Le président du club Anglais de Leicester city, le Thaïlandais Vichai Srivaddhanaprabha, est décédé, ainsi que quatre autres personnes, dans l’accident d’hélicoptère qui s’est produit, samedi, aux abords du King Power stadium.
Dans un communiqué publié sur son site internet, son club a confirmé « avec le plus profond regret et le coeur brisé » que Vichai Srivaddhanaprabha, faisait partie de ceux qui ont tragiquement perdu leurs vies, samedi soir, lorsqu’un hélicoptère le transportant lui et quatre autres personnes s’est écrasé à l’extérieur du King Power Stadium.
« Aucune des cinq personnes à bord n’a survécu », signale encore le club de cette ville du centre de l’Angleterre.
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Khaled Boumediene
Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a exhorté, hier à Tlemcen, les responsables de son secteur à recourir à la télégestion des réseaux de raccordement aux systèmes de dessalement, pour une optimisation de la gestion des ressources, le contrôle en permanence des installations, et la réduction des coûts d’interventions et déplacements et ce, à l’occasion de la mise en service de la station de pompage de Sidi Hfif, dans la commune de Terny, pour le refoulement des eaux de dessalement aux chefs-lieux des cinq communes (y compris leurs agglomérations) : Terny, Ain Ghorabba, Béni-Bahdel, Azail et Béni-Snous. Il a ajouté que, d’ici 2020, toutes les communes du pays seront intégrées à l’Algérienne des eaux pour soulager les APC de la gestion de l’AEP. Accompagné du wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, et des cadres de son secteur, le ministre des Ressources en eau, a entamé son périple, par l’Institut panafricain des Sciences de l’eau, des Energies renouvelables et des Changements climatiques à l’Université de Chetouane où des explications lui ont été présentées, sur cet établissement, créé en octobre 2014, par la Commission de l’Union africaine, afin de former des experts et cadres de direction, produire et diffuser des connaissances nécessaires et combler les lacunes du paysage universitaire africain. M. Necib s’est réjoui du rôle que joue ce partenaire indispensable au développement durable de l’Afrique, à l’heure de relever les défis mondiaux tels que l’adaptation aux changements climatiques et l’approvisionnement durable en eau et en énergie, en Afrique. Il a, de ce fait, montré sa satisfaction pour la qualité de l’enseignement supérieur de haut niveau que propose cet institut qui offre des formations de troisième cycle conformes aux normes internationales et mène des études de Recherche appliquée dans les domaines de l’énergie, de l’eau et du changement climatique.M. Necib s’est rendu, ensuite, dans la commune de Kasdir (wilaya de Naâma) où il a donné le coup d’envoi du lancement, dans les réservoirs principaux (4×5000 m³) de Chott El Gharbi, de l’alimentation en eau des communes d’El Gor, Sebdou et El-Aricha, situées au sud de la wilaya. Louant l’impact bénéfique sur les populations des 16 communes de Naâma, Sidi Bel Abbes et Tlemcen, de ce grand projet de transfert des eaux, doté de 60 forages, 690 km de conduites d’adduction, 25 réservoirs, 11 stations de pompage, 60 stations de forage et 01 centre de télégestion. La capacité d’eaux produite par ce projet est de 20.000 m³/jour.
Le ministre a annoncé qu’une étude portant sur l’exploitation des eaux de Chott El Gharbi, dans l’irrigation des terres agricoles, dans les wilayas de Naâma (3.000 ha), Sidi Bel- Abbès (1.500 ha) et Tlemcen (1.500 ha) a été lancée récemment, Le ministre a pris connaissance du contexte hydrogéologique et pédologique du site et s’est enquis des installations de ce périmètre irrigué, et des possibilités de son extension1. Le ministre devait clôturer sa visite à Hennaya pour s’enquérir des travaux du programme d’urgence de la station de traitement de Sekkak, et procéder à la pose de la 1re pierre du projet d’irrigation de 6.000 ha de Tafna-Isser.
