Ford a annoncé depuis quelques temps déjà la résurrection du Bronco mais également l’arrivée d’un crossover dénommé jusqu’ici « Baby-Bronco » et qui pourrait adopter le nom de Puma, dénomination qui sera également relancée.
En effet, Ford t récemment redéposé le nom « Puma » que portait un petit coupé de la marque à l’Ovale Bleu au début des années 2000 et qui reviendrait ainsi pour s’apposer sur le « Baby-Bronco ».
Un crossover Puma qui sera moins radical que le Bronco avec un toit contrasté, une face avant expressive avec des phares à LED ronds et une calandre rehaussée par un gros FORD tandis que des éléments de style inspirés des véhicules tout-terrain comme les barres de toit et de gros pneus tout-terrain seront également visibles. Ceci dit, il disposera d’aptitudes off-road, destiné qu’il est pour séduire un nombre croissant de clients qui ont envie de s’évader vers les grands espaces avec leurs familles et leurs amis.
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ALGER – Un annuaire regroupant les entreprises susceptibles d’intervenir dans le secteur de la sous-traitance est en étude au niveau du ministère de l’Industrie et des Mines, à indiqué mercredi le ministre de ce secteur, Youcef Yousfi.
Interrogé par la presse en marge de sa visite inaugurale du Salon international de la sous-traitance, ALGEST 2018, M. Yousfi a fait savoir que cet annuaire visera à lister les entreprises et les produits et composants qu’elles fabriquent notamment en terme de qualité et de coût.
Le ministre a également indiqué que son département ministériel vise à chercher les moyens de lier les entreprises entre elles, donneurs et sous-traitants.
« Nous cherchons les moyens de faire en sorte qu’elles puissent coopérer ensemble et produire les composants industriels dans les différents secteurs », a-t-il indiqué, estimant que la sous-traitance est un élément de base de l’industrie.
En outre, M. Yousfi a fait observer que plusieurs produits d’équipements peuvent être fabriqués localement. Comme le font les entreprises publiques du secteur de l’énergie faisant fabriquer une part de leurs pièces industrielles en Algérie.
A noter que lors de sa visite d’inauguration au niveau des différents stands du salon ALGEST 2018, M. Yousfi a appelé les opérateurs locaux présents à fournir plus d’efforts pour collaborer entre eux, les invitant à s’enquérir sur d’éventuels partenaires dans le cadre de la sous-traitance industrielle.
De plus, il a insisté sur la nécessité d’augmenter les taux d’intégration et la qualité des équipements produits par les entreprises locales pour répondre à la demande des donneurs d’ordre, notamment dans le secteur automobile.
Pour rappel, il s’agit de la 5ème édition de ce salon, qui se déroule jusqu’au 24 novembre au palais des expositions d’Alger.
Co-organisé par le World Trade Center Algiers (WTCA) et la Bourse algérienne de la sous-traitance et des partenariats (BASTP), le salon accueille cette année 92 exposants répartis entre donneurs et receveurs d’ordre dans les filières liées à la métallurgie, la sidérurgie, la mécanique, l’électricité, l’électronique et la plasturgie, ainsi que les métiers relatifs aux services.
Au-delà des secteurs traditionnels, cette édition voit la présence des secteurs du montage automobile, de l’énergie (Sonatrach et Sonelgaz notamment), du transport, du développement durable et de l’industrie militaire relevant du ministère de la Défense nationale (MDN).
Des conférences et des rencontres B to B se tiennent également au cours de cet événement.
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ALGER – La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a annoncé le lancement d’un concours de recrutement d’agents auxiliaires et de contractuels dans diverses spécialités, dans le cadre de l’application du plan de recrutement pour l’année 2018, a annoncé, mercredi, un communiqué de ce corps de sécurité.
Dans le cadre de cette opération de recrutement qui intervient en application du « plan de recrutement pour l’année 2018, les dossiers de candidature des auxiliaires et des contractuels dans les différentes spécialités doivent être déposés au niveau des bureaux de formation relevant des sûretés de wilayas et de daïras, à travers l’ensemble du territoire national », ajoute le communiqué.
