Dans le cadre de la 5ème journée des éliminatoires de la CAN 2019, les Verts affrontent le Togo au stade Municipal de Lomé. A la 13’ Mahrez ouvre le score pour les Verts puis à la 27’ Ata ajoute le second sur une jolie frappe du pied gauche le gardien adverse. Riyad Mahrez revient à la 29′ d’une jolie frappe inscrit le troisième but pour l’EN.
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Un accident de circulation a eu lieu, ce dimanche, dans les feux tricolores de l'ancien autogare de Tchaourou.
Il a été occasionné par un véhicule Samu qui aurait perdu le contrôle. La fourgonnette est entrée en collision avec les motocyclistes qui stationnaient au feu rouge en sens inverse.
Le bilan fait état de plusieurs morts ainsi que des blessés graves.
Akpédjé AYOSSO
Le ministre de l'énergie était l'invité de la télévision Canal3, ce dimanche 18 novembre 2018, dans l'émission ‘'Zone franche''. Dona Jean-Claude Houssou
a exposé les efforts du gouvernement du Nouveau Départ pour rendre l'énergie électrique disponible et à moindre coût aux populations.
Selon le ministre, le président Patrice Talon et son gouvernement ont donné au secteur de l'énergie, une priorité dans le Programme d'actions du gouvernement (Pag), avec 10% des projets, soit environ 700 milliards de francs CFA. Cet intérêt accordé au secteur a permis de conjuguer au passé les coupures intempestives de courant qui faisaient souffrir les populations. En deux ans et demi, souligne-t-il, le gouvernement a beaucoup fait et les résultats palpables sont visibles sur le terrain.
Des mesures à court terme ont permis la remise en fonction de toutes les centrales, a informé le ministre de l'énergie.
Pour que l'objectif fixé par le chef de l'Etat qui est de rendre l'énergie disponible à toutes les populations fin 2016 soit atteint, des négociations ont été menées. Ces actions, explique Dona Jean-Claude Houssou, ont permis de bénéficier d'une puissance de 60 mégawatts de la part de la Communauté électrique du Bénin (Ceb). Dans la même perspective, en mai 2016, un avis d'appel d'offres international a été lancé pour l'installation d'une centrale thermique de 120 mégawatts, a-t-il rappelé avant d'ajouter que le chef de l'Etat a également donné des instructions pour que les problèmes d'indemnisation en ce qui concerne la centrale de Maria Gleta déjà à un taux d'exécution de 70%, soient réglés.
Pour ce projet, plus de 1000 emplois ont été créés et des entreprises béninoises se sont révélées. Ces sociétés pourront selon le ministre, améliorer leurs compétences et compétir à l'international. D'ici 2020, plus de 400 mégawatts sont envisagés et seront disponibles sur le territoire, annonce le ministre de l'énergie.
Il a ajouté qu'il y aura également le code béninois de l'électricité. Ce code déjà en réforme, va poursuivre son circuit pour aboutir bientôt à sa ratification.
Le financement d'une seconde centrale de 120 mégawatts est en train d'être bouclé, a informé le ministre de l'énergie.
Vers une gestion déléguée de la Sbee.
Au sujet de la Sbee (Société béninoise d'énergie électrique, Dona Jean-Claude Houssou a souligné que le gouvernement a décidé qu'elle soit assainie. L'une des mesures importantes prise dans ce sens, est celle de l'annulation de sa dette vis-à-vis de l'Etat.
Cette dette, selon le ministre, est survenue parce que c'est l'État qui achetait du combustible. A cet effet, un dispositif de régulation qui permet à l'État de ne plus devoir à la Sbee, a été mis sur place et des compteurs prépayés ont été installés dans toute l'administration. Mais dans les zones où cela n'est pas possible, le gouvernement a décidé de laisser fonctionner les compteurs conventionnels et l'État s'est engagé à payer une avance trimestrielle.
En raison de la situation que traversait la Sbee, le gouvernement est allé chercher une ‘'société championne'' dans le secteur, pour lui venir en aide.
Dans les jours à venir, annonce Dona Jean-Claude Houssou, on assistera à une gestion déléguée de la Sbee.
L'énergie étant un besoin primordial, doit être disponible et à profusion. Pour cette raison, le président Patrice Talon s'investit lui-même dans tout ce qui se fait dans ce secteur.