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A. Mallem
Pour le président de l’AB Merouana, Midoune Ramdane, tous les problèmes de son équipe sont imputables au président de l’APC. «Pouvez-vous imaginer ce qu’il nous a donnés comme subvention ? », a-t-il déclaré vendredi dernier au stade Benabdelmalek de Constantine après le match MOC-ABM de la 8ème journée du championnat de division nationale amateurs du groupe Est. «Une subvention de 200 millions de centimes pour toute la saison. Et il n’a pas cherché à connaître si cela suffit ou non !». Et de poursuivre en disant à l’adresse du premier magistrat de la ville de Merouana, «il faut que l’on sache que l’ABM a un président. Et c’est moi. Aussi, je le dis et je le répète, le P/APC se moque carrément du club. Il ne veut pas admettre que nous possédons une équipe dirigée par un président, que nous avons des joueurs. Et c’est le comportement du maire envers l’ABM qui fait que celle-ci se trouve lanterne rouge du groupe. Sinon, si elle était bien prise en charge, l’ABM jouerait les premiers rôles», a déclaré avec dépit le président de ce club des Aurès qui a apparemment de la peine à suivre le rythme du championnat en raison du retard de la préparation de la saison. Pourtant, l’entraîneur Bouaraara Abdelhakim pense qu’à ce stade de la compétition, l’ABM a trouvé ses marques. La défaite devant le MOC s’explique par l’absence de pas moins de 5 titulaires, entre blessés et suspendus. Aussi, il nous a déclaré à la fin du match que si la partie a été d’un niveau quelconque, «l’ABM a bien joué sur le plan tactique. Ce sont les prestations individuelles qui nous ont fait défaut. Et même en jouant à dix, nous aurions pu sortir vainqueurs. Malheureusement, nos joueurs n’ont pas osé», a estimé l’entraineur. Et il a noté que ses joueurs ont raté deux occasions à cause du manque de réalisme, et ce tout en évoluant à dix après l’expulsion de leur capitaine à la fin de la première période. «Mais cet échec va nous servir de leçon et nous permettra de réviser nos plans pour être au top dans les prochaines rencontres», a-t-il dit en conclusion.The post AB Merouana: Une subvention insuffisante appeared first on .
Bencherki Otsmane
Poursuivant son programme de visite et d’inspection à travers les régions de la wilaya, le wali accompagné des directeurs techniques s’est rendu hier dans la daïra de Taougrit.Cette daïra est composée de deux communes : Taougrit et Dahra et de ses plusieurs hameaux éparpillés sur le massif montagneux du Dahra. Elle compte 51.376 habitants (dernier recensement de 2008).
Au menu de cette quatrième sortie depuis son installation à la tête de la wilaya, il y a un mois jour pour jour, de nombreux projets relevant des secteurs de l’habitat, de l’éducation, de la formation, de la santé, des travaux publics ou celui de la jeunesse et des sports.
Le wali a visité également le site où des travaux sont en cours pour la réalisation d’une sûreté urbaine. Il a insisté auprès des responsables de relancer les travaux pour les projets qui étaient gelés jusqu’à ce jour faute de moyens financiers et surtout d’accélérer la cadence des travaux.
A noter que les citoyens ont mis à profit la visite du wali dans leur daïra pour lui exposer leurs préoccupations quant à leurs conditions de vie.
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B.O.
Trois mois se sont écoulés depuis la découverte sur la plage d’un paisible village côtier du corps d’une personne complètement calcinée. Après d’intenses investigations, les gendarmes ont pu identifier puis arrêter l’auteur de ce crime abominable. Selon le chargé de la communication de la gendarmerie de Chlef, «l’enquête diligentée par les services de gendarmerie et grâce à l’analyse de l’ADN a permis d’identifier la victime, un habitant, marié, âgé de 51 ans, répondant aux initiales B.M. et résidant à Guelta».Quant aux deux jerrycans contenant de l’essence retrouvés près de la victime, les empreintes digitales trouvés ont permis d’identifier le présumé meurtrier. Il s’agit d’un jeune homme âgé de 24 ans, habitant le même patelin que la victime. Interpellé par les gendarmes, l’auteur présumé ne tarde pas à passer aux aveux. Selon la gendarmerie, «le présumé coupable avait proposé à la victime une promenade au bord de la mer au cours de laquelle, profitant d’un instant d’inattention, il l’assomma à l’aide d’une grosse pierre puis l’arrosa d’essence pour enfin mettre le feu». Présentés samedi dernier devant le procureur près le tribunal de Ténès, le mis en cause et une femme ont été écroués pour homicide volontaire avec préméditation pour le premier et non dénonciation de crime pour la deuxième.
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El-Houari Dilmi
Une magnifique pouliche pur-sang arabe a été vendue vendredi pour la modique somme de 106 millions de centimes lors d’une vente aux enchères publiques au haras national de Chaouchaoua (jumenterie) de Tiaret.Du nom de «Dhikra» et issue d’une lignée de pur-sang arabe, la pouliche à la belle robe marron et à la très belle allure a été vendue à un chanceux et heureux propriétaire originaire de Barika, dans la wilaya de Batna. Sur vingt (20) chevaux pur-sang arabes mâles et femelles proposés à la vente, onze ont été vendus dans une fourchette de prix oscillant entre 40 et 60 millions de centimes, la palme revenant à la somptueuse «Dhikra», vendue à 106 millions de centimes. Fabrique génétique et fleuron national équin, la jumenterie de Tiaret est la plus grande en Afrique. Pépinière par excellence du pur-sang arabe et arabe barbe, la jumenterie de Tiaret a été créé par le ministère de la Guerre français en 1877, avant d’être classée patrimoine culturel national en 1999.
