La Direction du tourisme et de l’artisanat, en collaboration avec le Laboratoire des sciences de l’information et de la communication, organise, depuis le 22 décembre, une session au profit de 18 cadres du tourisme sur la communication touristique à travers la wilaya de Mostaganem.
Le secrétaire général de la wilaya a assuré, dans son discours d’ouverture, que le tourisme balnéaire dans la wilaya de Mostaganem et dans toutes les régions touristiques du pays permet à l’Algérie de se distinguer sur le marché mondial du tourisme et de retrouver sa place sur la cartographie touristique internationale à l’instar de nos voisins du Maghreb, de la France ou de l’Espagne. Le Laboratoire des sciences de l’information et de la communication participe à la recherche en tourisme par la production de ses chercheurs, ses programmes de recherches, ses réunions scientifiques et l’encadrement des thèses.
Pour cette raison, la Direction du tourisme et de l’artisanat de wilaya a fait appel aux enseignants de cette faculté pour assurer cette formation à l’hôtel AZ aux cadres de la Direction du tourisme pour une durée de six jours. Cette formation sera une occasion idéale pour mesurer l’efficience du travail réalisé par la directrice du tourisme pour former ses cadres et de promouvoir et dynamiser davantage le tourisme dans la wilaya.
A. Bensadok
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L’Assemblée générale des Nations-Unies a adopté à une écrasante majorité une résolution réaffirmant la «souveraineté permanente» des Syriens sur le Golan occupé et sur les ressources naturelles de cette région, a rapporté hier l’agence syrienne Sana.
La résolution a été adoptée sur recommandation de la 2e Commission économique et financière par 159 voix pour, 13 abstentions et 7 voix contre, a ajouté Sana.
Dans sa résolution, l’Assemblée générale a réaffirmé les «droits inaliénables des Syriens du Golan syrien occupé par Israël et sur leurs ressources naturelles et appelle les autorités d’occupation israéliennes à renoncer à l’exploitation, à la destruction, à la perte, à l’épuisement ou à la mise en danger des ressources naturelles du Golan occupé, a poursuivi la même source.
La résolution demande également au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, de présenter un rapport sur l’application de la résolution, notamment sur l’impact de l’exploitation, la destruction et l’épuisement des ressources naturelles du Golan syrien occupé et sur les conséquences de ces pratiques sur la réalisation des objectifs de développement durable.
Le représentant permanent de la République syrienne auprès de l’Organisation des Nations-Unies, Bashar al-Jaafari, a souligné, à l’occasion, la nécessité d’inclure dans le rapport du Secrétaire général une description juridique précise fondée sur les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale, en particulier la résolution 497 sur les pratiques des autorités d’occupation israéliennes dans le Golan syrien.
Le représentant syrien a évoqué en particulier l’une des «pratiques les plus graves», dans le Golan occupé, à savoir que les autorités d’occupation avaient organisé pour la première fois il y a quelques mois des «élections au conseil local» dans les villages du Golan syrien occupé, soulignant que «cette démarche constituait une violation flagrante de la résolution 497 de 1981 du Conseil de sécurité».
Ce texte a réaffirmé que «l’acquisition de territoire par la force est inadmissible et que la décision d’Israël d’imposer ses lois, sa juridiction et son administration dans le territoire syrien occupé des hauteurs du Golan est nulle et non avenue et sans aucun effet juridique sur le plan international».
APS
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L’armée burundaise a indiqué dimanche être opposée au rapatriement d’ici au 28 février de 1 000 de ses soldats déployés en Somalie pour la force de l’Union africaine dans ce pays (Amisom) et demandé à son gouvernement de plaider sa cause auprès de l’UA.
Selon un communiqué du porte-parole de l’armée burundaise, le colonel Floribert Biyerke, l’armée conteste la décision de la Commission de l’UA de ne rapatrier que des soldats burundais au lieu de rapatrier des soldats de chaque pays contributeur au prorata du nombre de soldats déployés.
A cet égard, elle estime que la décision n’est pas conforme aux conclusions de la dernière réunion du comité de coordination des opérations militaires de l’Amisom le 30 novembre à Addis Abeba. Or, une note verbale consultée par l’AFP indique que la Commission de l’UA s’est appuyée sur ces conclusions pour prendre sa décision.
