que l’élaboration des textes d’application relatifs aux domaines de l’orientation, de la formation et de la recherche. Aucune date n’est avancée pour l’entrée en vigueur du nouveau texte. Les étudiants qui ont fait hier leur rentrée ne constateront donc aucun changement. Ils étaient plus de 265 000 nouveaux étudiants à rejoindre les bancs de l’université avec un effectif total s’élevant cette année à 1,7 million d’étudiants répartis sur 50 universités, 13 centres universitaires, 32 écoles supérieures, 11 écoles d’enseignants ainsi que 51 établissements affiliés à d’autres secteurs mais pédagogiquement soumis au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en plus de 9 instituts privés.
Aucune difficulté à absorber ce flux, assure le département de Tahar Hadjar. Les capacités d’accueil ont été renforcées, atteignant les 1 452 000 places pédagogiques grâce à la réception de 67 100 nouvelles places et de 45 500 nouveaux lits, ce qui portera les capacités d’hébergement à 629 500 lits, en plus de 6 cantines centrales implantées au sein des grands ensembles pédagogiques.
Le ministre de l’Enseignement supérieur avait affirmé que «même si la répartition des capacités disponibles n’était pas égale et différait d’une cité universitaire à une autre, le secteur ne devrait pas être confronté à de grandes contraintes dans la plupart des cités universitaires en dépit de l’augmentation des flux successifs d’étudiants». Il dit compter sur la solidarité entre établissements universitaires mais également sur le rallongement de l’exploitation des infrastructures au delà des horaires traditionnels.
Le dossier des œuvres sociales n’est pas en reste. Une conférence nationale, avec la participation de tous les acteurs de l’université sera organisée avec pour objectif en vue d’élaborer une vision prospective participative mais surtout arriver à une meilleure rationalisation des dépenses.
N. I.

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Affaire El Boucher: une avocate arrêtée après avoir tenté d’introduire un portable en prison

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:41

D’après les sources d’Alg24, une avocate a été arrêtée après avoir tenté d’introduire un portable dans le centre pénitentiaire d’El-Harrach.

Selon les mêmes sources, l’avocate avait tenté de faire passer un téléphone portable à l’un des accusés dans le scandale de saisie de 701 kilos de cocaïne à l’aéroport d’Oran, à savoir Nadjib. M, l’associé de Kamel Chikhi, alias « El-Bouchi », l’accusé principal dans cette affaire.

L’avocate a été arrêtée pour complicité et tentative d’introduction d’un objet interdit à l’intérieur d’un établissement pénitentiaire.

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Point de presse du DSP d’Oran: «L’hôpital de Sidi-Chahmi est à raser»