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E. H. D.
Selon la gendarmerie nationale, trois fusils de chasse, 149 cartouches pleines et de la poudre noire ont été saisis le week-end dernier à M’ghila, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Tiaret. Une personne a été arrêtée dans le cadre de cette affaire. Une enquête est en cours, selon la même source. Par ailleurs, une jeune femme a été arrêtée jeudi dernier en possession de 50 comprimés psychotropes, selon la même source. En effet, agissant sur information, les gendarmes ont arrêté une jeune femme qui écoulait des comprimés psychotropes en pleine ville de Tiaret. Déférée devant le tribunal local, elle a été placée sous mandat de dépôt.The post Tiaret: Trois fusils de chasse saisis appeared first on .
E. H.D.
Nouvellement créé en mars dernier, l’établissement public à caractère industriel et commercial, l’EPIC «Tiaret-Nadhafa», dédié à la gestion des déchets ménagers, l’aménagement d’espaces verts et l’entretien de l’éclairage public a atteint sa vitesse de croisière et se voit confier de nouvelles missions. En effet, l’EPIC « Tiaret-Nadhafa » qui a repris les activités jusque-là assurées par la commune, s’est vu doter d’une enveloppe financière de 95 milliards de centimes pour étendre ses activités et acquérir de nouveaux équipements, des camions bennes à ordures notamment. «Tiaret-Nadhafa » qui emploie près de 400 travailleurs et dont le siège est situé à Karman, dans la proche banlieue de Tiaret en attendant la construction d’un nouveau siège, assure un service en continu (H24), notamment en matière de ramassage des déchets ménagers dans une ville divisée en 25 secteurs. Plus de 380 tonnes de déchets sont ramassées chaque jour, en attendant l’extension des activités de l’EPIC «Tiaret-Nadhafa » à d’autres communes comme Rahouia et Sougueur.The post Tiaret: 95 milliards de centimes pour «Tiaret-Nadhafa» appeared first on .
A.E.A.
Les travaux de réhabilitation des trottoirs du pont de Bab El Kantara, qui donne accès à la rue Larbi Ben Mhidi et au centre-ville, semblent s’éterniser mettantà bout de nerf et même en colère, les habitants des quartiers de la rive droite du Rhumel.
En effet et cela concerne surtout les piétons de Bab El Kantara et de toute sa zone, habitués à emprunter le pont en question, outrés par la situation dans laquelle se trouvent les trottoirs, qui une fois décapés en entier sont laissés en l’état et ce, depuis près de trois semaines, maintenant, disent-il. Et de poursuivre qu’en plus les restes des carreaux de l’opération de décapage y sont toujours, juste rassemblés par endroits, pendant que les lieux n’ont pas été nettoyés des gravas et autres caillasses, si bien qu’une nuée de poussière s’élève au moindre souffle de vent. Situation qui a pour effet de gêner et indisposer les passants. Mais également toutes les personnes âgées qui éprouvent beaucoup de gêne pour se déplacer, malgré qu’elles soient munies de cannes qui ne se révèlent pas d’un grand secours, en l’occasion. Ainsi et selon l’une d’elles qui nous a interpellé, hier, disant : « figurez-vous que pour réussir à traverser tout le pont, je ne peux m’en sortir que par la marche sur la bordure des trottoirs, j’utilise l’une pour l’aller et l’autre pour le retour ». Elle indiquera encore « je le fais non seulement pour mon équilibre mais aussi pour épargner à mes chaussures une détérioration précoce, car cela use les souliers que de marcher sur de la pierraille », dit-il.
En tout cas, tous les piétons, mais également les automobilistes, tiennent à dénoncer cette situation pour les indispositions que cela leur procure, même si par ailleurs, ils ne sont pas contre la réhabilitation des trottoirs, bien au contraire. Ils trouvent que c’est là une bonne décision de l’APC, initiatrice des travaux et ne manquent pas de s’en féliciter. Malheureusement, notent-ils, ce qui les met en rogne a trait au temps que les travaux prennent et au rythme lent, et parfois très lent, auquel ils sont menés. Nos interlocuteurs se posant de grands points d’interrogation, sur cette nonchalance dans l’exécution des projets vise l’amélioration urbaine et par là même celle du cadre de vie. Nous avons voulu avoir des explications auprès du directeur des réalisations de l’APC de Constantine, mais en vain. Même résultat pour la cellule de communication.