Le communiqué ne l’évoque pas, mais la diminution du contingent burundais devrait entraîner un manque-à-gagner pour les finances publiques burundaises.
D’après un responsable de l’UA, l’organisation envoie tous les trois mois environ 18 millions de dollars (15,7 millions d’euros) à la banque centrale du Burundi pour payer les soldes et la location du matériel militaire burundais.
Cette somme est devenue l’une des principales sources de devises du pays, sous sanctions de l’UE et de ses pays membres depuis 2016.
Les soldats burundais sont par ailleurs beaucoup moins payés une fois rentrés au pays que lorsqu’ils servent pour l’Amisom.
La décision de la Commission de l’UA de rapatrier 1 000 soldats burundais n’étant selon elle «pas conforme», l’armée burundaise «demande à l’autorité compétente de plaider auprès des instances habilitées pour que cette décision soir reconsidérée», a déclaré le colonel Floribert Biyerke.
Selon un haut responsable de l’UA, la décision de ne rapatrier que des soldats burundais est motivée par le fait que «le contingent burundais a un problème aigu de matériel (militaire)».
Actuellement, quelque 5 400 militaires burundais sont déployés en Somalie, soit le deuxième plus gros contingent des 21 500 soldats de l’Amisom, derrière l’Ouganda (6 200 hommes).
Le réduction des effectifs de l’Amisom à environ 20 000 soldats s’inscrit d’un désengagement progressif des troupes africaines, appelées à être remplacées par une armée somalienne encore embryonnaire. Déployée en 2007 pour lutter contre les insurgés islamistes radicaux somaliens, les shebab, l’Amisom est composée de troupes venant d’Ouganda, du Burundi, d’Ethiopie, du Kenya et de Djibouti.
Les relations entre l’UA et le Burundi se sont récemment dégradées : le bloc continental a appelé Bujumbura à la modération et à discuter avec son opposition en exil. En retour, Bujumbura a organisé des manifestations pour dénoncer l’UA et le président de sa Commission, Moussa Faki, accusés de soutenir l’opposition.
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Le slogan ‘'Toutes les filles à l'école'' ne semble pas avoir un écho favorable dans le village d'Adohoun, une localité qui porte le même nom que l'arrondissement dans la commune d'Athiémé. Et pour cause, nombreuses sont ces jeunes filles à abandonner les bancs précocement pour des raisons diverses. L'une de ces raisons est le mariage précoce.
Elle a 16 ans. Elle était en classe de 4ème ML au CEG Adohoun. Elle n'est pas très brillante, mais ne déméritait pas non plus. Elle, c'est A. E. jeune fille dont le seul tort est d'être d'un village où le mariage passe avant toutes autres considérations, surtout scolaires. ‘'Je ne peux plus venir à l'école car je travaille avec ma belle-famille au champ. Et elle n'accepte pas que je continue mes études'', a confié la jeune fille à son professeur de Français qui l'a surprise loin des classes dans un champ et qui voulait savoir pourquoi elle ne venait plus à l'école.
A la rentrée scolaire 2017-2018, A. E. a bien repris les classes passant de la 5ème pour la 4ème, où elle a demandé à être classée en moderne long se basant sur ses atouts. Elle a dû laisser les bancs parce qu'elle devrait se marier.
L'enseignant qui s'était arrêté pour demander à son apprenante pourquoi elle ne venait plus au cours a eu la vie sauve parce qu'il est aussi du milieu. ‘'A peine la fille m'a-t-elle répondu que ces beaux-frères et beau-père sont sortis de la brousse pour m'assaillir de questions, et ceci prenait une autre allure car pour eux c'est inconcevable qu'un autre homme discute avec la femme de leur fils. N'eut-été la réaction des passants, ils voulaient me ruer de coups pour m'apprendre à ne pas me mêler des affaires des autres, disent-ils. J'ai donc raté le lynchage de justesse et j'ai été mis en garde'', raconte François Dodji, le professeur de français la peur au ventre. Malheureusement, la situation de cette adolescente n'est pas un cas isolé dans ce village. Elles sont nombreuses à abandonner de façon précoce les bancs pour diverses raisons.