La DGSN appelle les citoyens souhaitant participer au concours à consulter le site officiel www.algeriepolice.dz, la page Facebook algeriepolice.dz et le compte twitter @algeriepolicedz, pour s’enquérir des conditions de participation et télécharger le formulaire d’inscription.
A travers ce concours de recrutement, la DGSN aspire « à renforcer le corps en éléments ayant reçu une formation moderne les habilitant à accomplir pleinement leur mission au service du pays et du citoyen », conclut le document.
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ALGER – Le directeur du centre des opérations chargé du dossier de la migration au ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, Hassan Kacimi, a réitéré, mercredi à Alger, la position de l’Algérie de « refus catégorique » de la proposition de l’Union européenne pour la création de plateformes migratoires, affirmant que le phénomène de la migration clandestine exige une « solution globale ».
S’exprimant en marge de la troisième et dernière journée des travaux de la conférence sous le thème: « Impliquer l’Afrique pour faire face à la crise migratoire », M. Kacimi a indiqué que la proposition européenne de créer des plateformes de migrants dans les pays nord-africains n’est pas une « vision acceptable », ajoutant que l’Algérie avait fait des propositions visant à prendre en charge le phénomène dans le cadre d’une « solution globale » impliquant des projets de « développements, de création d’emploi et de fixation des populations des pays africains ».
Rappelant que le ministère des Affaires étrangères avait déjà exprimé la position officielle de l’Algérie à ce sujet, M. Kacimi a affirmé que « la résolution de la crise migratoire ne peut être basée uniquement sur l’adoption de mesures sécuritaires ».
« L’Algérie est entrain de déployer d’importants efforts dans ce cadre de la coopération avec les pays africains et de la région pour aider au règlement de cette crise en tenant compte des spécificités, du respect des droits de l’Homme et des conventions internationales », a soutenu M. Kacemi.
Il a, dans le même contexte, ajouté que l’Algérie « fait face à d’importants flux de migrants, notamment au niveau des frontières sud du pays ».
Faire face ensemble aux défis majeurs
Auparavant, le même responsable a indiqué dans une intervention, lors de la séance plénière, que la création d’un espace africain de libre circulation des personnes est une « ambition légitime », précisant toutefois que les Etats africains doivent d’abord préparer le terrain et faire face à des « défis majeurs » pour concrétiser cet objectif.
M. Kacimi a affirmé dans ce contexte que la création d’un espace africain de libre circulation des personnes est une « exigence » qui nécessite de garantir, entre autres, la sécurité des Etats et des personnes et de leurs biens, expliquant que « les Etats européens avaient mis près de 70 ans pour mettre en place l’espace Schengen, sans que les frontières ne disparaissent totalement ».
Evoquant les « défis majeurs » auxquels devront faire face les Etats africains pour la « dématérialisation des frontières », le responsable du ministère de l’Intérieur a cité la « détresse hydrique » dans les pays du Sahel, où vivent, a-t-il relevé, 30 millions de personnes, qui sont confrontés constamment à la sécheresse.
« Quatre pays africains, le Nigéria, le Cameron, le Tchad et le Niger vivent autour du Lac du Tchad. Si le Lac s’assèche un jour, nous serions amenés à assister à un exode, vers le Nord de l’Afrique, de 20 millions de personnes », a alerté l’intervenant.
Parmi les autres défis qui devront être également surmontés par les pays africains, M. Kacimi a insisté sur la prise en charge de la « détresse alimentaire » et les « maladies tropicales », tels que le paludisme et l’Ebola, estimant que l’Afrique dispose de « la volonté et de moyens pour y faire face ».
L’autre préoccupation qui implique, selon lui, une coordination et une préparation entre les Etats africains est celle de la lutte contre la « criminalité transfrontalière », qui fragilise et porte atteinte à la souveraineté de ces pays, a-t-il mentionné.