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Farid Haddouche
L’Union nationale des agronomes (UNA) représentée par le bureau de la wilaya de Bouira, en collaboration avec le secteur de la formation professionnelle, a organisé ce samedi une journée technique sur «la protection des végétaux et son intérêt pour la production agricole».Plusieurs communications ont été données par des techniciens et ingénieurs appartenant à la station régionale de la protection des végétaux (SRPV) de Draa Ben Khedda, à la direction des services agricoles (DSA), à la société Bayer, et à l’institut national spécialisé dans l’enseignement et la formation professionnels de Lakhdaria (INSFP).
Nous citerons Mohamed Badis, ingénieur agronome et directeur commercial de la firme allemande Bayer établie en Algérie, qui a eu à intervenir sur les bonnes pratiques phytosanitaires des produits végétaux.
Ce dernier dira que «améliorer la production est une obligation à la vue de la démographie galopante et du changement des habitudes alimentaires.
Le grand défi étant d’améliorer la production à raison de 60%, si l’on veut vraiment assurer notre autosuffisance, voire indépendance alimentaire».
S’agissant du volet réglementation, Melle Fatima Messaour, inspectrice du service phytosanitaire à la direction des services agricoles (DSA), a parlé des dispositions réglementaires comme le contrôle des traitements des productions végétales qui ne peuvent être effectués qu’en utilisant des produits autorisés sur le marché et homologués par le ministère de l’Agriculture.
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A. Mallem
La première seringue préremplie fabriquée en Algérie a été présentée, hier, au cours d’une conférence de presse animée par le président-directeur général des laboratoires constantinois Nadopharmadic production, M. Bendjabeur Nadir.Elle a pris le nom commercial de Methyl-prednisolone NAD.
C’est un médicament anti-inflammatoire en seringue pré-remplie, accompagnée de deux aiguilles. Fabriqué selon les standards internationaux, le produit traite plusieurs maladies en dermatologie, ORL, rhumatologie, urologie, etc.
Le nouveau produit va être mis sur le marché à partir du 2 novembre 2018. Et il est déjà demandé dans des pays africains et européens comme le Mali, la Mauritanie, le Sénégal, la Pologne et l’Ukraine. « Nous l’avons déjà inscrit pour qu’il soit commercialisé au Mali et au Sénégal et nous n’attendons que les autorisations des organismes compétents de ces pays », a souligné le conférencier.
Pourquoi avoir opté pour la formule pré-remplie ?, ont questionné les journalistes. Et M. Bendjabeur de répondre que c’est à la suite des recommandations de l’organisation mondiale de la santé, OMS, qui insistent sur les dangers présentés par les ampoules en verre.
Car en cassant l’ampoule en verre pour remplir la seringue, des résidus de verre tombent dedans et ils peuvent être injectés dans le sang. Et cela a créé beaucoup de problèmes dans le monde.
Et cette organisation a recommandé donc d’aller vers ce système de seringue pré-remplie.
Revenant au nouveau produit, l’orateur a déclaré que ses laboratoires ont travaillé pendant cinq ans pour arriver à développer ce produit. » Nous pouvons satisfaire le marché algérien qui, selon des statistiques nationales, demande entre 8 et 10 millions de flacons, la même quantité qu’importe l’Algérie, en fabriquant jusqu’à 60.000 unités par jour en mobilisant trois équipes. Et on peut estimer arriver facilement à fabriquer 1 million de flacons par mois.
Invité à donner son appréciation de l’évolution de l’industrie pharmaceutique dans le pays, le conférencier a déclaré sans ambages qu’il y a une nette évolution de la production du médicament en Algérie qu’il faut diversifier en s’orientant résolument vers les biotechnologies, les bio-similaires qui sont à la pointe en Europe. « Pour notre part, a-t-il ajouté, nous investissons tout ce que nous gagnons puisque l’Etat nous fait des facilitations importantes, comme la bonification à taux zéro dans la banque pour le crédit développement, une exonération des droits des douanes, etc. A nous de travailler donc et développer nos produits.
Et nous sommes conscients que c’est le développement qui fait la différence dans la rude concurrence des pays développés. Il faut aussi de la persévérance », a estimé M. Bendjabeur en indiquant qu’au niveau national Constantine est normalement considérée comme le pôle de l’industrie pharmaceutique. « Mais il faut imprimer un développement soutenu de nos produits en innovant, et ce pour ne pas être dépassés par la région Centre du pays où ce créneau se développe à grande allure.
Toutefois, au niveau de la distribution, la région Est occupe quand même la première place ».