Entre pauvreté, sexualité précoce et démission des parents
Adohoun, le plus grand arrondissement de la commune d'Athiémé, situé à environ 7 kilomètres de la ville de Lokossa, est le nid d'un phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur : la déscolarisation précoce des jeunes filles. Et les raisons de ce fléau sont multiples. ‘'Mon père a dit qu'il n'a plus les moyens pour me supporter à l'école. C'est pourquoi, il m'a envoyée en apprentissage dans la localité'', raconte une jeune fille de 13 ans, pourtant brillante à l'école.
La pauvreté semble être la cause principale de l'abandon des classes par les élèves filles. Mais le paradoxe est que les mêmes parents qui servent cet argument aux filles, maintiennent tout de même les garçons à l'école ! ‘'Moi, je n'ai personne pour me soutenir. Mes parents disent qu'ils n'ont pas les moyens'', renchérit une autre fille qui a aussi requis l'anonymat pour ne pas subir les affres des colères de leurs géniteurs après. C'est donc la preuve que certains parents dans cette localité ont simplement démissionné quant à l'éducation de leurs filles. Et le corolaire de cette démission est que ces filles s'offrent au premier homme venu lui vendre l'illusion d'un soutien chimérique. Conséquence, elles sont très jeunes mais sexuellement très actives et avec pour la plupart du temps un enfant sans père.
Le constat est amer et triste dès qu'on fait un tour dans cet arrondissement. Les ateliers de couture, coiffure et autres sont remplis des jeunes filles de 12 à 17 ans. Et c'est les meilleurs des cas. Pour d'autres, elles sont à la maison et sont devenues des machines à produire d'enfants.
Dans le collège d'Adohoun, le constat est plus ahurissant. En terminale D, il n'y a que 2 filles sur 39 élèves. En terminale A qui semble regorger du monde féminin, on n'en décompte qu'une dizaine sur 39 élèves. Les cas d'abandon dans ce collège concernent en majorité les filles.
La situation est critique dans cette contrée. Il va falloir que les autorités compétentes prennent les dispositions pour contraindre, après sensibilisation, les parents de ce village à laisser les filles aller à l'école. Les ONG intervenant dans la promotion de la gent féminine sont aussi invitées à se lancer dans la bataille pour sauver les filles de l'arrondissement d'Adohoun de l'étau qui se serre autour d'elles.
Selon leurs témoignages, ce n'est pas la volonté de fréquenter qui manque. Il leur faut un peu d'appui et surtout les sauver des parents qui ne veulent pas les voir en classe. Et même si elles doivent apprendre un métier, aujourd'hui il y a des centres de formation professionnelle où elles pourront apprendre un métier dans des conditions optimales.
Eduquer une femme, c'est éduquer une nation dit-on. Les filles d'Adohoun en ont besoin. La mairie d'Athiémé, le gouvernement du président Talon et les ONG sont vivement interpelés.
Entre pauvreté, sexualité précoce et démission des parents, ces âmes innocentes ont besoin d'aide.
Cokou Romain COKOU
Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, dont le gouvernement minoritaire ne parvient pas à faire voter son budget depuis son arrivée au pouvoir en juin, a assuré dans une interview diffusée hier qu’il avait l’intention de rester à son poste jusqu’à la fin de la législature en 2020.
Des élections municipales, régionales et européennes sont prévues en Espagne le 26 mai 2019 et l’hypothèse a été émise que M. Sanchez décide de convoquer le même jour des élections législatives anticipées, avant le terme prévu de la législature en 2020, notamment s’il n’arrive pas à faire adopter son budget, bloqué par les indépendantistes catalans.
«De toute évidence, le budget est très important pour tout gouvernement. Je veux lutter pour qu’il soit adopté au cours du premier trimestre de l’année», a-t-il déclaré au journal catalan La Vanguardia.
«Quand des élections sont convoquées, ce n’est pas dans l’intérêt du parti, mais dans l’intérêt du public. Mon objectif est de voir la fin du mandat» du Parlement, a-t-il ajouté.
Fin novembre, M. Sanchez avait annoncé qu’il convoquerait des élections anticipées s’il n’arrivait pas à faire adopter le budget 2019.
Mais la semaine dernière, M. Sanchez et le chef du gouvernement régional séparatiste catalan, Quim Torra, ont affirmé leur volonté de reprendre le dialogue en vue de trouver une solution à la crise relative au statut de la Catalogne, laissant ainsi espérer que les indépendantistes catalans pourraient apporter leur soutien au projet de budget 2019.
