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Le président de la République du Sénégal est en fin de mandat. Macky Sall quitte le pouvoir après deux mandats. Son successeur sera connu le 2 avril prochain. Quel bilan pour le chef de l'Etat sortant.
La fin de mandat du président Macky Sall a été quelque peu mouvementé dans un contexte où il était soupçonné de vouloir briguer un troisième mandat.
Mais le système démocratique sénégalais avec ses institutions fortes a su calmer les ardeurs des uns et des autres pour relancer le processus devant conduire à une élection pacifique, transparente et inclusive.
Mais en attendant de connaître le successeur de Macky Sall, quel bilan peut-on faire de la gestion du président sortant.
Dans son dernier message à la Nation à la fin de l'année dernière, le président Macky Sall a dressé un bilan de ses mandats à la tête du pays. Il a d'abord exprimé ses regrets pour les scènes de violences qui ont secoué le pays avec des pertes en vies humaines, des blessés et de nombreux dégâts matériels.
Malgré les défis, le président de la République a mis l'accent sur « les progrès tangibles réalisés » par le Sénégal.
Sur le plan économique, les réformes engagéses par le Président Macky Sall ont permis de relancer le développement du Sénégal dans plusieurs secteurs. Ainsi le niveau de la croissance économique a permis d'améliorer les conditions de vie des populations.
Un budget de l'Etat en constante augmentation, est passé de 2344 milliards FCFA en 2012 à 7003 milliards FCFA en 2024.
Le pays a attiré de nombreux investissements dans divers secteurs productifs pour le Sénégal émergent.
D'importants progrès ont été réalisés notamment dans les domaines de l'énergie, de l'éducation, des infrastructures, de la santé et l'emploi.
Dans le domaine de la sécurité alimentaire, d'importants fonds ont été investis dans l'agriculture, l'élevage et la pêche. Il en est de même pour l'artisanat et la culture.
Des progrès remarquables ont été notés dans le secteur de l'énergie. Avec 500 MW et un réseau vétuste de 501 km de lignes électriques avant 2012, le pays a aujourd'hui plus que triplé ses capacités électriques, avec 1787 MW, et un réseau de lignes porté à 1552 km.
Dans le domaine du transport, de 1500 km de routes en 2012, le Sénégal est passé à 2900 km de routes avec la construction d'autoroutes, qui vont passant de 32 km à 189 km voire 500 km. La flotte de bus électriques et de trains a été aussi renforcée.
En matière d'hydraulique, le taux d'accès à l'eau potable est passé à 98% en milieu urbain et périurbain et à 96% en milieu rural.
Sur le plan de diplomatique, le Sénégal a renforcé son influence sur le continent africain et au plan international. Les médiations du président Sall pour la paix et de la stabilité dans la région ouest-africaine sont appréciées.
Sur le plan politique, le chef de l'Etat a œuvré pour le renforcement des institutions démocratiques, la stabilité et la promotion les droits de l'Homme. Sans oublier l'organisation régulière des élections présidentielle, législatives, communales et locales.
Dans le secteur de l'éducation, de nombreuses universités ont été créées en dehors des deux qui existent en 52 ans d'indépendance.
Concernant le développement durable, des initiatives ont été prises pour protéger l'environnement et garantir une économique durable pour les générations actuelles et futures.
En matière de bonne gouvernance, le président sénégalais s'est illustré aussi dans la lutte contre la corruption, renforçant ainsi la confiance des citoyens dans les institutions de la République.
Il est prévu de lancer le chantier du Mémorial de Gorée et de créer de nouveaux villages artisanaux dans plusieurs régions du pays. Sans oublier la Zone d'activités des mécaniciens et professionnels de l'automobile qui vont générer des milliers d'emplois.
Le Sénégal s'apprête à vivre une nouvelle alternance au pouvoir conformément à sa tradition démocratique. Le président sortant après deux mandats consécutifs (2012-2019 et 2019-2024) renonce à un troisième mandat.
Par cette décision, le président Macky Sall confirme son respect pour les institutions de la République et son engagement à garantir des élections inclusives, libres, transparentes et pacifiques au Sénégal.
La décision de Macky Sall de quitter le pouvoir en avril prochain témoigne de son souci de la stabilité politique et sociale du Sénégal.