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A.El Abci
Le chef de la daïra d’El Khroub, Sadek Sebii, qui a supervisé, hier, l’opération de tirage au sort des 1500 logements sociaux destinés aux habitants de cette commune, dont les clés de 480 unités vont être remises à leurs bénéficiaires le 1er novembre prochain, a annoncé que l’opération ne concernera pas 18 d’entre ces derniers, car des recours ont été déposés contre eux.L’opération du tirage au sort s’est déroulée au niveau de la salle omnisports de la cité des 900 logements de la ville d’El Khroub, en présence de responsables de l’Opgi et sous la supervision du chef de daïra. Et celui-ci de préciser, devant l’assistance nombreuse des concernés, que cette mesure d’exclusion des personnes qui ont fait l’objet de recours, n’est pas définitive et ne veut pas dire qu’ils sont retirés de la listes des bénéficiaires, mais ils sont tout juste non concernés par le tirage au sort d’aujourd’hui, jusqu’à ce que la commission de wilaya des recours tranche dans leurs cas. Et de rappeler également que cette commission est présidée par le wali en personne, et que leur situation sera passée au crible des vérifications et d’étude au cas par cas, à l’effet de voir la véracité des recours introduits contre eux.
Toujours selon le chef de daïra, les clés des 480 appartements concernés par le tirage au sort qui a eu lieu hier, seront remises à leurs bénéficiaires à l’occasion des fêtes du 1er novembre, et une autre liste de bénéficiaires sera affichée vers la fin de cette année en cours. Et d’expliquer que les appartements qui seront distribués à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération, le seront parce qu’ils sont achevés à 100%, y compris les VRD. Pendant que le reste de l’ensemble du projet des 1500 logements, qui est toujours en travaux de réalisation des aménagements extérieurs de voirie et de réseaux divers (VRD), ne sera prêt et achevé complètement que dans quelques semaines, soit vers la fin de l’année. « Et la liste de ces logements fera alors l’objet d’une annonce de notre part », conclut-il.
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A. Ouélaa
Un tragique accident de la circulation s’est produit samedi après-midi sur la RN 84 A, à hauteur du parc de l’APC de Dréan, en allant vers la commune de Chihani. Selon des témoins oculaires, un camion de distribution d’eau potable est entré en collision avec une Renault Express dont le conducteur, âgé de 50 ans, a rendu l’âme sur le coup. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer les circonstances exactes du drame.The post El Tarf: Un mort dans une collision appeared first on .
A. M.
Le faussaire qui utilisait des billets de banque falsifiés pour effectuer de gros achats auprès des commerçants de la nouvelle ville d’Ali Mendjeli, a été arrêté par la police judiciaire de la 3ème sûreté urbaine extérieure de cette localité, a annoncé un communiqué de presse de la sûreté de wilaya de Constantine.Ce document indique que cet individu âgé de 40 ans utilisait des billets de 1000 dinars pour régler les achats qu’il effectuait dans cette ville et c’est l’un de ces achats opéré dans un magasin situé près du grand marché Ritej de Ali Mendjeli qui lui fut fatal, puisque le commerçant à qui il avait acheté des effets vestimentaires d’un montant de 13000 dinars s’est aperçu par la suite que les 13 billets qui lui ont été donnés par l’acheteur pouvaient être faux et il les a montrés à la police aux fins d’expertise scientifique destinée à vérifier leur authenticité.
Et l’expertise a révélé que les dits billets figurant la monnaie nationale étaient effectivement faux. Le commerçant escroqué a porté plainte auprès de la 3ème sûreté urbaine d’Ali Mendjeli et la brigade de police judiciaire de cette unité se lança alors sur la piste du faussaire en déclenchant une enquête et en lançant les recherches et les investigations pour établir l’identité du faussaire et le localiser.
L’action lancée par la police ne tarda pas à donner ses fruits.
Se basant sur les indications fournies par la victime, les éléments de la police judiciaire parvinrent rapidement à établir l’identité de l’auteur de la propagation de la fausse monnaie et localiser son domicile. Et il a été appréhendé dans ce dernier lieu, situé dans un quartier de la ville de Constantine, et conduit au siège de la 3ème sûreté urbaine extérieure de Ali Mendjeli pour complément d’enquête et établissement d’un dossier judiciaire à son encontre. A la fin de cette procédure réglementaire, le prévenu a été finalement déféré devant le parquet de la ville d’El-Khroub et écroué.
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Nait Ali H.
Deux personnes ont trouvé la mort dans le dérapage d’un véhicule léger suivi d’une chute dans un ravin survenu dans la nuit de samedi à dimanche, près d’Azeffoune (70 km au nord-est de Tizi Ouzou), indique un communiqué de la protection civile. Selon les indications fournies, aux environs de 00h45, les éléments de la protection civile ont été alertés avant de se rendre sur les lieux de l’accident situés au village Mellata. Les corps des deux jeunes qui étaient à bord du véhicule âgés de 30 et 35 ans ont été déposés à l’hôpital d’Azeffoune alors qu’une enquête a été ouverte par les services de sécurité pour déterminer les circonstances du drame.The post Tizi Ouzou: Une voiture chute dans un ravin, 2 morts appeared first on .