Avec seulement 84 députés socialistes dans un parlement qui compte 350 sièges, le gouvernement de M. Sanchez compte sur les indépendantistes catalans pour faire voter ses lois.
M. Sanchez est arrivé au pouvoir en juin après un vote de défiance ayant provoqué le départ de son prédécesseur conservateur, avec le soutien des indépendantistes catalans.
Mais les indépendantistes avaient annoncé qu’ils ne voteraient pas le budget après les lourdes réquisitions du parquet espagnol début novembre à l’encontre de 18 dirigeants catalans devant être jugés début 2019 pour leur rôle dans la tentative de sécession de la Catalogne.
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ALGER – Les services de sûreté de la wilaya d’Alger ont démantelé une bande de malfaiteurs composée de cinq individus, impliqués dans le cambriolage d’une maison à Rouïba et le vol de plus de 3 millions de dinars, a indiqué dimanche un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).
Les services de Sûreté de la circonscription administrative de Rouïba ont arrêté cinq individus pour « association de malfaiteurs, vol par effraction et recel », lors du cambriolage d’une maison à Rouïba, « opération au cours de laquelle ils ont volé 3,2 millions de dinars et des bijoux », ajoute le communiqué.
Les recherches et investigations menées par la brigade de la police judiciaire de ladite circonscription ont abouti à l’arrestation des mis en cause et à la récupération d’une somme de 840.000 da et des bijoux volés, indique la même source, précisant que l’enquête a également permis la récupération d’un véhicule acheté par l’argent des objets volés.
Après la finalisation des procédures juridiques en vigueur, les mis en cause ont été présentés devant les juridictions compétentes qui ont ordonné la mise en détention de deux d’entre eux et le placement des trois autres sous contrôle judiciaire, conclut le document.
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Quatorze terroristes ont été tués dans des affrontements avec les forces de sécurité dans le Nord-Sinaï, où l’Egypte combat une branche locale du groupe terroriste Daesh, a annoncé hier le ministère de l’Intérieur égyptien.
«Huit éléments terroristes sont morts» lors d’un raid des forces de sécurité contre une «cellule terroriste» à Al-Arich, a déclaré le ministère dans un communiqué.
Al-Arich est la capitale du Nord-Sinaï, où Daesh est particulièrement actif.
Six autres terroristes ont été tués lors d’un échange de tirs avec les forces alors qu’ils tentaient de fuir, a ajouté le ministère.
La cellule avait planifié des attaques contre «les installations importantes et vitales ainsi que les hommes de la police et des forces armées», a-t-il précisé.
Environ 500 terroristes ont été abattus depuis le lancement en février d’une vaste campagne antiterroriste baptisée «Sinaï 2018», selon les chiffres de l’armée.
Les autorités égyptiennes annoncent régulièrement la mort de terroristes dans des opérations menées par les forces de sécurité.
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– L’ail, pour son action diurétique, détoxifiante et son effet fibres qui élimine une partie des sucres et des graisses.
– L’oignon, également diurétique et détoxifiant. Efficace pour éliminer l’œdème des jambes et du visage et drainer les toxines.
– Le poireau, un légume anti-eau par excellence qui combat l’œdème et élimine la cellulite.
– Le chou vert régule le métabolisme du sucre et des graisses, modère l’appétit et lutte contre la rétention d’eau.
– L’asperge, riche en fibres, calme la faim, permet d’éliminer l’eau et de drainer les déchets hors de l’organisme.
– La tomate est laxative et diurétique. Elle a une action digestive et anticellulitique.
– Le céleri branche est désaltérant et reminéralisant. C’est l’allié de toutes celles qui souffrent d’œdème, de gonflement et de rétention d’eau.
– Le poivron rouge ou vert, riche en bêta-carotène (surtout le rouge) est un cousin du piment.
Il diminue la mise en réserve des graisses, élimine une partie des sucres et des graisses. Il a aussi une action antifatigue et reminéralisante.
– L’aubergine est capable d’intercepter les graisses consommées au cours d’un repas en les capturant dans ses fibres. Elle atténue le passage des lipides dans le sang.
– Le thym, tonifiant, lutte contre ballonnements et aérophagie
– Le persil modère l’appétit, détoxifie et dépurifie.
– Le poivre améliore la digestion et régule le métabolisme des graisses et sucres.