F. Aubin AHEHEHINNOU
“Qui est cette main invisible qui serait derrière ces blocages ?” s’interroge la coordination qui croit détenir la réponse : “De nombreuses sources médiatiques citent Réda Kouninef qui, d’après elles, utilise ses liens privilégiés avec Saïd Bouteflika et les autres décideurs pour bloquer les projets de Cevital.”
“Le sabotage de l’économie nationale, par les blocages des projets de Cevital et de ceux de l’Algérie qui produit, constitue aujourd’hui une réelle menace pour la stabilité nationale et la sécurité alimentaire de notre pays”, ont mis en garde les membres de la Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques, dans une déclaration transmise, hier, à notre rédaction. C’est à l’issue d’une réunion de cette coordination, tenue au siège du comité de participation de Cevital de Béjaïa, hier, soit au 600e jour de blocage du projet de l’usine de trituration de graines oléagineuses initié par ce groupe industriel privé à Béjaïa, que Mourad Bouzidi et ses camarades ont décidé de s’exprimer à travers une déclaration publique, afin de rappeler à l’opinion publique nationale la gravité de la situation socioéconomique du pays. “Trop, c’est trop ! Cevital, fer de lance de l’économie nationale, est aujourd’hui la cible d’un acharnement concerté, organisé, synchronisé et minutieusement exécuté au nom de l’État algérien. Alors qu’à l’étranger, on déroule le tapis rouge à Issad Rebrab, président de Cevital, dans son propre pays, l’Algérie, une main invisible, qui profite de sa proximité avec les décideurs, travaille, de jour comme de nuit, au sabotage de ses projets d’investissement”, ont-ils dénoncé. Les rédacteurs du document déplorent, en outre, qu’après
600 jours de blocage de l’usine de trituration de Béjaïa et après quatre grandes marches populaires de plusieurs milliers citoyens, “le Conseil national de l’investissement a, dans ses résolutions du
30 octobre dernier, validé, contre toute attente, une liste de 25 wilayas où l’activité de trituration de graines oléagineuses est éligible aux avantages accordés à l’investissement, excluant la wilaya de Béjaïa où la demande est pourtant réelle, voire même populaire. Cette résolution discriminatoire cible de façon flagrante Cevital et Béjaïa, locomotive économique de la Kabylie, et met en danger l’unité nationale. Elle constitue une atteinte grave aux droits économiques de la jeunesse qui réclame à cor et à cri des emplois durables”.
Des blocages en série
Les animateurs de la Coordination des comités de soutien aux travailleurs de Cevital tiennent à rappeler qu’ils avaient saisi par écrit l’actuel Premier ministre, ainsi que les deux Premiers ministres qui l’ont précédé et adressé trois lettres au président de la République pour attirer leur attention sur les blocages “injustes” dont fait l’objet le projet de l’usine de trituration de Cevital à Béjaïa. “à ce jour, nous n’avons reçu aucune réponse. La situation n’a pas évolué. Au contraire, tout s’est aggravé. Notre démarche est pourtant un cri d’alarme destiné à alerter les décideurs de notre pays sur un crime économique commis contre des projets vitaux, créateurs de richesses et d’emplois, contribuant à la diversification de notre économie et absorbant, de ce fait, une partie de nos diplômés”, se sont-ils indignés. Évoquant les différents projets bloqués, les signataires de la déclaration citent : “Deux usines d’électroménager à Sétif, Samha et Brandt Algérie, sont carrément à l’arrêt”, car “bloquées par les services des douanes qui réclament, tenez-vous bien, une amende de 250 milliards de centimes”, “un projet (Oxxo) de plus de 2 000 emplois à Tizi Ouzou, qui risque de ne jamais voir le jour”, tandis qu’“à Boumerdès, c’est le mégaprojet du hub portuaire de Cap Djinet, qui devait créer un million d’emplois directs et indirects, qui est bloqué. Ce blocage met en péril la pérennité de
3 500 emplois”, ajoutant qu’“à Blida, c’est le projet d’EvCon, nouvelle technologie révolutionnaire pour la production de l’eau ultra pure, qui voit ses équipements bloqués au niveau des ports algériens” et qu’à Béjaïa, enfin, ce sont les deux principales vocations de la wilaya qui sont attaquées, à savoir “un mégaprojet touristique prévu sur la côte Est de la wilaya, créateur de plusieurs milliers d’emplois, est bloqué”, alors que dans le domaine de l’agroalimentaire, c’est “l’usine de trituration qui est bloqué depuis exactement 600 jours. Ce sont
1 000 emplois directs et 100 000 emplois indirects bloqués pour notre jeunesse”. “Qui est cette main invisible qui serait derrière ces blocages ?” s’interroge la coordination qui croit détenir la réponse.