Yazid Alilat
Le gouvernement a abandonné la piste des hydrocarbures pour relancer la croissance économique en 2019, qu’il a prévue en baisse par rapport à 2018 dans son projet de loi de finances, examiné hier dimanche en commission au Parlement. Le ministre des Finances Abderahmane Raouya, qui a présenté devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) le PLF 2019, a clairement indiqué que l’exécutif ne comptera plus sur les ventes d’hydrocarbures pour soutenir la croissance en 2019, prévue en baisse à 2,6% contre les 4% prévus pour cette année. Le ministre des Finances a indiqué que le projet de loi de finances pour 2019 prévoit un taux de croissance économique globale de 2,9% et de 3,2% hors hydrocarbure. Les secteurs de l’Industrie, du BTP, l’Agriculture ou les Services seront sollicités pour soutenir la croissance en 2019, explique le ministre selon lequel les prévisions d’exportations des hydrocarbures tablent sur un recul de 1% en termes de volume pour s’établir à 33,2 milliards de dollars.Selon le premier argentier du pays, en volume, la croissance hors hydrocarbures en 2019 sera dans le secteur du Bâtiment et des Travaux publics de 4,7%, de 5% dans l’Industrie, de 3,7% dans l’Agriculture et de 1,8% dans les services marchands et non marchands de l’Etat. Le PLF 2019 a été élaboré sans surprise sur la base d’un prix classique du brut à 50 dollars par rapport à un prix moyen sur les marchés pétroliers de 60 dollars/baril, explique encore le PLF 2019, qui prévoit en outre que la parité du dinar algérien devrait se situer autour de 118 dinars pour un dollar, alors que l’inflation prévue sera de 4,5% en 2019 contre 5% en 2018. Pour 2020, le gouvernement prévoit un taux d’inflation de 3,9% et 3,5% en 2021. Optimiste, le gouvernement escompte réaliser en 2020 une croissance économique de 3,4% et 3,2% en 2021 avec une moyenne de croissance hors hydrocarbure de 3,1% en 2020-2021. Les prévisions du PLF 2019 tablent par ailleurs sur une légère remontée du volume des exportations d’hydrocarbures de 4,2% en 2020, générant des recettes estimées à 34,5 milliards de dollars et de 2% en 2021 pour des recettes de 35,2 milliards de dollars.
Vers une précarité financière
En matière de commerce extérieur, le même projet de loi de finances prévoit un recul des importations en 2019 à 44 milliards de dollars en 2019, 42,9 milliards de dollars en 2020, et 41,8 milliards de dollars en 2021. Fatalement, le déficit de la balance commerciale sera très important, selon le texte de projet de loi, de 10,4 milliards de dollars en 2019, 8,2 milliards de dollars en 2020 et 6,4 milliards de dollars en 2021. Dans la foulée, le gouvernement prévoit sur la période 2019-2021 une baisse continue de la balance des paiements, qui devrait retomber de 17,2 milliards de dollars en 2019 à 14,2 milliards de dollars en 2020 et 14 milliards de dollars en 2021. Les réserves de change vont cependant se contracter pour passer en 2019 à 62 milliards de dollars, puis 47,8 milliards de dollars en 2020 et 33,8 milliards de dollars en 2021. Une érosion très rapide et franche des réserves de change, qui s’établissaient à 88,1 milliards de dollars à fin juin dernier.
Ces chiffres montrent clairement que l’économie algérienne va traverser une période de grande précarité financière et seule une remontée du volume des exportations de brut et une hausse soutenue des cours au-delà des 80 dollars/baril peuvent donner quelques assurances sur le front économique externe. Le ministre des Finances a dans ce sens souligné que le projet de loi de finances pour 2019 poursuit les efforts du gouvernement pour éliminer progressivement l’impact négatif sur l’économie nationale du recours au financement non conventionnel, dicté par une baisse drastique des recettes pétrolières et une forte pression sur les réserves de change induite par une hausse incontrôlée des importations à plus de 45 milliards de dollars prévus pour 2018. D’autre part, les recettes budgétaires prévues pour 2019 sont de 6.507,9 mds de dinars, en hausse de +0,2% (6.496,58 mds de dinars prévus en clôture de 2018), et les dépenses s’établiraient à 8.502,2 mds de dinars, en baisse de 1,5% par rapport à 2018 (8.628 mds de DA), soit un déficit budgétaire de 9,2% par rapport au PIB. Le même PLF 2019 prévoit une hausse de 7,5% des dépenses de fonctionnement à 4.954.5 milliards de dinars et une baisse des dépenses d’équipement de -6,1% pour les autorisations de programme qui baisseront à 2.601,7 milliards de dinars et -12,2% pour les crédits de paiements, qui se situeraient à 3.547,7 milliards de dinars contre 4.043,3 milliards pour 2018. Les membres de la commission de l’APN ont entamé, au terme de cette présentation faite par le ministre des Finances, le débat autour du projet de loi avec le ministre et les directeurs centraux du ministère.