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Selon l’Office national des statistiques (ONS) qui s’exprime par le biais de l’agence officielle: « l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel a été de 4,5% jusqu’à novembre 2018 ».
En comparaison avec le mois d’octobre, on remarquera que l’évolution de l’indice (la variation mensuelle des prix à la consommation) du mois de novembre a baissé de 0,5%.
Ainsi, les prix des biens alimentaires ont reculé de 1,4% en novembre par rapport au mois d’octobre 2018, engendrant une décroissance des prix des produits agricoles frais (-2,9%), qui est causée principalement par la chute des prix des fruits (-11%), des légumes (-10,8%) dont la pomme de terre (-4,6%).
Cependant des hausses ont caractérisé les autres produits alimentaires, comme le poulet (+5,3%) et les oeufs (+10,7%).
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Conserver les fruits et légumes au réfrigérateur
Le bac à légumes du frigo est prévu pour conserver des légumes que vous allez consommer dans la semaine. Il est recommandé de ne pas mélanger vos légumes, de ne pas les laver (pour éviter une maturation trop rapide) avant de les ranger.
Conserver les fruits et légumes au congélateur
Pour éviter le gaspillage, n’achetez pas en trop grande quantité. Si vous avez surestimé vos besoins, certains fruits et légumes se conservent pendant 1 an parfaitement au congélateur. La plupart d’entre eux ont besoin d’être blanchis (trempés dans l’eau bouillante quelques minutes et dans de l’eau froide) pour éviter l’activation d’enzymes naturels qui occasionnent des changements indésirables de saveur, de couleur et de texture. Les légumes congelés nécessitent une cuisson moins longue que les légumes frais, car ils ont été préalablement blanchis. En revanche, il n’est pas recommandé de congeler les artichauts (uniquement les fonds et crus), les aubergines, la laitue, les fraises, et les tomates crues (les aliments qui contiennent beaucoup d’eau supportent mal la congélation crus), les pommes de terre (sauf en purée), les germes et les patates douces crues (qui se conservent parfaitement dans un endroit sec et frais).
Conserver les fruits et les légumes à l’air frais et sec
Si vous voulez consommer rapidement vos fruits et légumes, vous pouvez les conserver à l’air ambiant (plutôt dans une pièce où l’air est frais et sec). Les pommes de terre, tubercules, cucurbitacées, ail et oignon se préservent mieux à l’air qu’au réfrigérateur.
L’artichaut se garde la tige dans l’eau légèrement sucrée pour conserver toute sa fraîcheur.
Trucs et astuces
Certains fruits ne doivent pas être conservés à côté des légumes. La pomme et la poire dégagent de l’éthylène, une substance qui fait mûrir les légumes plus vite et leur donne un goût amer.
Si la tomate se garde plus longtemps au réfrigérateur, elle conserve mieux ses qualités gustatives à l’air libre (sec et frais). Il est donc recommandé de les acheter en petites quantités. Comme elle est facilement congelable (elle n’a pas besoin d’être blanchie), pensez à conserver votre surplus au congélateur pour de futures préparations culinaires. Vous n’avez croqué qu’un quartier de pomme ? Versez du jus de citron sur le reste pour qu’elle ne s’oxyde pas. Vous n’avez besoin que de quelques de gouttes d’un citron : percez son zeste et pressez-le puis rebouchez le trou avec un cure-dent.
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1 boule de pain de 500 g, 2 boules de mozzarella (250 g), 1 poignée de persil haché, 2 c. à c. d’ail séché, 60 g de beurre , sel
Préchauffez le four à 180°C.
Coupez la boule de pain en tranches sans toucher la base. Faites la même chose dans l’autre sens de manière à obtenir des carrés de pain.
Faites fondre le beurre (quelques secondes au micro-ondes en mode décongélation) et ajoutez-y le persil haché, l’ail séché et un peu de sel. Remplissez les interstices du pain avec ce mélange. Coupez la mozzarella et disposez également les morceaux dans les interstices du pain.
Couvrez le pain hérisson d’aluminium et enfournez 15 minutes. Passé ce délai, ôtez l’aluminium et laissez encore cuire 15 minutes. Servez immédiatement !
note
N’utilisez pas de pain frais, laissez-le vieillir 2 ou 3 jours avant de confectionner ce pain hérisson. Ainsi les morceaux se détacheront plus facilement.