« Nous sommes face à des entreprises criminelles spécialisées qui utilisent des moyens technologiques et qui tirent des revenus de leurs activités criminelles parfois plus importants que ceux de certains Etats du continent », a-t-il argumenté, soutenant que l’Algérie dispose d’une stratégie, à même de contribuer au développement dans les pays frontaliers.
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ALGER – Le président du mouvement El-Islah, Filali Ghouini, a appelé mercredi à Alger, à « consolider le front intérieur et à préserver la sécurité et la stabilité nationales pour faire face aux défis et déjouer les complots guettant l’Algérie ».
« Les militants du parti, hommes et femmes, sont entièrement disposés à participer efficacement à la mobilisation et à la focalisation de l’effort national sur la consolidation du front intérieur et la préservation de la sécurité et de la stabilité nationales en œuvrant notamment au resserrement des rangs et à la mutualisation des forces vives dans le pays afin de venir à bout des difficultés et contraintes marquant notre réalité politique, économique et sociale », a affirmé M. Ghouini dans une allocution à l’ouverture de la session ordinaire du bureau national du mouvement.
Il a également assuré que la consolidation du front intérieur est à même de « mettre en échec les différentes complots et menaces guettant l’Algérie, assurer le succès des prochaines échéances et permettre davantage de réformes politiques, économiques et sociales outre le raffermissement des institutions de l’Etat, le renforcement de la justice et le parachèvement du développement global et équilibré ».
Affirmant que le mouvement El-Islah rejette toute ingérence étrangère dans « nos affaires internes même si c’est à titre de conseils ou par un quelconque prétendu souci pour notre progrès », il a ajouté que « les Algériens sont capables de trouver seuls la solution à leurs problèmes internes et de pallier les difficultés que traverse le pays à tous les niveaux ».
Par ailleurs, le président d’El-Islah a réitéré « le soutien de sa formation politique à la candidature du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika à la présidentielle 2019 », ajoutant que « le mouvement redoublera d’efforts pour la mobilisation des citoyens, notamment les jeunes, afin de rallier davantage de soutien populaire en prévision du prochain rendez-vous électoral ».
Il a mis en avant, à ce propos, la volonté de son parti à combattre tous les aspects du désintéressement et de la réticence quant à l’action politique.
Abordant le plan social, M. Ghouini a valorisé les réalisations accomplies en matière de développement national et local dans tous les secteurs, mettant l’accent sur l’impératif d’accorder l’importance à l’élément humain pour relever les défis du développement local qui fait face, a-t-il dit, à « des difficultés et des dysfonctionnements ». Dans ce sens, il plaidé pour « l’actualiasation » des contenus des lois régissant les collectivités locales et l »élargissement des prérogatives des élus pour leur permettre de surmonter ces difficultés ».
Au plan économique, le président d’El-Islah a salué les mesures que prévoit la Loi de finances 2019, particulièrement le dégel de certains projets, appelant par ailleurs à « la rectification de certains indicateurs prévus dans cette même loi, à l’instar de la faiblesse de l’investissement, de la détérioration constante de la valeur du dinar et la hausse du taux d’inflation ».
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ALGER – L’Assemblée populaire nationale (APN), reprendra ses travaux, jeudi, en séance plénière consacrée aux questions orales concernant plusieurs secteurs ministériels, a indiqué, mercredi, un communiqué de l’Assemblée.
Quinze (15) questions ont été programmées pour cette séance et seront adressées au Premier ministre, le ministre de la Culture, la ministre de la Poste, des télécommunications, des technologies et du numérique, ainsi qu’à la ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la condition de la femme.
Ces questions concerneront, en outre, les ministres de l’Industrie et des Mines, de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, ainsi qu’au ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, conclut le communiqué.
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48 mois dont 18 mois ferme et 10 millions FCFA d'amende par personne. C'est la nouvelle condamnation prononcée par la Cour d'Appel de Cotonou ce mercredi 21 novembre 2018, pour les grossistes-répartiteurs de faux médicaments. Elle a donc annulé le jugement du 13 mars 2018 du tribunal de première instance de Cotonou.