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Des chèvres, des cabris, huile rouge, des liqueurs ...etc, c'est ce que le curé B. K. de la paroisse de Bantè doit offrir en sacrifice aux divinités, Ogou, Boukounigbo, Okè Orè, Tohossou, Bonii, Tchakponnon et Edjo Adjiba de la collectivité C. K. A. En dehors de ces offrandes, le religieux devra verser une somme de 600 000 FCFA, dont 300 000 FCFA pour les frais de cérémonies diverses, et les 300 000 FCFA restants, à titre de dommages. Le prêtre est accusé d'adultère avec une femme mariée, rapporte l'Abp.
Une plainte écrite du chef de la collectivité et déposée à la mairie de la localité lui impose ces offrandes et dommages en réparation de la faute commise suivant la tradition.
Selon les témoignages, le mari cocufié a déclaré que son épouse est entrée avec le prêtre dans le presbytère mardi dernier à 21h, pour n'en ressortir qu'à 23 h03, sous les embrassades de l'homme de Dieu. Après les avoir vus, il est sorti de sa cachette avec les personnes qui l'ont accompagné, pour demander à l'épouse infidèle de retourner dans la chambre du prêtre. Aussitôt, cette dernière a pris la fuite.
Ne pouvant se défendre, le curé sous les injonctions du mari cocufié, se serait mis à genou, pour demander clémence et pardon, à la foule attroupée. Le prêtre, souligne-t-on, n'aurait pas été battu, mais serait resté à genou jusqu'à l'arrivée des agents de la police républicaine, sous le flash des appareils photo.
D'où la plainte déposée à la mairie de Bantè et l'organisation d'une cérémonie traditionnelle de purification de la maison.
Le mari de la dame accusé d'adultère, lui aussi chrétien catholique, dit avoir réussi à mettre la main sur le prêtre et sa femme grâce aux fidèles paroissiens, qui, depuis plusieurs semaines, l'informaient de la situation et soupçonneraient une certaine intimité entre le curé B.K. et son épouse avec qui il a eu trois enfants.
Suite à cette affaire qui agite depuis quelques jours la commune de Bantè, un mouvement de jeunes a protesté jeudi dernier, pour s'opposer au retour sur la paroisse de ce prêtre, qui serait un habitué des faits.
Aux dernières nouvelles, le mis en cause aurait trouvé refuge au diocèse de Dassa-Zoumè.
F. A. A.
R.N.
Deux personnes sont décédées et huit autres ont été blessées dans le renversement d’un camion de transport de travailleurs, survenu hier matin sur la route reliant Hadjout à Sid Rached, à Tipasa, a-t-on appris auprès des services de la Protection civile de la wilaya. Les éléments de la Protection civile sont intervenus aux environs de 6h de la matinée pour évacuer les dépouilles de deux victimes (âgées de 40 et 45 ans) mortes sur place, des suites de la gravité de leurs blessures à la tête, a indiqué à l’APS le chargé de la communication auprès de ce corps constitué, le lieutenant Michalikh Mohamed. Cette intervention, ayant mobilisé quatre ambulances et trois véhicules pour l’évacuation des victimes, a, également, permis le transport des huit blessées, atteints de blessures «plus ou moins graves», selon le même responsable, vers l’hôpital de Hadjout, où ils bénéficient actuellement des soins nécessaires. L’accident est survenu suite au dérapage d’un camion transportant des travailleurs depuis Hadjout vers leur lieu de travail à Sidi Rached, au lieu dit «ferme Karfa», de la RN 67, après que le conducteur ait perdu le contrôle de son volant, a estimé la même source.The post Tipasa: Un camion se renverse, 2 morts et 8 blessés appeared first on .
M. Aziza
Les infectiologues ont beaucoup insisté, hier en marge du premier congrès annuel d’infectiologie tenu à l’hotel Aurassi, sur la nécessité de maintenir le fonds des urgences, alimenté par les taxes sur le tabac, qui a été créé en 1998.Ce fonds, précise le Pr Smaïl Mesbah, président de la Société algérienne d’infectiologie (SAI), a été justement conçu pour faire face aux maladies épidémiologiques.