“De nombreuses sources médiatiques citent Réda Kouninef qui, d’après elles, utilise ses liens privilégiés avec Saïd Bouteflika et les autres décideurs, pour bloquer les projets de Cevital.” Et d’avertir que “cette situation est à la fois scandaleuse et très inquiétante”. Et la coordination de se poser une autre question : “Notre pays peut-il se permettre de telles aberrations qui font perdre chaque année des dizaines de milliards de dollars à sa balance de paiement et qui poussent notre jeunesse à l’exil, souvent au péril de leur vie ?”
Une réunion pour arrêter des actions
Ne pouvant rester indifférents face à une telle situation, les membres de la Coordination des comités de soutien aux travailleurs de Cevital appellent à une réunion élargie aux représentants de la communauté universitaire, à l’ensemble de la société civile, de la classe politique, tous les élus, ainsi qu’aux opérateurs économiques qui se tiendra le samedi
24 novembre, à 9h, au siège du Comité de participation de Cevital de Béjaïa. L’objet de cette rencontre est de débattre de ces blocages et de décider ensemble des éventuelles actions à entreprendre pour la sauvegarde de Cevital et pour exiger “l’arrêt immédiat de l’acharnement contre Cevital et le déblocage de tous ses projets”, “l’intégration de Béjaïa sur la liste des wilayas où l’activité de trituration de graines oléagineuses est éligible aux avantages accordés à l’investissement”, “l’accostage des bateaux au port de Béjaïa, le débarquement des équipements et la réalisation de l’usine de trituration de graines oléagineuses de Cevital”, “une répartition juste et équilibrée des investissements et de la richesse dans notre pays” et “une gestion transparente et juste de l’économie nationale”.
Kamal Ouhnia
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L’affaiblissement des cours du pétrole aggraverait le déficit de la balance des paiements qui, à son tour, accélérerait la contraction du stock en devises.
Les experts du Fonds monétaire international (FMI) ont conclu la semaine dernière que l’équilibre extérieur de l’Algérie est tributaire d’un baril à 80,30 dollars en 2018 et à 78,90 dollars en 2019. C’est-à-dire qu’en dessous de ces seuils, les comptes extérieurs resteront déficitaires et entraîneront de facto l’érosion des réserves de change ; un élément non des moindres qui atteste encore de la solvabilité du pays. Le stock en devises du pays s’est rétréci comme peau de chagrin depuis 2014, chutant d’un plus haut de 194 milliards de dollars à 88 milliards de dollars à juin 2018, marquant ainsi une perte sèche de près d’environ 105 milliards de dollars. Les réserves de change continueront à évoluer à la baisse tant que la balance des paiements ne quitte pas la zone rouge ; elles dépendent de la rentabilité du baril de Brent qui vient de clôturer la semaine à
67 dollars, bien en deçà du niveau d’équilibre extérieur aussi bien pour l’actuel exercice que pour le prochain. Sur les trois prochains exercices 2019-2021, le déficit de la balance des paiements se chiffrerait à 17,2 milliards de dollars en 2019, à
14,2 milliards en 2020 et 14 milliards en 2021, entraînant ainsi un une contraction des réserves de change à 62 milliards de dollars en 2019, à 47,8 milliards de dollars en 2020 et à 33,8 milliards de dollars en 2021. Face à ce tableau de bord aux voyants rouges, l’Exécutif ne fait que repousser sine die l’heure de la réforme qui, pourtant, n’a jamais semblé aussi urgente. L’incertitude politique autour de la succession ne fait que complexifier l’équation budgétaire, dès lors que les réformes à mener, aussi douloureuses soient-elles, nécessitent à la fois de l’ingéniosité, du courage politique et de la légitimité par-dessus tout. La rechute récente des cours du brut, cédant environ 20% de sa valeur en six semaines, l’une des plus fortes glissades depuis 2016, a fait ressurgir le spectre d’insolvabilité à court terme sous l’effet d’une fonte accélérée des réserves de change. Sur le papier, l’affaiblissement des cours du pétrole aggraverait le déficit de la balance des paiements qui, à son tour, accélérerait la contraction du stock en devises. À moins que le gouvernement ne se réveille en sursaut, comme d’un cauchemar, voire d’un long coma et tente sans délai un rééquilibrage budgétaire rigoureux et non sans douleur. Il va falloir revenir très rapidement à l’assainissement des finances publiques abandonné en 2017, à l’application de réformes économiques et budgétaires structurelles, à changer de modèle de croissance, à raboter la facture d’importation et à soutenir les exportations hors hydrocarbures. Faute de quoi, le compte à rebours vers une détérioration plus prononcée des comptes extérieurs sera inévitable, ce qui se traduirait par le retour à la dette extérieure ; laquelle ne se fera qu’à des conditions pour le moins onéreuses et douloureuses.