Le bon déroulement de la prochaine présidentielle permettra de renforcer la stabilité du pays pour un développement économique et social. Ainsi, les Sénégalais pourront garder de Macky Sall, l'image d'un grand homme d'Etat, qui a su passer le témoin dans la paix et la stabilité et la cohésion nationale.
En ce jour inaugural du mois sacré de Ramadan, le lundi 11 mars 2024, nos regards se tournent vers le firmament, impatients de découvrir les […]
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Les barrières sont en place du côté du Niger malgré la levée des sanctions de la CEDEAO.
La frontière reste fermée du côté de Gaya (Niger) à avec le Bénin. Contrairement à ce qui a été annoncé les barrières sont toujours en place malgré la levée des sanctions imposées par la CEDEAO au Niger à la suite du coup d'État du 26 juillet 2023.
Le préfet de Gaya, le capitaine Boureima Seiny, était, mardi 5 mars dernier, au Poste juxtaposé de contrôle à Malanville. Une délégation du Niger était aussi attendue à Malanville à la suite du préfet. Mais la visite a été annulée.
Les pourparlers sont toujours en cours entre les autorités des deux pays pour un dénouement heureux de la situation.
M. M.
Les matchs de la 6e journée de Super Ligue Pro ont livré leur verdict. Encore une fois, Coton FC, champion en titre, s'est fait surprendre. Le club a perdu 1-0 devant l'AS Takunnin.
Décidément, rien ne va pour le Coton FC après six journées de championnat. Le club de Lionel Talon a encore perdu ce dimanche 10 Mars sur la pelouse de l'AS Takunnin. Et ceci, au même moment que Loto-Popo se faisait accroché à domicile par les Dragons (0-0).
Voici tous les résultats de la 6e journée de Ligue Pro :
AYEMA FC 3-0 ESPOIR FC
DAMISSA FC 3-1 AS COTONOU
DYNAMO D'ABOMEY 1-1 JSP
REQUINS FC 0-0 BANI GANSÉ
ASPAC 1-1 CAVALIERS FC
SOBEMAP 0-1 DADJÈ FC
LOTO-POPO 0-0 DRAGONS FC
TAKUNNIN FC 1-0 COTON FC
J.S
L'Amicale des femmes de la Caisse nationale de sécurité sociale (AF CNSS) a procédé au lancement de deux initiatives majeures à l'occasion de la célébration de la Journée internationale de la femme (JIF) vendredi 08 mars 2024 à la salle Majestic de Cadjèhoun. Il s'agit de la Solidarité de l'AF CNSS et du mois de l'empreinte CNSS à travers laquelle, les femmes de la caisse entendent effectuer chaque semaine, et pendant tout le mois de mars, deux heures de service supplémentaire gratuit. L'annonce a été faite par la présidente de l'AF CNSS, Raïssatou AMI-TOURE en présence de Apollinaire TCHINTCHIN, directeur général de la CNSS, et de plusieurs autres responsables de la caisse.
L'AF CNSS a célébré la 2e édition de la journée de la femme. Les activités prévues dans le cadre de cette édition se sont achevées vendredi 08 mars 2024 par une grande cérémonie riche en couleurs, et à laquelle ont pris part les femmes venues des agences régionales, et plusieurs responsables de la CNSS.
En début de cérémonie, le directeur des ressources humaines, Roger ABALLO a invité, les femmes de la CNSS, 50% du personnel toutes catégories confondues selon les statistiques, à faire un effort pour contribuer fortement à la production, car souligne-t-il, c'est de la production que l'administration tirera les fruits afin de trouver les moyens à mettre à leur disposition pour les réjouissances du 08 mars, seule occasion de l'année pour réfléchir à la condition de la femme.
Promouvoir l'égalité des sexes et le bien-être des femmes
Julien FADONOUGBO, secrétaire général du SYNASS, a félicité les femmes de la CNSS qui, grâce à leur amicale, donnent un cachet spécial à la journée du 08 mars. Au-delà des festivités, des actions sociales sont entreprises pour impacter la communauté, s'est-il réjoui. Selon le secrétaire général, la journée du 08 mars dédiée à la femme, est un créneau idéal pour poser les jalons nécessaires qui encourageront toutes les initiatives novatrices de la femme. Le thème choisi cette année selon lui, appelle plus que jamais à parvenir à l'égalité des sexes et au bien-être social des femmes dans tous les aspects de la vie […] car, poursuit-il, lorsque la femme prospère, c'est la société qui prospère. « Investir dans le capital femme, c'est investir dans son éducation, dans sa santé et dans son autonomisation », a fait savoir Julien FADONOUGBO.