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:39

Hier, le point de presse donné par le directeur de la santé et de la prévention d’Oran, au niveau de l’hôpital psychiatrique de Sidi-Chahmi, un endroit qui suscite bien des inquiétudes depuis le transfert de deux malades qui y étaient admis, vers le service infectieux, tous deux présentant des suspicions de choléra, a révélé une tout autre catastrophe sanitaire et surtout de conditions d’hospitalisation inhumaines dans un hôpital qui date des années 1930.
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – Alors que le but était, comme l’a déclaré M. Boudaâ Abdelnasser, DSP d’Oran, d’éclaircir quelques points qui peuvent sembler confus, au sujet des cas confirmés ou pas de choléra au sein de l’EHS Sidi-Chahmi à Oran, toute l’attention s’est finalement axée sur les déclarations faites autour de l’enceinte même de cet établissement sanitaire, qui au vu des révélations, s’est vidé de ce terme «sanitaire».
D’une superficie de 65 hectares, l’EHS spécialisé en psychiatrie, construit avant la deuxième guerre mondiale dans les années 30, accueille des malades en provenance de 14 wilayas de l’Ouest et du Sud-Ouest. Sa capacité d’accueil qui est de 450 lits est, dira le DSP, largement dépassée.
A partir du 26 août une réunion avec le wali avait eu lieu suite à la déclaration de cas de choléra dans certaines wilayas. A l’instar des autres wilayas, Oran était en état d’alerte et ses services ont mis en place un dispositif d’alerte de niveau 1.
C’est à partir du 2 septembre que la wilaya enregistre son premier cas, un homme âgé de 46 ans, avec une suspicieux de choléra, venu de Tiaret dans le cadre d’un placement judiciaire le patient qui a été admis le 15 août au service du pavillon 2, a présenté des signes cliniques de choléra (vomissements et diarrhées) a été admis en service infectieux pour sa prise en charge. Quelques jours plus tard, il semble s’améliorer suite à un traitement et fut réadmis en psychiatrie.
Un cas que le ministère dit confirmé de choléra alors que le DSP persiste encore à dire que les résultats ne seront connus que demain mardi.
Toujours dans ce même pavillon des placements judiciaires, dans la nuit du 10 septembre, un autre cas présentant des symptômes de choléra s’est déclaré sur un patient âgé de 69 ans, originaire de Jijel. Il décéda la semaine passée sans que les résultats d’analyse ne soient connus, et ainsi son certificat de décès mentionne un problème cardiaque, des vomissements et des diarrhées.
Afin de couper la chaine de transmission, un dispositif a été mis en place, dira le DSP. C’est à ce niveau-là que les choses se gâtent puisque l’enquête menée et surtout la visite minutieuse de cet hôpital a révélé de véritables catastrophes sanitaires. «On s’est rendu compte que l’eau de la bâche d’eau et le château d’eau sont d’une qualité douteuse. Suite à des prélèvements, nous avons trouvé quelques germes d’un taux élevé», dira le DSP qui précise que les autorités ont voulu pousser plus loin leur recherches en dénudant une partie de la canalisation sur 500 mètres où ils ont constaté qu’elle était faite en fonte. C’est alors dit-il «qu’on a décidé d’arrêter l’alimentation en eau et alimenter les malades par les camions-citernes de la Seor, avec un renforcement en eau minérale de 3 bouteilles d’eau/jour par malade».
Les tests sont élargis aux autres patients du pavillon où se sont déclarés les deux cas de suspicion et aucune contamination n’a été trouvée, encore moins auprès des autres services et du personnel.
Par conséquent, des décisions devaient être prises. «On a décidé de refaire le réseau d’assainissement car on n’est pas sûr de la qualité de la conduite et en attendant, nous avons doté chaque pavillon de deux citernes. L’on prévoit également la rénovation et le branchement des eaux usées avec le réseau de la ville car c’est un déversoir à ciel ouvert.»
D’un autre côté, dira le DSP, étant donné que le pavillon 2 est dans état lamentable «nous avons décidé de le vider et de dispatcher les malades vers d’autres pavillons, de le reprendre et le rendre plus humain afin que les malades y reviennent dans un maximum d’hygiène et de confort».
Pour le DSP, cet EHS de Sidi-Chahmi est à raser car il est ancien et vétuste et certains services ne sont plus adaptés. «La Direction de la santé a bénéficié d’une nouvelle inscription pour la construction d’un hôpital psychiatrique à Tafraoui, on attend son inscription en réalisation et on espère une embellie financière pour résoudre définitivement le problème de cet hôpital», conclut-il.
A. B.

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Pénurie

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:34

Les parents d’élèves ayant des enfants suivant le programme français trouvent cette année les pires difficultés à acquérir les manuels scolaires. Les quotas importés ayant été réduits, ils se retrouvent à recourir au système D pour trouver les livres. Le troc d’anciens livres reste leur ultime recours.