Ali Titouche
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Le colonel Boualem Boughlef vient d’être officiellement nommé directeur général de la Protection civile (DGPC). Il sera Installé, aujourd’hui dimanche, par le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui. M. Boughlef succède ainsi au colonel Mustapha El-Habiri qui, lui, avait occupé le même poste de 2001 à juin 2018 avant qu’il ne soit désigné, en juin dernier, au poste de directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), en remplacement du général-major, Abdelghani Hamel. Très expérimenté dans le domaine de la Protection civile, le colonel Boughlef avait occupé plusieurs postes avant d’être désigné au poste de directeur de la Protection civile de Ghardaïa, puis de Médéa. En avril 2016, M. El-Habiri l’avait nommé au poste d’inspecteur des services extérieurs à la DGPC.
F.BELGACEM
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Les partis de la coalition présidentielle, en l’occurrence le FLN, le RND, Taj et le MPA, se réunissent aujourd’hui, au siège de l’ex-parti unique, à Hydra. Le SG du RND étant en déplacement à l’étranger, dans le cadre de ses fonctions de Premier ministre, sera représenté, lors de cette réunion, par le porte-parole du parti, Seddik Chihab, et le parlementaire Naci Mustapha, indiquent nos sources. Djamel Ould-Abbes, qui a démenti, hier samedi, l’information selon laquelle il a démissionné de son poste de SG, sera représenté par deux membres du bureau politique du FLN, Ahmed Boumahdi et Mustapha Rehiel. Nous apprenons de mêmes sources que les présidents de TAJ et du MPA, Amar Ghoul et Amara Benyounès, seront également représentés, lors de cette réunion, par des cadres de leurs partis.
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L’UA avait chargé en 2016 le leader rwandais de préparer cette réforme destinée à rendre l’UA plus efficace et moins dépendante de ses sponsors internationaux.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a réaffirmé hier à Addis-Abeba (Éthiopie) la nécessité de préserver le traité constitutif de l’Union africaine (UA) de “toute révision”, soulignant qu’“il incarne les principes et les valeurs qui nous unissent”. “Le traité constitutif de l’UA doit être préservé de toute révision, car il incarne les principes et les valeurs qui nous unissent”, a déclaré M. Ouyahia à l’ouverture des travaux du 11e sommet extraordinaire de l’UA, consacré pour la première fois à la réforme institutionnelle de l’organisation panafricaine. Il a ajouté que l’UA devait demeurer “sous le contrôle souverain” de ses États membres, estimant que “c’est de cette manière qu’elle représentera les peuples africains”. Il a par ailleurs appelé à la révision du barème des contributions des États membres pour une “répartition équitable”, rappelant dans ce sens que “l’Algérie a toujours donné l’exemple par sa disponibilité et sa régularité en matière de paiement”. M. Ouyahia, accompagné du ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel, représente le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au 11e sommet extraordinaire de l’UA, consacré à la réforme institutionnelle de l’organisation panafricaine.