Les grossistes répartiteurs du dossier de faux médicaments ont été recondamnés au terme de l'audience tenue ce jour à la Cour d'appel du tribunal de première instance de première classe de Cotonou. Après avoir annulé le jugement du 13 mars 2018, la Cour a recondamné les inculpés à 48 mois d'emprisonnement dont 18 mois ferme et 10 millions FCFA d'amende par individu.
Aussi, doivent-ils verser collégialement à l'État 100 millions de FCFA. Le DPMED a été relaxé purement et simplement.
Les grossistes-répartiteurs de faux médicaments étaient condamnés à 4 ans de prison avec une amende de 100 millions de FCFA le 13 mars 2018 par le tribunal de première instance de Cotonou. L'affaire s'est retrouvée à la Cour d'Appel, puisque selon les avocats des grossistes répartiteurs les procédures de ce dossier en première instance n'ont pas été respectées. La Cour d'Appel de Cotonou après plusieurs audiences vient de donner son verdict final.
Dans cette même affaire, le député Atao Mohamed Hinnouho a été condamné à 6 ans d'emprisonnement et trois milliards FCFA d'amende, de dommage et d'intérêt.
Akpédjé AYOSSO
Le gouvernement d’Edouard Philippe est accusé de « discrimination » suite à sa décision d’augmenter plus de 20 fois les frais d’inscription aux universités pour les étudiants étrangers, dont les Algériens. Le Premier ministre français a annoncé lundi dernier l’augmentation des frais de scolarité des étudiants, ne résidant pas dans l’espace économique européen (EEE), dès la rentrée 2019, de 170 euros pour la licence et 243 euros pour le master à respectivement 2.770 euro et 3.770 euros. Il a expliqué que cette hausse visait l’amélioration des conditions d’accueil et davantage de financement des bourses.
Dans un communiqué sous le titre « Non à l’augmentation des frais d’inscription des étudiants étrangers ! », rendu public mercredi, la France insoumise a estimé que les premières victimes de ces mesures sont les jeunes africains qui choisissent de faire leurs formations en France et dont le degré d’aisance financière ne permet pas forcément de régler des frais plus élevés.
« Alors que Macron dit lutter contre Trump et Salvini, il érige un mur de l’argent qui repoussera hors des universités beaucoup d’étudiants, notamment venus de pays africains qui choisissaient la France pour faire leurs études », a fait remarquer le texte, soulignant que le président Emanuel Macron « préfère privilégier ses amis les ultras-riches ».
Les étudiants algériens en France, rappelle-t-on, sont parmi les plus nombreux à étudier en France avec un nombre de 30.521 contre 26.116 en 2017, selon les dernières données de Campus France.
Dans le top 25 de 2017, l’Algérie occupait le 3erang après le Maroc et la Chine avec +10 % en évolution des effectifs de 2011 à 2016. Dans le nouveau classement, elle passe au 2erang derrière le Maroc (39.855) et devance la Chine (30.071) pour un total de 343.400 étudiants étrangers ayant choisi la France pour suivre des études pour l’année universitaire 2017-2018.
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MEDEA – Le ministre nigérien de l’Equipement, Abdulaye Kadi, a déclaré, mercredi à Médéa, que les avancées réalisées par l’Algérie en matière d’infrastructures routières « encourage notre pays à suivre cet exemple », exprimant le souhait de « tirer profit de l’expertise des grandes entreprises algériennes » dans le domaine des travaux publics.
S’exprimant en marge de la visite sur le chantier de réalisation du projet de modernisation de l’axe Chiffa-Berrouaghia, le ministre nigérien a qualifié d’ « envergure » les travaux menés dans le cadre de ce projet routier structurant qui relie les régions nord du pays à celles dans le sud algérien, tout en affirmant que les grands ouvrages d’art réalisés le longs de ce tronçon « sont loin d’être de simples ouvrages, mais d’une envergure qui témoigne du bond qualitatif qu’a atteint le secteur des travaux publics en Algérie ».