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ALGER – Le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme a annoncé dimanche dans un communiqué le lancement du troisième concours nationale de l’encouragement de l’entrepreneuriat féminin 2019.
L’objectif du lancement de ce concours est de « jeter la lumière sur le parcours de femmes chefs d’entreprises qui ont brillé dans le domaine de l’innovation et de la créativité », a indiqué le ministère, soulignant que le dernier délai d’envoi des dossiers est fixé au 15 janvier 2019. « Toutes les informations concernant cette annonce se trouvent sur le site électronique« , a ajouté le communiqué du ministère .
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Pour booster les exportations hors hydrocarbures, le ministère du Commerce s’est fixé plusieurs défis à relever dont le plus important, la diversification des exportations. Côté logistique, les infrastructures existent, «il suffit juste de développer les services de logistique et les rendre efficients».
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Saïd Djellab considère que l’Algérie est «prioritaire» pour asseoir sa présence dans le continent africain en termes de commerce. «L’Algérie ne peut être qu’une économie ou une puissance économique régionale», souligne-t-il hier, à l’ouverture de la conférence internationale sur le rôle des ports et compagnies maritimes et aériennes dans l’exportation, organisée par la Confédération des industriels et producteurs algériens (Cipa).
Il rappelle ainsi les nombreuses infrastructures réalisées à travers le territoire national et le développement des zones frontalières via notamment l’ouverture des postes frontaliers à Tindouf, Bordj-Badji-Mokhtar et du côté du Niger. Pour lui, toutes ces réalisations convergent vers une politique concrète sur une présence économique algérienne dans le continent africain.
Pour booster les exportations hors hydrocarbures, le ministre du Commerce estime que plusieurs défis attendent son département en 2019. «Aujourd’hui, nous sommes au stade de rectifier et de valoriser tout ce qui a été réalisé», dit-il.
En premier, s’impose la diversification industrielle, une dynamique, précise-t-il qui est en train de se mettre en place avec son externalité vers la diversification des exportations. «Nous avons constaté lors de la Foire de la production nationale que la mentalité des opérateurs économiques commence à changer et tend vers une culture d’export. C’est ça le soubassement d’une économie qui tend vers l’exportation», dit-il. La preuve poursuit-il, «nombre de domaines comptent la présence des entreprises algériennes sur le marché extérieur».
Saïd Djellab insiste ainsi à ce que l’année 2019 soit celle où le thème central du débat économique soit la diversification des exportations. Une dynamique, assure-t-il, qui sera accompagnée par un arsenal juridique et réglementaire.
Sur le plan organisationnel, il évoque le programme de présentation de participation aux manifestations économiques à l’international qui est déjà mis en place. «Cela permettra à nos entreprises de promouvoir leurs produits et d’entrer en contacts avec les clients dans le continent américain, asiatique, africain ou européen».
Le premier responsable du commerce indique que l’Algérie ira vers des accords de libre-échange avec la région africaine notamment l’Afrique de l’Ouest. «Nous sommes en négociation avec la Mauritanie pour un accord référentiel commercial pour diminuer les coûts à l’export. Nous sommes aussi preneurs d’un accord de libre-échange avec le groupe économique de l’Afrique de l’Ouest».
Il assure également que l’accompagnement des opérateurs économiques sera renforcé pour assurer leur présence sur le marché extérieur, et ce, à travers les bureaux de liaisons extérieures, les showrooms et les comptoirs. «Il faut permaniser notre présence sur le marché africain d’autant qu’il ne s’agit pas d’une exportation à distance».
S’agissant du volet logistique, il note qu’un travail a été mis en place avec le ministère des Transports. Pour lui, l’infrastructure y est, il suffit de développer les services de logistique et les rendre efficients. «Nous avons signé trois conventions avec l’Ogitrance, Algérie-cargo et Cnan pour faciliter les subventions à l’export pour le transport», dit-il.
Quant à la certification de conformité, il affirme qu’actuellement, tous les laboratoires publics et privés sont soumis à un diagnostic. Il précise que Algérac est, désormais, reconnu et tout laboratoire accrédité par Algérac est reconnu à l’international.