Durant deux jours, les chefs d’État et de gouvernement des pays membres de l’UA auront à examiner le “projet de décisions” sur la réforme institutionnelle de l’UA, finalisé lors de la 20e session extraordinaire du Conseil exécutif réuni mercredi et jeudi derniers à Addis-Abeba. Hier, à l’ouverture de ce sommet, le président en exercice de l’UA, le président rwandais Paul Kagame, a affirmé : “Notre objectif est simple: renforcer l’Afrique et donner à nos peuples l’avenir qu’ils méritent”, ont rapporté les agences de presse. “Les évènements dans notre continent et dans le monde confirment la nécessité et l’urgence de ce projet”, a ajouté M. Kagame dont le mandat d’un an à la tête de l’UA expire en janvier.
L’UA avait chargé en 2016 le leader rwandais de préparer cette réforme destinée à rendre l’UA plus efficace et moins dépendante de ses sponsors internationaux. Ce sommet, selon les observateurs, est la dernière chance pour M. Kagame de faire adopter des mesures fortes, avant qu’il ne passe le relais au président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, moins enclin aux réformes. M. Kagame a cherché à tailler dans les dépenses de l’UA, en limitant le nombre de sommets et de commissions, et à réduire sa dépendance à l’égard des donateurs étrangers. Il a aussi suggéré qu’elle circonscrive ses priorités à la sécurité, la politique et l’intégration économique.
Mais plus de deux ans et cinq sommets après, plusieurs États clés sont toujours extrêmement réticents et l’espoir de voir un accord global être conclu cette semaine dépend surtout des négociations du sommet d’Addis-Abeba.
R. I./Agences
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Plus de 1,3 million d’enfants âgés de moins de cinq ans souffrent de malnutrition aiguë sévère dans la région du Sahel, le nombre le plus élevé depuis au moins une décennie, avec une augmentation de plus de 50% par rapport à 2017, a prévenu l’Unicef. Au début de 2018, le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) avait initialement prévu que jusqu’à 1,6 million d’enfants dans les six pays du Sahel (Burkina Faso, Tchad, Mali, Mauritanie, Niger et Sénégal) risquaient de souffrir de malnutrition aiguë sévère. En réponse, l’agence onusienne pour l’enfance a rapidement renforcé son intervention en livrant des fournitures et des médicaments qui sauvent des vies avec le soutien de la branche humanitaire de la Commission européenne (Echo) et d’autres partenaires, selon un communiqué de l’Unicef. “La malnutrition hante silencieusement les enfants à travers le Sahel, et 2018 a été particulièrement sévère”, a déclaré Marie-Pierre Poirier, directrice régionale de l’Unicef pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. “Nous avons été en mesure de livrer les fournitures et les médicaments dont ces enfants ont besoin pour survivre, mais il est tout aussi important d’investir dans les mesures préventives et le dépistage précoce pour empêcher les enfants de tomber malades. C’est le changement que nous avons mis en place cette année et il a donné des résultats encourageants”, a-t-elle dit, citée dans le communiqué.
La malnutrition atteint régulièrement le niveau d’urgence dans certaines zones du Sahel en raison de multiples facteurs, notamment la dégradation des terres et des cultures, la sécheresse et les intempéries périodiques, la pauvreté, l’accès limité aux denrées de base et aux services essentiels, et la croissance démographique, selon la même source.
Chaque année au Sahel, de nombreux enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère, en particulier pendant la période de soudure, lorsque la nourriture se raréfie et que le paludisme et les maladies diarrhéiques se multiplient. Cette année, le nombre de cas de malnutrition aiguë a considérablement augmenté en raison de l’insuffisance des pluies, du prix élevé des produits alimentaires, des conflits armés et de l’insécurité.
R. I./Agences
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Un Casque bleu de la Mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a succombé à ses blessures, vendredi soir, après des combats contre des hommes non identifiés dans l’ouest de la Centrafrique, ont rapporté hier des médias.
Des hommes armés non identifiés ont attaqué une base avancée de la Minusca à 21h00 (20h00 GMT) à Gbambia, à une centaine de kilomètres de Berberati, dans la province de la Mambéré-Kadéï, dans l’ouest du pays, a indiqué le rapport, qui ne précise pas la nationalité de la victime.