« L’avance qu’enregistre la partie algérienne dans la concrétisation du projet de transsaharienne nous incite et nous encourage à entamer, le plutôt possible, la réalisation du tronçon qui traverse le territoire du Niger », a affirmé Abdoulaye Kadi, lors de son déplacement sur le chantier du projet de modernisation de l’axe Chiffa-Berrouaghia.
Saluant les efforts accomplis par le groupement d’entreprises engagées sur ce chantier, le ministre nigérien a fait part de son souhait de « bénéficier du savoir-faire de ces entreprises » pour la réalisation de projets routiers au Niger.
Le ministre nigérien de l’Equipement s’était rendu, dans la matinée, sur le site abritant les deux tunnels, en phase d’achèvement, qui font la jonction entre Sid-Madani, commune de la Chiffa (Blida), et la localité d’El-Hamdania (Médéa), puis emprunté l’imposant viaduc qui surplombe Oued Chiffa, qui sera opérationnel dans quelques semaines, avant de marquer des haltes au niveau des échangeurs d’El-Hamdania, Médéa-nord et Ouzera, en cours de réalisation.
Un exposé détaillé sur ce projet routier structurant, qui constitue un segment important de l’autoroute qui relie les régions du nord du pays à celles dans le sud, a été présenté au ministre nigérien qui pu constater l’effort colossal consenti par l’Algérie dans le cadre de la modernisation de son réseau routier national.
Le ministre nigérien avait entamé, pour rappel, une visite en Algérie dans le cadre des échanges de coopération et de partenariat avec le ministère des Travaux publics et des Transports, notamment le projet de la route transsaharienne.
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La mise en service de l’usine de véhicules Peugeot est prévue dès l’année prochaine avec une capacité de montage de 25.000 véhicules par an dans une première étape, qui devra augmenter dans les quatre années suivantes. Le projet de l’usine est entré dans sa phase d’étude technique du site devant l’abriter dans la commune de Tafraoui (Oran) sur une superficie de 120 hectares, a-t-on appris mercredi des services de la wilaya.
Le cahier de charges de ce projet fait état d’un taux d’intégration de 42 %, a-t-on ajouté, une enveloppe de 600 millions DA a été débloquée pour l’aménagement de la zone d’activités précitée qui dispose de150 terrains d’assiette destinés aux investisseurs dont 120 millions DA comme première tranche, selon la même source.
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La vice-présidente du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Nacéra Haddad, a salué mercredi à Alger les engagements du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en faveur de l’Afrique, qualifiant le chef de l’Etat de « militant de la cause africaine ».
S’exprimant dans une intervention lors de la 2eme conférence internationale des ONG africaines, dont les travaux ont pris fin aujourd’hui, sur le thème de « l’automatisation des jeunes et femmes en Afrique », Mme Haddad a rappelé les actions menées par le président Bouteflika en faveur du continent, ce qui fait de lui « un militant de la cause africaine », notamment à travers son rôle joué dans l’élaboration du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD).
Mme Haddad a, à la même occasion, rappelé la décision prise récemment par le président de la République de créer une agence dédiée au développement des territoires frontaliers pour favoriser la « dynamique régionale », affirmant qu’il s’agit là d’un « exemple à suivre en matière de politique d’intégration interafricaine ».
Soutenant « pleinement » la démarche algérienne entreprise au sein des instances africaines en faveur du continent, la vice-présidente du FCE a appelé à l’appropriation des objectifs fixés par l’Union africaine dans son Agenda 2063 et son intégration dans les manuels scolaires, les programmes d’enseignements universitaires et les projets de développements des différents départements ministériels.
« La souveraineté d’un Etat se décline aussi à travers les capacités d’un pays à encourager les jeunes talents, dont les femmes, à relever des défis à tous les niveaux. Nous devons prendre en main notre sort », a-t-elle indiqué, estimant que les pays africains peuvent se remettre (de leurs difficultés) et résoudre leurs problèmes sans compter sur les autres ».
Mme Haddad a, en outre, estimé que « la croissance à deux chiffres des pays africains défendue par certaines parties ne devra pas se faire au dépend de la stabilité sociale des populations africaines », plaidant, à ce propos, pour un « transfert du savoir-faire au bénéfice des jeunes et femmes africains du continent ».