«Aujourd’hui, le rôle d’Algérac est d’accréditer les laboratoires en fonction des spécificités d’analyses et à partir de là, le ministère du Commerce est prêt à agréer tous les laboratoires qui sont accrédités», dit-il encore.
Ry. N.
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La présidente du Croissant-Rouge algérien Saïda Benhabiles s’est exprimée hier sur la question de la persistance du phénomène des migrations amenant de nombreux jeunes Africains désespérés à quitter leur pays.
Pour la présidente du Croissant-Rouge algérien (CRA), il faut revenir aux responsables de ce drame humanitaire mettant directement en cause l’intervention de l’Otan en Libye qui, selon elle, «a déstabilisé la région du Sahel, y provoquant la dissémination du terrorisme et l’exode des populations».
S’exprimant à l’émission «l’Invité de la rédaction» de la Chaîne 3, Mme Saïda Benhabiles estime que pour atténuer «un tant soit peu cette souffrance humaine», il faudrait que ceux qui en sont à l’origine assument leur responsabilité, notamment, rappelle-t-elle, ceux qui, à l’ONU, se sont déclarés en faveur d’une intervention en Libye en citant explicitement Bernard-Henri Lévy et Nicolas Sarkozy. «Il faut arrêter de s’immiscer dans les affaires internes des peuples au nom de la démocratisation et des droits de l’Homme», a-t-elle expliqué avant d’ajouter : «Il faudrait qu’on cesse enfin d’exploiter les pays aujourd’hui pourvoyeurs de migrants tiers». Et de dire «ne pas comprendre que la communauté internationale qui, comme pour soulager sa conscience, organise une conférence sur le sujet des migrations et élabore une charte sur la question», se demandant si celle-ci peut contribuer à la solutionner.
Abordant la question des pressions exercées sur l’Algérie pour qu’elle stoppe le flux de migrants désirant joindre le continent européen, la présidente du CRA précisera que «l’Algérie ne cédera pas aux pressions bien qu’elle se soit habituée à ce genre de scénario».
Une nouvelle fois, Mme Benhabiles réitère que «l’Algérie n’est en rien responsable des situations humanitaires créées dans des pays d’Afrique». «Elle n’a pas spolié les biens de l’Afrique, bien au contraire, l’Algérie est le seul pays qui a effacé des dettes à certains pays de l’Afrique pour les aider à se développer», poursuit-elle avant de donner des exemples sur les aides sanitaires apportées aux flots incessants de migrants au niveau de l’hôpital de Tamanrasset, qui livre 37% des prestations sanitaires au bénéfice de ces derniers «et lorsqu’il n’est pas possible de traiter un malade sur place, celui-ci est évacué vers l’un des hôpitaux à Alger», a-t-elle souligné en précisant que l’Algérie n’a pas d’agenda politique derrière ses actions humanitaires. La présidente du CRA ne manquera pas de rappeler qu’au moment où la communauté internationale commémore l’anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, il y a en Afrique justement un pays qui n’a pu encore concrétiser son droit à l’autodétermination, le Sahara Occidental, en l’occurrence.
Ilhem Tir
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La Banque d’Algérie continue à décaisser des prêts accordés au Trésor public, et ce, dans le cadre de ce qui est appelé le financement conventionnel à la faveur de l’amendement, à l’automne 2017, de l’article 45 de la loi sur la monnaie et le crédit synonyme de feu vert pour la Banque d’Algérie pour prêter de l’argent au Trésor public.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Le gouvernement continue à user à outrance de ce qui est communément appelé la planche à billets, et ce, depuis la promulgation de la loi portant monnaie et crédit amendée dans son article 45, à l’automne 2017.
C’est ainsi que 4005 milliards de dinars ont été produits dans le cadre de la planche à billets. C’est le gouverneur de la Banque d’Algérie qui a fait état de ces montants, hier, lors de la présentation du rapport annuel devant les députés. Pour le seul mois de septembre 2018, il a été imprimé 420 milliards de dinars avant que la cadence ne s’accélère en novembre dernier pour atteindre les 1 187,2 milliards de dinars supplémentaires. Un montant, a tenu à préciser Loukal, «non encore exploité et exclusivement destiné au financement de projets d’investissements, plus précisément ceux de l’entreprise pétrolière publique Sonatrach». Pour lui, cela permet à la Banque d’Algérie de jouir d’un «excédent», après avoir longtemps souffert d’un déficit. Et d’ajouter qu’«avant le recours à ce financement non-conventionnel, les réserves de change n’étaient que de 50 milliards de dinars».