Le Casque bleu a été blessé dans les affrontements et est décédé à l’hôpital de Berberati des suites de ses blessures, selon le texte. Ces combats ont duré environ 45 minutes, a précisé le rapport qui ajoute que les populations locales ont fui dans la brousse. Dans l’ouest du pays où l’attaque a eu lieu, le groupe armé Siriri est présent. Dirigé par un certain Ardo Abba, dont les effectifs ne dépasseraient pas la centaine d’hommes, ce groupe créé en 2018 est constitué en majorité d’éleveurs peuls, prétendant lutter contre les vols de bétail, très fréquents dans cette région de transhumance. Cette nouvelle attaque porte à six le nombre de Casques bleus tués en République centrafricaine cette année. Jeudi, des combats meurtriers entre groupes armés ont endeuillé la ville d’Alindao, dans le centre du pays, où une quarantaine de personnes dont deux prêtres ont été tués.
R. I./Agences
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En ce moment, alors que parfois les autorités locales trouvent d’énormes difficultés pour implanter certains projets de nécessité avérée, certaines infrastructures demeurent fermées depuis plusieurs décennies et semblent être abandonnées. Nous pouvons citer l’ancien complexe des textiles Elatex, le géant qui faisait la fierté des industries légères.
Pour rappel, ce complexe spécialisé dans la filature et qui employait plus d’un millier de travailleurs avec un impact économique et social très important, créant une certaine dynamique dans le mouvement de la population, et à l’instar des autres secteurs industriels, n’a pas échappé au syndrome des liquidations et à la fermeture avec un dégraissage ou essaimage des effectifs.
Depuis cette date, le complexe a changé de statut pour faire partie du patrimoine des Domaines, puis, plus rien, personne ne s’est inquiété pour redéployer cet outil de production, sous plusieurs formules : partenariat, concession, etc. et c’est l’abandon tout simplement subi d’une forte dégradation des équipements qui ne répondent plus maintenant aux conditions du temps, ils sont devenus obsolètes et sont tout simplement bons pour les fours de la sidérurgie.
Idem pour les autres entreprises qui ont connu le même sort, tels la Sotyhob, l’EPBTP, l’usine de la tapisserie dont le tapis a fait le tour du monde de par sa qualité purement arabo-musulmane. Les responsables se sont limités à formaliser administrativement les dossiers de liquidation sans aucun souci de relance des activités ou autres.
Aujourd’hui, et au moment où les pouvoirs publics s’orientent vers d’autres segments et filières à même de créer de la valeur ajoutée et des postes d’emploi, on brandit le phénomène de la saturation du foncier, or, c’est plutôt un problème de gestion et de redéploiement. Si on se penche sur la zone industrielle de la ville de Aïn-Beïda, une assiette qui s’étale sur des centaines d’hectares et disposant de toutes les commodités : des amenées en eau potable, gaz et électricité avec des assainissements nécessaires, plusieurs concessions ont été allouées aux investisseurs qui ont bénéficié de tous les avantages.
Parmi ces bénéficiaires, seuls quelques-uns, qu’on peut compter sur les doigts d’une seule main, ont fait aboutir leurs petits projets, le reste végète à l’état embryonnaire faute de contrôle et de suivi. On cite également l’ancien Souk-el-Fellah, un secteur qui a subi lui aussi les affres de la liquidation, une infrastructure située dans un point stratégique, en plein centre-ville et fermé depuis des décennies sans qu’aucune solution vienne libérer des dizaines de magasins.
Beaucoup d’autres infrastructures sont restées fermées donnant l’occasion aux opportunistes de faire des tentatives de s’en accaparer. Les responsables locaux parviendront-ils à mettre fin à cette situation qui n’a que trop duré ? Les Beïdis, notamment les jeunes commerçants et chômeurs, lancent un appel au chef de l’exécutif pour se pencher sur ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encre sans toutefois trouver de solutions adéquates.
Moussa Chtatha
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2 kg de pomme de terre, 1 gousse d’ail, 35 cl de crème liquide (le gratin est moins bon avec de la crème épaisse), 35 cl de lait, sel, poivre
1- Eplucher les pommes de terre et les couper en fines lamelles . Les laver à l’eau afin de retirer l’amidon et les sécher autant que possible (facultatif).
2 – Préchauffer le four à 180°c. Mettre de l’ail écrasé au fond du plat à gratin. Puis les lamelles de pomme de terre.
3 – Mélanger la crème et le lait et recouvrir les pommes de terre. Saler et poivrer.
Pour finir
Mettre au four : 60 minutes.