Pour Francine C. AISSI, marraine de l'édition, le 08 mars est une occasion pour réfléchir sur la condition de femme afin de prendre des résolutions fermes pour son épanouissement. Le thème de cette édition pour elle, plante le décor de « la stratégie de développement de la femme ». Cette thématique selon la marraine, souligne « l'importance cruciale d'investir dans l'égalité des sexes et le bien-être des femmes dans tous les aspects de la vie ». « Pour créer des économies prospères, et une planète saine, il est essentiel de parvenir à cette égalité des sexes. Chaque journée internationale de la femme représente une opportunité d'informer sur des thèmes liés à des enjeux majeurs. C'est une occasion pour les femmes d'organiser des activités de sensibilisation et de mobilisation de ressources », a expliqué la secrétaire générale du patronat avant d'invité les femmes de l'amicale à suivre avec attention, les différentes communications afin de les enrichir de leurs précieuses contributions.
« L'égalité des sexes est le principal mobilisateur qui rend possible la réalisation de tous les autres objectifs de développement, qu'il s'agisse de la santé, de la nutrition, de l'éducation ou du climat. Les preuves sont là et les solutions sont connues. Ce qui nous a manqué, c'est l'action collective nécessaire », a souligné la présidente de l'AF CNSS. Après avoir rappelé quelques efforts de promotion de la femme et des obstacles à son plein épanouissement, elle a invité les femmes de l'amicale qu'elle préside, à « accélérer le rythme » « C'est l'occasion pour nous de nous investir autrement », a-t-elle indiqué.
Le 08 mars selon le directeur général de la CNSS, est une journée de réflexion sur la condition de la femme. « Il ne s'agit pas d'une récréation officielle, ni un folklore », a souligné Apollinaire TCHINTCHIN rassurant de l'engagement constant de sa direction à l'amplifier. « Jamais à la CNSS, la femme n'aura le statut d'une personne qui ne compte, que lorsqu'on aura fini de compter les choses », a-t-il rassuré.
Renforcement des capacités de la femme au 3e âge, don de matériels aux groupements villageois, et une opération de don de sang au profit du CHU-MEL sont entre autres, les activités organisées dans le cadre de l'édition 2024 de la journée de la femme, soutenue par World Association for Development.
« Investir dans les femmes, accélérer les rythmes », c'est le thème retenu cette année pour la Journée internationale de la femme. Des thématiques relatives aux droits politiques, aux droits du travail, le droit à la santé, etc, ont été développées lors de la célébration à la CNSS.
F. A. A.
Les femmes de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) et celles du ministère de l'industrie et du commerce ont célébré vendredi 08 mars 2024, la Journée internationale de la femme(JIF). C'est au cours d'une cérémonie riche en couleurs qui a eu pour cadre, la salle des fêtes Les Roses de la Fleur de Fidjrossè, dans le 12e arrondissement de Cotonou.
« Leadership féminin au cœur de la promotion du commerce et de l'industrie », c'est le thème développé à l'occasion de l'édition 2024 de la Journée internationale de la femme, conjointement célébrée entre les femmes de la GDIZ et celles du ministère de l'industrie.
En début de cérémonie, la présidente du comité d'organisation a salué les avancées notoires en matière des droits de la femme. En dehors des efforts réalisés jusque-là, les droits de la femme sont encore mis à mal par endroit, a fait observer Carmen CHADARE rassurant des qualités exceptionnelles dont elle fait preuve dans plusieurs domaines de la vie. « Elle a un rôle crucial à jouer dans le développement durable », a souligné la présidente du comité d'organisation exhortant les autorités à veiller à la préservation des droits et à la promotion de la femme à divers niveau de responsabilité.
Se référant au thème, la directrice adjointe de cabinet du ministère de l'industrie observe que lorsqu'il s'agit du commerce, il y a la vente, et quand on parle de l'industrie, il y a également la transformation ; et les femmes sont au cœur aussi bien du commerce que de l'industrie. L'ambition des organisateurs de l'édition 2024 de la JIF à l'en croire, est de montrer que les femmes ne veulent plus être reléguées au second rang. « Elles veulent être les patronnes des industries », a souligné Emilie T. SAMA fière de ce que « l'industrie se féminise » à la Zone industrielle de Glo-Djigbé.