Appelant à la valorisation des richesses locales et à l’identification de projets pouvant permettre la fixation des populations dans leurs territoires d’origine, l’intervenante a soutenu que l’Afrique ne doit pas non plus « dépendre constamment de l’expertise des autres », assurant que « la jeunesse du continent dispose de capacités et d’énergie suffisante pour créer des espaces d’innovation et participer à la prise de décisions engageant son image et son avenir ».
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Paris et Dubai, le 15 novembre 2018 – Le Groupe Emirates annonce ce jour ses résultats du premier semestre 2018-2019. Si le Groupe a enregistré une croissance constante de son chiffre d’affaires par rapport à la même période de l’an dernier, son bénéfice a souffert de l’augmentation significative des prix du pétrole et d’un effet de change défavorable sur certains marchés, entre autres difficultés pour les secteurs du transport aérien et de l’industrie du tourisme.
Le chiffre d’affaires du Groupe Emirates s’inscrit en hausse de 54,4 milliards AED (14,8 milliards USD) pour les six premiers mois de son exercice comptable 2018-19, soit une augmentation de 10% par rapport aux 49,4 milliards AED (13,5 milliards USD) enregistrés pour la même période de l’exercice précédent.
La rentabilité a diminué de 53% par rapport à la même période de l’an dernier et le Groupe publie pour le premier semestre un résultat net de 1,1 milliards AED (296 millions USD). Cette érosion de la rentabilité s’explique principalement par l’augmentation significative des prix du carburant (+37 % par rapport à la même période de l’an dernier) ainsi que par un effet de change négatif sur certains marchés.
La trésorerie du Groupe au 30 septembre 2018 s’élevait à 21,5 milliards AED (USD 5,9 milliards USD), contre 25,4 milliards AED (6,9 milliards USD) au 31 mars 2018.
HH Sheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum, Président-Directeur Général d’Emirates Airline et du Groupe, a déclaré : « Emirates et dnata ont enregistré une croissance continue au premier semestre 2018-19. La demande pour nos produits et services de grande qualité est restée soutenue : nous avons attiré de nouveaux clients et fidélisé notre clientèle existante dans toutes nos activités, comme l’atteste la progression de notre chiffre d’affaires. Pourtant, le coût élevé du carburant ainsi que la dépréciation des monnaies locales sur des marchés comme l’Inde, le Brésil, l’Angola ou l’Iran, ont amoindri notre bénéfice à hauteur d’environ 4,6 milliards AED».
« Nous travaillons de manière proactive à relever la multitude de défis auxquels font face aujourd’hui les secteurs du transport aérien et du tourisme, parmi lesquels la pression constante sur les rendements ou l’incertitude qui pèse sur les conditions économiques et politiques dans notre région et ailleurs dans le monde. Nous gérons toujours au plus juste les dépenses maîtrisables et continuerons d’améliorer notre efficacité au moyen de nouvelles technologies et de nouveaux processus. Les six mois à venir seront difficiles, mais les fondations du Groupe Emirates restent solides. Je suis par ailleurs heureux de constater que notre siège et notre hub de Dubaï continuent d’attirer la demande en matière de voyages. En effet, la compagnie a connu une augmentation de 9% des clients voyageant vers Dubaï, au premier semestre de 2018-19 par rapport à la même période l’an dernier. Nous nous attendons à ce que cette demande reste saine alors que de nouvelles attractions sont mises en ligne et que la ville se prépare pour l’Expo 2020 Dubai. Concernant nos perspectives d’avenir, nous sommes déterminés à assurer le développement de notre activité. Pour ce faire, nous n’hésiterons pas à saisir les opportunités qui s’offrent à nous et à investir au service de nos clients, en continuant de leur proposer les produits haut de gamme qui font notre succès. »
Au cours des six derniers mois, l’effectif du Groupe a diminué de 1% par rapport au 31 mars 2018, pour passer en tout de 103 363 à 101 983 salariés. Cette évolution relève, pour une large part, d’une érosion naturelle des effectifs, conjuguée à un ralentissement du rythme de recrutement, parallèlement à la poursuite des différents programmes internes d’amélioration de l’efficacité par le biais des nouvelles technologies et d’une réorganisation du travail.