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4 œufs entiers, 200 g de sucre en poudre, 250 g de farine, 1 yaourt nature, 1 sachet de levure, 120 ml d’huile (12 cl), 150 à 200 g de chocolat noir
1 – Préchauffer le four sur 180°C (thermostat 6). Dans un saladier, battre au fouet les œufs et le sucre. Ajouter ensuite le yaourt, la farine et la levure, bien mélanger.
2 – Incorporer l’huile, mélanger doucement (gare aux éclaboussures !)
3 – Bien mélanger au fouet. On doit obtenir une pâte bien lisse.
4 – Dans un autre saladier, couper le chocolat en carrés et mettre à fondre doucement au micro-ondes (ou au bain-marie). Sortir du four et mélanger le chocolat fondu pour le rendre homogène puis verser la moitié de la pâte dessus et mélanger vivement aussitôt de manière à obtenir une pâte de couleur uniforme. Elle est plus épaisse et moins fluide que la pâte nature.
5 – Verser la pâte blanche dans un moule beurré (c’est inutile si le moule est en silicone) carré si possible (ou rond, à manqué) puis répartir la pâte chocolatée d’une manière éparse.
Avec la lame d’un couteau, passer plusieurs fois dans le moule dans tous les sens afin de faire des marbrures et de mélanger les 2 pâtes.
Faire cuire à 180°C (thermostat 6) pendant environ 45 minutes.
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L’exemple le plus frappant est celui de l’école Ayache-Rabah qui menace de s’écrouler.
La grande majorité des 17 écoles primaires de la commune de Collo se trouve dans une situation lamentable qui nécessite des programmes non pas de colmatage mais d’aménagement sérieux. Le problème d’étanchéité est celui qui fait souffrir le plus les écoliers, notamment pendant l’hiver.
Les logements d’astreinte, et par manque d’entretien, sont aussi dans un état de délabrement avancé. Le problème est beaucoup plus sérieux dans certaines écoles qui menacent la vie des écoliers. L’exemple le plus frappant est celui de l’école Ayache-Rabah qui est au bord de l’écroulement.
En effet, l’expertise du CTC datant de 2015 montre que le bâtiment peut s’écrouler à tout moment.
Par mesure préventive, 3 des 6 salles de cours les plus dégradées ont été fermées, mais dans cette bâtisse menaçant de s’écrouler se trouvent aussi les bureaux de l’administration et surtout les toilettes pour les écoliers.
Cette école doit être complètement fermée, nous expliquera un expert pour éviter tout risque, d’autant que c’est la vie d’enfants innocents qui est en jeu. Une autre école, celle de Touil à Taleza, est aussi dans un état qui ne facilite guère l’enseignement dans de bonnes conditions.
Cet établissement scolaire souffre d’un problème multiforme d’aménagements touchant à l’étanchéité, à la réfection des plafonds et au ravalement des façades. Idem pour l’école Brahim-Lala, toujours sans clôture alors qu’elle se trouve dans une zone presque rurale et entourée d’autoconstructeurs.
Elle est aussi fréquentée par les animaux errants, dont le bétail, qui ne trouvent aucune difficulté pour entrer même dans les salles de cours. Alors que la route menant vers cette école, étroite et en forme de pente raide, fréquentée surtout par les poids lourds approvisionnant les constructions en matériaux, est aussi une menace. Les parents d’élèves espèrent que les autorités locales y installeront des ralentisseurs pour ne pas mettre en péril la vie des écoliers.
Pis encore, dans cette cour, une profonde crevasse causée par un affaissement de terrain menace la vie des élèves lors des récréations.
Tout cet état lamentable des 17 écoles primaires de la commune de Collo nous a été confirmé par Djamel Ghemured, le P/APC de Collo, qui espère que les autorités concernées se pencheront sur ce problème qui lui tient à cœur, comme il a tenu à nous le souligner, sachant que le petit budget de cette commune ne peut supporter de grandes opérations d’aménagement.
Outre cela, les écoles primaires souffrent de la surcharge où on trouve plus de 40 élèves dans une classe, même avec l’instauration de la double vacation dans certaines écoles.
Seule satisfaction : la généralisation du chauffage central dans toutes les écoles qui ont réussi à mettre fin à l’utilisation des poêles à mazout.
A. Boukarine
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