Pour le Dr Mesbah, le maintien de ce fonds s’avère primordial aujourd’hui plus qu’hier, notamment avec le retour des maladies infectieuses comme la rougeole, le choléra pour ne citer que celles-là. Le président de la SAI a affirmé que le maintien de ce fonds permettra de faire face à des menaces de maladies transmissibles rapidement, sans toucher un centime du budget du secteur de la santé.
Est-ce que les autorités sanitaires ont déjà puisé dans ce fonds pour faire face à certaines maladies transmissibles ? Pas de réponses claires. «Oui, quelques fois, mais ce qui est important aujourd’hui c’est de le maintenir», rétorque notre interlocuteur.
Car, il faut bien le rappeler, lors d’un exposé présenté devant la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la formation professionnelle du Conseil de la nation, le ministre de la Santé, Mokhtar Hasbellaoui, avait indiqué que le gouvernement a dégagé «une enveloppe financière supplémentaire de plus de 140 millions DA» pour renforcer en moyens les structures concernées par la prise en charge des malades du choléra. Sachant que 110 cas de choléra ont été confirmés et 2 décès ont été enregistrés. La question qui se pose : est-ce que les autorités sanitaires ont fait appel à ce fonds pour la prise en charge cette épidémie ou celle de la rougeole ? Et quelles sont les modalités pour accéder à cette source de financement ?
Pour les infectiologues, le plus important est le maintien de cet acquis. Dr Mesbah a également affirmé que l’Algérie dispose de «plusieurs atouts» qui lui permettent de faire face aux menaces épidémiologiques. «Nous avons un cadre juridique, un décret portant sur le règlement sanitaire international ; nous avons un fonds des urgences et un personnel formé et qualifié». Pour lui, «il faut justement renforcer, améliorer et surtout étendre tous les dispositifs à l’ensemble du territoire national».
Les infectiologues ont également préconisé la mise en place des laboratoires de contrôle et de diagnostic précoce des maladies transmissibles, à travers le pays, et non pas seulement au centre du pays.
Enfin, ce congrès a donné l’occasion à la société savante (SAI) fraîchement créé de se manifester en tant que partenaire des pouvoirs publics, justement pour faire des recommandations, des propositions et pourquoi pas lancer des alertes contres des menaces des maladies infectieuses émergentes.
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R. N.
Le Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA), un mécanisme de renforcement et de diversification des relations économiques, industrielles et commerciales entre l’Algérie et la France, tiendra sa 5e session aujourd’hui à Paris.Les travaux auxquels prennent part le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, et le ministre français de l’Economie, Bruno Lemaire, seront coprésidés par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et son homologue français, Jean-Yves Le Drian.
La rencontre permettra d’établir le bilan de la coopération entre les deux pays et d’examiner d’autres accords, notamment dans le domaine économique. Les travaux du COMEFA seront précédés d’un entretien entre les deux MAE. Au programme de cette rencontre est également prévue la quatrième session du Dialogue stratégique entre les deux pays.
Ce dialogue est un cadre informel permettant aux deux parties de confronter leurs analyses et d’échanger les informations se rapportant aux problèmes liés à la question sécuritaire. La réunion d’aujourd’hui est la première qui se tient après l’adoption, le 7 décembre dernier, du Document-cadre de partenariat (DCP) pour les années 2018-2022. Le précédent (2013-2017), signé lors de la visite du président François Hollande en décembre 2012, avait défini les grands axes de coopération.
Pour rappel, au cours de la 4e session du COMEFA qui s’est tenue à Alger le 12 novembre 2017, trois accords de partenariat et de coopération économiques ont été signés. Il s’agit d’un pacte d’actionnaires entre le Groupe PMO Constantine, le Groupe Condor, la société Palpa Pro et PSA Peugeot pour la production des véhicules en Algérie. Le deuxième accord portait sur un protocole pour la mise en place d’un consortium à l’exportation des fruits et légumes d’Algérie, ainsi que d’un partenariat dans le domaine des produits agricoles bio, entre les Sociétés Agro-Logistique (Agrolog) et Agromed.
Le troisième accord concernait un pacte d’actionnaires entre le groupe public Elec El Djazair et le Groupe Schneider dans le domaine de la fabrication des équipements électriques de basse, moyenne et haute tension.
La 4e session avait précédé la visite en Algérie du président français Emmanuel Macron le 6 décembre et les travaux à Paris, le lendemain de la visite présidentielle, du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN), coprésidés par les Premiers ministres des deux pays, Ahmed Ouyahia et Edouard Philippe, au cours de laquelle onze accords de coopération ont été conclus.
Ces accords concernent cinq secteurs : la santé, la formation professionnelle dans le domaine de l’électricité, l’agroalimentaire, l’entrepreneuriat, le livre et l’enseignement supérieur.
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