Résultats de la compagnie aérienne Emirates
Au cours des six premiers mois de 2018-19, Emirates a pris livraison de huit gros-porteurs – trois Airbus A380 et cinq Boeing 777 – et devrait réceptionner cinq nouveaux appareils supplémentaires d’ici à la fin de l’exercice. La compagnie a également retiré du service sept avions plus anciens, et quatre autres devraient suivre d’ici au 31 mars 2019. La stratégie de long terme de la compagnie consistant à investir dans les appareils les plus modernes lui permet d’accroître son efficacité globale et de proposer une meilleure expérience à ses clients.
Emirates améliore sans cesse la performance de ses lignes en proposant à ses clients une couverture aérienne mondiale avec seulement une escale à Dubaï.
Au cours des six premiers mois de l’exercice, Emirates a inauguré pour ses passagers de nouvelles lignes vers Stansted (Royaume-Uni) et Santiago (Chili). La compagnie a également mis en place une nouvelle liaison Dubaï-Auckland via Bali. Au 30 septembre, le réseau mondial d’Emirates couvrait 161 destinations dans 85 pays, et sa flotte comptait 269 appareils, avions-cargos inclus.
Emirates a renforcé son partenariat avec flydubai pour proposer encore plus d’avantages à ses clients grâce au regroupement des programmes de fidélité des deux compagnies sous la marque Emirates Skywards. Les clients bénéficient également d’un plus large éventail de vols possibles, Emirates et flydubai continuant d’exploiter la complémentarité de leurs réseaux pour optimiser leurs horaires respectifs et proposer de nouvelles liaisons via Dubaï, mais aussi ouvrir de nouvelles lignes, notamment vers Kinshasa (Congo), Cracovie (Pologne) ou Catane (Italie) au premier semestre 2018-19.
La capacité globale de la compagnie au cours des six premiers mois de l’exercice a modérément progressé de 3%, à 31,8 milliards de tonnes-kilomètres offertes (TKO). Sa capacité mesurée en sièges-kilomètres offerts (SKO) s’est inscrite en hausse de 4%, tandis que le trafic passagers mesuré en rendement par passager-kilomètre transporté (PKT) augmentait de 6%, avec un coefficient de remplissage moyen de 78,8 %, supérieur aux 77,2% de l’exercice précédent.
Emirates a transporté 30,1 millions de passagers entre le 1er avril et le 30 septembre 2018, soit une hausse de 3% par rapport à la même période de l’an dernier. A 1,3 millions de tonnes, les volumes de fret transportés sont restés globalement stables, tandis que le rendement affichait une belle progression de 11%, à mettre au crédit des investissements ciblés de SkyCargo, la filiale de transport de marchandises d’Emirates, dans des produits et services adaptés aux besoins spécifiques de secteurs clés, qui lui confèrent un avantage concurrentiel significatif sur un marché mondial du fret en phase de redressement.
Au premier semestre de l’exercice 2018-19, le résultat net d’Emirates ressort à 226 millions AED (62 millions USD), en repli de 86% par rapport à l’année précédente. Le chiffre d’affaires d’Emirates, autres produits d’exploitation inclus, atteint 48,9 milliards AED (13,3 milliards USD), soit 10% de plus que les 44,5 milliards AED (12,1 milliards USD) enregistrés un an plus tôt. Ce résultat procède d’un déploiement des capacités plus efficace et d’une hausse du taux de remplissage des appareils malgré l’augmentation des tarifs, ce qui reflète la bonne tenue de la demande de produits Emirates par les clients.