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Vidéo. Mauritanie: un deuxième tour des législatives et locales sous haute surveillance

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 09/17/2018 - 16:33
Le360 - Les enjeux de ce second tour portent sur le contrôle du conseil régional de Nouakchott, la conquête des 9 communes de la capitale,...
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Au sujet des dernières déclarations sur l’Algérie: Haftar accuse le Qatar

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:31

Le général Haftar a officiellement accusé le Qatar d’avoir voulu «allumer le feu» entre la Libye et l’Algérie en déformant de manière grave les propos tenus par ce dernier quelque temps auparavant.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Le général libyen a donc visiblement décidé de passer à l’offensive et d’éclaircir définitivement le quiproquo né de ses dernières déclarations au sujet de l’Algérie.

Pour passer au mieux son message, il a livré les détails de l’affaire au journal El Chark El Awsat affirmant que le Qatar avait ouvertement manipulé son discours à travers El-Jazeera en faisant croire qu’il voulait «exporter la guerre en Algérie». Ses propos sont appuyés par une déclaration similaire, faite le même jour par le responsable de l’information du bureau de Haftar, ainsi que son porte-parole officiel. Ce dernier avait, on s’en souvient catégoriquement démenti une première fois l’information telle que rapportée par la chaîne de télévision qatarie et selon laquelle l’armée libyenne s’apprêtait à réagir à l’intrusion d’éléments armés algériens sur son territoire. Cette fois, Mesmari Labidi est cependant allé plus loin, accusant une chaîne de télévision appartenant à la mouvance des Frères musulmans et émettant de Turquie d’avoir voulu empoisonner les relations entre Alger et Tripoli en inventant des propos graves.

Le porte-parole de Haftar rappelle que l’armée libyenne avait enregistré l’intrusion d’éléments armés à travers ses frontières sans pour autant en déterminer l’identité. Le général avait lui-même annoncé qu’un émissaire avait été dépêché auprès des autorités algériennes afin de faire la lumière sur ce précédent. L’opinion reste cependant peu informée des tenants et aboutissants de cette affaire et demeure dans l’attente d’éclaircissements. Le fait que Haftar ait divulgué des informations d’une telle sensibilité prête à plusieurs interrogations.
En sa qualité de chef militaire aguerri et rompu à l’art de la guerre, il n’est pas sans ignorer que le fait de rendre publiques de telles données ne peut rester sans conséquences. Il n’est pas sans savoir non plus que toute diffusion d’informations aussi délicates, et relevant en principe de secrets militaires, ne peut s’effectuer que dans un objectif bien précis. Or, Haftar ne nie pas avoir divulgué ces informations et de les avoir rendues publiques lors d’une réunion importante tenue avec des notables de sa région. Qu’elle en était la raison ? Titiller l’Algérie au moment où cette dernière persiste à soutenir l’option d’une solution politique à la crise libyenne à l’heure où le général ne semble pas avoir tranché définitivement pour cette perspective ? Ou tout simplement de légitimer ses actions militaires qu’il voulait étendre jusqu’à Tripoli où des milices rivales commettent des attentats revendiqués par Daesh. Quoi qu’il en soit, l’affaire a été très vite récupérée par les ennemis de la stabilité de la Libye et de la région. Les autorités libyennes ne sont pas à leurs premières accusations contre le Qatar, un pays maintes fois pointé du doigt pour son jeu dangereux et ses tentatives répétées de déstabiliser le territoire libyen. En juillet dernier, le Parlement de l’est libyen avait accusé ce pays de s’ingérer dans les affaires internes de la Libye et cela de manière plus ouverte depuis la prise de contrôle des zones pétrolières par l’armée libyenne.

Dans un communiqué rendu public, ce Parlement affirmait que le Qatar essayait de «justifier une attaque contre les champs de pétrole et les ports pétroliers, et de manipuler la propriété du peuple libyen». A la même période, le porte-parole de l’Armée libyenne (ALN) rendait publique une information encore plus grave. Ce dernier a convoqué des journalistes pour annoncer, preuves à l’appui, que les militaires qataris avaient formé des tireurs d’élite d’El-Qaîda en brandissant la photo de l’un d’entre eux dans la ville de Syrte. Ce dernier a été identifié comme étant fondateur de Daesh dans cette zone.
La même source a révélé que Doha se trouvait également derrière les attentats perpétrés contre les sites pétroliers de Ras Lanouf et d’Es-Sidr.
A. C.