Pour ce qui concerne le commerce, il est question selon la directrice adjointe de cabinet, de montrer qu'en intégrant les normes de qualité, on augmente la productivité. « Tout ce qui est fait aujourd'hui en terme de bilan, est de faire en sorte que la femme soit autonome financièrement. Quand la femme gagne de l'argent, quand la femme est autonome financièrement, elle investit près de 80% dans l'éducation, la santé et le bien-être de sa famille », a-t-elle expliqué avant de rappeler le but de la communication ; celui de montrer les piliers, les outils sur lesquels les femmes peuvent s'appuyer pour développer davantage leur leadership.
Pour la ministre de l'industrie, au-delà des renforcements de capacité, il faut que les femmes commencent à diversifier leur formation, et s'affirment à travers son éducation. Elles ne devront plus être réduites à leur simple statut de femme, a conseillé Shadya ASSOUMAN. A la GDIZ, on dénombre encore très peu d'investisseurs, et le souhait selon la ministre, est d'avoir des investissements qui proviennent des femmes. Le résultat à la GDIZ est la preuve qu'il y a encore du chemin, et dénote de ce que les institutions financières considèrent encore les femmes comme « des risques ». Il faudra donc travailler selon la ministre, afin que l'investissement en faveur des femmes ne soit plus considéré comme un risque.
En célébrant aux côtés des femmes du ministère de l'industrie et du commerce la journée du 08 mars, les femmes de la Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), structure en charge de l'aménagement et du développement de la GDIZ, entendent renforcer les liens au sein du secteur industriel qu'elles ont en commun, et de promouvoir une collaboration plus étroite. « En unissant nos forces, nous aspirons à créer un environnement où les femmes de différentes entités peuvent partager leurs expériences, s'inspirer mutuellement et travailler ensemble pour renforcer l'autonomisation féminine dans le domaine industriel. Cette célébration reflète notre engagement commun envers l'égalité, la diversité et la croissance collective de notre communauté industrielle », renseigne le service de communication de la GDIZ.
F. A. A.
Un jeune commerçant a été braqué et brûlé vif, dans la nuit du vendredi au samedi 9 mars 2024, à Bouanri, commune de Bembèrèkè.
Assassinat d'un jeune commerçant à Bouanri. Il a été braqué et brûlé vif par des individus. Selon les informations, la victime aurait été invitée par ces individus pour une opération d'achat de noix de cajou dans une ferme. Ils ont convaincu le jeune de venir avec une grosse somme d'argent. Une fois sur les lieux, les présumés malfrats ont braqué leur victime. Le jeune a été ensuite brûlé vif.
L'enquête ouverte a conduit à l'arrestation de trois suspects. Ce dimanche 10 mars, des habitants se sont rendus au commissarriat de police de Bouanri dans l'intention d'en finir avec les présumés auteurs du meurtre. La police poursuit les investigations.
A.A.A
ppp
Voir en ligne : https://www.ubabenin.com/retrait-mo...Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune s’est adressé à la nation, exprimant ses vœux pour le mois de Ramadan, un moment de bénédiction et […]
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Une personne adulte et 8 enfants sont morts, 78 autres personnes ont été hospitalisées après avoir mangé de la viande de tortue de mer sur l'île de Pemba, près de Zanzibar, en Tanzanie. C'est ce qu'a fait savoir l'agence Associated Press, se référant aux autorités locales.
Les autorités de Zanzibar ont envoyé sur l'île une équipe de secours. Des tests en laboratoire ont permis de déterminer que la viande était à l'origine des décès. Les autorités ont demandé à la population d'éviter de manger des tortues.
La viande de tortue est considérée comme un mets délicat, mais elle entraîne parfois des décès dus à un type d'intoxication alimentaire appelé chélonitoxisme.
Une personne adulte et 8 enfants sont morts, 78 autres personnes ont été hospitalisées après avoir mangé de la viande de tortue de mer sur l'île de Pemba, près de Zanzibar, en Tanzanie. C'est ce qu'a fait savoir l'agence Associated Press, se référant aux autorités locales.
Les autorités de Zanzibar ont envoyé sur l'île une équipe de secours. Des tests en laboratoire ont permis de déterminer que la viande était à l'origine des décès. Les autorités ont demandé à la population d'éviter de manger des tortues.
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