Les charges d’exploitation d’Emirates ont augmenté de 13%, pour une croissance globale des capacités de 3%. En moyenne, le carburant coûtait au premier semestre 42% de plus qu’à la même période de l’an dernier, ce qui s’explique dans une large mesure par la montée des cours du pétrole (+ 37% sur un an), ainsi que par une hausse de la consommation de kérosène de 4% imputable au développement de l’activité d’Emirates. Le carburant représente toujours le principal poste de dépenses de la compagnie, puisqu’il concentre 33% de ses charges d’exploitation, contre 26% pour les six premiers mois de l’an dernier.
dnata
dnata a enregistré une croissance continue de ses activités internationales, qui s’étendent aujourd’hui sur 35 pays. Au premier semestre 2018-19, les activités internationales de dnata représentaient plus de 68 % de son chiffre d’affaires total.
Le chiffre d’affaires de dnata, autres produits d’exploitation inclus, ressort à 7 milliards AED (1,9 milliard USD), en hausse de 11 % par rapport aux 6,3 milliards AED (1,7 milliard USD) de l’exercice précédent. Cette progression s’explique par une solide croissance interne, en particulier dans les activités aéroportuaires internationales.
Le bénéfice total de dnata affiche une croissance de 31 %, à 861 millions AED (USD 235 millions USD). Cette progression tient compte d’une plus-value de cession exceptionnelle liée à la vente de la participation 22 % que détenait dnata dans la société de gestion des déplacements professionnels Hogg Robinson Group (HRG) à l’occasion du rachat de celle-ci par Amex Travel Business Group. Sans cette opération exceptionnelle, le bénéfice de dnata aurait reculé de 18% % par rapport à la même période de l’an dernier.
Les activités aéroportuaires de dnata restent le premier moteur du chiffre d’affaires de la division, avec 3,6 milliards AED (976 millions USD), en hausse de 6% par rapport à la même période de l’exercice précédent. Le nombre d’appareils pris en charge par dnata pour l’ensemble de ses activités a augmenté de 6%, à 350,52, et la division a manutentionné au premier semestre 1,5 million de tonnes de marchandises (+ 2%).
Cette évolution s’explique par les nouveaux contrats remportés sur l’ensemble du réseau ainsi que par la solide performance commerciale de marchés clés tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, les Émirats arabes unis, l’Australie ou l’Italie. Au cours des six premiers mois de 2018-19, dnata s’est renforcé dans ce dernier pays en augmentant de 30 % à 70 % sa participation dans Airport Handling SPA, une société de manutention au sol installée à Milan. dnata a également inauguré son activité de prise en charge des passagers à l’aéroport JFK de New York. Aux Émirats arabes unis, dnata a acquis une participation majoritaire dans l’entreprise de stockage et de livraison de bagages DUBZ, qui étend son offre de services aux voyageurs.
La division d’organisation de voyages de dnata a enregistré un chiffre d’affaires de 1,7 milliard AED (456 millions USD), en hausse de 9% par rapport à la même période de l’exercice précédent. Ses ventes nettes sous-jacentes ont progressé de 6%, à 5,9 milliards AED (1,6 milliards USD).
Cette performance s’explique par les très bons résultats de la division d’organisation de voyages aux Émirats arabes unis, par la contribution au chiffre d’affaires de Destination Asia, que dnata a rachetée en septembre 2017, ainsi que par le dynamisme du marché britannique, qui a également bénéficié de l’appréciation de la livre sterling par rapport au dollar américain. Fin septembre, dnata a fait son entrée sur le marché allemand en reprenant l’agence de voyages Tropo, spécialisée dans les séjours tout compris, les vacances de dernière minute et les réservations d’hôtels.
Les activités de restauration à bord de dnata ont contribué au chiffre d’affaires total à hauteur de 1,1 milliard AED (311 millions USD), en progression de 4 %. Le nombre de repas servis à bord a augmenté de 2%, pour atteindre 31 millions au premier semestre de l’exercice.
La pression sur les rendements, en particulier en Australie, fut compensée par la solide performance d’Alpha Group et par l’augmentation des volumes de repas servis, liée à la croissance de l’activité au Royaume-Uni, en Roumanie, en République tchèque et à Charjah (Émirats arabes unis).
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