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Un écart monstre

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:24

Selon des statistiques, le nombre d’interventions chirurgicales en cardiologie s’élève à un peu plus de 1 200 dans le secteur public. Chez le privé, il a atteint 4 700 opérations. Qu’est-ce qui explique cet immense écart ?

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Natation – Au lendemain des Championnats d’Afrique: Une troisième place et des promesses pour l’Algérie

Algérie 360 - Mon, 09/17/2018 - 16:24

La sélection nationale a décroché, samedi, la troisième place du podium en remportant 20 médailles (dont 2 en or,) derrière l’Egypte qui s’est adjugée le titre avec 30 médailles et l’Afrique du Sud (30 médailles), et ce, au terme des compétitions de la sixième journée de la 13e édition du Championnat d’Afrique de natation (10-16 septembre) qui s’est déroulé à la piscine 5-Juillet du complexe olympique Mohamed-Boudiaf (Alger).

La sélection algérienne a ainsi étoffé son palmarès au terme de la sixième et dernière journée du championnat en remportant 4 médailles (2 en argent et 2 en bronze). Nefsi Rania Hamida a décroché avec brio une médaille d’argent après sa victoire en finale des 200 m papillon avec un chrono de 2’:21’’.59, marquant un différent d’une seconde derrière l’égyptienne Rowida Hisham (2’:20’’.25), alors que Lara Van Niekerk de l’Afrique du Sud a réalisé un chrono de (2’:22’’.79). Ainsi, Nefsi a ajouté sa 4e médaille en solo, en remportant une en or en relais mixte 400 m, une autre en bronze sur 200 m, réalisant ainsi une haute performance qui a hissé les résultats obtenus par les «Verts». Cherouati Sana Nafissa a décroché une médaille en argent en 1500 m avec un chrono de 17:21.41, derrière l’égyptienne Hania Moro avec 17’:15’’:45, tandis que la Sud-Africaine Samantha Randle s’est contentée d’un chrono de 17’:25’’.08. La nageuse internationale a ainsi ajouté une 3e médaille, avec celle en argent en nage libre 800 m , en réalisant un chrono 9’:01’’:58, ainsi qu’une en une bronze en nage libre avec 4’:24’’:42.

Tout en continuant sa percée, le nageur Moncef Balamane (17 ans) a réussi à décrocher le bronze dans le 200 m 4 nages avec un chrono de 2’:05’’:23, derrière l’égyptien champion du titre, Mohamed Samy qui a réalisé un chrono de 2’:01’’:21 et Ayrton Samy de l’Afrique du Sud avec 2’:02’’.16. La finale est revenue au relais à la sélection 4X100 m féminin (dames) qui a remporté une médaille en bronze, derrière les égyptiens qui se sont adjugés le titre avec 3:42:87 et l’Afrique du Sud avec 3:43:21. La finale est également revenue au relais à la sélection 4X100 M masculin (Messieurs) qui a remporté une médaille en bronze, derrière l’Afrique du Sud qui s’est adjugé le titre avec 4:12:83 et l’Egypte avec 4:15:96. L’Algérie a terminé la compétition continentale à la 3e place du podium totalisant 20 médailles ( 2 en or, 5 en argent et 13 en bronze), tandis que le titre est revenu aux égyptiens qui ont à leur actif 44 médailles (27 en or, 13 en argent 4 en bronze), suivis de l’Afrique du Sud qui s’est adjugée la 2e place avec 39 médailles ( 11 en or, 18 en argent et 10 en bronze). La 13e édition du Championnat d’Afrique de natation a pris fin hier par l’organisation d’une compétition de 5 km dans la discipline la natation en eaux libres, au niveau du barrage de Boukourdane dans la wilaya de Tipaza.

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