Par ailleurs, le gouverneur de la Banque d’Algérie a affirmé que durant les neuf premiers mois de l’année en cours, le prix moyen du pétrole a été de 72,7 dollars. Soit une légère hausse par rapport à l’année précédente puisqu’il était de l’ordre de 54 dollars.
Aussi, les exportations hors hydrocarbures ont atteint, à fin septembre écoulé, 1,58 milliard de dollars dans la catégorie des produits semi-finis, soit une baisse de 2% par rapport à 2017.
Quant aux exportations, elles ont été de l’ordre de 30,3 milliards de dollars alors que les importations des marchandises ont poursuivi leur baisse de 2,9% par rapport à l’année dernière.
M. K.
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Le Syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires, (Snechu) rencontrera aujourd’hui le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de la Santé et de la Réforme hospitalière. Les deux tutelles, qui ont déjà reçu les conclusions du travail de la commission mixte chargée d’étudier les préoccupations des hospitalo-universitaires, devront rendre aujourd’hui leurs réponses.
Salima Akkouche – Alger- (Le Soir) – Après un travail de plusieurs mois, la commission mixte chargée d’étudier les préoccupations soulevées par les enseignants chercheurs hospitalo-universitaires a rendu son rapport. Les résultats de ce travail ont été remis aux deux ministères de tutelle qui devront trancher.
Les représentants des hospitalo-universitaires seront, d’ailleurs, fixés lors de la réunion prévue entre les trois parties cette après-midi au siège du ministère de l’Enseignement supérieur. Plusieurs dossiers liés à la retraite des hospitalo-universitaires, les sciences fondamentales, l’activité lucrative, les arrêtés d’application de la nouvelle loi sanitaire, ainsi que les salaires et le logement des maîtres-assistants seront épluchés.
Le professeur Belhadj, président du Snechu, a expliqué qu’après le gel du mouvement de grève déclenché le mois de mars 2018, un accord a eu lieu avec les deux tutelles pour l’installation d’une commission technique mixte, chargée d’étudier dans le détail les revendications des hospitalo-universitaires. Suite à quoi, un calendrier de réunion a été établi «et respecté», et cinq réunions ont eu lieu dont la dernière remonte au 15 octobre dernier.
Le professeur Belhadj a indiqué que les conclusions de la commission technique ont été soumises aux deux ministres de tutelle. «La réunion d’aujourd’hui portera sur la réponse officielle des deux tutelles sur les solutions préconisées par la commission et cela, en conformité avec la nouvelle loi sanitaire et les données socio-économiques actuelles du pays», a déclaré le président du Snechu. Les propositions déjà soumises, souligne t-il, portent essentiellement sur la création des pôles régionaux pour les spécialités fondamentales avec une revalorisation en moyens humains et matériels de ces spécialités qui commencent à être désertées par les étudiants de post-graduation et la revalorisation de l’indemnité hospitalière (la rétribution pour les activités de santé), sans toucher au statut des hospitalo-universitaires.
Le dossier de la retraite sera aussi sur la table des discussions puisque les hospitalo-universitaires qui revendiquent une retraite à 80%, soit au même titre que les autres fonctionnaires du secteur public ou privé, n’ont toujours pas réussi à régler ce problème. Idem pour l’âge du départ à la retraite qui n’est toujours pas fixé. «Nous demandons de fixer un âge de départ à la retraite à l’instar des autres pays du Maghreb et des pays développés», exigent les hospitalo-universitaires qui revendiquent aussi l’autorisation de pratiquer l’activité lucrative ou complémentaire pour l’ensemble des hospitalo-universitaires et en conformité avec la nouvelle loi sanitaire et la régularité des concours d’accès aux grades de maître de conférences A et professeur.
Ils demandent également une réponse au sujet du dossier de logement pour les maîtres-assistants, car, dénonce-t-on, «les nouvelles formules d’octroi de logement aux universitaires ne sont pas justes, puisqu’on nous demande de payer plus d’un milliard pour acquérir un logement dans une cité de
1 000 logements et loin de plus de 80 km du lieu de travail, respect des droits de l’hospitalo-universitaire par les différentes administrations et tutelles».
S. A.
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